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STAIDARD BIBLIOGRAPHIC MICROFILM TARGET
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Di|ei< et .sf"i^ni"«
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ihrai rie F4l ix Al'-an
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) Other ( tioie hook
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Place of Plubll
Edition _
Holder of JDriglnal H/aterlal
Editer and
Holder of
Restrlctldns, If any, on use
^_____ Editer, or Translater ^
it.:v^rsiiy \i' Tf-rcr.to - T. Fish^r Rare Rook Librark
Publlsher of Microfilm Edition
Master Négative
il.! vr:rc;; 1 y >.i' T.jrL.nt.. - !<>.t.Hr'to l.it.vnr', ,
r.rnv , : li..t ..
Section llj Technica) M^c^of ilm Data
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Jui!£.1974
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Dieu et Science
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PRIXCIPA
s >de
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' De Cboreae Indole.
Péri et Endocaiditi
: Die Lehre von der Ta
■■ Principes d Electro
,i,nll. J I )i J> I A
1 Traité de Pliysiolorjie
ktr il-i, rii~Mj
s Travaux du Laboratoir i
rurgicale de Saint-Pel
' Metliodik der Plivsioloc
Atlas I lit--. :, ^1 ■~,,i,.i
-, Causeries scientifiques
^ Recherches expérimen
Siir leur rôle dans la lo
e et Nexu cum rheumatisnio Articulari,
l'i->uit liijug. licrliii, iSii|.
is dorsalis Merlin. iXh;. S. LiiireJii.
tné|-apie, P,ui>. in-;;. j. h |jjiii,,r,. .1 lil- i.'.;>;'-
■ Inlii.î- S,iii]l-IVt..-i-.|>,.nj_'. i'i-:-f.(:. Ku-
Gesammelte Pliysiolojis
Beitraye znr Physioloy
,^rS M.ll.l, ll.,_o
Ises nerlsdueœur Ana
Die Nerven der Herzen
]iji.:,l.jc Ik-ih;,,
Daz Ohrlabyrinth als Oi
uuà Zeit iLs \... , ,,,
ûie Geiassdrusen als
Iklllil, l.|l" .hiii:i> -"lii
Dieu et Science l'.in- i
Opéra di Elia Cyoa 1 r..
n l)h||. I,. ,..,;„, 1),
L Oreille oryane d orie
l'.in.-. i-cliv \l.,ii. i.,,
- ,-.(.■ Le Retour a D
/A - l'kINCIl'AI
II
La Russie contemporaine
Nihilisme et anarchie / ; ,
Le Bilan de la yestion ânaii
M Witte et les finances r
l'l.l...C P. ,11-. lMi.,!ll,
Les finances Russes et 1 Ep
Histoire de lentente Frau
K.,lk,.| lN>,i |'„i;. ;
Où la dictature de M Wittt
M Witte et ses projets de t
Les deux politiques russes
La guerre ou la paix ]' i2
La solution de la crise Mi
Comment transformer la
t-ii .ilicni.tu J i'.ii i>
X (ir\RAf]KS SCIFNTIl-IQrES
Ml Mi; AI Ti:iR
physiologique de lAcadémie Médico-chi-
eisbourg. jS-, c. K;,k.i lir: m-.ui
ischen Expérimente und Vivisectionen mit
l'.UI-l .,„]t;, i.S-;!,. lllil.iuic Kl.kur,
I v,,l ^,,11,1 l'clcrslH.lLTj;. \>i>,., C Ki.k^i
aies sur les fonctions seuii circulaires et
irmation de la Notion de 1 Esj.ace ll.i -.
he Arbeiten liuiliii.iSsv A,];;,!-! lin -, lrw.,Ki.
; der Schilddruse und des Herzens li..nji.
tjoiuie et physiologie r.ii;-i, i l.li\AK.iu.
Anatciuie und Physiologie ^.liii.ui .i»^-
gan der Mathenutischen Sinne fur Raum
ichutzorgane des Centralnervnesystenis
tJiti.in. i.,1... |-^l,x AL.i,
m ;ii i|.ili.ii,u. v,,l I — Nervi del Cuore
i-.^i... N:.ul.iZ.iii.hcllr. i,,,i
tation dans le Temps et dans lEspace.
eu par la Science et le Péril Tricolore.
X ()i,\K.\f;i:s l'i ij iij<jri:s
IIIMOKIQI KS
/'' ',..,1. , ./, /.-!/,/„., ,,/i, .■ L.t /•';.,(/.,. ,
K." I^r..-. iS.ii. t.i\iu.r.m-U\y:.
•■ • I'.":^. i>>w: IhiMm.
iere de Wischneyradsky Hr. m-.i; I'
7 /,
SSes t^.iv S' taitioii. .\v^v u:.c uuaVtlL-
rgne française, i cjri. l'.ui- l^M=, lh,.l,ni
0 Russe 1886 I894i. .\vcc le |.„r,,a,, .L-
-liKi^:,. Jh.l,,,,.
conduit la Russie is.i; IhiJa.t
1 ullite devant le Conseil de 1 Empire is.,-.
i- -. l'.i.- Ih..l,w
ndchourienne l'nu hin.n
l'.iri-. Hi.ir
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-sie eu État constitutionnel \ui m^s.- ^i
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Dieu et Science
I:ssji\ Je P.\vc/i(>l(>:^{c Jc.s Sciences
KL II- l)i: (,\o\
A\i ( i.i:i X n,.\.\( m::
1 T l.h |M|; 1K.\1 I hl I.'.MII.I I
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|iliilii^ii|ilu'i ..lthl't'^ ne >uiN't'ill jidi lt;ur rxi-niple : -(
( iii\ cun ili-cliar^r-- ih- la i riiiiut' il'unt- l'r(i\-iilciu'<' >ur
illaiiu
■l il un iivciiir iiieiiaifaïU. ir> l,u
liflit
a Ifur-i ,|ia^-.iiiii~ linital
cl ci.rroiniirr le- autres
M-ilfiit un cifiir
S il
ih
nf rliiri'IuMUqu'à ^tnluir.
■< »)iu ili- raiiiliiiiiin i-t jn •--
|it-u >i-ii>ihle, iU Mini rapabli--,. |i,.u',
leur -ful |ilai>ir. ou dall^ riiUiirèl ilc Irur ^eul awiiii r-
incnl. lie irii-tlrc U- tru aux t(i|ialri' ruiii^ lir la ItTre...
I)c^ (ipiiiiciii-, ri lies leiulaiiiies jiareiUe-, s'insinuent
|M-u a i>eu ilans 1 esprit îles luhnnies i!u «^raiiil niuuile
eT"*»ft
'enie ileeeus: 'jui i^ouveruent les sueieles et iloat
dépend
a nnire
dans les i.u\raL;i-s a la mode, res oi.ininns fii
lie des affaires puldiiiues. Ivxpo-
s vsunuituihi iiti Ht
ill:
' ( ' /■;
il.
//:
/iropi
si lllilhu c'i et aehêvent d
e détruire ee i|ui
reste eninn
dans k
de 1
de de
•ntmienis
«■•■
idinme 1 ainuur de la patrie et
de le pii>ti-rile et le hesoin de
t('rèt puMii . < es r'.'//i//. ,v/i//'/
du liien publie, le soia
aeritier sa vie dans l'in-
ts, comme les appe
An^lai-.. ilisparait'ront i-iunpl.eteaienl. nunud i
11,
f.
seront plus soutenu
reli.t4ion .. 1- 1 si, pa
qu'un versait des ton
sens dessus dessous,
I hose : un iTostrate
moi[ue ouvertement
en ridicule ceux qu
un liomnie bien inte
nos descendaïUs, on
.\lais il pourra arrivi
mêmes les maux (|U
Si Ton se corrit^e à
dont les mau\ais e
ces maux peut-être
maladie \a ( roissai
iKjmmes |)ar la revo
Ces lijrnes ne date
pas aux puissants d
vait en I 705. Avec 1
U prévoyait ijue la
consi'ipience inévila
nos connaissances ir
sance de l'astronom
mathémati(iues, au
fatalement 1 I hkhijé
renaissance, ouvre
1 )escartes, N'eu tf)n
exercer une intluei
cosmojfoni(iues de 1
se dégageait de leu
l'Rli -ACE
])ar la morale et par la vraie
ambition ou par caprice, <pud-
ents de sang, s'il renversait tout
on c<j)nii>lerait cela pour jn-u de
passerait pour un héros... On se
le l'amour de la patrie, on tourne
nt souci (lu bien ijultlic: et. si
uiionné s'in(|uiète de l'avenir de
lui répond : advienne (juejjourra.
r à ces personnes d'éprouver elles-
elles croient reser\és à d'autres,
■mjjs de cette maladie de 1 i-si)rit,
ets commen<-cut à éire visibles,
seront jirévenus ; mais, -i r,-lUr
il, la l'rovidence corrigera les
ution (pli en doit naître. ••
ut pas d hier, elles ne s'adressent
jour: c'est Leibniz tjui les etri
ne lucidité vraiment prophétique
grande tennenlation des es]iriis.
)le ducomiilft l)ouleversemenl de
aditionnelles qui sui\it la renais
e. de la ijhysuiue et des sciences
:. x\l" et X\ir siècles, conduirait
à une révolution génér.ile Cette
de (!opernic. Kepler, (lalilee,
.■t J.eibni/, devait nécessairement
I
e ])rofonde sur les conceptions
époque. J.a lumière éclatante, (jui
s grandioses découvertes et créa-
V
l'RlF.XCB
tions scieniiticpies, éclairait les e-prits supérieurs.
capables d'en comprendre la véritable portée; mais
elle ne j.ouvait qu'.-blouir k-s i>hilosophes et les
savants de second ordre, et aveugler la foule des pnj
fanes et des ignorants. !
I.a connaissante (les l.>is immuables, qui régissent
avec un ordre parlait le monde ph\ sique, relevait,
chez les premiers, le culte diï ( rcaieur de 1 univers
raffermissait leur foi en l)ieu,«-t .ii)profondissait leurs
crovances religieuses, tandis q|ue. de toutes les consé-
(jucnces de cette merveilleuse renaissance, le renver-
sement de- a» trincs cosm.igdniques des grands idii-
losoiihes de laiitiquile. aiq^roujvees i)ar les scolastiques
du movi'u âge. tii -eul iinpnissicvn sur les esprits d>-
second.- .alcgorie. Im apables de saisir limmen-e
porte de la rev..luli.'n -. ienlifique qui Venait de
s accomplir, c.-ux-ci ne s'attachèrent qu'a ses résultat-
négatifs; ils crurent y ir.uu eii des prétextes sulhsants
pour renier l'autorité divine! et s'affranchir de tout
devoir ei lie t..ute nbligatu.n icnvers le Créateur, l.a
vanité aidant, ils priiclanierent 1 homme l'unique
maitre du in.iude.
Telle li>l l origine iisychoUigique du scepticisme e-t
de rathri-mc au début du XVUl' siècle ; leur ascen-
dant sur les esprits permit U l.eibni/ de prédire la
ré\olutioii qui éclata ((uatrej-vingls ans ai'ns. Le-
philosophes du temps ont largemeiu contribue a la
réalisation de sa i>rédiction. Penseurs trop suin-rticiels
pour succéder digneineiil aux Descartes et aux l.eil>-
niz, et pour pouvoir suivre avec profit la marclie
' ,rflCSy^.»f*5T'iaH^^PPP^f^ «î"^.»-
tri(iiii))h,(li- .li-s SCI
|ll.li^, lient (lan> hi .
li-^t'--,. I .'alhiMsiiif ft
liit-n i]ori(''s ilan-i li
iintaii-nl .itlirc-,. A
.■11.
vûi
noes (le leur iii
uisirii. tj.iii tics s\ sicmcs iiiati-ria-
lu-aii tu..inlc. vers lci|ii,l ils se
iissi une iir.it'.in.je -,cissiiin setait-
p.'ll a |pi-u 0|)(
lences oxacles ; srissj,in
a une si-ii.irati.in
.1. Ussan.'.
.1.- . i-s se ein'fs eut alteiiit
nur.i.lK.iiiin oc
/.'i'/. ,/, ,v .S,
Ih , s
.■onseijuen.es de nn
lihiiiisojiliie elie-mèi
1 esprit piiliiii^ ,111 ,11
lér.ile ,lr , ,■> l-ss.ii.s ./, /isr,//,i
traite Ion- iieni.'iit îles liin.^sie>
<■ si-piir,iti.iii. .lussi Lien p.mr 1,
H- .|iie |..,iir !,■ .l.-veln|.pement .1,
irs lies .jeux .lerniiTs sieiie-,. I.e-
tr..is ja-i-iiiii-rs . Iiapiircs si*n
|il Us rl■^•l■nte■^ i i)iii|iii
■|iii p.Hirraieiit s.^n
pr.i.^h.^r ...- .l,-u\ l,|-
iiai^san. .■ huriiaine ,-
\ rainieiit --.:i.niili,|ue
.■\perinieiital<-. .i|ire-
.lant plusii un.^i .-iitai
au pr.il-li^iin- niill.-na
ipai .-. .lu I
eili|
-animent les a\aiit,
eiueiiu- entre ,-||,- et
1.
ait autre est i.
1 xl.jet .le-, . Iia|>ltre
st-parati(.ii entr.^ la p
liais-an. :e a un iihéi
i.|ile. ils se .■oni-
le se»'pt
1. isrne étaient al.irs seuls
ree t
■litre la |.llll.is. iphi,- et |,
.|Ui. au \1\' SI
ei'ie. ali.iiilit
mipl.-te. .|uaii.l la iii.-r\-.-illeiisi
lUI-a. r.s ,1 I e\ |,iise il.
les ,l,- Kl |,|i\ sl.il.i-i.- ,1,- 1 h
r .1.
p. 'lut .le .lepari p.air rap
an. lies I. .u.lainf ntali
ur le l.-rrain
a t.iluti.ai
une p-S . ll..^.^l,■
.|Ue la pli\ sui|i..^ii-
'S iiecU.-r. lies ]..iursiii\ it
par\ enuea il. muer
r.- .1." I .iri-ii
le lie mis iiuiiept-
■l .lu niaiii.n-, .1
eni.intn^ sulti
if^es, p.air la l'iiiliisiipliie. ,1 une
a srien. 1- m. ..lenie.
irlee ,1,-- .luesti.ins .jui l'nrineiii
sui\ aiits .1.- , et .lu^raL!.- i a
il.isi.jilue i-i les sri
iineni! ji<ira.l.i\al
en. fs a .l.uin.
en ap]iar.-nre
mais luiUenieiit Jur
tuil.
et ipii re]ii)se en reatitt
une fonnexrte laiisale il une haut
le v.ileur ps\.ti<ili
■h.ili
■iqu
P
e. l'ar lette -i.- para lion, la philusDiilue s'était
L'iiiij^ liée eue. ire .la\aiitam' de Dieu et .le la reli^
tandis ipie la s.ienre, reenninaissant la iaiiite d
niétaplu •
iiiue -.iiis hase, et
d.^s 1
éclairée far l'innnéii-
i..ri.'iiiis i|iie ses .|Ui.li|lieniic
iiin raient sur rinttiii de luuix.
des lui- inimualiles .[ui le ri
s lie. . iU\ ertcs lai
rs l't ■'Ur la Liraudt
.lus en plus il.^ la rel
Il;1.'11 reVelee
isseiit, se rappr. 'Chail
i)'!.- cclehie e\pl
ii|uera ai-eiueiit la p-\-
liiilivie ili- . e i.|
pii.-n.aneii
l'alliée \\,\
taire, âpre- un
liiiii^ -ejutir en An^l.^li-rre, .>u lui tut révélée, dans
l.'Ute -..!i ampleur, la lli.-i.rie ,1e .\.-x\t..n, ainsi. [ue
sa haiil.^ p.irt.-i- p.'ur les . . au epti. vus du nu.n.le ph\-
siiiu.-. .li-viii( un -i.U .■r-.iire ijiiplai ahle de 1 a!li.-i-me ;
Lien 1.1 iT'
u-, d.-isti-, il -c m.uilrilit pan
is.m Ciiiu aincu lie
l<i m..r.ili
selil.^ ett
relii^ieii-e. ,[U il ^ermin.ii-sait cmnie h
i^ilu.i.
des enliilil-
a (les -au
n . ateclii-nii
.|U il \ a un l)ieu
II.- I,lll-S
parms-i- ,hi a
niais .\ e\\ tuii le |.roU\ r
une vraie s. len
le iir.>si.-riie
11)
ielic.' tall des alhee-
1 liMllline .lc\-,iiit la divi
ite " ■.. prii, laniail \ ..Itaire eil p.iraphr.isaiil l.i . .délai
es.' de lia. '..11,
li \ .1 .l..nc ru'u .1.' -urprelianl
i .e .iiji
1';'
Il .Vl.uliKil^, U lU.u IM-".,.!! p. .1,1 I., |i|;
■lU.il relire*, Cllvi-. ,.u, .iVf. .M- .lai, h.
ur I., . i.ii^^iv.ili..ii iIl-- I.
r.r- Ll -i,.
lllilUK- .tt- -.
mciiic iciumpuliM; u
iii.ni.i..Mi i-i 1 .11 I il, -tUu.il it.i
.<;■
at..lt.j;iu-. 2,.
-uliic. \'ult.i
uUl, .1 ,clr
li,u -Ji-- !..
[...u.ili,
i\ij -I.S II
'ri^wm^Tmi'^TTvmm'^w^"^
^V^^^^^^iWSfW-
.le 1
loqi
IrailuiMii-
XVI 1
rs illiiNlre.s iinnlécesscurs des N\r' et
les. Les li
s étaient im-me t(irt
liisoiihit
lijKsitK.n .iver elle
|)ré<li,tii,n ,1,- J.eibniz se y-éaiisa et que Li lexolutioii
éclata
au niiin ih
• 1
lJer>
ution>
trnuv
.iteiir
st's. l.e ]j1us illuslre iJarmi ce-
lé la chimie miKlerne. I .av()i^ier.
lut \i( liine .If irlti'
a e.hai/|it-rriu .|u'a
K
epuliUi|Ue n a \i
le inéil
le a>tre r
ite .\1
iuii|inniail 1 Ai .ulér
•■ Ce-, 11. aiiih
• 'uvier. turi
tariiu. hi-s il.
(iierclier
.l.int
nimaleiirs i
in> It
ahri ciiiilrc
stispendu -,ui
■laiv
mt c
n au ru 11
lurcui> n'eussent
imimiiiaiiit- t an> 1
resserrer, au xix sicLie, Icfs liens entre
la r.-li
le^ 1
r. lU-isailles
<i. Cuviui Z.'
nieti
///../,
si)ient restés fidèles aux
nol)
ns entre la sci<'nce et
a n'IiLtion
fiés, et cela en deiiors ili> h( ])lii-
Aii^-,i, (juand la
I)hil(it
siiiiliie allii-e
a ^clence et
rent-ell
'tre l'iiliiel d
e^ nienies
liaiiK
.M.
•t i)ien
d'aiilr
ec peine a
liesuin
juuloline
irat.
il.- savant-,
n d.-cret de la (
priiclamalt
.invention
etleii d
i>p<-rsait le
s ineinhre:
n.iin ri-mplisiail 1 liircipe. dit
d rt
re reste
s UIC. UllUl-. A\.iK
leur i)atrie
lslle-5 le^ ])lus i>l)-,cur:
oLirureiil
(JUl-li|U<
i-p>iuvantal)le
qui ^\ait fU
coniinuellenient
de 1 éclat, et uni
p. i;t-.ir.- épargiii- tui. un d'eux, -,i le-, niiniitre^
ete au^si iLiiiorants (lu iN
a pi-rseculhin n a tait
les science-, et
I andis (|ue les jihilu-îniihes, égares dai
jh\ si
>. li'^
[Ues t!
le I
\anl, persistaient
dans le culte d'une raison déesse
OU sombra 11
■nt d,
m s
les ténèbres de- Hegel et iTautrcs, les -vivants cré;
teurs élargissaient leurs
conception^
ir 1
qu Us l)a^aieiit sur la c(innais--ance ^plrituelle. ce
trôli
■e jiar 1 expi'-rimentation let par le (\.lcu! mathé-
niatlnque
aisM la \e
•ritabli! p
lllosophie M ieiuiniiue
du MX >iècle ne se rencontrj- t elle
que il,in> i.--. Di^
cours et
sciences.
iienseiir-,
prononce-.
ms Ifv Acailt
.■t dans
parmi le
le-, ou\rai^e> ou p.uMCiir.-
•s de«
'T.inil-
aWiUts. I »omme -,ir John Mers
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il une in.imerc -.\ stematiqu
Mipliique--.
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.1er et autre-
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coiicep'.ion-, j'iliili
^euleiiK-lU d;
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osioii lies illieories e\ oliuionni-,tes.
de 1 ».:
l'har
■kel.
mu t-npi-ril peiuLiiit un in>taiu
monie iiui
régnait entro le^ -,ciences n.iturelle-,
et la religion. 1
e c. iiilre cou
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es immen-,1
prog-r
lies science-, exiictes commeiii
comme à la tin du X\ Il ^iècle
nomb
categi
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un a se ni.mite^ter. tout
i 'n \-.il ainsi un'
plie-, et méjiie de sa\ .inl-
au gros>ier materuilisme
aux tendances mj-t.iph
li
ili- ^eioli.le
UMque
rcii lurner
lUeUques-uns allèrent nu-me
jusqii a
mmunier
irotozoaires i
t de-.
•nsenililie dans l'itdorati
df
aléux de
nomme
-, singes, d^venui, suiwmt eux. les
lundis que le-, athées et les -cep
tiques d aulretois
1)
uitentiiient de nier Icxi-li
d un l)ieu plan.int au-dessus de Ih
--ilu.tii.'ii Jt;s -.ivaias .tu
lU il
s iirete-
h.iiiu
■!f^mw^^m*^mmmmw^^-
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r.iii-iii iiJiisiil^TiT roni
partis, in> f.m.iti'iucs ilo dnctrii
ne seul maitri- du inonde, h
tciidaiiTi!
iiiTi! r.inii-nc-r 11
inti-ricuri
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)inl. Il i-iait lifsom
M'
■U al
nanii'-i <it'
oininaiU'"- dans I i-ii-
•^'■'K"'' 111 luddu-, |,r.M li.-es \nr
imiMiidiralili's iiii\r,i
sriiMilili.|iic. i-i a( ru
ninic I t'X|iii'-,Miju d
«'Oinluiri- 11- iniiiidi- .1 vi
If t.iu\ principt' rioiioii
uii.h-ur des .irti.ins de 1
ili- >t' s -(.jiii Uirlj Is cl d
uii-m al)iiulir a la di
ni.is-c^ i!iri)u~rii'uif
nt't's. sf lrai)s|,,i niait
I i-\i>tciire il ai
diri-cti- iiar la d
ilriii. I
\ iiamiti
i^rci humain. If- huric
pt-nilam la nnululioii
r
■xplMMun rt'-rtMiti- d(
Ulr, li>ul.
's in.iiiiti'-.iaiiiins
tu<dlt'. qui a i-u\ahi
i-uriMit !( iiniiii- ]i( iint di-
lution traiistoniiistc
^i-ulf la \-i
aiiarrliistes
r.-,pon-alilcs d altrnlat^ d
sac rt'f ,-i intan.iihle aux vinix
l'KHI-.liK
lies ir.instormistes pn'--
à 1.1 l.'esiialiU' Li plus
il être un
1,1-il
un/ pour pri''\ oir
l)arellii-s doririnrs. ilei'enui
es lie V ulij.iris.ilicin soii
illi
u"oij'res ili-
trop de 1
l'Lîerete
a srirui e. de\ aient
isé. I
..I lulte pour 1 i-sisteu
ipie. pri-scnie ronmie riiniiiii
huiniii<-, loin
iiii- I II I ! : nu i\ii 1
'■ .ses ;(spiralioiis. ,le\ail l.itale-
radatiiui et à l'attoleinent di-s
.- idéewi-m-iMli- de 1.1 lutle in.ur
1 i-\lslcM. i:. i-niree dans des i.-|\elles Mdi-s et h,
on-eiui-nl i-n une Intli
inveniioii niliilisi.
ili- I .iiiioii
uiiine nio\ en etiieaie du ])r,
s des s.iux'.i^es deslrui lion
')' 'S I '(' ■'', ainsi OUI
la t'olli- de
stiiiitrii
e .1 liaret
an.inliie inielle»
sprit de 1.1 SOI ii'le lilodei
dt'-p<irt l.-s doctrines de IV
Il la lutle polir 1 existel
ailleurs ou lusliyateurs
lesilructeurs, rest
e eiieore
a m'iier.ition
'K I
actuelle, coinpleleiuenl d-''seil|lparec' |iar l.i!)aild m de
1.1 morale relieieiise et de la tlu en l)ieu.
Comme prol
esseur il
la I-
lA
e.iclcMUle niec
lie 1 1 .hiruri'it
ulte des seieiu es el
le de S. uni l'etershi lur^;
je nie tri illV.cis, p
iiir .iinsi i
lire.
aux première
pour oliser^er les dc-luits de ec-lle au.irelue dans les
milieux uiii\i'rsit. lires el. dcK I aiiiic- i"»;^. dans un
de les i.erils. 1».
disc-ours ,ieademic|Ue, i en .iiisi._;;i
de noiul cri-iix c-^rils putilies depuis, j .ii mené c. nu
li"e le d.iru uiisme f.l surtoul contre les théo-
de 1 11. 'imiu- : je
.liiaic c cm
ries de la c
Ic-sc end
iiicc- siiiiienn
a evd\ .Ils l.i P cric- irrc-sisfil
•V,-|o|,
dees destruct
inte .\lirc
c-s .i\'ir cMi le douleur cl assister .i
re.ills.iUon liM;_;l.p
)'
clc\ ,.ir tirer de 1
exp
(llemcuts pliilosopl;upi.-s ( )| . 1 eilscicnemeiil le pi
lUsiruc ut ciii un s.iv.iu! n.ilui
II. ml de pic
l.i '.cMiilile lourmeni
i|U elles prcleraieiit au
triées el ui- 1 .m, m lu.
lus sinistres iire\isioiir
leiici- ,ic c|
Ulse des ellsfi
ihsle cloil tirer, en étu-
de, llaiuec i-il K II-
-h- c-U 1 .. 'S,
re\ oluti.
le- pc-upl
.1 pu l.i sunuoiiler 11 liuilti Itl
jiu m II! ^race .lux iiulc-r.tei
nalilcs sc-iilimc-nis de- |.iete l'iirélieiiiu' .pi il porte cUi-
m
\ illes il.ius son .une
» cda aushi.
le II .11 i>.i-
de- U-
irediri- depuis une .pi.ir.ilit.iilie d aiuu
l'oiir laire ress. u'i
A
1.
lu ic-l cnseieiieniiuil 1 al coiisatre
.1 iroisii-me p.irtic- de mon oui r.i^e .1 r.iii.iU se (isv i lie.-
oi;'iipie des errc-urs scieiititi<pies .[Ui . oustiiueiit Ic-s
des ih
Ic-xolutjion el clu tr.iiistoiiuisme
l.a décadence du cl.u'w illisiil|e el 1 eiT. 'uleiiic-ll!
ilaleux ilu ll.ie
|s|iie, i|
lie 1 .a ais .lUiiom c- il \
•■?:»« #^3SPl^^iîreW'«»WW «^^^
une trentaine il cinnée
artuelli-inent des tai
scienre. .\lais li'urs |i;
cacher au iiiililic iniile
lérét su]iréine de niett
pri ivocjuec |i.ir li'iir
imijérieusement i|iie 1
nullité seientifituii- di-
l'humanilt- du nautr.i
vajre. ("ene-il même
ai lui lie menai e de r.
clament di'jà avec ré
lettrés que sa\ants, rr
car les hahitaïUs des
les ili''cnu\erles ]iale
jjossédaient un culte
d'un au delà cl ]iar 1
qui dominent 1 luimni
Les ])lliliisiiplie^ s|il
menceni à entrevoir
verselle îles esprits,
orjfanisation de l'anar
civilisé, et, jjresque il
salut dans le n-tuur a
vouée parles anarchis
chrétienne et surtout
clairement aux phdn-
combattre.
l'ar une heureuse
tualistes ont compri'
rRÉF^\CE
; ].our la fin du xix siècle, sont
is accomplis au regard de la
rtisans ilésempares cherchent à
l'étenilue de leur detaite I. in-
•e tin à 1 anarchie intidlectuelle.
iriiimplii- passai;er. c\i;4e dnm-
on lasse éclater lnul entière la
c-s d'.icirines, atin d.e pn-server
1- dans la harliarii- la iilu> sau
las au\ cavernes ipif 1 anarchie
nieniT 1 liuinme, couinie le ]iro
si^naliiin des philOMiphe^ plus
ais au\ tanière-^ el aux marais ;
avernes. ainsi que le munirent
nliilo;^iques le.s plu^ récentes,
le> nmrt^. insjure par 1 esjioir
1 I rainle des esprits ^uperieurs
•. Vi.ircli. V, % 7 et cil. VI, i 1.
rituali-'te-,, mieux l'claire-^, com-
le-, jn-rils dont l'anarchie uni-
plus i-m lire que la loruiidaldc
■hie a;^issante, menace le uiunde
istinclivement, ils clierihenl le
l)ieu et a la relioiiiu La haine
tes du niiinde entier à 1.1 relii;ion
a 1 e^îlise i-.itholique. indique
1. plies le plus sur mo\eu de les
intuitiiin les philosophes sjiiri-
qu'un rap])rochement a\ecla
science doit précéder luute recoiicilialinn a\ec la r<di-
gion Kappelnns les récent- oii\ram> de .M .W , l'.ou-
troux. l.uilwi- Stein et Kudiil,.h l-ucken. qui ont
tranchenieii'. pris I iiiitiatue île cette iiou\elle nrien-
tation du -pu ilu.ilisiiie. .WaUM'Ureu-eiiient ces enii
nenls philii-i.phev ne>e recoii lais-eiit |'>a-, — et nnn
sans raiM'U a-se/ d'auturite d.iiis les --cience- natu-
relles ]i(iiir .liiiiliatlre i ale^ori.pieiiieiit certains erre
nienls Mieiilitique- i|Ui au milieu du --u-i le dernier
a\.iieiit uiiaueiit.iuemeiit crée u i de-..irr.ii lune-le dans
plusieurs lu, on lies de l.i L.lol i^ie .\ussi -e -.nnl-iN
ciinteule- d atténuer I l'rtaines ci. n séquence- trop auda
cieuse< du d.iru ilii-nie 4iU lieu Jle !e reieter intei.;i iile-
nieut 1 i.lliliu-r.ili t.ilt, de- rei!|i-l..u de ce- erreiuenl-.
tant d lUutre- lepre-eut.iiit- dj- l.i pli\ suilugie el de
1 emlir\ nli.-ie MUr eh. IV et \
l'.iell lia ut le- pli I li .-i -plie- , eli niani te-lal: t leur de-ir
tle -!• reiMii. iliei ,i\r>- la Silence, pnui-ui wut le
même but; ni.ii-, ewjore sml- liutlueive de cette
erreur I .ipll. lie que l.i science niudeilie e-l llic. an li<i-
lilile a\e< la relii^uai, il- tatoi nelll. » 'u dir.ill qu'il-
n'arl.iaeiil le- imileurs de l.i sciuuce que pniir -f
mettre a l'alin du reproche d entrer eu (oiitlit avec
elle, quand ils e\..luelil Ver- li ndl.^l.iu.
Le ihapltre '• I >ieu et 1 llonillle ■■ e-l ju-tement
de-line a hiuiiiitrer que, Imii l1 être en cim'radiclion
aveclldee ielii;ieu-e. la -cien e llloueriie. .lU-sl Ineli
dans -1.11 .ai^iiH' que d.iii- -e- tiii-: -e iriaue a\ec elle
en iiartaite ii.irniiiiiie. 1 le-iri-uxj de ne p.i- aliaiid. luner
dans cet mu ra^e le terrain solille de la science exacte.
Ili i.\ s
-^^EW.'trpWKK
j ai clii^ist. coiniuc ))
tr.ition. '-,' taii ■■ tpit.
cri'aleiirs des miciu
di'iix ik-iniiTs sirrli's
r('lii>ii*uscs, rr. i\ auMi
r.ili'rU I )h-u.
aiitr
■liii'ux ili- la rt'l
I.
rcsp
lii|uaiiMit pas I..1 L;rJiiiilcur ili- leur iruv rf sriciitiluiui'
li-ur taisait n-r. m
1 unuiTs. I Ml i,. m
luurialiti' di- h-iu
tri- I <:-\isti-ni
■,|int ' t uiivaiiirii-
hUil." d.
parmi
1,-s |,1
tiii'iis"niiMi
|ilii^ L;ian
l i\r\ allt II
( lirist cl al Itaii-ii
ri lUf <!'■ I !■ \aii'' il(
: la hùuti- \alfin iii.nralc i-l iiisic
( csl uni' iMrcur,
luTipli-s, d alli
|)nilin'i|
sont iiDiduits vi'rs
llIlHlcs di- l.l srii'lli'f.
savants du sii'ili- |
li'pii's siint ('\ p.)-.i-s a
le t .nilrairc. 1 t-s yra
ni uiit tait n-iiili-r
siiiicri's
11
)nsidi
ans ses I
rD'rcs et
rcoiimaissanl (|U
i:
lie aiial>'si- iiimii
lions cl (Ifs pcrccp
int clf di'part pour ma démons-
ipii' la |)liipart des pins illnslrcs
s pliysii|iies c-t biolo^iinifs <lfs
a\aii-nl ili- |)niti>iidfs ( Din'ictions
à riinmorialitc dr 1 amc et ado-
•si'tiiii-nt spiritnalistrs ft di-islcs,
l'^ioii, iip-iiii- ipiand ils 11.' la pr;i
itiair dr
in,-(l.- I.
nr-, intnitioii--. ri 1 im-
dc 1
impossi-
rc l»ii-ii i-t SCS liiis, lii-aiKoiip,
Is savants, s'iiicl niaient ri'spce-
-^uhliiii
'•\<-lationv il(
iminiinc aux tlii-olo^ii-ns i-l aux
^ sav.iiUs iiainral istcs
irncr oui
liii-n par la rrconnaissainc di
•n pirti' sur la psv
liolo ■ 11- (Il
.issé, dont Ifs n'-siiltats anllifii-
i fours dii ■< ha|
hapilrf \ 1, dt
moiitrf
ids f rf atf urs'dfs se u- nef s cxac les
plus loin Ifs liiiiilfs du savinr
hnmain, se ironvi'n|[ juslfiufiit ftrf dfs i ro\ ants
renl lu srieiife foinmf illimiti'e
m
tiiiif dans sa làflif, tout
fsl lllafff -.sililf fil sfs lins.
lifUsf du lUffaiiismo des sfiis.i-
tions ma rfCfinmfnt pcriiiis de
nioiitrfr ipif ff i|u on dcsii^iK- f.uiimf limite de iKfLre
t'iilf ndf lUf ni ii'fsl, fn ffalitc, ipu' la limitf de nos
organes des sfus i-t di- nos eentres f(*'rel«rau\ l.'piiteii-
demeiit. par iui-nième. est illimité roinine l'esprit
Kieli ne s oppose a la f rovauce cpie le sa\ mr de notre
onsf leii. !■ spiritiii
sera sep.uf p.ir la
la iinut
\'oir .h m. 4 lo ■•t II
>re < laln-ii. elitlioU--l
liait de la destination toiie li. 'illkellt- des organes, avait
déflaré i|ii e\p!i.|iier leurs toi
lu mues .1 I lioiiin-nr di- la du
liaile, en >■< m. lut I eil.ni -, ipi u
imité, une lois i[n'eU
lliitre eoiiseienee psv
^me par • e . |i:
devi-
.te, I
^t ehaliter de
Il souvent sou-
1'
il. d'
rire lin oiu ra-.
M'
lioili-- le 1)111 p mrrait être //i
.iirpreiiaiit .pi un pli \ >ioloi;i
1 lialun- meili'iin t'nlre-
il dont le titre ou du
uni: \ ( j.i'i r. ! ( 'noi de
ite , apr.
aiTf ipiarailte eiiii| aii-
il.
•xperiilieiita
1,
taies. ,lest
liiees .1 e
nr";illes !
lus iil\ stelieiiv
iniue ei
I)l, Il .7 .S\
1 f ihiii/ 1 a d
1 ri-allsallt dfU.\ siè( l
est lUsti-niel
ei i MU erte il
I \ le a 'les reelieri 11.
iiiid.-r les l'olietioils ,1.
1 ( orps linniam, la ler-
iius tare, ee A o-u
t 1 li\ m
lie -MuUl,ilte_^ p,ir
U>s de 1\ s, -ils iil.itlf ■m.itl.pl
qui a iieruus la s.ilnli.wi du ]
lu yl
M, -nie .1.- 1
.rii:ine .le
nos notl.'lls de resp,f 1-. du telups. .lu 11. '111 lire, et de
liiitini, .est le .leiiiier f. litdoii ipn m ,i ..ai. luit ,iu pr
lilellle de I »lell.
;,'!^l^^fÎB!?S^HHiPWf^l^^
DIEU ET SCIENCE
I X I Ri H lli I 11 i\ I ,1 \ I K AI 1
LF. CKr.PUSCULE I>F I,
A MKTAPHYSlgUK
KT LA KENAISSANCK
i>K LA PHILOSOPHIE kciKNTIFIQUE
l'iil ■! un i;i':in,!
[H-llUl-. ,11- : i -. i;
dllllhiLl i i.lJiui
pllilil^.U V fv |.|-,
II. '[l\ .■
A.- I,
K■^ I ;.i.IlL-I
!.l:c .il-.. l'I. .hkllK-N
UC. ^ il V .luLllt Ml.l
U\ IMm.- .
f-. >cientiii.iue^ i[ui oui
tvilhlirt-v. II- ..:i\ :iiit ....ii'-.
ii-n!i\- luril r-curri'i i-n
KT •..UU-lIlt-'IU
■nu-.! Ic^lo i-lllulll.lli.llU -. et
I iiUti.- >
l.llc. .il!
tiAitc exil' ,i~ .
■ ;-• -.111 iju-^ ilan-. 1
.j;-.>.i.iic iii.u\ clif. .K
f-|irit Al- iii.ii\ 1
.ic llillU i-llc-. 111
II. 'liL- -,u . .11" n
^' ioiiriiit ,k
jlll II. .11-. Tf-vlL-
.■ir.c-^ iL-çUeiviic- \.:
>ii-' l.iit i!iiî.-u\ eiiUi \ .
ui.re a apiMciulif 1 .
anii .iiuii'i. ia \ .ilcur .U
a.-i|iii..c-. 1.1 .II-, . .;i\
tliill ilf ;iiL I',,.Jv
'll,|iu.-tc-
ii.'in .-aiiv 1T,.|
un MU t: ir.i
n.ilura::-;. -
ik- Il
Il .k 1
iiie.iHo p. mr en
.1 iu-...n,liu- a
-Uli.f-, ..u
Il tl. \ a;l a.
.-. ['i--ii..ciir.. cliMii
\ ..;r .laii-,
l.iit ui
■aii.f^ "... iciiiili.'iiK
loi-. Julilill. > i iiK nKKi|ill>f
IV-p.'IKUf IllV
llli. ic
■. .ApenilK-ll
m., u.--. .1 iiu C".!!-
pi.'.ir ro inplir !•,.•.,
■all-.L■c^ L-i Al
. wiliitu.r.
u>..i.1l
-llic-, r.l 1 m\cll
!.i >..!iil!..i! -. .n!
c prt-iu
f .Il 1.1
!-■> '-l iiic-ilrc cil ,ii.u'.
e ; c L ; ! ^
>\ IMIK- .l.lilN U--. -.CK
' f^^lg^^i^^0W^ffmlÊv^'^*'
mil' El ^C1E^•CE
Il est iiii une
f..ri
me . ail siepticisme en
du
L'nllL'lNlIIC lllipi'iull
ni au liiUl
II
it J
e ae\ i.Uei
Us^e 1
:l> de
CL(iiir.ii;er inir
niiu\ e.iil\ nui
nt iti.
.■lit
>!'
hi s,-
dans 11- tellips el d.âll-
éteiulue. mil me daii-, ^
tin~ /^ l\ 1 \ 1 .11 1!;UT
I allLiulc du hul huai d
It- iiatiii'ali-.li.- a m.ui ai
I iiiil ..piui^cei Mijil
tia\ ail du UK-Iapln -ui
e M-s ri.-
ludr
ti..ii-
'lohUllK
K iiielai
i|iu .[iiaud il a edilu-
ellct II.-., .udic ImUs le^
111 ■^\-iteIlle
liuiuain, e
t dcViillcl- 1(
(|Uc SI .11 s\>tc
OllLCPl- cl U-> .1
^PL-LillalM llll
s. dutii.ii-, iK volent iiiu
lll-.ll
unie llearju-ielllelll .^ 1
? tciiip-. eiii|Mirii.-ra -
.-trlIU- -eia tut i.U ta
uiclapli \ ^U|iR
Mj
teliu-1 -,uhii..iit a lell t.iur le llieilie sort
laiiuii
d-k
ei evperilllclltale^ 1111
.■|eiilili.[iie. et par eela
n\étapli\si(iue oit
I de KanJ, et ne peut eonduire
i.dilc
naliirali>te, dont la vie
les 1.
>is niv-.ieriea-.es
la iTeaiH ui,
dillieiiltés et
aiit lui.
An
e. iiitiaiie.
d'staek
•la h
e est éternelle en sa
llll
1 espaee, iiudinniensuralde eu m.ii
^ pr.ddi lues, mais inaecesMlili/ eu ses
L-sl, luureuv.
. lurelie
parée .|U autrement
. éii iil\ aiidi ail p. uir
rel lie iiiort,
les illéthude-
el les e. iii,-,-|it|c .Ils d.
iU\ letliMi
dus
ardus
p.. m Mir
■s ..pera
nsKiCn n'est satislaii .U
det
ndi
enie-s avant piuiais agite
is les lll\stere-s Je l'ilUIXc
I esprit
'eu lui
me maiUlUe entièrement .le liases,
liiiitu.iis scr\ aiil de
It ..le de
.art
t ai l'ilraires, et .pie Us prétendues
une dialcelupie plus lUi
lilll
e pr.
.1. .iitairemeiil .diseui t
s iuia_;iiiie avMir peiielre Ijessciiee el la ualiMc
-lloses i isiides ..I
ihles. et eiinsldele s,,|| ,i-uvre
V e-e- Ils jiresseiil \ at; lie me ut ,| u e
lutuMls et e\|
lieati
l'se par ses siieeesseur-
a la iieiisce-
;li
ut de I
jablcs
aii\ iiielapli\ sieieiiT iur-
re^ev.ur, a I ai. le de iiulln
dm
l'.U pnielllcllt
e 1 1 1 1 1 1 u I
I.e succès de la se
lèse inipinssance. I
tMKOln.CtlON
ice leur apparaît
comme un crime de
e vrai uaturailist
-lecouvrir le>
plu
qui renisseut le
sique. seul ae
sible
e, .[ui se c.jntente de
s plie nom eues du monde
a nos
est
melapll\McieUs
inskle
un nie un
d.
de
uili\ ers iiiia»,'iiiaire
lent
llll
ilUel slicce-
le parlé d
es nietaplusiclens p
pu
dles
eeu\ ei se rapp(.rtiui à
astrol<.t;iit-s, selon la cou
les nuances t-iltre e-l
nie
evii/e
•t de I
eux la e
i|>ara;s(ii
le SI. lit pj
i \ erilaMt
set lu.n des p1h1,,.,u
inuie les astr. .lu.incs au
heureuse- .le 1 Ici Uillult/
i"U|..urs aussi tranchée
on illstlni;ue
en face de la
phil
Ue .lu lllcta
' en reii.uit
p. .iir la
pllll..si.|
marche t. i. .mphale e^es scie
pas,
ss Ilice 1
lUiliailie et idiiiet la i
l'riditer ,1e lei
a la s,
ainsi la pLue ,|ui h
ciellcc e e
revient dai
nre humaiiie I e nielaplusicu
JUll
■a siiperhe i,-iii.iauce .le
.lie
.1I.|IU
réalités
es sciences exactes
Cl. Mi
.lu
se b. iticlicr K
eiicnie aux
llellte. lle-el et
sieuiL-s vcriiii.aii
.lllUi
marée uii.utante de
, .laiis le \a
.lellees c\a
lerger la pliil, .s.,(,||.e speeiila
lent a pe
11. .11 ,1e 1
llie ,|Ue
exisIelK
le 1'
x.iutlsuie lue
u lUiill.le e\t.
propre e.Msteiice. IJu... d et.
iiaitri
un ( ,
llll.UI
'eateur Cl
pnvsleleu ail-l.ljs Su l lluei
nient i;roles,|iK- 1,1
di
la le.iht.
,k
uicepti.in, 1\,
le s simples s
un intrus
leur t.iiita
isie et
ai'.iif
es, ou sait a\t
Ph
osoplue
N
eanmi.iiis
Pl
iNsicieii pars.iu attitude
-■nces naturelles
.lu nioius la tjrande
portée
11 cl
essite p..ur 1.1
lerchc a ratt,i
'eprendr.
le devel
Oi'l'elUelIt .le
ei.iitrau-e-, laliHix ,
Ue lli.U-
inoïKie. a cha,|
pielerelernierl
.i^ecplusdacli.1
■•es predeeesseurs. Kant,
Il espuir d eciiai>pe-r à l.i
es \ eux et
:inienieiit
'|Ui menace Je
ti.u;
eiitu-re
le leu'i
t ric.ur et a
a la Uee.l
leUi
qn Ils liesil;,.|it i recoi;
niLiide I
eUl nient
le-
i>.lienne
ns,ii:,.a.
.•mine simp
ut cherche
^^niwmfs^
n'est qu"une des ftirnic
du criticiMiiv iniprtidu
qu .111 tDiil ccjiilc de n
a [iiiLir but de dévciiler
Ile -e lai^-^e pas déceiiira
iii.iuveaux qui se dresse
rappelle que " la NCieiic
dans le temps el dan
éleiidiie. iiili me dans -e
tins * I K. I-. \ lin Hacr
lalleinte du Inil liiial l
le naturaliste a sou ai
l«<ut Mpp(i-,ees SI. lit
travail du luelaplu ski
re-suudie les prijhlelue
lii.Hs d es|iril. le Uletap
que quand il a edllle
cllet recoudre ti.ll-. Us I
huinain, et dévoiler Uj
importe que son svstt-
que les concepts et lesd
a ses spéculations s.uei
s. .lutl.iils lu SI. lent cjne
m. .lUs soplusllquec et V
Il s'iinai;iiic avoir pci
les cllOSes \ islblcs ou
coinille lleUi'-Useluent :
le temps emportera ses
svsteiiie sera tut 1.11 ta
iiielaph\ sique Mais il
s\ steiues subir, .lit a Icui
Pareille c. .iis.ilalion
qu un de ces problèmes
lies expe-rilllelltales 1111]
sciciitili.pie, et par cela
ii:r ET sciKnce
du scepticisme en niétaph\sique ou
-til de Kant et ne peut conduire
/ra.lile le naturaliste, doiil la vie
les lois mvstérieuscs de la création,
;er par les dillicultés et les idistacles
it de\ant lui. .\u Contraire, cela lui
i est elernelle 611 sa source, illimitée
I espace, incommensurable eu son
1 pr.. bleuies, mais inaccessible eu ses
■t e est. heureux. ]iaree .pi .lulremei.t
.' ses recherches éq 11 1 v llldr.U t pour
ret de mort.
les méthodes et les ciic-plii uis de
■Il |)ius la corniction de poiuoir
les plus ardus p.ir de; pure» opera-
nsicien n'est satislaii de si.n ,iu\re
m s\stèuie complet qui siinble eu
■ robleiiies avant laiii.iis a,t;ile 1 esprit
Is les nusteres de luiiueis l'eu lui
lie iiLinque entièrement de bases,
.■limli..iis servant de pi.iut de .Up.irt
t arbitraires, et' que les preleii, lues
le produit d une dialeeli<|ue plus ou
iiloiitaireiilem obscure,
être rtssencc et l.i nature de toutes
iÉ\isib|es. et considère SI, Il ,i-ir,re
eheVec: Ils pressent \"a_i.'iiemriit .pie
Si.|utli>ns et e\plie.itl..ll-.. el que si.n
d renverse par ses successeurs en
se Console à la pcllsee cpie leurs
tour le même sort,.
.-chippe aux iiiétaph\ sicieiis- lors-
\ lent de recevoir, a laide de lUethu-
leccablcs. une solut|..ii purement
même detinltive
INTRODl.XTION
Le succès de la science leur apparaît comme un cnme de
I6se impuissance. I.e vrai naturaliste, qui se contente de
découvrir les lois qui régissent Its phénomènes du monde
phNsique, seul aceessible à nos stns. est considère far les
me.aphvsicens comme un ,..,/[,,/,■,-, „„ „,,,„, ^ans le
^l-".'ine des univers im.,4iiiaires,! crées par leur tanta.s.e et
qu ils evplorent depuis des milliers d'aiin
quel slicces.
lees, on sait avec
le parle d.
-les Uletaphvsiciens pu s et non des philosophes
celiv Cl se r.ipp,.rtailt à VeUV là c,
astrolo-ues, ,-elon i.t coinparaisoi
Les nuances entre eux ne sont p„
que 1 exi^elnueret de 1,1 \entabl
on distingue le philosophe du nieta
en lace de la m.irche triomphale d
ne s en reionit pas, il en reconnaît m iiioiiis l.mrande porte
pour la connaissance humaiiie'et .idiuei la u.-.e'ssite p,,ur h
philosophie de prohter de leurs |,cces H dieich
cher la p.hili.-i.phie a la scieiic
^luisilaplaeequi lui revient daiiL le développement de la
culture Inimain
m nie les asti, .nomes aux
heureuse ,ie Heluiholt,'
f louiours auss' tranchées
philosophie .Néanmoins
ajph\sicieu par s,, n attitude
es sciences naturelles ; si:
a rat ta
spere la .v,.ir rejirendre
e llleladu siciell. ,U1 Clil
sa superbe ii;n. .lancé de- réalités Ji
velleconqucle des sciences exactes,
se boucher les,, leiUes, il s'accroclie
encre aux s» sieiius \ crun.ulus ,1e
l-ichte, lle.^el et aUlres, .Lliis le >a
marée nu.nianle des scieiKes exa, tes ,
iileiKer la phil, .s.,ph,e spe.ulatue t.. ut entière lis se dou-
lelll a peine ,|ue le Kantisme melie lorceuient a la nega
don de lexislence du monde extérieur et a celle Je le'^u
pi-opre exisieuce. (ju, ., d et,.,iinan j qu ils hes.tent a rec.
n, litre lexislence d un (reateur d
ph\sicieiraiiglais .'iir t >liver l.od-e
ineiil grotes,|Ue 1,1 cnccptk.n K,i
t.l réalité a des simple. sj|i.,,i„,|,,,. Pes duinites
vluir
raire, laloux de
1 monde, .l'eh.lque Ii,.u-
prciere lernier les \ eux ci
a\ ec plus J aeliaruemcnt
ses prevleeesseurs, Kaut,
n esp..ir d'eeliapper a la
qui mcn.icc de sub-
e ce lU,.liae 1 ellllllent
lesiune Comme sinqile-
llntieiiiie qui chetehe à
>»^i?w?as?P*4^«*^p»!f!¥'s^»p^ '
■"'*«^5!KW*;
niL- en \u\.iiit Kiir cic
jinii-, .1 111 lui rtih
Il Lol.it.ihi cxcin
tic -ur l.i incl.ipli
; lL■■^ ^entMiuiii
dL-ILV >c
■ir 1.1 ilci ■ aiN L-
11^ iii.i'.hciii.il
Il illOII' ■lllU-lllcill IloUi ■
:l ll'c .l~ .llllu li~M Pli-. : 1
lie \ mil l'iriLiiiK .le II
.jiiL- le Cl piKi. pt lie II ni|
li|l\ -Jùli.^lC. .IIM \ ■- l'Ill-
l.lle-, .ie 11--. .11, ire .le-.
lell,.rt .ic
lllel.lplu -1
> ( elle iIll. .U\ ' Ile .|lll a l 'el IIU-. .1 1,1
I 1111 -leele lie leulu lelle^ e \ jieri lllell
liililellie^ e. .Illle lei.|lleli -- el.lll l'Il-^e
■ll.i.llll .le,- lllllilel-- li allllee-s
.lU le t 11 llKllle tellll
|.|u^ l.iri;e> ...ICI pull: pelle(rel' le iii\,~teie^ de l,i \ le ['-.i
L hi.iiK '.
mil", .■lu. 11. .11 .1 1,1
11.1 lier .Ul\
p. .iir but
de l.itl.i.- lie] 1.1 plill..
.le I a . 1-- llli.imille .le
-..|i illil.r.lc -.il.ll .iail-
llli --lei. le
I
ipiM ,r]-llle ,1e Kai
apri. .n-ihe li.ir l.i .lem
l.iee- ,i
de U
•1 ..l-i-l.iek
illli,iii~lei et
.[U lei !.i lliu..i'li.
1/.. .*;.
/. /.
I.li\ .\l
> du //
l:lih>ll' .li.ivellt
Itllie, 1 llMliiule. -.e nieller iu-.leiuelll
ut pu
ihle .1 être ee iiu'il e-t
ln..m|.lies ,1e 1
l seieiue
l.|lle elerilellelllellt vierlle Uiilis e~
le, .l.lUs ;,■ l.iln nnllie ,1e 1 ..lellle, .1
le ^ells l;L-.illletri.|lle. .l.ilU I
iruier 11. .ire ...luept .le^-pae
l-^ ,11 r. lillléll,|Ue, .111. pu 1 11. .11-
>nii.ii-^.iiK e .lu uuinbre, ,iiii-,i
■n .1 I
tre e.
m p iu..i..plr. et au 11.11 iii.il
l^l^.
ireumre p.ir
Ile ,K
111. Ml . .ii\ r.iLie a
phlj.f^.iplle- le --elll iuu\tli p,,-,-ll)K
ne .IIU.V ■-. lelKO ll.lllll
■Ik
luailro-. ,K- l.i pliil,.-..pliie ui.nleriie,
lllellle le- Ne.. Kailtell-. .il li ui.l ll,U Culullle Klclll, e^l
;r,i< e L ri-i- ,p
e tia\er-.e depui
.t. ni le plllieip
il ..h-,t,ule .| m -, .
:lil,l un j',ll.-il aIl,K lie lient I l relLlI.in. .|l selelllK|lU- .le let
nie -ell-i .rielle .U. ■
^Ir.llll .11 de I uni.
et de II.. 111 lire eearle ,lelinitl\ emcl.t
niatliLiualu ieii> .pu atl.npiaieiii iu-
Kpiil elpicni ,laii> I iiiipu—iLiliic .lui
.ii'i"H .lin
l.U 'Il iKAl! ^.Illll Si
Wi Ji.iai- -111
'.l.C . / .', /, hlt^ 1.112.
Ii.iucr. lueuie appru\imativeiiie(it, r(.rt;.iiie -eiix.irel dont
pereeptiuiis n,.u,, duiinciu i<ai .ib^Iraetion
de leuips et d'e-p.iee. .\u-..>i tûu
uppu^er une llieurie n.iti\i>te mi
pulhè-.e .1 pi ;,.' ( ,k' Kinl uiit-ll-. e.
siliilile.
■ UCein--
le^ elLurt^ a '- :■>. .ur
ipirujue Naiabié a I h\-
liuue dc\ ani
e'.'e '.mil.
Kaiii
n eiU d .iilleur^ reL..ui- .i
\,lllleiuellt i IL.rLe. peluLlIlt ,1e li
nu-, repre^eiit.ili..ii^ ,U- 1l-iiii"^ et
-ell^ LUlllUls * .\ll ni..v'ell ,1e llut
.pl.lllle ,1e llutre e^-pril
luuc-, année--, ,i e\!'h,iUe^
II-, uh|L-l
jeN e. .111 lui.
ll..|s ,U
(i. III lit II
llull-. et
la .|Ui- lii:' liL;uie. leur uraudeii
.ieleniiiUi-, uii ,leleriniiial'lc-,, „ \
lei|llelle- K,inl , , .111 iiieliee l.i par
i ree a 1 e--p.ue, l'iu^ lulll. p.lruil 1
V uu^ ; " I, e-.p.iie n',--,; .mire eh.. m
le--pllell..lil. lie-,U---fn-, e\terile>.
,llllull --uluei li\ i- ,ie la ^ell-lhllite i
!'./,..■ ' extérieure .\
rcuiii- .i.in-
el lelll-
.-llc^ s,. ni le-, p.iruk-i l'.ir
le ,ii- --ou utl\ rai;eVuii-a-
e-, i. .nelu-,;..i;>. n. •;!-- rele-
.'[ue la veille r.-r":-.- ,!ê luu-
II. .11 1.1/
lu >,uiet ..Il 11 i.iii.ieite ilètrc inin
.itii
eee-.aiieiiieiil preee.ler tu Ut
i. ,111 c réel
•Il pclll i ■ .iiipieii.lri
it ia I,
11. .nieller Nî.-rait .luinue ./ "/;,-.;.' d;i
a t.. nie per. ipli,.n in lie // ( liaei
lie-, pr..iu ,■ .il>. .n,i
illllllelll .ilU
■luiiie ,.iii-,e de i|..tr<
I 'il ,1 irait .|iie II- -ell^ il le euiieev.lit e. .luuie un -,-
.iu,|uel ■„■ r.ipiM.riiiii luiiiiN le, s,jii-.aih.ii, de-, ar.f.- --ens
W'eber el \ iei..i,ll . ( e ne-^t ijlK
^uli ep...iiu. ,lii iii,,,L- .le l..iuti(
^eiis el di
VtilLlble- rapp.'i t- en: re lexeita
ll.'U el.l.i pereepli. .11. .[ui le purta
rieur e. .nulle " l'IielluilieUe ,1c Hul
.liera la ■,iu'i.u-,iu..ii lurinulee Luii.litiunnclleinen! ,iue ••' i
lue l'U .ii<re-. -, etr
i espace a laid
e .sell-. cMenic
lluUs UulW re'
-1
■'.tull-
u: -lU.e Vei :
.11-, luinm-
IVltc
ilels.
rlic
ne ,l,-> .11!.
Kl lit l'e
repre--eiit.r
ii;iiuraiice >
me 111 eut ,ie-
.1 CiiilsiJéri
e e~pril ». et .;
JiEU Kl SCIEXCH
lornie-. Je iiiii> les y\\
l'L-'prit // De iiunie, I
sens mleriie. c'est-à-ji
nos états intericnrs «
lion pl)\si..|,,L;i,|ne di
l'iilirrait il elle c|iu-sti(
iliianJ nous lovuiiy la
tii/riiJoii', la durée et
Kant n'a d ailleurs \
tance initialede l'cxper
notre ci.nnaissanee cor
début lIu premier par,
/>/(/■,■ . " Nulle connais-
dans le teinp^, etparel
le passajic en ijuesii.iii
apprennent la réalité
valeur til>|ecti\e a le;,
jamais t.puiber si.us nos
est toujours sensiiriellc
dans l'expérience un ni
le temp^ /. Dans ses «
réalité de l'espace et di
iiiiide de la connaissan
\aiit ces lif^nes, -,e ra
conception d Aristote t
l.e-> citation-, i|ui préi
lait, trop s'oiu eut negl
même n'a considéré s
Comme un expédient
encore dans 1 eiitance
aucune explication v.ial
notre connaissance cou
suit pas qu elle proced
il pourrait bien se taire
par l'expérience lut un
;noinènes sont donnés .i priori dans
; temps est pour Kant" la forme du
e de rinluition de nous-mêmes et de
Cl encore, ignorance de la --ignilica-
s Jonctions sensorielle^; ('ommeiit
m d'une intuition intérieure du temps
ilesse des mou\emenl-, et que nous
rvthine des sons ?
1 mais desavoué Irancliement rini[ior-
lence » Il n'\' a aucun douteque toute
imelice par 1 expérience*; tel est le
igraphe de la Cnth/iu' ./,■ I.i r.iisoii
anceen nous ne précède l'expérience
e tout commence/^ : ainsi se terniiiu-
" Des l.)r--. nos alhrmation-. nous
-■mpirique du temps, c'est a-dire sa
ard de tou-- le-, ob|el-. ipii peinent
sens l.t Comme notre aperceptiou
i^oLis Ile poin oiis lamais rencontrer
let qui ne soit pa-^ Conditionne par
Hxplicatioiis ,y, il déclare ; '< (iette
tempH laissed'ailleur-- intacte la cer-
:c par I expérience. „ Kant, en écri-
-ocliait, piiur ne pas dire adoptait la
1 de /laiiit-'l lioma-- il'.Xquin.
èdciit ont pour<ib|et de rappeler ce
Kc p.ir les Kanlien--, que K.int lui-
n hypothèse de l'apriorisme que
lécessaire, la phvsi(doi>ie des sen-,,
i 1 époque, ne [loiuant lui fournir
ledit temps et de l'espace. "Si toute
meiiceavec l'expérience, il ne s'en
■ tout entière de l'expérience (iar
:iue même la connaissance acquise
compose de ce >.|ui iious vient des
IS'TKODrcTION
impressions et de ce que produit notre propre laculte de
connaître (simplement stuiuilce' (\ir les impressions senso-
riellcsi, élément aïoiité que iious'iie discernons de l'élément
londamental v|Ue lorsqu'une loiinue pratique nous v a rendus
attcntils et nous a appris a laire La distinction „
D ailleurs Kant n'a-t il pas déclare autrefois": v l'.uite
Connaissance des obiets proced.uit uniquement de la raison
pure ou de l'uitelligeiice pure li'esl autre chose qu'ap'.M-
reiice illusoire, el c'est dans l'exf-erienec seule que réside la
Vente -•/
(-'est seulement .[uaud il cher>.lie a formuler les concepts
d espace et de temps ipic les conl radlctioiis éclatent et que
la
Miliision > oinmence
seiitatioii i,.uteiuie dans un luynbre inlini de Jitlercntcs
represeiil.itious possibles idout elle constitue le signe com-
mum . , pi elle contient p.ircouseJiucnt en elle; mais aucun
"■""""' ' ' lie peut etri pense comme contenant
représentations, (,'esi pourtant ainsi
" I espace est représente comme une grandeur intime
donnée ( )r, tout concept doit étrl; pensé comme une repré-
sentation i,.uteiuie dans un luynbre inlini de Jitlerentc
rcj
Concei't, coiunie tel, ne peut etri pense comme contenant
un nombre iiilini de représentations, (,'esi pourtant ainsi
que l'espave est pense car toulesl les parties Je l'espace a
1 inliiii sont en même temps . D,>ik la représentation ori-
ginaire de l'espace est une intuituim .i f'noi t et iion un Con-
cept. // I iiKoirectioii logique dei tout ce raisonnement, et
plus paiti. iiliêieiiient de la concliusioii. s.iute .ui\ ieiix la
cit.itjou sui\.inte, également emphiutee a la O .'.".//i.- ./.■ .'.i
r.n^i'ii ['Ui,\ est de nature a nioutrjer i(Uel chaos s,. ut suscep
tibles du-pioduire des concepts détiourvus de toute base sen-
sible ou positive : " l.',eu\re de notre raison consiste en
urande p.irtje. pour ne pas dire principalement, a anaKs^r
lesconcc|)|s que nous p.issedoiis deia desi.biets. 11 en resuite
une toule de connaissances qui, tout en n'étant pas autre
chose ipie lie; explications et des éclaircissements de ce qui
était de|a Contenu i(Uoi, pie vi une la,,-on conlusc dans nos
concepts, n en sont pas moins ,i[ipreciées comme des con-
lorme-. de Imu-, les p
l't-s|)ril // I)l- iiiciiie,
sens intt-riR-, c'esl-à-J
nus états iiiterieiirs u
lion pll\ sh.|,,t;ii|UC i
pourrait il elrc qnesti
iiuaiid nous vnxniis la
, iili-iulifiis la durée et
Kant n a d ailleurs
tance initiale de l'expi
notre Lc. Il naissance c<
deliut du l'reinier pa
/i/(/i' . " Nulle connai
dan-, le teinp-, et par e
le passage en quesli..
apprennent la realité
valeur uhiective a W
jamais tomber suus m;
est ti)U|ours sensciriell
dans l'expérience un (
le leinjis // iJans ses
réalité de l'ospacc et t
tiiiidc de la cc)nnais-.a
vaut ces lignes, se rap
conception d Aristute
Les cilatn .^^ i|ui [irc
lait, trop souvent nég
inéiue n'a considéré
connne un expédient
encore dans 1 eiitance
aucune explication \ i,
notre connaissance co
suit pas i]U elle proce
il pourrait bien se lain
par lexperience lût u
IJIËU KT siaHNOK
enonieiies sont dcuinés..» priori dans
le tetn|is est pour Kant " la lorme du
re de l'intuition de nous-mêmes et de
Ici enc(ire, ignorance de |j signilica-
es lonctions sensorielles I (■oniiueiit
>n d'une intuition intérieure du tem|)s
vitesse des mouNemeuts et que nous
le r\ thme des sons ?
amais desavoué Irancliement l'impor-
rience " il ii'v a aucun doule iiue toute
mmelice par fexpérielice * ; tel est le
-agraphe de la i.'ri/i,/iu- Jr l.i r.iiMu/
sauce en nous ne précède l'expérience
lie tout commence // ; ainsi se termine
" Des lors, nos allirinatioiis noiis
mpirique du temps, c'est a-diie sa
gard de tous les objets qui peU\ellt
s sens. I.t comme notre .ipcrceptioii
-, i;ouB ne pouvons laniais rencontrer
blet qui ne soit pas c.iiiditioniie par
" t-.xplicatious //, il déclare : "■ C^ctle
Il temps laisse d'ailleurs intacte la cer-
ice p.ir I expérience. /, Kant. en écri-
nrocliait, pour ne pas dire ailoptait la
ei de S.iiiit-'l liomas d'.Xqiiin.
vedeiit.oiit pour objet de rafipeler ce
lige par les Kanlien>, que Kant lui-
son lijpothése de l'apriorisme que
néces^.iire, la pliysudogie des sens,
a [époque, ne pouvant lui louriiir
ble du temps et de l'espace. " Si toute
nmemteavec l'expérience, il ne s'en-
ie tout entière de l'expérience ('ar
que même la connaissance acquise
1 composé. de ce qui lioUs \ieiitdes
IS'TRODl'i Ttos 7 •
impressions et de ce que prodliit notre propre faculté de
connaître (simplement stimuléd par les impressions seiiso-
riellcsi, élément ajoute que nous ue discernons de l'eleinent
londainental que lorsqu'une longue pratique iioUs v .i rendus
;itteiitils et nous a appris a taire ila distinction. »
D'ailleurs Kant n'a-t il pas déclare .lutrctois : y l'oute
coun.iissance des objets procéd.'mt uiijquement de la raison
pure ou de rintelligcnce pure n'est autre chose qu'api'.i
rclice illusoire, et c'est dans lexperieiiee seule que réside la
vérité /,
( . est seiilLMiicnl qu.iiid il clier^ lie a tonnuler l'es coiice[>ts
d espace e.l de temps que les coiitradlctloiis éclatent et que
la conlusion commence .
" I espace est représente coijiinie une grandeur intnue
donnée ( )i ,-tout Concept doit être pense comme une repré-
sentation contenue dans un urimbre intini de dillérentes
represt iit,itioiis possibles (dont Jlle constitue le signe com-
jnum , qu'elle contient p.ir conséquent en elle ; mais aucun
concefit. coiiiuie tel, ne peut être pense domine contenant
un uonibie iiihiii de representallions. ( /est pourtant ainsi
que 1 esp.u e est j'ellse c.ir toutes les parties de l'espace a
1 inliiii seuil en même temjis . Donc l.i représentation on
ginaire de I espace est une intuit|oii j prifii et lion un con-
cept, u I incorrection logique dp tout ce r.iisonnenieiit, et
plus [larticuliêiemeiit de la conclusion, s.iiite aux veux, la
cit.itioii siiiv.inle, également emjiruntee a l.i (.'' /.".ji/i.- ./.■ .'.t
j.u\iii: paie, est vie nature a nu mirer quel chaos son! suscep-
tibles de produire des concepts depourvusde toute base sen-
sible ou positive ; " l.,fuvre df notre raison consiste ei\
urande (i.iitie: pour ne pas dire -priiicipaleinent, .i analvser
les concepts i[Ue nous possédons |le|a des objets. 11 en résulte
une loule de connaissances quij tout en n'étant pis autre
chose que des explications et de-j éclaircissements de ce qui
était dcja contenu quoique d uiie tason coiiluse • dans in.is
concepts, n'en sont pas moins a ipreciées comme des cou-
' ?^^"»wis-
n.lls^ances iiouvclks.
c iiiii coiicerjie leur iiiatiéro et iLiirconu-nu. cllcr^ ik- lassent
qu'expliciuer nos on
instant une \ énlable
Mire el utile, la rai-^d
sans s'en apeieeNnii
espèce ; et elle a|<.Uli
étraneeies et ,; pi /,'/■
par\ cnue et ^aiis .pi i
ti.iii ', „
■ (.iiinbleli .lllleiellti
basée, m ill -m .les "
etr.in^ele-^ .lll\ ll'.th
pi lui I //, mai-- -îin lie'
ecplh.ns préciser ! l
peu ^llUele^ niellle, t(
..ml > eltoiec il edilu
.1 .li>ni pii--.iiiii.
; Il le H K.lht '^i
1.
I liM
apre~ .ivwu
.ie K,
I..|]l:Ic
I l.le.lIlMIle .le lu rk.
« >n Ile peut [iletell
,tloll^ .|ll.lh,l. .iall^ 1.1
" la 1..11I. |iiii--aiu e
.ivee ..ii^ilell
I).
lierai ei ■iiniieiil n.iit i
,1 K
Je ,H
J|.
.iiu ,ii )jlli.ii^ Il ^ ••iii,i^e A
1 iiMi...iti..h Ac
iv.iil Kinl
niri: IT --I.IKNCE
■t Lfl.l .l'a lires leur fi.r
me. qucii.iue, en
pts, «.ail'
les el.
;irf;ir < ^e procède lulir
iii naissance .; />/ /iw, d une apiMicalu m
dupe de cette illus
.IK^e aller
dé>. assertion^ dune t..iit .iiitre
ne-, dev II. ituiu-.
iiisi aux c.uicepts
sans iiu .iii >aene ciiiiueiu elle
\ e-t
1 MUiee iiieine a se ["■>•
^.u'in.ii-. 1.1 ii.ili
■issertilui-^ liirtixes «. " .
• r c e 1 1 ■ ■ . I 11 e ■■
Il .le I e^[iace
.llll'l.telllellt
II> all(i.|Uelles elK-^ -"lil a|..llli
lltescis e\
ences sen--ll
■I min-
uit ariiluielle ilu-.
dic.itiolis .1 I .11. le .k--
Ile
rime I \ p. illiese sur .lu -.il'ie im iii\ .ml ,
Ul.llt .lu llllell\ \i.|I llh.mil.- .pie le
•llll.lllèr p.irl.llt me 111. . .U\ el t. lUellt .le
It Ce
bal a
liiL^einenl e~l li..p m iii~
.M.,
-litre H..bbe> et I I llliu p.ilU
ab..ulir II iial.-iiieiit. .ipre- un brel sep.iir elic' ^ wdeiib. u'l;,
urn triip
it elaii |..ie. .le re
U\ i m .1 .le^ .11 11 lu e lie di,; k'Ltl.pie p. .m ina^.pier -i ~ e\ .
le 1)|.
le p.irl.lltc --ilU .. 1 lU .le^ . . .ni, K -
élu. le. 1.11 ilebule |.ar j|..rilier
1 // et .pli. 11 |>|. ... l.lliu . llMIIte
I .le l.l mai lel e el |e \ . .11- lliiUl -
er> ■ // le luaii.iUe .1., IraïKJiise
;i/t«. \ t-rnitnft. I
.Il-J.i
.M....UI--..1.U
i.L an .1. ) .il. u- .L' .j...- j.-
I u V. m, .1.- !..
daiis la CdUstructiiiii de
ressort dé)à ave
c evldelKe de
jfacesde
la iireiuiere et de la se
./.•• ..I i.W'i'ii pni
l'.ic^ueil l'ii
pt-. d'espace el de teinp-^
la seule c..mp.irai--on dc--
llde edllU'U .le la
(.rtliiiiii
plillôl troKl t.iit a Li première
.litioii, surtout,;! vau>
es luntiueiil^ se\ ert
uiet.ipln ^l.pie, déconcerta kailt et le décida
nuu\elle prel.i
>our les edlt
lle-ci : " 1 ^sa\ on-, un p
irfu --i. eu adiue'.'.ant .pie le>
ib|et-. doivent -e .linuer sclui| notre counai^-'ance, iioun
a meta
n avancerons pa^ ilavantai^e avt
et encore
.[Ul re\ieiil .lu meule, lexpeileiue qU! --cu
eouiiailre le~ ..l>|ets doUU
-\lll~l le* ol>|et-. réels dau
is 1 • m.iuae Lii^i
- ada[itei au\ coiuepl-. teK .pu
le-< lorniuler ' \..ila .pu r.ippell
l el.l lie concorde
Je lle.,;,l
p.ilir le- Lut- ! // tJUel m..iid.
bi.'.ll 1 e-1 u. .11-. d. .llllel .ut ielir cr^atl.iU -eloll 1
K lut «I Ile lloil- \ eu. .lis de Citer
.uni. .1 i^nic .
K.ml e-t .1 ail eiir-aii-s-i \ieu\ >pie ;a lu
los..plue e!lc-mellle 11 u c-.t p.l'
.pie le- -c.>la-ll.|lles .iNau'Ut 1 lia
pre— lou ;m«,.'
.1 .11/1.- I iiiii. a
a rlaloii ^eulenuut le- .'.','.•..
notl..|r- ueller.lles lullllliueul 1
Kaiil .pu, lui. ne le- apj.ll.piv
e^li.Ue el Ur v.iu-allte, MlU.IlteU ce!. i I exemple ^.c
ciunp.itrii lie
la-ll.lUe Je. 111 l)uu
.lier., lie, lui .111 — 1. .1 Cj.il.. il 1er I a]
n..u- \ c lion- .le ..lier montrent
' 'u Ile .ielIUll.lUe .. e .|u'ollpt)u! reUll'l.lCrr
I. l 'il -.lit lll
. K .1.1 éijii Iv til- d
'p- -.ipr
1 i;t Cm,
rte- -ur la
.1 écrire une
on-, -iluau
te- N.
le- problème-, .ie 1
ip..-,e qi
le- . 'blet- oU,
nou-< tait
i.ip;er..iit a m,.- concepts
biectit douent
le luel.ipln -uicii -.c l'iail a
tr.ip les !amcU-e- p:
.1- n e^' le- lail-r 1 -11
e\tr.T\ .ii;aiU .ple!-
ile
bleu elo'.^Ue. au lolKl. de'Ce
blinde de .le- .:uer par l'ex-
1 -eu-. ,pi Al -: .;.- lîti ibiLut
,.;.i i - ap.pli.pi.iieill a des
lu- 11. .iiibi eii-es .pu ^lu-
u .1U\ llotloU". J.
|)uu^ >L..lt. Ix.uit
rionsuic a\ et
lie .le l'i niliiri-me I e- p
,1-- ic- .1 u
'1'
.1 -uc
Cela est au—
vrai poiii les s\-,tc
tt les iiisliluiioiis I a J
pli\siuli)gi<|ilc Jii 1.1 )\riiU
•^■nus plu los(iphii| lies CHU
iiKiIlicmati
t<--IIlpS. 1.1 CspJi
-t de
pniuipalcv sur los,ni|ell
plu i
I),
IIIS CCS LC.lKlltll.ll
talc de K:i
1111 L-I de t.
celte (|lieslii,ii, le sa
des [in.^rès de la sele
\ eiiir de I anareliie
Lnlufii,- ,/, l.i /.,/<,,,,
l'KUr recdiiulier la
avilit, eomiiie le pliilos(jplie au
la (.
I ih
./,■ /.
l'iLlIe raison .lellc
li-llll 1 1,'IIC
;.ii/uii->
"p/n
rt.ip/.
■Il h'l..llll /,■
eoiiiballic une .
tiilll pliluic-^ ./,■
. trii
la .pieslK. Il capitale dt sa Ciiti./ii
tlijUc
:s .; pi
' ; --C.I1I il
ippin ant
eertiliidc
P'.,1k lup
■llleiile .riilliriilerla
/"
,/.(//
//.//;,
/.(
iiussiliiliK d aiiires
pr^'i'i, Kaiil panait di
qu il eiaii iiiipi.ssililc
e\I)eneiK
-sans \aleiir 11 rendait
iinposii
l.k
ih
pour les religions
ieiiicpiistralKui du li.netioniieinent
le connue organe de deux sei
uels nous devons m
■pts
ii'inihre, sape detniitiveinent les lut
les repose
la C
liti./iir .1,- l.i ,.11
siilv
iisler .
ul
u-iu reeapi
e sa llleori
Loiuiaissaiiee
'iirant
leiioiidre
doit
1 pense-e luiiuai
es tentatives
a\
Ilell iiuc le soU
Ile, iTeee par s.i
Jes Neu-K
lllticlis
la se
ee la philosophie sur la I
piirr ont dorena\ant perd
u
/!■/// pliu.'i pi.'tiln ./,• /,
lp> It'USIIl,
./,■ K.int pi'iu
'ji-w,//(,-:, qui fut 3, iiiiu-st.'
plu-. .;'/.( //./s mathrin.U
' /.-liiLi-
imiipr.- .1
l.i phil.'-
'. iriis ,7 //.;//(
pi i'ii.li ,■ po
• ili.'ii , unir.
p'hin
iriwi
liy.ihlc. \.
■. iriiJ.li/
Il eltct, a
es jugements s\ ntlie-
.aiit a re
posibjlc
son ajujiineiilalion sur la prétendue
lidu alllnnau-
les d iMlellde, il
Ile s est lias
slhilitéd
ipll
es ingellienls s\ ntheli
'Il >Ulll..
III
us ei^alelllent ./.
III'
/,■
Il souitell.llll.
autre part, liiiad-
li;einents
iiiaU Ihiue-
jUe eeuv
proposition, pi
de dedii
es |ilL;eiileiits .(
Us erronée encore,
re des idées générales de
/|.'v/iv/,./7 eiaicnt pour lui
ainsi toute science positu e e.xacle
c la Connaissance, dé\eloppée par
INTKODUCriON
lui da
la Cl tlii/iii' Je l
pure, péchait ainsi par les
deii.x/'.i.srs.dont l'égale fragilité rist démontrée actuelle
Ces
i|iieli|iies citatii.iiisoiit sullisaiiinient montre i
l^en siiuere était Kant en déleiidant sa proposition de l'i
lugeinents -i p.'ïleri,
tlutUUl, IMOVoill
possibilité des
il
connaissait trop
lien la gi.iiivle e\
dan
les scienct
exactes par (.o(>crnic. tialllee et New
sérieuseinent de la réalité complète des
ll.iture el lie l.i portée décisive de l'ol'se
pour
outt
phénol
rvation
■t de r.
perienc;
lUssI h
leii en astronomie nueii plnsivjue et dan
les sciences naturelles le remiijlacciuent de la réalité d
"h;,-ls
exisl.int par
/./ Ji«
n était un'iiii artitice de di.decti
J.i- J>,
ne.
destine a
plausible iiiu- ari;umeiitation trtts serrée et très
reiKlre plUs
précise eu
app.ireiK c mais ou les ■
.ph
s\ llogisines Ses .
chels-d ,1
;lebr
es antiiioi
jebloi
ijnes SI
Uissants'simiilaient les
'lit, en etVet. de \ rais
ii\ le
lc genre de dia!ectK|Ue
l'.ii l.iit de sophismes, Kant arnlve prcs^pie a la hauteur de
/cnpii I oui eu citant sur ce su.blil dialectu
se\ere de l'Iilo
ICI! le lugemeiit
sophiste leiiierairc
son art, ileniontre
r d
■•ition ipi il cherche ensuite a fetiiter
es arguineiits lactices
aussi declslls
lU'IlUe-
M
Us
Kant n a pas he
cl .irt de delendrle
la thèse et I aillilliese,
nieihe maestri.i .lUe /
K.lllt était
liiies
dul,
ingage. en général 1 ar
pletelllelit delailt. .Ses pi
irascs il)
souvent à de
ssein, ueiiecs par la
des arguments
ite -a 1 Huiler par ses aiiti-
a\ ec autant de \ irtuo^ite
loin de le manier .iv ec la
uplcsse, la précision et la
td
écrire lui laisaieiit
itortill
brc
ees, emnrouillecs
eiisee tortueuse et imine-
ev liaient soign'eiisemcut les mots v^ui auraient i»
trah
/c
ir "sci ulcc^
de d
erriere la tett
lin me la pUipart des
leiiseiirs grecs, se souciait
l'orl peu de la recherche de I
nie l\
'iir lui, la ptiilos
D.,ilL
l'L.i..
lu
,.ill.,ii
prc
ilujiii.ii.viac de I*yih i»;»-ic cl l
M-'U\^-iit ciuic L- rc
jjiuu itu>u IV. ar Su
,pe.l IH
était plubtot lin art dt
plaider le pniir et le
l'esprit d'un scepticiii
liont il sait d'avanci
Tout autre fut la psvi
ardent de >.ii^ir la vi
l'ai dit pkii haut, enl
i(uide que la r.usnii.
t >r, la raiMiii scult
vérité un ^uide illusi
\ ers U- but de ses idt
même de ses appétits
inaccessibles nu irôn
cloisnn Sépare la raisn
toujours s\ nmiNiiie de
aisément dans l'ergol
base réelle, saisissais
licieii, ci)iiuiie le met
sitloii taus-,e, aliMiitil 1
i-t cela d autant plus
|ihls Icjgi.pie i.orsqu i
iliese par le ])ur rai-(j
lurmulaiil qn en realit
lune et laulre ( .est
les antiniiinus de Kan
posslbilile, .pii ctait p
p.mr l'api «diclii- Ile des
Kanl était |iluliil u
suphe iiitt'IL\ liirl . 0\-
cst d essence puremeii
laisse dominer dan- st
désirs et les pasiions.
subtilités de la diaiec
ne choisit pour le Ira
elTectiveuient déiiiou
DlEl' Ht SCIENCK
iouer avec des sophi-nie- habiles, de
contre avec la même maitrise, avec
indilïérent aux conclusion-, finales,
ne pas pouvoir garantir la |U-tesse.
hologie de Kant. Toriure par le désir
;rilé absolue, il évoluait, comme le
'e Hobbes et Berkelc\ , n ,i\.int pour
con-ititue pour la rechercli..- de la
lire, assez apte à orienter le pen-eur
es préconçues, de ses seiiliinent-, et
et intérêts, plutôt que ver- le- cimes
e la Vérité \oilee- 1 ne bien mince
11 lie la déraison. /(■.!/■-. •'/;/,■; ne-t pas
pcn^i'r iii-^ti'. le raisonncuienl w^ioue
âge quand la discussion manque de
L.- et démontable le iiict.i m itliema-
ph\sicieii. quant il part d une propo
italcineiit a des conclusions liisurdcs
iirenient L|ue son raisoniieiiidii! était
s'agit de défendre la iliisc (.1 1 aiiti-
nemeiil. on oublie d habiiiidc en les
j elles peinent être eiialelluni !. Hisses
ce qui est arrive trop s,iii\L'nt dans
t. Il ne pre\ ()\ lit laniais iiiir Iroisk nie
lurtaiii la \raie, comme pire\Linple
axioinbs d luiclide.
1 phillisophe >/,■/-.(/-.''/ .piiin pliilo-
l'entendement J,r \\r-Lii!.! seul
t spirituelle Tandis .pic la raison se
. jugemeiiis par les sentiments, les
et s'ilispirc trop siiip.ent des pures
lique. reiileiideinent. au contraire,
ail intcllecluel que des propo-iiions
rées ùiu démontrables par des faits
INÏRoDVi T(OX I)
réels ou logiquement induits par la voie exi>érimentale.
C'est en elTet le desaccord entre jla raison et 1 entendement
qui sert de véritable point de départ pour la plupart des
antinomies de Kant et nullement, comme il le déclare, une
lutte de la raison contre elle-mÈme. (.'est tout arbiiraire-
ment que le plus s(juvcnt il sej prononce en faveur de. la
raison liiiie ieiitciidemeiu ei la raison la victoire devrait,
en principe, rexeiiir toujours à Ijenteiidement.
I es ,utes des .inimaux conduitl par 1 instinct soiupres.iue
tou|oiir- uis' .nnables. même quand ils nes,inl pas purement
réilexe-. in.iJs cindes par le chou. (^e qui manque aux ani-
maux. . esi 1 entendement, qui est une pure manilestation
de l'esprii. el ii..n l.i laculte vie raisonner, le charbonnier
du cni peut -ou\enragir plus raisonnablement qu un pro-
fesseur de niet.iphvsique: il peul même avoir iaison contre
lui dans tenailles questions de îa vie pratique l est pour
quoi Kanl .. bien !ait d'écrire unt Cii.'i.ftu- ,/V l.i i.!/.s,-h pr.i
tique ; mais la " ( .ritiqiie de renJeiKlemcnt />«»• // kntik d:>
)\-iin-i: l'.'.v.'.i'.'j'i'v ■ elait plus iniii.iuec que la Critique de la
raison pi
ealilc
». . qui 11 existe p.is en u
La \erité ne ressort ni de la lijtte entre la raison et 1 intel-
ligence. 111 des antinomies de la raison Seul j'aceord entre
l'entendemenl cl la raison coUvluit a la connaissance de la
vérité, par.e qu un tel accord d|dt forcement résulter de la
predoiuiiian^e de rinlelligence
sur les eiuraïuemenis de la
vie afieaoe .1 du triomphe de la logique pure sur la sophis-
tique
l'oiir expliquer, ou plutôt pour excuser I anarchie Ucv
svsteuies innombrables et contradictoires de la philosophie
actuelle, anarchie si nuisible a la cousideralicm et à 1 in-
lluelice légitime >pil lui reviennent dans le de\ eloppemcUl
de la pensée humaine, les phiK.sophes modernes essavent,
depuis quel-iue temps, de class.j;r en catégories les créateurs
de ces -vsleiues. selon la diveMte de leurs facultés OU de
leurs caracieres la plus récent*' de ces classiticaiioiis appar-
M
tient à William Jatn
matérialiste pluralistt
catégories mn dirait
tendres \tciid,r-mniAi.
iiiiiuh\L. Celte divisu
des tempéraments des
C'est ponrtant nne c
k<ir juger la valeur di
phiques qui, depuis de
la vie intellectuelle di
ph\siûl(>gii|ues ou pat
dont lenseinhle coiist
11 serait inlinimenl |
ijualités d'esprit, en
phcn et rationaliste;
riiumas d Aquin, Ail
Leibniz sont les plus b
listes. Leurs svstenics
existant et la valeur dt
leurs dcjclrines se laiss
quêtes les plus récen
ratiDiialisles, on peut
Pascal et Kant. Leurs s\
ou ./ priori tl se rappro
litll. des SColar^tiijUeS I
rience sensible et nien
nous entourent, souvc
sonnalité. Leurs duclr
liables avec les donnée
liiiue lait crfuiler Icurt
lènies philosophiques
I . M..J ! d'.iiiiuin? eu vuig.
ll^'.^., l.olllhn.5... le h.iiJ.iltiil
uni piuniis à leurs .uni.- Je 1
leur dtcts-
DIEU ET SCIENCE
ts Ce pragmatiste, — ou plutôt ce
— divise les philosophes en deux
iresque en deux trials) ; les esprits
il), et les esprits endurcis ftoiigh-
n .\L lames la motive par la duersité
philosophes.
ntreprise bien téméraire (|ue de \(iu-
:s grands créateurs d'écoles phiJoso-
s siècles, ont laissé leur empreinte sur
:s hommes, par les seules propriétés
Illogiques de leur système nerveux,
tue le fond du tempérament,
lus logii[ue de les classer, selon leurs
intellectualistes i Vcrst.iii,lrsf<hilosi>-
I \\rmiiirsp/ii/„s,ip/u-i.', .\ristote,
lert le (ir.ind, Locke, Descartes et
iUants représentants des iiitellectua-
reconnaissenl la réalité du monde
1 expérience dans la connaissance ;
;nt aisément concilier avec les coli-
ns des sciences naturelles, (iomme
.lier l'iatoii, Duiis .Scotl, Berkeley,
stenicj reposent sur des idées innées
-henten partie de V iiinv,rs<il:.i jiitc
s méc|inn,iissent la \ .ileiir de 1 ex]ié-
la realite des objets extérieurs qui
lit même Celle de leur propre per
nés scjnt presque toujours inconci
de la science ; tout prcjgres scienti-
cliàteaux de cartes, érigés en sys-
ir la pure specuhition^
Ile sjiir
.le 1.1 Cl
rur .ipp.i
le. ^uninie une .lulie ,clehlile in.lté-
tinni.-ile .tiillii,.p„lugic . lous le.-. Jeux
1 .litre a J.ite li.xe iiiieiiiue (euips .ipre»
INTRODUCTION i :,
Tel est, dès maintenant, le sort inévitable du Kantisme et
même du Néo Kantisme.
C'est la philosophie, et non la science, qui traverse
actuellement une crise périlleuse La tendance des philo-
sophes à chercher leur salut dans un rattachement .uix
sciences naturelles est légitime, hiais elle né peut aboutir
qu'a la coiiditioird'une rupture complète avec l'apnonsme
de Kant. t. est à la physiologie triojmphatrice, qui a démontré
le néant de l'apriorisme de Kant, de faire le premier pas
vers un rapprochement avec la, philosophie : mais c'est
aussi à elle qu'appartient le Jh>i\\Jn terrain sur lequel doit
s'opérer la reconciliation entre les deux plus hautes branches
et la connaissance humaine.
ts représentauN de la phi-
Ln Allemagne, les plus éminen
rTosophic moderne commencent- k -e rendre compte de la
nécessité de débla\er entièrement le terrain des derniers
vestigesdu Kantisme. Seuls, queli|ues Xéo-Kantieiis impenr-
lents et queK[Ue-< dilettantes ed metaph\ >iqiie résistent
encore 11-. prétendent même aux hauie-, loiictioiis vie \udc^
suprêmes de toute science, qui ileur appartieiuiriient de
droit, comme théoriciens de la ciihnai~sance par la i;i.ice de
Kant ! .Viissi se t.irguent-ils à tort de leur prétendue victoire
sur le physiologiste Helmhollz, dajiis la polémique relative a
I origine de la géométrie eucl'dieilne .l'ai deia tau obser. cr
ailleurs' qiu-, dan^ cette pidemiquie, ce n'est pas le plnsi..!o-
giste, mai- le mathématicien Hilmholtz qui cherchait a
acquérir pour la géométrie non eu|:lidicnne les mêmes droits
'.'origine que ceux qu oa attribue, à la geoiuétrie d laiclide
II Se trouv.iit ainsi dans la laus^e .Position d'avon- refuse la
certitude apodictique aux axiomes d'Kuclide. tout en et.int
d.ms 1 impossibilité de prcuixer l't^-igine empirique de Uos
represenUtions d'un espace a trois dimension-- Dans cette
• imai;!-
utte entre la metaphy-ique de KJnt et la geoineiric
. />..'. (>/,/.'.!Ai; ■ ■
I \'fU l.i l'iel.ue vie nuul v.u
1 ilpl Ivn-Ule vie k.iul .,
I i I;
i6
«EL' El SCIF.NXE
iKiire non euclidienne,
leur tort La ilénion>tr
axionie>. cuiniuc iidus
clôt d iiiiL nianiire déli
l.,,«le
(.'.<j n'étaient pa^ d ail
ralistes seuU .|ni. dè> K
cunibattaieiil a . ee acli
c'étaient ciicwi c iiiwiib
Scliopenli iner. lienecl
e\|i(i~iin5 phi- loin ' ï =.
lion -\ nthcti.|iie de la
lois du m'/iivcment d
années a peine, le Ne
prote>=eiir ,1 uliii;, H.iiini
intéfiralcnient. dan-> s(i
dc> principales doctrin
xvni ^icclc par le ceK
psychiilogie. ( !ctte ret
dérahlcmcin par ses
accord avec 1er- donnée
niathémalhiuc- loul
ain-ri démoli pies>iue p
manu a complète pour
anal\ ~e detadlee et tré
l'e-pacc et du temps V i.
retentit eiiciire de teinf
plus que des echos alla
t^e 11 est pas selllemt
Kantisme est inconcilia
1 infaillible critérium d
buant aux jugements s\
I. jLiiiii- li.iiuii.ii.ii Aiitt-l
2 Du iiiLiiic : .' Voa Cyc
-s deu.x partisse trouvaient être dans
lion de Torij^ine sensorielle de ces
r \ errons dans les chapitres sui\ants,
litiNc le debal au piolit de la plivsiô-
eurs Us mclhenialiciens el les naui-
debut cl liur.mt tout le siècle jnisse.
rnement les erreurs du Kantisme :
e de philosoplies, coiniiie llerbart,
e et surtout I eberweg, ilont nous
cil I, l'essai génial d'une coiistruc-
géouiétrie euclidienne a l'aide des
es COI ps -olidés. Il \- a .|uel.iues
lor dt la pliilosopliie allemande, le
n 11, il < .util iigue, a reproduit presque
1 Anli K.uil . la rétutatiou complète
■s de Je dernier, donnée à la tin du
bre riedemann. dans son traité de
itation, Haumann la renforce coiisi-
pr
près, objections et Li met ainsi en
nouvlelles des sciences n.iturelles cl
edilicd Vermoulu de Kant se trouve
erre par pierre '. Kccemmenl, liau-
liiisi dlire son " .Vnli-Kant „ par une
> e.xacïc de ma théorie des sens de
rcri dif Riehl, " Retour à Kaiil «, qui
s en tejinps en .Mlemagne. ne trouve
blis.
lit avec la science moderne que le
ble. l'.ii proclamant la raison comme
: la coainaissance iiKjderne, en attri-
nthéliques a piicui une valeur déci-
jHl : Oitih.i. i>i"^.
l's ilcut [c Griiii Jlcguiig dcr M.illiciu.ilik. i
-.. 0>lu.il.i Vul Vil: i.,;s.
ISTKOmcTIDN' i->
sive dans la solution des problèmes les plus ardus de la pen-
sée humaine, Kant porta en même temps un coup fatal à la
religion. «■ Dans l'-interet de la morale ,/c/- (h-si/tinig} et de
la religion, je sacrilierais. par e.xception, ma passion pour la
vérité ,.. déclarait Kant ■. /'.;;- iv.v /-.,n,/.-, ,)iriiics // c/v.i nu,-
o/>poM/u>H ,«/,.■ ,., /./,,/,, s,,/./,,;- .■,■ /., rclioiou n-rc'Av, wi\.-
■Jiiisi en > iiiilr.iJiition aiw l.i vcr/té.
l-.n outre, Kant, par ses innombrables et contradictoires
delinitions des mots. Dieu, religitin, par ses raisonnements
entortilles, ses arguties volontaire(nent obscures, destinées
à justilier ses délinitions. il deroliail au spiritualisme con-
temporain ses plus solides assises, jl'rivée de ses deuy bases.
Dieu et la science, la philosophie dli \i\' siècle s'est débattue
en vam parmi les ruines des svstèmds ériges, pendant desmil-
liersd années, par les esprttsles plusiclevésdelous les peuple,,
(- e-t en \ain que Kant essaya ensuite de préserver de son
o-iure destructrice la m<. raie, en débaptisant les commande-
meiils de la Bible par la formule barbarie de limperatif caté-
gorique - le jargon abstrus, prolise et stérile, dans lequel i!
emmaïUottait son argumentati..n, ne pouvait remplacer la
haute autorité des CTunmandementb de Dieu, qu'il cherchait
à détruire au nom d'une prétendue raison " Winloir rat-
tacher a ces lormules abstraites, donc idéale,, la preuve d'une
existencedans l'.u'dre réel, c'est vouloir, disait lame, accro
cher son chapeau à un clou peint Ju mur //
Le cardinal I). .\|crcicr. en citant ces paroles de lame,
ajoute avec raison ; f De plus, Kant a eu tort d'identitier le
lait dl l'obligation morale avec un énoncé abstrait de, con-
dition, de la moralité »
i"it J.iii^ m.i- prcl.icj .1 Ohr'jh
Il ,ckbrc niciiu'irc >iir l.i luor
dc^huj eu lo,
I, \\..: l,
3,' l),i:i, •
Cupelili.ijiue, Svlu.pcnll,!!!
m ma^;llicMl^ Je Mi.iseel Jémi.nlre''. .ive,: ?a 1
lute Je 1,1 |ihr.i>éiilugie oh»>ure qui entiirtiUi
I .\caJémie .■. esi-ulle enipre>>ée Je refuser a
pi'iir ni.iiu|iie Je le-pe^l eiiveri K.iat !
1).. (;v>..N.
■iiiith, p XIV
lie. prL->enlé i I'.\j,ijeiiue Je
-.e Jeiiii:>^nieul Je> onn-
^ique illipil,.y.ible, toute l'iii.i-
rillipër.itil' ^.ilégi.iiiiue, .\u4»i
S,:lli.peiiliauer le pr:s luénté.
t
iS
I-ll I-
le inoii'
un rclar
Kaiilisiiie a-t-il f iniii
inoineiit nii. t n All<- 1
dcL'adciKc. le K-iiaiii
liiuir cçUe inva^^i'iii I'
Il [ihilM~npliicLÙiilcor
la~aliiraiciil dcpiii> la
a\ uie U'iiiic II' airiiiin
eiiLL- a ein'aliu'
d a Illico.
; plus ),ub^lau
^ri/i./iu
Jr i.i
lui prise p.iui la luanii
Di.
de la
préconisait la scieiii
Il ~lllllllalel
t la prMI""dciir
gloriliaii la raison en ^c basajnt sur sa critU|Ue
)u\ rajie était un ]
I
prit ^lair et
lin plat e\'iti.|ue.
disllllilUcr les ele
ries ij
11 K
l.a d.
ligué pi
de K
plie
Mais
1"
?ont .-iirtou
M Houlroux iiiii. ei
Iraïuaise
balil de Kani. (jut ri
la (^iilhji.
Jr L,
La coiilagioii kan
de
L
plie
Irai
lus i.:
illipl
es variai
avons parle plus liau
lité de leur [léiietr;!
Kant II
deall
d,
R
eiloU. 1er. s aCeToe
DIEr HT SCUNiE
;nieiit pliilosophiiiue étranger arrive
iis>i le
i dune i|ii irantaine d'aiiil
.\
1 a m 1 e .
de
i pensée lraiH'ai--e au
>inait déjà nctlemeiil sa
:tait d'ailleurs adinirablenieiil prépare
.-.'Clraits a l'eau de ro>e de
tnpics
■<\éc de
iiiitl .ousiii et k-sauircsecl
l pellsec
r
tielU
Ir.llUMIse était
et
is rck
.a
/)//!■,■ de Kanl, rien que par son litre.
eéleHic P.nibee a point Idlc parlaitde
la relligioii. mai- en nieinc teiiiji> elle
en de- lerille- auihlull- et
tout
iai
1-ee : ellh 11 elle
l.a dialeeliiiut
eu iroji ein
ibroussaillec. trop bruineuse
jis du IraïKais
.Mai-
ont lî sauce |)iinenlee cuipéeliait de
agissait
it de
hélor
i- et déjà le
■ereinent ava-
nt.
ni iul iniroduilc en Iraiu
par
lielier. il \ a plus de .luaranle aiine
es aJinirahics c
t lueldes
eiiveloppanl du charme
d-iSLlirikés el les aspérités de lallema
II- de
angue
uid rébar-
de la
du accessible au.\ |
.-!<;/ /i;i/r,
lelinc agit Jieu a 1
jplies Irançais
leii sur 1.1 meiita
taille
;ais et même des si\anl5 apparleliaut
u ersei et les p
Us hostiles enUe elle
des
.l(.jclrines
de Kant, dont nous
, ne pouvaient que coii
iriiuier a la laci-
ez spiritualisles g
lUtaiell
t chez
ion I
bcrkele
aient a la Criliquc Ji l.i i.uuui lir.iii.jiu
les phénoinéiuslcs,
mime
INFKODfCTION
ly
.ant, en
laiit
'\ trouve!- le- ba
isés d une mora
très élevée ; tandi-, que les maleriali-tes anti-cl
iraient tout particuliércmeut
la matière
plu, I
I
Jes pnra-cs se
laut p. s, aiii
mbla
ses idées sur la ereatioii du monde avec la célèbre hypolh
l.apl
place. (Certain- philosophe
se lai-saienl -eJmre
par
r,
rir a la réunion ; il- ignoraient
«le
ie et la grande
troiivi
jailli
dralc
dépouilles lurent admis
qi(e Kanl -e crov.iit obligé
• jne, mainre la iiobles-c
uition dej sa pensée, Kant n'a pa-
Ce II e-t ,|U en
'iiiic-. que ses
rot rslanie ;
1 ain
'A d. mires
a\aleut culrt
la lutte
mire
llsme e.\eri,'ail iiisque dans les ra
licriheloi '
de K
-tes irancais.
.\iii'
ant
moment
apriorisnie
lui remettre ma demi
(lariie dan-
C
.te- K
'eiiie croire a la justc-se d'il
ConVlellOlls e]
pie Herlhelot
leiil.ilion. (
e 11 e-t qu'en parcourant le qu.iir
.7 r;,
sf.,^
lettn
-ant a Ken
Herrheloi '
Je is-ii coulirnianl
, d^ 1.
elle iin
lez Kant la ylorit:
icatiCHi
e|Ue nous
[ue la cancor.iaiice de
llholique
leur C(.ite.
iUH i-le-
'?
es ravages epic le Kaii-
5 des savants nalura-
i aillée
déc
la-.
.•tau
e ni eii etai- aperçu au
'■rc noie sur le -eus de
eiidus. en 1 -.).;
.M.i
ne impression qui lurail
lllichait w^c tant d'os-
.ic j ai tr.'uv
pre-
nne, -aare—
Il ecn\.iil en ternies bre-s.ml
lorsq
u il St
e sentira tri
neauv. iious d
idéale. Coin
oniie Son
/).•
iiJti
las de soulll
er Ses lour-
;•.; ICI nui.
il 1
appi
ellscuîlti
le monde plusi^
ihilos'
ue : mais, pour
ml. un philosophe surfait.
rie n'est' debout auioiird hui.
cl
.Smart
..are-
toute la psychologie positn e ont relègue a l'ar
Je Ses coniecuire
>leu. q
ni pas
Herbe
il 1
II-
iine tlieo
cl.Kc Je. /J..I.'.,
M. M,irceiiii liertliclo
■ / F,
l-iu.
■tUt'jU'^^.
j. K..-
H
rière-plan derrière
Recourir à Spence
c'était se vouer à i
pliilosiijjiieb de haut
lequel laine qualiti
plus scientitique que
{.es mots positif et
(lomte ou attribue
leur enlèvent nulle
Spéculations pour sp
de (^ondilLic et de
Spencer, de Mill, e
sans s'en douter. Les
ne recourir qu'a la s
organes des sens né
Il en est autrement
\ivaient après Jean
Hclmholt/. Hering.
Seule la phvsiolo
introduite en l-'rance
tendre a donner 1
c'esi-à-dire à tourni
empirique de nos ci
reusenicni. tous les
ont échoué, comm
dans le courant des
dû à la raiscjii très s
aussi dilIéVentes dai
physiologie et la [:
toutes les créations
damnée a la stérilité
L échec subi par 1
rejaillir sur la physi
blême de l'espace et
les méthodes Je la
DIEU ET SCIENCE
unie, (^ondilac, et même Spinoza. »
ou à .Nlill pour combattre le Kantisme,
insuccès. Tous les deux étaient des
; valeur, mais l'adjectif poiitrcc, par
lit leur psychologie, ne la rendait pas
ne l'était, d'ailleurs, la sienne propre
positiviste, qu'a l'exemple d'Auguste
i certaines écoles philosophiques, ne
ent leur caractère de spéculation pure
iculations, celles de Hume, de Spinoza.
ant sont bien supérieures à celles de
, surtout à celles de l'aine, aprioriste
premiers avaient au moins l'excuse de
[léculatioii pure, la physiologie de nos
anl a leur époque que dans les langes.
Je Spencer, de .Nlill. de Faine. i|ui
Mullcr. qui étaient contemporains de
Hensen, Donders et d'autres.
lie psychcdogique, créée par W'undl.
par ."^1 Ribot et ses élèves, pouvait pré-
reiutation de l'apriorisme de Kaiit,
des preuves expérimentales Je I origine
ncepts de temps et d'espace. Malheu-
;lïorts de W'unJt, Jans cette Jirection,
on aura l'occasion de s en convaincre
leux chapitres suivants. ( ^et échec est
mple que la tusion de Jeux sciences.
> leur méthoJe et dans leur but que la
lilosophie, était prématurée. Ciomme
ivbriJes, elle tut. dès son origine, con-
i psvchologie physiologique ne doit pas
lugie elle-même l.a solution Ju pro-
du temps est une preuve éclatante que
ysiologie pure peuvent être appliquées
Ph
INTRODlCTlbS' - 2 1
avec succès à lélucidation des problèmes les plus ardus de !a
philosophie et de la psychologie. On trouvera dans ks
chapitres suivants l'exposé des méthodes Je travail parallèle
de la physiologie et de la philosophie, après une délimita-
tion précise de leur domaine respectif.
I.e Kantisme n'étant plus soulenable en face d i dévelop-
pement actuel des sciences exactes, il s'agit Je faire le
ch(ji\ du s\steme philosophique cjui faciliterait plus que
tout autre le rattachement de la philosophie aux sciences
naturelles exactes, en première ligne a la phvsiologie I.e
choix ne peut porter que sur le- re[>re-entants d'un svstème
philosophique intellectualiste, et |iaturellement sur le plus
grand et le plus moderne d'entre eux. sur Ldbiii;. L'appel,
" Retour à Leibniz*, fut lance pour la première fois par
l.iiduig Stcin, un des philosopher modernes vraiment au
courant Je la véritable portce Je l'évolution nouvelle Jes
sciences naturelles. Le retour a I eilmiz sera salutaire pour
la philosoiihie a un autre point Je vue encore ; il signitiera
la rupture Jélinitive avec la métaphysique Je Kant, aussi
bien sur le terrain scientitique iiue sur celui Je la religion.
-\\ec sa ghjrilication Je la raison fomine critérium infail-
lible Je la connaissance humaine et avec ses jugements
synthétiques a priori. Kant a creuse un abime entre la
philosophie et la science J une part, et la religion révélée
J'autre part Les systèmes philosophiques Ju \i\- siècle,
ainsi privés Je leurs hases fonJainentales. sont restés
suspenJus Jans le viJe. Aussi, au 4-but Ju xx' siècle, voit-
on la pensée philosophique osciller au- Jessus Jes ruines Jes
anciens systèmes et chercher en vàm un point J'arrêt : il
n'est plus même question de svsL-mi^, mais de .cur.iiiti
philosophiques On peut se rendre compte par les titres
Jes Jeux principaux ouvrages phiKisophiques parus récem-
ment : <' (!!ourants Je l'esprit « yCntstigc Stroniuiigcir, de
R. Eucken, et " (-ourants philosophiques « (I'/u!o<opln'ii/u-
' Strômuiigiii , àt L. Stein. --
r^
l.e retour a l.eibn
ver ses deux bases p
ponJcraïUc qui lui
de l'huniaiiitc
Les iiiatliemaiicie
contact a\ec Leibn
rentiel créé par lui
grâce a 5cs mtuituj
recherches. intuitKj
CMi'.hrinécs par vui
les tr' ^is ji. .lut» prii
Leibiii? a la ~cicnce
nouveau rendu au
d'honneur dans lét
ou pluiot la tciulan
de K- H. \ "H Haci
levier de lra\au\' lé
lofiie la decouvcr
ciJinuic cieuient au
sait au début pouv
iniiuades de i.eibni
devaient laciiiter ui
duhigle est une tlle
sérieUsenieiit utilisa
ni.-iit f.lih. tels qu
lenieni. l'ai' centre 1
concept de i eiierfil
ba-es des scieiiies ]
en\aliir les dwuiaiu
excellence sur leqtie
se rencontrer avec
religieux.
Leibniz, le génie
siiplies du wn' siè
créateur d'une yraiu
niEi: i-:t soihnor
z permettra a la philosophie de retrou-
srdues et de reprendre la position pré-
itevient dans le dé\ elop[ieuient spirituel
s et les naturalistes n'ont jamais perdu
z; les premiers, grâce au calcul dil'fé-
; les ph\ siologistes et les physiciens.
l5 géujiales dans les domaines de leurs
is i[uii furent peu a peu brillamment
; expérimentale. Rappelons seulement
icipauK .pli rattachent les doctrines de
iiKjdei'ne. I.harmiinie préétablie a de
, " elUeléchles // d'.\ristote la place
ide du inonde plivsique. I.a téleolnuie.
:e Ver,-, la tinalite Jjc /.i,hti\hiirkcit.
■ a lait ses preuves Comme puissant
onds tn bndogie ei surtout eu pli\sio-
e de ja cellule xégetale et animale,
onomfc des organismes \i\ants. [larais-
)ir être rapprochée de 1,1 théorie des
■; les [découvertes de la bactériologie
I pareil rapprochement .\lais la inona
>rie tr ip complexe pour pouvoir être
j poui* l'étude seielllitique des iiili.u-
la scitnce moderne les conçoit actuel
énergétique moderne doit a I.eibni/ le
e. qili boiilexerse aciuelleilient les
hvsiqiles et chimiques, et commence a
;s de Ja biologie, .\lais le terrain jiar
les sciences exactes peuvent et doi\ eni
a phill>sophie de I.eibni/ est le terrain
e plusi universel parmi tcuis les philo-
le. étuit en même temps un s.ivant
e envergure, qui explorait avec succes
IVTRODUCTIOX i-
prestiiie tous les domaines des s^jMcnces physiques et natu
relies. Sou o-uvre dans les scie[ices phvsiques était bien
supérieure a celle de Descartes
iidiuetlanl la p.irl considérable i|
sauce humaine a rintuilion d'
l'absolue
^e.^
arce que Leibniz, tout en
ni revient dans la connais-
.1 pensée, reconnaissait
nécessite ae 1 experienjce sensorielle' pour Ueter-
ininer la \ aleur de pareilles intuitions "J'aime mieux un
l.eiivenlioek ,pii me dit ce qu'il voit, qu'un cartésien qui
nie dit ce ,|u'il pense' *. dis.iit il.
I) .iutie part. I.eibiu/ dépassait
Comme penseur, par ses larges
cosmf.-oni,|ues. i|ui lui permirent dei.irgir et de préciser
nieii >l.i\MntaL;e la véritable va
l:yl .tin iiiio • sensorielle, en v aïo
périment, itiiiii JA^ lixpcniiiciitn:!.
Son eiuditiou uiii.erselic en pl
en sciences 'exactes et en matlu
a\ ant,i^es con5idcr,ibles d.insses c
bleu a\ c, Descaries qu'avec l.ock
illustres, parmi lesquels lig'ur.iit
Possed,lilt dés sa première leUHfc
sauces dan- la philoscqihie grecq te. Leibniz a étudié avec
1,1 même ardeur les grands pliiio
première Iuik. I homas d Vquin
.i-uvres et partageait la 'plupart
phupies et religieuses (.'oiume tcitis les urands penseurs et
onsiderableineiit Locke
■ niiaissaiices phvsiques et
eur de l'expérience die
lt,llit la nécessité de l'ex-
liiosoplue et en théologie,
miiiqiies. lui assurait des
jlebrcs contro\ erses, aussj
e qu'avec des théologiens
Il première lii;Ue HoSsUet.
de proloiides connais-
>phes sccjlastiques et. en
dont il citait souvent les
des Conceptions phil'.so
savants. ,pii avaient amené la
exactes aii\ \vi ut wn siècles,
sincère et. ,|Uoique né protestanli.
liqile en lele ,ies CoiltessioUS c
quelle ardelli il luttait tinite sa vin en fa-ceiir de l'unité des
églises et de la torin.itiou dune eillsc universelle, av.iut le
l'ape ,1 sa lete.
reiLiissance des scieiKes
eibniz était un chrétien
, tl plaçait 1 ciilise catho-
iretiennes i )n sait a\ ec
1. li^l luil.il I . luCU,.ll Jj
,i",ivrcs ni,à
Uom.ai4UL> dj I.j;hiuz. vol ir.
24
Leibniz était un
croyant Jansla haute
les découvertes sciei
principe de iiieté, le
entendue, au lieu d'
nature et les vérités:
capable d aimer Diei
coutume de n cnvis
veilles de;> cinrage
propres a ctmnaitre
et aimer par d'autres
secours d'une retraite
extérieures ' u
1.1 comme toujour
avec la même rigueu
(tuvres de phvsique
l.cï bCiences biolf
blés a Leibniz, d'av
d Aquin, précisé et p
Ces sciences. << La ti
aucune science n'a
nismes compliqués,
k'gie, destinée à déc
des organes des élres
De toutes les scien(
mentale est la plus e)
recourir avec profit à
donc elle qui se prête
Icle avec la philosopl
ception du monde. G
travail, développée p
sera certainement léc
celui de créer une pi
DIEf FT S( IEN(.E
rand savant créateur et un prolonj
conception du mot. 11 considérait que
liliques devaient être faites <i par un
luel serait le Iruit dune science bien
être contraire „ Plus on connaît la
idides des sciences réelles, plus(jn e-,1
véritablement. « Ln esprit qui sac-
■ iger les biens de la terre et les mer-
de Dieu que comme des nioxens
;t à aimer Dieu et à le laire coiinaitre
n'aura point besoin... de se ser\ir du
enlicre contre les charmes des choses
1. Toutc> cc> .;i[.iiiuns
(' Lcih.niz ,,, pjfLi en hmhj.
i il démontrait la vérité de son dire
', qu'il employait dans ses admirables
t de mathématique,
giques sont particulièrement redeva-
ir, comme Aristote et saint Thomas
I acé haut le principe de la llnalitc dans
lalité e.xplique le mécanisme. ,, Or.
autant bes...in d'e.xpliqucr des luéca-
ue la biologie et, surtout, la ph\sio-
'Uvrirle merveillen.x lonctioiuiemcnt
:omple.\es ..
es bi.doguiiies, la ph)>iologie e.xpuri-
acte ; elle seule. jusi|u'a |iré.-ent. a pu
la haute analyse mathématique; c'est
le plus facilement a un tra\ail paral-
ie de Leibniz sur le terrain de la con-
ace à la divibion des domaines de leur
us loin dans le chapitre m, ce travail
Jiid dans la,.poursuite dn but princiiial,
ilosophie naturelle. Je m'étais servi
.1)111 ciupiunlccs .'i riiijvr.igi; Je .|e.m li.iruzj
-ibrainc lilouj et C". P.iris.
INTRODUCTION . . 2S
de cette expresHon dan^ le sens que îiii dfinna Newton,
dans Ses " Philosophiœ luliiralis priiuipi^ iiuUhcmj.-
tua //, pour les sciences physiques, et par K, H von
Maer pour- la budogie. Nonobstant les vi\e^ polémiques
entre Leibniz et .\e\vt<pn a propos de la priorité de la créa-
tion du calcul ditTerentiel, leurs conception^ mondiales
Coïncident parlaitement dans ïeurs ligne-, pniitipales .
Dan-, la marche vers la créatii.ii d une philosophie scicn-
titiqiie. la prééminence doit app.irtenir à la pliv-iologie de
1 homme. Au cours de cet ouvrfige. de nombreuses preuves
sont données de son droit a Jette preéniuience Les pro-
blèmes tondatHentau.x d'une conceinion du tnonde ne peu-
vent être réstdus qu'à l'aide de la connai-sance huniaiiie,
dont les (iremiers éléments iioUs boiU fournie par lei expé-
riences de nos organes des ^ensj,
" Si l'on pouvait taire dater [une vcience du moment oa
1 lioinme expérimenta pour la première luis le> phéno-
mènes i|ui en constituent Ici vioinaiiie. l.i pli\Mologie
pourrait revendiquer hardimenl le titre de la plub ancienne
des sciences A 1 origine, ce nu lurent pas les plienouicnes
eiivironii.ints. tels que le lever et le coucher du soleil, la
succession des jo-urs et des nuits, la signitication des
astres, etc , qui e.xcitèrent la curiosité de l'houune; il dut
se demander en premier lieu quelle pouxail bien être la
cause de ces sensations doulouiieuses que nous appelons la
soit et la laim, et quels étaient les movens de les calmer.
Ainsi, la première question que 1 homme se- posa, le pre-
1- Je lie réM>te (i.lj i 1.1 leM..l.u;i Je ..ler. Je cel uuo .ij^e i .l|.ii il Je-
Neuloil, à titre Je preuve Je la pui>-a: ^e Je 1 ir.lillt:u;i ge-iiiale. >.i f.i^'^.ii
Je eouceviiir l'espace iiitim. Newton le ^uUMjere eomiue au \enlaMe -< u
iv/v/(«i. par lequel Dieu per^,.!! le> exi-teiue- Jau> leui iuluile el prvli.i.Je
léalilé. U ^uft^r.llt Je remplacer, Jar.> ci - p.iii.le? Je Neu tmi. />(!•!( par 1V>-
fiit. puur reeuuiiaitre Jan> le »y.«leiiie Je> ca;ia.ix >emi-eneulaite> le- >.//•'
:> itum Ji.nt. il y a plu^ Je trente an^, j .11 elahli evpérimeiualeuieal le
tôle Jaiis la pereeptiun Je> objets leeU Je l'espace lut'.-.'.i \ ,e propo.-. le-.
Béotien-, teprocliaieul à Newton son aiyslicisiue, eoitmie si le véntat-lc
savant naturaliste, ^jui cherche à pé;ie|liei les mystères Ju iiio.iJe leel.
pouvait ne p.is tire m\slique
mier prwbKmc qii il
physiul(,gi,|Lic. Ccbl
logistes lllodcrne^, cb
(."ettc citatiDii cbt I
ijuc j'ai pronr)iKc en
le déveluppeineiit Je
la pleine- t'.iiilrm.itio
regrette l'.iul Taiinef
prole^-eiir. /eiitheii n
" .lus>|ii a l'lat.,11, le>
piiilosoplie>. dans 1
plivs|,,|.,giie-. enninie
iiia.i^rc t.,utc~ le- erre
par un ciiniiiieiiLd le (
ni'\aii dcb s'.>tenic> de
une idée nietapli\>i,|i
erele> ,pi ll> en! j,u ,-.e
lite~. Ali,i> .-elilenienl
1ère ine'tapli', bunie „ (
des bcieiueb lUbtilIc la
le lra\ail parallèle ave
ne vise pia> ic> CDuéep
l'incejniuns d'une pliil
Si la philM>,,phie dit
« >ersteJt a snl m un ee
parée ,jUe. des le débii
i]u: :5e tri/ii'.aieiit a la t
■ |Ue de- nietapln.sjeicn:
1 Ce Ji^i..l:... , !.,_. i:„.„
Ndie -.^u-utUi.juc Jc 1,1 iiitni
M Hoirj jc P.irvdlua.ui. le I
a.m, Id iV-.,7, ./,, /A„^ .\/„i
rr"Jui-il i.;i H...~:^' uj, elle
l'.inime fui le punil Je Jep.ir
li.iiiii.iire. ,),., ,,r„.,ureiil. e:;
Heures a.ir.- l.i i ue
es. .Int. avaient iinearactère iieltenient
I ces mêmes questions ,|Ue les plivsio-
:relienta répondre aujourd'hui „
mpruntee à un discours académique '
l'^/î. et (.n ) ii)dh|uais la marche et
> sciences. Jeu ai trouve récemment
1 dan-i les admirables recherches du
i-.-\oici en quels termes l'eminciit
slime les résultats de ces recherches :
ciiseurs hellènes ont été non pas des
sens: actuel de ee mot, mais des
on disait, e est à-dire des savants;
irs et les hvpotheses iiicc msistantes
hemin de 1 igiLiranee a la vérité, le
• anciens }divsioioj;ues n a jamais ete
e; c est de leurs , conceptions eoii-
ever à des ahstracii.ms eneore in-,.,
ces cmceptions ont pris un carac-
'n M, il lus.pi a quel point 1 hist(<ire
preémiiieiiee de la phvsiol. .gic dans
la pliilosopliie l.a fin a atteiiuire
ions Je la méta|ih\sii[ue. mais les
Jsophiie bCleiitlIique
naturelle de .Sehelling, ( )ekeii et
lee si lamentable, c est justemen't
:, les naiur.ilistes et les philosophes
■te du mouvement n'étaient au l,,nd
Au ieu de délimiter tout d'ab..rd
Jl le (;j
,i:.iie
m n.ii ,/
t.uU
Je> ait
S; t. .^
|i,uu en lr.iiiv,u> ,i,i^, 1,,
re|iru,liiit pre.^^^ue inlégi jleiueiil pj^
> Dch.il>, et .inaly>e- par M, l'apillMU
neaa un nr,ina micc. gji Tr.iiKe, Il
i.p.,>.
4UUS
I
>prit plll!..>„piiniue
vi..!oiile., ae 1.1
.1 preiiuele rèv.vUe d,:^ r.ji.le- Su
.[Ul
ulll-
pé-
INTKODl e. ItOS" 27
les domaines de recherches eti les méthodes qui convien-
nent le mieux a un travail pr.kluctif, naturalistes et philo-
s<qihe- se sont laissé entraîner vers la -pecuLition meta-
phvsuiue sans base ei -ans frein 1. it-uvre commencée
de\au lataleinciit aboutir a la taillile et au di-erédit de la
(ihiiosophie naiiixelle. .\ussi est-il prélerable. atin d'éviter
toute c..nHi-ion. de renoncer i la désignation " naturelle „
et i.i remplacer p.ir celle àa s. i\-nlit'uiiiL .
\\ laul remarquer a l'honncUr de l,i plu sioloiiie exacte,
créée par lean .\|uller. v|U ellie est restée complètement
Plusieurs de ses disciples.
du Bois- Ke\ niond et bien
coml'.attre l invasion de la
etranyeie a ^é mouvement,
comme \iieho\\. tielmiKjItz
d autre-, n ont pi- liesile a
met,iph\ -iquc biolo^uiue daiils les -eienee- naturelles l.a
ph.v-ioloi;ie moderne lut ain-i
mi-sii.ii avee le- exager.itious 1
liste-, qui
inlciiet uu
préservée de toute compro-
mtai-istes de certains natiira-
it leur part de rijsponsabilué dans l'anarchie
euu -avant^ et de- dilett.intes en meta
ph\-ique. ai..irchie qui a sipuissammeut contribué à 1 ei;a-
remeiit îles masses M j>Hisie|iirs de ces derniers, comme
Huciiiiei, Moleseh..tt et .lulres, f.'ompletemeiil étrangers a la
phvsiidogie. se permirent de parler en -on nom. ce ne tut
que [lar abus •.
I>ea\ .aiL-e- empêchent U philosoi.hie naturelle de
renaître île -e- cendres, ma^r,
émmeiits. aussi bien en philo
; les etl.irts de tant d'esprits
-ophie qu en science, qui
s'étaient .ina^bes a cette re-uriection : la p.iriicipatioii Je
trcq. de iiiétaph\'sicieiis et 1 abstenti..n regrettable des
véritables pir, -lologistes. Il s'est produit ainsi, dé- le début,
une seissioii entre les chels Ji mouvement de la philo
bciphie nutiirelle par 1 autagoi
I ai. . ■ , - pil\ -;ul..jii>ti.*- p
peu Ll>re-l:-. , lu,.;- liél-i- ! .ivej >u^;eeS.
SelMllulliiw et P.iul liert, 11 cUiciit pa
-er.- .1: ; II,
i-me de leurs conceptiMUS
ir pcule--;oii tjui o:it pn:» une p,ir:
,e ifuvre Je-ttuclncc. cumnie
ie> pi4vsiuki.;i>ljs >,ivant>, au vij:
^2K
des prcjbliiiies fonda
réalité ne peuvent
expérimentale des org
le Kantien Th. I.ipps
et de 1.1 , //,,>,- ,11 ,
méthodes dcductivcs
naturelles, si celles-ci
lisnie des recherches
< )st\\ald nadniet cornu
les résultats des reche
tives; encore n accord
t relative. Il est diltlcile
nisine de principes, est
idéaliste, ou le naturel
En realite, l'cx-périd
physiologie e.xperinien
n'e.\iste pas d'ant.igon
méthodes, indiictivc et
aboutir à de> résultats
recherche? qui admett
deu.x méthodes puuve
valeur des propositions i
conclusions tirées par \.
mentation, d'une précu
nièrenient'. donnent au
valeur de ses hvpothèse
s'accroît ccjnsiderableme
sont contirniéesà nouv
mathématique ou de l'i
justement parce que tr
sens de l'espace, construi
de la méthode inductive
JlEtI ET S< lENCE
e re
1 V<,;r J)j'. Okiijhn tiilh. c
iiif;u:,e J\.,u>ildl,vn ,l.ins U le,,
nui
entaux de la connaissance, qui en
résolus que par la physiologie
nés sensoriels. Ainsi, par exemple,
■st encore partisan de l\iprio,lsiiic
i-nui/ir: il ne reconnaît .jue les
c(/mme valables dans les sciences
ireiendent à l'exactitude et à lidéa-
1-e célèbre chimiste Wilhelm
le source de notre connaissance que
rches obtenus par les v..ies inJuc-
;-t il à ces résultats qiiune \alenr
Je déterminer qui, dans cet antag(j-
plus métaphysicien, le philosophe
ste-relativiste.
nce scientihque, même dans la
e, a maintes h.is démontré qu'il
>nie inconciliable les entre deux
iéductivc; l'une et l'autre peuvent
alement valables Dans toutes les
t un contrôle expérimental, les
se compléter et augmenter la
blenues. insqu'à la certitude. " Les
méthode inductive dune expéri
i"n incntestable, écnvais-|e der-
savant naturaliste la garantie de la
i ou théories; mais cette valeur
it quand les bases de ces théories
au a 1 aide de déductions par voie
perinientation secondaire * C est
s déductions de ma théorie du
te par voie expérimentale a l'aide
ùirenl ensuite pleinement con-
chap.lrc; IV. s I, p ,„. ^., I o,c:iU
:/. .•/ JU,„ />_-/.,„.. l.ib,,„,,c Ivl.v .^kjM,
«='J
lit
INTKODI-I.TIO.V
2')
tirmces'. et par mes recherches personnelles et par celles
d autres expérimentateurs', qjue |e me crois autorisé a
attribuer aux bases de ma th[;orie la certitude complète
J insiste sur les mots ,:\pJriiiiciy.ilr et L-\pc-riiiu-iti.ilioii it'in
de prévenir une coniusioii regrettable qui se produit trop
souvent chez les philosophes anglais et Iransuis qui em-
ploient p.iur les mots {-r/.! h, ni/ if ou Hrlchiiis la même
expression iXpcrwii.c. que po.ir h Kpcri iin'iit ou W-isnJ:
L'introduction du mox ex [<t'riii< eut qui indique une ci/t--
ncinc vidoiitairement provoquée par un expérimentateur
d.ins des uiiiJitioiis i;iii!):cs. préviendra bien des erreurs
lâcheuses
La diltereiiciation des toiictions ps\chiques.- développée
d.ins le iioisième chapitre, démontrera, je l'espère, même
aux philosophes idéaliste- qui voudront se donner la peine
d'étudier à tond les bases de nja théorie de l'espace et du
temps., que dorénavant ils n'auront plus besi>in de s'attacher
il l'apriorisme et à /.! . /iosl- .■;,
écartes : Ils pourront reconn
cv,m/.!///i'.s, sans compromettre je moins du monde l'idéalité
de l'esprit. « Le concept d une chose existante implique
la certitude ipie. dans les circonstances appropriées de
Hc-iiii-iiic, detiniti ventent
aitre la rj.ilifj .le iV/.i.m'.^
I /*r:-hurt, J, ,i:i.tioii : Le^ sauris-
li.iilre i<j vcrli^o visuel, ai peiijaat l.i rc i
v^-ilu.il p.n L-xcinptc iian> l.i vjl^c
p.ir Ic^ cxpciieiuc> Je WiHuim J.ini
•-criuie Jciiiiil-'n : Si le» Jiumaux
seiiu-cil^alaircï. se déplacent librement
ilc 1 esp,ue, les .(ainiju.x .ivcj deuxp.ur
déplacer que d.ins deux direetutns : d^
et sur ^ert.iines suuris d.insantes par U
Les .ininiaax .ivce ane seule paire de e
seule direelion : dénionlrce p.ir M. R.i\
clui lie pusséd.iient iju'une pa;re de
M Hdiiiger sur les niyxines .
Tiin^u-mc di-.iuctn'>i : (liiez le^ inverti
nâax senii-eirculaires, les iito^\stcs r
t.ition J.iiis l'espace ; contirtïiée expéritn
Victiir Henscn et par d'autres
ueîs de naissance ne peuvent con-
tat-.oïi de leur corps autour de l'.ixe
pendant le tuai de mer contirmée
tichl. et beaucoup d'autres
possédant trois paires de canaux
dans les trois directions cardinales
de canaux ne devraient pouvoir se
atbiitrée sur les l.miproies p.ir moi
protesseur Kavitz. moi et Rothii;
iiaux ne se meuvent que d.ms une
ilz et nuii sur des souris dansante»
^an.tux intacte, et observée par
hrés. .[ui ne posseJeat pas de ca-
nipiaceiu ce» .aii.iax pour l'urien-
ntaleuteiu p.ir .NI Yves Delage. p.u
oli>er\ ati
<n. if saura
IJIKU KT S( iBNCK
toujours recevoir li
siiins sensible
tilde i-st eiKu
rc plus
lie
>er\ atioii. m
savant par\ icnt a dwi
la iiatiiic. i|u'a laide
cerlitiule prédire les i\
est auli irisé a ewiiside
dél
lllltlvcnielll lernu le
e iialiiialiste
a dé
portée les
coiitrox erse:
niatieieiis. ,i.,iit les li\ p
eoiitre les ae.jiiisition'
des doctrines traditii;
doctrines dejuiis lon^te
intérieure i|ui esi to
tnell
iiiinne des ri
tilde absollK
I'lllir,sopl
rabk
on T/,c
ute- siib]ective
ésullais ob| ;ciils. pou\ant
les el iiatur
>uvrage du cardinal I) Me
./. /.
table
. raisons pour lesqi
iiicili
e SI aisément a
la iiiétaph
Xblque des ihilosOlih
en anarcliic.
•a hit iH
lieu la reconnaissance
iiiti-i il
= t 1,
1 iirande et
tiques exactes pour la
I.e M\- siècle lut l'él)
slilue et de l'aurore
la ci\ ilisation chreti
1 I-u ..yr,i.i.,ii I). Mercier ;
tuMifhic. Ciiln lulu^u "fiu-iui
nieines iinp.res-
raison lielinh.di/. (.etiecerli-
quaiid il lie -aLiii pas d une
le laits e\p
periiiiciiuiil\ i.'u u,a le
llner a tel point le- plienum
d.
de|a
Il peut a»
•iillau d
e nouvelles
experii:
.-. il
er sa tache
le recheri
lolt
sied
lec les lijllli
H\ler
•sophes et le
ni ithe
tllései et les ob
de 1
jections e\ eliliieilc
a science ne re
P' 'Sent ,|iie sur
e».
. an
leiis nielapln sicieiis
ips réfutée?, ciu sur ieiir
■.//
expérience
i/ii,-iij seul
prétendre a la. certl-
,list
es leroiii bien
-rcier : C/v/c
étudier
vlllll-
'::-i/ifii.h-':)hdh
cerneroii
lie
lies 1
a nietaph
leb Si.
pln=U|Ue lilecdc..;K|Ue
leiices exactes l.iii.ii-
les nKjdernes se m
impuissante alaire des p ..grésrc./s et tpinbede pi
iT la
Pl
llloso
iihi
e exme e
11 IllolK
la /•.U///,' d
réelle valeur des iiiethi
nnaissance liiunaine.
Iisen plus
Il premier
.•xA
■/•/,',■(;- et
I scienti-
éiioque du crépiisc
Ule
la iiieUipln-
-ciencfs e.xpérinientales A
une ne s'écroule sous le
'hbhi.lh
\-i"
l'in.l.
cJll
up> de
!nt ^Hpti icin J'.' pin
leli.N ,\i.
.111. ejitour.
barbare- de Tint
tera a l.i reii
erieur et
de 1 extérieur.
nssance d une pii
spnts transcendants, qui
lilique I
de l'élude liu lucllde a^ce-sitilc
a t.. lit pnv .ipjirc
a nos sens, mais
e> niv-leres de l'u
^1'
leurs UllIV ers. pure
ment uuauui.iir
se t.iuriier \ers la uietapli\ siqii
adihi— ible. ba-ee sur la revelati
del
i-ee sur la reve
exi'érielice
te \.x
siècle assis-
'pliie strictement scien
lie se
mentent pas
qui veulent
Hivers entier
et
es. n luit il il a
■ligieiise. 1
;t dont la f
a seule encore
eci 'Ti
a ete
uiUiers a aiHK
■y
PHEMIEHE ^PARTIE
TEMPS ET ESPACE
CllAI'l I RI
M<1 Mil R
LE SENS GEOMETRIQUE ET LES BASES PHYSIO-
LOGIQUES DE LA GEOMETRIE DEUCLIDE
IIM<iKli i| 1.
l'Lrlcn
a-,sii;ne aux mathemaliv(ui;~ une pl.ice iutenuc-
diairueulre la connaissance plul,,.,ùphi.iue.t la coiiuai^sau.c
-ensible ; et c e>t avec rais,, u. le philusophe prc-cede par
postulais, le niaihematicien par déJuctions ; quant au ii.iiu
rall^te, il aeeide, a Taule de la cannaissance >ensihle. si le,
pcslulals, et lesquels d'entre eux et d'entre le, prupositious
qui en sont deduiles. reposciij sur la vérité réelle. Depui^que
la puissance de nos organes sen|.oriels a ete cin^derahle
nient augmentée par linveiitioii du tele-cope, du inicr>.
scope et uappareilsde précision pour Tevaluation desmesures
et p.iids, etdeiuiisque lesnatural stes. de pkn en plus pénè-
tres de la peli-ee m.illieliKlliquej ont appris a se servir de
1 analvse supérieure pour tirer Je leurs conquêtes experi
mentales les conséquences les pli s éloignées, ilsont enrichi
la science de résultats d une liau'e portée pour la solution
des problèmes du monde plivsii.jue qui ont Je tout temi^-
préoccupe l'esprit humain.
Kn \^-fi. à ,1.1 lui du premier |xpùsé détaille de diverses
' (
TEMPS KT RS1'A< l:
es J'expcrienccs pdiuNuivies pciulaiit |i|ii^iciM>.iiiiii--c^>ur
I a h >. r m i h c
de 1
.■ulairc> c'DiislilueiU
1 c~pai
c- ; auti'cineii
t au
par I excitalHiii
liaii-î lcur^alllpMLllc■s. i oiis^ervent àcon?ïtiuue ivoUé cnccpi
pace a tinis
rue li
c LC^ i-:i
r
liiuis larJiiial
Noi
pi\
séineift un e>pace à trms dimensions qu
appa
ieuinclne
raissenl ainsi
CM une impiises inir
nus iji'uano sensoriel .
elles d'alor-- qui P'Ul
résoudre 1 un de^ pru
pliVsi^
d..iii
de la
rajip
dans
les canau
-lier
elles aux 1>I]
sentait nu intérêt
I.a
lelusicu) .|n<
d'étudier plus a Ioik
nalurellcbe
dant, le dé^
t Icsaxioiv
. eloppcui
eue
lidi
de l'espace. 1 a p
part prise par
llelin
uiuaire et la uraiule a
dans son
di
niellslo
diliicile la marelle dt
i:
llitL
iholti
maticieiis
McJi.rJu
,blc
lie.
j écrivais
es canaux si;nii-cir-
rj^anes périphériques du sens de
■s sensations d'orientation, provo
des libres nerveuses qui se ramitlciil
meiisions.
.-iisatious
de
chaque
rrespoudeiit a 1 une
des in
iconiprenniisà présent pourquoi c e-
I sert de bas
es axiomes géométriques muis
les 1
imites mêmes de
. (.e lut la
le résultat de mes rcclier-
'nneitaii de
s les plus dilticiles de la psvchi
lit le plus loin ; car il p
lllosopliie
pli
La de
moiistration laite que
.'irculaires se
ri a I orieiitalloii
.|ue l'explication apportée par
mes
béni mènes si nnstérieiix
de l'I
ourens. prc-
Usi veille ut physiologique.
le viens de citer m linp
osait le devoir
aije de
iltals acquis, les bases
>de fît géométrie euclidienne- ( lepen-
;nt extraordinaire
de la i
;eometrie non
ir réellement translornié le problème
ml coiibiderablemenl compliqué. I a
Au à ,1a créalion de la géométrie inia-
iitorilé avec laquelle il s'est prononcé.
laineux diiCours de lleidelberg. en laveur des
Il du nécessairement rendre plus
nouvelles recriercnes u
ians
: domaine.
ilieremeiil abandonne aux ma
ihe-
eni : de 1 espace, considère jusqu ici Ci
. lU'IU
citn-^it\uLiii
Tii>.-c. I'.
I ES K.^SKS lit. 1 A Gl'.o.'ll'.rKI
psycliiiphv siijlogiqu
11.
tliIUe
de 1;
:i p^
sibilité
eurcuseiiienl les preu\
n ont pas p..rte l,i moindre atlei
•1'
e nies recherçli.-s. ni aux conclusions
I en .11 tirei
.oncernaiu la géoinétri
hcdtz lu
ni capab
i-nieiue a éteobli
de
ereionnai'.reque nousneiiop.
IV'US taire une rtyr.'v-///.;//
espaces, m en
spa
de VUl
extérieur
-•t.ltd
expliquer, a 1
r.
■riuine vie notre
ccJUi.-eptioii tor^ee de 1
IllllU
une variété
nie
■rs pa- autorise
pour et.iblir les bases naturelle
lions de la \ icill
e géométrie, sans tenir suûi-a
de 1.
1 ge^.metrie transceiul.inlc
l . est Se
ulc
ment \ ers la lin du si
k
.-cessaires pour me laniiliariser a\ ec la
non euclidienne, au point de p
lion
pub
fil I
df. Li
\n en 1901 Celle
leiilion 0
la graïuk
celle
caré. (il
tique
■.hil,
Iles et surtoi! t de
Jv.l~ioll.
utiirat et autrt
sur ma théorie.
ont
ibli
: liant
div,
ers malheni.iiici
e Constater
[Ue ni mon exposé
noiuelle.' ni la !'.i
ui .d.
ont 1 ai
les b
lE IJ Elil-liiK
a un nonibre ;;
le variétés
Ue aux re-
• ullal
s mire m eut
.■ucliJi
H.
de
nouveaux
lidedt
ces iKiuveaux pi .mis
\ trois di
meiisions
•er\ ir de m
es expériences
les axioin
es et
.-lin;-
luinieiii coinp
.leniier que 1 ai iri.u\ e
;ometri
Miir entrepreiiire la soh
1
-a première e.liti
on Je-
ru- eiu .uiuuii.- 11 a pu etr
e élude a néces,aireiiieiil at
tire 1 al
m.itiieiualiciens sin
des toiictioiis du labyrinthe de 1 i.reille
usieursniathéma.icieus. tels'que .Nl.M. Pi
lie des
oPser\ allons cri
corresponda
Uv
que
eiis Connus, m i.uil perni.
lst(
ises ph\sl(doi;lques de, (la geoiiielri
■ rique de la géouretrî
pporis
ecise ses vrais rap
ne pou\aiel
t d
oniier lieira
e euclidienne
es ortieclions serieUsês (.eiics
qui ont ele lorinulees d'une fai
1-
tiques étaient d ordre e.\
çon générale par quelque
prement pailer, elles se réduisent
que le problème de l'espace ne sa
lusivemoni nielapl
A
toutes a celte ailinnatioii
urait. en tli
ese neuerale
ctrt- rc— ohi |Kii le
JKl
le la rcclurclie ■^L•lc ililuiiie e\pLiiim.'nt
nicic I .b|icih rii. C-]'
( .iiniuu- la iiliiparl di
lurat - clait placL- ai
I r ii)H
a m
Kii Kanii
d'etiuiier ^cricUnciuc
incnlalc>>lc iiic^ rci.1
■assaifiit .
a loIi
IK.iiU. I ai ciiiiclu
illc> ili~i;iis>i-
iii-. iiiic Ires uraiulc ■-
ctaplu
li'telU >
iriiii. in ; vr
se tiMiixe philoi dn
liràcc a la ]>i'cciblo]i
narlaiil de preini^es
siMiis ali>urdi
peut cnciiiv air
Jii raisoiuicnie
lit d
11. /., > /'
de li Kll>>
~ait jaiiicii-
Il jUtie di
1.,
iK la meta
■ lUc niMi. 1 )aii> un a
/'/,//„
.pl
le d.
iiistatcr
ma tllei/l'ie " i-e~ t
pwLir miiuiic luiieii
.luilellsloll
allllell^l«•n^
>. Les :
iiMP!, El l:^l'AC^:
lllsU
.1 n'appartient pas au .
laie l)aii~ la A'.
1 ai
iejà lait lllsticc de cette der-
e pfiiKipalenienl par M (...iilurat.
eta inathe-inatieieii^rraiiL ai-, M ' mii
)int de vue de la tiieurie .; pn,'i! de
Il ne
C" ni prendre
d.
unie la peine
|ia-ie> e\peri-
erchcs et Km- le-ullai- Se- idneeti'iii-:
de ni
(-erle:
a th
Ap;
;lai
jta-niatheuiatieien
upelli u Ile -ur
cla sellleineiil qiian
d t'Ul> lei dell\
ai Dan» k
)té Ju pllili
piilraire. la-, antaue
ilu
rig.
fans
le ses dédiielKill-
:f. an. uitir lorceinent a de^L'Uielu-
vlue le métaphysicien, dan- le même
;r a une L.uiehi-i'Ui juste, -i j'ar ha-ard
:raille ^Lir la \ .ue vraie. //
. Iiaiiue d'a\is. l)an^ un 'iuvrai;e
./,■.^ .U.(//^
lll.l/U/l.
il elle le- pan
a iiiatliélilatique e-t une selenee
lU I >>n Ut
Il parifc ni si ee qu .m
math jmati'|Ue eiieure
ht e-l vr.ii p. 4 '/
du- se\ ereinellt
lendiee à ee même ciinrajie.
nilule
/. > M.uliciiiatUii^
.1. A
\.iul. il apparaît luui pdii-
e Kaiitieii..iii,iis coiiiimc iiartisaii
de I .
ivee rigret
s est eiraii_i;ement 11 epris t-ur mes reeliere
M.
h
;he> et le se
de
Us p
lires de
anaux, e^rit il. .luraieiil
Je muis a\ e
rtir
-V
.1 lr..i-
ris jailiiuaises n luil une
at, pat.iit-il que lespa
Ce 11 ,1 ijUe
ilestent celte (ipiiiion de la lacmi la
'E i\ i,i:
plus étraiit;e
■Vid
eut.
rit-ll p
/..; \-.,r
lu-K
adnus-ible ();/
aurait d.'iiiii- Je
'ipiri/J p
-/,.
'/''
^p.,
de .\| r..uicare iudi>|uaieiu claijrenieiitque le
.Mr.rKir. n ErcLiPK'
.( ,S,
p iM
qii une semblable tlie(.>ric n est i
p^'urqii.'i ,,■ ,-r.\ilci:r //.
.( ii'ius crur s.ins
C
par.
ment- de 1
1,1 ih
ecirie sur
leP
circulaires lui étaient incc.piuiu
ccuisacre entièrement a 1 cxpc
lalnriiuhe. me suis je abstenu
premier- ele
incliiuiiieiueii! des canaux seiiii
. ,\ussi. dans nuiii i.iiv raiie.
■e de mes expériences sur le
laissam .ui\ le^ leurs le
les ubie.Ui.n- purtaieiu a taux
e s. .iU Je lli^er eUX-Ulcllles a
M
uiluare .Il
lientc
m'expliquer surqui.i il basait s<
theurie I ecliaiiue des lettres ,|
S' uihviUcr Ces erreurs de compre
uuplelenieul a
.M 1*^
^^7/.V.ii^.//,^ Jc Jiiwtu'ii. prii\oqi
nullement Jl m itums i '."/.■. ■\ c"
dinlcll-i. .11-. l)e la, Cette lllu-ii
-es -eraielll t. «i
u n espace a Jeux
aire
dell
ur.s lap.
X dlllleiisl. .Us
1 -iiit;iui,erv
de
■qu
.-Ue-
111. l UieorK
inelira k
:, di.lin
U je u
ilCepls d'un
espace a
•lUx aiiim.iii\. même p
.lui de i imuime
ipie
se Usa II
de
tcirceiit a -e m. .ii\ nir d.uis iiiic
melter.l d . .rienter leur
n."
le me periueltrai de repeter 1
trançai- ce ,|iie |e disai-. il \ a cii
le
.mnienler ces citati
.1 ai t.
nu. iHiurtanl.
■t le le priai de bien \i.uh.ir
n étrange cunception de m i
,11 - en est SUIVI n'a t.iit aue
i.n. .\iri
.'aiiit clii
lapiv
de tr
pai
■'/./,■;
.riellter d.iils de
daient qi
■ dans le parai^raplie suivant,
.li laïuais attribue de no!u.ii-
r. .is r.u a
lai-
lellV dlUlcn-P.Us
un lab\ nnlhe aus
pari.itt
maux ne rec'i.ueiii v|Uc
le
directions di
m le-
. th. ils et
Ici!
1.
:space extérieur
;i aux uiet.i-matliematic
M l.
.utur.it
l.cs inct.i-iii:nlicin:i
Il le- b;
dcpart so
de l'c-^p:
1k>c
.[Uc l;i .leiiiw;i--tr.itii>i
d'un i--p:Kc .1 Ui>i~
;U1X adepte-, lie 1.1 ;
dii]ien-ii/ii> M:ii~ la
lliediileitable-, dcilll
d un sieele de l'eell
inenl piuir le plai~ir
niétric piireiiient un
euelitUciine j anrai
i.iins juJielnenl^. pre.
Minietfie non euclidienne, .i | i.n a /;
li\"-iiil' luie ne -laiirail lem niecr .ui\ lail-
'1'
da
^es Dlivr i;;e
erainl pas
:t même aii.v
ei a autre
>. s^ 1 e I
dan> le-
de M !..
R.
.\l 1
lir l.iujinir- lan\
11'
II
^l.Nb 1
lilKI I I h IN', M'
\'.V 1 11 i.\ i.l
liAM I l'I ^
-, !■
l.e> triil-! prupn-ll
sur le- lolUliulli d
Kilt ele delinitivein
p.inrsun les pendan
TKMi'S rr ESP.M.i;
.ndrfinl bien
.lud
1er -erien-
lUOl
a ete ei
iIk
ma -■ dutiiin du
\ tri.nverciiit. a\i
.hu'lKjiis lertiles
,1 uédllletrie
en ecMulu
d
M'iLiine scli-iiilel
Je Ldinpreiids tres bien
de m i- Cl iiicept--
liineiibiuns
■ np irrep.irahle
e\ae'tllude
a ele
_-\|)erinienlalc
.-nn.iiiree par j
s. el eeia niiii|i
i|Us
.le r
eeoniiailre
e.|ni\ aleliee d une tiec
liiinaifc a\ e.
1 indeslrn
tlbl,::.
U
leuret de re \ eiur élu
d . .rdre purenieiil melajdi». -.i.iue.
ilu
iilu.in-aiiiin.
.M
-ijUVeht >U1\ Ihecnie-
1"
les plu- po-lli\e- de 11 pb \ sinb ij;ie
lees :'cacte
; soUs
1
;ple
du l\ l.lliVI-
la iilu- ab
st Cl .nd.iniii
Kantien
ijil iUeinenl
bien eii
sciciiees
|U eh jibllosc
il. i. l.'sl'Ai
i.l i . i . •- --1 .\ -■ -A 1 i ' I N ■
h!.
iiit>i-~.\Ni M'-X-sA I i.i.\- !• in:,i:k
1 luNi i/i;s
vi ex l'.r i.ii i; ni-.i'i.x-
,.\l X sl.Ml-i IKi I LA nu
:h plus iinpi^rlanlt
Ill>.
Iab\itinlne
iilk
lell
Il clatilies a la suite de nies re>;
t kssu:
lie (inaranle .ins, son
antcs
1 KS 11 \si;s
// .A-
Kiri-lrll Ih'l/
■II.'
I j I.l
est sur
la b.
lireetidUs eardiiial
ille se lin
spae
a tn
uuensupiis
inluitlMil d un s\~tenie
Iroi
unes aux antres, svsleiiie sur leiiucl umus prujetiins
seii-itunis ,|iii iiDiis par\ ieiiî eiil du monde extérieur par
rgaues scii-MiicIs I. iuiai;e
itive se iranslorine en même teuii's en une
1 intermédiaire de m
autres
rétinienne nega
miaue posi
li\e NmIi
LunseleUe
s\sleinc de eiior.loniiees reC ani;ulaii;
ni ipic
len\ paires
llu\ iatifis ne il
'I'
lar exemple le pelruiuyzcii
ds seli-aiioiis de deux dirce
li..n-et ne peinent par euiisé. [lient -orienter que dan
lellx
dire
.■lia
p IV.
'aire de eanaiix eertaines souri
in\ xiiies 11 ont ipie
peiUelll sorielller i|Ue JailS
irieiualion proprement
iveol s
Il de-
entres iierv eux neee-saire-
uiainteiiir
directiou-
.cnieiil -iir le loiuUoniiement
(die.' le- imcrtebres. le loncin
-iitlil p'our roriciitalion du cor[
,^■ves Délaye. \ letoV llelisell
I:
.t leur
,aualion et I.l
iraJatii
de I
oriental i
sioii. aus-i lueii
>pii
lib
d'
moin, eineiil- r.itioiiiiels: Sont a-siirees prin^ipatemeul pa
.ipjX.
rleul .1 mu i u.ivr.iii
Mi.iRiF. D r.t i ;.U)i;
Jy Ji
rsqn on i tiiu\'ii
les pereeptlolls
/>:■ r.itli-ii-
Iro:-
me notre représentation
iblelloll
reelement
• rdoinu
rk
perpendieu
uTespond au poi
t f) de
Les animaux 1)111
es aiiiin.iiix,n a\ ant i.|U une
dansante- lapouaises e
t le-
ciisalioiis d une -eiile aireelion et ne
lk--ei cliap iv
dite dan-
troi- 4n.ins
t-a dire le eltoix des direction-, daiis lesquelles
oinplirles nioui eiiients, .liiisi que la coordini-
• ur s engager el se
reposclll pre-. [lie exclu-1
es canaux sciiii-Lirculaires.
iinemenl -eu
1 de
J\ sle-
e-pace en\ ironuani
iilUlse- Lies iniler.valloll-.
■ur llllellsite. leur durée
iiis les centres ner\ eux
a\ ipii 1
iresidellt a a auU'e-
/>,
1 Hilc-rmcàiaire
I lllUlL
:\W
au l.ib
Hiilat
l.u.Mii iiuiiiis parlaile
du lacl.
les ori;aiR--
(
es li'i
Liiiurcts .le- iii
utilisalh>n |i.iu
produire les lesullat^
llibrJusés cXPerieliee-. et . .b>ervalion>. heur
1" .lel.
Je lespaec sera expi
taee le-
eiise aa\ ail
1"
Iltude actuelle des 1
lapp'Ut au pr
ibkul
picsiple la pleUllelt île ces II'' Us pi'op
-eiisatli >ns
.ipal rôle dan- le pr
De niellle .|Ue |ii U
siuiels e
;\leneur-
seusalions .pu ucius
l'ei
lunai-s. jui
tiius direeiinns
-olldes : la priihiude
deeuuipi iscius eu de
a direct lu
rapporter
tKJil
\.,lr
de la direelicu
e collselelice C
O.
/. ^ ,//
iJlc
.111,
.th'JL
Ul et I a\ aul CDU uic
et -auittale p:
m
.Ul,
l..,rs.
a seulement cii vue le
;ilii|i
de direclli
de
lireUse- réel
ET F.si'Aia:
iiithe Je l'oreille. A défaut Julaln-
peut être assurée, iploiqiie d'unt
ir les autres i>ri;aiies des seus 1 (im
•te
ill> Ile lolit t|l
.rigiiu
s bas.
11.. s reprcseiitatKjlis
jue iiuus aurons
.bl
elucS a reso
udr.
e, eu e.\p..-..lll
Il l'at-
lulosiiphes Jet e-- luatheiiialii leii- par
Je 1"
.1 le 11 exainmerai
lllls
tLisilliill-^, cel
.le JircetlDU. aUN.pielles revient le pnii
.bleuie de l'e-p.ue
r le-^ Sensations de t.. us n.. s organes ^eii
Us prOiCtoiis au
dehors
e-. Je
\ lelllleut.
uerls
aiiip
llair
ie( aux sen-alioiis .le
:\ le-^ tr..i> eten.lUe
de^
luuiteiirel lal.uiieur l.or-^que iious
haque sensation
.tloll. p.
;lle en //,7((/et en l\i \ ll..Us ne tai-
Vertle
ainsi a n< .tre iii"i co
nseieiil la desiiina-
ite de l'espLiee cxlcrielir
point ( ' du
la Us L'e e'a>
nuées rectangulaire (-est en ce p. mit
liilld.lllU-H
t.iL--,. h.uit l'.i^, .iz\iii/-.irn:ir.
J'ai désigné le baul. le
e les directions verticale. tr.ins\ er-ale
Y/ ./.■
le lia-, le ga
U ..n parle Je
k
.lie cl 1 arrière
.ruile
lircctioii.
.les t
r..i5 -eiisatioiis sp
n
plus iniporlante^
déduite de mes n. un-
ies erreurs de perception des ^ellsa-
11^ li.\^l;S l'i: 1^ l.l.liMiTKlK lil.'.i.lU>l
u.- 1,-
..■111. int-
du pi
li..UllHHl .[lU-
a.; ac-.|
ul Je lep
L-iii >cn-. I
l u-,; su 11 OUI [
i r.i.uirc scjî-i
LXCllipl
.(Ut.. Lit au lH.i
ir..il un tuh
-1"
"-■r
;U\ ,.U^ ,11'IX'.
..Il 1 .tan-t.j
,i.ii-ului -le
Je
'Pr
■Ik-
It; Icpicilvll.' au>-il"l
u.uuliu lu .u etl-.
dct.i ï.'imle s.
P.- U ar.
-,; iJluleal
■..iVL'Ut u .;•» 1
ml lo plu-
.111.1111- nitL-lliu.
Iruilc p....:
r.til des lUii. ;Uc- .irtiûciollc
i.uteur. M.-
..icdle di.
'. l'.iulie-
. . dlt-li 'kl lo i.KHl de
.,-1 -.1 iiu'Uliai
il.
■ai..
.... i...~.i.. .1
la m:i-^e saiiuuiiie.
iii 1:1 -.nli^iaiicc imwi-ul.iirL a bc-^oiii
aux iiiltci\nt<-'S pliasc
ic'Ulp'
a aiilic-. iiou^ )i t u\ uns
ic lati^i
de tLiwii.n
ou
^uriiii.na,HL-- <_
c iiilracti
■1
(.)i:
pliLii'iiiu ne |i iiliiih);
Il csi iiiaiiitciianl
iici'K iiHi^L ulairc^ ce
les coiiliaLtii.il- mil:
-Icllcllli
L c 1 1 1 : c
acciiiiiukr, en laiii >n
liiaiiilciiir le iiiiius 1111 -iLiilairc
<Juant a Je- -eii-atiiliii
lllcllt illle. i|U un
M ;lle -r^ll- le llulll
A ii—l
■..„|lle
il e-t I-
e- l'll\ -
.1.
iist
rellllleliues.
'.■I"
,lll
par exemple.
\ cmeJll. ne p
le ph
e lie- 1
.lit e>lil
.■Il\ eut
l(iL!l-te, lie s
p.llell.. nielle-
eleclJl.ple-, \
iroin enl
!['•• ineiiii
!.. Il Weber a\ail r.
lail, >pie m. Il- peicev
11, ut inuu\ement pn
-I t..nlel.ji
ite lie lel
'P
.■t.
leiulll Li.lll|
relit- lier
1 ..blet cl
J- .lu t..iicli
H.i-i sur la ni
'11.^ I i.'ii I
T ISl'ACE
m ac
ti\ité et lie
mils
p,,- De
. n-ati<.ii
.nlracture, -iirli.nl apie'
leur
leiir-
la liclileur niii-ciilaire. en tant .|iie
e urajul- ub-
lacle-s (.pi
n..Us na\i.
pa-
a en tenir
tabli (pie L.iile-
itripètL's. .pu -e
iilairo-, |>ar\ leiineiil pMr
.ilin
j- racines
rebraux et meililllaire-
lorc
.•xcitaii..n. et c..iitr.biier a
iliis ba
.-hap
III.
.ntr.icti.iii inusculaire.
.11- iii..n- inu-cii -
M'
Il en rece\.
aucune
.niipeteiil- n
j|'
■aient il- plu- a II
es -eii-ation . pr<jblemati.|iies p..ur expli.p
m ik
,plle-
;ptl..n-
.inpiruiuc
lel-
l'aille lie
llll-il
el'ee- e.
rait et .|
ïlte rai-i'ii i|ii
l'aille liellUi
•lie
le lies perceptiun-d csp,
rh\en\ lestent imiiiobilt
ce peuvent
pu
l'nté la tl
De
ie.»rie lie
. Il i liant ce
l'etc
la I
mure eu
,Kli..r-iic
ut ilil. avant l.i m. nu àw rep..-
nous! 11.. u- -online- prc.il.il.leinent
lu.n rclalixe à 1 .liile île- ililté-
r. ce ipie l'on peut laire pr.iinenant
( )ii" !n.ui\iiu-iil ,
;ri\ai
t Weber,
/i//i
lUiriiuill'. ./.' I!
,Ks K.\-ls l'E lA <.^-»Mt'"<l'' l'I'. l.KT
Ce n'est pa-i;r;'ice a un p..uvu)r
«ercevou- le-
uiiai-sance
inu-cle-.pie uoii-
ikjUs u'a\ I
dition ipi ils pui-eiil etreper^
muscle ace
ercus
.mr
beau.. Il- -u-cel
ilil lie- nio\l\
eineiil
■ lib'
.■ire
■/;; ,•/'.'/■
/ ./.'
Je -eii-atiou lubereuia no
luvemeuts lie i e- il-.-'. :".'er-
ni..uveuieu-- qu a la -.'U
>ar
.mires -eu
- l.or-i
u un
-ans p.
.luire lie in<»iii-
n-lalee- p.ir
1,1 \ ne.
.11 par
\c i..iulier, n..us n .IV(.n
nu
Us
iu..liveiue
nt-.
jomine i
1 i
une p:
NoU'
,1,- le -eii-ati..u iiui lilji
Ve ire- uelle il.in- le-
-ellt..u- le- tell-li.n-
,laus le iliapl.raiiuiê même,
ut.ui- la p
nuii- ne
i il.in-
re-1-i..u
-rceiit -ur
û.ie et sur le
./.■
(.
.mille
nt la -eu
-.ition I-
lurrait elle
lu- i..it
ni
iilniri
■' ■> l
u- iuil>..s-lb!e ipi une P'
1 -en sa
Wuii
Jt
tii.n il amertume
^^..,1 \u ..bliiié il.
l
renonce
.'Usati. .11- luu-i ulaire-
de 1
Cette
iuesll..n e
,1 discutée
/>.ls ( >iirl.ll\iili:ti: . o
il e-t
iiinaissance
de la direcli
.U-eil
Uellt,
rell-eli;
iuiiement pre.il
ibl
urc..ii-cr\erauxcontracti
U alor- re...nrs aux s..i-ih
.•raU pa-lui
.ntractioii
.•- innsclesquiparvien
.Irait a notre c
i.iraitri
.-tte luj
.Il lA.
,a. iii
:-te du plus haul
-erait propr
.u\ eiiieut- li;
.uscienve
jràce ji
Du eu a
de
:- ...uipri-
.!lUa, Mon-
d un luu-cle
apercepli.'U'
.utractîon
uuedl
reciion.
étendu.
? i eci u e-t p.i-
uipiri-ie
.•r a la p.
\a;ucu i uinie
;bilite d'utiliser
aiitr
, de -luue- b.cai
dau- uii.u "ii\ r.
proin e,
it precei
euire auii.e-. i|
, cillent et
.lerijier ne p
direclioii
rut
.uriur ai'
un
u- mu-culai
re- le r
.leU.-
ant
;;; i.i;
1 jlle uieuie.
.uscicuce.
.,^^ ,/ ninii'i.-i.. ■-,
lai- l'iiiiier\aU.,.n
.Adi!i~aiiu
il.
-te 1
â^ i nu
. - de S.1M-. t"-" 1'
H
riMi'S 11 isi'.Mi;
c\nnKii iHK-K|Uy peu alcjiul. l.ii l-c i|iii cdiicciuc d .ibi>rd U
UIIICI'. .liions
■/'
J/■•^
-•risatiiuis i
|ii,iir la aclcniiiiialiiiii
s.iii\ anu- : l^r-. ,ii_- ;_hai
luit
a itali-cr
ni.- [ihiiiVLiiKiit, ineiiic h
acliiiiis imii seule nu- m
app
ciui 11 c il 1111 •iraiK
aiii.iij
.Illsk
cm ers, suiit
llli.UVelllclU Ile ilepas
.lit .
iiiust lesauxih
les iiU le lie .lu
./;//,
/-. iih .7
;. .iiilit I..11S, I.
M'
but et sur 1.1 iliieeli.in
les lllUseles de Id-ll. I
e'illte >l llllil-er les sell
. eux. les lllUscle-
sp.elr
ahl
Uh .Il\ eiiieiUs
leslc
IhJll Ue
IlliiUlsIiiU
/>!■/ . . pll/'/'c N. .Us sell!
|..rs>|Ue 11. .Us C..III11U1I
Al
/.II,
-■/
il.-
.|Ue ni .Ils hletli.lls le-
ii..n
.11
lllc IK.lls
pr. .paue d.uis
la tele.
lu tlClK
.■\ti\
iniiei'valinii d'i.iit il s■a^lt. ./ ^///./id.mv
Ile pellxelll uiuis el
.lueuue u
lilitt
lirec
lions
el cela p. 1111
leiue
lit I
e iiiiiu\ euieii
I desii
auires uiuse
les.
.lit les
paî> Ik.- hul, taudis que d .llltles, ,|U1
les e.»;lréiui-
//,/,■^ l'Il/s
lires, sont destines a tl\er
■ll.y llli'lll\IH.Ilt\ p:'lll Slli.J
1.1
Il ,■, //..// \
Jll
I. iri/tr
/■ / i/if/ri i\i/i,iii ./is III, r
iiuiuellt supposer une d
sellsaticills
i|Ues puissent u. .Us renseigner sur le
l'un inoiu eiiienl .'' lui ee tiuleoneenie
.Us lu.iis heurtdiis a la inenie dull-
iihiiis d iiiner\ ,ili..n p..ur disMiu;iier
.-, dail|S les elian^eineiils de piisili..ii
iiilagi.liislespiucnî eu.ili-inciil un r..le
laeililtant, s..it eil cmpeeliant leurs
1.^7. )J lleluill. .11.' lui lUelue Ile Ill.lnl-
iil auce 3 I c!.;.ir
iii..t -iirsesil,//;
d de
S
c UKUll elllent .1111 résulte de 1
,'.//
.f illUII.-.il.lti'IIU'Ill
.Us (|i|ie nous laisi.us i|uc1.|ik
upiolis une pareille iiupulsiiiii
M.i
I iijil' l-iii'ii imiHc.u.il,
ni l.U pli l's/,. /..;./,' qll!
'/'
ippr
J
iicrls nii.ieur-
daii
:Llt dexelta-
lililiUz
leur ex^ltalli.ll be
luit 1,1 .-..ntraeli..ii
Ils !-,Asr.s :iE 1..V
iKii: 1. Fr. rii'i:
ivc-ei et le un .\U eineut des lueiuliri
lUe nous avi.iis
llurues lais
itradietii.ns et l'inA-'ertitu^
ivis d une l'aloii luv.n
Il laeileincnt ree'
ar^uineu
diale
ts C
lue
ne Peut
:-lre " uniiiedi.iunu-ut pereeplib
U>t;ie 11..US apprenne que des
L-elles-ei ne par\ienneiU , quand ,111
par 11.. Us'.
.Mais il \ a
d liui par t.. Us
.•l. quoique la pli\sio
t mi'v.Ui"ii >
un t.iit iiu-oi
WslOli
■Hlsle
..•ireiilaircs ser\ eut a rej
site
des
miier\ an. .Us,
ier el a i|nes
aussi bii-n
V..I0UI. lires ,|
le d.Uls les uloiu elU-- lits relie \e
In d'autres tenu
nient
iuner\ allons
d lunerx ail. .11 p
.urraieu
( oiu
t-ellc
.11. .11
.Us.ltloUS
direc
meiiie plieii.. nielle ne pcul cti
.1 cllet .
V. Ilel
si le premier ph\
table,
st il lie
luisent,
.■tre per.ut
.niui auiour-
■,inau\ semi-
surer la aur
laiis
.lie
le
.•t 1 luleil-
111. .u\ elilellls
es ( >!ir..ihvr'iii
th.
ils u..uver
ueiii e. .mp
'lélc
Il 1
es st..l-tils.iUt SI
eiis.itlons
de 1
lion el d'espa.
eur ^i.te a la Pcr
.il et
-Itel
il. .lo^ilsle
.111 ehcrelie .1
m mee.iiiisme. aussi
.■', iler la supp..siti..ii d u
.-1 eela en attribuant aux leriuiiuiisoiis nerveuse
iju raiseiu
s de 1,1
Ma
1.1 propriété de pelt
el la proloiidelir
seul leiraiu aUniissi
.liiwt
le nui; a posé :
ble pa
/l'IU
.l.ipp.i
trois
, th'iis 'Il
du pi
■ hh
me .(.■ /
llllerellles
• !\-p.i.\\ .1
Kl. ,■ Ii'l'^I ''Il
iieetiolis-to
point de \ ne .ilipiri.liu
et
1'
•iih'i!! la larueur. l.i h.iuicur
liisi le pr. .bleine de '.'espaei-
r le naturaliste . i.'>-
. i.ntx s.rijiii .1 ' .•. ■ ■ 'i-iilii-
II. mil- solntior. s^ttis'.n^.ml
■t po
j- par les y
.ml
.-«ariisaiis ,ui
Contre
les h
.thèses ,U
.•t dM lleluill. 'Il/ ^oiil e..iini
Il ont 1
1 pas b.
-1 elr
11-
.Ute
assez Sérieuses pour .[U
U....- !.. .U
il ne tul
Ikiii
xpIk leiluiU
( es oblee
.•talent
sible de ~e pr.'iione-cr
IHf l-/i.it.
L-Illl\ les ,iu-u\ h\|i(itlK>c>. (clic lie lleriii- IMVselil.lit
lav.iiil.iL;. ,1 nue -iiii liieilé- plu-, ^r.iiuie. I.lle ne semblait
.1.11 Ile-. .111 d'il
ll.ltllre |illl\ liielll spe
rie.'iees .1
■I
iilaluii- et, loin en b.,rii.li
llel. elle n en piiu\ail pas
ilil;-er 11.
.iiii.Hip pin
.Mal,
Ir.'U'. I peu ,ie p.ini-
( ,
- ll.Uls -,
'.l-,...ll:l ,}: In.
serrée le- lliLi.rieS lie
deuil. lllrer IcUl" lljslllll
eli../i.,L.,i.pie. l'iiur p.iiix
lie 1.1 relllle. i uile et 1' llllre île les IulK.ll
d a\ . .ir rei . .m- .\ des I
11. s,, plu, ||,^.. ,||,|_ 1,1,
ells,,i ,1.111s le ...Isde II
puren^i m .( /./.-,.,/ Ici
an pni.iipt .ic eaiis.ilit
eMiiser\ er l.i iheuj'ic .
.i\ ei r,ns.,n iiiii
saii..)ns diniuii .hkui
.M.ill
K 111 1 iiseiiient, 1
les Sicile-
dans une luerileure |i(,
d cN.iininer ,ie plus pre
contre s.i pr..pi-e inc(;r
den\ Iheoriys ad\ erses
les perecpti..iis \ isnell
eelie i|ili II- i.nl dcrucjr
une tioisiiiiu- p,,ssihi|j
1' 'ppeineiit de m .s jiere
'r..preinent aitc
pins |ii-kiiuiii de " tluonc di-s siunes I
-es a '. .Illl.li;
es ,|Ue prcsi
p.. Il
an\il
i.iircs nltcrieiires. di
M'
p.ilir 1.1 del
enninalion
sa vriiseuibl.iiiec pins grande, elU
ause du II
/„
'pie de pleines
'/ /.■ .Lr m II mil, lu'i.
w
nii.li s,,niiiii ,1 m
le eri.liiiu
rin^' et de llelinlh.ll/ et cllereli
point de
\ lie pilreinellt ps\
>n e\|ill.pier les perceptions desp
lieses SI .1
t obli
\ poilu
ni.\'il
laires, pnreineni pin
leii sont t,,nl a lait iiu raiseinblables
-■riui; I, ou s'.ippuiellt sur des coiliepls
est le cas de llclinlii.lt/ ,|in .iilribiie
.■ iiiie" origine ./ fiu.rn. .\nlaiil alors
/"/.'/■/ pure et s|ni|de ( : est doue
\\ iiiult n'.cilinel pas le ride des scn-
ivpi.lliesc empiriiiue de Wnndl. ,|iii
I
ocati\ coinplcves
Ile se trouve p.is
tille l'mir s'en coinaincre. il snllit
I les objections ,|ne Wlllull lomillle
e. l'iMir échappera l'alternative des
c est-ja dire de lelle ,pj| Considère
spacc coinine innées et de
de 1
d'érieiice. Wnudt recourt
^■. iiotjaniinei't a celle " d nii de-'
ptioni, ,|ni précéderait Icxpériei
e /- Il lualilie sa théorie de -c'/zf/
/,//(.•, ou
locaux Complexes
nierait cette ll\ pothesc sur les h\ p,
1 t:s l'.vsrs \)ï. L\ oi.ûMîrKii: im.ii Luu
lliescs c 111 iiriiiLtes antérieures son ; plus i|uc pn i;ileinatup,ie
parce ipie \\ uikIi. Ini.ui'U plu
U\ éléments on
elcolul IK
^\
lui-
lus uravc
des objccti
Us ,]lll ;(
eminriiiui s auterieiircs
iiitell|i;rble le l.iit iin'ime Conibl laisoii de divers elemeii
de sciis.iiioti donne naissance a
se tu iU\ e .i.llls .lucun de i es el.elne
w;
niKii 11 .1 pas rcussi ii relater
ne sauil pas d ailleurs, continuel il. ,t,' l.iii.- Jrn
billee vie
de sinne-
m, Ils uiiiii
ilemellt d
sensations inte; iciiivs di.- t.ict. lournies par
.ui\ .le la rettue reiil
cxtciisil, cuises ,|ui il appar.ussein d.ins .uicun de ces élé-
ments pris a p. lit. // D.llls les prL-ieilellts cl.iapitres de s..|;
étude. W uiidl lui-llieme a prolUe iUs.pia 1 ewdelice iJUc
c'était .iiipi issiblc, lois, pi'il oppo, ait la même obiccl
théorie de llelmholl/ et, eu i;eneral, a tontes les théories
Il .1 pu introduire de m .11-
././/,' s /,■- f'i-i, L-f'iiiiiis. >"i:
neiile a sou lu pothese la
lent rnine les lu pothcses
1 il un mo\ en de rendre
une rcPl eselltltlou tllll lie
lits. t,iiil ,pl il reste isole T „
tte oH|ccti. .11
.ictii'ii Cl >m
1 a-il.
Uses d
erille les ca
m iLiiis ,iiicuii d
un oràrc
ion a 1,1
einpiriipjes. I.ot/e, d.ius s,,u iiefiiur oiuraj^c' uonl iious
avoiis Liie ,!illcnrs de iioinbreuv p.iss.it;es \oir ( '/;/-/.;/m
rinlh , aiail déjà, d une l,ii,-oii béaucup plus nette et a yc\i
près iriel iil.iiile, toriuulé l.i nieiiie
einpiriiiucs. et W'undt recoiiiu
ipiriii
décisive de 1
lUVraue
,1 cet cent j'ublie en Iran
impression, ne
l.iutc
d'ailleurs p.is lusiitii
.riti.jUe sur les thcor.es
Il Ini-meine 1 importance
seul reproche uu il
lin d être relUlMl lU
peut elfe |M"ls aU sericll.X et U est
de l,ot/i
i.c ../ CI', .■/>.'/i/// .(t'^ lr<'i\
lions -.pi; : li\j!i,s l,'iin.i\'> p.ii
ci'plifii Jniil l\-\!sli-ii,\' .1 de pi
i //, .s i:\p<-
ituciil.ilcs, ^fi'iil liiiiihir .iiiv ///|•■'^/^■.^ iiiipiiu/ii
i/c i.i i7.v/('// hriiih iil.iii\' l.t ^('iir
I S.ir^l.i u.iiii iu..!i d... 1.1
a-- V
IW lunl s .1 1 .11.1, ■ ,!.\ s.-lls
■> ii.'i Ls .iiiipiuldir.^. pt'
i/c
, /.',
>//( ,\ou,pt ,/.■ .'/II.'- ,-/,•
R..U. fh:
Iiirs. ,1111 ,,'iii II:. m, /Il
di.lil liiiils \ cliMii-. lie
i.nit de iiic> icclicrcl
iIl\ c1ii|1|ic1 -i:! tliL-dnc
iliiiic 1.1 |)cr>.L-|itii>ii di
1CI1SI .ncl sllL-i Lll, le l.i
\\ I h\ Pi .Illl-U
ae I
W uiult riL- puiiNciil r
.( Il'//;' A'.V //,■•. ^.'V^. ili'll
//.■Il
.7 J'i'^p.h i- (■ c^t
pu (.H niL- une
)inct
1 ii|iieN |iurc^. I, e\cHi|
li|l^-:ilt II-^ Il Ils lie 1:1 lii
(iIm<-i. UN est .1U--I |iriil
,111 -clllUX 1.1 -lllipiiMl
iiiH.iiiL-s lin t:K t rciupi
lie I (u'^aiiL- lie la \ lie
et les 1111 lin elllellt-- ili
\ IsUel . lailills ,|Ue le
i|iie ~ur le- iih|els a\
I iillt.R 1 lllllllcJl.il ihlil
\\ eber ilesiuii.iil SI iii'
II el.ilt le pi
Si, a rép(>i|ile iiii il ecriv.iil 1 etiuie
larler. W'iiiiiit a\ait ete plus au ecm
es, il lui .un, lit suili, |iiiui piiiudjr
sur lllje hase lUebiMlil.ible. ii'\ iiitm-
stl'ciis illlei tldlls .1 r.lliie illlu iili;.ine
h\ rillllie lie I iiiellle
lelillg, III celles Je llelinln ilt/ et île
en eolitre ee lait bien et.ibli i|Ue ,v^
,/i-s r..f>ir-., iil.ilinii^ .i./iV.'s ,/i' ,/ii,\
ainsi i|iie l.neiigic-iu S.iiiiuiersiui .i
le, ctiiilier I .ipti,|ue et les ni,itheina-
ie il lùiler i|iil, ile\enii .ueugl-e. eta-
iptrii|lle et ellserunail le pi il Issane dus
.lut (est a peine s] liiii peut prellilre
lU i|Ué les seUsalliiUs tiiiiinies pat les
uej.iielil liiez les .i \ ellu les-iies lelles
L ii-il: uiuis reiiscii;ne sur la pdsitii.n
Us siin\ enl
( nniiue l'a luiintré
seul lies lin iil\ ellieul
est ile|,l .le llaline .1
lllellts II I Mit p,ls bes. Il
il- être CDlitus elle/ 1 .,\eu
tlDU étaient liées aux
iriiJllle lie ei
elle L llerellee aillelir-
taet : le [inint était J
lie par l)elbiiiil.
ri .Mi'S j-.r KS!'.\(:i
bjcl-j extérieurs ilaiis le ^ra
Uit esnaee
urganfes du tait ne imus renseignent
■e lesii|Uels 111. Us nmis iruiKuiis eu
iL-lroit espaee laetlle. ( .e i|ilc |{ -11.
le iiiiin lie ^i■;/^ .-.p.ili.il ,/,• /./ />,■,///
i|Ue Jo hCiis .II! Ih'ii . ( h t\
Donders, les .neiiiil
i^les-ues aLLiiiupli-
iiiil,lires tiiut a lail reuu
llers (
iiiiiis l,iire sU|ipiiser .pie i es ininue
1, piiui se prcidiiire, lie in is sens,itrciii-
llclie-. .\ .|ilel piiint les cjiUiepl- de ilireetiiiu di
;lè
le- sens.ltliills lie ill
iiiiu-rvatiiui^ „ d
e ses lUllsi les I II U-
ilTCepts diiil diiiii liecessaireineul
,Jlle ilâu- 1
a aLi|
e- iil^.ine- de la Vile et du
iiis ,i\,iut nies reeliei elles sur le
l.ilu riiitlie .le liiieill: i voii aussi le la- il un aveugle ne,
,iaus ( Un Lihvi iiitii. eh
1 Es liAsrs HE i\ r,Ki\ 1 rKir ni ni nu
h)
l'wtir beaiieoiip de r.iisi .ns d'ailleurs, l'uil est ninius apte
i|Ue le labyrinthe ,i ser\ir d'urijalie .iu\' seiisalicms de direc-
tion et d espace.
I I a structure .mai. ■inii|iie et l|i pusitinii de I appareil des
canaux seim circiiLiii e-, ainsi inii- l.i distribntn m des teriiii-
1 I
nais. .Ils nerveuses d.ius les anip
iklles et les ..liicNst
es sei. m
triiis pl.iiis perpeiidicul.iires les uns aux auties, Muit tout
particuliereiiieiit appropriées, ooniine iious lavons dci
dcia
iii'jntre a plusieurs reprises, poiir reiui'lir
le rude d.
lu sell-
,1e I es.
structure et à 1
eiiis raïuilii alh lU-
l.e uerl dit aildltil se coilipjise .le deux brinches ue-r
Vellses, entlireineiit dlsimctes i|,i.iiit a lelirorii;ine. a lelli
centrales : le nerl vestihn-
de llerl de lesp.ice. et le
lltll propielllellt dit- .Pleine
.■ Comparée, il existe entre
laire. auiiuii i
Il 1 i ai .Il lUne le
nerl coclile.iiie ipil est le nert'au
.111 poiiil de \ Ile de l'eni hr\ olot;i
deux iierls une .litleriiice tiapp.inte laudisi]Ue. che,-
lab\rnithe de l'oreille ipii
les .iniui.iiix inlerieiiis. c est le
apparaît i^eiiei aleinent le premier, il en sei.iil autremeiu di
11
lomille elle.'
>1'
apn
Central du iierl purement .luditil n apparaitr.iieiit .pic plu
t.ir.i. et lueiue .ipiis la iiai-s.i'ni
(.'omiue l'ont m. .litre les recherches i.iites par 1 ichler'da
lees m llheureUseUlellt un-
ie laboratoire de 1 n.lwii;. et ri
.hevee-. l.i circiil.it
-l.H. K
- raiii;licatioiis
Ion sinniiimi ne - .u . oinplit i
lit pas de 1,1
iiieine l,ici m ihiils les caii
uix seiiil-circuLures et .l.iiis
lu
loll. \ ces .lilleielices sont pr(d|ableinellt liées lesoscill.i-
tloiis pnlsatoires de I ell.toU luplie et de la [leriK liiplie. que
1 ai décrites pour l.i première loi|. en i"^7s le l.ilniiiuhe .le
lOreille possède .loue deux orn.iiies sensoriels iii.lepeiidanls
t\ iiiorph(diit;i.pieinent distinct'
liions dé la h.i
rece\ . iir les seiisa
scii-aiioiis de direction des -on-
• m 1 un est de-tlUe ;\
des -. iii-. et 1 autre les
ans 1 esp:
1, aptltil.le lie l.i reluie à ivH'Xoir des -eiis.iUoiis du
monde extérieur est bornée, en cp .|
lli Cil.;..
m Concerne I e-pace. an
.liamp \ i>iiL-l sitiic dc\
L-^t c:ll':ilile. ;'/./. ■• .' i
rL-cc\ uir. '■iiinilt.iiiriii
cxcitati'iii^ venant dt
i|uc Ici ..bicli c\ti.-n
iL-nlt-i i)uii--Lnt iinpi'
retint-, il f-l, .lu c(<n|lr.iiii
le-, veux,
.1 i.\entui
ilier subissent des c\
i Vt:>\r.\Cc ;nulltil lUr
i l.nliii, le niinlc .
-ente niK- 1
anii-ular
I c--\tiiaiiiin cl la
/.,-w7
IMl'tK lllKlc i m
ncntionncc ail nnnicri
ii/inll.iiiriin'iit i
irccih ■ni
t'iiiacc
;\aiicnuiil /./ .///.■. //
,aireiiKiii tire |icrvi
.'vxcit.itii.u N(jn> pe
i l'cnviri.it iiu il a cte
'ab.
Uc
la lii
\,/, /. ;//.■///
.//
I //.///
.iiilr. ■
e pro
■ sui\ iinl : m ai-
.iiiii nciu-^
.lit la 1
au 1 ..a.M.ii
Je- I .
. luUlli:
.,llr Jl n
1,1,1 , (11. .I.l
ticil ilu molli
IKMPS I:T hSI'A, !■:
aiit elle, tanJi- ii
) . riiiJiii tihilitr I
ni e-t >.//;•■ .//. (//;;.'
de I',
//,/.■ /',M/7
/,'/;, lies
toutes lei direction-- de I e>p,Ke. 1'
■.Une-.
■sMiiiiner
dans
les 1
des direetldll-- dllle-
niints selisi
bU
II
idispensable que
leinelll telles de la lete e
de la
.rps
Igeinellts. S(JUs te
r,ipp()rt. ra\ antai^t
re-.pa
Ce visuel est tuiii a lait Irapi
a lit
iDiltlli'niienient dt
irt^ane \ isuel
plnp.irt dei autres sens tonniw, pre-
reiitontrc
pas
exiji
(lit e
ticiiis de 1,1 rétine, tle
ineine temps et 11 .//.
un du corp-
.extitant. (jràte à 1
(///,• dt
iitii ii.lt
de 1
lit
iirellle a
es cxditatliplls provenant de tullle-.
, la pi'iili
lu corps e.Xtitaiil, ,,n p
/,,
■■llr ,1 .
doit 11
dep
lelldaniinellt de la .//
dt
■te\ oiis le son
iiuinédialeiiient ; i|ii.nit
diiit.
iiiius 11 en rct, .iiiiai----
.lis t. .111
7 .^<|// .^^■.
.//.^ J.-lrniniur
■t .ri.,
/,(/,/.•
,//( hi\->iiiri- /-.///I,
lit al.
rs est a peu
lions II., tre iet;,ir.l .1.1 Ils la .liretin.n
rteptioii, aliii
.iinaitrc le siei^e
l.liic (1
fêritui
l.ihvnnlhc .lu l'..rcillc |',.i i .pi"
cl Je
l.tpiH.rl ili...'
>.>u .i|.titil4t'
acrvii tu llu'liit
.1, i\.,,i iHii .'.il-r
I ,. il.
.Uni '
lii-
I i.s ii\sLs m: \\ i.LO-M.TKii; niiiiu'i
et 1.1 iiainre
.le I
extitati
.11 . ,u le bruit ; /'.'u it.iti"
P>
'7''
■It-
et e\ eiuuelleinent au>
C-llr
liriL'
:v h
trnll
Sjrsjc-
■iirluiii.- Jll l.lll
// ,/..
p.ir L-
puis .|ile te l.lll a el
.•tabi
1.1 prcniitrt pl.ite .i.iiis l.i idapart
st-;t-.lire de l'obiet axant p
iii"ii:\ni.ii
/>,/■
i de la tele et du Iront
l.ihynii/h.- ./ • forril/r ,/<■
l'ii'.tih.-s t"iiriii't l.r rjis'iii
'/"/>■'
.uii'puH.ii/--^.
leiînt en i"^""^.
Kireil lies cau.iux seini-tirtulaires, .\l.iis ptu .1 exi'er'nien;,i
leurs .,iii .is">iiiné la t.itlie dlllitil
pltler nies experielKc
.s. ail 11
irruer a une iiiterprclalitin
plu
a 1.
'ublit
.le de
.-lie .lel>en.lai>.
Mll.UlX selnl-CUt'lll.l
,llll,lllte
.mine une
les résulta'
,11 interi'ret.illon
>b-
rv.itii.ns
ai>
repr,
lu ire el .le
m. .u\ tilleuls
.ula'.ri
. tils i In prêtera
le mes retliertlie
11.. UN elle. t. ,111 en t.iisnii
lui .leiiUîse
s .lUe t iiliis
■ar de
;iiaUi.ns .lep,.ur\ lies .le sens, tel
.e .pii lie pouvait .|U'aineiier une ton!ilsi..ii
l'.iiir al'i.ulir a une iiUerpreJaii,
^11 i|lltstlo]l. il 11 \ .1 .[U lin seul 1
.llerther le but es-.eiillel .les pli).-n, .nielle-
ihs.dut .le l,.Us
Uln
lun. .nielles de la niitne à
les pi
.•leruiiiiee par Ici
iniusieiiieiit .ibai+.ii.nnee. sera t. .il
le\ 1er puissiiit li.rs.juil s'anii da
ex.ivîe .le la dePeiidaïKe
\ en. telui 1(111 t, ,iisisle a
la tontormite
r linalUt
lelf..!oi;ie. si
neiii.mtiies nal ur.
l'ilel peut elle 1
bul
.inpiexes
uiie
rlle il. nie extll.Uloii .Ht I li tiif Ile .lune p.iire de tan.iux
lours p..ur ii.'lre esprit a
river a reiileildenieiil dt
ri;aiiisaiioii. en \eitu .it
semi-tirtul. lires pro\ii.|lle des l)l,,ll\ elllellts rtilllllers ,les
ilaires. de 1.1 lete ou dil Iront, d.uis le plan même
ou est siiiie tet.inal"' l Ile/ ditïerLiiK animaux . ..n wu pré-
dominer les luouvemtiils i.ialot de lune, t.iiili.l de I .mire
,bes
•ariit
.lu.
.M;i
.llllsl
[Ue le I ai lUt.lUre. ,.n peu!
Ii.rc
IHMI'S 11 ^■'^l■Al
1, cil iciul.iiit iinposMblL
.1 .i
e sa
iiMi \ ciiiL-nt-^
llhllh .n.lll
.11 r.>iilL' .;
I L-iir ,'i I
L, Al
il ,/,■ /.( .jii.ilit.- J.
■l. ll.tilnll
.1.
/i./ls .un
iiiie rc-i'lc rciiluiL- ^i^iiiliLiiliiiii
il
.lllc 1 ILIi pIcUI'
I'
K
aiiiiii;ui\,
.'.une iKcc-^^iLc im|n.i
ain^i .|1K- Il ill--t.llK<--
a.- la
JcK
cil I >in l'cci
.le l'iirijaiK
I.
aiiprciiiiciil l'ia ',i;rc-
imisciilairci ncccssii
:lie\
U ac
lcllc\cs cllUc
1 i|UI "\l\ lia Jllx c
allNlUc cil \ cllll
le- Pl'cllllcis
laii-- le- mil-
ai-
hiliitiMii ac la pai 1 ac
|cu de ici aaiiniabl
iiiiditic Voir
iiiiiialiMii
ic-i-laiu
c- clecli
Kl
I iiiaaiil an but
Ili-ilUC 11 Mil [Ml' I' 'Ile
ac- iieils aiii|iiillaire-
ni'Mivinji
ni' iii\ ciiioiils
te
te, -i
M cXcCllter,
/./ ,/,/./a
excitaliniis
■/// .///
'II.' J.1H> 1rs i .iii.ii(.\ sriiii i il, iil.l/rrs
linii ,hi i-.ivnii :i-.iii-/ J.p.-ii.l /■■;'////.'
//
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• Il ./•■ </ir,; Ih'ii pi
.,//,
I //.-,/.■
-t la -eulciucllt
ulaïKc ac l'ap
av rapp' ■! t au labvniillic
iriiniiic |ioiii- 1 Imiiiiiic I
i;ii-c ac leiaiiiiiailre la
ac /'.'/'/,/ [lia. animant ce biaiil. ci cela
'riinitil, H e-l
a un bruit.
aus-i bien .[iic
ac r,iiii.|iic
De
la airtcthiii, il- clieiclicnl. a\ec 1 .iule
jca .iivnr
la
(
lai-, m
t. il-
•Ilt a e\ecUler
111. .n\ eiueut-
"»!■
ittciuare leur but ( . e-t .un-i
li.niief au cmir-
aui
Ic
r.ipp'Uts
i aiup
ulla
cpri
•Il
c- ucrl- uKilciir-. r.ip
phi-, 1
i.irl.iilc
a.iu-
•I le-, aeniier- siiiil î^Kin
tnbutii >ii
ai
mteii-itc- a iiiiicr\ atii'ii
tre en activité, la suppre— h.n .le I in
lUScIo- ,iulaji>uii-te-,eji un UK'i. l"Ut le
lécaiiS-iuc -■accMiuplit. ,iin-i .pic iii>us
Olii l.i^-vi iii/li. chap l\ . i 1" . par
Icil
peu p
; eiulrc
nue a.m- la .li-iribu-
.lulu. leur-.
le ni'iuhreu\ c
la C()i|\ er-ati.iii per- niiicllc ce mcca-
ic.niie^ ant. iniatupieuieiit : rcxcitaticiU
peut efeiitucllciuent prnauire le- luou-
:_■ 1,1 ^
c pi,
il O/iiLl.
-.Ici 1 i.ilillriiei,.
llA-ls m. 1. \ i,lii\| -. IKIK 1) 1 Ici nu
vcuienl- uclc^
par
ij-eiiieut rellexe, -an- inlcr
\ ellllon
ae I
i con-ciencc
>ii>n ac t.'U- et- inoce-sii- Jaus le teiiip
trmuptVit eu \aiulant vuiraau- le
Mioutre a i[iiel punit cui
lab\ riullie ac I iMcillc un organe {\c -eus prcsiaant au>i po-i-
ticius Ar la tcii
n a
-uraut
u(lib
"1"
C
-■rait la
loïKli. m lout a Lut siii'.;uller
tcnilou-
ai
Cti
au
11
ai
la pi
parx
j- cxiitaluui- aes uers
aes .irllculati. 'Il-, ile-
aireeteiiieul a la eu
acxraicnt, aau-
aetiuirnee d nii autre t)rj;ane >eii-i.riel p,-i i p/i.'in;ii.- .'
Aiu>i que ii.iu- I a\ ons tiiontri plu- liant, il ne -erait p.i-
i luveuient- iiiu-c ulairc-.
moiii- ab-in\le ac cun-iaerer le
pr(ivo,|Uc- par
seu-alKiiv
ae J
p.>llie-e. p
Ire la \iiic
irei4luii, ciniime la -nurce
iiieiiie ac nu- perce|>tioib
ae a
irqilioii
l. Il W
aeia
lUM-tc -lU
|CU
;.iil iiiie la niotilite, liuc ne l'cul être nii-e en
'i-.pie u.ui- pciUMiu-
.■r vi
lontaireiiien!
lablc
leteriHlUeS
l'e-paie
lii suppose
-te ace p
l'île rcmil.iti.'n cipiuplcte ae- iiitciisilc- a iuiier\ .itiiui ae-
niu-ile- ac l.eil, lie la tète iiu ilu C 'Tp-, par le labirimhc
e r.'rcllle, a. .11
ibjet- cxtcrienr-
marc pr.ip
noir lieu au— i bien pnur la 1
Lali-aln'ii
re
aa 11-
o.rp
- I e-pace VlSUe
pour l urieiilaiiiin
la
nie pcfceplion
lulen-Uc-
a'iui
icrxaih'U. a
^upl■" '"-ef lueinc
, pi elle Itlt p.i-^ible. -erait a peine Utile
e par 1 ii-il. .\in|i que i
1
ip.
()//,
/;///, cb 111 . la ur.uiuati
ai
luitcrv.i
-. a',iprc- leur iuteii-itc et leur auri
tiou
liiiietiiin
-iitue ruiic ai
le-lph
ses api>.ircil- ;
liilio
aortante- au
niiaires eenti
lab\ ri utile de V
irelUc e! ae
IX Cette ijraauati.ui a.Mt,
bleu cntcnau,elrea une preii-iiuiti>ute particulière. Inr-qu il
s'agit lie provii.juer les motive me its aes iiui-i le- ae 1 .i il le
inuiiKlre ilcplaceiueii
tdi
saxe*. uc i
ac
inan.x -cini-iirculaires joie iiatur
ilaire- par rapport aux ixc
.Mlle 11 1.
Il
■^1
:ippri.-ciati(in> ilt-s m
j;raiiii, en tout cas.
^atuiiis i[ui pdiirraicii
:1c
IcllJi
dan-, la [ircs--i(iii mtcru-iir
l.s t
rl)l^ plans piiii
cdiisidcrt- louiiuc L'iUi lie 1
traire me m. Oaiis léta; de m
ti\ e> a la 1
lepell
laiK
lie liell vc t
roiiveiit p
'//.^ les trois pl:i
pLiIls pilii. ipau\ lie I csp;
.//(/-.
./.■
'. Luit; I
ii/.iir,\ " S| l'cii pt
atteiiliiin se pi.itc a
ps\ eho-phv
pn leessiis e
pri/cessiis
iniierx atioii eip re
pli\sU[iic qui requiert
les anipi>ules
actuelkuiellt, qui lor Ue
inemerit dans la p(jsitii>u des \cu\
1,;. d
epelidaiICe ret;l
raiipi.>rt a
l'état
eiiutre la supposai, m
tant entre I
es nioin eu cUls
luit
ineLanisiue
:)dili
par un sinij
;'/.v/;,' O/i///', p. (,
d un eaiial scini cireul
Mers lies Lieux veux pr'
nexionsanatomiqucr, dnlre le
Tl Mrs 'HT ESl'At E
res par l'u-il. un grand r(de, hiei
e celui qui appartiendrait à de'
provoquées par la teiisi.
ir des niodilicatioii
t être
\\\ des
survenant
de I,
I ea\ ite
irbita
■ipau\. que I optique pll\ si. pjoniql
.■/.
>nt été choisis arbi
connaissances actuelles rela-
esniolU e nie lits
(jiniale dans laquelle 1
r rapport aux canaux senii circulaires.
-es canaux devraient etr
.'(./> .^ ./.
H put I.
./.■/.
e CllnsldL■re^
//./.■
dit Hering. que le lie
u sur leqiK
nient dunne est dete
riniiic p.ir
peut en nteiiie temps ciiiisi
physique ipii déter-
iiune Je nioinent
L-spiiiulante „
n.iirc .itteiiti'.n
.e pn
la
pi ion d'une direclii.i déterminée, produite par I excit.it ion
. Celte excitation, peut ..n allirnier
le k
nii. nient phxsique anienaiit un
1.1
tati.ni tics 1
e llelmll.dl/
ipare
1 e r I s
que
a m pu liai res
ur p.ir
plaide
l.i
uiilexuiii cXis
,!ell\ \ cUV 11 esl pas
an.itoriiique. mais peut pliilni être
.•Itcl
le notre vi
. /'// 1
e simple lait que chaque cvcil.itn
lire pr)>\oi|iie des nn>ii\ eiiK nts re^;
ive déjà, à lui seul
existence
de
nerfs moteurs dcsdi
iixf;
K,bc
1 Ks H.VsKs llK l..\ OKOM
lia
I TKtK U t-ai 1 UiK
Us nous en avons itne ■preu\ e plus ilec
ire dans
tïet
ette
iduit
-ur le! nvstat;mus oculaire par
:tion du nerf auditif du
cote
TF'
OIn
hilli
1. 1)
e plus Souvent, la \olonte nekciiverne les mouvements
des L'h'be
es ucul.ures qii eiv agissaijit sur .'es.nerts des canaux
seini-circul.iire-
la
ccMitradicttoiiiq
.t lit
la
lllte
ob-
Ul existe en
.ervatiiuis
tre He
iholt/
d'i
mages
double
Heriui; qui.
raison contre
s explique mainllenaut très facilement (.'est
is Cette ci'iitn, verse. a\ait pariaiiemeii'.
Helmln>lt/ voir ILiii\i
■ t'h 1
l'our
iM'éciser da\ ant.iLie le nu
;race auviue
1 le
leplacemenl
Ion nées de 1'.
les axes i
iculaires
PI
lareil des canaux
le s\steme
.les coor-
de déterminer, au luoveii:
semi-circulaires n. 'Us met a
Il mesure par l.i-il. l.i
plac
b|ct tixe et la
distai
vovons. il est lie
^alre
.-Utre les ublet-
pererj au prealanle
ble
une révision
des le
11 retilellt les inoll\ einentst
;lob.
leur dépendance des canaux stmi-circiilaires
raiscuis facilesa comprendre, cettje révision,
r.iide d'expériences sur des
!t être laite a
;ds. telles que le les ,il indi
que
11
dans mon tr.ivail de u
est evuleiil que les mecanjlsmes sur
l/v//, J- l''Il,
d. 7.;
qu
els repose
association vies niou\ emeiits. icu .mes ilou eut eire eue ri
us les Centres cérébraux oi
stibulaires se rencontrent .iVe
■s termin.iisoiis
de
• ptique
conce
il( i-nioteur-
its de .///.■
.//<./;
r.ipports
.-t de disk
liiues entre
ménies Centres nerveux, .itteiidu
leur origine d.uis
pace et par le sell-
seusaiious li!)urnies par
psvcllologlq
i/,'i.' s'ét.i-blisseiit dans
■lUe ces deux Concepts
de la
IKMI'^ ET EM'ACE
5 ,1. - - IVIAI
A\ AN'
A — l/t'sp;icc a t-il
liante itf la niatiL-n- i|ii
a\cc eittc dc-rnièic ?
li. Su] quoi repc
•.l'ciiviiagcr l'espace e
\ii.-nl I iiii|)iissibilitL- lit-
MOUS une lormc autre ii
• ^ — Quelle est 1 Mil;
elide, et sur i|iicii lepcjM
leurexaetitUiie n'a laill:
Dans ces Huis i|uesti,
quels que sijieiit les a
siècles. Des philos<qihi
luf'islesdiit cherchéa n
lie Ces i|Uestli)||s, sel(j
recherches, liieli que i
"Il peul IcM ranger sou-
. w/>//-/.//(l^^ et les ii.itivi
l.ocke, ipii renun^'a ;
et Je 1 éteiKliie. adniell
vide DU se meut la ni
espace nous vient dese
en particulier de la vi(
des ide'es innées, l.iic
créateur de la théorie
Berkeley rejeta la m.t
notre conception de
lournies par le niouvt
ayons l'idée de l'étendu
\ "H < Util.ihyi ililh, Ai. 1
m l'K.ir.l.l Ml- Dl-, l.'l .M'Ai K
.Ml-s Kl I III K( lll-.s.
lue e.vistence réelle propre, inJépeii
•-e déplace en lui, ou s'ideiililie t-il
lie la nécessite pour l'esprit luini.iin
mine avant trois diuieiision^ ? Don
disposer les impressions de iio^ sens
ne Cette lornie géoinétrique ?
;inc des a.\i<jmes géométriques d {ùi-
; leur certitude apodictiqiie, puisque
is pu être démontrée ?
Ils lient t(jiit le problème de l'espace,
pects qu'il ait revêtus au cours des
s. des mathématiciens et desph\sio-
s(uidroLle préférence l'une ou l'auire
1 le but spécial ipie \ Isaiellt leurs
e nombre des solutions soit grand,
deux- catégories bien distinctes : les
. donner une délinition de l'csp.ice
lit re.Mstcnce d un \eritable espace
atiérc. Xotre connaissance de cet
périeiices de no-, organes sensoriels,
e et du toucher, .\d\ersaire res.du
ie peul être considéré coiiiuic le
'//>// /.///,' de l'esjiace '
on d un espace réel et prétendit que
l'espace provenait d e.\périences
lient : " |{,t il possible que lious
avant d'avoir accompli des mou\e-
iiiu-'au^tiuii.
IK> n\si:s i)i: i.A i.hoMi'rKif; i/iii.i.iDi:
nieiits.- Kn d'autres termes; un homme qui n'a j
amai-.
rait-!l se .représenter de
accompli de mouvements pour
objets situes à une certaine dis|tance l un .le 1 autre .-
-\insi loriiiulees, ces deux eiuesiions contiennent ;;; ,.;.■
toutes les solutions i|ue donneiil
modernes de la théorie empirique, tant philosophes et
mathématiciens que phvsioloiiistbs, a cette dilTérence près
que les phvMologistes admettent Jour la plupart la réalité de
l'esp.icc absolu
Kant lit l.iire un grand pas au [
célèbre théorie a IM-loristlque de l'idée de l'espace. Il la Cou
vul a une epoiiuedéj.a avancée Ax:^a carrière. Kant admettait
au début 1 eMsteiice d'un espace .iK'lu, tout a l.m indepcn
dant de la in.iiiere Dans son ouvr
frriiiiric^ ,/c ,'.! ./'///tvc//, i.itifii J
regardait même le.xistence de l'es
condition préalable nécessaire à l'existence Je la matière.
Mais delà en 1770 il tormula iiiic doctrine tout opposée, qu:
trouva son c.xpressiou détijiitivd dans la C/iin/n,' ./'c .'.i
r.iison pur,- 17S1). Cette doctrine domina pendant un siècle
tout le lirobleiiie; iious la reproduisons lel]e que K.ini l.i
lormula :
"il espa.e n'est pas une notion empirique tirée d'expc-
riunces extérieures l'our que le pelisse avoir la sensation de
quelque c h. .se se trouvant en del;iors de moi c'est-a-dire
robleiue en torm niant sa
âge paru en 171'S. A'.j/.s,./,-,
-^ l'h/cls dans l'rsp.uw il
.lace obiectil comme une
dans un autre endroit que celui ou |e me trouve moi-
même 1, Comme aussi pour que le Jniisse nie présenter plu
sieurs objets a cote les uns des autres, autrement dit occu-
pant des endroits dilTerents. il lault que les représentations
de l'espace soient deia au tond de lues concepts. „
"2 1. esp.ue est une represellttuioll ./ rri\>r,\ quiest.lU
tond de t..utes les notions extérieures On ne peut pas se
hgurer qn il n \ a point d'ol^icts dahs l'espace 1 'espace u est
pasun coiiLepi général de relatiouh entre obicts, ui.iis une
pure idée «
ll.MI'S IT I S l'Ai (■:
( -OiniiK- armiMiL-iit
III lire idcu tic 1 cs|);u
;l\lciillcs geclIlUiI■iqlle^
l'ici) iiuf ictte fxactiiiule
1.
s propijsiiii 111^ m
']u ■ iii a ^iiiiscKii
-<.■ lie leur lleCe>Slle,
Il .1 t[iie tic'W ilimenMJijns
l'eilN elll elle eliipiriqi
la ilo^lniie de Kai
le-ouille le pn.llielllc
Il elle ilUlllle ll\ pdlhe-
liei l'exaeimuie el .iiii
(■
>o>tiilal
peut clr
'U au uiatlici
lualieieii 1 our de-^ dcJueli
lUellK ultérieur^ I.
e iiatiira
le lueLMIllMiie ik
pllel
Au h
leli le, il
le de
Il 1
.-1.
>rif;ine et
iliiii
liil<
Mill Mill cnicM,
II. pie-, aielll une Cerlltll|e pi
1 llllelllales 1 e- lluc
iiiallieuiatknit
itdi
de p.iuvuir prétendre à
Dapre-, Mil!, le^ de!
xaelitude relatue l.i
ImU-
mais n en est il
la ,
^■^ seieiiees
expenniell
^ellerali^allMll-, di
c pi II ut c^l
-eria 11
III I 11 l/ll I III
Lui,- h
liJc- lie
• ll.C |>,IT
riiieipal en la\eur de lapru in^^iue de
Kaiil
'iite Wirn.lu il. il,-
qui
nietr
lassciil pour alist)luinenl exacts,
> ail jamais pu être démonlree
upies -.uni apudieliiiues. c est a-
Aiii-^
le,,
tellt
prupd^iliiiii-, ne
ni tiree-
experiellCe.
présentait hivantage apparent
sjiace
Mai
s un lui repriK liait de
. un pii-tulat diiiit il landrait deiiinii
.iilleius n'expliquait rien
d'une grande utilité au pliili.-,i,p|iL
liste
qui sellmei
liilt réclamer
ppe
vpllipier
prell\ es
-liilal.
Iicra-t il
a\ aiii
ir^anu|iies de l'idée .; pi imi
llqile cqipusee à
de I
xaiit a, ete
ppee s\-,teuiati,| icmciil ausieele dernier pari. Slii.irt
rai--(>n que le, ,eieiue, maille
,;railde >|Ue les science, expe-
■> aux de\ eluppcineiit, pilieuieiil
re coiihriiiee^par le\perieiue a\aiit
a eertitudc '.
nitiiiiis
leonietruiue
Il mil >|U un
ixiiiiiie-. soiii. il e~t \rai. adiiii
de
même p. iiir hcaucuupde \eiile
I,
délinitlon, ne -dllt ,|Ue de
le, pcreeplimi-
diil-
11. I.
\|HI
//•A-
.. k
je!-, extérieur-- :
, a diinen--iiiii
uk- lu
lui Jvh-
,k IKm/ I.
c imu|uciiiciit -m
a,;,!, 1.1,
ia.uiii.
lEs H.VSIS M 1 .\ i.lo'IK.TKIi: I
unique, est 1 abstraeti
tendu ; le cercle cmiip
iraiisv er-ale d'un arb:
un trait à la craie mi d un (il
let
st 1.1
-prudiictii iii de la
«.unie
dijtinui
le
Ue.iuietrique, ne
peuvent lIouc prétendre qu'à un* valeur appr..viiuat',\ e.
On reconnaît .ii-,einent ce qii'it \ a de ri--que aaiw une
pareillearuiimeiitatioii l.e-délinitbiii-. de la Lie. nne!r:e d'iai
olide se r,ipporteiit à un poiiilj /./,■./.' --an-- étendue, a une
■,t;eur. a liiie dr .lîe idéale
liuiieeiui e,l une loiiuiieursaiis 1^
qui pelll être prol. int,'-ee a l'illtinij. etc l.e-< p.iint.
ii;He->.
les dr
./f
e,quel
s se t.illl nt>-- expériences
s ces priipriete--! *-"mment. al,ir-<. de ce
-„ières .iiir.iit-oiii pu tirer de, e.Micht,
Cl induisant a
>ns
le, .iMionie, ah,.iliuneiii exacts?
1*1. nr échapper a r,ibjecti..ii, .sti art .Mill a r
ciatiiiu
ensemble,
séparer de
idc
lur, a
, entre tle, repi'eseiitali. iii, t.'Ui.iiir, lii.
1, il diiit rec(jnnaitre qu'il
ibl.ibles repré,elltalli
e,t !re, in.uaNe
. quaii
prceiUif-ui laiii.ii.
d k
corre,piiii.laiite, ir
1 es[irit luiiii.iiii.
Neaniiiiiin, le, pliili.s,,plics el: le, inatlieiiiati
//■///./.'.'.■. dd la i;éiiiiielne.
,c;\ireuiciit a
leiiiiiiitrer I uriclili.
traiiit.
a T/./.
.ui>.lth'l\ de
•blets
\\U
'.llls.ltli ill e,t elje |U,tlllee ? " I e, .l\l..me,
ieinailde 1 Klein un de.
plu, eTÎlllli
llelinhiilt,'
plu, caiei;iiri.pie.
e I expérience
iiuthéiiiaticiensi uinderne,.
prononce p.uir l'ailirm.itix e
•1'
ititclMis Sun
certain rap
■idlllet Viilii
port, lue
iplete
la vente.
qucj
unporiante d.iiis l.i ii irm.itidu ' d
^plicaliiiii ,em'ile. ,w'u
Q.iaiid i.n \- rclleclii.t.
reinar.iuc
Heluilinli,' luiict.
qui iiitercse a\ an
s agit d'un pnicéde que
CUSsion théorique de di
expérience .111 uiic part
e, .ui.inie,. mais ,.n
sans 1 cx. minier: pre-ci,e-
tiiiil le, iiiatiiem.iiicieiis
liplo\ I ,ns d.ia, toute di.
llllee, ellipirique, ,pi
_'K
m
qui pi- ut stiiibkr' tcut
|inui(.r d iiiK- UKinicro
V.1 oliscrv.iliiiiis. ,|iicllt.-
dans dc■^ liiiiitc> iI'cx.il;
lion> >pLciaRs ; eu [iiisa
ix-sult.il-, |iai- lier, cuo
r.llltu jIk.,|i|c-, (.l-,! !,
tuiiiinquc-, .[iK- rcix^s.
do-. .IXInllU-,. //
KIciii csl loin de trcii
eXpL-neUCc, l.lilo sur
UeLc^^lle que d.nis l.i p
de l.l j.'e.;uietlle elicildii
lue. tindl- ,|lle le^ lu
Il "111 |i; UUe . .il, lU /,■///
d.uie -e tr. .u\ eiailleiii-,
lait- eujpil lque> Tant d
les eplMlUe^ -^e Seraient-
reclieielicr de- pieu\es
^i 1 i.l,\ilis.ili,,ii d'expé
sulli-.iule? A laide d
pu II. un ej- de-, pieu\e
Ce delaul de euirasse
Irapper le> grands pell-,e
eeilapper a la lllese de
api\- a\. .ir e— ave de i
seli-atlou- de liiouveiue
uianieie de Mji]" : » ic t.
\ein duc, -au- d.uile. i
Ic'gUe- pidduit la repi'i
pareille . ,/(,/. ;,/.■//■ ,■ peUl
dl>t.MUc. non a eelle d'.'.
tr.ii- dimen-ii.n-
I 11 seul pliil,.-(,p|ie a
de de\ eli.pper les hasesd
qie
l-Ml's lir i;m'.\(:i;
simple:! un naturaliste, l'our m'ex-
plus générale. |e dirai : le- ré-ultats
qil elles -(lient, uesciut \alables que
itude déteriuinées et dansdes e..udi-
it de- a.NUuiies, nous reniphuiuis ee-
lee- d'une précision et dune geiie
ir eette " ideali-atuin // de- lUinnée-
, sel(ui iniu, la nature es-cntielle
\er t(jiite naturelle r/,/,\(//\. (//„// de-
ies (, blets réels. Il n'en admet la
nsique tlié..rique. .Mais les a\i.. me-
nue jùuis-ent d Une certitude ,ib-ii
potllescs lie la pll\^l,|ue llienriqUe
^'/. ///(•. 1. origine dece- axiome- doil
elm.n dans la simple idéalisation de
• ui.iiheui.iliciens emiuents de toute-
is appliqués avec autant de /.ele a
pour le onzième a\nune d l-uiclide.
leiiceSi grossière a\aiteti- itiie b.i-e
|uelqiie- tr.nts de craie ils auraient
en ab..ndance.
dans les théories empiriques .i du
ur-ipii le- -outeiiaienl -urtont pour
Kanl .\iusi. par exemple. Taiiic.
eilllUe nos idées géométriques des
nls. ab(jutit enlin a une lont autre
•////•.SCS/ /.■/>./.• ,/,• / ,■^/>.^ .• ,,. Ce qui
c la . (1///. /./,•//, ,■ de seiisaticuis an 1
selllation de l'espace .Mais une
tout au plusc(uiduire a la notion de
/•.(.. ■ cl un.ius encore d tin espace à
l'i
ssayé, au milieu du siècle- dernier,
une Ihèorie empirique de 1 espace a
IFS insFs t)K i\ 1,1 oSii i.ijii: iitiiiii>i; (.,
laide de lanal\-e de- mou\en^ents des corp- solide- De
cette anih-e il dédui-lt 1 (U'igine
de- axiome- géométriques
(e lut l'eberueg. disciple de lieiiecke, et Itiii de- :>hl
\igonreu\ ,id\er-aire- de la do^ti
liiell entendu, I ebeiweg ne put
plete du problème, une pareill
-ails 1 aide de- foi;ction- d'un
Néanmoins, -e- /'///;, //•.^ de .'.i
./.v /'.(,%c, .V, :.-iilif'ujii,-s sont d'une
eu réalité le premier es-ii riLioiireux d etabiir le- loi- de-
depl.icemciit- lie- Corp-, pou\ .1111 -er\ ir de point de départ
.1 une tlieorie empirique de I esp ice .\ l'aide J.e tr-«.:- prin-
cipes Ion, lanielil.uix. l'eberweg e-av.i de taire li -\ nthè>e
me aprionstiqUe de Kant.
donner une -ohmun Ciin-
^olutioii n'etaii! p.i- PO— ihîe
organe -eusorîel spécial.
f/i'("/;,7/7.' '■.'. nisin'i't,- >iir
pi irtee Cl iii-iderab'e ( ^e lui
lie la geoUletrie. d I Ucllde. .V\
gelll.lle. il .1 dcdllll ensuite les
l'espace In i orp- M dide matériel
de llo- -en- : 1 -il e-t libre de to
pi'iiit non o^^ npe p.ir un .lutre
lixe .1 un -eul point, ne |'eut plu
d. m- ton- le- -en-, m.ils il n'e-t ]
-e niouvoir ; ■; lixe en outre a un
plu- exécuter K- del>l.lceinents
:i' ca-, 111,11- il peut eiuore être d
Iroi-ieiiie point, rc-te libre dan-
lui de\ lent impo— ible.
l.onime 1.1 lustenienl i.b-erve itiUing. dan- -ou /
tii'ii jn\ 1,111. i.iiuiih Ji-I.i Ciè.iiHtH. i
I eberweg -ont pre-,|Ue ideiitiqi e- aux troi, iMoposiîJon-
admi-e-par lleliiilioli/. en i--u-. djin- ce- célèbre- recherche- î
sur le- lormes de le-pace de Ki
Continuées p. ir Sophiis lie dans s.
tjc une intu.it:.. lï \ raniiciu
propriétés principales, de
peut, -elou !e témoignage
ute attache. aTîeiu.i.re ton;
.■orps Solide , . :-v-.
, se vleplacer -.m- e:r.ra\e
■• pn\e de la pos-ibiliîe de
-econd l'oint, il lie peut
encore po-^ibles dans le
pl.ice : 1 ' -'il e-t fixe ,v un
e ', cas, tout déplacement
-•m:inn. qui lurent eil-Ulte
'///.■.'/■/.■ .;', , I , .1 ■- '^ iii.i-
/,',.//, ,/,■ (,/■,.»/.,■,, I.e- résultats obtenu- par l'eber«e'i; cou
cordent eu -raiide partie ,>\ec les ,c. .ncln-i..n- ,ie llelinholt/
et de.Sopluisl.ie. .\iusi leberweg':) également reil-i a déduire
de- déplacement- de- cor[>s le- tr..is pro|n-|ete- de le--
lEMi'S i:l KSi'.\i:i:
pacu : I
t-i 1.1 \aleiir ex
li
te du
lell eliteIKlil. le- lllétil )i.ieMie il
>ureii>-ei|tr.,ir lien ir
eveloppee-^ av
une lliUiitli.ii
lie
\ ente-
'\Ui l'Ill-, I,u\
.lll.ll\se-
lin Lir
p.iee ,
I ehel
.11 pe
.lel.hi
'le mu le 1 1
mérileiii ,|iie plu-, dmlnmau.
luare a lait lécemnient .les ilie..
Mieiits dans se
■it;nie les leeli
11
l"l<\IK^ Dl.sl'Ai 1. \,,x I Li I IIHl-.W
I I I.K l'K
Ki 1 Mh m: I. KSl'ACi;.
•Jllel
ie c-I
rt sur
• riuiiu
1.1
tpii.l repose leur
lll'.ll du |ir.di|el1
■ iipt suriMut les in.uhéui
parallèles, .l. de- I .illll
S"!! ^.ir.ietere ii.lrtKuJl
e p.irtiealier
ll'iUs lie soniuu
pas
U-
'n/ai-,
inallieiiiali,
re asJieLl
du (
1 r,
-1 I I iicui at
éJilc
phi
.lUfinienlic ti itiuie
^>uiuc
1..J11 k-
■llLllUr
lo. \\iW
n,A,w
iiL-uiuiivc a..-
;l ini.MJiijiii.-
.|llcl,|
I (.
' /,V, Vul
ntiiiuite-et intinitc II put énaieiiieut
ipv. i|u'il ai^pelail série.
leiiniiistrationde HelmJKdt/
die/ I
ec une pre-eisii.ii plus
eherw e
g <^'est
plut.it par
e deriiur est par\ e
1111 .1 ecriaiiK
lurent d
eniontri
s iliseiissioiis
sur I (
l■^
dcls a.\ii>nies d
le I
rtitudd
1 géométrie
•Ik
ilpodielique?
Fuelk
-st, d.ll
ilicieiis l:ei
l.i question i|ui précH
'ii/iemeaxionie, du dt
ite, iVappe les mal hématie leiis
" l'oiir la ilie..rie des parallek
a\aiiees iiu liielide. (est la
par
les. qui lot MU lard devr
p.irlh
1 preiidri
e oll/lelllc
lihru //,,/„
l'plu
IVcllc
l'ui» ,j iiii.ri, cillu liist,,
.A /.i l'liil..,.flu
li,
inizt-. (...n^ulérjhU
nient iIl-
e rilwlu
puhl
.1 du
aVLV le^uljnlo luu-.
'i lia /■/
.///,• ./,■ /...
ef.--
• 1.11. p.ir
aup|)ciiiL-i,i-, piL-ciit
111.1.,
rjnipliluju
Li r,
c ciKuru .iiijuur J'iiu
\iJfltH.il.l''CH iiti ( t,
tel
qu on le désigne a présent.
lorilHlléi
d.
le/ r.uelidecoiniiie.suU ; ".Si un
u\ autres litjne-
droiu
situées
s uE l..\ «.i.û'ii TKli: 1) laiiiur:
le einquieme postulat
que deux angles droits, ees dellx|lignes proK
se reiKoiitrcront du eoie ou les deux angles
que
tioii Ion,
>reselltes avi
;iie droite eoupe
le plan, en sorte
lasse lies angles interieur-j du même ente, moindres
;;ecs a l'intini
'lit luoindres
elle proposi .
ou'Huelidc a
joinnuiiies
montre preuv
leiix aiiuk-
t^olUIlli
lamentale di
de
es ai très ,ixi
en app.ireiiee au unnus
I
I,
.ihouti a la ereation de la
iru- de
Nous
/,
^^7,
preseiileroiis lei un bret llistor
l'être di
es ieiitali\ es laites pour trouver ees [irciucs ont
in:.\i;nuxii
lidi,-in;
de la t,
rmatioii
;eonielne, en l.llll
1 U ell
louelie diieetemeiit ai
prolileiue de lespa^
.deh
uiatliemati
.cgelldre es
para
lek
éimnlitrant rexaeiinidc ilisoh
d'une p
triangle
eqiiu alciitc
deux .ingles i. roits !
■tre p.
te somme lie
aiigl
peut être /•/
droits. l'ai; eontre, ses
■It'or
A'
-diouereiit. Vers i ^
i somme
les angles d
.-Ussit en elle
./>■
41
Jeux
polir prouver v[L
^4si. le grand iiLilliL
inalieien ru-se 1 . d\iK liew sk\ ' tejila une .lutre méthode dt
leiiuiiistr.iti
De
ant un pdstulat
chercha s il ne se li
q.p.
euricrait pa-
\
se a Cet axiome.
itradict
ions uisur-
moniahles cl s il ne pourrait pas, par eette \oie. deiiioiurei
.^lais ses dcdlKtlolls s\ nthetuuies k
1.1 \alldlle vie l.lXh
induisirent a ee résultat inalteiiklu. ou il
n existait ims
de
telle
/..•/.'
joiitradieiioiis l-.ii etlet. on pi.m ait imag<^ier une lornie
de m
angles d'un tri.inglc était /«.
l-liellde et les tll
l.,.l.,,l.ll.
;les droits, <>i
I eliles auXLlue
Is il-
lar eoiisequeiit 1 axiome
le base lie seraient
le . ',-, <;
Ita
ilahlc
•i-c>.|i
Il i.:l|)il:ime- il artlllcl'i
t IlolluTolS.
-..Il iurc.
iiiciiie rÙMilt:!! Aiii-i I
|):lii
l:i
iiulf m.ii
LiKll.llellIK- |>nl llll 11'
L-in .Uni. .Illlc 1:1 I" .-'-il
une li.niK- -|'lK-ru|iK-.
L--t Cj^ulclIKIlt liKipplii-
lri:iiii;lc in-ul
une \ :n i;inle
jlie />/
elle I
,i l-.u
il. le
Il eyak
iciilenner un e-paee.
KuiiKiiiii ' prii p.iur 1
,ilt;cliriiiuc. 1.1 ine-ure
-ciail le loiuleuieul c
i.lan> une tlireel ion ipi
points a une .lislance i
iiiann po-.e e. .niiiie a\i
ni. .U\ eliKlit «le e. ups
ournui'e a une
l.a loiiiiL
-1'
lleliulioli/ l'allant .1.
LieoUKtrie anaix ti.pie 1
bure de Kieiiiaiin I li
axioine le po>
lulal.
elre
/jhle
*n-i.l
Lie ei .uiuie
uiiniii; l.ill hik
11. Kl.
.h. Wciki-
ii.!ii,ii..ii/ r,/.,'
1 MI'S KT FSr.\i E
la uuiiie époque i|
iliann
Ile 1 iibatehew sk\ ,
l\ ai, fiuiJe par
Il e..iKli-.eiple île ( lau— , arrivait au
It erece la lloil\ e
lieu
i.-. .lueiric iiiiani-
du --i
el
L-cle .Il riiier. Iaue..nietnt ii.ui
ua.uil, en i.S- |. I'
\ieiiianii
lllte li'ulle troi^iiinelonile
.iXl..niL lies
llilc- ai.uell.le
ble el ou 1.1 -..uuiiie ili-i aimlcsilun
■ r.iii.lr .pie lieux angles 11 . .11- Dans
unie il e-paie. le .loU/RIlle axiome
.ut inexael ; .k iix . boites \ peuvent
t-ajiiii'e s'\
iu.-icur-- 1..1-
i;U( luir
.liielloll-, une i-Xl'l'e-
\ni iHiiiii i:.
L-nllcl \ie toute f;eiUlletrie .. e-t une
..11 il. lime l.l >ll-t.llKe .11- lieux points
liolKille. il en prellUir lieu .le ilcUX
iliiuincllt pellle 1 un .U- 1 .llllle Kli-
.me .[lie. il.ill- tout e-p,Ke ou le- libre
-..llileh est pi.s-lble
...;/i/.i ;//.'.
i-'etle liu-ure île
Kieiiiaiiii a surtout c-Il
.illille
tr..i> pr.,p..-
lin .11- sur 11'
11- ■. Meluili..li/ établit a 1 .iuIl Je la
1 l^iaUile portée >le la ine-Urc île cour-
LL-pK- L. .Illllie
-paee pou\ ail
iholl/
.me m
.ar Kieniann. (lUe
une f;raiiile multiplieite .U- nombres
7/; l.f re-uliai priiiLip.il lie-, raisoii-
//,T..//.
\lic A,,- {,
i.i .lu Ik.Untii
< Il it' ih fjniti./
Il Dr
il.Ul
Ils ll.^sK.^ DE lA i.ioMirKii: ii'ii..ia>i
neuienl- an.i
ivt
ii|ues
eu tri
1\ erses lorille-
llelnilioll/ lui
lieleM
iIiHl
>iirbiire A'/// ;///;,'
reiuc n tenu— ante. l.iite .i
ratteiiti. .11 i;Liierale du
m. uiile sa\
L'araLtén-eiit par leur
IV
lilelbert;. eu P
m- une eoiite-
■". ;1 -ut attirer
aut
la noux elle
(^■Ile i;
eoiiietrie iioii eULluiieiiiit ailiuet d..iiL- .iii|ourd liu.i
'/"'
trois lo lue
terisL-
la
iiiaiiiere suixanle
laxionic- .Ils p.irallLle.s est exaet, .-t ou la s.. mine J
an^le-ii un iri.innle est L-i;ale a deux am
.urbuii
e-t
2 \
ou la soiuiiu-
aiig
.1 me-ure .
les d'ui
ourbiir
la I,
il espaee el les c,
rme l'iu li.iu'iiiit
trolls el
t />.7(^ /'.-///(■lH
lelmlioll/.ou la soin m c lies. iiiij le-
st />/
lie deux droils et ou
a un ^/.. //■
r-
laiis uue.x ariante de
:elte lorilie.
. 1 ' Icspae
un tn.iiii;!
le cuurbur
deu
! roi tes
pourraient aussi renfermer iin esp.ue L.i tonne di
[>ace d Hueli
de I.ob.iulie
iKiemaïui,
sk V est désignée par
^p.U .•-/>. iP.
la tonne
Bel ira
pseiido spheriiiue, la lornie de Kielnanu-lleliuholt/
uni sous If nom
si r.
.lee sphcriquc
Nous ail. m
s exainiiier
de
.près lusqu a
p. .Mit
les espaee-
^1 1 peux eut etrt
existants
mille la \ en
'our rendre
i.nsideres comnu- reelleiiient
inprbbeiisiblL- au Iciteiir iiou
lable
dL
non euelidi
iious t.ir-
niuleroiis Ils propositions 2 et 1 eu langage non luathéma-
tiqiie. r. .111 montrer que il.i Ils un trUngle la slhii me des angles
peut être l'iiis petite qm
eoustruil un tn.m^le do
IX angles droits, 1 obalseliexx sk\
jotes lie
■ lit p.is
'intérieur :
.■til
Igllcs.
-t la l.l
signilicatiou de 1.1 iiioin,- Je
e-omparé I csp.ue pseudo-sp.herique,
sellier des tri.ingles p.ir
triangle, dont la siuiimc
Il i'i'.:! il
mrraieiit se
ils
Ile II
est pl
que |)ai
Us grande que
(r(,
angles droits, les côte
liunes. mais c(iiica\
répond aux nicsure
1'
)ur juslilicr
les lignes cm
■are a recours
H
Cotés des preiniens tr
de driiitc-. c e^t adop
inglcs lavec Cotes rectili^nesi k- nom
anx cote-
ileriii
tes, c'e^t adopter 11 géométrie non euclidienne
Ile demander
AU
demander à
-lie llj(ne C
droite
M
oincare
iesigner une ligne c
désigner par AH ou j
je n'ai pa- le
triangles ikju euclidit
a l'idée de droite que
t de ^ oiiner
de Y
exl^tence
ain-i a un -impie |eu
c coUCep
t de la 11
lii-sen
t le
Art h i ni L
expressioi
■ la définit
deux point-, l.egelid
Court cliemin d'un pi
I ; V que ce- deux dél
la delinition d'iAiclidi
orimne -ensori
ne sullirait pas de dé-igner no- perce;
perceptions auditive'
Pour éir
autorise
di
ineusion- a\ ec
porte,
suffisent pa-
-imnlc- leu
TEMPS ET ESPACE
Il également supposés non recli-
OU Cl
lurb'
e- a I extérieur; ce Iri.ingle
e courbure ]ii i-ltiv e.
ireil remplacement de- lignes droite-
dans un triangle rectil
iimeutation suivante :
M
111-
I)
ouiier aux
la
Ueomc-lrie euclidunne
d,
niier
de
jtes cur\ lIlLille-i le 11' 'lu de
De sorte
.metrie ccjiiv
ajoute
ient il d'adopier, c'e-;
de donner le nom de
:st autant en droit lU
lurlie Comme ligne
droite
•I'
de 1,1
( 1). " \
e ne puis dire non plu- ijue
de droit
e- aii\ cotes
de
p.irce qii ils ne sont p is c
e pi issédc
p.ir intuition.
I.
ml. .rnies
1 i|lle-tioU
X espaces non eue
;lidiens e-l réduite
niol-
epuis des millier- d ann
g le droite n a pas
servait
, i|Ueiles que
lUr la deli iiir.
iinmc la ligne la plu- courlc eiiue
dc-ignc la droite comme le plus
rn 111- plu- bas
ci iiicordent ]iarlaiteineiitia\ec
qui est encore pUi- important,
int a un .lutre. Xous \e
lie d
u concpp
t de la 1
lune ilroitc
11
ptlollS \ l-Uc
,1e-,
iiiime
pour que
.1 retiue
à conclure I existence des espaces
Jt eu.lcndre, et
toute-
oiiseiiueuces
ill'el
e com-
e mots et les soidiismes e
;\ ideilt- lit
LIS h.\srs ui: i\ oroM-iKiE
l» EL'lIlPE
l.a création
déplacer le pr
entrevu la po
ue 1,1 nouvelle
-blé
de r
le parais-a;t dey
oir
sp.ice (iaii— ,
-ibilité
a\ait dei
gei;imctrie indcpendante du
on/ieuie axiome, :i\ ,iit i
se
queiice la solution de ce problc
dit qu'elle aurait pour et
ui d
oiinerait un a-pect tout nouveau. Dans la partie d
me, ou au luoiii
[U'ellt
correspondance qui tniite de la lecessite d
non euclidienne, on troiue de ii-ombrei
la manière
reproduiroi
Je -a
une yeonietrie
ind
ications
ont cetl
e -olutlon
quelque-uilc-. Il ecPit a i >lber
» le me persuade de pi
géométrie ne peut être i
homme à 1 esprit vl un homme 1
r N
avril
ous eu
i?<i7 :
u- en plus; que la uece-ilc de uotri.
leiiiontree
nioin- p.ir 1 e-pritd'un
eut etie da
comprendrons nou-
la \ le lulure
prendre mainlen.ini, la nature de
qu il nous e-l impos-ible de
Jri;
oiiip.ii\r l.i
'III. i/u
l'jrilliiitct
priori
'i//'c, '//(/ est tond,'
-pace.
com-
lu-que-la, nous
..I IU.\JII1,/H
l>- i(V.v .Olllf'
IJIJIM'IIS .1
Il rc-ulte du p.l
-sage en italuiuei que (iau-sne re^
sait pas à la géometr
le une ori^iin
tenait plutôt à ro}iiiiion que New toii lormul
e apriori-tique
U
" bundatur igiiur
aliud quam niechanicae iiiii\cr-ali
ait eu ces termes :
ieonictna m _praxi niechanica et uihil
par-
Ula
la» arteni
mensuraiidi accur.ite pr
opoiui ac deuioustat.
le ne -ai-
V'
si |e \oUs ai d
su|el », écri\ ait ( ;,iu-s,a
ela expus
iJ
I ai Consolide [ilu-ieur- point
>c-sel, le J.) laiu 1er |S2.)
ee- à ce
;i aus-i
s, et ma
coiu ictiun
altermie ou
s est encore
|u on ne pouvait ab-ûluiiiieiu pas établir la
trie sur des londenients .; pi
-.11 plusieurs pa-sages, ( lau-sse pr
gconie-
iiioiice carrcineiit i
Hol
-tri ne Lie K ,111 1. notamment dai^- sa lettre à \\
• ...i.'impos-ibilitc de décide
\ai (Il inar- i s-.
iiUre
igang de
er .1 friori
entre _ et ^ prouve de la la.ou la [jlus claire que Kaiit avait
tort
allinuer ,|u
'ace n était
iiu une forme de notre
intuition.
pie une autre r.li5un noi
I moins \alable
un p
.-til tiav.i
I uliatLlicu-^kv, a i|i
dciclniic i-i
le IcIKl.lIcl
Kaiit uno
it Ici 10 1.' h cil.
pim..ii an.iloiiuc.
inlicrciilc .lUx luilioii
l|Uc~, t
llc-ï ilou dit et c
ih^L'ivatiuiH a>tr()iii>i iique^
1),
ms la iiatiiie.
ai
cilcu
.11-. a |irc.|iicmi.-iit
c~ imprc>iiMnb
..iicept-, p
ac
lar exeiiip
c k-^ concept-, ^conietruiue-.
:lllprilllle~ a 1\ pi''
iiiitrc
c^iiril artiliciel
ctc-, ail
eiiieiiti
at.llll^c^ par U> -cii-
IliitUill» miice- //
l'ii un mot, l.ohati
\ ente-, l;cOl^cll■ique^
cuiic ccitituac apciaïc
Riciiiaiin ^e pr. iri'
laveur
ael
.ngine ei ipin>|U
it la iiicu\e
aaii^
slonr> iiuUtiple-- ei
Itiplc
et
4)1
amie .uraiulciir à tr<
quent. .[Uc lea aximn
ac> L. .iieepts générai!
1'
le
-Ut
imauiiiahle
a triiis ete
rexpcrieiKc,
Daii> la cnlereiiL-i-. ae|a mentionne
siginticatioii aes axiomes géométriques
recours a plusieurs reprises à la géom
ibattrt
:u>>i
lie llous p
r Esr.viE
publié par (Uittui,
• M.//,' Gch-hrt.-
i il lut aonile ae p^e^ellter la -solution
ae < iau->. a\ ai
l ae la
I.
.1 \ erilc 11 e-i
^collKlrU|l
inliriiKn
comme le-i
expérience.
1 pa-,
pll\ si-
fe l.iaiatclie\\-k\ . iioU^ ne per-
pailer, .|iii
n-î
le mouvement.
lUl impoli
llile-,.
1,
k
le.|Uel
autres
étant
iiivelliellt, sont .iciuii p
-, lire 111 1ère-.
notion^
.nt
nions on ne aoit pa-- .iiouter loi au\
--k\ p<
( iau>
4'
Sont aeauites ae l'e\|
tuiue ne leur est propre
erielice et .111 ai
a une \:\
11 tout ail5Sl nette en
110-- notions
ae 1
eslKiCe
lail
,|U une granaeur Ac •
t sil-,ceptible ae ailïéreiits rapports
meiri
n e~t. par suite, .[U
~ aimcllslOllr, A
:as p.irticulicr
aamet, p
.lar
ne p
euvent aucunein
Je uranaeur, mais que les propriété
eut se aéauirc
le
ibtmgii
e de toute autre eraïuieur
naiies ne peuvent être empruntes qi
sur I origine et la
llelmholt/ a eu
lélrie non eucUaieiiiie
.i pnuri de ikjs notions de l'espace
lUvoiis nous
représenter ailTérentes tor-
I ES r.AsEN 1>E LA i.KOMlTKlE 1> ElCllUt
, esp;
ait-il. l'opini.
géométriques solen
t k
Il iiiii veut que les axiomes
coiisc-q
uences nécessaire
s a'ui
notre iiitu;'.;on.
terme traiisceiulentale et .i pi i,',\
le sens kantien au mol. ae\ lent iiisoiitenable „
L'origine purement empirique de ces axiomes est domc
prouvée, selon Helmluatz, de la t.is'oii la plus inaubitable
par la possibilité d'imaginer des tspaces pseiKlo-sphenque-
ct sphériviues, ou les axiomes d
le ne seta'.cnt
ilabk
MUoiis unanimes aes c
reitetir-
la
'UK-trie uiui-
imaire son
t-elles réellemeiK luUiliees? ( >nt ik \ra'.ment
réussi à réfuter l'origine .i />/7."7 cju nativiste '
ael
c I espace el a en prouver 1 origine eiii
uruiuc .' 1 \\ ,1 autre
termes, (iauss, l.obatcliewskv. Ku manu et Heliiili
toiirni une solution réellement sa
le-
aans
sen-
de la th
esc eripirun
iiueslions est liegatue
Ni
111 sur la pro\ ciiaïue de ii..s repre-
dimeiisic .Ils, 111 sur 1 origine des ax
trire non eue
lidieiine n'a apuorte
lit il
lisl.iisante du probk-i
.,1 réponse a ces
réalité de l'espace' absolu,
eiitatiousde l'espace a tn .i-
. .mes d luicllde. la i;e..me-
i éclaircissements decisils.
l'ourfiauss, 1 espace est une
rtalile .
qui
Tesr
ice en sol n a 1
'1'
i\ ait mecoiiiiaUre I oriu
^Islellce réelle 1 leiiullolt/.
iie'puremciu tr.in-ceiîden-
ta k- des tonnes non cucl
iiioin- a leur
d l-.uclide (.
4'
die 111
1'.
4'
n e-l .[lie pi .ur
es :iXlollle-
iiu 11 re\ euauiue encore une
sèment il s est trouve
lu.r-
a
ne empirique. Malli
I el4t de loiiruir de- p
riiiientaks en l.i\ eiir de cellt origine empirique
contenter
'iiulicatioii
re le seul accessible a nos sei
ce les aounees de la geoinélrie
.Xiiisi Hclmliolt/ reconnaît '( .
^;s d'.
h\'(i..tlit-c> ne !
p.i. '/,
•batcl
11
1 e \\ s k \
■'P
llerclli
lleliCe ave^
1.1 .^et.iUetrie
ce'.tc
lladi
1 es
Pl
.lldl
KirtaUeiiiclit
sVsîeiues pra-
', I id^ni
tiques (Je mensuration
uranJs triangle^ rectiji
lamnicnl tous les s\sti.
qui d(Hincnt une val-
ctiiiles fixes éloif;iic
l'axiouic des parallèle;
et a\ ee nos méthodes ■
bure ne dilïcre pa- de /
a\ee les ailirniation--
ailleurs. ci;nli.e derme
\ ations astruricuniipics
sc.ut de la même .uraiu:
terre au soleil, la som
de celle de deux angler-
passer o,(/./. j-, en scc(
renée d'Mt être d'autan
SDUt plU' petits, y, ( .ett
leurs pa- lc~ limites des
I. cxperienee nous a
raxiiime des parallèle?
)ilu>ique. ~cul aeces>ih
niJti i,- 11,111 ,;/, litliciiHe.
;m;/ i7,( //(//( \ JciHiiiiti\
Dailleur-. --umnies-n
une représentation ne
■•phérique, ou plutôt d
umus étions tout à ciiU|
bleaux que nous tait 11
Klein appelle avec r.ii>
ne constituent pas des
qu'un monde spheriqu
rail. »il existait, sont
l'.llessimt aussi problé
monde, (ies déductions
EMI'S ET l-^l'.\( R
géométrique, oii les trois angles de
(nés ont été mesurés isolément, no
me-^ de mensurations astronomiques.
ur égale .V zéro aux parallaxes des
•s., . conlirmeiit empiriqueiiVent
et niiHitrent que. dan-^ notre espace
le mensuration, la mesure de cmir-
irn x/. Jùrceci Helmhcdt/ est d'accord
de I.obatchewskv ; " j ai prouve
en m'appuyant sur ipielques obs^^r-
[ue. ilans un triangle dont les cotés
eui à peu près que la dislance de l.i
e de-, angles ne peut laniais dil'térer
droits d une i|uantjte qui puisse -.ur
ndes Sexagésimales. ( )r, celte dillé-
moindre ([ue les cotés du triangle
r quantité minime ne depa--^e d'ail-
erreurs d'observation.
mlirme donc la validité abscdiie de
d Huclide dans l'espace du monde
e à nos sens, (li'iiiniciil .i/urs Li ocii-
i/iii i'j/f'r.iii. Iiil ,L- 1, i .i\i,iiiic\ failli).
I' l'iiriiyiiir r/iif'iii\j/i,- Ji- nés ,('ih,'pt>
lju> vraiment en état de nous former
te de l'espace sphérique ou pseudo-
er. perceptions que nous auricuis si
places dans un tel espace? I.e> ta-
Inihcdt/ -de ces perceptions, et que
11 " un mélange de vrai et de faux «.
ireuves Les " séries de sensations //
(r ou pseud(j-sphérique nous doiine-
éduites tout à fait arbitrairement
atiques t|ue l'existence même de ce
obtenues par la méthode purement
la géométrie non eiicli
'.•/ 1 impossibilité d'expli
[ES B.VSHs DE 1, V GEOM TKlE D El'(,l 11>E 7!
abitraile de l'-inaUse, n étaient pas taite-> pour réfuter 1 ori-
gine transceudeiitale de-, délinitiitn^ et desa.xiomes de 1 es-
pace euclidien. Au contraire, ellek pourraient plutôt servir
aux K .111 tic 11 s d .irgumeiit en faveur de la coiiceptum ,i pri.iri :
car jusqua pre-,enl le-, formes d'espace de Kiemann-Hehu-
liolt/ n admettent .point de dcinonsti .itimi^ p.ir / i'.ïy>c> ;c/;,\'
Ivlles h ont p.is non plu-, une i'n);iin- i-i>ip:r!jii.-
D'autre part, les créateurs de
dienne ont rcccinnu iX/>'c%./'«i
quer. au iuo\en de cette géométrie, le-, caille-. i|ui nou-.
forcent .i limiter a troi-. dimeiisU.ii-. nos ccMiccpts de 1 e^-
pace
" 11 en est autrement des troi-^ dimensions de l'espace
l'ous le-. iiio\ en-, dont disiio-,ciu ilos sens -.e rapi>.>rtant a un
espace à iroi-, dimensions et. la quatrième dimension n'étant
pas une simple v.iriatiou de la réalité, mai-. queKiue ch(.--e
de tout à tait nou\ eau. u.ius nou-j trou\ons, par iiolrt"; :,'.(-
liis.Thoii f<hv^iiiiu- m.iii.-. dans l'impossibilité absolue de
nous représenter une quatrième dimen-.ioii ». rccniiau
Helniludt/ j
Ainsi lleliiilioltz admet .pie i'|;space à n dinicii.-ion-. Je
Riemaiiu e-.t iiiacces-ible a la perception des -.eus. qu il est,
par conséquent, un siinide [Toduit de l'esprit et nou de 1 ex-
périence. ( iaii-s e-.t du même a\i-. ,\"oir la lettre à derliiit;,
1S44. ..liée dans (^/«/.iri/ .'////;. p ^dd.i
Récemment, léminent mathématicien -^l l'oincare a.
dans plusieurs éludes, expose d'une façon détaillée le> rap-
ports de la géométrie non euclidienne avec le problème .ie
l'espace .\|, l'oincaré prend-p.'.ur jliasc-. de ses considération--
psvchologiques sur le-. londemeiits de la géométrie, d'une
part, les prétendues sensation-, de inouveuient>, surtout de
mouvements oculalre^ ; d'autre H'art, les de\ eloppement-.
eloiuies aux recherche> de Hdlmhedtz par Sophus Lie
dans le troisième \olunie de ses' ( i' l'/i^.■^ ./.' ^ .('/^ 'i"/«,i-
/(,o/.s
(.
m
1 nous Nenciiis d'à
,lid
es, si iifitre œ
il et
Ce que M, l'ol
'laires. Je 1 iiiipos^hil
du inoiivemt-m Jt-b c<
du (xiK'lier n'étaient
sensations de directi»
tiun tlagraiile avec its donliees pliysiologiijues les
1, etc
établie
sur le
ni()U\ eiiieii
t dt
l'cliitec |iar
i7 et no
le iait
espace assez
I. •■Ill:llls
,h-pL
ne peuvent nuus rensiifiucr i|Ue sur
nient niiu-
d^'llIU
Vent
trois
N
encore moins m
Jiniensioii!,.
<JUS Venoll:- lie \(
déduisait de l'analvsc
cnntiniiilc et 1 inlmiti
Sopluis l.ie sur les \iX'
avec bien plus d ampl
pi'Ur
les 1.
de r,
Mais
malerc leur v
tlilUc
111 ic:
s pu
base~ nali
iwllcepl ,i
les trava
le reciiun.iii iK Ul iiici:
tlliUleS liei illlctrK|nes
notre e-nrit. et I
•. \pe
eilfiaiie a
aussi cate
tienne au
Il lairc SI i\
iriu lu lueir
Ilot an experinieii
lal
Tl MPS KT l.slA( K
lit, au sujet des sensaliuiis niu-.cu-
voir conscience
nos organes
las iiiubiles. de la non cMSteiue
tout cela est en coiitradic-
ic de I espace, en tant i|ii elle repose
Ldrp> sididcs. se rapporte en réalité à
.,/..,
,/. i-:ii
leja
es a\eUt;les-nes po>se
oir plus haut.
coiii))|ele>
,1e nt de
ï : le
les corps solides dans lesp.ice \isuel
les Jl^l.i
notions 5ur I esna
lies
us lin
ii'p
loser le conceiit il un espace a
Uh haut que.
1,S-
eherw esj
les niouvemenl~ 1 llonioi;eiielte, la'
de I esp.ice d hucllde L
iipes de iransl'orniatioii
1
es et Uiles île
• onl déduit
ur les ineiiies proprietcB ejialeinent
lace non eue
lidi
cur au point de vue de-
iiialhcura
dcS(
lie n'ont rcussi a et.ihlir
le
'.uclule, ni
HlLlllic lie
ace a tri ii^ iiuneusn iii-
,1 ni itloil lie Ces i
est liree
de tiiuti
Li ,i^!i m i| m lions
M 1'
■ iiuare se proiioiii
dan
de la
.ption
toUl
kan-
de pi
plus récente : " <iei.iiietr\ i>
expérience loriiis luer
:\\ tll
^.-i.iud |i|ivMoli.j;>lc V. Il Wihui
, S.:, a 1' |M.
I Ks tlAsls DF I A ùtOMKTRlE li Eli llDl '
occasion l'or oiir rellectint; up<iii tlie neonietncal !,leas
W icll pre-e\ist 111 Us ' //
.ette
d
et) accor
tllein 111 oiie
casioli. M
unplet .1\ i
inc.ire decl.ire iiu il est a ce suiet
4
llelinllcdt/ et Lie
dit'!'.
ml oiiU. but probabh the.dittereiu e is ii
ihe mode ol expression oiiU and .Il bottoUl \\ e .ire Çi 'llilile-
teh in atcord. „ lui réalité, les dittelences eU'.re H .■lilllloh/.
Lie et .NI. l'oiiicare sont coiisulctables. Hcliiiholu. quoique
un de
niiicipaux protagonistc4 de la geouietrie non eue
li
dieline, était trop
.h
;isU-
verser dans la inetapli\si,|Uc, qi
.-l trop p
.ousiderai
hv
:oniine aussi
UlUcsle a la philosopllle que 1 flslroloi;le le lU; a 1 ist
iioinie lleliiiliolt/ admettait la iwilitc des l'f'h'h Jdin I
r-'
i7 /',
v;,s/, //i
./',
.v/>a
i'Milii. Nous venons de citer
son a\tssiir 1 impossibilité de nous represeiit
quatre dimensions
Loin autre est la manière
maticicn illustre, il e-,1 i este
de'
ter i;il espiiT a
\1
iiliK aie
Math
recherche
e.vpenmeutale
talc
est eit-=pcemiere liciic un |eu accc dei equai
lulot
1'
tiiuies.
111 a ellici
ibli
a nos sens
aux uialhéniati
der les 1.
l)a
.lells des |oUl5s.inCes e
is du monde p
la .S',
Ils ses ouvragp-»
.1 .S, u-
it MillhiJi-, c est el inetaph\s
.Il
jiorle des lugeuients Mir k
JMU liiimain peiuLiiit les derii
■ iiiiellemcut etr,iii^er .lux
anal\sc supérieure
sthe
hvsi,
lie. seul ac
i dcsliues au yr ind iHibli
la V
L
l .S.
u il
pandes
les de r
c e^l a dire le repère ai
dii-il.
lerre pour sa\
lelli e
■bjecln
Desl,
L
absolu.
uel il t.iudrait r.ipportcr la
le loiirne, n a aiuiinc exis-
= lte allirmatiou ■
la terre tourne -
11 a aucun sens, [larce qu aucune txp
erlellCe lli
la
. erlller
Ml
s d espace.- peut on tourner sai
t uiruer par rapport .i
-I'
H I',
,/. Mrt.:r'n
■ it Jf I,; ii.iU.
M
Lj s.
:•/ ///.
EMi'S ET i-:spa<;e
/>.'///.
D.i
l.i V.i
.irc rc\ieiii
t »iir ce suj ;t et se prononce exactement dans le
llieille ^elis.
M. I'
incaré est ddi
autre-- iiMii eue
lid
L'uniine a\ ee ( lauss et
lUI lOHsIilUeil
t le
Kl
;s de 1 astrcjiiomie et de la pli
\ni idcllle
M 1
iimcari
diiiu- par C .iiiiernic. (
iiices du monde \
a brillante deiiK
■>liv:
la deCull'
la pUiine
nie de
'Aragc
inatl\en]atii|iics an \i\
dt la icalilc de l'esnac ■
biliie d une 1
1 expérience >
ni en
Isde
dlUb
bCb dedliclii
prccurseui
u un espace rc
■l a t.
a un espace réel est ui
que les déplacements
/,.
'■/■■'
tt.ltliUI d'ui
SeUblbilil
>ace cnclidieii
e. luiisque n
euclulien
crit M
p. <'S). le iiiul niiiigiii
< 'r, iiou
tnn
s dinieiisions. mais
./<• Al
'P
M 1^
ppositi
on comp
le le
avec tous
eus. avec llelmholt/ et Sophils I.ie,
[111 1 es lois de la gravitation.
les met en don
te. 1,
I révolution pro-
alilce el .Newton d.iiis m
is connais-
I"
our lui >an;
port
ee Sérieuse.
lion
le la validité des lois de X
eu ton
epuiiie laite par l.e\erricr " an bout
ce idus grand triomphe des sciences
siècle, ne prouverait rien en la\eur
-M 1'
iincare lui bppobe liiiii
iiilirmat on e.\perimentale et dédaigne ain^i
■lebre di: loucault. Les groupes des déplace
qi#<;ls.\l.
incare a recours
un eïpace a quatre dimensions, ont leur
lleh
h/ et de Soplins l.ie da
origine dans les recher jlies de l'einpiriste l'eberw eg. qui tut
le \ crilablc
.. elte \ Ole Leurs élu.
raison d'eire parce qu'i
s sur les Oeplaceineiits avaient une
Is .Liimitaitiit tous les den.\ l'existence
is dimensions. Hii ertcl. l'existence
dition préalable el absolue pi
les Corps
solid
es V soient pos:
siblc
espace a trois dimeiisious doit nous
elre lainiliere jiotir que nous puisbions v étuilier les deplac
Jllenls
n est pas une lorme imposée a notre
iiis pouvons iiii.igincr l'es'pace non
Poincaré
r.r/c
Je la
ignilie t-il
nous représenter .
uvons trei bien nous représenter
un espace a
nullement un a quatre, et cela juste
IKS ll.\SKs l'E L\ ohoMlUKIE UEli.I.lUK 7 =
que celte représentation de l'espace euclidiei
ment par
est "imposée a noire sensibilité;
ou.
iour employer 1
Lingage précis de la plusiologie dx-s sens, nous est imposée
par les percepUi
les trois direction
iiui, gr.u
Mictions des troi-
.tes onaes sonores
paires fie canaux semi cir-
ilaires. nous donnent la représentation des tr
1 Ils COl>
rdon-
,S| ■
Laide
de |)e-ca,te
'< llliat;iuer .
;ut di
e que iious pouvons
/.^^ ;(/i/ a
anaUse ou d u
ne dialectique métapli\ siquc
ou moins sophistiquée. 1 existence d'une quatrième diuieu-
iiicune aiiakigie n'est adm
nietrics
//.'de
^lllle
entre les deux ge
e la geométrit euclulieiinc esi continuée
par toutes les expériences depuis plus de deux mille a
tandi
s que la i;eiunétrie non eue
. londateius eiix-mèmes.commc une ijéoinetric iiii.i^Ki.in
est a due ne reposant sur rien de ree
ildier
été dé
pai
1'
l'aide di
lUatrieme klinien-lon.
.M. 1
■ ur prouver, a
e des déplacements, la possibilité d'imagi
ulaiii
iiii iiwus donnerait
Liincare a recours au sens
•s sensations étendues /,
-( »r
, e sens miiscu
:h. Il
pas plus
au
laircj
4
pas
Lie les sensalious tendues.
(les sensation
s iiuisculaires. purement imaginaires
care les groupe en séries
.M. P.
lissdes en îrt^is classes corres-
-laiit aux trois dimensions dij l'espace
Si le veux
,agi
une quatrième dinieiisidn. dit-il. |e .supposerai une
e sensations musculaires, l'aisant partie
d'uiK
quatrième classe « (le raisonnement re\ lent simplement a la
créaticiii vl une géométrie imaginaire a l'aide d'une phvsu.p-
logie lotit à l.ut fant.i
Dans
on\ rage ,iuquel sont en|prunlees les citations pre
cédentes, .^1 l'oincare traite dt
(-ette nouvelle géométrie, créée .lar Riemann, Cremona et
Hait, et baplisee di
tout
e Idée iiuantitative "
Ont dimc
c ceci de particulier qu
d.l".!/r
Les thi
li.
la
iineti
'/
luxliLit:
tait abstr.ution de
epremes
de V .\)ijl\>>n
Uns
ils rester.iient vrais si le
tigiires étaieiil copiét s par un dessinateur nuilliabile. i[ui
altérerait grussièreme it tuutes les pr()|i>prtiuii, ci remplace
rail le> droites jiar de
" 1
es mêmes queslmii
de la géométrie euclid
des théorèmes de l'.l;
> lignes |>lus ou mllln-^ suiueiises .. u
s ijui se posaient a propos des \ erités
e, se posent de nouveau a propos
par un raisonnement
Jeijuisees
Sont-
caraetéres d une lurju ; imposée soit à U'/tre sciisihtlite. -oii
a notre entcjidement
deux dernitre> sulutii
ne s'est pas tmiiours %\
pas admcitre a la lois
a quatre dimensions t
Lspaee a tr^i
11 serait i>h
limen
juste de dir
d expériences
<nt di
\ cut-il pas 1 admettre :
une interrogation : est
sans imaginer les deii
impossible de simagir
ssibl
.•t d'aill
eurs inipi
s agit. Comme
simples jeux des miits
euclidien. Celle de la
slble. \\ I'
plus important -
1.1
disant que lespac
la géométrie de
rement sur les i
Ihalc
lire sur
H 1>,
semi circulaires
/., r.
TEMI'S El KSI'.^i.E
htenus
i/i'.s/.s i(/((.i. l'euvent ils être
déductif? Sont-ce des con\ entions
- vérités expérimentales? S...nl-ils les
Je veux simplement ol
Us s excluent, ce
Pllt tout le 11
qne les
de
en renJu comp
te N.
u'il est impossible d im
iginer I es|)ace
l que 1 expérience nous démontre que
ions
X(
'iilioi-. pas a
ettre ». puisque depuis des milliers daniiees de
uoiitre
. c.xi)erimcntateur
I '..incare ne
■se a la nature
ce ceci ou c
elaPet
il ne peut la piiser
X termes
de
a 1 1 e r i 1 a 1 u e
il était
er 1 un de ces termes, il serait inutile
; de consulter 1 expérience ' // 11 Ile
n vo t. tiueile
illlsnie
ijutot lie
( -omiiie la représentât!
1 espace
.jeonietrie
ilital
i\e lloUs es
st P(.
liicare recoiinall incme
le tli^
w///^ est
celui .nie
a troijs aimensioii
s 1
,ltel.
lag'éonielrie qnalitatr- c repose eiitié-
de JiiW li.'ll . c'est-
du svstème
t ous des seiisatii
loiictio is du sens geoiiietri.
arilllllletlque il U
1 r.s ti.V^I•;s iJi: LA
liiuavoii, qui. grâce a la
itl
;ptl
nous loLirnit 1 1 connaissance des
eiueiil
tTKlK P hr> LU'I.
on des h.intL-iii
des
• labres, \\ \ parti
K
arniichl une année se pa;
ibk
ettc
mais iioiis devons reconnaître lianchement que
les pas beauccuii
i puis avances
V a 2 .
I il
tel a
\eu. traiii
digne de la s^ iciit
tissu éph
uc les vam
elilcrc ùe
nous scHiiiue^
en l'^M' -Niai
deiwoiistrati
d'état de c.
la
dleline.
an pro
(■rgane~
es paroles ont garJe
de 1
espa
is i;enerau\ pour
lions,
siolOL'lqUe
.u\ertc qui nous a pe|-mis d'établir
des detinitions et de- axio
.e s.ui- qu un essai [Kiraisse
uant a 1 origine des axiomes
qii
lide
et lovai. lioiis païait pli
.iforts pour cacher.
par ui>.
is l.iclices. une lacune que
iib
.\in-i p.irlait (j.iu-s
h-
; la geoinelrie non eue
ute leur valeur par rappor
lusqua la découverte de
1 perception des triais direc
origine plu
d'iùicl
Klc
— I.mKIoIM-. l'ilV-ilni.vu
Il a h ni'-i hi.t iMi iti.\-
i:r i>i>
.^xii'Mi s 11 t-;t»
ihi.
U'squ oi
1 -iiit au cours
matlieiu.iticieiis [iour p
partlculicreiuellt le oiU
lies slec
ver Us
irectiou e-1 le
Lsitnioti
s les ettorts réitères dc-
loines d'iuiclide. et plus
Ustate que la notion de
i plupart des Solutions
prop.
iihllo;
I Lisqil .ui milieu du Xl\
slecl
e. matheiu.uicieus et
claire, pour lormul
t servis de cette notion, en apparence si
1er leurs tiiiories les plus satisl'aisantes.
.\lc
iu's. promoteurs
de 1,
i géométrie non euclidienne
esl>eraicnl eiKore
bas
iirection 1 axiome lies para
leles. Dans -es premiers essais ge'ometriqiies
itchc\\sk\
iehniss.iit les
■' les Huiles i
ill
ar.illelcs.
m i .i\ .lit t.iit a\ ant lui
iirecti
e et de la correspondance de (i
Da
P'
.u U
cbt iHie>tioii des preni
leur a Muueiit rec(jiir:
j^iuc de 1 aximiie de> [
1.1 (Jii.ii I, rir /l'.iv.u ,
part décisive a la polc
nous libons : « La seul
)a ligne droite est lii
en dernière analyse, i
de directions '. //
1 e philosophe leh.
\ail deja cite, de dédu
des corps Solides, les)!
ciihn à une constructn
prend comme base la i
detinir. ('ne très rem.i
blême de l'espace a 1
encore celle de Kiclil .^
ipier les sensations de
sations de imiuxement
TE.MI'S IT K5PA( E
lers fondements de la géométrie, l'au-
à ladirecti(ui quand il cherche l'ori-
arallcles. Dans les célèbres articles de
lar lesquels sir John Heischel |iritune
mique entre .stuart .\llll et W heuell.
5 notion claire que nous possédons de
lorinite de la viireclioii : car 1 e-pace.
esi qninic quantité de distances et
i^î'/M, (lev mails reprit
loppcr d une laçoii de?
des années i S-jii- 1 ,s-y,s. s
iioiis lourint les seiisal
ile\ mails. Réduit au\s
lioii\ ait réussir mieux
.•^1. a I aide de la n
aboutir a aucune solnli
de donner une deliiiit
reconnaiss.iiit I iiiipor
mathématiciens s .ittacl
chaii en \ain a rcagir i
sin\aiu montre qu il a\
plivsiologlqiie de ia llo
. .S:, J,
Hur^.l.ul ()i,.j
rucg, après avoir tente, dans s.,ii tra-
re analvtiquemeiit. des iiioiu ements
incipales tornies geoiiietrii|iie-.. passe
'11 svnihetiqiie de la ge.muine. ou II
otion de la direction qn il cherche a
■quable tentative de résoudre le [iro-
auic lits Sensations île directi.ui lut
i.illieureuseiiiellt. Riclil \ oiiliit e.\pli-
lireclik.n par de probLin.itupies seii
et cela lit echolier sa teiit.iti.e. I.ii
idée de Kiehl. qnii Lssa\a de dé\e-
plus Uitcressantes .Ni.iis nos iravau.x
ir I existence d un org.uie spi.cial qui
• ns de direction, ui.iiciil iii,onnus à
;ulessens.itioiisde moineinehi. il ne
ue son de\ancier.
tiwii de direction, on nu [loiuail
11 décisi\e. Cela tenait a ia diiiiculté
m satislais.inte de la direcii,,ii hii
ance capitale de l.i dirucli.,ii, ls.s
lent siirloiii a l.i detinir (.aiiss cher-
oiitre Celte leiidaïue, el le p.issage
lit très liisieiiient pressenti longinc
ion de direction :
A",.
ifiii
<
n> 1'. \-Es DE I. \ GKO
" la dillereiice entre droite
deliiue, mais seulement indiqué
relation analogue a celle qui exi-
l'iiu/c ••iniilc i Liiidi^jt : la demie
que pour des être- qui jH.sseden
inière existe pour tous les esprit
iiionde matériel est accessible, 1
pein eut pourtant senteiidre Jii\
que SI clllelqile objet individuel
eux un polit .le dis diiwtciiu'nt
a\ec / au movLii de ponts mal
entre .\ el H. H et C etc l'.ii i
( j(it/ni<; ist //.■ ;i\'.'.7//7';' . l '/,\'/^'C//.
la portée en melaplusique. et l';
rélutatioii de la chimère de kan'
ment uwv toruie de notre intuiti
du S ie\rier iSpi Ct'i ^.7>-(>/i-.v ,
. /l'fi ,//( .\i^\ /c Jcniur p(i:in aient
li'.'tr-: L'in.U'. L.ir on \ liouvc le
.L'iiiicc /. / jit f'riihii'inc Je ftsp.i
Les directions <,'./«./(<■ et Ji(u
arrière, haut et bas sont des -eus
iiilli^e et leri l.,l dllterelice elltri
être Jêtihie. mais seuleineilt ;/;
s agissait d'el.iblir entre lesdilïér
sent s entendre sur les direcUoiis
pndileme de iL-pace. ces polih
qui wiit reci.nnii l'eMsleiice d un
tille à Ilou- di'iiiicr des seiisalior
liles dilïerelltes. " lesquelles UoU
ceptioii du monde matériel ,,.
Les idées si claires de ( lauss SI
lion diiiis le probiviiie de lesp;
recemnieii^ par la publication
LMIes n ont d..iic p.is pu empêche
•lETRlR 1> Et . 1U>E -i>
t g.iuche ne peut pa- elre
; il \ a entre elles une cor-
c entre doux et iiiier. \Liis
•e comp.iraisoii n esl \ niable
les organes diii;oul, la pre
, auxquels la p*rcepiion d.i
)eux esprits, de cet ordre ne
. ichicnt sur diii,:.: et ;',/;;, /;.
:t matériel \ieiit jeter entre
car .\ peut au--i senteiuire
eriels letes sUCCe-s! \ enieul
dique brièvement d.iiis les
1^-, l. p, dis, quelle en e-t
1 aioute que j \ U'' .u\ ,iis 'a
que l'espace serait unique-
'11 // Lettre à Schumacher,
u pln> êiiiiiuiil uijiliciii.i;,-
"fresque servir d'cpii; rjpli i
><i'i!./ iiieine de ' ' <-./•■
de même que .nant et
lions Cl. mme»/";.M et .un -r.
Ces sensations ne peut pas
qiiee. Les " \y .nis „ vju ;i
enls esprits, .itln qu ilspu-
et arn\ er .i une solution J.;
sont jetés par les li.i\au\'
organe de sells,/./ ''<>'. de —
s de direction vie r,. .is qili-
s rendent accessiiiie l.i per
r 1 importance de i.i direc
ce 11 ont ete ré\eiees que
Me ses iinnres p<isthiimc-.
■ que. lauie de delinilion, Li
llMi-5 El ESPACE
direction in; lïii pre^i
-oluti'iii '.lu piobiciiic
1.1 Ji-t.llu t-
i)c]Li l'rukln- a\ ait e
cil rt. ;ii)i];k aiil la Jiiw
l'idée de l'rijl<lus. on ;
litiiies Liiiudiilaiiics //
tioii // .nii>i >|Uc les dé
et autres la .//.^/.m/. r li
t/i-ii/ à !a pin biologie ou
loiiique ljl cltel. la 11
métrique rcpo~e sur 1 (
lii ..tudiaut jiar \ oie
ïollde>. on prend ell 1.
le^paee \ i>uel. l'our et
pu Iriuriiir une hase la
a appiii-iui-r Ji/w liiiwi.
la e.inniii?sanee de I <
nient remplacer' la di
à Combattre la légiliinit
" (,.. minent delinirait-^
la litiiK dr. .Ile r Ici no
Non? pou . on> moin
snuis de dwu\ et d an
directions Iwiid.iment.
cale . Ncanmoin?, les
sont claires pour iioi
■^'oUlii;. IleimlioltZ et
e bannie de la ge-ométrie daiw la
le lespace au moyen du concept de
i 1 u!iii'it,.;.i:.l l'Tl hiun
Je i\.-[MCt: Ju!l iolcr pui
.ivev 1 cxpcnciK'. iic nus hc
iiiéirii. de^iiLin èj^alcmcnl r
iiicnic ijut; là ^LniiiuUik: a
unipli'^c puiir 1 .ixiuiiic di
comnju nuiiuii l'uad.iiiiuiu.ilc
clic Sviiic grande ulililc pu
>cll- >tiul. r Ou: ituht t-lik
^4Hsm
a\é Je démontrer le onzième axiome
lii'ii par la .//>/.(//, <■. l!n développant
riva a delinir le^ parallèles" ciniiic
au lieu de " liiiiies de même direc-
nissail l.obatcl)e\\sk\ d'après Jacidii
redevable de sa \ ictoire sur la Jirt\-
. plus exactement, à 1 (jptique ph\ sin
ition de la diil.uuc ctunmc grandeur
stimatiou \ isuclle i . I iii^ciinuis^ ,.
aiiah thitie les mouvements des corps
onsideratioii presque exclusivemeiU
s études, la notion de Ji>laiu c a donc
igible. \.\ lorsqu'on chercha ensuite
/ les expériences de I espace \ isuel à
pace absidu. la ./;.>/. ///ce de\ ait liprce
ction ' Aussi Helmhoitz cherchait-il
'■de l'emploi de cette dernière notion ;
m la direction sillon, précisément par
is tournons dans un cercle vicieux „
, enccH'e définir exactement les seiisa-
er. de roUge et de \ert que les trois
les (Sagittale, transversale et \ertl-
lotions des couleurs et des directions
3. .\ l'aide des notions de couleur,
uilres oiit pu lorniuler la .théorie des
piu l.l i
jiueill t
l>, plus
comctric des lurniu.N nun cuclidicimc-
.in>cciidi:iil.ili; cl sans dui:un r.ippurl
ciirs p.irti>.ili> .iiiluri>é> de ^cUc gcn-
\ ij i//v/.t«ti'. Ainsi Killing du : \ic
4ii Oi;.irtt r lu iiution de duu.Uun vl.ins le scils
,i.ir.iUi les, de mcine l.t nuiiuu de di^i.uiee
ne puurï.i eue uiJuHeiiue cl par suite ne pciuri.i
les fuhues d esp.ik.e non cuelidiennes d.uis le
ijirjtcti H.iutnl 'iiiu II. Leipzig, ^h>^■■^
l.RS B.\S1:s LE L\ i.-ÛOMtTRlE u'ei\,1.U>K
lur.iit 11 pu laire autant
Couleurs, Pciurquui Kuclide n'en
l'our la géométrie avec les notion|, de direction,?
I.e présent essai, le premier qu
iritniiis cl lesa\ionies
nuv sensation- de l'app.arêil des c;
es d l-.uclidea K ur origine physi(..logique.
•i^euerales suri origine des
Hier, Aussi somuies-n. .Us
tits les détails de lu.ire
T iii.tre
i pour bases natu-
l'ace. le de\ eloppciiient
Is
pourquoi lii.usue cciisi
iieonietriqius d Kuclide
pourra donner que des indications
notions qui a\. lient servi a lesfçirn
loin de considérer comiiie Jétini
dcmonstraiioii ,s, mnis reii,siss,u s. a ùire partager n,,tre
conviclion que l.i gé..nwtr!e J'iùiclide .
relie- ks perceptions du sens de l'e
ultérieur de cette dem.uistrati. .n n,; tardera pas a être donne
pardesgeouictrescom[>etcnts. (^'es: p,.u
dererons ici que quelques l\.rme
les plu- illl[ii.n,intes,
i.a ligne droite est déliiiie ainsi p.ir Kuclide : '< i;a ligne
lrolteesteelleqUiestegalemeUtsitl[eeelltrese-e\trein:teS.-
fniutis iii:.t siii^ I .u :t „
aileniande que di.iinc
a le même -ells : » Kme
zui-cheii allen lit ili;-
\rt liegt =
[•.Uèlide a \oulu delinir
.( une .s.-iiL- /.(,,.//, i.u
'< /\\\ t.i ////:•./,,/. ,j,i,i\ ni!.jnc.-\ .fju
i traduction K,. 1,1^1 |., traduction
l.oreii/. .lussi d'.iprès le texte grec
gerade l.inie ist diejenige uelche
betiudiichen l'unkten aut einerlei
I.a n..liun de la ligne droite qu
dPi'arait clairement : une ligne situ
égalemenl, par rapp,,rt a t.uis ses (Unts; cela signilie une
ligne qui ne dévie ni ne se curbe f aucun cote, c est a dire
qui conserve la luénie direction
I.a ligne droite est la ligne de direction constante, cu
le disait avec raison l'eberweg (je philosophe. esSiiya de
donner à la déhnitiô.n une b.ise plusitrictement scientihque.
en déduisant la direction du mouvement de, corps soUdes '
« .Nous nom m.. ns .//-,.//.■ la ligne qui. dans , a rotation autour
I 1-1..MUS pi op. .se eiKure une .lutie Iradi.cliuu
' Nullum pniKlum inlermeduin, ..h esti, m., surs.mi aul de.ais.aa.
De (;\..-..
tende à ramener le, détî-
-tiii-circulaires. lie
de ilciix p' .inl^ lixi->. Il
.|IK la I ,'l.Uhni |il\!'^ll|
(<rii;iiK- lie pi-ul rcpi II
ci ,1 t crlainciiu lit. lit
li\ re la nwiinii ,1c un.i
la n..t
airciiicin 'H
idcf» i|iii I m~iiirauiit
niiL> l.iiiiilidc^ aux h
IIk 50 élIUr-o M ilitillc
c\ I de m 1111-11 1 t xci\L-r
< In iii-\ '
lUCllIU. actlcill MIT
rai. i'a.MiiniL de la
.lidc
\ lie le llliHl\ cliiclll. .\
rait luillciiieiit que d
de rioli.)ii> aiiali)giies
.iiie sur la Miiiiliuide. (
.iiiiiiiiifnt !i cxniiuie I axi
sur la coni;riiciiee
lia. //
bleb
L.> tiraiideiin
(K.
.■mander lileieli, „ l.an bert
.1/1.11.
dcr /i.i
>llld
( )ii \ oll un
1., r
congrueiii e a\ ail pcUr
iiicunnue enoiie auji
niuntre-l-ellc
de> eh
.jiciit riarlailtnie
exaele Ue? curps
de^
.;11
illde
corp?
la seule Liili(;rUe
e 4UI e>l priiduitL
de deux iniaue
de la Congrue née mais
pareille Xu lijiid, on
axiijiiU's du premier li
tii'ii et de pii>ili(iii.
-oit pa-.
Sans
iiipler
delà la iioli
de Al
. Iiniiioii d
iiielit ( elle exelil~ioi, indl.|ii
llKlllV t lUellt cl, lit elrjlliiv
delll
lire, ex
luuli.K
■lu de -.
iii iu'l nucr
jhiiiii
de.
dc\ (
idicn-. i^raee a eeilaiiio li\ pi
di
lIc ilcriiicr n
l-ilelide
iimrucuee
illt IMI
axait .ieia en
■il
en elait ainsi, cela ik
autreb deliniliun- il biiispiràl
rite la eoiiuriience n e>i basée
.lide
Ju.f si|ii niiitiKi ci>ngruunl siii.i .e,|ua-
111 Coïncident sont euales et
ihla
1/ tradiiil ; "
.Uist;
W,
. ihaiider ,/, . kt ist
dellllle < ir
~-en. Ju: .111 1
ein.uider {il
lerielKe lirec
jicli
lu nioii eiiieiii .' M la
le niiiuvenieiil
bas
ird liui Kllellel.
.id
lie n
is serait
ou I e X [ I e r I e i
iliiii coincideiil coinpleleiiiciil ou
;alis?rne
coimrueiicestrK teinunt
Kles est lnl.pos^
sslblc
lexperielice peul s'appulxci II, rea
ice parlaile iJHe lions colliialss .Ils est
iiis notre 1 onsclenct
teux directions kleiiti.iue:-. la iiolion
\ lent peut-être iusteiueiil aune iiision
ne triHivc
dans les delinllloii- et les
l.uclide 41
llotlonb
.\idi
LKS H\!,l..-
.\.
Us A\ on
'lu lab\rintl
tn.llsded
•ippele pliis haut 1
le en tint qu ort;aiie
irci ti
.-t mollir
e le ii)e
ces sensations pn
s agit il i diiidlquer
iiii
qUelU des n
'innient no
"Il peinent coiuiiiiri
l^prcepiion- A.
'resentalion
'1)1 nu
d .
■-Il même teiiip- v|iie ranimai j
iireciion. -imiihinei
lient ,ivec la
riiii p
'|ll>'-' pai" la niell
le cause
si'voit une -ei
seiis.iiion ai; ■
extérieure \-'-\
excll.lll, ,ii vie
.. de
.111
lierl-
iine- a d
ainpu
laires pn
.'erçiic. aliii d I
irigei-lvon
la
iiviir la c lu
Ile sulll-elll
di
p-i-
liriger la 1
leclion. ae~ inoiueiiients vie la t
■rfis entier inierMcniieiii. det,
h'Ue MsUelie dail
du
iiieni
'le et.
e excitation de- îerininai-
seini ciri uiiiirt
l.e cl,e
cmin le plus
t.ition
tion de la direi
iieris de r.iinpouk
P'
ligne
est limite
tioiiest la lignciiroiti
lie
Iciile a\ ec
la 1
igne VI
a lllle
'art
l''"l i'.T le p., ,1111 de P'erceptu
le poini d'e
.11
l.a .//
./c'.I,
lie
•mnielell
e peut seleiidre
.1
1 i iiilini .\u-si
esprit, proK.lUer de- deux Cités la 1
a ilirecl
< . est Cette
on a l.l,|lielle eife
P'n.prieté vie la lii
lie vir(
par si.n origine ineiiu
demande d Tau
vie
1 e.xpli,|u,
te ligne di
irolonuee
en di
rection droite «. |>s
le mécanisme exoi
nirriiii due : 1.,
I representalioi
Cetl
e oriuiiie
1 iminediille d'
la noii,,n
iKii: i, n V LiM.
loii.clioiin
eiiieii! V
péri-j>llerii|Ue J
aiiisiiu- int!!
oii\ eineius
es -eusa-
regard d.ii
Si
Ces nii
e \ e 1 • il:
s cette
elleiuem,
i-si Par 1.1
ner\ eli-e
un vie
illt ou
ieu ia Pcrcep-
Cette vliri
-lie A'. ■
1-:;U
ixciiauoii
en iiivii
lue ainsi
le. Il ,1 -pa. Je
i\ ons-nous
;ne droite-.
limites:
• Ils iiotrc
ite iviea
e, vle^teiUl
et Ul-litie ia s^
'ite peut Jou!
dogivjiiemv.
eCL'iivle
^ eîrc
il. d'.itirès
a ligne drv.,ite est
une st iisalion de di
.-ction.
4 i
liiiie
arole lie!
i,'l
«4
iiiiiu cji.iK nient >.l ^1
filtre àtux p.)iiit> Ai\
.ic leiicii.ire : " la .i
piiim a un .luiie « '
iici-c»iîcr le tlclillltl
plls>lwliiL;iijiie >ie la
■.cii> jireii> Ain>i Jo
pond en..ijrc beaiK'
pln>iol"gi4tie lie la c//
l'ar la ^eonuic dcm.
pciii être ciK-Mie plu--
la ii'-tioii Je la Jr^ni
(.1 «-. /i.iii,:,if; le 1,1 il
l,e diju/ieiiie axinin
vaincantc : " Deiu il
e^pacc //. 'Ui ; Jeux
loi~ et Jiveriieiit ensii
./. I.i pi-'i.- ti'iii •'" ''
Jilf.'iL ■'l.\>. 11 Millit -
Jeux Jirectioii> Je ipi
^lu'ciie^ ne peuvent
tuJe résulte Je nus p
La preuve la plu:
Jruite, ewinuie Hj^ni
elieiuiii ic plus euU
Jaiis les Sensations di
v.nib Jaii? ce tait : n
animaux >|ui pnsséJi.
ii-ill il li^iu: Jrdili: i
Jirigent avee la plus
pour parvenir le plu
contre. Icï animaux
qui s'orientent seul
odorat sont iiuapabl
Qu'on observe
ri-MI'S ST EM'ACK
i.ilite Jelre la liiiiie la plus f..urte
huiiede; et Jll^tllle aU"i la Jelinitiou
■wile ri-t le plus e..url ilu'iiiiii J un
)ii a repr..elie à cette Jelinition Je
m iirtalable Ju ili.iitnr. hirinine
lii,\liini en inJi.pie Jirectcment le
ic, la Jéliuiti..u Je l,et;eiKlre corres-
<up plus exacteuieiil a roiii;ine
-,.//,■ / y. ■'.(/. ■
nJe ciitée plus haut. l.ucliJe m.uitre
nettement cjue jiar sa Jetiniliou .|Ue
e est Jélerniinee par l'-iperceplioii
rectioji.
j le laiit ti'une façon non moins on-
r.utes ne peu\enl pas renl'enner un
Iroltes ne peu\ eut se croiser 411 une
le a rinlini (leci résulte directement
ih.rs J.Jc-iix si'iis.iti"!!^ ,/c JiiwUoiii
,e lixer un in.stant notre attention sur
ilité JilïéreiUe pour avo.ir la certituJe
lus j.iniais se rencontrer. Cette certi-
rceplions mêmes
é\iJdnle que la notion de la ligne
: de direction constante et comme
•1 entre deux points, a son origine
1 labvrinlhe de loreille. nous la trou-
,n seulement riiomine, mais t.nis les
nt cet org.me et > /m seuls niiiii.iis-
.iiiiiiic L- iliemiii U- plus i\iiirt. Us se
grande précision dans la ligne droite
i rapidement possible à leur but l\ir
auxquels manciue cet organe spécial et
nient à l'aide de leur vue ou de leur
;.■, Jl- siiii-ri- 1.1 ligne droite.
:iar exemple, les pigeons voyageurs
II. s ii.\st> DK \\ i.linil.IKlK l)'hlc 1 llJl;
quand ils retcjunient au cijombi^r, les chiens quanJ ils
traversent une rue. les bétes poursuivies à lâchasse, cl l'on
Verra avec quelle sûreté ilssavent eih changeant brusquement
de Jirectuui. prendre la 'diagoUcilc pour raccourcir leur
chemin l'ar contre, les auim.iuv. jineme ceux qui. comme
les abeilles et les Icjumils, sans labvrillllie. sorielltelU
pourtant a la perl'ection, ne se mçuvent qu'en .irc-- ou eu
demi-cercles. I a lluuc vlrolte leur t-~t lucoiuuie
Dans la ci.isse des auim.uix ver
ou accidentels J
entraîner 1 ab-encc ou l.i perte J
direction en liune droite l,e tait
canaux s4:mi-circulaires peuveiil
e!le connai-MliCe Je i.l
^oberve che/ cerl.lllles
souris dansantes j.ipunaiscs et che^ les l.imprijie^-. "comme
chez les pi^e(ui~. les lapilis. le- 11
maux qui ont subi certaines muti
Cela, même qu.mJ leur vue est re-
I. homme peut perJre 1,1 conuai:-aiue Je l.i lune Jroiie.
moiiientanemeiil ou pour un temps plus ou U'.oia-, h, nu
p.ir suite Je inalaviies Ju labvri
mouvement- inaccoutumés, tels q
.rot.ition prolontjce autour J'un
toute autre cause .icciJentelle qii
\ienla troubler Iharmoiiie Jes ra
seus Je 1 esp,ue et celui de la \ lie
Les expériences et i Jiservation , iniiomlir.ibies qui oiii
établi ces laits J une tasou inJiscuhihle n'aJmelteni >|u un
seitie interprétation : nos notions
ligure lonJameiitale Je la geoinétri
Jes sensations Je Jirection Jues au
ebres, Jes Jetants innés
elioUllles et autre- aiii
latiou- Ju l.ibv riiithe. cl
tee intacte.
he. J intoxicalioii. de
Ue .lé balanceiueui cl la
.»\e longiUiJuial. ou Je
i. consequcmmenl. par-
[•ports uorin.iux entre le
e la ligne Jrolte. cette
e J'L.ucliJc. prvivieiineiit
labvrinthe.
'ne iols que 1.1 Jelinitloil Je îa Imne JroJle iJe.tle
i. (,es elrc>.i uin. uu Jeux p.nic> de cii,.
>,,!ll qu'lKlc uu deux, Jaeillou> de l'esp.ue
ditiHe. mais eu .'.igz.i^s el eu cercle-
z Viiir. SUT 1.1 (>uïlcc liiiy>u»K»guj,;e d
lue- ouvr.i(;es it *^" ■'■i'^r' /«//f cl /0;f;/*Vi »i
et jux uti>crvai:ou- >ur lc> suurd>-niuel>.
.;\. /c>l-.t-Jirc .-i;.; .
C ^Mlltl.t
u<^ >-j iiiciivtri.î 1 .:■>: .
- -■• 1''^
... r.4^p-.,ri.. 1.
isa^IC- ..lU VCïlii.- , i
1 1 .'.»lJti
\).l
'E 1 \ i.K.lSliTRIE Lil:
en ineiiif itiii[p'
un coiii'
du
[Hniisui^aiit. IJu.iiul le |eu a
(111 sai.cr^iiit i|uc la poursuite >'
|<'Uir-.ui\ I il'iuait pa-. conscience
l'ara
IfU
Ml a
une rencontre
a rester a e^ale di-,tance
icu J.ui> un e-,;>aLe limite.
Dr, si le
Pere en ziiizat:
[u'en gardant la direct
•sbible. il
échajiper a la p(.llr^ulte, choisi nhitot
ion
aurait, l'our
a Celle
une direction opposée
lie
11
• Il il aluiiactii
|ii <i\ iiit adoptée le poursuu anl.
pi'iil être .[UestiMii chez les animaux d ideali-.ath
expériences ac
notion des parallèles leur e-,t Jonc d
des sensations particuli
- ex
lions et leur
breu~c> ici
4e me lurent
re\ ;lés-au cour> Je
leîclic-, relatnciueiit
sionsdans la .Ictcnuination dodi
(,0 II
:l /, ( >/
jhcr.
'see-< ailleu '
cil
satloii- de jiarallelis
-.en-an. iii- ,. lit leur -ici^e dans un
la tête, et lu.i.iniiiienl dans le-, iji
vertical uauclie e-l paralk
droit, an sa-iit.il «.luclie.
( e~ l'bservatioii- in. 113 di
12 . portèrent sur 1 ..nguic de
lltat principal est que ce-
ori^aue de seii5 situé daiH
Il a 1 r
ll.in..i;il
ion harni,,nieu>e du lai vrinthe de i
1 ori;aiie de l.i
entre i'e->[uue leel et lespa
iquelle
ce \ isu
liUieiil .lan^ .
.ICtluIi
appoi w
e- iieris ucul
moteurs
directi
de I esliace d'.ilt d
taliuii dan- IC-imc
^1
cia CXI
pour I orientation dans le, directh
'm tuât.- de la 1
a iii.lioii de
reslilti. de
Utilisée II,
miciuïi.iiii a^
-■luanJe d
uiilthé
i;w:iiiii\ c:: /.:^z.u^
//.
M-r rit,
{uises anterieureraeiit
uiiiée lii
"ectetlient l'ir
stence
de
.■>arelUes sellsa-
nies noni-
• innie sur nr
le^ tUUls
--n détail ( >hrLihMtHii
c canaux verticaux
I
;Utal droit . le \ ertlcal
.emjile de ia
oreille av ec
sont bases les rapports
1 I
es nerfs vestibul
lires
eteniiinaïu. i;ràce a leur
a notion de
tre
ter pour .[Ue notre 1
tsible 11 en e-l de i
lis parallèles.
i;ne droite, telle i[
uclide
-•te
Miciiient
elii.il icien-
pour deiuuiilrer
i oiivr.iiic lus
88
1 axiome- Je-, parjllci
jKdiûii ilu parallclisiii
la luilioii lie diiL-ciiiin
par le- -<. ii^aihiiis du 1
I a Jclinitiiiii du pl.i
-!tuce 1.1 une seule IdÇn
eli elle //. e^l Ci.n-iideii
lofiue a ^a delliiiii.ui d
>ance aiUicllc de l'uri
lijjiic dr^'ite. il ne >era
jdaii des sensations de
extrelliltës des nerls -
seiiii-circuiaii e Les pi
i ulle s'acei .rder avee i
KitiMii^ de Celle lornic
I a ni.iiipii de 1 anjil
duniue par iiiiuitii.ii
plan est 1 //,■. :ui.u~,',i
ai! plan ~aii> être situ
voiili.ir dire autre eh..
mots cil .IX 'i- Jr,iiU\ Il
i il .l:i\ , /,./// Jr,'ilt\ Te
de S'. 11 très tiniioriaiit
di\iiiaiicin \raiineiit e
suuante eelle delililli.
tloils de deux lignes p
a ~ulti à l'eherw et; d"a
direeii.-ii, l.jrs.|ii il de
pour deviner juste i|Ue
(ar. même a\ee la
ph;.slid.if;ii|iic de l.i
delinir l'angle iluiie
rempiaeer '< p.ul.ui!
un pfiiiit //. puibipie 11
rieur
n Mis n l>f'A< H
'-. 11 reMiite des expériences ipie la
.• est e:galement Une cunséqueiice de
idéale, telle quelle nous est donnée
ib\rinllie de I oreille
n adoptée par Huelide : v une ^iirlace
1 entre: toute-. les lignes.| m se troll \ eut
e jiar toii^ le^ géomètres Comme ana
; la llgjiie droite A\ec iiolie counais-
zine plivsiiil..gi,iue de la iiolion de la
I pa- dilluilc de déduire la noii,,n du
directions identiques, perçues (lar les
tues tuiis daiw le plan d //;/ s.'/r. cm il
oprietes du phin poiirr.ik m -.aiis diili
ne sein hl.iblc ■ .rigme île nos repie-eii
d'espaci
.. tel i|U luiliide le delinH. lioUs esi
irecte de 1.1 iiieuie manière : un angle
e deU.t lignes qui se reuconlrelit lian-
ts en ligne droite. //,', liil.iisoii lie peut
.e que .! ilj: ■; lur J,- J:i\-Ji,,i, ^ai les
.idinctjlent que la seule signili, .itiou .
lerw eit qui. dans la partie s\ lulietiqiie
tr,i\ail. .1 donne tant d exemples de
.iranrdiiiaire lormule de la m.inierc
II d l-aiilide " la diltereliie desdirec-
irtaiit (l'un p..int sappelle angle m 11
i oir irreseiile a l'esprit la notion de
JlIlsU les ioruies d'espace d l.ucllde,
celte potion pro\ient des sellsitioiis,
connaissance actuelle de I origine
oiion .le diiwlinii, on ne pourrait
laçon pliis exacte 11 siillirait de
un point ,y par" se i\ mmiu .ml en
Us ))rojetons nos sensations a l'exte-
LEs H.\SKs 1>1. l.A oLo:ihïkll; I.'eI'c lUiK Si)
la disposition des canaux sentii circulaires en trciis plans
perpendiculaires les uns aux auties a pour conséquence que
1 idée de 1 .ii/r.'. Ji'tit uous es! dolllieé directement .\uss; la
deliliitlon de cet .lllgle précède telleclieZ luicl'de celle des
autres angles, aigu et ohtus.
Il ne serait p.is .litliciie de ranimera une origine an.tlojiie
. les autres deliiiitioiis du premier
du cercle pourr.iil. par e\einp
de~ glol<es oculaires, ou, eVelIlUl
notre corp~. auîour de leur axe
la deteriiunatioii de la direction
livre j l.ucllde I .1 noi;on
e. être déduite de la rotation
llenieiit. de notre tele et de
• ni;:!udiiial.-au niouicnt de
eSsc P.t'.e
Nous lie uous arreieroiis un moiiieiit qu a ii .ieiiiii!: .:i
du point telle qu elle 3 elelorllUl
!•</ c,' ,//// //, f\ II! ,ii\- Jikts.' M * 'il a proposé diverses autres
deiiiiitious ; " ks extrémités d'un : ligne se nomment poitils/y
( I étendre ; " le point e~t le lieu ou deux ligiiesse coupent /^
iMl.iIlcIlel ( es delinlllolls pellvcul sans ditticulle, après
Ce que UoUs \ eiioiis il'eVI'oser; é
naturelle. ( .ei.eiui.inl celle dK
la plus exacte au point de \ uc
reproche d être ;rop geiier.ile. et
^ilellie. a 1 intelligence iiU i I.Uile' .\|.ll-
reproche nie me l.iit mieux re^si .rt
en \ lie en lorin iilaiit sa de nui lion
saticriis de direction se reiicontr
.s. .'<7/c ii/;( mm S, .'hx.ih.-.^iissL m
étendue, (ie point repond au pi
Coordonnées recianuulaires. (l'e
iiue se croHent le~ iroisdirectious
./. .v;'//,'. c est-a dire de />'^^,'//c, .-
la direction \ erlicale. — le haut p
s.ile. le droii p.isseau gauche ;
p.isse a r.irrure ( e^ chaiigemeii
\'.'L1 lu .lc\il..|ii Liurr.t lit
ICI.IC. 1
ihi.l.
■ P"-
ee par hucîide k / '// />•• .u
e ramenées a leur oriuiiie
iclide lious p. naît encore
phvsicdogique . t>ii lu: a
de loii V eiiir au^-si a la c. .n
'eut être., ce
la iiolioii ou 1 nclide :t> lit
le point ou loute.s le.s-~eli
eut est préelsenieiit la .■•■/-
qui 11 admet m duisioii ni
■int ^ ' d'un -xsleine de If .w
•t dan~ notre ;.■,.'/ i .«,>,. 'c;//
et i e~t la qu'ellesi// .>/■;(;(•«.'
Ie\lclillenl r.-;/,f.'7c, y . d.lUs
■e au bas; dans la tràiisv er-
ians la sagittale. I.nant
t i de desiiiil.illou des selis de
H'U.tl ju.L.i l.i p-v. nuli.K.^ic ili
if
la dut-'Ciioi) iiiiidiinicr
tiiiii lit le-^pacc rcel t-
I c-~ JiIlHIlK.iIlS J^Kll
lie ~r,||t J..IK piiillt c
1 exprcMSiiiii lie iiiaiciii
directciiu lU par Ic^ pci
lucirupic-- Mint kIcs (rr.i
lie- , ../-yi.- i .-//,/. Irujiu':
ni ■Iii. oiii-ciciKe i.i)iii
pa> Je I iJialisatii.n ,
iccN I ri tintati\ e--,
prwii\ 1 1 le-- a\iiiinc-> il'
pii>~lbiiilc ,k Lielll.iliti
-ati.in luKJi.ic lui ni<:
' ii(.ti..ii-- tMiiiniuiio s
pour ~,iperll!i, ou pull
irali'.n \|ai~ il n'était
lU.ic le- IIJJtliemaliLlt
JuiJli. lenie a\i.unc le II
ne vicutaieiit pa-, Je b
partie Je I a\lnine, qu
jilaii. .pianJ Jlcs lurnu
ani:ic~ ihiLncura niMiiii
li<iij.'i.e~, Jc/r,^nt be ;■.
pri.o - ce I e reproche .
aiuiite. baiib louriiir Je
Jr>.i!e- -lluecb Jailb le 11
Je . UieUt --e leneolltrer
be tr'unaii pourtant
J |-.i;JlJt'. ia.|aelie, co
|>ar 1 ..rifiiiie ineiiie de
A\ ee la vunaibbaiie
/...
lui,:.'
<* ''Ifll .(
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.Je Je S.K
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CiKl
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TEMI'S FI ISI'ACH
t en ellet .jUe la rr/.i/i.ui entre la Jirec-
le ii/"i i ,'iis, u'iil .
:liJe, CMinine je \ iens Je le montrer,
b p.i-.liil.ih ou dei lnf>,,/li,sc:-,_ mais.
,iicomeirii|iieb qui nous sont fournies
ceptioiisde nos sens. Les ligiiresged-
<./,'llJ^ /,/,■.//,•> ,/'.■../..(.,■ /!,■/•, /(, 's etmui
/./(.'.(//'.v.'.v l'.llcb se prcbentent déjà a
ne /:iriii,:s /./,■.;/.■■, et ne proviennent
l'experieiueb bruteb biir Je- ohjctb
lllbbl nomhreUbeb que \aineb. pour
l-iK-lide eelioiieieiit par suite de lihi-
er la If-gitimite d'une pareille iJeali
lie basait ses Jclinitioiib et a\iome~
ir deb notions intuitivcb: il tint Joiu
iiiipob-ihle. d en donner la deiiioub-
XI- nioiiib con\aineu de leur eNaeti
lib qui elierL-Jiaienl hi dcmoiibtratiou
isai en ipreeibe nient parée qu eux aii-bi
n exactitude abbolue'. la première
deux droiteb situées daiib un meule
iita\ ec une droite qui lebeoii|)e Jeux
"e- qut deux ailglebi
ppl
Il on .iJre— ait .i l.iieliJe elait J a» oir
rai-.U]|b pereiiiptoire-. que Je telleb
eiiie ijlan, bullibaiiinieiit pr.jloiigécb.
i la liljl l.a raib. ill Je eelte necesbité
J&ia iJans la ileu^ieiiie Jeiii.inJe
iiiiic iBousIavoiib \ 11, ebl légitimée
lolic roîioll de la Iliilic droite.
- qufc deux aiiglebdroiib. elaiil pro
nrnjl.'r. demandait a peine a eire
: de 1
lel U-M. |Mt CXclMlil,;. 1,; lillt ji; |.i
ic- prciirMjiit N de 1.1 ^uuniclri,: li.jii
irigllle pll'.'biolof^lque
11.5 llX^t:^ liE 1. \ la.oSU IKIK I) Kri I.UiH .)l
iioti>..ii des parallelcb iJealeb. li| on.'ieme axiome d llueliJe
aurait ceut-etre pu -e torimiler aiii-i : bi une ligue droite
coupe Jeux autrebligneb droites! il '// fi.ii:u'/r!rs situées daUb
le lueiue [ilau. le- deu.x angle- iijiterieurb que tait cette ligne
droite seront intérieurs a deiix droitb du cote où ccb
deux ligue- i>r( Jongéeb tiui-sent bar be rencontrer .Mnsi tor-
iiiiile. le i>n,ieme axiome -eraill devenu une \ raie notion
commune .Niai- aurait-il bUtti j>our démontrer la pr.qio-i-
1 1 o 11 ? . I ?
le- Liecui'.etres qui, comme Kjmu-, (.lairaut, el^ . jireten
daieiit qu il était inutile Je cherc|ier a démontrer ce qui et.iit
de la geonieti le euclidienne -e ti
de iio- -eiib. les Jeiuou-tralioli-
bert. .'b.Kelieri el autre-' acvpiie eut leur pleine et entière
\ alcur -k le iitilique.
.\ la Jeiii. .iiblratioii Joiiuee en
etellJui- Je I e-p.lCe repo-clll -U "
de iiotiè ajq'.ireil Je ciiiaux -eiii
mai- ^ctle iiitre certitiule que Ub detinitioiib et le- axioineb
Icb piiib luipoiiautb d Kuclide- ont aUb-i leur origine dan
léb tollé tioii- lie cet appareil et
mque- .1, Ce 1 aiqi.ircll de la vue
llialU ieilb Cl •Iiblderaiellt 11 ./."■..:'
deux b.i-e- loiiJ.imeiitales biir le
i;eoiiKtile : notre Jemoiiblralioii ^ leiit d'établir qu elles cou
lltllelil eu ellel le- ba-es liatnrelle| Je la ^eoiueine J'KllcliJ
( elti ori:;liie et.liillt trcb lletl
tlelle e litre le- lorille- d ebpace J
celle- .le la ^eoiuetrie neill eliclu
biuit iiiuiobce- [lar le- touclionb J
I hii ■[i.iin^uliwF. 1j3 preuves pue»;,'o-_i é.tiiu-lruivics d-j S.uc*..
:. .\ )i.ii'lii ,iu 11 :ii pio|io^;ti..;i. ^1tc■
c>l i-vuisli mu >.ii i,: II* .1X11. iiij
lient \'à\ ib d'iùiclic
Dail
en soi parlaileiiieiit clair, partagda
leur-, iiiainleii.iul que nous bavi .iib que le- b ibCb naturelleb
intveiit Jallb icb iierccinioiib
loiirnie- l'.ir W'alli-, L.iin
1^7"^ que lio, iJeebdeS trolb
le- -eu-atloiib Je direction
ciLcul'airvb. -aioute debi)r
l.iiib bcb rap('ortb ph\ -lolo-
De i. .m teiup-, les matlie-
" et la. /.'-./,;//, ■ Comme ieb
.[Uelle- lIoU être e.llltee la
■iiienl 11 .iiilereiKe e-seii
-■ la geoiueirie d'HucliJe et
leiiue. I.cb première- iioii-
uii organe ./' • ; .'/.'<■.
.ir.Jti , J .11,
I. t-\)iLTieilLe lie iiiiUic
absiihic l'ar là iiiciiic
perLcptiini-, Je ici ..ru
Jimii tiil.iiirc ( \ (lir 5 i
d;il
la j;cwniclric non c
.- [nircs LpcralK
:i iu->;aiic.,i de la \al(.-iir absolut. Je 1
d luu luK (Ml. {>. ,u\ fllij
l>lll.LllU<. di- 1(11 lllc> i c
.-paie- .ji
I tlU
a.lnict
I c Ldiit.ddeat m a\ ei
i|li ]Ci de 1 Opaïc phv
Lhcw>k\ lavait dcniii
opp.,siii.,n a 1,1 ,ec.;niiliic- .inInnlL- d l-aulidc. Se- |.
ihi
(Ut
lui rem cl
eessinies a lli.lie lepii ^entali(lll I
laiic
|ll elles cMslelIt
ili.divelIlelUi de
lelKlcIilailx peiu ent et
d e>|iiali.,ii-, vaiïahk- .>|lai> le, tcrimilesaluei
\ eiii par, pr(<iivcr ipic 1
le
plkati
'1'
:•!.
lltc, par exemple, de 1
pdiideiit à la ge(,imelrii.
la " iii.ii.,n de^ firoiipc
leM),
lie I reei est mi
I a p(.s>.ibilite piiur
d e-paee llldependaiitc
lUlllemeiit lexaelitudc
eiiii>c(|iient. il ne peiu
•1'
ik
es de
permis de considérer ia
spécial I. S'/). ■,/.///.(// sel
ipii lerail abstraclh.ii d
les axiomes d'1-.llelide
','{•^^0'^^'
I T I SI' \( E
iinees a démontre leur c-ertiuide
apparaît la p.arlait
les
c eoiicordanee des
iro|iriélésde l'espace t|iii
lidielii
>ar Contre, a
^pi :l Klle ne repose
'11 .jn^iiie
(liie -11 r
■me des par.illele
er I expression n-iielle. sur 1 iiidc
■act parrapp(.ii a ici axioiiu I c
le
m is expériences tirn
•pilons
|ii-
csi avec r.iisoii ipie I obal
j^iioméiric iiii.ii;ni.iii\ , n.n
t tramcendental
.1 preiu e re-te encore a
1- le ni(jndc réel
orps solide- dans ces tsp
dcdljlits ail.iK tii|nelileiil
lois d
Ke- irans;
an iiioveii
luehrhjiu s Ile peu
e Ces mou\ emelils ir' .ll\ eut
part d.iiis 1 e-pace \\
I deJucti
le- uroiipe-
de
I oh.itc
'lltlIlllS
.1 possibl-
pe- i|iii lorris-
= \\ sky ne proiix;? ni i|iie
lloUs e-I iniiee M ,[iie
iiolri
-prit d
du oii/ieme ax
iiiuirnui- des formes
lume n'inlirm
ed(
la validité de cet axioiue l'.ir
as cire serienseniciit
i4t
lllestli
^connjtrics. et encore inoiii- e-t il
geomiérric d'Kiiclide
Comme un cas
Kit
niie ueonietrie
des parallèles le 1 lit
ficiierale,
Il lie
ilil
'rigine iiatui"
IK
Mis k
'M
irsiis 1 r r-PM k
- I.A
Il r 1 1
> .[Ui -iKills
la >:c. .iiK ti le
■luli.iit-n t.-,l
eiilulU--
aiVL- K-ur
lùioliik-
qiu
p.ll IK
11
de r.-i
la liste :
car uiic Ici
c\i^teiiLc- lit
a.
!<- «iii iiatiirali^tt:
•ul girlic l'iif dis.iiiLc par K- nnu
négaliN c c-iilraiiKraii la iiL-eati.iii ,1c
■•' >eii~. ,li 1 ciilciiàciiKiii Imiiiaiii et
iii-iiicnu
Incliner iMiKlciiR-ni Je
'llUMil.t Jl
ii>> lc.|ilel lie -eiaiclll
l'iiri'
I e I j . . Il 1 c 1 1 a 1 1 •• 1 1
pr.ilc-isc par le nalLirali-t
pui--cMt inspirer
liihil
la pi-,
etL
m/.
'//.///,'. 1..II-. Ic-
iii Ile lii.iiver
.p.
eut , .ililpl.l,
i|Ue-,tli,n lllcolhpie ,1c la
.c II est certcM pa- un lu-ai
Liiiiiinciicc a •- intéresser
Ile, K.llll,
iiieilicr 1
iigciieo
par la lioetriiu
c s\ --teine lie li'rkelc
Je Li
M. Il I
'S rciirese
l>l' ruiMil I Ml |.
Jiili
h
I cspate lilu-|,,|iin:,pie
ri. pies ,i,,ii| liielkie s,
I M'Ai I
Il iliircllcs.
i' c-I .1 ilire
1 1 1 1 J 1 1
.hu
,lt
-pci I llelllL m
la l,,i ,1
c caii^alik
-1
ti.iite
.^'■iinaissaïue
naître I cxisIcikc .1 ii
il espace leel
ibl
ssitMcs m
il\ elllclits
fi c II cru i, le-
sells.iii,,iis
rkcl
fi lie p. .un a laïuaisetre
. .pielk
.11, leur
■Il I aJiiiirati
Il lie
prit et 1 e\iri..r.liiiaire
^ il II \ avait .i'autle \el lle .pie 1,1
11,, milles ilevrakiu et;,- ,/// ///,/;;,•
lit pcllt-ctre
P'
.lcll\ lllel.lpln^l
l/i'lll
accr.l sur ii niii
pl,
,|lle
•IL
oiiiiaihsaii..
P'livsi,,|,,f;i~i,^ n aient
prublc
Je la
espace
,Il
nus
Ctl.iSC cil -IJl
■a\ a Je
plus cleineiitaire'
:lnne Je r..ni;mc
ilalioiis Je lespa
a ,lu inmns
h \shs 1)1 1 \
l.iiM: IklE
lniirni une
bas
\ Il plu-^liaul que K.iiit n eut rccoiHsa cette J
avoir rcn
iiiiiu I iin[
hasce sur les peicci
nient piller inclue .1
llte
11
■Ils
ijeesirnn espa. c .i ir.iis Juncnsii
l ette iiiip, pssihiiiie a .iiissi raiin
les créateurs lie l.i licinctrie ncnlcuciKliciine. bien .in ils
e à la discussioti scienlituiue i )ii a
,1e Jni
à la Juctr
u Kant
,lecl.
irassciit, a 1 cxceplicii ,1c
M
Jes iJees
sens Jelei
eininruiue
I'
au, pu
l.
,lirei tu nisile l'cspace. a e, a rie celle inipi.ssibil
• rc cMstaiits. luni
Mecs t;c.
iiiclrnpics. mais !e|s .prt;aiies ,i
IlisseUt Ces lepresentall.ins. Les a
niiiii--
= 1
-■uicnts et a
m tactile
Jirecti
aliscr
Je
«artisans feM'Iii»
.le 1
cMstence
di
li.>ns de-, iri
I eScUtatli.lls
iiiii.iu\ cmpl,.ieiii les pc'r-
1 c~pa,.c a i.rieiiter leurs
b|i;ts extérieurs .lails lesliac
lu. mille s en sert en outre
l'i'iir l.i
-P
.ntatioii ,les tu
Je
.rp-
!s eteiltllK
■ li.lcs. Sur k
Je r
;tanmil.iire~, i..ri
.1 Je-
ns .linicn-
,ics tr.
seiiu circnl.urc-
p.ir les
es ,1.1 Us tr
.li^ati
les uns .ui\ .iiitrcs. I lu. mille iraiis[>orte le
autres oruaiu-s lies sens \,.ir ih iii. s-
is pliiiis peri'cluliculaire-
1- Je
l.
Ils de K.l
les
pace 1
~l pas auue cil, .--e .pic la
le nos sen- extérieurs //.
\ a leur dans le sens ,. trie t des ternies. Au t'oint
lenoniciics
\ lie plusl.
.1,
la
luiK
c ; les propriété
de Kant de, rait être i,n
nous sont
nauU' des perceptions du sens .U-
/,;
•iillecs p.ir la
•'isaiiii.itit'iii
i./r
lie l lelinholt^ inesu
nécessaire d un esp.ice a trots etelulucs. est h.isce u.ni scu-
pj>|o-ait pour cxp'hipicr 1 u
lenieiit sur
toIlClUPlls
, .Ipparell periplleriql
canaux. 111.11 s auss
aptitude
.ntri
îrebraux.
ixquels aboutissent les nerls^p.iiiaux, a percevoir les exci-
tali'Hi-. lie 1
i]iialiU> ilil
it cl
:i -lui. luu- .iii.itoiiiii]
I Ihll
iraiult
/ruaiico 1-1
,1.1a
.h
-ail pidii laiil pa- I e\i-t
pic— ciitaii >ii il la nc'l— Ile d une t
.lue lit- idiLiaiic tlu -cii-.lc ic-pai:
m .- -cii-alhiii-
que nmi- pou .
UC illloU"li|lU -
À'-
ac r.
le la n:Uurc lUciiu' lie iii>- pciLcpitiiin-
. iiiiu- iii .iiiriMii- hiL-ii éJiluT miL-
^c'iiiKMiie /.
'/■/■'•'•/''
hariii'
.et
uiK- v\plKaiic>n
iCCIlllC
C
!iim, ut, (11 L-Ilct. tMiile
n-tri .iicjiiiu|i
Li.nlirim I II-
L- cil te
.ie la
lioji- lies lii,i- >lirei.li(ii
propricU-i rcellc-
(ift t'-p
tien
l il
elle- P'
e na-l-il ip
limites de
a.l:int un
piiui i.iieiil 11- a\ Dir la /
lue lie
espace iiiiii.
la Science, ci>miiie non
preceilciit, il luius pai
que I a dit très justeiii
ni.liiiiiirespace. niiniir .i
iiiii)^ .111 \ .iii/i'i's
un
ii.ltriiiii,
.1,
, iiiiii ne
Dautic part, nous ni t- 'ivi/v aussi qu
lUS la h'i nu
lirectiuiis c
le tr
, espace peri,-uescorresp.inilenl-elle-
,/• /',•>/>. 7./ ,-\/<'ri:'iir, el les truis
■anaii\ et leur po-itimi i
/lit d:\
-t i.rnaiu
le- sen- une
re la nature lie nos perception- et le
1er\Ve^. ql
mnai-
/llc
Hilailce elltri
IK
iéte- de l'e-pace extérieur.
t -nielles a il autre-
•I'
-lie
lie en elle liieuie. mais iioU illie
.urtoul n<iu- ne poiii rioiis pas donner
rii|ue lie- plieiiomciies plusique-. „
lu
meiisnralioii- pln-ique- et
lii-qii à ce |our auraient el
;eomf;lrie
de l'espaci
.llde
si nos percei
rrespiuidaieiit p is
ritah
- trcUs eleiulues.
nombre trois
I ornailisatioii de notre lalnrintlie
s\ -leine
iiatre paiie-> de
iiiljlii'ii
d'illK
e 'i Corps -o
ide
Dans
|uatrieme eteii
tat actuel de
■ venons de le iiKjntrer au paraj^raplie
ut impossible
lall
irmer. Ain-i
enl
vrausé
Au
caractère de la
1 ,(/// trois .///•.■, lions /i(-;-/)i'y;,/;i iil.ur.s
; méthode algébrique traitant d'une
liangerait absolument rien. «
'un nombre limité
.1 1 K .r.to.v
le \ ibr.ili"ii-
delll
d ui
. ibral
icla\ e-
A d'air q
M
i.^re cela, nous
m lie PelU
.lit eVclter l
aiiditit-. Non- poii\on- hieii . '//
1 n.Y.
dolK
terinillee e'.
in- aérienne- vie quelque-
/IIIJiSsoll^
de- \ iNralii '11-
i noire rétine m il.
et lier
ilerl-
',/-,• le-.
de- i
lert/ielllie-
sible-
ihle- I
le- I.
>rel
Ile
K, K.'iîiii;. plu-ie
lup..ll>e-e de N
:tave- lu-ai
moU\ elllellt- a.i
ilabl
le- mouvemeilt-
■ Ih
Ik
ontiriiie;' un |..iir. m iiioiii- p.nu
le- vibr,iti..n- qui pro\..queiii de- plicu. .nu iie- .p-\
i c..iilirmali..n de celle li\ p. .tlie-e -erait un
V luqiie-r
triomphe
•lOb
re. 1
cC 1.1 1,1 11
le.ll-.m
'l'I
"intiininyii! /'i /il -eraK;nl .■..iiilorine-
i;eoniclrie 1 invrais
natnr.ili-u
I,
r
embl
de- A
eiiiqu.iiUe dernière
qu invrai-einblaMe-
arais-ent aus-i inaUeiidae-
c-t ■menu- pourqih
.111. 1 expérience
i-U CollIP
-llpp.
la q
uatLicine J.uneii.-
Hinl
(elle
d.lll-
>rt- melriqi:
de I e-p.
'o-llloli-
ible lie doll pa- citarollcllel
.U\ erlc
lU.irilUe ..i:
coiiiirie iiou-
.lllirinee-
(Il AIM I RI' Il
LE SENS ARITHMETIQUE NOMBRE ET TEMPS
i i . — l.\ 1 KiMXi 1 U'S
liills Ir^ l'iKllnlllcIle-. Je l.l iMllire ilUc; llcill". l'i;l\:c\ iM\>
■1 ai.^-'.iiipli-.-'t.iit J.iiis rc-.paL'c ct|lc tciiip-, ii.iiu-^ Ici -M.-ii>.i-
tiiiiis v|iii uiiu-. p:ir\ iciuiciu p.ir I iiHcniicdi.iiiL- Au lu» ui^auc^
lies ^cll■^. qu'elle-. ^. 'icilt proJuiltt-. par >.U-< excitations e\te
^lell^e^ wii intérieures, sont Jour pcr;,'tics ilai\-< 1 espace et le
t^mps K.iiii -iis.iit a\ee raison [pic noiis ne p.in\ii.ns rieii
perceNcir ilu ni^nde extenenr shiis suner l'obict perçu >lans
un temps deteriuine et en un lltju .letllll (^el.l est également
\ rai de ti.ut ee .|m se passe daiisiiiutre propre eorps l'arlaiit
de cette proposition i|Ue nuus jfouvons connaître la nature
de nos lonctioiis psvcliii|ues a J'aide ddpe-ratioiis intellec-
tuelles pureiiicut ~peculati\ es, It- philosophe aborde a la lois
le prulileiiie de lespace et celui
naturaliste est plus modeste 11
du iiii'iul. ./.■ .'.1 iwiliU-: aussi 1 ,'\/i,v7,v/i ,' ,M■;/.^/V•/,■ Constitue
t elle un outil indispeiisahle à son tra\ail de recherche e;
d'exploration. Il connaît la stirillte de tous les systèmes
mélaiiln siques, ediliés lusqu'itti par la nicthode puremeiu
spéculative. i|ui devaient nous ("eVeler I origine et 1 essence
de toutes choses, et il jire-lcre. même en ce (|iii concerne les
processus ps\ chiques, les soumettre d abord separemciu et
dans leurs niaiiilestalioiis perca[>tililes a TobserN atioii et a
1 ex)ierience ( e n'est qu après avoir reconnu et e-tabli les
du temps, .\lais la tache du
cherche a iicuetrer les lois
1.1 L'CllL-l'.lIl-.llh'U cl
I )(.-|:l, Il us lie iiic
^lir 1.1 stl llLlLIIr lies I
les n.siill.ils lei
lllK
,1.
,1c-.
.-1 1
.lit '. .i\ • ■ir
I I' >rin.ili< <ji
.r. •■Il ct.il'l
sci'v.iiil .1 la pci"cc|
1 csp.K c. I .11 Lut c
illll s etcllii.UcIll -iir
tu ■plein dit il il
1 clliiit iiatiiri
rc|u csciit.iln Mis
|.|iip
.■Me
lie t
lilc
lnc^.cxpcl
-lir lie- .1111111. Ul\ ( c
1 est iiuc trente aniiccs après
■ 1 1 1 1 1" 1 1 1 c 1
I'
rieiiies sur
Ls ré eh
erelles su
les seiisaliiills
le Ici
[lIlllVDllS lll
.|Ucle'iii.|iic
Aussi,
:t V
Del. 11!
lU-r.
.Ils Jll telll
\ lie lllcl.iplu
|c
,s il
c l.i Uletapl
11 est ,|ii ap
.tiiiles sur
le
11. nue liellUltivc ipu
s lii isi' \, i:
1 1.1 iléiluclh m lies li.ls
prcllllelcs recllcrellcs expel llUellt.lles
an.iux sciiii-i irculaires, l'cl.iis pai'\ eiiii à
ai e ail\i|iiels |"a\ aisaciiiiis 1.1 ciiiu Ktiipii
ilK i • ■! rclatlMll etriilte ei'llre eitle strili.-
,1e m. s lepresciil.iliciiis il'cspaec.
il une laiiUl plus pretlse 1,1 ileslui.ll :i 111
.ulaircs, en t.iiit un i .ru.ines seiismiels
lloll
itrer li.iih
lli.ls
lllt
I uis car. lui, lies
un inlcr\ a
le ,1,
le de t
niaine Je mes
rente ans.
,111. ks,
.iMellle
, liertljcr siiiiultancinent riirii;inc lie iii.s
nips se hcnriail a iin t;raiiil nbsLule, I a
Clleessur le.lain rmtlle I lllt ele e\ei ut ces
le.lelnilile
iiies rcilicrLlies e\p riinciilalcs sur les aniinanx ijUc i ai
iKipau\ resii
It.lls
i.ir une série
il'.
< 'r, les aninian.v se prêtent très peu a
pcrLCptiolls (lit liléme sclllellicut siir
is ; car. il une t.K.iii ueiicralc lu.us lu-
.Ion liée
, /,•
>liisicnrsannec'
sur leurs sciis,iUiiiis
.\1.\1 .\ubeit
Mrsi|u il \ ,1 1
irciit eu ileiiiciire, " puisi|Ue i assidue au
en iiii.il i| lier un e^aleii le lit
t, au pi. nu
anespeei.il
liiut la reprcscnt.ituin es
le. pai laiiciiicu
t l,ieiitl.|U
UK I sliu|neuicllt Cette linit.ltlon : le
sU|ua 11 eiit;at;enl pa
s le iiatura
deliintn eilieiil nie
liste
.l.>n:
r
ciPUlc c
1 il.
nue a ma tlici.ii
)'ai été aiiieiie a siiunutt
1 1 ('-
rc a un c\aiiieii
Il slNs \KI1I1MH1'JIK
plus atleiitit la i[Ucstiiin ci>nceri;aiit riirii;ine de notre rc|
sentatiou lie temps. Depuis i|u'il lut etalili.au Jclvat J
recherches, ,|ue 1 .ipparcil Je
ses ganglions cerelM-atu cenlrauf^ remplit riiuport.inte Imii
thiii ph\sii)l.ii;upic ciuisisiaiit a régler et a inesurcr av ec un
i;railile
Je r,
NDMiiKi; i:i r[\u';
iiiaiiv senu-circulanes a\ ci
■ ulpl
plissement lies miiu\ eiueiits
\<)li. maires mi rellcxcs, rintciisSté, l.i Jiiiw et l.i
lies iiiner\ atiiuis de lUis m
a rci 11 un ilévelMppeluellt
trav.iii\ Cl. mine a ceux li autri
t
.■tte nartie de ma tlieuru
• llsiUeratMe, i;r.icc a mes iti
1 11 des principaux result.its
lierclieiirs
Ul se il en a
de toUte-
clles est que
Ithe de l'i.
laiis cert.iiiU's lerminaisiuis nerv eUses du
.■1 dai
as leurs centres cerehraux, il
.■Xlste de \eiit.ibles appareils .,utiimatli|nes d
|<iuein un lole liincti.uinel de [
iuner\ .in.iiis
motel, r
vie calilll et lie 11
,lkul.
-Il
remierc imporiancc daiis le
action lie
ipp:
lesure. re^is pir le ialn riutlie de l'oredle
se i'orue pas a déterminer les luteiisUes des i u lier \ .itii ■ li-
mais elle s exerce .lUssi sur leur
le telu
dit l.ihs
l's D.i
.pi.
J\x
!/i.-jr r.
/,■
P'
\,ttl. ./,■
.itil-..i:i Liiip>. Cette coustatiitiou m'a lacillte la tache d
uccession et leur durée daiis
//iv/c llli'Hl,.-. .'.'.v /.'/,',;;-■'>
rinii'ii! i/"H< ii"H \^-n!.-)ii.i' :
\ lll.ll ■, ,7,1, i'/-,' ^',■^ pi ,1, ,',, , ( >
laire entrer k
recherclies su
1'
■ IW.
du teiui's d.ans le il. .m.iii
1 le lal>\ riiithe de
rappric,ltl..ll desmelilodesexpél
l'oreille .VlalheiireUsemeiit,
i-inentalesa letude desapi>.i
relis de mesure autoiuatiiiues de la iliiree de- innervation
n a pu cire laite lusiii
lUe djlUs des
l'end.inl k
>ntracti. .us musciul.iiriL
les 1res etr. 'Iles
st extreiuemeii'.
dillicile, .uissi hicu elle.' les .iniinaiix que elle.- 1 liouiuie. .le
mesurer a \ ec une prei isimi se i e il tili,| ne sut lisante les \ aleiiis
vie ..es durées d iiuier\ atloUs .Vuisl que IloUs I .n olls claire'
meiu dcnioiure au p.ir.ijir.iphe 2 du chapitie i, les muer
\ atioiis des m lise les ne nous toiutnissent aucune se iis,ition Ni
le priilaue ni le pli\ s|,doi;iste^ iplelipie atlelltl..|. i|U ils \
piflcnt. ne lIcciiu
iiiiiii, iluih-, ili- ce^ i
M.ns ,111 |ii)iiil de
leliips et lie la loiiii:
-miple Cl iji>tal.ii K Ji
i liargc Je la foiicli
iiu-nl la iluiee et la
• l'une portée JéeisP
talalicm ipic lei ce
ih in ~e tiMin aient
«iepeiulance .le ccit
Dans 1 ex p( lie i|lli Ml
par les nciiiihreiises
,i;aleiir^ aiili irises siii
• le m. s cini| i irgane-
iplee-. presi|Uc enlie
complisvcni ilaiis la
'//i ///^ ////^. <//.////> ,/.
< // 1 //■■/ .s/(/ /,• /.•//, /
.///•. Iii'ii ,i piiiii /.
rintli, .1. I ,.r, ilL-.
I.l S M-
II
la -.iicce^^h.n el
élément^ le^ pllli il
Au~^i ce> ilcux valt
les principaux iili|e
mentales laites' par
sur lei représentât!'
tenip-
1 1 pUiparl Je i-e^
e.xai- tciiienl que p. i-s
irMIiS ET r^l'Ai H
relit la niwiiulre trace Je />,/ . //i//i'//.s
jiier\aliciiis.
Ile de la pli\sif)li)gie des perceptimis de
tiiin de nos représentations de temps, la
de 1 existence de centres cérébraux.
i\\ de relier et de inesiiser auti)matii|iie-
succession des innervations, était déjà
e .\iiii moins impiiriaiite et. m l.i coiis
lires Cérébraux iiuestis de cette loiic
leiidailt ijuils l'accomplissaient, sous la
unes p. Mlles du lain iiullie de 1 oreille
l, nous verrons i|Ue les données acquises
éludes expérimentales de divers imesti
la siiocessioii et la durée des sensations
sensoriels spéciaux peu\ellt elle appli-
■enieiil aux processus analouiies t|iii s'ac
spliere d'activité motrice ('..s Jiix r/.'-
ih'tr,- rrfi/\'^,iil.l/h'/i ,/.■ l.mps r.pcs.i//.
hiiuhmriil ,/r-, .'/•;'■,//;,> ,/.■.■. •,,(;■, pnii/- l.i
hiiiihn'. nri;.iihs r,ii hrni.^ J.m.s l.t.ihv-
\^ c,i;\i R,\r\ hi: i . ii. \\\ 1,1 k
>\ K.\KI. \ ll.KuKrvi .
1.1 durée constituent, nii le s.nt. les
1 portants des représentations d- lemps.
urs de temps ont elle~ luriue lUsqu ici
s de la plup.irt des recherches expéri-
.les psyclicdogucs el des pli Vsiologistes
iiis de temps cl sur la Conscience du
cclien lies oiH consisté a mesurer, aussi
ble. le temps iiui s écoule entre leXClta-
lE sKXs VKlTHMlTIljlR : SOMBKf i;T n.MI's 1,1-,
tioii et la perception de la seiis;ition, ainsi que la durée de
cette seiisatuMi et de ses suites éventuelle^. Les sensations
dont la durée .1 ete le plus soiiveiit soumise à de pareilles
mesures étaient les sensati.Jiis tactiles, \ isuelies et auditives,
les dilticultes inhérentes à l'exécution de ces mesures sont
de deux sortes : la nécessité dVniplo\er des méthodes de
mesure p.irlaitement précises, et les complications luevi
tables i|iii se produisent lors de r.ippreci.itiou des résultats
obtenus, puisqu'il s'agit de distinguer ceux qui doivent être
imputes aux sensations proprenieni dites, soumises a i.i
mesure. Je ceux qui appartiennent aux perceplion.sde temps
De nombreux lacteurs ps\ chologiques, tels que la concentra-
tion Je l'esprit la tension produite l'attente, l'excitation prcr-
voquee par 1.1 surprise, l'état ph|si<diigiqiie ou [lathologique
des sujets soumis à l'expérienc^. et surtoiu leur sensibilité
personnelle spéciale pour tellesiou telles impressions seiisi
tives, lout que 1.1 coinp.iraisoii <les résuit. its obtenus [vir les
essais de mesure se heurte qilclqiielois à des Jillicultes insur-
montables. !
.\lais bien plus granJe encore, au point ilc vue Jes recher-
ches téc(Mides Jaus ce domamei. est 1 import.iiice des Jeux
iacteurs suivants: 1" la conception plus ou moins luste Je l.i
ii.iture Jes perceptions Je temps et de leurs rapports a\ ec
les -leiis.itious lournies par les putres sens, conception ipii
sert Je point Je Jép.irt à I iilvestSgateiir dans ses expériences
de mesure: y le choix plus ou moins heureux Je I organe
sensoriel à utiliser pour l.i mesilre des \ alcurs de temps C^e
l'ut donc, pour la théorie du sens du temps, une coïncidence
[«articuliereineiil l.ivorable. quand K.irl \ icrordi. qui intro
Lliiisit le premier dans la physiologie les expériences de
mesure précise du lemps, lit clioilx, dès le début, de Jeux pro-
ceJes extraorJiiuiircmenl lieiireilx l'ar sa laçou Je conce\ oir
l.i détermination phvsiologiviue ilu sens du temps, il se pla^a
entièrement sur le terrain solideîprépare p.ir les études expé-
rimentales classiques sur le scfis de l'espace, que W'ebcr
"M
avait pi.iir^uivies p^
PL-rmil on iik-mic t
rvpcriiiicntaiiv. d iinili-r k-. uiclli
W'ebcr ilcwiil ■-<.
vL•rron^ li>ut a
li-nip
de 1-
iticiiis. n'a pa-^ cté inniiis léionJ en rc-<ii
\ 11 I iiii|" •riaïKL'
Ihccjrn.- de W'ebcr
:hertlu
\'
iRCcs^airc de Liicr
liMimilecs, en i^~:, devani la S
vlan^i
/■■'
>n de 111 le
■r ti
./.,■
niuls -.ignilieatils (
reiileinie la ImI-IIUI
le> ((Tiiaile^ lie
mine -^un inln
de r
^///^ .// /./
a examine
a lin
de-. Sen> ^peciall.\,
e'Hiniarcc-. uni e-ta
■^atioiib
le iircsiiiii
rrSM'S IT KM'A' K
danl plii-.d'nn .piart de sk-ele. ( ela lui
•^ proeédes
au\. nieller
'r
dan> 1 élabciralion lic
lieaii\ >iKee-
lllM ilLle- lli'U-.
M)ll dellMeme pri.Lede, à sa\<ili-
aie pciiir la mesure des valeurs •
hais
lijiil a lait extraiirdinaire que présente la
le sens
de 1.
M'
■lat
i\ einent aux
irdt siir le sens du teini
il innis I
de
>arait
c\ textuellement i|Uel.|Ues luies
Je cette tllé-iirie, telles i|lle Webi
■/.
./.■ L-p.i
■</ un
Jilh-
iii.ii^ iiii
,1.
C
de Sa\e
est par ee-
.• Web
la plu
■r eominenee son meiiunre .|i
ilet
e i.les t'es
lltats c.bteniis
llo plUsloliigiqU
> périphériques.
le \ in,i;t-eiiu| :
iK I euiiimeiil
tmn
percentiKiis
de 1
Kc appartenant ainsi a la eale^wri
laee et
des
lerccpthJlls ^ellerlles, ee qui les distingue essell
tlelle
couleurs, de teliiperali
des perceptli .Ils de
de pressh.n. de st
repiiseilt siu les Se
vemeiits inllueiua it iicisnerls, mi peut a\ee rai
■\ d'odeurs, lesqllelle
U Ile'Ull
■re de
>ii uualilier
llll
'/■.//, ail 11 de le dlstini;ller de-<
\ ciioiis jlc H'Oininer
(.
I//1/.'
.S'. ;,//,
inerimen
tak
l'aide dcsquelli
les pereeptioii-
s W eber
d esp.ue
e et 1 aeuite
lUsislaicnt en mensurations e\aetes et
eut exeelltees exeiusn eliient sur les Se:.ii-
el de tcuiperaUirc de la peau et siir le
k
Ai<ii iiMi.rh .ru
sensations \ isuel
la retiiie
quelq
Ique det.lll eli.i
a\ 1
tioiis de \\ eber
lus bas
Karl \'i
k
ernaiit
oints
NOMlua 1,1 lIMi'
us .IV.'Us
N,
;rl.iins p. .mis de
.-ndr
er. .i\ll
msule
lui .uissi Un seiis .^encrai
rait kl sens au temps L'oinme eîaiil
dans l'aeeciition que W eber a\.iit
A' .mu
.■lie d
esiniiatloll
A mesure
lace et le tein
• nerets au^iineiileiU
le nian
deur
il il-
■Ji\! . d un telll
a 1^1 represeiitalion d un espace
simplement 1 e\eil.il|. .ii a
.'/ r-'i--
nsali..u qui a aui;meiilc. sai
lUe
iteiiii uieine de la iscns.iliou ait iliaiit:
besoin de eh, muer N.
sell-tatlous d esp.ue el de ten
ut loin d a\..ir ee ea^het entièrement subicclit ,iiii earae
leris
•nsali. .Us de
et p.ir ^ finseque.nl le p.
■ lierel el k
<onl. da
lenienl el ii>imediateiuenl e-un
des se
parabk'
.•rl.iines liiniles u.ut au uioius. i Un cl
, antre se snpcri
ciii. suiou L-\aeiciiicn
U, viu m
de tr
près les seiisati.iiis spceili.l|Ucs uoiis proeurent, en plu-
du contenu qu.ilil.ilit de la st-iis.iUoii. la represeiitau. .n d.
'1'
.UlSselll elle
les 1
mutes eiitrii lesque
:illc la lorce de
sellsallolls miellse-
suiet
n en est pas nu .uis me i
pablc ,ie les mesurer d'une jl.isou plus ou uioiis e\av le
{.elle luuilere ci 1|. .Us parait ijilell plus intense que celle l.i
mais non p. is trois i,.is plus intense . les sens spéciaux n
peu\ellt donc p.ls. .l.llsi qll,
W'eber, detelinlller d une 1.1
.•Us.UloUs. cl
.■| les dlslUllillu-
1.1 lait ressortir a\ec rais.iii
.11 ijeli-ralc
scntiellemen
'/////>/
de
tde
/plK.lls d espace el de lcllll4. (elle lli^lle-ci Ile lloUs I'
illem
Il plus Ion
/.;/.■
•lleda. ma;s ,
!
,/,■,//,
,/,■ /./A- .,;///■,•, elc /
-.//> iii.illi.iii.iliqius
ic leiilp-- lic-n c-xclt
ilire iiiiiiicdiati.-iiiciil >l,msiii>l
Karl \ iciuiilt prit
^lic L\i>L-riiiu-iilalc'
Lt-plic/M du seii-. de
l-.l.
^1 le Ile llle IrciH p
m. il
,//, /,
le -lel)-- du lieu.
>P^
ireileie^ieur,
âpre
X'ieri.rdl adiipta étialeiiieiit eette Cdiieeptioii de -.. ui illustre
1 l.i.|Uelle il \\\ aiirail pas d ";■.;//, ^ ,/,■
Illett.Ult au ^elis de I espaee et a eellli
leurs tniietuuis ph\ si.. I,. punies cil tint
p.irlii i(li<
ps .le^
lu tcin
■ pie luellsiiraleurs d|;s seilsatUUIS des eiiu
~péeiau\, ( ^etle ^
lut lif.iir les dell
a.l..].te lin p.illusc
sili..ns auat. .iiiii|ue-
.les organes eentraii'l ,cl
llupressl. .Ils
:\.\U
tactik
MalLi
Il \lsilclle-
de Weher et mal
de '. UC de
.le \wlkM
gre
.11 sulistr:
•t d aiitr
état .
Icrer e. .mine a\ aiit
pendant une ticiitai
iiomhreiises preiixe-
générale .le sa Cl. ne
t..ul parlieii
lier .le Larl \
experienecs
7//./..
./■■
es valeurs i|uailtltati\ es d espaee et
lliiUs
s «elisi nielles iielletrellt
pi iiir ainsi
tre e.iiiseience.
pi.ur p.. 111
t .le d.
ptliMIS
pari .
le ses reener
espaee déterminée par
temps la e.
K II Web
st I
III .|ili le premier einpl.iva le
iLïle a\ee
.le I esp
et
rgane
;//
Lptii.n. ipii était ,/,
eiiries une eause de faible
rue le sens de 1. espaee W'ebei avait
1 )n
le sensat|..ii~
es de~ libre
distribuant
.•r\eu~es partant
.r^an
laet periplieri.pies -eraieiil .Icstiiices a n..ii- b.urnir .le
1 aux mesures
seiisatiiins
gre les noinhr-uses laeiincs .jiic
Ite II,
les atta.pies .|u'elle a subies, au p..int
tuiii ariatiiiiii.jii
le l.i part .
.Ilik(.
m n en .luit pas miniis, en teiian".
e. .nnaissanees a eetle
ra\ e la vme
Il .ela .r
aillant |'lus que,
année-
H 11 Wel
>er a 1. .urni
-xperiineiilales a 1 apjUli île la lUstesse
-•pu. .11 .lu sens <.|c lespaec le mérite
ier.ir.ll.
st d';
ab\riiilhe de r.ireille, sai
\K'i I mu II..
s.iMi;Ki; K.T ri:v s
ébranler par ee lait .pie AW bel a\ ail presqi
.mi'leî.enien;
.lu d
e ses reelierelie-
-iif. .le
.•t eelu! de
et Cela SDUS prétexte .[U'ils seraient eomplèlemellt exempts
de pereeptlcin-
el .le l.i.li
sens de r
,1.
spaee
11
iiaïuiue aux ..ruaiies
de 1.
rat.cr.ix au eu
.llelWebe
leeanisuies .pae le
puisse utjlistr. et e est p..!!:'.;!
Is ne
peree\ . .Ils pas
ineeaiiisiue-
le 1. Mines a
.. il les eliei
.le
.liait
.ireuits .le sL-iis.i
dilt
erelltcs retiiulls
la tliéoric des eirciiils de seli~atii iiis ne puu\ ait i
ippluiuei au seii-
.lu tk.-m
ps et. en e.iuiuieiu. .1!
reelierelies. \ irr.u.ll ue p.uivjiit pas iinu plus sunger a une
j\[dK ati. .11 plu si. .|(ii;iiple de l'urigiue «tes p
ereePluuls
■ teiiip'
itellta d.
.r de n.iu
\ elles m
•Ih.ide
le mesures. i.l. siii'.ailt ell Ce
l.l|l'
exemple d.iline par W.
,^er.
d.
ii..mbreiix materilmx a I appui de si e.iiuepti..ri
générale relalue a la ilelermi|iatii.n pli\ si,.l, .i;upic du -en
lu temps II laiii i Leniinaitre .
'crsi lime
Iset
eux lie ses ele\ .■
Ile. sdus ee rai
jltorl
(.a.
'iil \ raimeiit . .m ert la \ . .u
-■tli..,l
es clan, .ree-
\'ien>rdt. aiusi
lUstilie le ellolx .les\alelirs
ilisultjraii.ius a lii.le desi|i
.y te
urées par ees me
tl>
illt pu
mp
.les- I,
1111 .le\ aielU
:\'\ ir de m. .dele
a t.iUs ses sueeessc-uis .lails ee .1 imaiile (.eux
,pl.
\ ercllt
Lins leurs essais .le m
ipp.
ils
Il se .lisiiii- Li.iicllt
par une preeisimi et une liuessc plus grande- ^1 i- ^ est
sellleiuellt s, .Us ee rapp..rt ipi
ex périme II
taies de \ le
dt
Is surji.
11 le
I eeh
-Ik
-liiimiant .le la l . iiieelili..ii iU
avaient l..riuulec
W .
.•r et
il a .les .lillieulle- in-urin
a plu|'art .1 entre eux. en
.eus i^clleiaux, telle .[Ue
\
dt.
heurtèrent
niables l.irs.iu il s agit
liser les resiilt.iis. .[.iilleiir- tre-i imp. .rtaiil-, .le leurs iiie-sure
Ni .l.iiuiuenl il- n . .iit
p.l- 1. lU
Uiur- Y\
entre
seiis.iti.iiis sc-iisurie
.liaient a me-iirer les \aleur
es spc.l.lles
.l..llt ils ..il
temps, et les pereepti..'Us'
le 11. m 1'^ i llt-~ iiicir (.•
cern.iiil 1 i.riuiiic et
pcrvi.|.ti.ins \. ,11- <5
i--idi.T:ilic)M , ,|in \,,]it siii\ rc OUI lin but Ir. .p p^t•l■i^
l">ur .]iic 11- imi-
ic> ri' ■liiiM'i.Lisi.-. rt
\'
p.il' W IIJI
'liic t. .lit iciL uinicut
\mii- Il inMvicrmis J
iiiip' 'rLiiilcs ,|ni ..lit
iiic--m\-. L-t iii.ii-. iii
pcinciii ciilicr cil L. iiisulciratii.il p(,iir l.i il
■ Ic-
ICplL-L nt.iti.iiii
,\ SI 1 c I ssli i.\ I I i.A m Kl I
t..ii> le- clcili
-iiili Jaii- le u
lihl.
t^il
elle e^l lion
II. .11 ' N..11-. :U(,||. 1.1
nieller cMeikur- et
.i-dr.
ai li.iii- une di
>lc ce- pllelli . nielle-, e
perecptl..li ,1e les is
a.iiirc- J.iii- Ir-. iiitcr\
11. .11-. pel\ e\ ..11- le>
-■I 1.1 pi
Us iiiiiiicdiai
.lit iiiiaiiiiucs a \\
11 rarraiiLieiiieiit ilahi
une iliiceli.
i|u iiiie ,liinen-,i. .11 ; J
m u- siuee-ils. taïKJi-
ce— i!-, nia:- .,.. exista
ii'Mr- i.r tsi'A. i-
Au-
.1 se siiiil il- tr. iu\ es clans lui:
e pie-eiiter une li\pi)tlièse \iable e.iii
la deteruunaliiiii pin -i. .|. .^imuc .le ec
(. et - ,1
e ce en
ipitr
111 eteiulie ici sur le- le-iiltals cm
icrets
Iciclles laitL
!, l'.xiler, J.
es dans Ce ttiilliaille, depuis
et leur- dl-ciple-, aillsl
par I-. Scliiimaiiii, Meiiiuaiin et d autres
me que -,ur les \ .ilenrsde temps les plu-
lait 1 ()h|et de leurs scrupiileiiv cs-ais ,1c
le I
eruiis 11 11 en tant >iue
.'e- \alcurs
leiiile lie I . .riiJint
tcmp'
I>i:s I IMI'
m- de la represeiitali.iii ,1e leiiips. la
lipsestle plu- ininiclialelllellt percep-
-■ I i.ri,i>ine pli\si,,|,.gu|ue de sa percep-
-eii-ali.in ,1e la succes-i.ui de- pheii..-
intcritjiirs cuiinie se -nuaiil ,laii- un
•ectioil delerniiiies. l'Iii- la -ucce-si,.n
't ic^nullere, plus il c-I laclle p. .111 11, lire
<ler cl .le le-
alle- ,1111 le-, -
re les uns apr
e - I e -
est pi.ur.iUul
st ii>atujii- aiulilu e-, ,1e la laçi.n l.i pli
'ln-tul..ul-tes cl p-\clli.l,if;UL
iinailre ,|ue la siicce-suui dan- le tciiip-
Is le Iellip> d.
I\ent être c. .IlsuleleS
une cleliduc. " je t
Il iiil
llerellts leur
ciiip- n a
>s ne siiiit pa-. cnexislants
lercnts espace- ii
pace- Ile s,)iil pa- MK
An
isi parle K
.mt, et le- ad\
I F -I s- ^^l 1 ■!\|l 11. >i
lire- le- plii-
lu- de -a
F ; \.>M;;KF 1 1 ri \ll
ncel'tiuli du te
d acci.r,! .i\ ec lui. " I e teni|'-
cepl ellipin,pie ,|UI -erait vit
-iinullaneitc ..ii l.i -ucce— uni
'er>i'ue-, -1 1.1 repr
a la l\l-e ,1e ^eltc perceplUUl
-i-te a ^,l\,,lr ilUelle direct
■tellillle ,1,- 1
enU'- en l..n.i;ue
niiiilitieli-e de la idupart de
,|Ue-tii.n, le -m- arrive, il \ a
\ ICtloll ,llle la -lU
lIlMin eluellt- Ile puUvait être exprilUec iple p.l
sagittale : ,A', , .-/ i- ■,'■'■•.•,.''..•'■.
poursuit il. n e-i pj". un co:\-
hiil d Une expérience, c.r. !,i
■lle-uienie ne pourraient être
pre-eiiiatioii d ; temps Ile -e trouvait .î./'('.'-'/7
a \ eruablc' ditlicultc- coii-
pouiriit bien av..-;- cette
ur. .\ la -lute a'iine .lu.iA-.
Licteur- implii(tics Jaiïs cette
de- aniiee- de cela, i la eou
i -une de- phénomène- e; ,ie-
J„ >r„. ,/,•
.p.,
Il e-t t
lien entendu ,iiie le |i'ollit l) de la Coordonnée .i
temps ,loit loi lu 1,1er parlaiteijieiit ave^ celui ,iu svstènic ùc-
.rd. .nnee- rect.iiiL: iilaii i
pond.iiit .1 notre iii'
llldl
antres, l U I. > :i li.ii'rèsma théorie vlu -eiis ,1
.rceptlol
1 ae- -e
ll-atlolls ,te
port.iiile .1 11 l.irin.ilu.ii de n..tre conscience et nous permet
,1e c. .ii-iderer iK'tre /'/ ■/ ^ . .mine ,li-tinct du m, .nde extérieur
1 e-p.
>le et
dernier
hreetn.n prend une p.r.". ::v.
alll-l ,|lle le ,llt l Icll-ell ,111
lie " 11. .11- . ,.|WI,lcr
er, par un
iiiit ceiitr.il autour du.iuel t
/.
/'■'
./../. ./.'/'■,
III-. ,7 , , ,//./ ^l' Il fiu
tlun pn^l.
ilci'JIll I
/-.. .iiih'riiiirr. " /).-n ur/ ii''!i
it ;',s J/ii \ J I
l\\ tt:'lf
..imtl.i.
Jn t/iiiY
Il d'aiit
c- terniei
./;
ilii'ii. I:i!inii.'> p.ir , dppi
l.lir.-s , / .111 \,jH,\L's //../(- .1
.,/ tii'i.s JiHUil^lfin, liens
ItplW^. Il.'.ll
•./n. .Il
a colin, uss.iiue ani-i acqu
I .1 tre- bien rendu luapeil-ee,
■ntimeiit ,.rii«inel, cmnie L-
urilelU ton- les c> •: "-
, /(/
'//•- j Ji
la ,lirectioiv r.
ti
il
AKiïiisii.rii
'luirrail. A .iprùs I-'
Se lu
l »ll M.
^C 1(1 111 pi >-.i.-
au
-•l Ju I
|M-c-.i;nt /, ( uiniiie L
l'dllipi isc
i'i^'. le ifiup
■ii\ IllUItlC^
N'OSillKi: Kl 1i;M!
uniaur , ciinJuirc a
U-> Cl illClU>
par exemple-, eoiiclu. cerit il : " \,c îeiiip.
iui|i-, --epare^par k- peint m..b!lc
n'existe l'I
plu^ et que
ilUeliiiie cli,i-,c
cirait
>i*it aucune ii L-.t re
r Je
pareille cnckwidii repo-i
plaiiMhle- ,|ireii apparence. iliai> sont
preinis>es i|ui ne
en réalité
11
"Plii-ii"-- la in,.|.|l,tcdu pciiit CM une suppcMtr
\ leiii ca>lui;
P"iiit ( ' .le la .,.,,i\l,
'""/ e^t iiniiiu.ible et 1 iuliM^iif.lc ; -enU 1
conscience t;eiieiale
cliaiii;ent
■>t prc.Jmt avant imiis
et
nlal^ ct iK- nu. hilite n'eiilan
1 autre. Kic
./'■■'.'/ ilUe K
Ue en ricll 1,1 réalité lie 1
a- ne peut in-eteiul
s événements du
1-ass
i;rcssi i eiiielit.
les e\enenLcnts
pldlit;eailt d.lUs le (Klsse iN suh
temps, iiu Jepl.icenient et cliai
I .1 sf>., .iule Mhjectli.n p..rler,l
notre </,' .; Conscient corresp, md
du temps, ^cluini.imi ipii, dans
de tr
. llerch
.-•s in\ estimateur, ijui se s,, m
même .iiiesHon coiisklereiit le
le lait de la
tennis
Notr
onccption ,ii:
^' 'Uscicnce du
^l'Iiteluis de 1,1
n \ ,1 .le 1/1,10/.
que
.|U1 doit \ eiiu après 11,
le a 1,1 réalité avec
.[U
Us
un et ,1,
plus ,ie
produisant m.
tutuis ,/,;■/,•//(,',■(//
ISselit. sur 1,1
c. .orJoiiiK
r Ce p..int .le ma thèse ,|Ue
,iu point ( 'de lacoord,.nnee
Ces dernières ,iiiiiees. a lui
•s peiCeptK.lls de temps. ,-î
:upe-
presLiit ,.u '^ la |,
comme u
Ile eleiuluc de temps qui a une d
urec lusic aus~
Cette Kk
1 iuip..rlaiK e d
ju u en laiil pour pr.jii..ucer ou peiiscr I
par.iit d autant inoiu^ adiiiissilde qu en |.areil
u lUolllellI ol\
" V
.,li..l..
V ulUllK- .a^ lllKjlU' 1 1,1
■iaiiK-m\' i\-\,>iL-
.-..nsijf
Mier.it.;. (1
■•iiiiuhjucc. J,l
L> J.-
.iilti^ullé^ Ji-nj!,i
IV- ,.iil^. iC!U
pji,il~^eiil li.rj>iii ..11 ,jii 1,1, K' 1,1 Ji-luittK.
;iJiK 1 ..--,hk pu 1
.|ui j-l Imcii I'
Ut .lepelldrall Ulll,|UelUeliI
pi'.il.lm.i li
trc v.fn>cii-
ullt^'llti. Jirt\:
.1- I j1i..iiul1, ct .une aistl!
,{. Ij -limttlaiuMl,- a^- , ■ •
Il
^y]i
i
ili l.i loiii: Ut iir lie
I.Ull liilll' 'III V ;l\ c,ir
1,111 Lai'il.il ,|iK- .'.-s //-,i/\
■// .//;,• I.i
ll"ll^ Millllllc-
.Ic
i.ipi'i.rtt r m. s |n.-rcc
a l C 1|IR |H ll\ l lit il
n.iliirali-li- un p.is
.|lli ^ll'|jl .|
M l'fN|M"ll l
, :Hl\ii|iiulli.
'tii.n-- -CIImIiIl-- a.lll^ Ic^lMCi- tl. .1.111- le
s.iil,-nii-iil .1 ii.>!i\- iiioi . ^■11-., !,i:l (^>ii,iiit
-■ I cil. Kl- :lli-..||| .111 le Iwlup-- .ll>^iilu, le
lu- a eJilur de- lu p. illlè-e- -lir lelle
I ei lu 1 eh
-iir I .
.lelltlli
IIK Ile- illl llh .iule |i|l
.Ik
|...iK
.\in-l .|lle 11. .11- 1
.|lli l.|lle- plilli.-i.plu
I .'I luiiic .In pi, lut 111
les ]llipre--l. .11-
le t
t- .1 ..e pi. 111 1 II
Il e-t .|U .ipie-
le-d
Cll\-l. Il- llKltl
I 'I"; . .pie 111. .11 .Ittt
.le K.ui Miniipl. / ',
A',
•■I. ijnii.
Iil-.pie i:l !)i-eiple
l'.lliplet .le -..Il p.,1
pelletratli.li .1 e-pl It r
llill.lle ,ie 1. .ilte- It
,|.|,
e-p.l,
I.Ull. .11 ,1e tr.ilf,
l)..i,-
!.■ 1...
|.lv~eliteiliei.I
. .1.11.. 1,, I i.i- ,
-1 .r,.iii.,
I). i. K
|.-.i I, .i.p.
.1. \
Je- l(..i,
■ 1""" r<
KT i-i'Aii:
e 111. .t liaii- le- illlteieiite- l.inyiK
.le 1
.111. une .Il
'inpleiul lllll,|llelllelll le- pliell.
iiie aece— ibic- :
lu- 11. un .lei;,
1\ ..11- l.ippel
pereeptluil
e leur pui— aiiee,
lu- li.iui L h. 111 I
^ r.iiiieueiit au— 1 ,i ii.,iie ui..| eoii-eleiil
itlieuiatii|Ue ; rai-.. 11 .le plu- p..ur>|iie
■Uip- .1, UU lUiMlleUI .l..Illle -..lelll l.ip
.li\ i-lble
la |.ublieali..n île in., pieuiKie etiuU
email. |Ue
./.s, s. /.-,/,
Itl.ill lut appelée -ur T 1 lu p. .| t.lll t I IM \ a l i
// /'M
//.
/
't'
le ,1e 1.^;-; et ,|Ui m avait eji.ipp.
...t/c. .Sluinpl ,1 ,l..|i|ié 1111 e\p..-.
e vue -LlellIlli,|Ue ,1 il.,r- .u c. UU.
r,|il.ll'le et une e. .u uai--a lu e ,lppi. .
Ileullc- plu-li.|.,t;l,|Ue- eulKcni.lIll 1,
e lut pi.ur Ulol une \eritalile -.Itl-
.ill- ei-t i.u . ran
-ur I
1 -ii^iiilu-.ili..ii
1.1 J,
.11- i..ii,ni j\
■- |.,..|
I.-. 1:, ,1„
, lie Un.
pu'-sent
i.. 1.1
* ■- Jii-t. iiiciit qu
|.1„-
II -i.- I,.l.i:,i
nhlul, ,ir ,ill,ii,,,i,,l .»/..
>iu tittuti a. 1 1\, ji ,,^ ., ,
l'iMi-iitc. a ,É|.i. - \,.i,
pai
1 />/(/!. thh!
.1. ,1 1
1, 1,
'1 -
1"-1"
II: -rs- \Kiru\ii:riui f:
\..\lHKr 11 ITMI
L'\acte vie- repre-eiuati..|l- " iln>it // cl " y.iuelle ,/. " li.iut
.1 " ba-
a\ .1111 „ et " .irrii-re
lui " deteriiitneiit eiu
il une lapilli partieulièretinitc-iuUrepresentatuui- J espaee
,le-iJt'es e'one-i>r,laiit d'iiiif la^
.lu
I .11 ,le\ eli .ppee- plll-ielli- ailllee- api'e- " (,'e-t UU .l\ .intaije
trè- [U'eeieiiv pour une nuuve
rencontrer ,1e- point- J'appiii il
il- .le- p.
1 étonnante avec celle- ijiie
the
ItltuiUe lie
m- le- recherche
if.
irit-
rioiie- anterieilfe- u. ecruai- |e en t.).
icca-lon Je la découverte .
.xi-tence d'un sens J i .rientati
-ouri-.( e-t pour,|iioi le tien- a citer teMllelleuieîit i|Uek|U
de- 1
iposiiioiis capitales .
il est vrai, aux trois diniensii
'li.lU
I écrit
.lansl .
Spall,
lu/ani -ur
de 1.1 cha
le Munipi. ,pii-e rapportent,
l'e-p.ice, mai- ,pii peuvent
ppll.|Uel et;.lleiuent a la ,1 1 lllell-l. .11 UUlilUe ,111 telllp.
M, d a
pr>
me- explicali
tout ce .1111
ir. .u\ e d,i
e-t de|a repi
iiresente coiimie -itue ,l.m- tr
Ite pa-. 1
len ifnten.iii. ,|iie ii..u- pin— '.en-
sions, Il n eu re-n
di-fiii"Uer le- unes des antres ces .linieiisioii- coinine telle
111 ,|lle I1..U-
i\ . .11- a lueme.
attire tout partii uliereiiient n< - regards, de .letermiuer i.i
situation de ce p.iint parrapj'ora d autres relatn eiiient aux
trois diinen-i.iii-. Si iioii-< n-.ivions p.is la représentation de
notre Corps, nous ne serions pr' .bablemeiit p.ir\enii- a cet;e
111 nu l'on
i dan- I
-i'ai
,li-t
iiicti..ii et a Cette ile-teruui
lexliMl- -Cle
eiltili.|Ue-, et c\\ outre le- ileleriiunation-
•II
iii\.|iielles nous serions arri\ e-
geoiiietrie anaK tupie, c'e-l à-dl e ,[iie noUs .iiirioii
un schéma .le ir..isdimen-
Uoii .|Ue tri-
lard.
-■raient i|Ue Celle- de il
> I aille ,1e ligues perpeiul;
. ulaire- le- une- .lllX autre- et lli|.ustuiri,'ll- ell-lUle ill-tlIliiUi
-ur chacune .le
-leiiili.i.t antre clu
es ligne-
de
ille l'opii.lsit
c- lieux cote
M
Ils en réalité ii..u- ..p'erou- rel.iti\enieiit \itc
.-rtaiiii
distinctions ,[111. au point de vile pr.iti,|iie, ne soin i
tnuiion- iiKitlieuiatuiue-. niai-
ement ei|uivaleiite- au'
.lit une -ignilu alioii pin- graiule Haut, b.i-. etc . lie-ieiiciit
11, 1.1 ..
1 1 1
,iis .ri-iiiicii-iis i.ii
lllUr<. lKin;Ji--.ll'k--- :l '
( .(.-s li'jiic-Ll. lient
;u.l tlicru
,1c
1:111-, le-- i-anaiiN
Jicivli.iii .il-r- .1 e\
;i..n^ ri.n le^ ililtci
c\clllllflk-
Ani.
-Ile ,1e 11.. lie I
.lliéilHili--
.le-, .li\ el'-,e^ |
iMiniier la l'eiictral
>i,. ,l,M-e- réel.. MHl. .111 (|ll:lll
" I ) .ipii -, ee-i .i\e^u
,,,.-,1 1.1 („,>ili..ii d
metne .111. ii\ ll,|ile
-ei a\e- .irllIuleU
l..riiie le ;...inl un
tjlh.l .[t
in-iiua ic |..ii
ii.)U~ .iiil..ri-en
t\eltatH>n-- ^ie>
J.eVi.n^ 1.1 1'. .-^-i
bil l
,,u, (...ur eiiipl..\
1 ..r,-iic ,l.mi le t
II. :• Ji- r
,|lle-ll..ll -,]'
i..^li|iie. ee
lie ,1,
lllj.-, et ,1 e-,|)a«
.11-, auiiiii-, eiK
(. ,ll MilllL|.l
HT IM'.M I
lait .ieteniiinée-^. et ,iui ne -.lit pa-^
t a
uiiiiité. ecuiune i et - - '
.■L-nte-,:avaiit .lue | eu-,-e .i
a^e
tat.iti.iii
ha-ie> .p
lie\ e ,1 e.lllier
111 .ix.llellt ete
lie- tri.l-, seiisallLii-, -i'eelli,|ile-
.•1111 eii\illaire>. Miuni'l
l.|i,|uer la re|)ie-,einati. m
,1e-, tr. .i-, illl'^
IKe-^ i|lll e\l
-lent entre ii..~ >en-,ati. .n-.
it-il a.iii-. s,, 11 i,lee >l.n nile al.
iiinai^--. .11-
.riiiii ipie n..ii-
nlte ,1e .lwiini;ner le^ ,lilterciKe-
i;|rlie- >ln ei.rp-.
-aurait .i-, e/
•h
; la,|llelle Stiiiil|.l ] .le-,- H 1.1 11 1 et. Il
'1
,1 ,,n lu le- ll.^ne- -ill\ aille-
liirel-,. ii.-pn-,,leterinin,iii-
.i.il.l.illllee-, lia
r,,b(ct exterieiii. t. Mil e,.niiile
terii iiie l.i p..-iii"ii ,1 un p. .ml
la u.
,la|.i
.Mai-
Je-,t le eelltie .le-pa, e n.ililiel ,|ii(
ilMc .nnee-
I, lek rejherehe- e\perill
ir -,ii|r 1 'iri
t ,1
ine ,1e m.- sell->atl.
Heii.ini .1 a,lineiire ,|i
lll.lk- l.lUe-
,ie ,iireetl..n
, naiis t'-'i"
ir la ■,iiece— l.in
et i\u\
1 , irenl.iire-, -.ij;ltlaii^ .|iie ii.u-
,1.111- le lein|.-
-,\\;li<)Ki,i;Ue--,
/ lin.- ■!>•■
rexjirc>-,i.>ii ,ie eerlain- |'
C-,-. f'-"P'
lolis h'riiu-ii
ill.llhiil ■!■■ I.Ji/p'- 'Jili'
)n.iiit a 1.1
pre>ell
si le y
le -urt.piii nii intérêt p-^x .
,mCi,lc "Il ii'iii .i\ e.
( ; ^Ic- ei M 11,1.. Il née- Je
le in.'i cil-,, lent.
iilu-, d une . .ee
asi. .11 ,r\ re\ eiiir
A, . ./en
f-r.
JUH l'i-p'IItti'
,/A R.tHM.'l^t,-
Il M S- \Knjnii,ri,jn;
X,).M1IKI II 11 ^1'
ï 1-
I - .\ll M Kl - IM 1 .\ m Ri I
1 I m-, .\i 1 Kl -> \- \
tcini'-.'l.i -1
I [.' •-,.lllte- ,1e [.■e'.|ir,.li alMielle le -en- ,lll
1..I1, e-t J,.lie tJ.ililee-a l'ai, le de■^ l'ereelUl. .|i-
^i'iin ..!',.;. me ^eii-nriel peril'h
ailtl e- ,-. .111 P, i-.lUte- 1.1 ,lui,-,
\ ite>-e 11 e-l ,[11 une li.neth.n
S.lleur-,le telul'- ['eU \ cllt ails-
11 l.lllt ,1, .lie leelieiLliei- ,1 .ihi.
.leee-Ml'le .iu\ !'ei\ eptuui- >e
.|ile..;t elle |.lii> I.iei le nient -mHIii
.-ruine. .l,>uel e^; k
I
ne paieilie 1, ilier^lie est en ,. litre e—cnl lelielileut 1
.1 1-1 ,iue-u,.ii ,U I i.fi^iiie de n
I..I t..nee|.ii,in l.i l'Iiis -,1111111
'tl,.li- ,1e \ IK
.■r.iil
l|, .11-^ \ l-llelle- I .1 \ lie— e Ji
elleelu elileiit ail\ \cU\ Il \i'\
nie een.llii-
lhll,.M,l.|l
.iiinie (.,'einiaek ^lan^ -es A/.
■'/•
'// P , . .1 1 e n 1
lleiehe dans k
d.
p.ireille t . .lu eptidii p.ir.ii--.a!t ^i
esper.iil ,l,,,.iivrir eii.ileinent 1
,laii-
a ^un\ erneii
1 .1, e..iiini,..lali..ii .\u— 1 ( ^.irl 1
a eiui-l,krer eete e, .luepliiiii ,
" parée ,|iie 11,. us \,.\..ii- e
l -ette e .iue|itl, .11 -, .lll
tl, .11-, et p.iree ,|ll
Ile lleilll
iiieiits , ,in-tituiil- ,1e l.i repr
,|lle. inenie en la -uppii-,.iiil
1.1 I Ks hl II .Ml-
.•1 1.1 \ Ite
.\u
de II ,1
uree. nuiis
I être liie-uree-, -epareillell t
\i l.l,|U,-llc de- ,leUV e-,t plu-,
Isi.rlelle-, et peut par Coll-^
1-e .1 I ui.iU -e eM.erinieiïtale
ilielie
.-[M'esentallJ.lls de tel
les r.ipp, aier a a.
{.-Il UM'areliee Je- r,<rigiiie ,1e-
pereei.
priiee— 11- extérieurs sauti
il.iiie pa- heu ,k- si.'t.jiiiie!
llleiue des l.livmi:.loi;l-tc-
es inpressuiii- \ isUe
1 -e -er.llelll l,.rillee- llu- r^ pre-eUtUtli .11- ,1e teini'-,. l'île
lutaiit plus -e,iuisante i[u ,.11
ineeani-iue de- pereèpii, .11-
.le- a\es
.iilairc- et ,1,111-,
ii.lw \JL -e iin.iura-t il di-p. .-e
..nulle [..irlaitelllellt U.udee,
te,.ll\ elllellt le Ue-re de ' la
urt.int ,1e ii,inii'r,iî-e^ ,.ii|c^
-, .111 j.lelclUent le- llltresele
-ent.llUili ,ie teiilp-, et paiee
..lulee, il Ile 11, .11-, --er.Ut pa-
11(>
molli'' iii'l
C..I11I1K- a
Dcpui--
ml Icii
M'
ul<i-iii"tcur
;ulKi'e >K-'
,1111
aïKKi
vitesse // Il
dcplaci.im.-nts J(
1l-s niiiUvi-iiK-iit^
lorti
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e ■^ 111 ii^t
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l.iire-
ir U
.v.it
1.1 inc-'Urc ili.
.•riL-Ltiie cil c
lïct 1
ir celui >lc l.i vue
Wuiull iK-f'lifAe
le tcinli--
du illiillV
v.ilcur
mesure
,uicnt Msl
Uurc a une
Mie^u
,t iiieiiie
niDUvei
uellt^
onslituer uiu
icut. au c
iiilr
rex|)c-nuiciitateur
\ler..rdl s est
( ^aiiu
ir^,|U a\ ce
Dans
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■rceP!
.itesse avec
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le sen-
neinent
du teiiip-'
\'iei
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huiuel
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le ,;. - — l
expri
.nL;ui ur
a ce
t e
rtet et 1 lin
tuejl
naissances ac
de vitesse et de
.lucinent au seii^ Ue
TfiMI's
IT FSl'A' K
.[isidcier les
P'
Mlle principa
iti'ilis lie
lenieni dans
leiiip--
r.eil
aabli
,11 l^7s-K
app
la dépe
X scr^ii circulaire-.
jtati.ni 1'
neiiuance
ircil
■ iiimue et
-•T
une in'urpr
,ulc diltelcntc
ain-i a.iu
ne tiiu-
les de l'ull. cl.mt cil réalité pn
liert-
tlulll llc~
la vitc---c
rincip.ileineiit par
canaux
.■ini-circu
perceptuili- de tciup'
1- de 1 iiuic
es nie-ure
- la \ lU
;ll t.llll que
ei cela l'iiiir
la r.usiiii qi
ble de. il lu
.•--aliclllelll
retendue >! e-p:
I..1 p..— ilnlUc,
-lie- de mesurer
uluc
et
d e-p:
nplic.iti'iu cl
Minultancmciil dans K
i\-leiiducdc UMiip-. loi
a 11
,lre a\ is, 'pie laci
de trouble,
iiter la tache de
fort bien rend
il a dirige
d un nii'in
iiuptc
L-- reclicrc
_-t avantage
lle^ de
cote
euient et 1 appréciation
■1 celui de
)rdt >.|(inn
:rniettiuil
luveuienl - acci
•-,\i.ice inter\ie
.11 même tcinp--
ipln. dit-il.
niiciit ^inuilt.i
1.1 iwrmiile
ue
rapp
,rl eltlre
la vitesse
L-pace p.
.1 dan-
le rapport entre le leinp- ik
leuil
l.elien
dant,
les valeur- fjbtenue-
)1
dans
mcsure-
U-. eut plus cire a
■n unlisani le-
Itribucc- uni
diiiincc-
tour
M, 11-- II--. ;.(/./(/>
1 .mie de --i.-^ iiicsiin
>,//>. ///■■//s .!■■ Iriiip.
Il I Jll MR-Mlii.' 1:1
-c rai>l"ii
il.i/f'ii- .jin pi
l,.,,i- ./. Iriiip^
-■«a
IcuR-nl wiiih
a.
lu.iiil ac> nKii^urali|i'n
lursqu il - .ijiil il 11
'4
lionne- le plu-, in.iu
-,, iis.ith'ii> .A /,//;/>
sc^ int-^iiic-- t-n C' '1
|c~ ~. .lUui- lie- ^cll
^coiuie aiir.iil >lii
11 ...lninl !i..t:liiUii
a~vc/ Il 11
au II dt
iinlant a ecr ^L.•
de leinl'--
W'iliuil adlllel
delelllllile a . allt t^
.niKKl'er
a>.e. euiiiiile U"'-
mil dt~ iinl're~--l
11. 111,, m a la 1
ipli.l
-1 ci.iilinne
ll-.-i , |.
11 -ullù iU uU
llM.l- 1 I
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11 IMAlE
Xlcn.ldt a detenillllee^
rlaieiil en réalité lien pa^ ai
maisLi la pereepli. hi de la ,////■./ de-
II en e--t nallUelleinelll de niellle
liree de- antre- -ell-at lon-> -en-, .llelle--
;,V .ilt»i •!■' >■■ r.ipp:'il.iil ./ii'.n
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le- .ie\ aiil- el
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jl il a exeeute
lu -impie e,,up
d',eri -iir
.blciiii- en uiillicu
lUtliié a in-unire
Muli .le -,,11 eneill
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nr I ouïe 11,.,,, p'
le ta.l
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ilcUl- trc- di-eoi-dante- pr, ,u\ei,l
, ,1 c\Lltall,,U .le- -ell-all,,ll- ^"t
liallelllelll .le eell.K .le- -e II-. Il L ,11-
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le- pr,,prieie- p
>nleli,l-. ai.,llte
l\-|.,l.,''U|lle-
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,11 -era obli.iie
le -ellll .1 e —
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,11-. aiu-l ,|Ue ee
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Ile .1 une -neee— |.,ll.
ne. (.elle Ill.lUlere .le
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.lu l.u.l'-. .1111.1- .i„
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M...i, a^ 1. M,i^ ..,,u,,.'|,ii,.ii an I
lu ,.i,,hl, 111,
I \- .\KllllMl.llol'K
e li.ibitude plu- graiule- -ont
ni // Kieii .le plu- |U-te en -o
11. ,11 ; m, 11- elle ne un
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>en-ee lU
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.•tte deinieie .lîluiui
lilie pas online \ enta
ble de- -eui
Weber, le- -cl'.- uenei-aii\
ure e.\aete de- pi-,,priele-
> ;;,■ .-'lit ./'"/. m /"'"> '
.l,\s .Ipp.V .'1
(.ette idée -e troiue plellleinL-nt
/.s ./.• nu-^\,ii- ./,■ /'. ■,^^^.■ '•/ -'" '■•"•"h
A .iee.,i\l a\ee la vérité
lSslol,,t;i.lUe
.■herehe- e\p,,-ee- d.in- le-
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prceedeiit- I ont -iilli-anunent
.erile le -ell-
de 1 e-.,ae
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delllolllre en ^e ipi
elle e-t eu,lleniellt \
llabk
le -Cil- .lu teliip-, et laij'reme elle-l l.uUUlepar
lltat .le- reelleri lies .pu
l.ilte- .111 e.
.inaiiie au-.
de |i.,inlMeU.\ in\ estimateur- oi'
!u- .le eiu
,ur- de leurs me-lire- peudaiu \
l).lll-llie-- i ,,iiiini
iinieLilionssi r les ,,riL;iiie-
.le-paie
\ \ re\ lell
Il déia rêle\e rimport.inee
.b.u .r.ee plu- .le' détail- au p.ir.ii;r.il
d'c-xeit.itnni.pii pro.lui-ent le- s
liellxellt naturellelllellt IloU- I
la p
.le 1 appareil
te 1111'- . e
1 p,, lut. in! le-
e. \ Perle liee-
iple eelle- .le
bul .[lie d ep
leinp-, l'a- plu- .[
deterillIlK e
-e- -IK V e-scUr-, l
iou\ er 1.1 preei-i
lie 1,1 N.Uelir
,■ p,ir le- loi- 41
nele--, le- -
eiales ne p
neiiieiit .ht ■
1- d e.\ellatloll d.-- -e
en\ eut evcrecl
:-U- .lu teiup- Ils peu
lors .le 110- e— .11-, .le- erreur-
vatioii. a lia loi; lies a eelleSiiui r
nelle- de lob-ervateiir.
\ien,rdt
iiro.liietioii p,ir
-eiltleliee- e
tioU de- e--
ne,,re pin- ta^jieli
,.ii- de ine-ure du
.le- Pereep
■he I,, 1
lait, c!
.c--eUK~
n-atioii-
.le--en- spe^
iau\ 11
\w auenii ren-eii;neiiicnl
plu-iol.,i;l.pie .1
111 mesure
de \ lerordt, au-si biei
a\ .lient i>a- eu r
•alite d ,1111:
de ror;;ane lue-iireiir
.1,
Inii tele-.e..pe ne -aurail eUe
eiits.le- l'ia
-ul le- 111. 'U^ elll
.■n-atl.,11- sell-orielle- -p
r aile nie uillueiue
lll
-ur le loneii, 'i'
•lit -euleineiU taire n.iitr.
.re\penillentatiiin et d .
ro\ leiineiU de-laii'.e- pi
du mot " \ i.ie u a eu
tellip
.•lalu eilielit a riiUerpret.i.
I !i il, .po-ant ee ni,,'..
\i.er. )i\il iK- ,l:ii-ait c
i|Ui, ilaiiM ics tiiLiiil
tl.ill loLitc ll.UllLllllL-
iloiiiic-r une i.'\plii.ali
ih ■.,■ pl.ijllll p.is ./.
les disc'i ■ntiiiuilcs li
n'en exiile p.i-, plus
nienK Jes planètes
/ ni/,iiM/.- de n>ili'c
nutre altenUiiM >Lir
l.c^l la pereepUon
allernali\ cineiit dai
;/.n ii.i Is II .^1 .)// /
,'/.i/ ,/ . \< il.ihililr : I.
ein>|uantaine .l'ann
i.jnt eunipletenicn
parler Je pern^l
./,■ h'Illi . ». itjllOII 1
I,a cfintniiun er
soi-Jisanl ; i.Irs iiii c.
s csl nianilcslée lu
sur nuire repré-eii
phvsielell-> el de--
Utillser ee prelellJl
notre inluilion du
M l'ijineare ecriv:
.S. /\ /A ,', p V'i : "
temps, mais iniu
( .iiiiuncnt cela se
préexistant dans no
\ a de> ease^ vides,
par leur contenu .'
CCS " eases \ ides /
inetapin ^leieii-.. Le
\
TEMPS
ET IvSl'ACE
leore .lue suivre l'cxeinple de W'eber
, de séii-^ations, a\a\t prêté une atteii-
.• aux iiit.rvjll,->, di.nl il a pu d ailleuis
iii assez salislaiiantc.i\/.i(N. .// i\\ilil.\ il
;■/./<■ .1.111 > 1-1 •■f^lirrr ./,■ /(>■•. SL'ii.-..Uinii^ .
t teinp-. n interviennent pas plus dan->
111^ ti.us les autres processus vitaux, et il
dans ces derniers que dans le> iiiouve
11 y a| seulement des oscllIatlMiis dau-^
actiN lié nerveu-^e el dans la tixaliou de
le- dilïercntcs qualités des seiisalioii-.
de telle uU telle sensation qui pénètre
s nuire conscience, loiil,- l'v. il.ilh'i: ./i'
iii.t ,/ii iiih' .iiii; iiuiil.ilii'ii -^/(/'//■ ii-' /■■•'■''
e lait 4 été établi par l'ilnger, il v a une
es Seuls les nerb paralysés ou niorl>
inexcilables encore inoins peut-oii
'■./.-.v uii caractérisées par /'.ihiiiur /(>/./.',■
orsqii'il s'agit de sensations audilix es
■ee par cette conception d'intervalle-.
raclerisespar/'.(i''5.'//.c/i'/.i/.'./.'u il.Uifii
Il jiarticulierenient dans les rctlexioiis
talion de Icuiiis, laites par des niéta-
lela-inallieinaUcieiis i|iii cliercliereiit .i
\ idc en laveur de l'origine .! [>n,iii de
temps au sens kantien, (.est ainsi .[iie
il réctjiiiinciit encore i La ijL'iir ./,■ <.!
Nous; classons nos scjuvenirs dans le
> sa\(>ns qu'il reste des cases \ ides
,)ourrajt-il si le temps n'était une li.nnc
tre esprit? < .omhient sauriuns-nous .pi il
si ces ^.'ases ne nous étaient ré\ elees que
, .Nlaisl ainsi .pie nous venons de le .lire,
n'existent que dans I uuaginalion .les
i souvtfnirsde perceptionsde temps aiite-
lE sESS AKITHMl'.Tl.jrF. : N.lMHKK ET ilMI's
rieiires .u^umules dan- le cerveau sont, volonlairemenl ..u
involoiilaireiiieiit, evo.|Uesdan- la ccjnscience .n\\ tout iriir
unitcnit (pianiitatil et .|ualitall. I.a représentation de la
succession ...iilinue des sens^utons et de leurs perception-
nous e-l .i.uii. deia lournie, des n.ilre plu- tendre ieuiiesse.
par les expériences de tous n>j^sens llerbarl avait parlai-
temeiit r.iis..ii lorsqu il déclaraiJ que la succession des repre-
senlalu.iis ne peut, en aucune façon, être identiliee ave. la
représentât!.. n .l'une successioil .Mais cela n'eiiipedie nul
lenicnl n. .tre pei\ eplion de l,i succession de se tonner grâce a
■ la contuuiii^ de- dilVerenlcs seiisatious spéciales.
l'iusleuis p-\cb..-pllVsiologUtes ont vainement eSsave de
■ retnplir .ne. un contenu iiuilconque ce- intervalle- -<■:
disaiU \ i.u-; . e-i ainsi, parexejmple. .pie .\luii-lerberg cher
cliatt a expii.pier par la -ensalijjn de la tension coiuuiuc de
nuiscle- iL.Ue apuuide a luesuLer les intervalles du teiiip-
II e-t p.irl.iileinciil \rai .|Ue, même au repu-, le- nui-cle- se
trou\ent dans un ccriain etiit [de leii-ioii. le toiuis, dont U-
niecani-uie a elc exp..se ailleurs en détail /. <'/.■///.. et.
ch 111 N..a- .ie\ri..n- donc, i'apré- .Mun-terben;. p.,uv,.ir.
me-urer la durée de cette exciliti. .11 tonique dans linlervalle
entre ,lcu\ . . .iilr.icti. .n- mu-cujaire- ^ous cette loriue, 1 idée
de .Mui.-ierbtr^ serait a.liiiissilile, mai- au cas sciilemeiil ou
il nouss,.-r-iil possible, d'une laçou générale, depr..u\ er de-
seusatu.ns musculaires, ..u de- percepli-.us .lUelcouqiies de
contracli..n, i >r. nous avons dpia insiste a pliisieur- rcprise-
sur rimp..,-ib.lite ..u iiou- soijiimes de c.nnaitre des scn-a-
tions noi-.ulaircsau sens courant du iiu.l . lu le protane. m
le phvsii.logistc ne peuvent, neme avec 1 atlenti..n la piu-
s.mteiiiie, recevoir une paieille perception a laide .Ui
sens nui-.ulaîre .problématique. C est -an- siuces .pie 1 ou
a\ait Ijii ai'pcl aux sensations nuis^iilaire- p..ur explupu
nos rel'reseiilalh.n.s d espace
.(.est également taire lausse r.
pour, expliquer les perceplL.lo de durée
\iiir plus haut. ch. i. ; 2 .
Ule .pie .le Vouloir le- Utlll-er
N,
■llllk- H.IJl!
cxaciciiRiit 1.1 tliiu
1
.ml, 'III. il 1,111
p.ir
'/•■"■/'•
;///,
Il hier ..:
l'Iclllc cl
tiiiLiilL il. m- It
IX r
peu
.l.iiit k
ll.ljillU-Ill-
IKc >l l.l
I.LC Mlljl
|i.ir.iii s\ a..L..iii|>lir
i r.ii^ciuhl.ihlfiiiciit I
I .ItliL hU.-li Kll.llli. m
.1 I.Al:\K
■I IlIllH 11. :U--
i-c~ ilciix \ .ileui> ilt-
t— , lj~ lie Ulc^UI c-~ ,1c
-IK i i ~Mcllr~. qui ne s
iiui jltrihiic une mil
i.i l'Min.ith.u ,|[- uu-,
lie dliniiUUIIl 1M.< le
1 1 luiii a l.l
icin|i-, |).ir
r"rt.'aiic le
'le leinp^
-a Je
• mine iii.u~
i\
lUe-lirellI. Il e-.t \ r.u.
de I
niiierx ati.ui .le- iiiuseK
e Ui .l(llireU-^i
c^ expelleiu e-
,l'(),
Mle-.liri.-
I-- que
Ui.U-. I
,Kei<in|i|H-,ciit ./ ////.
./// .■'./,'• I
. eu a\im> lauiai-. e. iii^i leiu
lail
llk
\ l.le
de
ter va lie-, \ ide
elllleri-. il 11 i a
elUlol)
llleil.
Il e\l-telll
M~ Je
uatui e Ile pri.lH e
l'iUII 1.1
\ el lUlhle iIkliiII
lellll
'Jli.uil .1 ei ,1111 ^e
1- 1 .IppielUill^ -elllellielil.|i.ir
p.ll''. icnilelll .1 Uctie i,.li
• ll\ cllir-, ilaii-, le leliilr- ih.u-
HCC' nue rai'Kllle
\ eriU;IUeU-
inilueliee- inliihiliiet
•le
nJi
JlUp-, I
,lui
rlaiu
Il Peiiuaut le
nniiicil
1 1 iMMl
lii.\s h!
iKi..A\l
I I Mi'>.
M \-
[lell i,
lUile
t;llelllclll k I ~U1
ieri>r,li Jaii- -t -
lee. e e^l pai\
ipie
luMelUs ,ie
l.l uieiue .|ncr,li..u leur
ce l..iit a lait
e\ir.i.u\iiiiaire
1~ ,1c lellipi ( .e-
and
intribii.ini
411e
e^erc-, erreur^
'lr\ ^l,.^,jJl^le .1
oudrc le i.r..bKiiic ,lu
-rtc ,|ile le lal'\riullle de I luellle e-,1
utani
e|a ,lit. il a 1 11 riimiitu.n ipie
■.lo,
ir l'ctiulc vl
es pereeptlou^
.1 Irr iii.tl i,,ii
J:
AKiniMi.nyiE
lll.ills
temps
nit l.l •■e-U'-ibilitc pcuir k-
Il lUtltc-
d:lk-
U.lUtltt
A\êi eliaenn d entre iii>il->, pa
ainsi ijue
\
.ii.rdl |ii--tilie sini c
iras.iU aiu , lier
a \ c u I
11. nu bi
ik
Il de
4'
k
.,\ aient iietenninc-. a ch.ii^
l'or^aue au.litil pour leur-, nie
nioti\ .
le eh..i\
repre--eutati<ni-- de teiivi'-
ne d
c--t ',
di
'1'
k
repre--entati
Luiistaininenl liee^ aux CMlidlt
motcur~ et aux miianes eeutraix ee
I..IK tii.n de ri.
1er le--
ll\csde temps ^c iuen\cnt dafl
larûcs. Tenu elian^cmeut pv>ss
brnit~. diii> l.l me->urc ou il c-|t
obleclive^ .[uek. .11,1110, et aulaul ilUe 1
k sui\ re d.in^ le-- linilte-, pll^el
ti\eiiieuta 1 inteiisilc. au nom
.ic-- impre-^iuii-. peiii p
~ub^tratunl de-, reprcseiilalions
,<j
()/./,'
Cle
id.,Vul.lll
n 1 1 e I
uic dans la ,,en\ieine de
■-1 a p.
Me-, exacte
11
th
i\ putlicse
léparl 111. mire i|U il
siiili
igKlUe
Ithc
ee^ treille
de
laetile- " reste
T iiri;.iue> mille
,.|itv;m.i dcKpélcr .(uc 1
.,. .■ cl „Itc l',..- il •..-• -
N,I\|11K1. 1.1 l!
ci.mmeiKiiu>
,le teiui-'s et Duiir le--
leiiip-, se niatilîe^tc le l'.U-,
1- de \'.
,U'
:lnnx ■. de
la viuc a --un r
e lu
.■relit de
la tas-.>n demi Wu
.nie i>..ur 1 exini
-UlKlt
c'4îlOH de-
irlUUlleremel!
intcress.antc
taclilcr, de temps restent
>us luecaniiine-, Je^
iaue-.
..rre-.i'.,nJaut>.\i\an-t ;...ur
inervatu.U--. lesre;>re-ei
al
c-, .1 la ^eii^aliuu au.
Me de vibrations cl a la aiiree
iriaiteinent être éon>'.dere c.-uutic
ie teiiip- > arables a ".util ni
W ui
l peu au e,.ur.iiit de- re
.c- p
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nr- ei .liix i.r^aiie-
j. 1,
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M-iiiatH )n-. tac
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eut aux i\
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.i.iit lies aux IdiilHu
pa-,
eule lient -,UborJiiiiiie>, mais dcuit il-, siihi
'it l.i ,l:'iiini.iliiin
•/'
,; /,
^A'
ie WunJl et
ledlK ti.ili-- ~.int
allemic au
Il diiant
: juste
vide OU
iiifit à irntatiijii.
Niui-
~ente ■>ur l'u-il relut
.eniath.ii> il c>paee
.ii> lait re--,ortir en détail, au parauraplie :; du eha
icipau\ a\ alliages que l'oreille pré
\eiiieiit u la Itjrinatioli de nos retire-
ireeedeiit.
avee tous
lllcsiire. k
nioliis liiij
de lernp~.
U
Dans le lI
lapilre si r
//■/. ,/ 7;
',/•■
nous
avantaties de I orcilli sur l'it-il. relati
des di
Wh
livemcnt a 1.. il. en t
fieOllleln.|iic>
>eulcniellt a
prop,
rappeit
id la
depelldalKe •.oinpiet
iaires, ^o
direeli(;ii
nside
TEMI'li El ESI' Al E
I potir loiietion de refiler les iiiner
tii
es peuvent, a I occasion, être
los nioa\ enienl--
.\1,
leur
rappoil.
'lant I
es iiiner\ atioiis.ne douent
ins le sens iiiduiué ailleurs par
nou>
G
éi niecan unes
leguLitioii
ide n;Olre urganc de l'ouie. auxquelles
/i /■!•/,■
'III
niteloi
iri.Tliv.-iiii ni .lit 1,'iiip^
Comme nous venons
de U
même certaines
de
l'exceptic»!! de tout ce iiiiil
omme il rappelle, au trajet
N'oiis
piol
MopOsollS
de I
uoiilrer ici.
1 iiectîbsaires,
laiis une certaine
.iiitagts du l.ilnriiithe de Idrcille ne sont pis
l
rt.iiits piiur la l|orinaiion de nos représentations
les /
siiecialeiiient
it à la
parmi les
a perceini'Ui
p:i joileiit un rolc si decisil en ^e
ie. (pliant aux avantages que présente 1
llle
compara-
it qu'appareil de mesure des grandeurs
1 a\i)ns lait que les liielllloliner. et ce
la
e~tllIl.lllon .
distaii
N(
ion ijue I appareil oculo-moteur, Jont
listàn
;s p,ar
-il,
se trouve boUs la
■ des iiiiiervaiioiis des canaux seuu-cir-
omme organe sensoriel des sensations
m: sin's xh-nilMiTu^'iE
loUtelois
destinalii'H pi
Ign
e sUI
le 11
iccanisnic
ment essent
b 1 e 1 1 q i
bres. et cette .
au limai ou de
nnaissance, nous
me audiiif
manque, commandes
dan~ la mesure de
.\uv a\aiitai;es qi
iju organe sensoriel
vlonc encore ajouter
liheriques auxquels
intensitt
ilb
NiOMBKE ET TEMl's
-udogique du labvniilhe de
me appareil de mesure ne repose qu en seconde
.in.uix semi circulaires i. e.
ticl, dans l'exécution des mesures d espac
temps, esl fourni par la connaissance
la de\ons cvclusiveiueiu
1 es appareils de calcul a
Uli
e decislî
;t de la durée des inner\a-
par le luaa^ou, louent un ro
les trois st nsalious
:c lait qu c
soUs ce rai
iiort.
jrit
jii entre
lleliuholll:
I autre de ces organes, a savoir
mouvcineiits vibratoires qui, st
lions, provoqueU
Ides^
Ion la rapidi
alioiis ditïereiitcs
;11
.•lll
e, ^1. pour pi
rapports entre
\ ibrati
.•mp
pers'
ite aux iiiler\ ailes nuisK
daiitcs. nous
sp.
u .//
illirini •
rulemei
t .\u
là de i
liinile
e ~on coinme
nit a même
la lumière
de nous re
réduite . ne res'i
it que trois se
rentesqui
iiit le r'.uge
k
rllte
de dl
recti"U, li tau;
Ile
lesai'i'areils péri-
ls 1.!
connaissance des
A 1 cell e
K-s ol>lel-
.t inslructii e
"un el .le
lU- et la lumière, si
ml de
led
c leurs V
cjle-
ibra-
dute-
des ditïérentes hauteurs
de p
.sion. nous desii;nons
lis luiiiiileu-es p
ar .e nom
aux. tonnes y
ar le- \ ibrauoiis
iblenoiisje re^uUal : 1 oreille
ii-.!:thr,iit
> .S"//.-
a-ll une
-. il existe des\ ibralioiw.pour
lUe seules le- nielîlodes ph\
dan-
ecliei le
isatioiis toiidamciirtales ditte
ri. le bleu-v lé.lel ! oute- le-
autres su lormaiu p.ir 1 a.lditi.iii
de celles la ; ceslroiscouleiir-
le
.-langent dan- la seiisatni.n. sans -e
U 1. 'oreille, .ut coiilrairej distiiiiiUe un n
troubler muuie
linaire de sousdc hauteurs di(lerentes
■ mbre extraor-
a p.is d accor>l
(|U1 res-em
bk
a un .lutre ac
:oinp
'l'.i cil ic i|in
iT'illl illf ' //
i^Hic .i..intaL;
Mi^Mcr.ihi
riiMi". Il 1-
KiKeriic
tl(|llc t
-i|Uin!.Jc .1 -iiii rc r
I i.Xi:it.it|..ii L il plus
lllltll^lU
c\^ il;Ul()ii
llUIllcr il.lllli Ul .ippi"'
.ICti.iii ., , Jlc de- pll.l
-ii> i|iif 1
.n, i 1:
> \cilan.c- ijiic p.ir le
lillutL- de i c.lirllc-, t
est l\l ii.ihic jMr h, il
'tirciii ..i(
icller >k
.irit:it;c-
ecptl.ill Lie Ki .lur;
lice au i',//ifiii cl
siK cc?>1..ii Jiinprc-~si
piai- àcs liilcr'.alk
lueuic pour la /-.. /•, ,• -,//
-ic la
L'WlsISli clic
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c|a ,lit.
inipwrtciil pa~ lu
<|iic la
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nient 5ii
klenient le
\f ap.nicnl alleniati
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piise
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es >en-Jl|.i|
ie^ st iibat
s'Hi e-jiiiiat
'.A
anal.
presenleiit
iuc aïKliiii -ur luiiiaiie \ imu-I
i'apre~ llelniliult/ k- iicrl aeons-
ipeiiciirau iierl ,,pi],|iie pai-MMi
I'
ell lliuelllelit >1 llllcn-,lté lie
I n pareil elianiicnieiil .1 in-,
idiiit l.irsuuc
es e 1 a
lie ,1e iil
plias
ncn.iiiiene
lies MiMs lie
\ eiuenl leur
11. .11
llh
|Uc
unipris
ha,
lu iierl a
Unis un iiiierv a
eillenls
Li.iii-li.|iie n'esl
Ile 11
elciuhic
|lle libre lin iieil ..pli, pie
speelri
e »ll|ieri..rîte de 1,
c..n--iJer,iblc
is. M
"■cille sur 1.. il,
5 pour les mesure- artill-
,1 l'nneipak- -npe-
ais
■ lis aiuliiue, p.uir la p.
.11 exaele est luliiueine
le- e\c-italion
s ai diiixcs ,1 eual
s sonores
ICC. separei
t si de la pi
iniit.-.li.it. ,/,
iib liaulc importance
.,//
qnc ,/,.
ill
Dans 1,1
.in.li-
li'iii
e sur la
coiistalation visuelle
.mille n.iu~
ns audiiu es
iairenlciii de iiicsi
,'oiiime tel
espace, lanJis
"-Il lorm
id
c et
c un .|Uotient dont
e traiet paiv..urii ,lans 1
ILili,
esp,
AKllHMLTIylK
1.1
1 iiMi; 1 1 i A 1 .>! HEM i; I'.^n
1.1 j.,\ 1.1 Kl 1 M > -'l N-^Al lo-'^
M i 1 p
dielte ,1^ phénomène
1111 a 1 ii..iiinie roec.isi..n prenne
lev>
Cl le ,..
si.. 11 ,k
.ndllU'e
;llel du -(..leil,
l,.iii-- cl des
-■h.
llli;einelUs
,li..inme, auss'
a la per^epii..n ,!e la succession
-.ells Itloll-
liUrues olil eu deiuc.iu appris a 1 UolUlUe a
lunaitii
lu
r\il'iml.iue
respir itoircs
iul-atious car
,li-
1.U ltli.il
la- reuiilarile 4111
la l.iiiii cl de la
1 li..inme
attirer I iHeiitio
vane- ilelennillcilt le lemp'
repas
Ainsi
anim mv ,i. .inc~ti,iue
e-. tels
Uc
sUr ,
.l~e.lll\' mii-M
atcurs et nieine sur
artiticielleiueii
l da
•aisoiis .1 retour p
,;no,ti
,1 rei
iuciioii de certaines per
de- intervalle- rvihmiques im
conscience li représentation .
clioisir CCS plieiiuiiKiie- regu
.[Ues. p.
l'esprit
en laire Jes unîtes
il.. mine des les :
iciiça nauircliciiKiii par p
js \ aleur;
le terni
poi
le
le
esp.
llUs 1
: les 1.
lui otlraieiil le plu
milieu eiuironnaiit.
s lacilemeiit
No.NU'.iir. t,r iiM
LA .MI
V.V.
Il lu s Ml II V! Ml-.N I ^
de la nature qui tour
de- perccplii.n- de temp-
■ llu\ et le relUix de la insr..
Liits. ie ret...ur rci;ulier dès
.tcrniiiics de temiiérature;
bien UUc
-rtain- animaux.
t\ de
liitervailcs
iieriiidicitc
caracteri.
ia,iue-
. t .le- m-
;iueill-
aracterise
apparition ci
-valent necessaireuiéi
)e 1
il .s 1. .urs encore
es >àVi
., le
retour reg
eiïul
ler de
il ..il peut
Ile, aux. chien-, etc
;>server-sur
P'
lissons elei e-
lex
Il tacii.lte de reconnailre
->M
las cxclusu e
a 1 tiomiiK
nti. lits sensorie
lies
11 ec
-airemenl a noire
leur res^ulante
.1,
ers. péril
.le temps.
diques
.1 ,i..iu
1. Kle
.u r\tliiiii
lu \ 1
plu- fi
drc p..ur
échelle .
même qi
le iiiesiirc
i il eholsll
imneurs le- plus courtes .[lie
lit ie
lit sou propre
tut che,' ton- k
orps. s
peupl
la
■lii'
r\
niciiire ii'cs|>:Kc l:i p
le- tcn)|is. un ch..isil
la nuit K V. viiM
nic-uie Ac tcnip^ la 1
enipl'ivce coninit nn
les battements i\ thn
c.tur bal en cliet i
eelte lulee a ete elllls
inlerét ur:ue a l'uli
niveau îles eanaiix
-.,niine> en ellel a i
plllsatiiiMS et même
taux ; l'artcrio-sele-r'
percejitibilile lies b
,|ue \'in Haer a insi
minute mnime l.i n
htaiit ilunnee la r
impDitaiice que pré
cite et le caractère i
rieurs et extcriein>.
naturel que la plu
l'exemple fécond A
cadence une attenti
e\pc-rimentales de
processus rythmuiu
reux. Aiiisi. iiaus
temps. W'undt, pa
parmi les- phenonu
mouveuiejits jiorm.
deux raisons. I ont •
ments de la nunciu
.[Ue dans les éludes
laires de nos jambe
ireres Weber. qui
accomplis d'une la
\,
rh.Ml'sl rT f>l'.\cE
I uspninitr.e e; la pins rcp. indue l'..ur
la succession périodique du |our et de
ipaer a exprime cette ciiMction que la
1ns petite, appelée par nous secnde et
ite arIJlicielle, nous a été suggérée par
iqueslie notre pouls; à l'âge avancé, le
lois enMr..n p.ir minute Depuis que
t. elle;a gai;ne eu \ rai~eiubluncc et en
,ervatii.n des pulsations r\ thmique- au
semi-circulaires ineuibraneu\, N'iUs
leme de percevoir interieuremenl ces
e les utiliser pi air des essais experimen-
se serait i.i cause la plus IrcqueiUe de la
nits eiiloiiqncs (^'e-t d.uic a\ec ra.soii
ste sur le n.unbre de i". pulsations par
,indre unité du temps
Connaissance uni\erseile de la grande
iUtent pour le sens du temiis la iicnodi-
vthmiquc des processus de leiup-. iiitc-
accessjibles a notre observation, il était
lart de!s investigateurs, snivaiit en cela
; X'icrdirdl. prétassent au rMluiie et a la
m tou^e particulière dans leurs mesures
.■es processus Cependanl le choix des
es n'ap.is touiours été eiialeuienl lieu-
ses rephercbes sur les peiveplnnis de
■ exemple, .iccorde l.i première place,
nés rythmiques du corps iiiim.iiii. aux
inx de la marche. C'est a lori. et pour
l'abord, dans la \ ie ordin.iire. les iiiou\ e
Sont tires s'iip.eiit arvihmiques. Ce n'est
du micanisme des mouvements pendu-
,. exéijutécs pendant les expériences des
les liiouvemeiits de la marche lurent
on \ raiiueiil rMhmiqiie l.nsuile. a sup-
1 r -is-, .\kUHMi.iiyri;
poser même que notre niar
r\thmique rei;ullere, il ne s'en~ll
tlolls i'i. i\ oilUees P.ir les UloUvel
le s'exécute d une tav"n
t pas encore que les seiisa-
leuts de la marche presen-
iraclere r\ hmiqiie. Nous n ,i . oiis pas
•telle ; nous av. i^s les seii-
de lexteiision des tendons
dans les. articulatuui-. et^
sF \ariées en qualité, pour-
reiiré-eiitation de l.i succès
teiit. i lies aus-.i 1
la sen~aiioii de la iiiarche coiiim
sation- des Uii-i.'Us de la peau,
et dc~ unis. k~. des lr..tteinculs
l.a pertc|ith.ii de Ces sensations,
rait dillicileineiu iioUs donner la
sioii ,te seiisam .Us -c rcpr. iJuisant r\ tlimuiiieiucnl
les proce^^ii- de teiiip-. qui accoini'.iLîUcnt les mou\ e-
mellt- w,l.. ht, lires et retleVcs de- dilterciUes parties de Ili.trc
corps -L Uiain:e~lelit pniicl p.lleiuelil dan- les >ii
Jiii\ ri ,/, ;'.; .>//Ci i'.v.>;"// ,/^■.^ il/iu-ri.vti"i>.^ J/s iiu
p.irt,, ipriil .1 . . .■. iii-'liz.iiirii/s
d'après nos connaissances actuel
terminais.'. u~ nerveuses du lab
réglée- par elles, .^tais nos uoUVcineUl- ne deviclUlcii
r\tlui.iqlies que lorsqu'ils soUl /ii ".///(i/-! ./ :iltl\-l.-lllli p.ir J
'.■iL\.i!i'>i/^ .iiiJi'iiWt n/kiiiujiii'
jouime dans la marche
militaire, la danse, etc. l.a tnesdre e.vacle de l.i .durée et de
Il siu. essi..u des innerv.itions
itails ;"/rv / - llltiDl-.niJIlh III I:
s. .lent r\ilim;qiies ou ar\thmi
lors.pie les ev^itatloUs provoquî iH les mnerv.ilioiis se succe
XD^ll-.KF. IT II ^1!
(.es uiesures se trouvent.
les. sOUs la depcn.iaiice ,ies
rinthe de r..reille et
m
doit, il est \ rai. avoir lieu
»./(/.(//•, ^ l-jtl"l!llr'.-.. qll ils
[Ues: mais .'.•>/ s.-nli-nirut
.[Ue les muscles innerves se
leincnt.
iiLiiLiits r\thmiques. in.ii-
t on doit avant t. .ut teiiir
dent a des intersalles reiiupers
cnitra^lent a leur tour Athmi.]
(^e ne s.. ni pM.urtant pas les iii'
les .-, //.v//(<"/» rxlluniquos dont
compte liaiis les etu.ies experintieiuales porl.llit sur les [>ro
cessus de temps Depuis .[Ue \'itri.rdt a choisi les sensati..ns
auditii es ^i.mme se prêtant le mieux au.x études de ce genr
tous les in\ estigatetirs ont pu acquérir la conviction qu'entre
ces sensations .luditives et nos- (jercepti. .ils ou nos représen-
tation- de teiiiiis il existe des rap(
lu l ^,.^
ports toui à lait p.iriiculie
i|U "11 ne rctri.dve p.l
( )n a Jc|.i iiii'iili'c p
daii-
ii~ liant i|ii<
clcniciit k- 1
i|ii> uni
ntalioii de- tciiip», rL'^l.l^c fur le l.)iictii.iinciiienl îles canaux
>cuii circnlaiio.
Aiuun lies in\ esti
ce dernier rapiiorl
reci iiinailre ipie 1 e?
eXcltaliMn^ qui pro
^ulll^alnllR^ll cuuip
iLllt
I..
Jcriueres r
-1\ L- i|lle preMTi
;lati\ cjniciit aux percepin>ns de tinip-
inter\ alle>
1 aide desquels k
pour prii\o.incr
?cnt a dc> lui? ar
de \'ier.)rdt dan
n avaient pas cm
de
llu letiqntts tre> pri
sens du temps Lninii e d m sens ge
et a t;railuer
le m '5 ni> .u\ einenls
irelix el >i précieux
depuis
iit:teinps a
et 1 ..riuin
1 ctat a^ tucl des ri
tcinp~. il e~t a peu tu-
remar.iuabie des re:
cliercluurs
|U! IK
IcurcUseuieii
nues au cuur
lies
s des
larleiit assez clairen
, T„u. k> i.l
i\">i^ icn?
>^UiVc
Li [ii-Jiiuic j l.i^c. ^j;i.iiit
ET Isl'Al E
.n-.rtions tactiles lui \ i-iic
l sUCCeSsliUl. i|i
■ llstltue
lediateincnt pcrce(
tiH
e de notre renre-
ToUS
iteurs en ciucstiùn n a peii-c pisqu ici a
11. en revancli
unanimes a
imatU'ii niatheiuati.piciiienl exacte
■i).|lleill \'
.-nsali<iiis aïKl
d
de l 'imp'Uiance déc
pauses
s. k
. tlii
et
■adc
res intluenceiil notre i .reille,
.■n-aliciis de sons
liarii
inu{i
ibets
M
donu)ine
temelU laisse de c
recherches sui
Ole sa
.1 dure» des si.-nsatioiis de ii^s sens spieciaux c
le
destine a liicsurel
es résultats
leUls mesures, -i m riu-
piour la plupart, auraicia ahculi
iceptious claires et certaines sur
lli.ijs IcpreScUtallolls de Uiu|'- Dans
herclies portant sur le
.b\.
Il"
ibk
maigre la coue
litals jditeiius. en ce qui cimccnie ai
iiicip *ll.\
iellt pas
ésulials.
sUltflts
de IrollNi
euK lueuf deux
lauianl sur l'in-
lerilies sur les se
cnl en
l.É Jill re t.l 1 lu
■ rdants des mesures obte-
-iisasii.n- au.littxes
'l'I
iwrls InlU ti
«1^1 i.lU mjsUle- ce- i|'U 1
icv.Mnnaitrc ijui
- .■■ùric. Col .
1 .
.^KlTlIMKin^rK
NOMi-.kE ET Ti:.\ii
entre nos perceptions de teiiu>s tft 1
e luecantsiue du lah\ri
I
inal\se précise- i es ■cléments de ee
IKUls
sta-dire
lurec
comparais, .11 a\ec les résultat
nthe
percep
•t de 1
1 succession, et leur
tal
ir le lole du lab\ rinthe
cl la mesure de la succession et
des ..rganes moteurs, fournis
(Ucset convaincan es en taveur de
i:i:
qui f,
/IIM/II
r.Tij
Mien plu-
pratiquée
des dilieri
■iisitn
ah
les result.lts ohte
sur des animaux, i
-^■■1
arti
du lai
;i\ ri
aduiettrt
.Il U.lll"l/i .11
lu h m f'.'. .rcvc iiih- le
,/.-.
.V i 'iniiiin'
\-1U!
J.^lilICCi .1 iiwlli
p.ntii'.s du iiirps cil Ciiiiitiiiiis.i\i
J i\t it.it iiiii .u i iiiiiiiL\.-<.
11 a déjà été prou\ é, en c
rieur-, qu il existe, entre
ner\ euses de leurs otoc\stc
\einents. un r.ipport caiis.il d
plus /'...s
pi Concerne les animaux mi
excil.itions des terminais. .i
es el la regulati.dl de leïlfs m.41-
d.
d'
/. ( >/
k\ ec les pr.
du de
la Liitlere nci.iiiiui pli\ si.ii'.giq
lab\ rinthe de r..rerile. les rapp
li\es
■t les
-•menls niiiscui. lires
atteignent, cli
beaucoup plus
C/.//.S i.-IIS.lH.'l
animaux
r:inde. (,'.
./c imiu- i
■ lues Je 1 .l>ti,.;i,ime Iliiscll l.i du
JciHiiu r..i^dk- el Je ,..;... [ni
>jâe J..1,, i.i j.Ui>^i,iaJe >eii»ihllae
r 1 orell
de la di!
:rche
d.ms
:e de-
la régulation
m nervations
eut ei;alenient de-» preuves
■/'■'■■
i.:i m.in,
"f
m ns .11! s. ■il
<lr. :<pluT..J-j.
lUs
la suite d
expérience-
t rel.itits au loncii- .
ilhe de l'oreille, au
//./.
.V ..-///ri.'j'ViV
'/.> rMi'iijnrls
la
.1 plus gr.inde iiupe.rtance
chiip
eiueiil nio
S "
oue et. de
des di\er-e-
rls entre "le
e- partie- di
s seiisatn.ii- audi
les régissent
supérieurs
1j V.
"1 -
■u a',
(V.uite. i^.
I
si:ns \i<iiiiMi.riy'.K
Dan-
i.'in
iiciiU'^-îanc
le Iiirni
lllL-c-î et lloUVc
Uc
mine ce II l le cas lor-. Je la l"ruïatu.ii
originelle
luiié un r
lIu langage lima
oie
:i-iil.
lés nio\en->.ie lue-arer avec une
ireti-Kin iiiallu iiiatique la d|iree des innervation^
'rolUie-. lillli
:ulaire-- interesse-.
lie lies animaux, n aurait
inarticulé
Ha
sourds-muets, le maître
I en>ci
.herche
le tonctionucmi nt du
delaut
^anaux ^enil-eircu
cher
dont on a ielruit le-, deux appareil^ -le
laires ai;i~seutt dune taçon an i;oi;ae
.■heiU a reapi>re
iKtri
a m ircUe en >
tioUb \ l-UcUcS et de5 -en^alloU-,
K
taille
leurs mu
ire-.. Mais ils n >■ réussi
allons
pou'v oir siii
\eineul-. \i
nie-iire très restreinte : la sup)!
rintlie de loreille par lc~ impti
très impariaite. aussi bien ch<
liivcrtelM\
tii.iil J.iii'
iii.i,
il p.
in\-iiljl:i'ii
M-
unir
,pp,
■ntis
..!i
// .Illtolll.ltUllh'
lift-
lu. lu. .niii> i
a^ 1 ^[.:ul.au
.il 1 ivi: cii.ilcm»
spn! J.l
;ulu>utli
d'un lui
.le a.-
r.i.ii.
1..- u
jMl'i leufv-
-l'
-\rf..
.u un J.vclM(ii>i.nn;iu p.irtuu
lier de
er 1.1 iu-le~>e j- . ctK- (in.p.
I>..rn.iil
.illU-
ui> iiue le^ iicurc
Je 1.1
.1 njuriioc. le
a.
le-.liiel-
VoMHKl; Kf n M!"
de m'Uveineir.-.
bvrintlie a uec
virement
.-le-.
.ians le langage. 1 h-mme. a
1 iinais
uement
deP.l".
r.hise de
du 11
a remplacer
./
11! I.lll
,11 J lllt Cic- -ellS.i
itiii de recUJ'érer le
.cie> dm- le- mou-
ut
Jaus une
de- ionctionsdu ,at-
SslOUS vi-uellc
/ les verteb
s et t ic
lesc-t
le vhez k
:ii:..il
luaml'lk .'.• pins s_oiii\-i
ri iJlh-\:
'.■i\!ti\>iis lut:'
- V
'1
.que
■M V
,.-,ikm -1.
1 Ker
liF'- de 1j ---ai.u..
:*,
1-4
lKUs^.lIK^:■,
I) oll l'iillcr
pnrt.Ul.
ili.llii'ïl
Il iitr laul pas Vu
li-ihh- du bal. (Il ili
laquclk r.jiviiiLslre c
s'aiiii d iiislruiiicnls a
IhUI^ .ll.'ll.^ Jil ./.■ / //
/■.■/,)/;:. III. II! .1 1.1 i\
liiiil> i.-t tic iiil]iieiu
inciit icrir\L >lc niuii
~ui- la repr-àiR-li.iii
Ictiuic. se MJiil aCLiii
VW' iW des
Hier uiiu lunaili. lii II
lUrcilic iiitc-r, léiiiie .
des inijcr atioiis m
JétiluliU'ui. la lucsiirs; e\a
Il ot pas mwins iici
rinilic lie 1 "l'c
lus A\
ille 1
aucun iiielaiii;c Je
•ijUVellt lllêillc a lelUlre pMjsl
lion do eXLiiaiiuii;
]îa\ ires, ou encore a:,n> le
l.c be
Mil du- inaciv.itK
Jo U 1.
C'c>l
['1 ilicu'akli.clil J.in> l'-s;> j.:iUi
iili.
^\ a.i;.> do excr
RT tM'Ail-:
inté intellectuelle dessourds muets de
llB
iilluence des mouvements
clief d ' ii'cliotre sui" la mesure ;lv>
xécute un morceau .surl.nil husipi
. i'iilr.hlii liiiii .IV,
■ll.i.lllC il II ^i'Ili
•/'
,/c l.i
,/r l.i >;/.
• A-
emeilts \isihles. mais
repoie en partie sur 1 imitation pure-
pi incipaleuieiit
impressions auditi\es .|ui. jaiidant
liées dans la mémoire.
is audili\es est l.dn de ciui-ti-
.iispeilsable pour t|Ue le laln rinllie de
une llicoii decisu e dans la distribution
Dans
inoiixenKiUs lie
de la durée et de la sue.
esslMll
issaire une dans
la paro
le et dans k
lant, mais les seii-ati.ins audilives n\ iiiler\ leiiiieiit en
pareils de calcul de|ieiidanl du laln -
ilictlonilelll en Ce cas
du
ne manière
lent reliexe.
r\thme et la Jadenci des excitations aiuliines. saiia
nsatiojis musicales, sulliseiit à lacihter.
ibles
elf'.ris musculaires
larliculicrenieiit dilliciles. et cela en aiiiss.int sur la dislribu-
.iaiis 1
inner\ation des nuiscles corres
ui arr ve. par exemple, lo
irsqu il s aiiil
cil a
es cliarnes. (.lU
d.llls le 1 eiui.riiuai;!
js hKuvIies militaires épuisantes, ek
1. pi
hiijii d..---' nuu^iiis de 1.1
le l|lle de ^CU.\
t du hcg.iicinciU ci>n>i>tc
de Ill«niVelllelU> I e>pil .ili'll e> I\lliinu^ue
puur.iuot le li.iiteinen
l .1 de >ini[^ie^ lii'iiMo d.i
ide d'
ipies une ^.ideiue el un l
. tllllie
Ll. mN> .\KnnMLTlQrE
Li Ji.
./.-^ i/ih'rniiti:iu
L ni Ll. !,..■> .s
^iir nu iif.w r\iiiiii!,/ii
.1.1. II. . ,/.'■, .'/>/>'.'.> on
■ Il ,/,^ t-riiil- f^ro.lints- p.ir '..■ h.ltl.iin-iil i/c'.< fiu.i
■!taiit doiiii
Il urande im
rvthnii.pKs pour la lormatu
il est regietl.lble ,[Uc les ps\ cU .
mesures, aient .iccorae si
cardiavjues l'ar la régulante e.\
i|ui se uiainlient sans interrupt
la
(i-ur se prête d une
mesure d iiiier\ ailes de temps
pulsati' 'Us cardi.u[ues aieni, ete i
experinu n
iiar ce-iU
tiL- de
irci instance i
le. W
Ue 11
.(IK
\ .u-ialii.ils des autres \
internes
ne lournisseiil " au. une
et par ei inscpicnt aucune
.Nl.iis celle e
sen-atioii ni aucun sentiuie
1,1 rais
il tri
icalion erroiuu
impie que c'
par les cll,ini;etiienis
de
sur nos et.ii~ .1 imei lors même t[
pas au-siliu .1 indre perceptioi
ClrCoIlsl.ilK e
table a i eluc
jsl loin de c
■ nsl
rhomine ei chez les animaux
mesure i[
Ul ser\ eut .1 1 eurej;
pouls .l.uis le temps et dans lefcpace (
menlaieiir de suppléer au maiu|
Dans
be.uicoup de cas. ce m.ini'Ue \
tage p..ur linlcrprelation des r
em[
lèche i inlervention de. r
Les données obtenues jusq
1 de me.i -Vc'
NOMBKE l.T IKMrs
it.llifll S.- l'i-
J.ipi
irtance d
.les mouvements
.- nos percepUoUs de temps,
lollUeS. d.llls leurs essais de
d attention aux pulsati
traordinair.i
de
.thnie
.11 peiulanl la durée- enliere-
laç.'n t. .ute particulière a l.i
■xtlunuiues le tau i[Ue les
e^lisiees dans les recherche-
undt revpluiue, il est \rai.
~ uiou\ emeilts cardiaques.
irocessus vtlaux-
di.nnee de conscieiice.
' lient pa~ debout, pour
cisémeiit le ca-ur eiui.
m r\lh|me. réa;;itle plu~ r.ipidemeut
ette reacll.iu ne p.ir\ lent
.scieiite. Cette dernière
Hier un obstacle insuruioii
es moditic.iiioi s ^iu r\lhiue ca
rdia.[i
1 es nombreux appareils de
slreiiieiit des \ ari.itioiis du
ermetteut a 1 expe;
de sells.itions Coiisctelltes.
;ul même eUe un a\ .m
laclioiis cardiaques, puisqi
elle. us émotionnelles .V. .'
Cl dans celle voie se rap-
(^■l'h . l\iris. iii"
portent pri
Il Cl p.
rMliiiic cardia. p
c est a
ai
c a lies rc: ctbinsjpiireiiieiit emuiioiuicl
asMiréiiieiit intérc
rvtliinioiics
tei iiunaisons nerveuses
ah
le sont cap,
ipii Concerne
au
les muscles a cmilraclion- iiivuLiiH.ui
cu-ur pat
nt pas accoiiipagiees Sa sentiMieiUs inii>icau\ estli
(^ueKpies lil
sur niinnicine sein
isihlt
( In a\ ait
scnient pnciiniatK|iic. a pr
V aillait
a nuit.
III bri it exti^iurauiaire. l'eiiJant le ^ilniuc ae
hruit pr.Kluil par celte ii
tel piiinl le rvthin
suivaient près. pie 1
mes iiulsati.iiis ton
intensité auiiinent,:
tion caraïa.pie ayant su
cliaiifier c
plusieur>
ie logis.
l.,i> des
hôtels qui einployale
a action
(,
,a Innii
li>er\ ati.Jii-
Jlrcollspects ell et
lu sujet ae 1 inthunce ile|s e
Certains ohserxatjurs
exiierielices
la 11
.les
q;ie le c.eur
lu
sscnl e|'rou\ es
ratimi .pie la
llu
lEMt'S 1;T fSI'A" li
leiit 3 linliiience qu'eNercei
I -ur le
\ii>.Ui<>ii<
,/.■
<jriil.'i' ijius,
It Jt
-lier
.;\i itatlnii-
au lahv nifliie
;5 de
rpg
r aussi la auree et la^iiccesiiou
de. 1
orsiit
:\cilati..ii- ne
;ti.p
.liions qt
un liasar
nuls .fe laue
hleiit piauler en la\eur de cette p:.~~lbl
pi il s ;^glt a'nn cieur a rc.K tloiis li\ per-
iiislalle. en 1 r-.Ti i^'i).
1 m- un elalilis
lie .1
e iiii>n li.i
liltali
e nouvelle uiacllliie a \ape
•1'
,i al.n-
ira-
deiK
baient au aess(ju;
hine nilhien^ail a
pulsali.nis cardia. pies, .pi elles
au moteur. l>e s,, j l.i nilllute,
de n... tan. Ils .pie leur
une lac. .11 aiiiilDiueu?.
.M.
ilte
ibi une auj;ravali..n n..lable i ai
ib 1.
ai eu
ibse
rvali.ni
r.
s du menu
^asiDii ac taire
;enre .iails de>
;nt des in.iteur- particuliers pour I . pr.
re électrique,
pers.ilinelies
ivent 11. .Ils re
iidr-^ ta
util cilncerne les cmic
:lu>
a I.
lier
'•inotii.ns musicales sur II
par cieinple.
(jiit lirv
de
■lusl
luttions
un peu liatives en Ui\ eur
ange et Jaille>. el cela I
.tl
lancerait t^c r\tliine a\aul .p.iL les ».-//
Meine abstractiiiii laite dételle
arce
il'iii. nts
l-ide
c jrie mélltlùllllee repose sur lllle lUe^
nais-aïue coin
nerN du cour
\KlinMLTli,_.l
dete du vrai n
•l de
lier!-
ch III, ^ ■? . il est évident L|Ue c
lesactioiis .///•,, les du rxihiiu' .
tiiiiiiil\. Ueauci.up de per~on
les, ab-.(duuK-ui 111
la nuisuiue, voien
t le~ balteni
ite de la seule accele
e des e\Cltatli.ns SLllor.:
ratuiii du r\tlune et de la
K H
Ba
1er iiui, comme nous 1 avwiis
attribue au rvlhine des puisai
:ons
.nde
loiir unité
teUtUill >ur 1 lutlueuce .[Ue 1.
e.\er>-e lue. 111
sensorielles.
testât
l-ileinelil ^u '
p lllle manière uenera
//. / . .V Lu 11^ I .jpp'irls .i
I ./,■
iiii\ nu lit--
1
u.mme avant
lUes plus Iré.lUeUlcs \it .la.ciU.igc
générale du .temps, p:
ir cxen.ple au cour-
1'
ur rendre seiisi
blc
son 1
déc très lllsle.
devi
.■ptU'ii tri
lusieurs e.vcinpltfs
lllle de la nature
1.1
■,\ NSA I 11 IN
AKl
tl\ e
s; la Silence
a ia .luestioii
si di
.Ultec
temps, le résultat n en serait
duire .1 la .
ainsi qi
.nnaissance Je la naiu
des relati.iiis récq
Uer\cUse el llUb
.uiaire.
;nsalioii
s el des
autre
que c..UsUUire gc net;. pie
K h
sOMr.KE Kl 11 M!'
ide de U.nctli.ni'.eiuent des
vasculaires voir plus bas.
:s observateurs ont contoiidu
miiiu- Ici. avec celles des .st/r
sensibles à
Ils de
L-ardiaques 1 .
du plu- haut,
ne de la
tcini's.
freque
i.l .//('■
Itlire egaleiuen
t lat-
e de ces pulsations
de m.is perceptions
lie. L
r'.ip I
;mble
Husatlons carc
dià-
.111 Cour- lie 1.1 lacsuri
il Ui
le are
Haer
un lemoimiell
i d'uiit
percej
iU..ils .le Icill lis
.Ns ht l.
HMl. IP .1 t..
p.irveiiait i unaisa lournir une rep.
lie 1 or
Igine de
las moiuilre q
jusaîioiis
Ue dc'n.'Us c.
el lie 1 es-
jues entre el
.tuile
iTel. loucevoir 1.1 ^eiiese pi
lierceiniolis de leUlps a esl \
;uieiil n.'tre "
/ ,J:
I. IJ;
Litl^lliW^'ILi
|>rcmiL-is t
sij>nilÉ-;ili
;- ,11
\'
k- Jtriiu'i païaiirap
cliii|iR' au>si
lur rcscui
ieroi\H. >tr.nl
rc]M.iuli-ei pcreinpt.iireiiicnt à la i|Ui;>u.Jii
uinieiil 1111 iiirt;ani-,ine d<
p..>itiMMsei vie- icrtaiii
tout a laii iiicxpliL-ab
pr.ijjl'O!-!'. c-lllcllt Sun
o raiipui I
le ^ c lU' >li
exteiRi r
'I'
^iblc, api\- kb rechi
Jant une 1 1 cnt,,iiie J ;i
santé de . e prolikinc )
reciic relie~ .i.in> un p
1 a ?u!li.-ainmenl Jeiii.
cXiierienLe
,■- et di
clleivli
|>h;.~kji.igi,(ue et la ?l
liant a imii e perceptn
.neni
.trc
-l'Ualik'- rapi
ie- el ,i autn
-l'.n el a la aur
• .^iiïaiiuns
ihk
sa ae^imatiou l.mctii)
.Il
iiiesure e
Dans le sell,- du tt
\arit a nieauier. les i
nnais^aïKe uu la .
I K.,li \ 1-^;
.ijl /) I /
Ti:\ii'^ n i-^i'ACH
ilkmeiits // (]'eit par ces paroles
: e..inineiK'ait. il \ a i|iiarante ans,
sMii iiuvrajie clas-,i,|ue sur le .S'iv/.v
Jre Un prohlenie d'une porte
le de
de 1
1 pli\-
ue de Certaines
di
. proprie te~ps\ cil i.| lies rudi me ni aire>
es en soi, en arrive-t-
lloi dit lllolld
lilï
ereiicier
t de te
e extérieur et a Connaître
ip> qui existent entre les choses
)pports>
sjiace „. il m a ele pi
Iles experiinentaks
poursiin les peu-
ntri
ded
on lier une Su union salislai
pli>siolot;U[iie.
,p.
ecedclt ouvrau
: mes
(/'.;v Oliil.ihïnnth,
lett:
lit a iirolil le urand ili iinhre
esultUls
rets des li
presenlj cliapiire.a deiennuier
-|ui>. I ai
■ rimne
llltkalioll de
es valeurs de lemjis par\e
il et a llleltreeil kl 111 1ère la l'art .nielles
;ncd du moi '< ^'est eii
iiniaissaat
l-ui unissent d'une part les excnalioiis
la 1 I
es mesures de temps re
la II
-les inner\ atiuiis musculaires ainsi
es oi'iianes sensoriel
■1''
;r le
llelk
Ils du temps proprement du a
apitalé, c'est a vlire a un ineca
alciil
ps. cojnnie aaiis toUs les appareils ser-
niiires [joue lit un rôle essentiel. Sans la
scienc|e de
liires. le sens du lelllji
nni::cii. iSi.S
Il --hNS AklVH\||-.llorE
le pouiiail pas salistairc a sa de'
Uos rcj'i eseinalioiis
k
un espaci; a trui
ijlmalion La. construction de
dimensions repose
iinuuicuieiit sur les perceptions
'1
par notre .i|ip iréil
inter\ ciiUoii
le canaux se
nombre
sans tli
eoiie des iiranacurs.
du u
dont une
;ule
a be~. .111 ,1 lie Je la perception vje la direction, Sans iioiiibr
il II \ ,1 p.is .le \aieurs de temi
5 et. parconseiiueiu. la tor-
matioii
le IloUe eoUC
ept de teiiui
lion de teinp^ devient, liiipossible Ktani doiniée i exlr.ior-
iinairc prêt i^iou avec l.U|UcUe , oit s'etïectuer. dans les tto-
m-ideres, la mesure des ntnervatioiis ainsi que le
:iioix a.i m..iiieiit ou cliaquc iiiner\ation particulière d..it
e plus s. .lUent .le n.'iiibres
coiiunciicei et mur. il s ami ici
intiniU-unaiix *
.tT.
liraux 111. .leurs lai-an 1 loiicli..iid
iiineU'e-
.■\iL:eul une precisl
i|l\ siol
arlilicie
e- de.
valeur- de. leliiPs
l.ss.iv .Us dj J..iiner une idée ■eulemeut appri>xiiiian\ e d
1,1 nature Ue- ..alcul
'U
le temps rel ni\ es
'rie à un but
.r un p.iids p.i
.les impulsions d'un grind liemibre d
rius. aux.juels app,irli.;nl k
le .loniié : leurs autaii.unstes. i
a 1 .
■.ni..ii au iiiou\ emenl a
s ad.iuv leur-. .lUi tixeu
t \.
lui. pie el .lu Uos. qui donnent
l.rplu
ne lire au
tra\ ail
\oulu a\ ec
1 position
la moindre
NO.MUKK hr TKMl's
-le trois directions tournies
nii-circulaires,. sans aucune-
eut v avoir une t;éometrie
en est pas de même polir le
composante, la succe-suui.
ip- ou de notre represenla-
ctuees
k
1 Peaiu
ipp:
.n.trescere
el " .i'eller
n'.UKle 11 lie
ii;l-te- .i.i
leurs mesure-
Hh
li
de
imr.tc .laiis
aux innervations l.ii.i,|ue
lut il même aussi siiupie
du b
ras. exi'^e k
le capital
oivellt s op
k
ibducteiU's el
iva 11 hr.i- ;
muscles a^
la
Il -lete et a la partie sup.
- lav
dep.
rable p.uir execiUer
le
slble .k
eXCUatloll ei
;tc. (.
Jvs iiiHiJt:
v^
1'
t/lli fi.!/ //. Ip, lit .11,
ilUlIlLlIllll
il uuwnr. Il II 11:1111, 'I
1,111 p^ /,,
./.■/,
III, lin, ut'
'■.I Jiii ,-,■ ^
■■ ,1 III, --Il
/.•> i.l/,lll - .11 i!/llll,/l
II,
J,
l.a ti
11,1,.
il l'a.
Lille avec
mer\cilltii\ niecaiii; mt> à caK iilcr de la ^ubst,lllce coriKalc.
c-ui]iiiiaiKic5 pa
I oreille, iiiiaji
-1 ii =
;lU dol
daii~ les nii)ii\ eiiiclll
le ?(jnt eiKure bu
uienls [lia? cmiiii
cniiiiiai^niis nerveuseb Jii lali\ iiiithe de
dislribueiit le
le dail~ le> ,
dt
ui ujie erre
dali> la di
P-
lld;
irodi
IIuIl
le et
.|II.in
ie la N
.1 1
= lict.
tant Mir .le? iKuubri
atieiiit. il laul
lient avei
elleb llieilie;
le.l
ICfileS elcinelltaircb
et di-. Ibiiill. Iilles 50lJt
prouvée, par le
. iierl
du labvri
nient iiar
Itlle de r
H H Web.
lEMI'S Et ESI'ACK
•rcii
it ,i,Hl
I ./,A,
pcihi.i
,11,
il
il.l/l
,1.111-, I lllll/,' ,1,'
II. l-..lll,ill
h
''/'
eux .liluciit .■•jjl.-iii.-iil.lr,
01. D.i
'Il p.i-
, •■•, ,if>,'i .ili
li'iiil,--, ,/ ■
IcMiiiclle»
l'inctiuiiiiciit
~ iiiipii!>ioiis viib.iitaires
être tout a lait exlfa.irdiiiaire? ineme
ipt
es du trollC et des Illelllhrcs
tajj
quaiK
il r-au'll
j;rciiipcs iniis^ula
de iii.uivc-
an.il.^mie.'-,
■iLes d'
Les opérations de . a[ipat-cils a calcule
. robate
lUeKiues niilli
eille~
et de\ lent sou\ eut liiii
^c^olldc
..ht dan?
iiiglioiiiiaireH cxificiit une preti?ii>ii vraiiiieiit
s'agit de rianervaihui des nm~.:ics
l: et surtout
UIsck
culo-irioteiirs
pas seil
leniellt ilUestlon de Laijills pi.
iiilijjjlesiiiiaux :
pour tiue
hut s(.>it
encore tiue ^es
aérations inailieiri.iU
lue
exlraordiiiaire raiiulit^
opjr.uioiis
lisent . \ raiselli
blabl
euielll .1U\
i.itre
coiuiuandces ei c^adiiitL
jsensilils lerniinaux de cert.iiiics iMrties
.;ille
lûCVStfcs
elle/ les \ertclires supérieurs
loiniiie iiarliculièj-eiuent par les iierl's du liiii.içoii.
iilïen
in. soustraction, uiiilindii .ilioii
si chose
les ir.
jrlebres e\ciuslve-
que des niUslcieiis excii
d.i
la h.iuleiir .les
Il -IN-. \KiruMrri<jrK
jorre-poii.ljiit m rap|n.rt ,ie i
demi t
1
|UU .lient .1 uu l'i'
; l.i .lislance ,|Ui
Jli ilhbleU-ts Ulcsl
e les ibres de t
par dt
siip[i.i;lste^
lit toutes
< de UO'
.'t des !
dautes pcuir établir avec
In
ics-c iious savons reconnaître
plus iriiiiinies
i: iw .', .'.''. pi l\ I
>!,■ peut pr,'ii.
Cette .ipnti
ir l/iic ,1
'nii.^'"ii .
ilp.T.ltl
,l,ii!t el\h iiit,- n'est
eir.
.-iL
-eih
i/y.iti
il.ibl, iii-iijne Si
I i/o liaiilenr^Ue
l.i
itniji^saii,
,1e
ries ele
Hleilt.lir,
l'exceldioii des sens. liions mil lediates de sU
perce j'tii ui-- de temps reposen
nous sommes aiitorhes a conclure
tellHi^
trou\e en r.ippoii
iig.me sensoriel aritlimcli.|i
l>
e même
que
les seils.llioil .
r
ippareil .le- canaux scmi-circ
ni
ou plutôt nou~ 1111 posent la représenta
di
mensious.
de même, qi
ceiU de leiniis.
jsl a-dire la
luree du temps . nous po
dan
l.'ort;ai
iiiiv.ireil semi circulaire
e sens
Il de teiiiiis est tonne
lUi. il^
./.'/., //(/;; a\ 1
j>t .iile
1,1 Lonn.iis-
rieiices antérieures oui mcuiUe q
seiiu circula
resdoil ëtr
■ mciri.|i
N
lUs X elloUs
NO.xiHKI. ET IKMI"
a 1 ooi vibrations. ( ^esi
une grandeur plus petite
orti
Depuis
perceptions de temps, faites
-lloli
lies a rexcm.l'le
les ditïére
de lei
n iini.io.in .i ei'nJiiire .u
/,7.;.^ Jes .1,
Jelù .Ile
riiii n.iisiiiis nei-
t>.>i' lin
sensipi.
erl.iiji iioni
hre
,., .ihliite .j .i.liiielt/e iji,
! .iritliinetijii
Je-:
'IIS dire, teineiii
Jn
il. (
•OUI me. .1
sioii, nos
sur celle Connaissance des
lUe-lc
ills du
lon^lioiinel étroit ,ive^
Jet
trois directions, dues a
nous rendeiii
un espace a trois
uaiil aux deux-coniposaïues du ..nn-
iireeli
:l le noiiibre
pour
UVolls localiser
la seconde dan
l'i
s le limas'on
u leinps a loiic son sicge dans 1 oreilU
par I asso
.'laiton de
-P
lions des /(.;;//.
du nombre Nos
appareil
ère coin me I
■ rgaiie sensoriel
.k C
• rti
(!1?!
•P
leut rc\ ciuliin
tuiilc.
Iii-.|ii a c
;- Lierili
lires artnées, même le^ a>.h ersaires
oriiiiiie .( pii.ii I di.
iJmcltaicnt tacilcir.J-iit une le
'|i
lliil#C c>\<\'
pur produit de
dinaire desscieiues iiialhcuial
«.'elle iipmiun. sans |
pemem repii>ait iiu
le
lus ^l^ll>les c
rt I
.. pi
?eIlS 11 avaielU JuUe et lie JijuaieiU aueuii
Au preccdeiiteliai
laiis IcMpi
les 11 se aiiuc
iij)iiU''ii i;ciicraltiiie
)ll\ Ktl'HI
la pi
plU5 1
dai
Ils llnU'e ciiM-ien :e .; filuni. une plaee Pnile dlllereiitc
dev.
iplc
du il
voii> Imui a lail lui
iiiiiiui eiiiir
lu teInp^ une cirimu
'1
:iiit. la
iK.inhre iiicrile a i)ci|ne la
lord
re du monde pnvsuiue rcpo^e
ieini.iilrtr la \ a
hdil
plieiiointnes .|U
)'autic part. pa.-. i
TiMcg E:r i-i'a<-e
être
rgane du sens anllimé-
> représentations d'espace et de temps
it. I.-
A de
si
nombre et, lit un
>|i
de\ eloppemeiu exlraor
avait suili a iaire adopter
Ils ample iniormé. (domine
dcvel,
uitc-tahlement sur des opérations in le 1-
leluail .|ue dans Ces opération-. intMUe
pert e|itiwns
tre [ihisieurs lettresde< jaus~. s. ■
inoii sans reuret t. lUtelois.
it admise (. est ainsi .
itinic esl
la thé.
e celle ijui apipartieikt a la pwtc théorie des jiraiideiu-
jite
,iee a,
.N,
naître t ii tcuite humilité
[lie. si le iM un hrc e-t
e llotce es
iril.
espace a
lehi'rsde 11. .Pc es|. it uiil; re.illtea l,i.|Uellc lunis ne p.
.u-
'jiiis- admet
. .ser .1 pi'inn ses lois.
nie .|Ui attribue au n.iiniire. .I.iuc aus-i
•'P'
lit.-
>ur le naturalisie
■M.TU'iiri
iseussi.iu. ctani .Ioiiiil
de- 1.
Jpace et de tellil
•P
-Ik
r..ri
sati. .us
jt perLepn..ns d e-p.ice
sèment inalheiiiatKji
gine pll\ siol.iiii.pie des se
de temps el .le iioi ibre 1
recherches pei sonii
expériences i[Uolidiènnes |inn..iiilirables peiniellaient i:
It lestée lllCiUinUe |U-.piu lloS
-■pend. lut des (ibseiv all..iis et .les
brab
ekl.
is el par
ll3e,|Ucnl li ré.iliK
'K'
>ii\ eriienl
.|tl a la geoinetile. nous lie pi .u\ oiis
II; SENS .\KiniNiF.ny;"i.
impo-er coiiipletemenî a la scu nce des nombres, c est-a dire
a l'arithmétique, se-
ip,
règles de rarithmelU|Ue ..lit le
ir \ a leur
de 1
l tieolllelne e
ucliJ
Ma
:s b.ib obtenues par d
ne peuvent prcteiulre à une \
tioii i[Ue leur origine -e trouve
|U elle- puissent être cnliruie^s e.xperimcut.ilement
lui \erHe,
■les et les
.Ut
lUlirises en euv
raritlimeti.|ue ..ut
ton
.-t d
es perce(>tlons
sonores et par\eii.int a notre c.nscieiKe, le- premiers clé-
ments des r.ipporls uuincri.|ii
leur s rai ca
d années .lux
règles et les
iroccssu- e.Xteru urs. et a eu et.iblir ain-; les
1- obieetives. l.i s qu.itre règle- elemeut.l.'.'e-
de. 1 aruhmetUHie uous -ont donc
lioUs sensorielles des tihresUe
spécialement accordées p'
.ur .
du d'ab.
miiiais..u- iierv dises la capacitie de mesurer u..- iini.ulsi m-
motrice-. de constituer la ph. .n.- tique et de développer h. .tre
l.lllut Pieu des lUliler- daillie
rii. .mille a|.piii a uiiii-er le
musi.iue et a rei.
.nu.iiire
.iiis le- rapports iiuim
'a- l'iu
auUcs 1er. lies.
tioii. dues a l'apii.ireil des canaux seiiu-circulaues. ii ei.i:^
desiuiees oriuiuaireuieiil a
juclidlenn
lai
.i
couinie -ciellce. de lueiue lesseil-
hari
11. illlqilc- u av.Uelll pas a .1'
r le
11. .ils I.tire developp.
geomelii.pie des canaux semi-
\liMBRE et TEMl-
li.ndanventaux
qu.itre
absol
Ue
rations intellecli
aleur abs<
.lue
qu a 1.1 condi-
dj
in-
expérience, sensible ,-t
'Ui nous imposciu
.-traire pr..ares-i\ eiiuin. du
ro\'oquees
par L
s excu.it;
a k
rec. .iiiiaitre d a;re-
lii[uer duran; de
mili
inee- .i>ar
de r.
• ri;.liie
!"
(...rti.
riaiii- n.'mbre- de \ ibrat;.iis
■d aux excitations v e ces ter-
.\ani
seiisatii.lls
1 harmonie, qi
riqUcs .les
.[lie les s
eiisat!..n-
OlistltUtioll
le la ueolUu
Jlllaue
• ur b
u; de uoUs t.iire
de lu
.u de
es edil.ilions de
\iax\vc; 1,. -eiis
el le sehs ai'lthnK-
•*
tl
'I'
■ EMI'> FT FM'AlK
l'i-spiu c cl II tt-inp-..
1|. lire l.lll;i.i;Jc c! .ic lli
.l.lll
.luti
.1 la c. lii-tiliith 'Il
de 1,
.-s ai'N p
i-> dciniis
\L-ric-
( haKic
v-iie/ Il
i-.li lire i,en icitiK-e^ inatliLJiiuiliiiUf> chez le
i~. les A -s
'1'
liais ,ance> niatheiiialii[iic>
m cvt iinpi .~-!hl
. liL-. luaL
leiuc- iiati relies
UjuniiL par 1 In^l.iire .,u liével' ippcnieiit de-. scieriLes matlie-
niaticpit-. iHiii~
.pu 11 •rlilie iii,ij-(
inclric Lt
lie leh)ii> rc..>(;jrtir que ce rc^llhal cainta
Lioctrine lie Torigine sciiMirielIc .le la gci
reoiiiiiait ,ai|.UM\l h
nialiiL iii.ili.pic >. 4.irii!
iiiLlrie cl ic- rLizIcs
ii.ithem
\ rai âiue
irif^iiie cirr| in.p
1 Urgaiic- >cii~iirii
lair
ir. ils l'airo
ialiDii^ loriiiaii
1 la
iLiniic em
..ik- Ll.i.iL- ÀC
Ill.èlL
•"'!"
,|(ii [1
iMiii.iilrL 1 .
.1 a.
renl il ahunl a notre •irieiitalion .Liii-.
;1111>1 i|irau plein ileveloppenienl .le
ire \ oi.x ( ,e n esl i|ll'.ipi
iiilijgi^ni.iue-. .|iril-. noi
\c> Illllller-.
>"(iii.uii>iri.iit
iiialhéinali.pie. a la Lreati.ui
e la niUM.|ile
.lelll
.le. 1
e^ niiiunrel|..e-
.Ic
, les' |-!L;\ptiens. et parlu'ulù-reinent
relit tdiite-. a>se/ elaireineiit r..ri,L;iiie
l'insiNter ici sur
U
iltats
grantl intérêt ipi iK présentent ineiiic
.iinientatioii *i rielie.
1 arith netuiiie ('resiiiie a riinaiiiinitL
l.iri^'ine e
nuiiruiiic
,ie
eut en ee i|iii ediiceriie
la ne
palerr|
•lénicutaues lie 1 arithmétique, il est
itieiens n eiiteiitleiit pa> toujours par
• rifiine résultant lIc l'expenenee
/ //.<,, comiuc lé ]ih\ siologiste est torce
ue personne = avant moi n avait en
M
s senkatioiis
LJe d\
il
reL-tioii provenant
naux iemi eirculaires eoniine les scii
lIu
incept LiéteULlue, sans leque
irii]UelLie nos representatlo
1 c.
j1 ï.
.ic 1.1 Jl
r, de .\1 (loiilLir.il cl cil p.irluiilicr le.
urt.ii.l .licuhc .111.
dciiioiitrcr cXi'.
pu>i 111)11 nitifpllo'iigùjiic
vlca Uni. [>,
d'rc.tiun>
.irJiii.ilc. de 1 c.[i
de Ic-
ir ^^:x^ .\kithmI'. rnjrE
ne peut tenir ilebo ut. Je nie nie, a ma connaissance. i>ersLiiine
pas même .
■ie que nous
lUsqu Ici.
llivpoiliL
liautciirs lies soiis. une source
conduire p.ir abstraction a la
Il ise be
SOMKKl. f.T tKMI-S
liiiliolt', 11 .1 einis une seule 11
les sensations
liions
tormatioii .lu
i|U! peuvent
.'onceiit lie
sunMcn.uite eu
nombre ( est la ui
soi que le lait de poiuoir atlrib^ier aii\ sensations euianaiit
du lai' V i iiitliL
d
■ niliaissaïue des iioiubres e
.-t de
lond.uiiciua
les de Ir.itlllilétiiUle
le Ll i;ei:
concepts de nombre Ou une parei
Ht
iéi.i tombée
savant^
lia di 'lt d'.iuiant i>lus
l'histoire du
de
.(.,
s irpi eiiilre qii a trivers toute
niclll des 111 itiielU lliilUes oll
voit Soin eut reparaître
.t les matheniaticieus
ports r. iii.iri
uablc
et celles des iiioUN emelit~ pl.niltaire
. qui evisleiit
1,1
IMIia-.
lUl a ileteriniiie e'iaclemell
lie relat
k
.ells
itioii cau-
des iioiiibieuv
un l.rili
les phi
Ir-,
onsi.lerations ~ur
entre les lois de 1 haniioiii
itl
es r.llM"
1 hariiu iiue musicale et li L
n Pilleur
pcaucouii d .lutre
lui
iihc~
.1 la musique une imp' irtance
tre
tendue; et Cela iMs à caus.' des jouissances esthétiques
iiiic lions lui ile\ ous. mais en raii.oir
particiilieris qui seraient niliérc
porte
devaient gi
ont pa
jr lit iiiuver.
-•Ile
iu\ enter le iiionae
di;^
\ iite
-t d A-
• rdc
.• 1
vibrantes, et
ui, ont attribue
que et meille sociale
torces un utilities toute
es premiers ton.
lui aiissi. a exprime
ide
es
.rdr
lu monde! Tout rlicemmeiit
assvrieiines lur.ueiit ete trou\
iioiiibre célèbre de l'I.iton et
interinetatioiib
nies aux nombres et .ioiit 1 1
de 1 harmonie des nombres
(.es aspirations uusiiques
en ( iréce en même temr-s
e la iieoinetrie. t^oiifucuis.
nalûgues sur la musique et
u aboutissent a
- uiscriptioiis
;s qui represeiltelU delà le
ui égaler
commentaires tout à tait
mystiques.
Dans rantiqiiité. preires e
t \f
lllosoplie-
Consideraient l.i
î
n
■ ■.'•
jtric el 1.1 llu.
il l.l
Il iK-rwher i la
1 ctiik- |)|iilM-iiplil.|ll
nciiUc- u I. - il II 1.--1 Jciiiiièllic
Ail'
de l'vtl
: U- .1 \ .1 1 1 1 I
■lix lie -r-
>ll-.-
iionibi'i-'î lui ,ip|>li.|ii
.k-> -ui'lacf, il ,1 lie-.
1.1 m-uiiulric .ri.iuli>
.iiip >iii\riiui -ail- cli.i
L I Jii-cr\ er.i l' Jii |i >ur-
Uc-pill-
llltrl
mu ou ireiile an-, et iii.ili;rc
o- uec >iiK lrt-> I
-impie, iiiai-
,k
,'i-i\
.-llllc.
m -lir lc^ M:fll-alM>ll
.■1 .,./
u I anilii icliiuie, a\aiil uiu- ..rii;!!!.- .m il .t; ne.
tiar.lci'iiil ti.iii'.ur- I
l'ciuiaiit .k- mil
-K itii- >.iii pliili.-.,)
mimhre cl le- mer
soulever le \ l 'lie m\
taU
iiieill i|Uc iic/U- 1
irgaiic
-.ellîLiru I- q
activité llli itruc. el
e dneelhiii ci
rabi
M>1
dent pi)s-l
-1 i|lic la
c vKl'.iri.
at
lie eteriiellemclil
isVeholiigic e-t lll^ti
ihl
irohleliie
1.1
esp.ice et Jn temps
lie- iiMiiibri
L'urid-
te puhliq
■ mine uiir
bluiue
-Il
(.
atoll
li-ail
A I i-iilr.e lie
- mni-, " Nul
elUlllle lelUelIlen
I. 1.1
iaiis le il.miaiiie publi. par la irilnsnii
dite ueometrie.
1.1 tli
pour 1.1 première
.olllen.lit iie|.l le- eU
.1 iioii- a eie traii-mi-
lii-i|i
lj;emelll et avee toute -1 \aleur .pi elle
mal
illtc-
:\ ei a loh
-U|et
1 cUitlidleli-, I I eela p
iilltj -e- axioiiic- et
un
,tn. unies
■llilllloll-
- et le- pel\epllo|i-
l)e
iiatre reti
le-
ur valeur iiileuralc
ers dumiee-. m\slKpie- et llle t.. pll\-
lé eilîvaiii -ur les vertus -e.iele- .lu
loriiie- jieomelrique.-
stique qui axa
t -I I.
llgtcllips (.>Ki
la
il a -iilli de .iemoiitrcr evpenmen-
doiis. d.uii le lab\ rnitlle ,1e 1 orelll
ill\ernellt toute llolre -plie
qui. ]>ar I nitcrmédiaire îles seii-.itiou-
|i|iareii- de ealeiil- parheulicr- itou..
rieiitaltion
nga^t
I e-pac
liiimaii
el I
(elle
e temps.
eliccs e.vpcnmeii
Ulic
slérilfc.
ans le .loiiiann
laphy-
.ie la
IKtIve au
haut
liieeins du riiilinl de
origine de m
-l en relation étroite avec lesqi
II; ^^.^s akiihmitkiik
que iioiw \ eiioii- de traiter, le
Idait a iii'- repre-eut.itioii- do c
le
non -eiilei Kii
II 1
lallte- d I
-paee
immen-e
:\ .le tellip
.-1
Ulde d.in- le
yr.K e m\ ■
-emi en eulail e-
•iisaiioii- de direetiui
e-t en cttel
de\on- llotie repre-elllalloll, ain-1 que
intini
( Jti\iii,'i! ,
f.ir
indivisible' ri iHiiniL-
.\ii\ -en-at
M'
• iineiit la eoiiiK
Ils notre eoii^ej
il de I inti
ib
m au — 1.
loppe a 1 mluii.
liieii Lleei.le de Ile pa- ab.iiidoii 1er. amant que taire se peut
le te
lin solule vie la plu -i(
.1.
(«s -ur le- lu pothe-e- p-V
.1 la naiiue
peree
liions >le ti
les iioiiibreii-es tentatives i
scr.i .i'autaiit plus l.ieile ijue
laiis
derniers teiup-. ont ri iiouee a\ee r.ii-i
prématurée a I
riquc
et nalu l-le-. ,lu I
e riM-ultisailec el
del
pi on -e trou\ au />
si une intuiliou pure .( /"'Vi'/
repr
eoUseleiKe
realité <diieetl\ e
Les ps\ ello-plt\ si
erés a 1 eUl.ie expi
NelMl.Sil Kl T^;Mi■^
U^
keni.ible obstacle k|ui trou
t iiitini. c'est que iiou- pér-
it 1 el!-'''lt e-pace tactile.
.ice \ :-Uel 1.11 re.llite. le
t une niiporlance bien plu-
■ dai
due'
ll>Ucher et la \ Ue.
app:
-ell
L-- -ellsatloU--
du lel
.les nombr;
ip-: parce
n es-eiiee même. Peut
c c\pi
lu.-ph
iutale; je n in-i--
oUUille- relatives
ip-. li\'potli
-c- -u.
-•ree-
e me-ure
Cette abstention
a plupart de- psychologues
iU couune
llticatloll de pareilles ll\ iiottleic- \ leTor
ne longue dl-cu— mu de' -olutlous (q>po-ee-. eiiipi-
c au teinp-. eu ,i\.l;t delà-
lUts
etail arru e a cette
nie ut to-rc
Ce de -cil
ilioii de Kant : " L'idée d e-pace et .le teiup'
.Mai- \
;seutatn
ip
mille de -liu[ile- c.ittgories subieclives .ie notre
= 11 \ rai sa\aut. il nt .ioutait iiuljemcut de leur
■gistes plut- re
mentale des
lUi se sont cciiisa- .
T
-i
ir
iniKii-i-eiit tiiii
^ l'i
illUlUcllt
|i.iu\Mii' cii-uitc prcL
cxpéiiciii-cs Mallicui
tciiip- ' c qnf les lm^
.ippclU-iil lu-lcinciil 1
W
uiuit l't par
M.
IclUP
Hi.-. une
>ii;nitic:i
li..ii .It
c 1.1 ici i\-ciiUili(in iininc.li.iu- Ac u-iiipi.
.■iili--Mii.-jil av
iitali
l.i ic-prcie
a.,b
cini p.ii' a
b-
-«.'lUatiMii- tk temps \
pS\cllU|llc~ .pli ■■ ce''
certaine-, p
lUelil .i"li
1 etciuiile
ticllicilt
.111. MW de
tell.
;llcLlliail
t .1
-..lit =. .uiiiwe^ a
Peniiietre naturel
p.irtcc e-t deelsl\c.
et I1..U-- 11' .ininuiii \
e.nitenu .le l.i repi
/'.M, //../.'t'/. , 1 111 p
(minime mainte at
:nt>
le..
lace
et
reprc5eniali..n inim
.h\-iA
,(jîll les
.lélinitivcs >ur 1
l,.,m>tc
:lio i)h\
"■'K'
et
te 1111
)s ne satin
est la psvelii
'gi^l
tenue respolls;
M'
er p
sibilité lie créer des li\p((llicses
e Jc-tenniner aussi scienliti.iue-
ts des valeurs de Iein|'s, sans
lus sûrement les résultats .le leurs
iiKep
it. il
s siiiit meine Iciin
e n -
t ^ valeurs I
;t Us .lelillltK
l> I'. Scluimann. par exemple,
.i<i<)ii
ips.
-t
.11^1. 1ère par
rcpresent.ituiii iinine
iiate
iiscussii.n sur 1,1
clarté lellort persunnel .i'.icc.iin
■-ubjectixe de temp^ au ciicept .lu
,ti()|i. W'midl cmclul .iiie les reprc-
It elle deriines
I'
.les 1.
lient reiiulicreinent. mais
erminees >
ibianémeni.
illt Ci.ll-l.llll
.1 .pli
m iiariie
I.Minatn.ii, en partie d api
ipres
le clian
limites a une et
en. lue d. Minée.
apports de mesure Ciiinpar.iCile
bic
1 Ces repr
éscntatiiins de temps .Un
1 la
le ii.nniiMMis 1,1
lu teui|is.
du
u temps la mesure
lu
./.•/■ /.//
tre
'iT
iniiiii de W'un.lt evtraite .le ses
te 111 p^
.t deia cltec, se
s idées sur la
diate lie -auraient s.ilislaire vraiment
m le ps\cli(d(>gue 1. impossibilité ■•n
siiiliigistes de donner des explicali.>n-
ne et la nature de nos c.iiiceptsd espace
u leutl être imputée personnellement .
hv
si.dogupie elle-même .pu 'iu
doit en être
AKirilMl.TUjl'l.
S.iMi-.Kl; ET TKMi'
>)')
i.
a P'
liolot;!
l'I
.'Ultlt
t.lines méthodes pli Vslolot;l.i
instriinieiits emplo\es, ne sont
et sur des .léllnitiouset discussions psycluil(.)guiue
renient iiisiiili-,,iiites au point
début, la p-.\ chol(ii;ie plivsioh
stérilité pis.pi
la pi
origine
lie iio
ivsn
eut: lions
st
cil m. ;; 1
leroiut a\ ait deia ii
X,
aiouleroii- ICI encore c
peinent .lillereiit .les deux organes seiisor.els iic-iieraux
1 ui
une 11. >s lornies d i.-space geollleiriiiues. et
1 antre ii..ii- loiiinit la coniiaiss|iiK e des nombres et des r
aritlimétniue
lall
leinaticieiis
ont
les
autres pour l'aiiaU
surti
et c
.-ul
selllelIKU
t. lu/ K
.iebulaiii-. I.i
s inatliemati.
ioUietrie
leii par e\i>erieiice i[U ,1U c
c partie des
leinoustrations
selileiit lexac
raccumulati.ui
t pli
superilues
. etolinellt
ilistinmicut generalenienl plu-
ie
- dessins ge.nnctri.pic
jomeirie d.iils
>ace
r
1).
s'assimilent .iilllcilemeiit la
tlii ils se montrent licureii-eni
I algèbre I a trigonométrie et Iji
olheiit. en yeiieral. un attrait
le m
ilgre la tines>e Je
louiour?
i-se/ preclsc-
de \ Ue scieullti.pie Des le
giquc était coiulimnee a la
dogi.e eut résolu le problème
.ment
mot- -ur
iium \o;i
.ieveU
jiit
• m
lit .pi H va.
-u\ e-pcv
es .le
ut doue- ;>our la ^eoincin
tle dllïerence Soli-er.e 11.
en- l..rme-. mats méiiie elle.'
lie nialliemii
iiimeiu eliieiit
.iislderciit diurne
i un
and liouibre
itude p.ir pure iniiKtu.n et
de- IMeine- ( .e- e!e\es Se
hab-.le
dau-
et par leur laci
Ute de
roui prendre
, dessillent mal et
L-scripu\e. taiidi-
ellt doues p.iUr le ca
e- tlic.irie-aritliuieliiii
particulier
lllterellic- sont ll.ltlirelielllent bleu plu- Iiappaillc-
;rands matliematiciLiii-
.\
111-1. parmi
(leiu.inn et hertran
il- avaient l^e-oin de 1 liltuilloi» des seils polir p..'UV..ir de\
.'t.lleiil -urtoltt ueometres:
m
> PI 1er leur
.riniti.
nW
.IVlTïîloll lulUc cpc.
I .11 de d eilU.ltli .11-, .1
:ac 1
Jomainc iirelcrc
.V.
-L-r\ er 1.1
ir~ Jt- Hi.itliém.ili.
a uciiiiK-lric anah
licuiuctre, iiK-iiic i|u
llolliltr. Doil/lliailll.
1 c\ ait oii t.|iiaiiii]i-,
tru
D
la\ A ell .|in <.\>
■ eu pll\>l.|Ue
illi 1 et. Il preiL'UI
ilil lali . niitlie de le
viMi-cuiMaiu c .|iie
>'eileiii iiii appareil
lierciueiii parlait c
lre^ devel'ippc-. p
direèllKli. ( lie/, lei
-lier^ hchl a \\
luh
ah->lraiu
ri .le
nrj^aiiei Ilcr'ieiu
du!
lJalll^
P'rciiiier^
h 11 1.1
les !iC<.i>IuU
I ,el alllre I.lJl 11 e>
de jj
.11 de 1
I-. liertrand. île .Nln/a
parti ùil il hieii i . .11111
Tl •^ll■^ Hr HSl'.M H
déductmni
I)
iiltre-,, au ccjiitrair;
cier-.tras^, c\ liaient avec une ceriaiiie
d'intiiitii>n
e e-,t
al\se abstrailc.
.nipli>|Uees , .un e
l.ul
jr-i rejelicrclies scieiililuine^ reii> I'
dilter
elice elle/ llle>.
dcn
.\ prule-
c prutesseiir
/oUr
nu ni initia
tique il l.eip/jf;. en l^(l7, était un pur
iiid il >()eeiipail de pll^^l.lUc et
[111 me diiiiiia a Vienne, en iS
.i>lr.
lUfir.ll cl dille-rellllel.
l'ad
iJniiraliun
les eiiliatloll
n.iit ifrineipaleiiiciit ^..ii activité erea-
le iiiii eiiiinaissances sur
le- 1.
ilk
peut preMinier
.pie
;cu-v .pli -...m -iirtiiiit ^e..irielrei p..-,
de Lifiiaiix senu-eirciilairei paitien
Ici centre- cerebr.iux currespciKlant-
iir la percepti'.ii .le-, -cnsatioin de
ii.illienialicieii-, .111 ci.iitraire, qui ne
leiirî proWeiiic- .|ue par de-> grandeur-.
u.iticnjs aii.iU ti.iLic--. la -.truciure de-
.11. .1
mil .lUe d
es centre-, cérébraux'
;lrc d'une liiie-.-.c l(.ute
iale (dit
niin. I actn 11
-Vilenie
.•U\ \c-.tl
Jelle .lu -\-l
eine nerveux
'a- Ijl.illli t.illllll .|Ue
Itil
.11
- niu-1-
.iiinie le- .ii.ii- inallléniatiquc-., -c niaiiile-.teiil chez
îiilaiil- de Ire- boiiiie heure. l)an-. aucune autre branche
nie heu
irt huniaiii mi ne in.uve .It
;xciii|i
te aui--i cx r.i..rdiiiairdi .nie teiix de l'ascal ..u
l ..a lIi
Hi/ct.
de 1
curieU-c-. elle .re -.
naiidi esl cite
Il le-. ..li-.cr
..-. .VKITH.Hl.ri.JI i-
N.IMHKK KL, ll.Mf-
laites sur un eiilant Je
u.itre an-. ( >tt.) l'uliler.
dwiil .Muiiipr a d..iine une très liiie an,il\
Ind
nient de la nieiiioire Je-. iiDinbrfs, l.
epcndaui-
et d une iiilellii;eii
ce cxcepticiinelle
iK.uibresen lel.itii.ii av
ut a tau rare a son âge,
pour les rappc.rt- des
ec certaine-. iiiUMc
S-U.1I-- V1-.
uellc
enlaiil se
'nip..rl.iit d'une lascm tout a l.iit singulière rela-
ti\enieiil a 1.1 inu-,ique U ela.it d ui
nialadiv
d âpre-.
-■n-ib
lllte
presqi
e |).iur
uSlmL;U.iit ire-, liiiciiient, lu.ii
rni hauteur, mais d apfes leur
ds
un suij gia\ e pesait Jeux cent- 1
seuleliu m
lait 11
cxcit.itM.n-, siiiu.rt
parai-.--.iit au-.-i
e -e rattat'hait-i
e-. sur les (.rgaue- nioteu
.■iiib
aussi
11
-Ulait a\ ec depli
inais-,aii depuis longteiiiii- ; il pleurait en eiilend.inl
.T di
,lq,le
pouvait
milil.i
1. exjilicalii.ii -iiupoie ; le -.eus mu-.iL;,il et le scu- math
in.itiqu
.ni n.nclion .
poiirr.i -. étonner d eiiteii.ire de-
parlcl de 1 e-lheli.lUe de- groU)
uiiinie .le- e.|njtion-. Pour ap
dr
dl.le
ili-lJeroii-
c e-l
.rcll
. - estlletlqilc- 1
Us llllUl.-
I. liiii.idiuiii .11 du problème J
M'
.le
cxiierielices -il
pour lui
un -on aigu, une livre
pa- a riiitlucnce
louluureux
que certaine
isir le- calcul-, même ^eux
iup|>>.rler 111 lorgne m la
un mené org.iiie
lu- a un prolane
111.1 thcmallcle 11- pa-sioiiiie-
llumeri.|Ue-
ud
ou de riia
recicr HUlicieiiscmeiit
ill
einciil ,pi elllre lui- le
ui iiou- iiro^iire
le
diate-
II teint»
r le lab. iiiithe .le 1
A .1
u iiouihre
lllr
11.1 p.l- m...lilie -ellsibleillelll 111 a lllcrle .le- loliclloll- de
1 .ipp.iuil'seuii circulaire pour roru-utalioii daii- le-pace et
r.ile
irgane du ■
phi-
in- un précèdent
\ ou eUai.lire i , 5
Il -iiint .t.. lu de rappeler ici e
/ ( '/
théorie dcv c
r- et resumec
n .|Uel.iUes propo-ilielis le-
.[.iil cxtr.i.'i a>ii.i:i.j
r't^u i
y!
points CSSlIltlLl-i lie
Mir Icm|iii.1Il-s repus
cl Je lliilllbic.
r I. Orlelll.llii.ll li
i-cpls lie temps, Je I
la lonn.iii..ii de im
pnilcip.llelllenl lies
;■ Pdiir la simple
sensation Je siiecessi
Jialc Je la Jireetion
pllellcilllejles exterie
tlcills lie iKis eiii.| s(
lappaieil seiiii ciii
Je eelte JneetHill.
V la Jmee et la
essentiel piiiiir la loi
\ lenilelil a lii .ire pe
ou par la mesure e\:
la successiun Ldiitiii
-(" l.a loiiiinuite J
ec lait ipi il n'x a pa
vide Je temps Jaiis 1
s) slenie ner\ eu\ sell
lie saurait non plu
s' 1-es parties Jii la
activité iiiotrice par
des iniier\ allons dis
cérébraux j;oii\ crue
pUlsi|U elles rcj^lelll
la durée de ces iniu
tincsse de cette regll
chc^ 1 homme la lor
«. 1
>niiaissanc
niesLire des proccssU
salions cl Je notre ac
ti:mi s 11 I si'.\( K
:tte tlleoiie Jes lonctioiis Ju lalnrintlic
.•la lormatioii Je nos concepts Je temps
iiisletcmpset la lormalion Je iios con
leme que rorieiUation Jaus I espace et
s reliresenlallolis Jespate, Jepelldelll
lonctioiis du lab\riiitlie de l..reille
.rielltatloll dans le temps, il sllllilde la
m, c tsl-a-dire de la ]iercepti,ui iiiinie
U temps dans laiiuelle se Jeroulellt les
lirs. i|ue lioiis eoiiiKiissoiis par leSseiisa-
s spéciaux ( est au loIKtioiiimmelit de
lairc que iious lievoiis la coiiii iissance
liesse, i|UI nous lolirnisselll rejelllellt
niatioii de nos concepts de temps, par-
cepiicin |iar I évaluation ,ipproMniati\ e
clc des l.q... ,1j. uinps dont se Compose
le.
; nos perceptions de temps résulte de
> d'iiitt-r\ ailes libres, c'est a ,|irc pas Je
L-s eXcitalK Uls et les seiis.niolis Je liotre
^llll \'ll 1.1 nature Je ces perceplions. il
tre quesliou Je seuils J c\cil,ll|,.n
:n rinlhc qui règlent J.iiis lesp.ice notre
a mesure et la .graJuatioii de 1 inieiisité
ribiiees auv muscles dans les ^entres
1 aussi nos inoii\ eiiicnts d.iiis le temps,
l nicsUirent ex.icteinelll 1.1 sikcessicii et
rvatioiis. ( , est Je la précision el Je la
latioii et de Cette mesure ipie dépend
nation du laiitia.ue
• des nombres, indisiiciis.ible pour la
de temps dans le doinaiiie de nos seii
tivite motrice, nous esl lournie par les.
Il slNs \kllll.MI lUjli; : NUMHhl. 11 ICMI's
excitations sonores, corres[Hj|idaiit aux sons de d:\erscs
hauteurs, des r.uiiitlcalions ner\ élises tinales dans le Iiiilk on
et peut être aussi dans les otoc\stes.
7° Dans les centres cerébiaux, oii sont traiisinise-> et
emploXces a des mesures ces excitations des terminaisons
ner\ eiises, nous possédons de \ éntabks appareils a caU u!er
Aussi peiit-oii appeler le liinai,on IVirgane Ju sens anth
tique, par analogie a\ec le sens géométrique Je 1 appare
seuil circulaire le rôle que les sensations de direction rem
plissent polir Ce dernier organe, les seiisaiioiis Jes liauiciir
des suiis le remplissent pour It prenne
S' 1 .1 loc.ilisalion Ju sens Je
Jaiis le lalnrintlie Je l'oreiU
inecanisiiie Je leur louciionii
ph\ si. d. .giqiie si.lide .1 1.1 Coll
d aplcs l.iquelle ^es sells sont
sensoriels géométrique et arill
" Mil\ r.-i!.'r.iii \ iii.iUl'iiuI iqii.
aux organes en question, ap(v
|il-te presseiillinelil de l.i reallt--
.) les recherches siir Ion
ilun esp.ice a trois diiuensious. représentation resuit. mi .le
l'esp.Ue et du sens du lelliPs
t ta mise eii lumière Ju > rai
cillent ont Jonile une base
eptlou qe \\'eber-\ leroidl,
s seli- lielléraux
1 tant que ce loiu lioiineiniLiit e~t .issiire ^par lès org uic
luetiquc, la Jenonnnalloli de
N «y Jolillee par tes sa\,iUts
r.nt Comme iiisp.ree p.ir un
ne Je notre rei'rLsenla'.ioii
>erceptiiMls Jes Ireils vlireclious
C.l'rJinales. pr. -x o.| Uees ei
me m es par les excitations Jes iieris ainpul't.iires, m., m Joii:ie
I occa-ioii. il \ ,1 une treiit.iine
ile\oiis 1.1 lorin.itioii de notre
ni sine du l.ib\ 1 iiitlie de 1 oreiU
le point ( ) du sv sieme de
lormé par ce uiecaiiisine iioit
Conscient 1 .1 localisaiiou des [ eric|'tions de temps, et ;blie
e 1 irigllle Je notre Conscience
ut élargi la portée ps\ ^n..
précède m iiieiil. a Coiitirnie ce 11
du iiioi et en a considerableui
logique \ I or ch. III, ^ s
Il esl Jesonnais incontestable ,[Ue 1 oreille est le P'ill
i'a 11 liées, J alluiuei que il -ils
CoUCIelKe Ju llioi .111 me^i
s coiirJonilees Je Desc.ir'.es
corresii. .lidrc a iioUe '/ u
r|
,!^
il
'M
iiiipci tant lie tuii^ 11
cràiK-, iiiicux proti-f.
l)éri|ilKru|iics, iiidi(
■^1 pariitiilicTc et si c
■'1)11. 111.11-, surtout c
merveilleux de liiu-s
labyniillie iiieiiibr.ii
la \ ariete Je ee-, liiiu
tiiiii^ .iu |,i|,\ ruitlic
i esp.Ue et «.lu selli i
listes el .ui\ |i|iil(jso
liielit [lehelrer Jails
Tl:.\|i's El i;sl-.\.,E
'S urt'.iiies des sens. .Sa situation dans le
ec que celle des autres organes des sen,
ne de|a cette supériorité l.a disposition
>nipln|née des appareils conducteurs du
;lle des appareils iier\eu.\ ternuu.iuxs
,e et presque imtiosslbles a denieler, du
eu\, répondent iiiorplioiogK|iieiiient a
tioniieuieiils. la Connaissance des loiic
Je 1 oreille côinnie orj^ane du sens de
u temps, ouvre largement au.\ natura
dles les l'ortcs par ou iK peuvent .llse-
etUule lecoiide de l.i Me psvcliique
DEIXIEME PARTIE »
CORPS, AME ET ESPRIT
• 11 Al'l I K I' I 1 1
LA DIFFERENCIATION PHYSIOLOGIQUE
DES FONCTIONS PSYCHIQUES
i 1 • I.\l KoI>l 1 TION
Ari-tiilc Loiisiderait l'cjuie et uiine le plus intellectuel de
tcuis le- sens, l t ccl.i a cause de --oii rôle daiw la toriiialion
du laiiiiage et vie la voi\, 1*1 us J; deux mille ans .ipre^ lin, la
pllVsiologie i Alierimelltalé a prolUe l'eMstellCe. d.uis le
labvriiillu- de I oreille. dorL;ane ■ sensoriels Jestïues a la per
ceptioii de le-, 'ace et du tell i>s el a la cojmaNsaïKe du
nomi->:e ; elle ,i de-montre aiiiîi.
illstes-e de liiituilion géniale du
le lain malle de l'oreille do
sans V oiilesLatiou p.is^ihle,. Coinil
sens I es pli^ 11. .menés les plus ejs
et inîellecuii Ile ssraieiit impi.
1, d iiiic façon edatanle. l.i
1. 'lulalelir de l.l psvchologle
t être Considère desorm.iK,
me le principal l'rgane de>
.'llticls de la V le pscchique
sibles sans, le Concoure des
loncticMis de Cet organe ; llio mue ne po^^eder.iil pa-- la
lacultc du langage, il -.erail in
lespa^, il lervevrait les ima
tous K- (di|cts eMerieur^ renvtrses; sa conscience du moi
n'atteiiidiail lamais son de\ eloppement complet, et le
dediiiiiileiiiehl de l.l personnalité serait chez l'homme la
capable de s'orienter dans
s rétiniennes en double, et
1.^
:f
m'i
rcg I e ,
N,
U-- ir^iiiriMi^ MiKiliK- iiciih.n du loiiips. lie Ic^pac
m du lujiiibit- ; In
f-.tllLtil|||t.-
.•s siipci le irc
scr.nciil I. .l.ilciiieiit
de coniprL-iidrf loin :s les Liiiiiiiu-tc-- diiesai
le l.ih\ niithc de r
\ oi> 1.1 lin du \\ III
lllL-lUcllKllt du \i\
.1 ^'dlll|(Jn
lL-|lllll,|lK-
■■p.Ke Li lilstil Ile U
1 11 d 1 1 1
llU'tlli
peut -e cri. ire en
pr.
ill\ e^tlf^,l|tiull dans huis les di
.llliail
avail enserre
iii a^ Ii\ Il
l-.rii
d inluiti
/pis
lUClliill
inuis
ls\ ellKlUe
CalliUI elIle.K
illerelU lall'Ul de
;lii.
seul c-
uirsiiu av
il'.ir pinip.ise
lieiiries relali
lulot a réali
iiiIKeriie la
rappurls a\ce
uieep iiiii d
r
UeaalliUI cl le 1.1
a en assurer
lell
diel
iiuis inextncahU
leincs iilTelles
<ul
AMI I r RM'kir
iniélrie. r.irilhineli,|iie et,les
|iuiis^,iiK-es
.|ne
proeurc 1.1 musiipie nous
inconiuies.
(.eu
c ellllllierallcin est
IV ri
lieieiies sur
eiilnri el Sp.ill in/.iiii.
.\ul
elirielil e
I ll(
|Usi|u .1 1 .ib..iilissLiucnt de mes tr
n leiiicluen.i
Ke
d-.le:
si d.
.Isll eu l;i
Sese.xperiuielilales. i|iie-|e pli
.1 de
de la
.Klsle
ri 'il de re
lllnaïuier lelliplDl de
de i.l
s(inl des II
1 la
Kaiii
/"
e en lui inip..s.iiil la . . .nir.iiiite d..
L-l le l.ir.leail du eMiileiiu di
iprinie les enlra\es artiluie
Ile
r
elll.
-xaeles dans Tedllde des |m|i
.\ .Ils la prniiere ecuidilion d ui
luétlii.des m
liuuiioiis
lU elles est une U.iU\el
dill
elelK l.lll.in
txlu'Il.Mi
l'W-
l"Ut. nii Init nielhudol(.j4U[iie Lui
le ih.u\e
lies I
r. pollieses un
eiiicul .1 I.l natiin
liillclli Uls
le se iiuilre en oppiiMlii.in avec les cl.issilicali..iis e\is[.inu
u er un certain .ic
H>
U'd. si lu m eu II
ps\clllipies et
luctiiin
s Cerelirales,
In luiuus vlaus
u\ de* vi.ii
écfiiiJe I
es el in(i\
-■Us K
ipposUliUls
es plus propres
• ciiiitr.i-
-ies llïeoncs ps\ ,
it^iques ci.iuranies
ne reslllle passeulell elll de's dlllicillles inllérc
m
es .111. \ pro-
Vellt. I ,
.1 1,
I iniillipli. lU
hll 1 1 Kl Ni 1
Alliiv m s FiiS> II
l's"! . |lll>l 1 -
branches scienlilii|ues qu! mn ci>nciHiru a 1 editicatinn de la
psvcli.'liii;le de\ .lient t.ita'.euK
iiii au liir el .1 iiiesun
de
satiiiH de\en.iit de plus eu plu-
liuip. 'ssibilile d .ipprecier. a ledr uisle x.ileur et d'un point
de vue uuiiiue, des résultats id^ttenus a l'.iKle de iiiethudes
radicalement diflereule
I-;
nuil
de
iiriitil
es peud.lllt
les s
Iruiis
ibi
utir a cette conseil uen
ila'tii'ii
lUhcik
taiis
leur utili-
'eculative ac
Pl|,
psv
li.ikiuues
.•x'pennieiit.ili. lU scienlitu|iics. Il a les reies;uer
rs de r.ibs.
ervatuiu et
armes luus .i'us.ii;e. dans
liUllisles el plu sudi'iiistes. de le
positu es de leurs nie lin ides exacV
lUeUplie nuisee d anliv|Uites
,ile. tiers des mil
aux elliilice-
\.it;Ues de la l's\ clli
valeur .pi ils it lac lient .i\ ec raisi n a leurs dmiuees (
l.a tusiiui
.•t 11 ode
espi
jbraule
les
111 lUi av.ui conçus
mli.ince des pliib >si .['lie
dai
d appiupier a i.i ps\ cikUm
.\iia-
se reluseiit .1 rcciiiinaitre
il.itive la lueiue
ittve-
s d inveslii;atiii.n si oppusees en ui
./;/.■ n'a inallu-ureuseuient pas re.ili'
.■but
dans
.•lie .1 plutiit
la pi
siblllte
le les luéthudes plu sRiji Inique-
Usupies exactes l.'echec ; p.irtiel subi par la lui Je
l'ecliuei. tandis ,|ue la lui ph\ fii d. 'iiuiue
Webi
larde
tolllc
aleiir, est uistructil solis ce ra
llinence 1-
euei alcuienl a recoiinauri
lie d une division du trav.
dii^ile ( , e-.l ce Ulll ressort
-•litre la psvclu
conclusions de
rtla
iiu rat;e
priucip.il de Wuildl'. le loiulatelir de celle luuuelle ps\ clli
l<
111 lui nieim.
iinniencée a
,-dércr 1 eveniu.ihic
d'une duisiiiii du tra\.iil connu inévitable, .^lals. pour que
:elle
>il I
ecoude. elle doit a\ .1111 tout elle pre>
separ.ition entre
les d.
de
I \\ W
„li Du- [I,
.Itf l>
V.il 111.
:i
1=.N
scpar.iliiiii .liiiu U
■•cji.'inilion .niisi pi-, .j
itniiir résultat scr.i d
h'iil hi.
pl.L
nt.nl .111
.7 ./,■ /
/.// ,iit,'i!.'l II un.' Il-
I «s .lilkrciui-- cnl
n>hiri i.il I 'Il
)'.L- le- IlKlIlinlcs
loiil alrii-, .1 L-lk'-. iiic lus .V \ r.ii .lire une tr,iii-l.
Nipit leia ./, /.(, /,. ileplll-. le Ihllu
c'e.iielire s aei ■
ileriiK r I 1 .l.v trille
si.|lle et par la the.i>iie
euiiiiiie le leeeptae
spirilllelle-. ne nielle
L'ette eMslellee lllelll
tra>lit|iilll
epr.Jine lielleialellle It Je e,,||
..les u
elushiiis liaii\ es sur \\ iialu
Relire lie . elles ,||le ,
ps\ elllatles, 1,111 tirée
a la loealisath.ii .les
luth. Il ir.iiiiale LiauL
I I lennaiiii Miiuek et
dans la suhstaiiee i.
reliexioll liliilitre .|Ue
.1 uleiit ite. en ec .pu i
entre le ier\eau .le
ri MUS. plus meliu tabl
1 espnl ne [leiit plus
KillelKiM Cérébrale
lesslliues aullir.ipiil
ga,i;e : i
ilcsl.lec
Is s., lit.
par siii
^générales : il
m pliilosc, pille, M.iis
f>o^^,.l,n/ h'iil.s !:■■. I
i lii,iii. ■,, . '.'s/ .1 dur I,
\^\v w I si'h'ir
lll(.tlli..les. !,(
e hietlic . ;i eu
piiiKip.il i-l|.,:l .le 1:1
■tee il*)lt p.irler sur
p,.s-ih!.' /,■
// [>i
.Inil J.- h
t.'l!. /;,.;,■
• t/ll ' s 'Ipp.
\l r.ii-!.- .//]
;././.•
a eiupl.n er se .leiiau
.11 .le
nulle, e.llllee jl.ir la hl .. I lll pli V-
e. .pu pi.K laine I unile .le laiii. . . .ik, Ue
de !.. lires les 1,
luth. Us \it.lles et
lie
1 une eMsIelUe ple.aile t-.IUi.re
I il. .Il elle .pi a 1,1 er.iinl.:- .piHn
prup.l-el e-.rt.llh
ire .le I aille.
Li.neliisi. iiis 1 iiis le
uel.|Ucs elicrelieiiis. siirt..iil pi: un les
eei.u\ erte
Ipillles l|i.
elltrej .lu l.in^.lj^c
1.111s 1,1 . II\ . .11\ ,
^Mi-
.les
sl'Ueres seil
s.Tlelle
es eelllles lu. .leUI •
li llscn . I lllt/lt
rtiealc;, cte, l-t poiirl.iiil. l.i simple
plus lî.ii eiillslatc .1 .111. il.. ^le el uieiue
iiiccrne la sirueture ei I ..ru nnsaii.ni.
tl.JlIlUle et e'clui des \ertelire- supe
apparaît. iiissi la e. .Ueliis,, .11 ..piL.sce :
.innie une simple
être i'dlisi.leré
.les Ile possèdent
e. Ilie.l|iables de pelisc
ne ci.nnaissent 111 rcliu
ni rriliii, lir, !,■■. vrrt.-hr.'
nu tinHs viI.tLs. Si-ii^'ii
Itiiu lii'ii^ ./<• l'anir /^r.ipi
pas 1.1 l.ienlle du l.i
r ..Il .1,.- 1- .riuer
1. .11. ni seieiK'c,
•//,•.. .7
.///.■
1.11 1 1 Krs.i \ii.is i>i;s I .IN
/•//,
iitiiir il
i/lt:. i7/.s.. ciininiii. .< .1
.7 Ji/.i .II'.' ,i'iisi.Lr.\> ,,111111.
ii.-n\-ii\ p.-i-iph,''-ui'i.- ,7 ,,ittr.il
iiu . .ntest.ibles ipie le naturaliste
iiiie la er. .\ .nue en 1 iiuuuir
laine de
p..rter ,|
u .1 1 .une /'/.'
: tu,'
ipi \nst..!e, s.iiin rii..iiias d'.\iiuiii et t.iiit .1 .laires t;r.iiids
Miil..s..|.|
les sniritu.l
tu.ilistes er.iwiuls a\ .ueiit tnui.iurs atlirin
plies S)
I, esprit i.u 1 .lin m.! 1 .iti,'ii.r!i
depuis le
.le \'
lelllle s ex
seul d.nie .1 intelliLLeiiee ; il est
hiiin.uiie et s, m esseiue ineiiie".
pi.rel : eeil, le plu s|,d.. triste Uloj
lll\erscs |..lletl.ills psw lii.pus ,p
rtitu.le, mais .leiucutrer
,1V ec ec
( e cll.ipitle t.. Ut entier est e.. Us:,
trati.iii l'ar iiituiii..ii ueuiale le
le ree.inu.ilss, lient et preeisaiellt
Il suttii .le titer s.uiit l'.iul; I
./,■■■ p.iip!,^. .lans Ses .i.liuirables lett;
p.. lut preeis .lepasse L'..Us;derab
pllil..s..plles urees II sullll .le
première lettre .ui\ (^..rintliieiis, eliapilrc u et suvinu c
!'
I ).iiis le chapitre n de
Ils. .iis',|iie 1.1 p.ir. lie du 111e e-.t pi
traïu'li.iulsjf.;/-, . ,/ii\iii' f>.'iirir,- j
.7 ,/, .' . spi
s\ei
lUlre ps\ ..Jiiili.niie chrétien, sain
tereiice in.llil este
l:i
le plus h:iiiteineiit inspire. 11. .Us iroux.nis dans sa p..leiiiKpie
cnulrc les \|,inicli,ieiis une pri.
.Ii\ isi.in en ir. .is : < '.op^. ,?/
est ,l..lic I..111 d être inédite
TlC.Ns |s\ 1 iui,>l 1 -
i:i\ .iinin.iiix. p.'ii: 'ftJ'i'i:,-\
(.'est eu raisiHi .!e ces t,uts
vi.it ..Mme.
...iisiaerer
.1.- 1//.
,(/;(,■ ne peu! se rap
//(///■ dans le seii
it.'
,'.;,/, cm nu
'riment les the.>l..uiens,, est
':ittr:l'Ut inhereii! .le Ifuue
I II est pas uialene! ..u c<ir
■rnc .pu s.iit ditlereucier les
ut 1I..U seulelllcll' aîlulller
1 une nuUUele llullsCUtable,
;re à une pareille ,!eiii. .iis-
■ h
ds ps\ V lu. 1.. il lie
lue p:ivellle vtlIïerelK ! ItL.II
itable créateur
1.1
émeut '-Vristi. te et u.usle-
uisulter entre autres, l;i
la lettre au\ Hébreux u..us
asaïuue .-pi une epee a deux
I . des .irticulatioiis e' des cerveaux, etc (.he/ un
t .\nt;Ustin,
apri
s saint 1 au
t l'
/ .-pi
.Nia ditïerenciatiun
.u t.iit .pie .ieuu.iurer a
1. !>..
.tlu aux l|
l,.tu
l'Cl lu, tii'Ii I'- V. ili.li.^i.iU
ji. riiuuiiiK.
ctclliiuc - Ju 1 t— ['.
IV.ul .i.
iS . -.muu uac
A 1.- -,IV«.II Je ii-tiil^U^M l.i
iMiiu^ [icn-iL'ini aïKieii-. c
1 lllndcn
i ;ll>lc ik- l\-\pLlllIU-lll
k- iiiliiilh>n- ^los pin
lianiii lc-.|iK-ls l.eibiii/ cl Dcscarlcs, ii-i pliilD^opl
•^.ivaiil>, 'I'" '"'■'-■"'
:icncis c
\aiti.'^ aux
ai et
nrt.-\ Il ' \ i>ii'
II,, il,'
iiiMiLilile lie /
II.. 11^ i_^t pi'i
lie-'ir-, ail iiiiiulc
-, Ja
1 ..Ui> .11- 1..IIK I llist'i
< e II >.>1 .|U en <--li
Lcrcliialc-^ .|H lin anr
lin lin lins, nii ati.c)i\l
l(iirii|nc> nu ilcrne^.
antiX'N, lant .pu- lii
scrifiiv .tan-. 1 cliule .
pniiir.i ctrc rc.ili>c.
inipDscf a mon espr
lant
c-xiH-nnicn
iii^nt--. ann
laïc. Ce
lur la -iriulurc et
liircillc .pu ni cii mit
///■• iai prenant pi.i
de
ré>iiltat-i, je '■■H^ ^
vulK.ii aii\ pliiliiM'|i
Lch .llllclcllt-i liillll
iiicnl .li\ isci en triiis
i" l.c^ iiii>aveincnt
[iiirt-. avt
(nui-.; V I
la volont' ■
e-, peicepl
■ ii^LiciKé .lu iiun e
.//,>/,.
si ■.■■Il
RI>S. AMF I T KSl'BIT
ili.in di^oiircnsciiient sL-icntilii|iic ip
•.. eli(ln<inc~
de la Kcnaw^ance Je
wii' -.iciles, a\aicnt in^lciiiciit
.■liapitie
,s/i;/7 hnniaiii, mi .le snii jiih- •■pin-
L-e p.ii lc•^ téiiii lignages tangibles des
-, le> niiisées et les hibli. ithèipie-. an
e de- peuples ei\ lllses.
liiiant 1 esprit de-> l.iiKtinns p.,\el|ii-
ra a établir, jusqu a un ^.ertain p.iiiit
itre les n.uiibreu
tl
raJiitaleinent (>pp.)■^et
K-iiries p-\ i In i-
Ics une-> aux
rera lé clia.is aeliiel. aiunn pruures
l.ilICtliills p-
\ ehnpiei-npeiienrei ne
.a //.■. j'iN//," de cette éliiiiinaticin s r-t
t an i-iiiirs .le tra\aiix p.iiirsiiiv i-. peii
•es dan- le d..iiiaiiie .le la plix --mlui^ie
.uni le- r<
-nll.ils de nu-, reelierelu
e l.liKtiijiiiieiii
eut du l.iln riiitlie de
.•ni.iiitre, en ineine temps. \:\ p
la/',Ms(V.;
point de départ le- plu- inipurtanl-
saver ui de laire |
iirtager ma mun-
îmes Je la p-v
;1im1,
Dllt gellerale-
groupes principaux
ildiUaire- e
t le 11
le
exes il.in- leur- r.ip-
sentiinents. altectnms et in--
iins et rei
csentalion- seiisurie
lies. Il
tiiute'la \le intellectuelle l.i -idiitiuii
lu pn.lileiiie .//( l.-.iips ,■/ ./,■ /'■■^/>.7.,■ .ll\I 1 1 . :l II si 1 1 1, .■ pr II -
l.iiil .1.-^ ^/,■, /.'N II' p'iiil Ji- J.-p.irl iiiillsp,-ii>jl'l.- ,/.' /.'/(/.■
I'r\ pli. .ilh'ii ./, > r.ippiots L-iih\- II-
I II fil NIW III i' Il
I Par une rencontre heii-
• n r I :;i s. I vil. i\ ;il.> lOS
lell-e. lu.ll- nillleiilellt accident(
iniji. irt.int- -ni k-s.piel- - et.iit
ciii.j ,iiis eii\ n. .11, niiiii .iclu iti
pre-.|
lie e\.u leiiu-lit a", ec k
■||icip.iu\ .1. .illalile-
:li..l.
le .iiie !e \ len- .1 ellUUivie
nie- tr,i\ .iu\ m
il- l'i e-iiue t.
dilil a I elii,le .le- 1. .iictii ni- p-
p-\ cil. .l.iLlUple- ipl elle- -.iule\<
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lïectl\e. le i.iiutiiilineiuellt .iu
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liiatli iii .le 1.1 i . ili-cieiu e
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lluiU veineii
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K- iicri- -ell-lble-. jicceler.ileur- et lllhibiteui-
et le- iJinir.ible- .ipp.irell-
pu pre-i.lent a tuiite la cie
abvrintliè .le 1 .neille, cou'
i.jitel M. .11- .le\ un- 1 ..rigm..-
.1111-1 .|Ue
l.l I.
mol ; enti 11 . le- I.ilUti. .11-
le, etc ). di.nt le- .llte. 11. .11- elltrailiell!
Impie- .1 un genre t. .Ut par .
recticrclie- laites sur ces
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.k- r.ipi'c.rt- entre 1 àiiie et
l.i -une .1- --■- refiler. Ile- e\I>en
itale- -iir le- Lnictuni- cérel
•liiisl .iepiil- L'iiLilenr,.- I.irlltie
et Jeja, --.;//.< ,/».'//.
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li.iirni . .11 iM'e i.ire
pr..tdeiiu- |i-'. .Ii.il.i^i.iile- imp
raie- et -en-, irielle- lu'.int
m- Celte C.IU icll.ill .pi',)ll
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L-, iiiai^ eiicine
thalami .iplici
aaiii le- liciui-l'li. rc--
le- tubei\ulc-i qùaariiu
; et aaii- la iiii.iHe -upcilcurc ae
ae ii.iiiibieiiv cxpeniiiciitatcui-
lS<i
mer el' ae\ el.ipper ce- r.
sullal- .lau- un
liciclu- ulteneure-
1.1 ilie.iric au l.uiu-
IClll
aleliielll une plue piep. .luieranlc
;-uoralc au -.v-teuie nerveii\. apic-
avjiil utilisée
a caii-e
un uij.in.i ii..'ini'r
ae ■i.ui luip.ataucc p.
bie ae inalaaic- ner-
\ eliienl appr.ipne
.neinelll .iU.|Ue
ae- exlreinilc- ..Il au
1 participent plu-.iciir-
Mui-culaire-. puisse ?. e
lïectuer, une i^ra.
leur iiiuervali.ui e-l uuli-peii-a
ble (^e-t
aelail. il \ .1 ileia plu- ae .piaraule
l.\..i.l.
ilJ dc> ^^ic
,- a.- ijv i..'i|..
.\:Klliil. Y
llcllu.
ilKt ! Kl S. 1 \11.)N l.| - I clN
aii>, iiau- ma iii.
uiiii;raî>liie sur
sliill a ur. e\lHi-e
rcclu
exercée l'ar le- racine- p.i-terirure- Mir 1 e.\citabilité a
racine- a m
.ie la m.. elle
epilllcre NoU- Il 11
ipie bicii plu- :.ir,i. au cur^at- auiice- i~^
grande
y
re-nltat- ac
e -c- recuerche-
In luii.li.iiineiuent Ac l'appari
tc-e cLii-racVable a cte recdUiine
Dan-- Ce- aeinicre- ailllee-. II.
racines p..-tc;^eure- -ur i'actuit
ment -iir le t..uii- miisculairç.
le-i c .:i-lat.it;..:i- e\l'eriiuent
ilcur-, ,.-11 !c-- recherche- ae^l .Il e! >lieri iiMt. .ii. et -i:
tnut p.ir le-.
Munk N..11-
uae- e\lH-rillleut.,le
reclierdu
Ile lleliar..ll- cul
rccellle- qui -e r.ipp
.le- li.iuti..ii- vlli ial>\ nntlic ae
p-\ . hi.|Uc
l'nur Luiliter riiitellli;ence ee-. pr. ..e-.-;i- .pn ei:trel:t e
|cu aai;- la .il-Ulbnll.iu Ac Ce
aonuer a..- ac-i^natniiis particu.i
paill. N. ...l- aVc.ll^ aé-ii;lle mJU> 1
t;aue- pcriplici upic". ipeaii,. i
lion^, clc.'. a. .ut le-, appareil-
le- -uurce- ae- excitations, et -i
//■.'/». - ie- jadr.c-
.t .cfcbrales .pu Irai
'.■r,'ilhii)i.
• Ut
uelle. .lu .cr.eau et .lu cer\c
xilali. .11-. liulin. I .ippareil
iciiler et de inc-ur .-r
uhari;c
inuer\ .ili.'ii-. >ert d'r/u-rtn'in.il
e\cilatioii ac.
l y'hr.A'^Ynutii .1
/. l).
11 )S- ;iVi Hiij' I -
/.
J.'i-.s.tli^, à
r.
le^ relative-, à rintUieiicc
■.einl-circtllane. Cette '....r
.lepui- par t. .ut le m. .IlJe
ir .tl..Ii- .le 1 iiitluelice .ie-
c iuu-,ciil liie, particulière-"
.e -ont encore élargie- par
le- iioiiibreu-e- .1 antre-
ci-i\e- ae llerr
te le! .pie .le- re-uitlt
lient .lllectelIlelU a 1 .
mme re^ulateu
latc
, n..u- a\<.n- pr.
iu\ l,icteiir> V pal
11.. ni .1 . '',-(V;
•'/.-.. les or-
an le ma
ner\eu\ lermin.iux '...nueiU
11- le 11. .111 .le \ .
aiii-i .1.11.
-mettent
t..Ute- les llbre-
.-xcitatli.n- .c.
région-, ceii
tr.ile- .U
let. ..Il 1 einiliaLi.l-lllelIt
.1111 circulaire t. .ut eiilu-:
rinlcll-lte et la .luree .le-
:l
i(..|
/,,.'/- h\ pill--t-ilt [1.1 tontes \iUt- >"UlLL-s d cil Igilli i'el I
i. I Lille ' 1
piKI|.|
r.uc aux
< ilICl lliiMs ill
ILit-'illc. iiiiL- li.irlic
le- iL'iitri-- f" 1. Iii,/ii,-
.1 i \i-ii.iii'iii. tiniuag
, crcluMiix |Mireiiiciil
|i.ii iMpiMirt .1 l.i \ ic i'
^,l\l-■^ il i \L ii.iiion .1
( t-IU- L 1 .IllLlMUllKllt
t-ii ie- i iiliL icn.iul
liiiiimi l1 cil -cr\,iiit
II. .11- Il cil Lit Av II
icllUc- 1-'. i liuiiu-.
.1 m- un > cii.iiii .leur
IMiliciiliLH. iiiciu lav.
I c- -. iiircc- eciici.
■ cii-iilcrcc-. L. iiiiim-
\ cii\ -ciiiUil -c 11', .iiv
1.4 iluicc .Il n..tic \ le
IlllLlIlC I 11 pllll 11
ITL^iuilL de- -L ll-.Uill
-iiicnl. Lii I.iiil que r.
lebr.iux et iiK-diilLiir
. il'U.illei IL lliillli Ile L
-\ elii.i .le, un n.K .inal..i;iie a
e.xelI.Ui.'li 11 e
i erebr.iux. un..
XI -le ce
kiiu
le- ..l>:.llle- .|111 -.e II
r.niipilc e|.ill-elll UII
.|lle lei i.rii.lllei .1 I e
llltli
mue iii.il. "J. le a la
illerelll- . .l>:aile- dU
.11 ;k1i\ lie 1..1IL ll.il
llle |.
-,-ilile .1.1 -an
irihiili.iii r.ili..linlele
. 1 1 1 - . - 1 L 1 1 1 e 1 1 1 e r •
111
KI-. AMI 1 1 1 M m
iliibilnee- du l.iln niiliu .le
liiree- -..lit eliini.i.i;a-iiK-e- .l.iii-
INe.lIlLt .lllLer\elet ( i-l..iee-
il.ili- lei i;.inL:ll..lli de- .eutie-
jUei. -i.nl -U-Lepllble- .U |..Uel-.
lui .Il
leiui .le-
lee- .1.111- le- >elllre- 1II..K11I-
intilllde lolKll..niie
lU .le- lllU-cle
llitaill ileiil dan- un eei
tain .lei;ie .le
en .iiilire au >legai;
lenauelllellt dei inlIelA a
li.rL
einniau.i
.inee-. d.m- le-
.lie- .111—1 eiitii lieniieiil Le- ..litre-
.rcxitil.lll..ll ...1 .le ten-|..ll tulll.iue.
able i leur li)iKti..nneiiient
iriee- a el
ler^le 1>
ment en elKl eli\
llepill-i.ahlei
.111 n.itie -\ lUIlle lier
uiitainnienl. [lend.uit n.nte
itali.iii-
.1. .riiilllc externe . .11
lllbre -culeinent d entre ellei lert a
1-, CDikeicnte-. Le- autre-, - e iriin ilï.i
d| exeil.iti.'U. .1 m- le- Lciitre- ^e
.-..rii.inc- icii-.>riel-, m n.n-
;llt .llllter'
illei \ i.lc- vie t. .IllL
nelll . en
tre le- dlHerent- i.i>;.lliL
jiir abi..rber Ce- |. .r.;ei d cXl ilati..n
nelll .1.111- un état daeliviie iniiilei-
plUi i; r.iiidt .luanllte .le ee-. |..|\e-
I i|i peut e..iiee\ oir celle
a de fe
e'iiiK lin enee .|
Il exi-te entre Ic-
d..iit eti.uiin elieielie. peii.l.nil
iielle. .1 ia--iirer l.i [du-, j^iaiide .|iiaii
:t de-
le cellf; el -e tr. IIP. e -. m- la depeii.l.inLt
lurl- aut. .reiiul.iieuri du >.iiir,
auirei liqui
.le- lllltritUi 1
i.iiiinis'i.i\n,iN [)F.i ru.-, riiis- rsii-iii
airi-l .[lie de- \ ai— .eai
IX et de
r.ittae lient
.ruaiie- vie- lell
lier. -nient le lalnrintlie .le I ..fs
aiial..i;ui- .le- l..rve- vl'excit.iti
-liJiere- -en-, .rielle- et ailtre-Ct
lire- eer
( i.l'.llile le 1 ai vieia rappelé ai leur-. ', le célèbre ( hevrell!
vl 111- -1.11 /\.'.lpp<'it v./r .' ■^ '■./.'
• Il s M einier- a ■>. .niivDniier ct
-eiiii-v ircu
.lire-, .unit 1 .11 recoll
tiiliclliinneile en O"- 1^71. la
Unatn.ii .lu l.ib\ rintlie .le l.ué
parmi le-> plu sli.|i.t;l-te- .|U1 1
l.iiK tion- vie liiii^aiie .iii.liiil
Il .1 ete el.ibli par pki-ieitrs e' periuientateiir-. et tout pi
licillleielilellt p
ir I leiuiuin >li
dt
tiei vie veit.une- rei;i..ii-. du or
à p.nir\..ir .le l..rce- .1 cxcitati.
la vlelieii.l.iiue .le- [lleU -e ti
réi;i..n.- I .iiiaU-e pin- preci->e
-eii-ibilite -m 1.1 111. .incité. lait
iiit .le- |.reii\.-- éclatantes ,|iie.
,1e ce--^.iii\v- .1 excit iti.ni, le-,
-l'iiit -u-veplible- vl eiiipninter L-nr- l..rce->
ceiitre-
.rticaux \ iii-iii- Il exi-
diiiuue- pi\ cil., p.llll..l..4^llle■
prl.ce--ll- an il.. une- ^.lcc..|llp
br.iux de- l.invti..n- p-i^liKiiie
ti...ni •!. .iiriiie- p.ir
le- . .rL;aile-
.leiiilei lieu .1 illinellter le- snliere- -eu-, .rie Ile- c..rre-l
vl.Hiie-, -ituee> vlan-, la -iib>laii.
-en-..nvl- peinent eualemeiit ii
le -11; iiieil.ii^c p-.\ clil.|
V..ii Ohf l.ihyiint"
e- 1
:. llci 111,1
Mtiiik l\-i>cr aivi lati
M:ttl,
.V.-.-i? F
Iule-, naiiglii.nnaire- vini - \
-.upérieiirs. et tout particu-
le a-i-nreiit une réi;ul i;i. .:i
u einina.'asUK
,lan- le
•brauM
./. /■'.
fut r
lie inliibiteiir des car
111 et vleui..iilre l'uiip.
.rvl an >ui
;tte de--
lle e-t .luiiiurvl lui; v.nilplet
;lt .étlivlie NerieU-eiileli; le-
nk, .[lie le- cxcitatt'iv-; pu
.- -.int de-.iinee-. avant tniti
1 le- centre-, cerebr.iux -mi-
nnenl le- niu-cle-. de v e-
ie 1 illlluelice .le la perte ,1e
par Herm.inn Nliiiik. tmi!-
vl.iii- le-, ca- vie Mippre— ii.n
.•entre- cérébraux intere— e-
excitaium aux
te e'Jf.lleilleiit ,1e 11. .mbreU-e-.
teii.lant a pr..iner
lie d..--
ellt .1.111- le- ventre- Ccre
i e-t ainsi .[lie les .excita-'
e- -eiii -.111! .iestinée- en
rticale .Niai-, c
es ceiltre-
lili_-er, surt.nit ,laii- le- c i-
rces dexcitativ.li eiuiu.iti.i-i
Ith Uîld 'K.
lî,-il;ii,.l..
l.in^ Ir-^ L'i
iitri-
.1 .111 dci:rc tel .111 il L-
■ I • 1:1 Iciisioii iiiu-Mi
p..ui
k
L : piiiir cli le .|iii i
ce.ilciiKnt eiilir k"
I :l Vltti >II'c IdtL- .1 ut.
iiiMiiiL-nt il. .une :i\ c.
1)1
.Ile t-
. uniulali
•util
lllcllle ri>
lui :l-.slLlller e
111 CI .iieeilii
I'. .111" le- eellll e- .le 1
lut iir..li.ible M.ii-
.iu\ ,11111 e-^ -plieres
.|iianl .1 1.1 -|.lu le \ i-
leil oeiil.i 111. .leur, .
..le ■. Ile .le 1.1 l.ii .lll-:l
'i
1 -['h., fe ;UKllti\ e
11 pei t k- SUl
1. .Ut entier -..11-
■\l-te
1.1 a
M,ii- il
ibililL
.neil -eiiii en\iiiair
II', el leble'
.1 l'eLllll.llM
t. lire- e
t lelk
-IVelllellI. .|llel.|
lie 1
a cxeulllel' .le- 111..U
mai- aiiii[iieiiieiil .|i
ce- aiiiuiam per.i.
lli.li.jUe .|lle. lueiue 1
iiiitlie. r..reaiie \ i-iie
. ette rei,;iilati..ii < »11
.1.111- ia inesiii e t. .ut
.1,111- l'e-paee en\ ir.i
11 l.lllt e-péier .[i
iME IT r-l'HIT
iii..téiir- a\ (Il
siliailt-. et
iiiveiil
aire
1111 |iré|lullLe l...lir le lll.lillllell
111- ec-rt,iilies reui. .u-
ruie .ieia ace'iiiiiii
ke- iLui- k
lltlIlUL'Il
it .1 \ nrri
.1 lutit.
:t d.
. lll.llU
lu .;er\eaii
e- .entres .pu |. iiKli. .lineiit ,ili
le plus d I lltell-itc
1 et l;i ili-lrihiiti..n >le- l..ru
p-\ thi.pie-. k- lali\ nntlie
.leVeil.l
Itil .|Ue m.- e\per I. nCe- ..lit pcr-
1.1 -pli
111. .liiee
la elii.-e parait t.. ut ,i
.-ak
nient .piaut
.■lies, et plu- p. un. ull. lelllellt
lelle S.. Il- -a\ on- en ellel .pie r,ipp,l-
ui l'iiiiL- un ri'ile preil.iiiiin.int au puiiii
il Lits impre-
-ion- vi-Uelk
luLlnee .les canaii\ -en.i \ iiLuLiire-
it (le- :TeU\ es .lire^le- en l.i.eiir
.le
:ti. .11 reeipr.i.p
ille/ le- \ er
lab-e
.le 1
lebr
.•~ ol.'..\ste-
rt;.^ne vi-iic-1 peut a— iirer, p.cr -iip^
inatrue .le- ni. .u\ e iiieiii- \ . .lou-
.•tlet. lies ,1111111, luv apprennent pr.^res
ini s après lablation de ees .ii.pareils.
eiueiit- a\ee iiiie uran.le pie.i-iou,
md ili ont les \ eu.\ ouveris .\'. eui;le-,
it .iélinili
•lit ectte LkuI
( eei
lab
rs diiil.UK ti..uneinent m .rin.il du lahy-
1 preitid une certaine part a. tue .Lin-
leiit cjn .bre .iiitant .le- . .rjiaue- .lu laet,
lois .iii il- t. .iiti ibueiit .1 I on., iitation
niant )
. lier..!
le- experiUlenl.iie- ulte
rieiir-.s nous t..uriiir(Uit
des d.
urios nis rov.Ti.iss i:sv.;iiii,>fi •
.•t.llllees e
t ph
lore
Uissi bleu en ee .p
.■\eitati..ii .[111 se po
siiit en
brau\ ps\\.lii,pie-. sensoriels oi, seiisitits. .pie relativement
es s.. urées des cueii;ies ps\Lbi.ples eu geller.ll
aux dilt'e
l'iluncr, au.piel ii.'Us de\ ..Ils
me la lutte p. uir It
tre le- L'entres t'er^
:ltatl..ll ller\ ell-e
loi- iondanieulales .le 1 e\
a établi les U-n'-'l'l'-'^ '■'IT'"''' entre l ex
t itatl.'ll et lèse
l,lt-
.■xeitabili
tel 1
.•xeitatiiui eoii-iste en uik
augnieu
.pielle >p
tati.ui plus. .11 mollis br(is>pie .le 1 état vl exeilabilite,
.it .r.iilleiirs la e.iiuse de eette .iiunientaîi. .n
ehaili,'euiellts .le l,i temperalUi
eleetri.pie. de l.i l . .lupeisnioU
d eXell.ltloU. -1 niiliiilles .pi elle
urail.les .pi.intites .1 énergie
.pies ...nsi.Urables, à /.( .oiiJijl'/i t<'iil,[l.'f< q
intérieure, .le la telisl..n
. Iilinuiue, ete I es I. .ree-
.lellt, pell\ eut .lei;ager
de
iiliii.ii'.i>: II.'
'il^.'.iiiiiii/iit J.iii^ nil
■Ijl ./.■ /.
!ret. le t.illUs pi e-eilte Une un
,iortauce .letl-l\e. ,iu-si blei
au p. .1111 .le vue de laiiliinJe f..iKti..nnelle .le notre s\ steine
mu-julaire, .pie pour le l..neti
de 1.1 \ le p-\elil.pie et i niellée
auit d'..btenir, .i\ev: une uiiiiii le .lepeii-e dViieriiie. le plu-
.elu.iue, dont ecrt.iin- iiieîa-
d'etTet
ibk
, ee.iUOlIlle p-
i|i\-ieieli- loin -I ur.ill
.1 ea-, -a
■pLe- 111 le l.iiutl.inneincnt. r .pose eu rea
L-s .1 ac
.uinulatioii.
.le dl-t
M. ..luire de- elle;- lIleLaili-
iiieiiieiit 11. .nnal .les ..riiaïu-
tlle
le- deU\
p.iiu ..ir eii lu.inuer ni le
ilite -ur Ce- lueca-
ibuli.'ii et de rei;ularis,iti..n
.l'eiieri^ie ps\elii.pie dans les ei-ntre- nerveux .pie n..ii- v.
non- .liii.li.pKi
l',ireille aeeuinulilioii, d.iii-
■Ile ep
llllerc.
.ner^ics pr.
t,iti..n du -\-teiiie iier\eux se
.ueideii
tel'le-.
.U V.Ullue-
.■ment
iicriucttent d av-urer
t .k
tl. .iiiieuieut .le nos c'e
teiiic ii!U-eul,iire
.-lluk
le tericau .iiusi ,pie ..lau- l.i
xeliailt .le 1.1 e..ll-laiite excl-
ut -ellsorie
d.
.t leur utili-.itioii minutie
le in.iximuin du Ioik
lt;ll. illll.ures et
un miiiiiiiuiu .le .le]
11.. tre -y-
elisc .1 elleriilc
il
|i,S
I ) .iiilrc p.ii 1. la i iiiii
Lilu- un li-^.ili' iii cx^
iLl'lll^L- .11-. |. Hli,--
lU- II- niciiitH-i liaii-
1 iiilcn-.ilL-. 1.1 iliinc
iutl-ikl- cil
IpliAus 1'
I.CI lllL-i aillMIK-. 1,1
I I iicilU- |i.ir\ iciil a II
par m. 11-^ en .Iclall il
l.thvi iiilli. cl. ., ,7 / \>r,tlL\
/ . Il/f's ,/ / / .p.i, ,■ (
Ici tciii
Ni •liiii- cil pai^aiil
tiwn cjilic Ic-^ ili
i\cr- cciitr
I:il:i>uiic 1c~ piii
ni' •Uni ^ et
•ntii
. I le le |ir. .hleiiic ia|
— IJ I il-
mie Miaiiicre uci
~i llsalli ni~ cl .le ■,c--,e
c .11 il . mil IcN i |.| . .Il\ e
i . •Il-~l.lere ilcplll-. un
utile la >. .lll\ c |il IIK I
\ cinelil> allcell 1^ l A-
.laii^ liiiilc-. le^ laiiL'u
et |M.ele~ alU'hlIelel
plll^ JellL.ilc-, lie le-ll
I'. .ili nie l'.ir entre
|llM|lle \ el'i le milieu
^IF. lU' IM'Ktl'
tic le-, >l
\ cl > ll^l;alle-^ pniii"
ut l'i.iv:éiMciit Imit L;a^|MllaL;c iLiii^ la
ecuinillees. I.e iiilc lill lain :"liitlie île
[•lii^ intclleetiicl
le-. .leu\ ilialtlt
, Il 'iiiiiic liou^ \ elimi-.
rc- p^elc^lellt^. renie
lii m >lc> liiiici \ atuni et ilc-^
Il ilHill ile-^ lori
es il .veital h iii
ir IcMiiicl-. le lah\'niitlu
ercLileineiiI .
nil ilcia ete c\p'
pieicilelU-. iilixra^o /Am I>Iii
l.\li«,i ,/,/
• i\i.liir ,!•■ l l'i i.-ii
II. in m-. \ leiiN i)\ 1 uis
lie cette lulteniiui' lc> !■ 'iic^ .1 cXcit.l-
ncr\ eii\ |i. uni .lit !■ 1111 lin .m
rcileiir^ >l une clucilnni |inli
le I aille I'. m.iniiien .lun cv|uililiie
ilnnnicl .j.ni-, l.i i1k ril>iitn|j|i île-, cneiniei eiitie le-, .iiitic-.
. |is\ . lii.|U.s .lu i cl ■. e.lll . lUIstlt lie peut
Ital .1. IClucilh iii.
1 1 i.M.MI, 1 i|<.i..Ji.\i i .M' • I !• i.\.\l
cimIc, I llollime pl.l. -■ 1.1 -■lin. c ,1. -e-
itl lllcllt-- .1|\ cr-^.l.llls le-.i irjialle- luellles,
.\u--.l 1.1 i.illliaii'..uuc \ llU.llle .1 I cil.
I .nie U
.ein . lUI-
ellip- I llllllcllliin.il .|
l.lle .le nos -entllMelliN .1 .le In.-. Illiill
^'11, -, ç
te colil
.■t cl
t ciialcliieiit li.riunic .le- iiiiiii
al ectu e a
le, ai
Iti illll-ti-s cl n- pll\ -lii|i.ul-le-
le .Idlller. Il iilll ctll.llc le . .cil
vicliiin .iti.iii.c -..Il c,\pres-i..ii
l..ll-le- ncuplc- l'inl.i-iiplic-
1111 m ".nie -.1
tiic .l.in- Il
-.«t'-jimi'i -
i.|| M m \.,l \l 1. 1\ nr- i.i'.iins- .■-i.ui.'.i
.[11. -Il -1 .lUalite ,le iiiiiteiir mer
.iiLitiiiii -.inmi'r,.- .iaii-. ! nr^aiii
it .1 1 arriere-p
.111 -e- n I
notluli-. p-\ ilii.nie- evcn'.uel
Ce 11
jU .ii'r. - la
lUvert
\
:. I.iitc '.\n( \ . II! 1-; l.Uil\\ '
lie- iicrli .Iciii i— eiir- en tant .(iic iierl-> -en- blc- .!
lie K
iir- lapp'irt- avei-
les cent
.le. . iu\ crtc bieiil.il -ui\ ie .le cel|e.ie- ne; I- .i codera te m- ;■ i
-.-ilile .1 .il'i .r.ier 1 eUl.ie .;.■-
ilateiîr- .lu s\ -tciue iierv eux
cillent .le ce- Illccail IMlle-.
le- ticrc- ( -\ .111, .[U'il .!e-\ m; p
a.liiiir.ible- nie.ani-me- aun.rei
e l.'iictiiinii
Mr.lni-N .iscul.inc
..iiiiiii- a l'epLiue e\pernneiit;^le, .leiiiiiiitrail
r.ip|i.irt-eiiUi
De- U-- .niliCL
le c.cU! , le CCI
re. herclie-. .pn pri
•\i-taiit eiiti.
.le-, .un
le i
.l.iul
eiir cl le CCI \c. 111
iiir- ,1. ,i.leml.|ile
en 1^7-.. I .11 pu. en pieii.int pour puni
iMcll-c- ctll.le- eipernuellt
11. iiiilMcii-ê- . ib-ei \ ati.iii- recllei
■ lu-, .111 l.iiin ce- r.i|ip>«rt> et tn cer .1 i;r.in.i-- tr.ii'.- le me
.1.-. .l.-li. .11- rec!pr.i.|tic
itie- Il
ccicl'i.iiu .r.ins la \ ic atlectlve
1.111 1 .pi ..rtiiiie pci ipheri.[iie p.ir
.Ici.i pr.— iinic p.ii < l.iiulc Her
.le\ e|..ppce «lin- . .■ .Il-C un- .1 l
Il cil re-lllt.iit .1\ ce e\'l.lcnce .|
neiivciit ii.iier .lan- l.i t..nii.iti.
1 lie -cciiiilaire et iii.lire.M l.ei
ti. m 11 e-l .[
Ile ia c..ii-c.iueiic
»...iu{.!.:- r.:
.;,..,! In..-,,;
,aii, a.- i.\.
eiUeiix. entrcteiian' .1 . '
ii---aienl eiiti.
.ic-. llcrS V.1-. I llHiieil'
tab
i \ entalne
1 ci le-l.iiicti.in- ps\clniptc-
iblle- le- picllllel- Ve-ll'i!at-
i-.c-|i"eiit la ii.ilinc .le- rapp..;'-
1..;- .le la pr.nluct:. .c
c ' Dans iu> .li---
-es d'iillnine ri
C.fur
■t le l,cr\ eau ». l'rniiun..
it .1.- .lepart le- n...iu
t.ile- i.iitc- -lir .ie^. aniiii-iux c!
Iie--lir rh..|liinc expll.|ilei
U excricii! le- un- -111
ll.i.lllc- cl a-.' illiiîciu- cl le- icn
I luipiirt.iiuc ilu i.cur
X c e I le I K c .1 e 11 . 1- e IIU >î i ' ' . 1 -
.11.1 en L-in |. tut ct.ll'hc .1
le iiiaiilere .IclUlllee
.te le- nert- \ .i^. .-iiiutcui - m-
Il .le n. .- sentnuclU- qu un
lu- -.lin en! IcUl llltc! . .-"
.• 1 excitât'..:! nic.iLil'l .■ !■■-
,1.111.
l:. i^JfiK- -! a, X! t.
,n
!n
iicrls An t ,1 iii- Mil ,1(
lies \ al^se:ii]\ la- [x
lilcs lie pii). luire .ic-
.il>tis a louniir .1 11.
"Il lie UeplaiMl , lie
.llteelll. ^
oiii ee r.ii
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<-■ i. ci'lain-, nui;
■|':ii
iiiiili.jii-, se- iiiaiilic-tc-M.ii-, la l..ri
ini>ii\eiiiLiiN rc
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m. un elllellls lel
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Hl une I upi,i-|:inee i.lut..! pin si,,|,,ui,|
>u-,r
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Il 11 existe, ell ell
'I' 'it elle edlisKlcré e
i e-t le luui ( c ne
Leite si,Liiiitieatiiui -a
expie-shuls
l-Ult
/inine la
Hiinanl le eanielei-c .le lli
k
ippel.ui-, k
e->lL;iiel
>'/•.
f'j.'fi/r Jr /,./, ; t,ui|tes ee
netuieadinirable un
.1 epr(un es a un eerl
lion, eulin es .,11 ii..i|i. pila.
• I,ins un liTiiaiie >i
expnnier
m. le
.lrtl^Il,lU^,
gellelMllv
,! ,r,- I..,
entre'
.lent M
eerenrauv
m
■>res iier\ élise
i sus
Ul-
-llet- nii.tcurs lell
exes, 111,11, nullement
l'c e. UiseielKe des
selltiniellls
le plaisir
ui
-le. Il
le t. Mil .lUlie et.lt
' --e eMiiipiirtellt,
iiients .uteutil-., .l'une la.-
les, Il
.pleleMe, Ji.nt lexa I 1 1 1. .n -un lll
de
une iiijini.iiu
de le
-1. I,
nii'ajr,,;.,!! ,,u.-iii\ eut I
dent-,
■ et. Ils
IK
eiiiuti.pii- t-st nulle
t de il
|.lariie-, et, m en re,ilite reliitce
il
■ rt;aiie niii-^ul.iire tiiii
mille i.rgane emc-th.niiel par (..luticui :
'l'Ut p.lsles p., êtes seilK ,|iii illnbueiit
e.i-iir Dans toutes le> laiit;iie-. une
rt de
le tiillt ■
pro\ clhe
eiltinieiil et >
lepeliilleut le eullr
mille 1 i.ru.iliedeter-
lominie
les plu-, Usuelles iti!
esifiijer un egoi-,te ;
'/ /',
t le Cl
</•/(/■:
n t ra i
■t exprcs-KiHS relK
dit a.c>.
-•ntimeiits,|iie Jia.pielHiuiiiK
le-, lluniMU
■ >an- êxeeii
le Slegc
-eiitiments
lu iniljcii de la pûitr
leals
• m
e 1 1 1 j II -,
n ersite liili nie ell tr.llt-
s poêles les rendent
l'U'lU
laïaiiLts
k-pl
us irisaisis-.ilile-. De tr
hll I I klS( 1 \TI"N hl--
grand
Mie-,
l'inlli
;enies piietl.]
tl.iUe
.■Il tri
.■inunents
uit me
A 1
me p
a direeliiui
et
.leti
binent e.\e
iiii cil -.ont
reer sur la tiiiat
lui l.Ke d une telle unanimné. il sciiibler,iit dilticile d
r l.i par
lt.de- le
M'
a du cii-ur ; la vie eintuuiu
Ldiul iiiia
rt du sièi Li
prcigres de la pln-ndi)gie de la
comme appareil In dr.iiili.pie t
et on rt
dus
lu eieiir eouiuie organe
la iicrleeti.'U iniiuit iMe
;t toul.inle, .in.itumistes
L-t ph
D
llTe- eux.
..itloii m porte
OUI était une p
le- expie— ion- pi
e- paroles
une imagination
letapliore- d'
(daude liern.ird e-t le preniUr .[
-ur ce terrain le-
•I
il e — .
lail- scifiititi
ne L-oUterellce ]
na d explupier )
.•xiirimanl 1
lle-
lormes pcielh|
d'.-po-itloii- de l'esprit.
L
■ iiiiai-s.inci
qui relient le eaur ail eer\eau
de de\elopper complèteilient
nomtirell-e- île,
ii.ir le cu-ur -ur
un erte-
laite
k
;er\eau. et
le lMa.iKlie-
de ncrl- encore il
uiettent auiourd liiii de deieloiper celte id
.nclu-ioii luili-c
utabk
- étals de r.ii
aaiiurahle
t Un, non ■
laite polir prop
sang.
u ti.xer le- re
ïlati
uo- per
-iiltat /aîal
.-lie Clepe
;pas-e. gr.
ircul.ition
aux imme.n-e-
.e rvfle ii'-
it i(Ui|oiir- m;- eu
u- a
lar
rc-pla
n i.i valeur
Itinielit- iMlthoii-ia-lu
■ nlpe ispir.uite
;l-le
iiiipe, rien .p.i une p- 'ur.'e.
.mlaires u'avaient-ni s!gn:ti-
é- poète- n'e'.aient.ipjc !e-
,lireXClKe.
llll .lit elle'.
lUe
jre.ltl
de
lie laite .1
a >orl'on!u
-lologliiuen
lei>cndance
4'-
du
lue-
.k-s
1 avait aie n - .
desi
lerîs
ellit'ecli.i
-a\ lui -ie
.iproii
louduneiuak- l.>e
.iir 1 acliuii excrci-i
Uclllellt. au llloVell
lie le Cteur
.■Il et
eut a\ ec iiiic clar!
lenient ce petit • ac imi-culeiix e-t une [
■ a seuleineiu i
i e-i .^ai>abl
*
pu I I r<l \. i Ml' 'S
I ^ I ,)Ni Ih'V-' rsM-lUOi tS
,ulc\cr un 1'
lie l'iu-- Je
a un uKliL 1 c U.iN.ni lait )'
li.uitiur
>U- ».i\.\utL-ui\ ,1 .(U
aiif \ iiii;!- ans
un irain
.U- ihcinin iIl- Ici iii\linairc
U en iMiulnuinanl .l'apii
eu i-a'iU
tcliiiUL ..rvlinaire. kiu-uv ci.
jM'ineij'i
anteic
,n la lacnlle i|
lie iiu il a Je iliani;ei
th.n a une nu.e exleneure
iicpi lele lU -
iiuseulaue.
rau\ lie- ^iinstiu
.leUl 1
1,,-^eUe. fUinie unis
ni. .leur-, .[in e.iininuni.i
ucni a se
unHilLe Lf-
aeruier- ue l'alUlU ]
mal. mai-ae pelUsaciv
.mU ner eU\
:-Ulc el li.U
t a iail iiuieiienaanl-
.unes nelA el
i\ .luliiinunes ai:
latu.ns.iuiU pui-enl aaus la lenipu
itnni i.liininine Ju sang
■u
aelh.r- ae~ i;angli"Us ne
lient entiui
a aul
les i;au.i,'ln
anetel le
en e.uita
^ pulsatniiis
1 aiieet a\i
ii'auisseui -ur
(^es eeutrcs
e >.es libres
lie l'ar liuiclr
iteur- 1 eur rôle eemsisle a .'Pi
kil..L;ianiines a la
.■,eur aaiis une Vie
limait ■.'.■ur s'-u
lever
a la liauteiiv -in
M,.nt-
luine suui
.Milleneineut
1 lutcrveii-
ltl\Utlllte es', une pi'<-
U..11 an o-u; . au tissU
11» ••- 111 u--- te* ^i^ s ..^ » . .
;- libres une iinnilsiiMi
au sv-,tenie iicr\ cU\
sUUes -i.iUsle eii-ur
lU.tre \>
lUu
lie l
HVssellt soUs 1 lUlUlei
amrc et aan- la.e-in-
ervcm un'teius. le
.t-ur Cl 'li-
ns acslines a re
i;nlafiser mu
régulateur- ne s, .ni pas
aiUseuLÙre- au c.t-ur e!
Ule.llaire aes ^aiUli"'!-
a la uaii-ui
l-„l..U Jes ini|HI
les uaimli.'Us iiii.tcurs-ur le'
lil-
l'ar la. il- u.r^eiil les gang
angiiiiiis a
\ 1\ es .p
.U\el..pi
ii.ellt pelKlaill
>.,ne a eo.n..niie ruliinuiuc. ^ans
aes LellUes nl'.aeiateurs. le-s gailg
1 ev^italiLii 411 a\ev une
inlhieiue regularisatrue
rapiaeiiieiii leui pr..» is
.11 de lori
ira.. t.ml .
l .ll.i.ra .l\e. l'.r.e e
l ire'
esscr a .i.LlU p.ir epui-eiueul .-01111
.1 peUl elle au~-i .1^- libres UUlsel
Oser une ..e
i,.iis luoiri..
rtaiiie resis-
e- ;'i..ailHe~
iuisenlairç~ au e.eur
aepelise! les l.'rec
in^lfoiis iiuileiirsai-siper.iieiil
•ri \ i\ e- I c e.t-nr. se eou
-,oU\eUl. ae\rail bientôt
let aes ^.iu.;li.iiis uii.leurs
laire.s au c.eur. '.lUi n M'.-
,-, ,,,,
pci ic^ l'.ir 1 .ib>'.i'j'lii>ii J
Aillai
-.iiil;M
aiti.- I'
.ir II- inc>.
iiii.- ini>(cur
Im1\
tr.iii~iiii-M
- '1'
,11 Ac
]ul\ :> \ IlllR-Uc-
Ii-!t.iit k ti.i'. ail ^ur mu
II.- L ii-iir .1 1 cil ,K'.|Uilli.r
iiiciil- -l 'it r.iiL- (l l.irti
l.c^ Lj.iiij'.uiii-- 1 l-^lllatl
-ciiIciiK ni If iiii> tics
1cm -triKtmc
J.in-. un Iciiips Jiiiiiic 1
;K|i
iiiati unuji
ll>C?1 i\
iiilciur
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■^.111- 111 .iU.l
il.ii\lcr ,1 1
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luuvcaux alimeiiti puise-, dan
11-, rcjtulalciii--
rccllf du lra\ ai
lu l'iui Ile 'Iclnii-
1 iiliK
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l'.ppiiil; mai-, eu rc_t;ulan-aul la
liiix uciN lUi'lcui-
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■iiauic durcc de lelilps et l'Ueeli
'ar des haiu
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.1 imileiiisne se di->Uni;ueut pa>
I
lies par leurs lonctious p
.•I la Ukiju dijiu il
m \ cllllelll cl eu
dilïe
d'
Ut
.Ile 111,
ai\Ktcl e
liai-, d')lll I eXl^telU
par la loi plu ~i'j|"f;uiue : i|'.
\ si, aies et
nu cxeilciil
stlil
leiiis aa\ cisaiics.
I éiiiiiiiératjou des uouil'icux /''
.///
i|Ucintul siii 1 une cm l autre e^jH-ee
Il d'iiiMsler sur deux agents iiu. "r-
\ centres nerveux en Iciups ii"riiial ;
arialiiiui a-.eeiKlaïUc de la tempera
es LtaUf^lions aeee
le râleur^ el allai
llgllulis reg
ailateurs ;
aeule
.arb'
descilidanlc
preinicrs ^ang
de 1
11' 'Us
i leiupcrature
cl e\e lient l"i-
reuulateur-
.e lail rciiiar.
st d'une haute portée lolietlolllU
.'tUjn e'i.
inbinee des centres ncr\ eux,
r se cantracleiit siinii
Itai
iciiunt et a
I Ki;s. uii.>s Kl-
intervalle-, re
dir
.IK
bleu d aiUri
.e niecani^r
-,iii;)siti'
-rinetteiit au
•ur daccoiiipiir -ou uiuiei
liiqUe a\ ce t
Il -erait de;
me régulante partait
te el sans interruplioii.
.■ntrer ici
■abl
ap
inotell s e
niucdialeuicnt a 1 ai
'iiir e
i U
.ricau, iiui, d'une- part.
lolUieut au toi'ctlunuc
ment bVvirauli-i
ll.lllL
e petectloii inilii
de laulre.
.■tciinineiil -' 'il r
'le d'o-L;au
loui eu rc.e\ain les nupuUiou-,
I i'ropre-, dispo-itiou '1
i|Ul Im sont i
me nie une
seau par '[
llueucé a c
l'action du
uanîilc
parc du corps ,
de libres nerveu-jc-
itaii'>iiscer
,1 ur dan-, 1
lie-, le
lions I iia.c a e
cerveau toute nue série
c r\ tlinie
L.i-lir de
de -eii-ation-ic
tere une
.loUlle de
Il laut di-tiiiguer ce
- -ont cclltnluiics et se
ces uiouvellienl-
lilet- uer\ eax el
aiiir.
la p
'Ut
îUtripete
reiulciU
-mveut
rcmicrc c-
uerl- rak-uu— an
je iiou-
1 le- battements du c
eau par k ucri piu
jUl \ out au v'cur p;
UlUi
;astnqué, -■
c- i;au^liuu .
cx.ilatioii du iicrl pueuiiioga-
it- du . 'i-ur cil aii.nuieiitant la l
aiii;uicn
le le n
.c . de
ibri
baltemc
irie >|ue le-
louctious
;rl- iiou-ollrenl leur repeti
ti.ui d
'teius cl rciitllatcur- -1
tue- dai^
i>iciiii,'i r^
de
un 'US eiuellt-
u-, tic- pratnp
lU:
,e ir.iv au inec.i
ripUoii detai
L-l régulateur-'
lie-n-
_-t iblis eiiu-e
table, cl
Jmotiou-
inolrK e-
siangl;
.-rmet de f-alUi
tibre-
'U- 1 ii;
itieiil coiis
la lor.
ure-p
iderabk-uicnl
coulra.-
'ciil ein "Ver au
'Udaul au ^r:.:^
deux
,lu cerveau au ciur.
a direction "PP'
De
,ounai-<>n- lU-'pi a pre
_-ut
_-tl
, ,iui .
.•rt- ae
,ut au ce:
clerateiu-
du grand -vmpalhniu^
trup
leiitit le- batte
Uerl a
;celc
nts en cil
linuuu.iu' 1
.■- deux
action ,le-g
C'ciir luciuc
-.tianiilion-
ir.Klu.i'"n-
l.Uk a.
jHcllUllde- cl tl
l'oUx
ilicini
,\l,.in M •
iJail c-t jUillu.
„uc Hii.in'iir.il'l
hk-Utlti. .1 .1
1]. .11 lii-lll .1
-. iiTiiiiiKiil II' Ml l'.i^ ua
Je- i;.iiii;lh ■11- i ' '1 rc-iniii
It- i^aiiiiliMii- III' pIcUi-. 1
iii^li"i:- l'cL^ii
1,1 uni
A 11—1 bicii '|iu K - libr
Il h I LU- 11.- mil- U'- i.
kl.
lll.lljt-lil A c\. ll.lU' >ll l"lll
I II. Il lll.'llU-ll->L L "II. [11. .1,11
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IcialelUi
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ilapi'r'.l'i-
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il.lll- le- dllk».clll- "liiail
ll\ lie "il .1 i el 11 .i'.lilh
\'..li le-- ll...^ iii;.- d e\,ll
lu. |...i lli'ii l'.'l Je iiulli
. . ( ; .• , . I. IV : .|
ee i|llj- le> lieii- eiiil- .kl eei\ e.iu
1- le- (ibies uiu-t ill.ine-, mal- il.ii;-
i.uiN ; le- ncil- .leeeleiMîe iii> .laii-
- llell^ l'IleUlIli.i^ i-lriillle- .1.111- k-
;> llK>i.l|er.lli lee- .kl Ile 11 J'jlell lll' )u,l--
leiir- -e lr''ir.elll .l.lii- un et.ll|'e;-
l'Ill-.Ul' 'II- .|lll le-ullelU
li.ll lie 1. e> eelltl e- .1"U eut etl e Lim
.lll.ill- lli'llli.l
le- le le-, ai .le-l;
N.
iii- -.i\ "Il
- i|llc le- eVk ll.iul- ,|iH
I- -lUil uk
elicr.lllx. .l^ei eell\ .|U1 .lt:l— eut -ili
Ue- CiMre-.p"ll.l.lUl- ; l"\\j^ellc et
t lire cki. lient -lUt'Ult le- uei 1- .leee
.nie cl ^abal^-elne^ll .le teiuperatiire
leratci.li>'.
■e iiileix eiui .l.m- le lUee.iniMUe de-
lllédlaile j .mile- lui i- e e.lil l llll^e-
le- .le- 'e
tlle- artele-.
lei'lïî. -"iii- .hi ^ rai 1.1 ^\ m j'ailii.|iie
e- pe ilei art. le-. t.llKll^ .pic leii
•il ...'luparer le rnk U\ .Iran
blliet-: .pu -tlMlcUt plaee- eiurc le-
Iplllalfe- et .pu. eu -"Uvraiit "Il -e
Au> Oll 111'. iU- .-.'lupkie. retilelit l.i
l.i leiup- vl' .une p.ir illl
t pa-i-eM
liiue> kilt un but eDiiiiuiin eelui
Il eifiiir et
l.i .li-ti ibiilii.n du -ai
l|"tre L.'ip.
riir l.e-"iii il .le
.- I..IKll"ll-
ik r.
,I,'.l. Jl.}. ,L..'.i-i
.l.cl.l
lI .1 ....l.. . Il [ll.l
le.- L V jii- i Ul.elil
.le- a.iP.- /-.
l'il I l.KINi 1 Mlii^ lil,-. H'S. Il'
lu-iue auiiu
al Mibi—eiit
ii'.riuales, t.iiitol maladive-, vpii
sidérable^ dau-. I.i eireiilati.'U d i -am;. ell.lil^elllellt^ .[Ui
.l'Mv eut .î la l"i- p
roeiirer .iu\ i.ri
lleee-.-lle .1 lui lU'.luent di'iiue
.l'.iLilier "Il eiilitre bal.illeer le-. U|itlilenees liul-llMç
traires .ili kilie-ll"liiiclllelit pli\^i
"r^iaiie-, la liiute perlci ti.'ii
i\s i-sv. iil.jl 1 •
seihathiiis e.'Utinuel
t iiild
it de- eliani;eiiieiit-
Ule-< 1,1 .pia
lllte d.- s.int
leur liuielli inneilielit. et
th
l"i;uiiie ni.riuai
e- api>arc
.:uii^i-.tc eu ee
tiuit eu pii.N l'.uiiut ,!e- \a
n.itU'ii-. liitiiue-. dans
dia
ii'.mbre et la li.rec des ci'Utr.K tii.u
^eiit eu rien l,i .piautitc de tr.i\ail
di.it "perer pi'iir m.iiiitenu la eire ilaiii'ii -ki -.lUi;
Iti'l le-. Iicrl- eelltnfuge- i[lll -e re
la eirciilatii.u -ou
t exeile-. dirce-tcill .-Il
Mitralc. an eervcau; tantôt tou
.niiuiini. pleut dau- 1.1 perii>lieri
eardia.pic-. il- ii
uiee'aunp.ie que
latii'ii du -.1
It aiiv "ri;aiie-> de
it d.iu- leur terni' iiai-'.u
les e\eltatii'ii-. .pu ^e
i a lie-. Uerl- -eli-lbles -e
.-tlexe-
relle-Llii-.-.eiit .,11 r ee- 11 cri- eeiitrilimfc-. ( e- e\e it.it i'.n- re
pri'diii-cnt den\ -...rtes detkt- -nr|l"U- le- Uerts e ir.i.uiiu-
et \ a-,i'-im.teiu> ; il- aui;iiieiitciit
.-nt,
.\ laide d
e e e - e
ttet- relie
.piek'.mpie .le iii'tie eaur mi.dlli
pare». un ti.iis lei autres i'ri;aiie-5 e
-m aeti\ lîe "Il 1 illai!
1 irritaii.'ii .1 une partie
la .prinlite de -arig i|iu
: nii.dUie par e..ii-.-i;.iiieiVt
le degré
■iir aelr.it
piise de milliard-, de eeiitre-
.llul
,1 un ire- haut .Iciire d une cMstei
e-t .lue -.nrtiiUt .lll\' ,K tli.ll- retlexes
uerls ^ a-Il ni.'teiir-
.1 k-^ iierl-,
aetiiiiii relle\c-. ti.iite irritati'.ii. tit>nte alleeli"ii d un .^r.'ii
te. 1 UUlte de lli'tre ..ri^aiil-UK
lire- di-tlIU I-. ti.ll-. d"Ue-
.'c ailti.lu.Ule. ictte imite
des nert-. -.eli-.lble-. -m le-
ardiaque-.. («raec a ce-
,k- e-ellllles se relkelut I r -.ta UtainelUe ni sur
ra.ti'.n des
a 11 tri
(.e-. mee.ini-uie- relk\es le twiKlient prairtaul a l.i
.|lle-tli'il .pu III. Ils (.eeiipe .pi
aiitaht qui
[U il- ih.us L-\pli, [lient.
.piellc pill— .lllte inthleliee 1 e\i It.litli.n de h"- licil- periplle
nqiles peut exercer -.lir la .pi.iIllUe ,ie -aui; qui b.lluuc U"S
eeutres ner\eii\ .i un ui'.ment .k'iiue et. par e"ii-e, [lient.
De i.
sur r:Kti'/ll piVilliili.glil
dcpciui
Kelcv.iiis p.irluulicre
m-ccnii-un-'s iciiiilaU-urs.
\ cil par 111' 0 cl
ik1\ ii:
AMK tr I SI' KIT
uc dek .ciilics lu-rvciix ipii en
iicnl le l'iiis .utniualiU- de ecs
;eUii Jt-. nciN Jcpic- -curs. dceoii-
1 iS(j(i
iicri> -ciiMbles >lu c.t-ur
<Hr"i>;.nni- cni"ii"niu-l.
l'oinpe ci.isti.pic o.iii
plh|iic .le ui\au\ allai.
.a\ lies >i>-s 'iiiaiitilc- de •
.|uc le diaiiKtic- des \ab
'.il plus lirand l'a l'irl
uiiiiiicine ciiisKicrableiii
c'iiilre -iir s'iii passage
'.■eiiieii\ ei produit parl(j
de saUii teileinelil siibile,
chaudière, l'.rs.pie l.i t
tailles limites, le d.uiger
surcle, .pli ccde a une i
diere contre lexplosLUi
de sortie
I c C'fUr possède, liii ;
4UI le garanlil c'Uiire 1.
plus parlait, plus ,,,inp!
pape> des cdiaudiercs. (. :
les lois que le cii-lir rc
ipii le iueliace de rupli
iicris sensibles ; 1 excitai
diiit une diiiiinuii'Ui di
jiar suite de ia.iuellc tuu
s'claruisseiit luiineiliatei
1.111'. 1.
i. Les ijcil? dcprcs.scur.s cl K
I .11 moi cl m. m frcic. pculciu
S.,1 Ui. l;uiuncux r.ippolt Je
l'.iiis 111 iv.nt .10.1 Je le prix .'^..ulliyo
1 .'illlcc iMi-.
.|iii. el.int les pniKipaiix
eu dlitei inineiil le rnle en tant
niinii|iianl a\ec- un s\stenie com-
bles, le cn-ur ciiiUenl dans ses
ang plus ou nioiiis grandes, selon
seaux pli en surlelU est lilus petit
retrccjsseineiit des petite^ artères
ciii la! résistance .pic le -ang rcu
du sv^tènie artériel ,111 s\sicuic
js dans le cd'ur une accunuilaliou
quilcourl le ineine danger ipi une
fusion iie i.i \apeur dépasse cer-
e iaire cxplosl'.n la soupape de
ertauH' pression, gar.iutil la cli.iu
en oii\ant à la xapeiir une porte
ussi. u|u mécanisme aitioregulateiir
rupture, mais inc.mip.nMblcmenl
liplé de CollslriKlioll -pic les soU-
mecajUISUle est le siiiv.iiil :^toutcs
oit une .pianlite .le s.mg exccssuc
re. celte alllueuce cxcitc les deux
on se transmet au ccr\ eau et \ pro
toiiiis des centres vaso-uioieurs.
es les petites artères de notre corps
lent dt oU\ relit au sang contenu
s 11crf5.C1clerdlc.11-. Jc>'>uvcils .c-dcliucr-
lljuJc PcniarJ 1 Acidéiuic Jcs S^icliJcs Je
1 de l'liy5i..K.gie cxpériiiiehUle p.uir
.-ciclU'o le tlKlu de Nell> de (.\'.
1.11 I EKKN. 1 \ri')N llF.s FONi;T1i
dans les caMtes ,lu c.i'ur une issue
\ ule rapidement et .uec lacilite . (a prc-sion diminue, et
loin .langer de rupture disparaît
NS l'SY. mol Es 1 ,1)
acile : le cifur alors se
Oii'oii se ligure un bassin central
sieiirs localités à l'ai.le de canaux d. écoulement ; au bout de
cescau.iux sont .les ecluses, dont la I
dépendent d un niecinisme spécial,
le bassiii lui même au moyen di
ment dans la plus grande
ui permet au ci-ur
u'il accomtdit et de se
lorsque, a la suite de la lermeture duii graii.l nombre
d'écliises. 1 eau m.mte dans le ba.siii a une hauteur ,[Ui
men.ice^'iltie inondation. ldu\erture de.s ecluscs s impose
pour peniielire .1 leau de sortir libreùieiit des canaux
et prévenir par cela même le danger immineul (.est par
un proL-é.lé i.lentuiue que les iierls .lépresseurs -.iranlisscnt
le c.eur de riipiure, a\ec cette suicriorite iiiimeiise qu'ils
remplissent cestoUclionssansl iliter , eiitioii d'une lorce exté-
rieure I adilterence n'est pas uni. pici
periectioii du iiie.anisiue cardiaque,
de régulariser liu-méine le travail
débarrasser .le loin .langer eu quel, ues tierce's de secrmdes.
iiKiis aussi dans le declanchemeiit .lu oinatique de ce mer\cil-
leiix auloregiilaieur
Les iieris depresseiirs. t.. ut eu louant un r.ile si dominant
.laiis l'aciioii ludrauli.iue du cn-ur,
que ucris sensibles, les roules piincipales par
toutes les scus.itioUs .iu.c.i-iir arrivent .1 notre conscience
sous lornic .1 émotions iju.uid le
rcgul.irite. l homme n'eproux e pasde
Iles que le r\lhmect UI iorce des c •
m.'ditieiit par rcxcitati.m des nerU accelér.iteurs ,.u raleu
tisseurs, nous eprou\.'iis toute une série de sensations cor
respondanl aux changements ettectués. Les sensations peu
\ eut être de nature très variée, et les expression-, citées plus
haut eu reii.leiil beaucoup de nuai ces a\ ec toute la lUstcsse
désirable
[Ui t< urnirait d eau plu
;nneture ou l 1 'U\ erture
mis en mou\ emeni par
' Conduits électriques
lormeiit aussi, en lant
les.lUclles
a-ur bat i\cc ciliiic el
e sentiments particuliers
utractioiis car.iia.pies se
il
licpi-iul
Ki-Ilv,,!!-. ii,irlic:iili<.re
niec.iiu~uic~ rc,L;iihil>;ur>.
vt-n p;ir iii"! ^.-1 I ii'l^iK <^
iK-rls -el)^^lble^ .iu c.i-ur
.prurgaiie émiitiniincl
l'oilipe cl.l>tl'|ile
pluiiK lie ui\au\ allai,
cavitcb dts .|uaiimc-- d
.|iie le JiaiiKlic >lc> vah
.,11 plus grand l'n lort
uiuiiiciUe CMii^iderableii
^Miitrc -ur >"ii l'-i'^'i^e'
veii)cu\ et pn/duii parli
• ie ^a^u telleUlellt >uhlte
chaudière, l.n-que la 1
tailles liniile?. le dailgel
sLirete. .|Ui eede a une
dière eiiiilie 1 explosion
de sortie
le e.rur possède, kll
.[ui le garantit contre 1
plus parlait, plus eoiiip
papes des chaudières. (
les lois que le c.flir fe
• lai le menace .le rupt
lierls sensibles ; 1 excita
duit une diminution d
par suite de lai|Uelle lot
s'élargissent iininédiate|m
.V'-lH ET ISI'KlT
[hie deji .entres nerveux v|ui en
lent le plus .idniirablc de ces
■chli des neris depresselirs. décou-
1 iS(p(>', qui. étaul les principaux
en dàerininent le rôle en tant
iiuniquant avec "un svsteme com-
bles, Je c.i-ur contient dans ses
,ang plus ou moins grandes, selon
seau.x .|ui en sortent est plus petit
retrecissemeiil des petites artères
i résistance que le sang reii
1. Lc--ln;lf> >l>;lilt-.-^uJ> et
[ .ir moi cl ni'Mi frcic. puitcn
,S.;r uii lumuleiix Lippurl de
l^t^l^ ni ivaii .ic^'-Mc le prix
1 .uiiiuc i'^u-.
sVsIéllic
eut
du sysiènie artériel
is danlî le cu'Ur une accumulation
qu iliourt le même danger qu'une
■nsioa de la \apeur dépasse cer-
de laïre e.xplosi..n, l.a soupape de
lertaink pressi.uu garantit la ch m
, en ou\ant a la \apetir une porte
lussi. un mécanisme atttoregiilateur
i rupture, mais incoiuparablenienl
hqué (le construction que les soil-
e mécanisme est le suivant : toutes
oit une c|uanlite de sang excessive
.ire. cette atlhlence excite les deux
i,,n se transmet au cerveau et \ pro
Il lonnis des centres vaso-moteurs,
tes les pictites artères de notre corps
eut et oU\ relit au sang contenu
es iicrf--.ac.clcralcai>. JcJuiiveil- .c> Jci nier,-
>l.in> Its >,.iuiKe> le ii.ini de Neil- de Cym
CLuide ilielll.ird 1 Acidèniie de. SeleiKe- de
MullUlvLii de L'Iiv^l.ilMaie expéruueul.ile p.iur
nnlEKFM IMION 1.1> FONCno
dans les cavités du c.-ur une issue I
vide rapidement et ivec tacilite ; 1
t,,ut danger de rupture disparaît,
(^u'oii se ligtire un bassin central ■
sieurs localités a l'aide de canaux d'i
ces canaux sont des ccluses, dont la t
dépendent d un mécanisme spécial,
le bassin lui même au moven d
Lorsque, a la suite de la l'ermetu
d'écluses, leau monte dans le ba
meii.ice dtine inond.ition, 1 ouvert
pi.ur permettre .1 l'eau de -ortir
et prévenir par cela même le danj
un procède uieiitique que les nerts
le co^ur de rupture, a\ec cette SUj
reinplls-e lit ces loiicttonssaus Tinter
rieiire la ditference n'est pa- untqu.
periectioii du mcinisme cardiaql
de régulariser lui-même le travail
débarrasser de tout danger en quel
mais aussi dans le deelanchement ai
leux autoregiiiateiir
l,es nerlsdeiiro-eiirs, loill en l>
dans racti..n iivdraulique du cuni
que neris sensibles, le- routes J
t,,utes les -eiisatious du c.i-ur an
-oiis lorme d émotions ijuand U
régularité. Itiomine n'eprouve pas
. Dés que le rvthine et la torce des
moditieiit par lexcitaiion des nei
tisseurs, nous e[u-ou\oUs toute ui
respiUidant aux changements elle
\eiit être de nature très variée, et
haut en rendent beaucoup de UU
désirable
-, 1>,V. illo! K-- * l y')
icile : le cii-ur alors se
i prc-sion diminue, el
(Ui l< urnirait d eau plu
coulement ; ai bout de
;rnieture ou 1 ouverture
mis en mou\ émeut par
.■ coliduils électriques
e d un grand nombre
,siii a une hauteur qui
ire des eeluses s impose
librement -les canaux
er imminent t . e-t par
dépresseur- g, nantissent
leriorite immense qu il-
velitlon d Une torce exte
anent dans 1,1 plus ^Fand.
le, qui permet aU cii'lir
qu'il accomplit et de se
lUe- tierces de -.econdes
touiatiqiie de Ce mer\ eil-
uant un rôle -1 dointiiaiU
-. iormeiit aussi, en tant
rincipales par Ic-.pielie-
iveiit a notre conscience
c.i'ur bat .ivec calme et
de sentiments particuliers
,imtractionscar.iiaques-e
Is accélérateurs ..u ralen
le série de sensations cor
dues, les sensations peu
lesexpres-luiis cileeS plus
mces avec louie la lUstesse
I
l)c~ aivci- la^tcui- p
:U' ^i- lultcllK lit
1 c\cit ■!• nii ii.iralv-u- le- iKMl- cuMi.uiiu-
,ckr.ilcui>
acr
liU-cii
t a^- i.ikt> i'Ui
~i a-airc a.iii~ I.
lartit
rt- licc
a tMU>
Cl iiiime le
iilliu ni. ■>n
iMaiiN: spinaux, i
-i.- ren4"i'<iciil e\ m--
. cxcllatlwll^ iimpag
nitic--
nuiu-s et les
ai-pi
c~t ~.iiiiiii>. ^'iii
t ae turc
ariete. la ancisiU
1'
4'
Il aaiis le- l'ait
cai-aia.iiic?. esi pro.n
.Tslle eulls
laiis
ICI. lit >les ne
i-
icprojeiir-
l.a laciiltc
veiiicius au !
meure
avec cxai
.-, et lai
liuiae
es prwauites par
ir. — ce»aeii\ lac
aillons qui l'iiii
II
illes le
\ anali"n> Je
slUcilis el 11 iilb les
hallle
liiecli
niiiu^ einei
a 11 celé
aispijsili
Ils ae la liiii
corps
jtc, l.a p
icpllls liiliiilellips a I
iiil
Il rellllir e
l el
iiialeriel que 1 iMUillie
1 c iiiécaïusine card
Huile blirlollt
iiieiit piirenieiil plivsi
aoiiiier un lalileaii cmi
Lireselll e
AMT Ht I s II. il
.1 i.liiiiii>p
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;lle alloiiiie
an s\'~leii:e iiervcii\ cci
>l'
iclll eUe ]\
_r. il-elll imites
lie -vstèint nerveux les étals
. ac 1 aille auxcjilels lliiiiniiie
.t ae
aractere \ aries a I Uiliin,
la
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;ill,iliiiii-. 'P
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ir ruiieriiieai.iii i
■ les lurl-
aussi 1 tiraiule
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CllIIlllollS l|
l resulle une
ic lli.lre Cl. Il
Is celnlrilugc-
lltekic
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iicrlsceiilrii
lar les iinai-
ills^ lellce 11 illU
k
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cxclt. liions
aaiis les batieinents au
rlscaraïa.piesreiileriiien
tk
lolre ;tu iir
^rjia
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s étals ae lli.lrc* aine, lole
re L-tat ineiilal. loiiu
~c reliéleiil
Icsaispo-
aoiileiir. amour
Il bieltvelilaïue
rcjuiiiliiiseni .iTr
-1 >l,ins
dalis la V'
laiis la p'
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extérieurs >le 11-
lire elal iiiora
Svslcinalkpieiiu ni i imiueiise
.1 lesaiiiinaux ollieiil a
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jioiil 1 ai jiarle a été jusqu a
son loiiclioiine-
oUVOIls ellL
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plel a«s cliailgemelllb ope
res .tans les
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>M r!o> s i'-.>i ulyi:i s
battciiieii
ts au cu-iu P'ar les dlttereliti
:r\ aiioii
~,ae
lie. sont clic >re.t
a.oi-
•>servation~ -ur
cu-u
auiiculie-
.Ués exi^clil .i> iUt tout
l.iut
lur les réunir eu nombre
. irciin--taiici.~ j
.li.inueinenls aaii-
Kirliculu reiiieiU
t licureux. a .lulan'l \>lus>iue le
le
.lll.pie~ qi
le noire \
le-
b.iUéiuenl
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Ik uotueues.
l>Un ehlelulll.
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ae rexperimenlat
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pie. .^lal^re
ut ae- aoiluee
Uebille- lile-e- lonJ.imen
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ni de dniuulies. noU.s
illlsaiiie- pour pou.vo-r
aies sur r.tat de depeli-
UoUVelit Vi- a V i~
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lier a \
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eu diluliUUi It du llicine coup
sfous : 'i
leriscnt a merveille
Hileli
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b mots
le
manlb atiibSeut pri
jils pueuuioga-
Ue^re Ue leur
teiueiits. eu j'
liUell-lte.
.loiiucanl
,L- M...->c...»j1
I
i8:
intervallfs neiuiaiii 1
Hl.iiltitc lie >ai)Li
,ijmi\Ktaiu par
un 11
^ clTorts cunsiiJci ablc
gllcbd'llllc certaine Joi leur, iliruvoqueiitluiiteune série de
pa^
-eii>ations exprimée par
..pf.i
.L
I cxpr
la plus
ncrl> p
lue
esMoU haïKMlse .1
;\aclc l'elal du
cunii)j;abtru|iiL~
u\cile trisle SI biiemeiil annoncée uu une seiisa-
lUelll SulUenl des iiaile-
tuwi cippressise Jirolonjiee prf)Vij<.]
lliellts )llsleineill delilU!
/./
/
/;//■///-
(.es liatlcinents lunuillueux. 1res raindcs.
résultent d une paralvsic
IcratiMii .iiie a
tte pa ahsie des llerl's ralentisselU>
aracurt tcait
pendant 1 excitation
t a lait distinet de l'aci-eleration 411011 observe
des
Dar
ibaUeineiit- ti
A
ti ini|UictiKlc
portable : il laut
ellorts pénibles |
une pressimi lre>
par une nuu\elli
lorte exeitati.jii
aiitiiU!
de
\ent |usi|U a I arrêt i oinplai
aie. am ;uissenieii
balteiiienls .|uand
Seinelil iiuand elle
1. (^el
-lait
les
iierls lardiaiiLies
leiioïKlre aux eiuotion
tluiseiit dans les vaisseailx. par leur internie
lits
eorrespondai
palear du \ isajie \
lenda
AME ir lïSi'KIT
.|ueH le cieiir pompe une grande
..eut p
.barrasser iiu en se
(.
;lïorl
s. aeeoin-
(ils : /.
'.".i
lorliiii
du
ttr.u !:■ Jiiii/iini iiiSiiih iil.
ir /■■
reiu
de la la
s'.. Il
i la suite de l'cxcitati
.lar cet inots : Iv
/'.(/
uf>i
des nef Is pncuinii.uastrii|Ues L aeee
eris tardiaques par des seiisatKuis
inultueiix. le sentiment de douleur.
Ile iusl|u a un degré insi
ip-
cff ur repei
isscr une liu'li
)èle ires lre>iueinilienl des
laiitile de sang [lar
jue. l.'etîrid subit, qu'il soii pri,
;rgl
\eufe OU tflste.
ris nneiiiii'
luit
ijUe t'.upiurs illK
;asln
j- batte
lUell
irrét est sinxi d une aeceleratiiui île
=• '1
ts du
le
ui arn\c
Cd'Ur et ■
elle
irisle.
;U}it Y
11 <>nl I pa
s k
heaUL
d un ralentis
clusll de
jiiii itiiins
it en meine temii: sur les centres vaso-niuteiirs et
diair
toilpiurs
.\msi.
it l'et'lmi résulte dune ci.ntracti(.n
nil-H KliNi 1 MloN UKs 1-ONi n
les petites artères lacia
les; 1
a rt.ui;e
le |Oie s
ubitt
un sentiment
larah sic lies lier Is \a^M nu iteurs. pa
|fjie subite, provient iiuii p;
ui
nerls
lais d'
■xs l'sYc.inurF.-
;Ur d
u visage, par s
UltL
de honte, résulte dur
ui. aaus
Vsie q
Liction direc
sur ces
action indirecte ifxercee sur ces vaisseaux
(lUr et les lier
1- de
ires-curs
intelIslK
action
-\"
a\ant tout du degré d'eXi
.le
le
itabilité des nerts 1'
:tte excitabilité est grande, plu-- les;cli.inuenients provoque-
par les émcaiuiis dans les batteinei
i\ plus aussi la
illsatloll i|Ue llo
Us ' eprou\ erons sera vive
l Ikv les leiiillies et les enl.lllls 1 ex
bien plus gr.inde que chez 1 homme adulte ; aussi chez eux
les batlcnieiits du cour expriiuei
aine a\ei.
bi
de h
t de lai
populair
doux et
j- lemines e
st le
lu- tendre, est doile
iitaiteinen
sens au point de vue ph\ sicdoulqu
e parallélisme intéressant v|Ui evisteejure 1 action sur
cieurde certaiusexcitants jihvsique. et chimiqueset l'actii
des excitations ps\ chiques mente U le atieiitioii jiartKulier
l.
ox\gene et la chaleur agisscot str le c>eur dans le lueiue
sens que les elUotlolls agréables et
orateurs L .icide carboii
nerls ac
émotions de'primantes et triste
-1
iierls pneiimouastriuiies
En d'autres termes, les lacteur- iitlles et nece-saires a !■
Me. qu'ils Soient phvsiques ou psychiques, agissent d uni.
manière nnilorme sur un groupe îles nerfs cardiaques; le-
lacteius nuisibles sur un autre groupe
Dans i.i vie ordinaire, on a l'habitude d'attribuer un ...(,;/
Ji.inJ a riioiuine bon. qui s'inlérisse vlxeuienl au sort de
11. un
(i ///■ I riH
.1 ri Ji
ra|
iport établi eiitr
iir a été parl.iltemeiit saisi ; chel' l'homme qui assiste en
;ront forts.
itabilile de Ces nerls e-l
l ils les di-iH.sition
ilité
iil.int^ i>n
t le
t tonde
. optnii'ii
.i-ur plu-
io\ élises, en excitant les
ne et le Iroid. ainsi qiu
s excitent les libres de-
ui ralentissent le ca-ur
-■uoiste
iialite- niLirales et l'acliiui au
s;iect;iteiu- iiulilTciciu a
tro. les b.illellK lll> hMl
au
1 inlliK 11^
ami
a
Il ucule-
Sl 1
1 ctal
irciui a CCI- m
e rapi"Ht i|
m existe
u \n" a |i
.Nprimc par
im ~ai--ii' et r
pcup
.IKil'i
if? iniiDiiiliranks iiiltuci
Kl
plus li-ap
ac5 a^îi npiiiius acs
piictcs aes leilips k> pli
Aniar./Li tu saintiit. l'clrai-.|U
:i Ik
-t-s fXlUClKU
. leniciit. aa
• i\ l'e»cs cl le;
> ail >l\le
iicb. la >iim
L-s laiisi
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iai-tc5se ae- lien..ii, p,,é.l.|U
•1'
le la sliiilluu
i"
ilit
tulite
a laii'e iiiniirir I
i par une aoiileiir
rb a^
-sellls. Il
iinaiiiii.- llJ^J^lelnp^
aiacteies
ai 11
crciits et .
is le> bati
ûi iiiiirt. mais
.aile
liaai
a>
alieialiwii- patln>li.gii|ii
pp
il.
si t' /iil aussi
MJll LllUI
ji aux vaisseau
peut a
aeti.Mi
pas
que IKjH'c VU
AMK Hl I M'Kir
IX j.ut- 'lU aux
t lents ei iraii.|,uil
(Utraetbuis. .\\[ eo
lUllranc
'luine
luelK
iiiraiie. siiiit Iii-
ae la chaleur, elle/ rh..iiiiiic
;,ii pi-.icli.nii
entre les dis
is ae 1,
<i bitii e.uuprisel si lusuineut
plus li..ile raison les pnelc- ..Ill-lU
.iiiua
c ciKore p
recipriiquc
au
u'ur cl au ecr
bla
larlaiie
laiil .|iie la resseinhlaii
iisatioijis earaïaiiues laite- par les
s ailïételits et aes peuple- le- plus
.11 italien.
les jterines pres^llle uleUtl.ples.
.nlïra liées prip\ i..iuees par I aiii'.ur
.iaiil nuii a laa anlereiiie
e jieb expressions ne
leUt
.eiisatiuns.
1"! 1
iriui\ e la
rcnun|jer piuiriaiit une
crus ae ruptures
aibiu
iràe'e a 1 aeii'.n i
vin eu-ur
re\ elllu e
.inr •■(lit
ne saurait se aeelllier
pri)lu
llaees. slirUiUl si elle'
swlit .
ti\ icnheiil la eailse
.•ineiitf an eu iir. i
lelltentlent.
re\ irclllellls
)en\elct- -ellie-
le aé\eli)p
.•nie lit
s de
aeeiiiiipagnees
1 iiiiianisnie ii
ae nulles
K
ur swut
iiexael À<j aire 4Ui.n peiil taire taui
InniK
lulls U
neils
s. .m in\ lai.nlaires.
iiite liileivlcnne a.
UhH.HIA' I Mil IX hK- 1-OXi TU
lu un lue lia lainais
aeiix eas
cUiqiles v.lpal'les
éprouve ees elin ■
nue lexeilaliiut
Mell 11 11 c\
e ta
M'i nu au
MUs
Ac faire p. nier s,
in.iis a\cv l.iut ae liliree et-i tre^iueuiiueiU.
nerts
^ardi
ibiliu
niip
V. limité
l liât
.iraetere iiiv^
taire des eh.lin;eiuelitsetleetues_
-ur et les vaisseaux
ps\ i niques,
ae la
j- eh.iin;eineiu- -.ut 1 : -eiil teinr.iiinag
.rite ae iiiis seiiuineiits (
.•xereiees, a exprimer
la V
n.x.
sion aes \ eux et même p ir des larmes h\poerit
aes -entiineiils qi
Mais le plus -raïul ae
ni nuev r -..u ^ a-ur a
limei.i .pi il c xpriin
épriuu v
.11 n epri.uve p
ieiis n; saurait p.ilir a
lattre ae la m
i lueme ;in'aravaut il .i
seullineii
t, il ne pou
iiur
.■haiiaeiiK lits corre-pona, mis. qu en rippelan- .e
sculimeiil a son -ou\ einr.
-n e\ llei
.in.
a. s
-1-1
\ si.
. rreiiis
inenls et vUs
. tats alleelii
s Ov.
1 acee-sib
lie .le
iil\ Sll
■eriames m
•msles a.iiis r
jtho.
;luat
eoinnie par exenipl
a erreurs -. ..!> eut
_■ lapleih)
■apiiales
.JXpel
> w
ineiitation
jii a y
nn.li.
.11 peul lire q
llegll
■ lelKlre en eoll
siieratioi
aails 1 eUule aes iuoU\ eiueills rvtliniiques. etail que
Veinellls .lu
. " ,1e nién.e v]
iiernes. ne laisaie
.le la .
me ni s
is..unee el par e.
. oil est bleu toTi
. Xerèees
.\ir le
l.s\. tll.jt t.-
son cu'ur .jne dans
émotions
lU bien il :
aviuc
-i Usée lusqu a
n V loue a.aeun ri
inilueiiee aes e
»n peut .irrivcr.
exact
a loree
es taeiaux,
is le luoius
du lUolule
.1.
.iniere exiuee
■a provoqi
dans
j niiîiue u a p.is t. .ni.. ut-
llls -es éludes dcsseri'.';
ivalt s .itlelldre a eV- qUL
ijeetiv es.
du ea-n
r.iplue
r elle/ riK.nviiu
.\l,.ss.
prese
liolognes ayant reeuur-
- ete aiii-v. el si. niéiiie
qi
ilsatu
elle 1!
:araiaqnc
l.ili
is .1 il
m iiaiire aneuiie a..iineL
nel 1 111 seilsaliolls
.lu
re que les
ller\ eux el
m senti
loiieli..ii-
à
i«(i
ne pcii-. tnl elrc t xpcn
i|Ut par le \cnlahlc piiys
( ^(.jiitraneiuciit a 1 <']>)]
" t nnï-iilciait lt-~ M.-iiliinci
|itiiie parlic ilu iii.iiulc
/'m. //,-/., vol lil. V eJ .
liigic du LiMir 11. m s appif
la rc-i.hcri.lic Miliictivc J
ipii s \ livre ne pusscdc
de la physiolojiie du cit-a
<ib|cctivtnieiil des uiiUu
d analvrcr i|Ueliiuc5 kili.
l'iiS>edaiil un eu iir 11
anglais ap|icllciil .m uni
an ci.urs de ma \ le nu
iiictlrc a 1 ohscrx alnni iig
lc~ pr.ihli.i)ics pli\5iidog
jamais hcsilc. a litre pu
iiiMii C(tiir dc> clliiri? jili
uiciiie dantiereii.\, ijnuk:
piutiit pclit en prcipurlii)
1 .ii niainicï li)i> Muiuiis
bluilï. des C.\cr..iCcS des
d cprouver ~a resislanci
1 ctude do réaction? qii
>iir ie ccr\ ean et de> éti
étaient la Lonbeinic nce
a laide de la pri<\oeati
lurent mm im.inb iiistrii
• ditcnue? ,1,1 mm en de
iillrail rarement de graiK
perience aei|ni>c durant
i(LlU>b01t IsideS du reste
riiiivcrturc de la cage tli
}■ étant niainienue pend
.i.'.iK 11 K.-i'kn
ncntalcincin étudiées a\ce prolit
ologir^te.
icm de W'iindt que le phvsiologiste
is et les alïcetions coinine laisaiil a
es cxineniellts ohleettia « i /'// i-
p yiid,. les dcmueesde la pliyslM-
niieiit ijne. même dans ee domaine,
ut lorçem.enl rester stérile, si ivlui
pas tinjc cwnnaissanee appruliuidie
et II a|pas eu l'occasion d observer
rs de LU urs en pleine aclivilé et
êtres de cuurhes cardiai|Ues.
•s excitable ce -pie les médecins
ihh- Ih.iit.. 1 ai eu plus d une Uns.
iV. einenlec. luccasioll de le sou-
lUireuse. l'our cherchera résoudre
ipies Irailes ici, je n ai d'iiilleiir~
■ement expérimental, ,i imposer .i
."siilUet et jis\ clliques pénibles et
lie lc:\oliime' de nioii cœur lut
avec m,i Coiistmitieui robuste, |e
au suniieii.ige pendant des asceii-
rinie mii d ei|iiitalion, et celaaiin
loiic aonnellc : de même pour
; nies nert's i,irdiai|Ues exerçaient
ts einijitioniiels secoiid.iires qui en
.es reiulliUs des expériences lailes
,in. arl^licielie d émotions varices
.tils If'liiterprelalloii des données
ces essais et de ces observations
es dllliiculles. et cela grâce a l'e.x
ie longues années d etu.ies sur des
du cojps. soit Lusses /'/ >ilu après
.)racii|iie. la circulation arlilicielle
ni de^ heures et même des jonr-
lllHl.hEN( l.XriON IjES i-ûNCTIDN-. fSVl.HUjrK-
nées entières. Karement le lus oHlige de. recoi
l'interprétalicui de mes (diservatioii
ductioiis graphii|iies a l'aide du |sph\ gin. .graphe ou du
plethysinographe : si vive- étaient dans ma mémoire les
ipiages des Courbes cardiiUjUes correspond.uit aux l'.rmes
même anormales des mouvements du ci-ur
1 iiiterj.rei.ilton exacte des graphii(ues obtenus .i 1 a;Je du
pléthvsnu.graphe de Mosso ou dinstrumeiu- analogues pré-
sente, p(.ur le non initié, des dilticiihes sl.iuciu iu-uriuon
table-, la Contusion -e proviutt Jaiis lintcrpret ilion des
oscillations des courlies occasionne ;s [i.ir un yraiid nombre
de lacteurs, tels que la pression san:,'uine, les pulsatiiTis car-
diaque-, les mouvements respiraloiies, les onde- aniticielies
de Traube. ou le- ondes spontanées de l. von, eîc (.e- vana
tioiisdans les co il tractions cardi.iqut s pré-eiHcnl des nuances
a peine saisissables. iiieiiie .luaud e le- ont pour origine des
mlluenccs phvsiques naturelles ou artiticielles ;ir .voquce-
piir 1 exp.eriinentaleur Les v.iriatijoiis due- aux émotions
l^svcliiques s. iiil encore mtinimen' plus coniplexes Aii-si
Lexperimeiil.ili. .11 subiectiv e et obiecti\ e. siuuiltanec. peut-
eile seule -iieriuettre vl en saisir Li véritable p.>rlee, .Vlais,
d.ins Ce doin,iine comme d,ins bien; d auire-, 1 experimciitii-
iion ne ['eut être entreprise a\ecd
par des savants. \ erses d.ius l.i ph\s
In autre problème, iniinieinenl (le au -uici que n>Us trai-
tons et dont 1,1 solution est .Lune grande iinp..rtauce -pour
la psvchologle des sentiments et des em. «ti. .n-, peut être
tormule ainsi ; les terminaisons ces libres uer, eUses sen-
sibles, situées dans le c.eur. et surtout les ceiluies gangiion-
iLltres peuvent elles provoquer Jnwl iii.ii! des seninnents
et des eUK.tioiis soUs de- inilue
sources , lue le cer.ciur les puis
subjectives, aux repro
s chances ae succesque
iidoLiie du c.iur.*'
ices provenai.i d .iuîres
tioiis c.irdiaviuâs dépeii-
i
delU. en ^e .1111 Concerne leUr iuiljlbre. leLir .uiree et leur
inteiisile. de i état d excit.moii du -vsteinc iiUrav;ardi iqiie.
et les sentiments et émottoiisa-iirigtine centrale iie ;ii..dilieii;
<l I
m
>.t> lul-^atiuii- i]iK p.ir 1.1
di)iK-,i.|ii)Llirc .|iie ,lcs ]i
l'ar li,~ ex. ii.iii..h> ii(i,iii
i"ur .iaiis ijmHc ...h^ckik
l'e^p. iuLllit- ] i\> llomluc
eilaiii.ii I ,,r,lre Jiiiiin|iif
caiiabk> .it m.Kiilicr lc> -j
1 iinciiiicdiaiix >ies cciilic
i^rairl ~\ iii|)a!lii,|uc. licaii
cM.il. (le. le- \ariaiicwis J.
Mlp'ii ilt,> t;a/ À
Il -aiig 411
inilUi]-..;!- lier, ell>e> An e
U> m., m eiiK iit> (»\ehi>ii
.■■ei.î:iiicnl> Je j. .le ..Il
>.)i.^Iier\ ei]?c- ae^eleiairie
?cll.eill> lie la lelnperalure
selinuieill- .ie Je plaisl r . .y
J ir leb- lenuinai-. .115 iui-\.
sellb i]lle le? a baisse lllelijr
1 .lii,.:ii.eiilali.,ii Je la .juaii
'.'•iil'.rilieii.eiil a nie- !..
-ltall.<ii ,^alli4ll.,|llialie. les
e\ei\er -ur le.- -aiiuli..ji
ij'llle- ,ill ,,i ur la niellle .
i'raux. Il -eiiiblerail J.,iic i
.ie i .;>ei- 1,11 p..:irr,iit rein
re..i;!,. la 1 ep. .ii-e_e5l l,.iii ,(
.le le . i.,iic I a rep..ii-;e al
.elle- .|UesI|.,n iL.inelle : I
IKTluale- .,11 ili,.rblJe>. Ile
'.■..'.'. III. ii!\.\ ,iu iciups a ai
1 \"ir /., . .V,, i> ,/., (,'.,;,,. ,1,
: Ni.ii-- r.ii-u:i> .ih-li.i.iu.n i.;
.' li.ii".i;,.i. le- .,lt.Ji,,;i,
'".'-""'■ i 1'- l'.l .1 ,~,.iv
ami; 11 i-i'Hir
\i>ic .le ce -x-ténie. ( )n pi.iinaii
..iiilieiili..ii- ideiithiiie-, pr..Jiiitc5
•■ .iu e.:. 111-, piovu.iiicraieia a leur
e .leb Helilliiielil- cl eiiiolion- e..r--
ilSeSMi.iil cil elle! le- eaiibe- .IcX
= 1 pll\hi,|iic .,11 ,1 ..iiniiic iiilcnie '.
ul-atii|ii- ear.lia.|iie5 avee ..ii -aii-
. };aii,i;|i..iiiiaire- .lu eervcaii i.u.iii
;<(iip Jie ec- laeleiii-, Jel- .jiie. par
: la leimperauiic ..11 Je la e..iiip,,
e-.cur. e\eileill les 1er
arn.-u I
ur .le, la
niêine la.-..n .pie le I. nu
i'l{illle eelilraie ,\iii-i. le-
j.lai-ir e.xercciii. -ur les leniiinai
e--. la i|iciiieaeli.,ii .juc lesa.erui-
"11 eiejla .lilaUlUe J ..XVjielle : le-
.ie Ji.iileur agi-sciit. au ec.iiiraire.
;u-e- iiuliihitriee-. .laiis le lueiiie
àc i.ij leiiiperaliire .lu saim r.u
Ite .1 .ilei.le earb. iiiiijuc -
s .iellUellle etlrol-ieine ,ie lex-
exeiui I..11- ]i5velii,iue- Jc\ raient
^■1 -ur leb tenuiiiaisoiis peri|)hc-
eiiou que -ur leur- cciurc- cere-
U a la .|lle-ll..ii ipic li..Ub ■. eiK.lib
dre .r nie lae.Jii alliriiiative l.n
elrcaiib-i aibee .ju'ciii serait lente
iriiiaii?,e icrait lureenieiil -iiri;ir
"lir.jujii les e\-eit.itioiib interne-.
pr.uii,|iiellt elles pas. ... ..(.</.. ;<-
ire. lit- e 111 util. Ils aii-si cm pli
J--- a. iiihiuu.e> .-uii.-.ili.,.,, .,,. ,,!,.. il,..
-. \ ..11 .1 .c iir..|ii.s. J,.a, Mit
l\..ll..Il> .lue j'.ii l,,;le,, .Mil in..:
i.ii II K'i:\i"i uii.v i,i> msi Tl.iss iis> 1 Hiijrt.
e inéiiie .[ii'ellc- '.'n»-
e^ scu-atu.ii- l'eiiiblcs Je
.pieL- .jUe laiiLuir i.ii la lali.usie,
i.i.|iieiit la er.iiiite Je la mc.rt ..u 1
aiiiiine Je puitriue? .\ .itte .|Ue+tioii. le [ih\-io.log!-te
p..urr.nt re-pc.n.ire : pcMir le- même- raisi.ns-.iue les iH.-Jit
.Mil.. 11- p.ltlli.li.iilque- .lu I ib\ rinlhe de l'i.relUe wU le- exci
lallciiis artitieielle- .ie- libres uerv|;iises Ju !ab\riiilUe ne
'L-iii.-ii! . Je- sensaii.,.n-
• ils en -enleii.ian" une-
-..nate .le .Nb.zart ..u une b\ iiuihimiJ- .le Heetli'.ie
pr. .\ (..|iieiit I a 111 ai-, iiieiue .,, .r s »..//;/
, .liai. .unes a eelle- .ille 11. .11- épr..ll
1 act!\ te rellc\e .le il
ieniur. rihii;er ivait
Je 1.1 nu. elle des !'.:.ae'-
li.iae-. Depuis h.r-. Je
{'yàn^ -..n iiieini.r.ible ..luraiie-u
nie. elle epini.re'. p.iru au -ie^le
iltribiie au.\*eelliiie- i;aimln .iiiiaire-
tn.Jls -ell-urlelie-. e est à .lire p-\el
11, .mbreii-e- reeiiereiie- n..nt lail .lue ei.iilinner l'opiuivjii
.ie i'tliiger l-.tani .iounee ma ta..(iii ic ditïéreneier Iès
lions ps\ elih|iK-. je ne \ (.i-auiune rai-..ii \alabledc reluscr
.les b.iKti. .ii--eii-i.rielle-. meiiie au> cellule- aiiiiiliounan'cs
.lu i;rand s\ iiipalhi.|ue. .b.nt l'actr. ite retlexe est prcHiViie
.l'une laçi.n irretuialile ; i -avi.ir,ui| lï.fimlii.iis cervie-aux et
lle\es ine-enteiit. ainsi
riaiice toiicliimneile au
e ( eci aJinis. rie'l lie
lllribile Ci; ilenielit ..UX
vchi.iues analogue- la
.|Ue lii .Us .i'.uiis p' .-ee.
111. iu\, se heurte a Je
;s i.bser. allons. pi.rtaiU
pi.urr.iieiii elles phi'...l
tli..r,i. Kiiles supérieur-, .b.nt le- r
.jne je 1 ai montre, une «r.iuJe iinj
p..illt .ie \ lie .ie iactl\lte ear.il.ii|U
s. .pp. .se 111.11 plus ,1 Ce .jile li.u
fjantilions Jii ..inr .les loiiclioiis p;
solution iieliniti\ e .ie cette i|Ue-tion
.1 1 .llde .1 experielU es -ur .les ,ini
tiranJes .iilliculie- -\iis-i Je n..u\ell
de prelerell. e sur Jes car Jl.up.le-.
contribuer a leiiici.ier-
I |-.a..u.,ra l'ii,,^,i l>:i
Il / -tUûfli H.ihu, iS;,-,
.'..M, lue Ijcih, s.. le iiii.t Ijci-l. AiJn
/> 7
V..1 l..\\>
f I'
I().J
.1-. I.AiSI'Ki.NI
IMI 1.1 1 ' 1 I 11. 1.1-
IKIN^ i-^V lllMll
l'Ki 1 .
i.Mni'> <.,'ri Ml i'.\Ki-;Nr i.ics icin( -
hs MAMI KMA lliiNS Dl. I.l..-,-
.c n)i:)<.lc el le- c
! 5<:ii> prc■^cntcn
iiuhlio
1 le
iiiaiiu-lroiilicrt;
Mir lequel Ic^ clli .rt>
)liii.-> ele> [ilivsi<>li>nis(es cl des phi
nibl
.1- .\..Uv nll.
Mb cs^; \ei'
de liMccr Uc
;iiiame. iu?si ii
ligne -de déniai catiMii qu
lOiilîle ne 3aUl'Jl
Id
de la iihilusophie bpci-ula
l.c i)aHn'al.>lc ne dui
solide àc^ iaiti cxpcrinieii
Il i.b>erv(
■ il \ eu
philV)~Mphc. au c.uilriii"
riche
ifb Je ..liiciniie^
lacuhc depell>er el >ur se
..ie~ ^lecle
lui pcnncUeiil
■ les p'
dutil
lue ne pourra
t l
a pii\>iol.
.■e^^U& de
le des orgMle
i e>pnt l'oU
nr a des appareils
niatheniaiiqiieï I.
appliealiies au.\ \
id;
riiducl oiis et
loilellons psvc
Seules
lnell^uralnJn^ .te leinpse
le lab\-nnt
Jaii!
iieiieraux. qui
■ rcpl'esejl
h.nt iiart
latioiisd'e
m Dl 1. iiRKii.i.i: i: 1 i.a vik
i> lie li|)iuiii')iineuicnl des ni'gaiie-»
le pi
lus iniiiiirtaiii
diiHIle
re^ullat> très
dans
les paragrai
aph
es sui\aiil>
Kttemellt que pos
a reclierehe e-Vpcriuiciitale
:ihl,
lasser ; au delà s elen
J k
lianip
l piniais abandiiuner le terrain
llelUc.Ut déniiilltrés ou scriipuleii-
pou\ <)ir en tirer des luis valables
^ tiuuve
en [
losse^slon
d lu'ljolllvses et de théories sur la
i
es treM.rs. acciiinules pi
ilus puissaiii> de rii
ser. av:ec plus
de liberté et de coiii-
i: faire je ph\ si'ilugiste. les dijnnée>
de l'étude de>
ide
ddss
eus eu vue
;e laire. il u a besoin m de reeou
islon, ni
et la mesure ne scnit que rarement
iiqi
l d <
spi
iph
i\er des torinu
le>
aux processus
de r
)\\l
peuvent être suuiiuses aux
;t eela,
e, des deux sens matl
a la pre
huatique
inher
et de temps a\ aient été i
rente de notre laeulte de
liIHhKESi.l
\rio.\ iit.-, i-oxe.TlON
L's |U-m|1
-sprit.
^.d
eriileie-î années c
■ m
devait être : baadonn
-■i aii\ luatlieiuatK'ieii-.
.Mais.
a maintes reprise
d établir pareille
lUU'Uiu iK aient ei^ave
d'armi-
meutation spéculative.
.'iir
ellorts s
R.
.'minent encore, (,arl Slu
4
riguie par vnie
• ut lu-qu'i^
npf dut a
ilgre
lie direction dans laquelle lei malhemati
JUS se son
t engages en adoptant la
Iran
-ceiidelltale d'uiie
jmetrie no
reU'-'^i " ni a proin er i origine irans
trer. d une t
matique-., m a taire reii
dan
luun elle cuiiceptU'ii
5 le caure
as'i
^*1
de I
.1 coniiaissaiice. ni a etalMir
d'i
laire Ses r
ai>port> .i\ ec
.- Il'lthill'- d
iiii--saiice .(
uie\ UahK
tiiurnlous '
niciit amené
eptatUiU di^vlUelle" IU.pUs bouillies
■ US nous
Stuiiipl. dans c
liarises avec la
cette raison qi
de cet ecliec ne réside
fait oue leb mathéin
prcihlemes en
■ II,
p.
■iii.ilii /.■//.%
Seule
la pi
u :
logie experimc
metlujdeb necebbaires
deb se
Us destines .i
iir [na.i:
aire des
lions provo>|iient les represeiitalii.in
Il n existe pab de perceinioii sans qi/uiic beiibatioii la pre
;de
pa
s de belisation sans excitation prea
.le terminaibOiib
et
\ eiltliiil
ie factelMb d excitatlnii eX
jonsiderali
qui
se recla
15 auraient .lu arrêter ai nu.iiiis le? ^
inaieiit de
enipinsuie
parler de perceptiDiis senborielles q(iand ils n étaient p.is a
Cul Si
uai^a.
ItcOii
KM
une de purs prodi
aux [
ihtl.
restes ste
iceptloii pureiuei
euclidienne,
elidelltale de
Il satislaisan
Is n '■ni
lu.lthe-
te. leur
irotileiiies généraux
lacoii suttisamment
m de cou-
coin me
le lise
iticieiis siuit peu laïui
théorie de Is connaissance, ui.iis plutôt dans
uestii'U ne p'
■iil
■• /"'
.pl,._
entait était en possession des
Olsten ce de
s org.mes
itioiis dont les percep
. de temps '
csp,
lable de libri
excitation sans 1 iiiter
eriies ou iiilernes l .es
^her de
Il u-Jer'teîiirl ,Ui l'iiili/^ophit. Di^cuuis ri;ct>ji.U
,%
i
;''
iiiéme, J'iii.ii.|iu T k-- iiii
etro )icrvu<->. liii|i.,s-ihU
-.p .iiit<.> t'.riiuil<.> inallii--
.111 ^le Miphi>iiic> iufiL
ri. t'IlClLllCS dLti.ic M-Ul CI
iiiLth.idt- eiiipli:\ us ( >
III, lll ,11 I.U,lli ,/, I.
.iirii.', ./ .iriiii'iiti\ r I < i
i\ i/l, ,J .ipf.n, i/> >, ii>,in
.'.! piii .ft/nni J, •■ //■.//> ,//
,/(./;•, i l'iiSi hih . 1.1 i\ pi\-
~i,'ll>, , I 1.1 . "llll.ll>>.llUi
(^es appareils M'n>. .ricl
svXciuc ii(j tiuiM^aiiaiix >fc
uns aux auiru~. 1. 1 .pn. p
jlKlldcllt a 1111 s\>li.-iiic dl-
ih\ i.i /i />/-.■>, ii/.ilitui II
. ,iii>, irih r ou Sun .ihslr.
[ .irl.iil. iiu lil ^.-nir ,/.■ /
. r.-.i/iiiii .i: 1.1 ■^.■•'iiii-liii
.iii>>i , .1111.11 1 .i/or^ pinir I'
■ .-•.;/// , li\ iii.iir. ' h'i, I , mil
.lliaïui iclabli>-ai> la mai
M-iuiu'c ce svjlciiic idéal
je litre V(Aai> vagueiueu
expiisee? plu> liaut. l'ai
.|ile5ll..ii. l.e luallieiuati
piiurïui.re tel exaiueii .
liée? précieuses puur la
A\|K IT IslKir
uus Jiuil les seiisati. iiis devaient
dekuier 1.1 dilliciihe a l'aide de
liall.plcs. de lllicsse~ diaKA.tU|lles.
lieux. 1 ) ailleurs, le suceés de-
dernif.re instante de la valeur des
,'/.• > /. , .'.V s\st /"■ "/,.(/. .■ . Iîli,-I\-
'/i.wii/i i,'.'.' r\p<-iiiii. iit.ilr, .iiii . >/
>/./;.., ./.(/» I,- l.ihiïiilh.- ./v /".'-
/.•> .N/>r. i.iii \ , .iii\ijiii'L^ ni','/- .L 1(1 II. s ,1
wtiiU - i .ll\iill.lL< ./II! tlUpii.^.-Ilt .1
,iit.Ui 'Il .l'iiiii-sp-u.- .1 II- ■ ■ .inii.il-
J,-s iii'iiihm.
■ s'/iit V uiistilués. Mil la ' u. p.ir un
nii ciriiil.nres. perpeiidu iil.iiies les
leur pijsilioH .mal. uni, pie. erres
trois ei/..rd()niiees reelaiimil. lires.
in.'./i.ffli ,!:■ .. ^.■•l.iiu- ,/.;,'/< iic/ii-
,lii'il iJr.iL- p.ir Ilot!.' esprit .1 pu
Ht ./. .i.-p.ut .1 /).\'..irl. .' pour l.i
.lll.ll ■/(.//(. . Cil.- ;:.'olll -ti-ic. . ■/.'.■
■igiiu- ', /.";. liiiiiih-ni.-iit .i.> ..vii.iiix
>/.■ /.f i'','. '///.■//■/.■. /'/:',(. .'/,/.■ l)es i.'-7^.
iere dont se l.irine d.uis ii. .trc L'un-
e tr.Ud e..(ird..ailees recl.iiiu.iiaires.
; eeliii ..rigiue l'.jin lie^ i.iisuiis
hésite a examiner .ie plus près la
;ieli .|(li s ad.uiueraii a l.i iaclie de
e^ueiliterait ccrtaincineiii des don-
diilostiphie lie sa seieiiee.
l.lii ti<h;Nri,VriuN I.KS tOX.ÏlDNS l'SYCllUjLKS
V - _ — I A 1 <i|<. ,iA I lii.N rii Nui Kl. Ri;t'Kl ^1:N 1 ATIiiN'
h'i .\ ^.^^T1^11. l'K ll<^>l^ ( Çi >Kl)i i.\N I.Ln KK(1 AN-
CI iAllxK^ UK.M AKThi LIh Ki:iiKl>iNh.\ll.N 1 \'V.y>
l.MAi.F.s m 1 1N11.XN1:S.
" .\iuiiii autre de nos organes sensoriels, écrivâis-je
en i'^7'-. lie nous permet aussi aisément dexpliiiuer la nais-
sance .ie ii..~ rcpréscntati.uis directe
sati.iiis que ne le tait 1 appareil deB canaux seini-eirculaires,
l.a structure aiiatomique de ces i;auaux. situes dans trois
I
plans perpendiculaires les uns aux ^autres, auriii déia pu sut-
tire a taire recoiin.iitre que leur iiestinatiun touclioiiaelle
est de ncuis d..niier la perception Lies directions des ondes
sonores \eriaut des trots directfons cardinales de 1 es-
pace «
Bien a.aiit -pie les innonibralHes expériences sur les
canaux seno circulaires, depuis celles de l'iourens jusqu'aux
miennes, aient lait ressortir avec évjidence lesrapports précis
qui exisleiil entre les fonctions dJs terminaisons nerveuses
des trois .iiujM.ules et les directions de nos mouvements.
on poiivait deia, a\ ec beaucoup de vraisemblance ainsi
que l'a d .iiileurs lait Auleurieth *ii i.S..v. déduire de leur
disposlli.'U .<iiattunK|Ue ce mode de louclioniceiueiit de
leurs .iiapoiiles .^lals c'est sculeimeiit lorsque 1 ai reiissi.
eu 1^7- 71.. a constater que les troii paires de canaux diriueiu
et doiunieiit les inou\ euieiits de i^os globes Oculaires, dont
rimp.in.iiiv.e au point de vue des représentations de temps
el d'esp.ice est si graiide\ que j'ai 'acquis les movciis d élu-
cider les inecinisiues par lesquels les Seilsailons de direct!.. n
pernieiteiit aux animaux de s'orienter dans 1 espace exte
rieur et iiiiposeiit a l'homme des représentations et descon-
cepts a'uii espace a trois diiiieiisions
Depuis l.irs. de nouvelles obser\ atioUs ,et recherches
hi . ......
l'i!
cxpcnnicnt.iltr>' .ivaitriit
/,; i.Jrt>»'iih lit .Ir /;<•> un
^oiiniii- -1 III'''"' ■'• /■' '"
^itii.ith'ii Ji-"i!'-. .i'-'-iil '■,
ii.iii. Ht ./■■> ..J'Min >' m
cnlia la thcnnc nUc i.' c
rc-ctLiiigulairo. ./""/ /■' ''
lc> ^en^;^tl•.n^ des irois a
;, /.■, - /,'(//. > '/"> >'h'>-'il"
>.,//,.//> /.!,///.--■ ./ :■;>;/.■
I,n.ih-.lll"ll ./• > "/'/./> '■'
//,.;/ ./.(//^ l\>p-i''^ • ' ''■ '
r. Iiiii. iiihs. qui .-'■■pli'-
- Nous avons déjà dit i]
de l'oreille se prèle pari
d une ligne de déniarcal
braies et le= pur^ \nn^c-.
dc.niaïues re>pei.tll3 de-
celle.du philosophe Ta
ccplluns et de reprcsen
table iiue IhHiy il"li-- /'■'"
,/.././/i.>. ./.■"/ I'.'ll''l'' llll
f.t!V<:<iloi;i,- ,\p.-niihiil.
rétiniennes et la proje
coordonnées de 1 éspa
laine ou dans celui i
fonctions londaineiiial
phénomènes .pu début
pherii|Ues et se poursui
desllncs a percevoir 1
t\tericur i >r, la iiotiui
nient leMstence d un <
lereiiciation, l'esprit di
1 v,,ii 1 )/,■). ifn.«;// cl
ï; i: cl !■- cl lc> tlk'uro 1* 11 Je
ami: IT lîSiKlï
iiit,.ri-e cette nouvelle induction :
/-.■/;»/,■//».<.;"./,, .imiH.l ifiis
-..II- Ls '■/'/•■l' .■v/.'". "/-^ ./■"■"' /'■■"■
r.il.'wriit , hr .ilti ihii.' .111 I <ihli'ii-
ir,iiliiirs. l'eu a l'eu s imposa
st siirde sysfème des coordonnées
p,\'sÀt.Ui>ni nous est loiirnie par
ipoulês des canaux. ,///.' s.'iil pi.'-
"■>, ' ' Jl'lii^t-"'''' '•'''■'■■'"''"' •' ■" ■'•"'"
/••.■.. Cit.- pn'hili"ii p'ii'i I '1 '■'
trn.ii\<. //.'■.■.■>,<.!/'■,• p.'iii /■ 'i-u-iit.i-
.■Ji;-y:<\llirllt ,1 III il ! 1 .1 II'' '/''^ JIII-'M->
uni L:i(r.inii.''-' ■' "'■II' '•'"'' ''■'''"'
le le lonclionnemeni du lab\ rinlhe
iculièrement bien a l'eiablisscnieiit
, ,11 entre les fonctions ps\ clio-cére- ■
sUs de 1 esprit, c'est-a dire entre les
recherches du phvsiologlsle et de
nt qu il s'agit de sensations de per-
atioiis immédiates, il est inconles-
-c,.//.-.</ ;->•.■.^c';.v. /.■/>//. ■""'"■■'■'- /'>.'-
.•;•/./(/■< .ipp.irliiilt .1" J,'iii.ii'l- >i'- '■>
7c M.iis le redresseineiit de- images
;ii,m v|e nos sensainms sur Us trois
c rentrent ils dans le domaine de
e l'esprit? I.'analvse ddaillee des
s du labvnnthe montre .|ii il s agit de
;nt dans les organes sensoriels péri-
ment dfns les centres ganglionnaires.
;s seiikilious provenant du monde
'd'uno lonclloii inil>lupie nécessaire
,rgane .pu l'exerce. D'après notre dil-
ininelieslouctionspsychKiuesJucer-
.,;„ / i|)m;.'.v. cic . di 1 5? 1 ^ 'i •■ ; ''' '
LiikIic 1.
nUH.HI N' l.\T10N lit:s toNCTl
l'SYCnii.'l KS
O)-
veau, enutihsant /..s ..iis.ili.;!.. p.f.rpli.'ii^ ■■' r.pr.s.utj-
luoisJii':''^ 4111 Vv accumulent eiij vue de la lormation de
concepts, de lUgements.etc .coulor nemeut aux lois immua-
cuusidere isolement, ne
,. /;«.."■.• .'«•■<■';> p-iit-il
cc//»/.'.-^,;' ■"'.i,'' ''"'""■' "■''■'■'■
blés de notre entendement, l.'esprit,
possède ni contenu inné, ni organe
i-ti\- i\-i'ai\i,- . iiiiinu- iiiir Jiiiu tn'ii ./c.s
,„,, lia sont siihorJ.iiiiuvs. V.n rais|.n de l'impossibilité de
formuler aucune hvpothése accepta|^le sur l'tsseuce de 1 e
prit ou sur les conditions materie
permis de parler des iii.iinî. ^t.if!
es de son action, il est
Il y. de r.\!ii!t.- ou de-
piodiiitf de l'esprit, mais aucunement de -es
nJi\'s>.iiirilt 'l'-^ /"'.ï;'. ^ r.-tiiiuilil
,„inplir ^i.iiis !r .c'C../» m. m., p
,iuoi\' ,"iisul.'i\- .•>iii'nc iiii- '\'iKti,'ii pswii
.c/-.-/"-.!(M. vraiseiublablemeut de cr-ux ou aboutissent. et se
rencontrent les libre- nerveu-e- op|iques et le- tibre- vesti-
bulaires.
les illusions des sens, provoquées
1 homme, à 1 aide de positions anot
ou chez les animaux a 1 aide de
tiques places devant le- veux, atin
duire le redressement desimages rétinienne,, les labvnnthes
étant d ailleurs iiUacls^. plaident également eu laveur de
1 origine psCchupie de ce pheUoUU
une erreur de- sens et une erreui
1 homme, trop évidentes, poui .^i on puis-e consulerer
défaut de redressement comme tue erreur de i esiu'it. .Vu
luoveu de nombreuses experience[. sur les erreurs .lansle-
sensalious de direction chez Ih
possibilité pour 1 esprit de corriutr c
nient
! .iictioii-. /.
JrV.V'l I il\Jllii'l<t i Ji
ni, p.v > '--■-'■ ■'l- ''ti'
expérimentale meut che.'
maies données i 11 tête,
verres ..piuiues prisma-
empècher ou de repro-
ne. l.cs dlrterencés entre
,iu iimeinent soiii. chez
mme. 1 a; montre l im-
def.iut ,1e r-.lresse-
1 l.i ai>cu-i..u -ai 1.1 ,uh>t.uin.aiiL- ...
-.1.1,1 ac-).i.i.-c 1.1 i-iic c-1 .1.1 a..m.uncae
; V.ii lo> li^-.ic- 1 f. " aciu..ii i>i'.;'*.
.|uclc -h.iiMlic V, ; l-, .le- luciiic- ..livr.ii;.
1,, i,..ii -..b-i. ..;■..! '- .1-
mci.iiVin>i.,.i.-
I, '«,•.'; cl je / i ■
w
l,,l.
l.A l'iKMATli
m/. l.lloMMl
pNNAI
ni.
rmallMii
l.a I.
licurtc à
d im sVs
scnsaliiiiib Ji
le liii-cciion l'oiinii
ne autre cul
des
Iticult
I:, i,rMp.,>itioii
iaprc: laiiuelle le poin
corre>pon
jraii a notre
avait toui..iir> i
nir.i CMinine le
runsKlcrc
résultat
;nbati.nl^ m. lui
.hiellc
ition? bur le sybleme
orci
le A lUbtcinenl poi r
danb 1 ebpacc extérieur,
r) de ce bVbtème de coi
■e dcb perceptions
ijen
donc l"iit
recherclies expériment
tant i|U organe pe
iph
exf
xpubé dans lequel j avijib
: la lai,i>n suivante par
Vbiulogie des I
la pense
e de ( .von
canaux bemi-circul
c.inbei.[Ueiit p<jur notre
coo
explorer I ebpat.e a
lai
inou\ c
nicnib
Les sel
irciilaircb expliquerai, nt dmic cette i
1 . Co; j
;>l.una.uil .ui /-i.
i>i'Kir
N DK l..\ 1 iiNM lINt 1 m M>'1
m DUL'HLKMI NI IH. l.A l'I K-
de coordonn
ées idéal, à laide
-equence
s licau>.
es par le lahyrinllic,
d.mt I explication précise
,up
lus grandes.
' agit
it O de ce bVbteme
:onscibnce du moi. le naturaliste
la tormation u
.le 1
a conscience
du
le pr'
iduit
de 1 eusem
bit
Or, la projection
.le toutes nos seii-
the de
données du labvnn
but la localisation de ces sensations
I. iJéei de Vi.ub.ir ideiititier le point
rdonnees' avec le centre de conver-
de toutes nos sensations s impesait
t naturellement, le premier expose
détail
les sur I appareil semi-ci
rculaire en
enque
, dév
clopp
sens de lespace 1 1H7S1,
e idée, a été résumé
juvrage classique
ie cett
I dans
;ancs Je 1 oiiu
es sensations
« Si
al
bien
se produisan
l dans
laire^) créeraient, p'
jur notre tète et par
irps tout entier, le poin
t O des trois
rdonnees de 1 espac :, pointa parlir duq
diuiuel nous r.ouvons
le des organes
des sens et de leurs
satious n
ées dans les canaux semi-
de notre con-
parlie
.l\'ii
cluu
UnH-KENi
I.\1U>S MS hOM l'IOSS IsVl.HUjlFS
.ience du moi, giàce a la,[ucllc
iwius iious a]
ip.iraissuns
noUs-memes, en ver
tu d
illtlIlVi
jentre aut(jur
liKuiel tournent
(V Hc
1. l'iiysiuk
de llcnuann, ■
;le des (ici
vol.)
l)a
les deux
jhap
l'origine de la couscienc
e du moi a
rut irréductible, connue
tous lès autres corps. *
i [LiiidhiiJi Jr rinsio-
itres précédents, cette
u de
.1. Il ne
, agit
que d'une qUestU
due de rechercher si la conscie
l'origine que je
une touctiou de
lui
dc>it être consulerce c
lion
de r.
. àme cer\ eau (
rit; autrement dit.
été discutée plus a tond
d attribution, c est-a-
U mol. et-iut dcaïuee
lin me
une nvaiiUesla-
stu
queslion .1
phie? l.oiniu
aura entre ces
Nous
pp.irticnt elle a la ph\Mol
dans toUs les
.leu\ sciences égale
testées.
ne c
lierons ICI qui; qUelq
ments qui parai
,enl \
l plaider eu taveu
(.ontraireincut a la c^
uiscience
du moi ne reiiienue a chaque instant q
les coiitradictioii-
les Conceptions pi
découlent eu eranJ
lecouccl taules
jsophiviues
le parti
de I
de Leibniz, que
conscience gêné
Liiilscielice
du
raie l.a detinilliui
.Ile
la
reprebcutalions
ainsi que
il dans 11- mol une
ide
lesiiuelles la
du même genre.
.le ulterieUi'e de
;ie ou a la pliil
.elle
maincs hinitroplie
Il de
iluUcs Uli- de
ir de 1.1
'enera
le, la
ilogie..
.|l-LleIK"L
lUîenu.
qu on
^tuistai
de la coii-cieiice .lu luoi
wpiniou ciK
■ rc léguante
mol serait k
.-ui;que a
de Ua\ id iluiv,
.api
,erait un
cel>lloU
;a>.eau
de Uerbart.
ie lrepre~elit.ltloiib
\.,
detiuill
Miscieiicedu mol ne serall qu'un ".ouipu-xus
e sentiments //. ou un
-al
iniéiil total
W'uiUi . ~oui
itr.idict
loU
iini
Ult ete pn
Citer, Les premières
les dernières par des psvcho pi
au
ysees p.
lUs VeiU-Ul-
de
hisii
tmitelois loin o
être unanimes
bUI
cepilous
I elle e i- o I c i.
her^
a (air
de- pi
légistes
dél.lils
den> er
'^
.-i..phe
.11-Cience
luS
~culci >cii-a
la nrcltri- iK >.- aux gentil
.•lu
]jiiiaiM '11
jliii|u_c> uc pouria
ins I 1.-C 1
iiri.i~^ciuent
Celte cliiniiiatp Ml iciut 1
tell
e du \i]' uns uu el
ll^i. iciu c
le lins >ell-al!
.lu mol n:
Ils sellMil
sur
le
-tellle
nous louniii. au euiitrai
tard
existent eut
()
liant aux eMiiiradi
atleiiUciil d elle
c .-iiieiii).'s
im
eiuuim.ui
acliu
elllJlUel'ees [
par
_A\t iCee
inIlUeIKc
non
reLiUlarise
. eiitranx.
de ecliX du e.l Ul.
< hi..
il il
pi,
i.irli
'".;■■'
/.Hh II
p^^Jiu,.
nieiils cl les sciisat
nuis
V>
7/
lls.ltlinls
/,• />,
//// ()
Il ^. lll lllli'llt
, sp,,,ui
'lealisatiiiii
laus le- di\ i
le nos scn !
a laide de
AMIj KT ESI'KlT
nuis StllSnriclles ; tel
autrt
ents.
rit du doiuaine de'
lavoriier. siinui la
CMiitradiethUi
sihl
hiliclliuls ps\ -
'oiieiliatnui. du
11 ellet,
de l'identite.
iparait dans la delinitiiui si nette
L;
coueeplion.
rail it|e la pro|eeticUi de l'i
irès laullelk
iblt
elles dt
seiitmieiils internes
uiiieii-s du lain rinllic
de I .
des
piiiiHs d appui ^raee aux. pie
ej.at;er le
da
tn>r
\ ra 1
ra]ipiu"ls
inoi et la ecUisLieiK'e
entre ps\ e'iioph\ sinlof;istes
si 1
lus li;Utl
s seniatKiiis
>n tient e
. eu \ertu
MlK tnilineiue
ugaiie
lit de
ilesiiuelleS
uyanes
lUssi bien de eelix du eer\ eau que
/.!//. i h'Il
lu-'L'. p.t, Jr.s jpp.ir./i
•■/"
S'
U'it ne peut llilluen..
-inoti
dans une mesure très liiiitee. f,\ >/ .iiiim i/iu' I.\^ / iii;\iii.'iil
It J
alnui:
./,'/// // >'.7"77
'/// i\ III-
'II f Jll Jiilll.UII.' ./,■
les sellll-
lu indireelement el
/,■
/.i//>.%i
/■ il ItlW I.ICi'Il
prii/\\lhiii ,/.■
./(■
J..iit
.lu llli'l (.
uniue la
1
spa
Ce extérieur
le ne lire propre orgai
parties
ce bXslline dt coordonnées, ou iieiit vlire
i>ii I kki:n'i I \ rioN uns roxi;T
la I.
ONS l'sVCUll.
l.)0
riuatKjii intétjrale de la ciuiscience du
ippL
tient au ilomaïue des loiictn
du 1
les represeliiatl. iiis de te
dans la mesure ou elles de
' el
.■ut d
ah vri utile d
ispacc — le-
perceptions
tlolls de dlieclu>ii ' d
eu coU-kK I alii .11 quaiK
mécanisme la l<ii luatioii de
ou eut par cfuisequeiit eue prises
• n clierclle à e
xjnuiuer dans siui
riice du mol
(
n ri nul I
loUUM'e
dam
maux, ca
spa.
iterieur à 1 aide vie
1 sU-s. PeU\eHt. el
dislin-uer leur être iiidivicucl dunioud
ils possèdent di
S.7/NJ/. ■■/ ,/■ -,..
mépris .pi un .1
le extérieur;
une cerUlile cJuiscicnce :'U plutôt uue
oreuell \ isil
1 un pur saiii; ar;
a de
race
cliieus molli, ia\ ori-es et ahaiu
même en un eur
de r.
slelic
le Sol assez
pour
la a.lmetire
)CeSsu-. in'teucctuels lorsuii
ayil ù animaux
I 'auiinal ~eiit
cdijets
c\l.<irieurs
lent
par 1
ou relit
ll-menie eu
Ils el seiitimeiiis par de- noiuenients rellexes, par
dessous et pir des bruils caractc
parole, loup- lorinalioii d'idecS est
une L xisteiu
UKtlViduelle
st d
pelll -eillemelll
lesl
lace el pir
.lUiseulIeUt s orier ter d
ronnant a 1 aide de
Seil-atlolls \
(^ettc
u'ieiiiitioii -e manite-te elle' les animaux superieiir-
po'ssedant un lain riiitlie
elKctUer ,les inoiu emeiits
uuple: en
,11 d.
parties de
lion par rap|iort aux objets en\ir
i-uter dai
seini-circulaires
4 ne.
.■prvui\ e polir les
les a la rue teiuoii^nent
;rtaii
rtebre-.
u oii puisse
'eut
.xpruiier Se-
nstique-
ilUPOssible
\l,i
;pt-
ibl
erc.-voir
^parement daii-
laus 11
iSLieues e
l de direction
ce qu Us peuvent
es de
aires et coor>
I «rps. luoditier leur pos
iiauts. s eu approche
C(( ii'S, ami: 1!T Esi'iiir
u s en cliiiKiier, etc.
le/ le-> aiuinaiix- niei le supérieurs
jept J un svitciiie
|iure cipération de l't
;licz Ih
û ni m e , Me
tabl
scient et la
isent des ra|)pcirts entre le nior con
conscience générale. La véritable portée
pt d
e ce s\Mtenie
polir
lireniiere
ff
n ont lait iiue denioi
<.ctte liiiiite iiiiposéé au.\ fonctions de
a 11 un a
ux est par elle-même si évidente
impossible tonte contusion ou erreur à ce suiet. surtout de
la part des natnralite .. .Nlalheureusement il n en c-t pas
ainsi, et justement d;
sensorielles de telles
usieurs natura
F
attribuent
liste
même aux
geoinélriques; en se bisant sur i|iiek|ues ex
sur des écrevisses, ils
scr\ent à déterminer I i
Il a\aient-ils
pas
labvrintlie de l'oreilb tendaient à démont
aux canaux scim
possédaient des co
trois dimensions !
{iciirc, je me suis
sulli
portée de mes recherche
ouvrage est presque
faits
cxpcriineiit: ux
limites entre les h
rii
d un
invertébrés
autre
ir i:()/riili\ ch
ne saurait être question de
>ncept
la lormaiion du cou-
de t
rois coo
rdo
nnees étant une
prit C'est
grâce a ce concept ()ue,
le
idéal de coordonnées lut recr
De
cartes
.Me
in nue
recherches
Irer
son origine sensorielle
.hc/ Ié
' \ .1 1 t
-Toire
l'élude
les IcjiictK
rreurs se produisent constamment,
pour la plupart élevés île .Mach,
invertébrés certaines
• iiiiai~sances
iicrieiices laites
incluent que leurs
it.
;\stc
leur
verticale! (.crlaiiis mathcmaticieiis
iris que mes recherclies -lu le
lab
vruulie.
aiumaux
)ts
un espace a une. ,i deux ou a
Jiitri.
erses sur
lammen
t effc
rce
lut un chapitre d
xclus ve
.-tablir la vraie
e ni' 'U dernier
îinent cousacri
,1
stabl
issellt llettemen
l le
dit
ativnnthe
de r
ill
oreille chez
diver
s animaux \ crtciirés et
t I
es causes des errcu
Lommiscs
p.ir quclqucs-uiis de lues ad\ ersaircs se trouvèrent ainsi
nu hhKKSCI.MlOS IH.S l-OXÇTMSs l'sV l.llhjl ks
Usieurs organes des sens, communs aux hommes et aux
animaux, comme celui
de
uete i>ar exeiiii
orientation a distance '
peuvent e
tre bi
■ pp,
cnez ces deriucrs
a portée
dû
leur
h
uctionnement ne
;pas
>as néanmoins
1 uni tes uni
aii\ pures
onctions de l'àuie et ne permet
:oncepts
la toriu iii'
le me suis étendu un peu lonuueiiiciit sur
ngllle psv
chuiue de la conscience du moi, parce qii au mode de
lormation de cette conscience j>ont lices uuelques autres
questions p
intérêt psvcl
loK
-giqi
igiques et piithi ■logiques, d un. grand
pa
dédoublement cniginatique de la ;pcrsouiial!te i
lie. la
du
nielle mortiide.
des plus mvîstcrieiix de
Mtl
lologlque,
-•tait lUsqi
u'ii-l lierobe a t.
dint
erpretatl
!.,
psVl
l:s les
hiàtres n'ont pas ciuore rcussi a
en donner une explication méiiiie app
dont
nous ciuicevous
du nu
I. nous pouvons essavcr de rendre
( ira Ce
1,1 Cou-^ielKC
lupreheilslblc
lusqu a un ceri.iin pioint le uiécaijisme du dédoublement de
la
personnalité
.e svsteme d<
images rétiniennes
uinees, sii
se torme
svstemes
le cotiruonnces
Il i du labv rinthe dr- 'U.
celui du labv rinthc
San>
images rétiniennes de chacun de;
toujours isoleuicnt a la couscieii
dans deux svsleines différents de
leouel
Sont pri
par
la //.■
de
i)
esi arles et nous les loca
cs|>acc extérieur Ni
ll"i- dire. II. .11- vie i\
^elUl-v ireiil
-el
\"ë
euli? \uv.li;eui r .
U[ uu ,uouveril.(l
du l,ez el de
1 l'I lelll.ttU'U .4 di^t.in.
1 sur
lie!- reiiipi
une pareille lUsioU. les
deux cotes p.irv iciidraicnl
e Nous les proletleriolis
lie
Coordonnées perpeiuUcii
;meiit aussi
isederious aui-
l.i dlllëreu-
le r,.ic-ae-.
un h ile.ui. î.i:Kii>
l.ile],'. iel.ile Je 11 I
le Uhv
"l
ORI i, \MI-: I:T hM'KlT
coiw^ u-iiti |icrci.-\ aiit cIki
< )r. t L- iK' iDjit pa-, -,i.-tii
pioKidii^. dans çis s\sl<.-
aiilaiil ,iu tMutfs nos Se
i|Hi \:.\v\ itiiiieiil a notre
d^'-. IllOlIlCS diKllL- L-l 4^ai
qui -ont |,,in Llttrt t(
a>lni, Iti f, .lan- le cas du
a noîi\ Lons, lence «.les i
il rc-ulk- .HK- le sU|el se
,/,ii i /i,i s, ,1/1/, - distincte
soni!.dile decdiilelil. s
daii'.ies ti<;nlili.s |is\clii
///,■(// ■,, /!/,., ///<>,■. // .v/(/
( •!//,/, 1, /ll.'l I; nh^l.l, !,■ III
v^^/. /./. s ,/.■ , r. ,././,. ////.■,■_,
a Ir. .u\ er ^iMt- le cervea
tMiii|ULs. V a rai. tell si ii| lie-
naliie II n e-i d ailleiii'
li'.n- iiÉ..rliidcv d'un lai
siil!i-t ni a ^ u er le- c.
uellie
' el essai d'iliterpretalh
bleiiieni loin un en 1. .ul
de -. Il inei aiil-ine II \:i
pn.aiu lion vlu ded(jubleii
de 1 . I liiine -eii-orieile d
r — I A lil I l,\il I A I io
i N IKK l..\ IIU>,li liai'
l'I I- A I l.iN- I I KMIX,
I .es e
.\eni|des que iioi
vl iii.e 1,1. on siilli-ante ou
ciiii des Miiageseii partie dilTérentes.
lllelll les objets visibles i|Ue IIOIIS
le- decoordoniiees : noiiseii t'aisuiis
isatioiis, extérieures el intérieures,
]ierceptioii. Nous recexcuis uiisi,
elle de notre corps, des sensations
ujeuirs i,lentu|lies. lin peut donc
dcjoublciiieiit, qil elles aineiienl
niâmes /../// ./ /.n/ ,////.■/,///, ^, don
peri,'oit lui uieilie Ci.iniiie loriiie de
. De L'e dedoubleiuelit' de l.i per-
lliullalienienl oii siiceessix eiiient,
.|lles l!/-./, p,,iir ,//!.■ /,■ .i.\/.,/ihl.'.
il i/li f)ili' .ti/.'i\ili,i/i iii.'i /'I.I.- ./ii.l'
'll/.lll.tlI.WI/.lll .1 l'.l /!/•,/, III ./,■, ./,7M
.1 ignore si les .iliellistes ont rellssi
U des lo\eis patllologuiues qliel-
de ce deiloublelilcul de 11 per-on-
pas impossible i|iie des nio.iilici
'\riiitlie ou d'un nerl acoustique
nditioiis d'un plieiioniene de ce
• 11 pKiiisible du in\sleneu\ ded..u
.as une rejireseiitation ,isse/ claire
sans tlire qu'un p.ireil mode de
eut plillderail loiceiiiellt eu l,l\ elir
: la Conscience du mol
s r>l liw.MAlNH riES Kl ( llFRi MIS
.11-: Kl I A iqiii.iisoi'iiii Cl i.\-,i-
il.iioli.HI ^.
s Venons de citer indiquent dei i
il l.iiidrait, d'après ma conception,
liin.H(F\cl VTli>N UEs lOSCritoSS l'sVi.HlijrF.s 201
tracer l.i Imiie de sép.iratiou entre les t'i.>iictions psychiques
et les in.iiiilest.itioiis de 1 esprit 'fous les f:uts psychiques
dont on peut taire remonter 1 origine .'i l'expérience sciiso-
lielle évidente ou ,i des loiictioUs detinies du sv>teme ner-
veux central ou periplieri.|Ue .ippartieiineut .(// J,iiii.u/i.- c/c
l .imr. p.ir ..oiiseqiieiil à celui de la phvsiologie, de l'anatomie
et de la psvchiatrie les opérations de 1 .'une qui ont ete
qualiliecs |Us,|n :ci de toiicti.ilis pi-vcliiques supérieures ne
soin pas des 1,://, t :-'/is, au sens propre du mot. l.lles ont et
le plus -ouveiil designées comme
,7s5iiiM'.'.';'//». J ai emplove ici les
/',■..'/.'/>. ^.'.///l'//^, d ..', /.'i'//.v. ces derniers preseiiUint lavaiitage
.' ,/.■ / .•.</"-.'/ l) après la
s opérations psv .. lii.(iies
.me ex^lusil de l'e-prit
de t.lU'e ressoitll la l.liitlt: ./--.Uri
dilTereIK Ultloll .pie le propo-e. c>
supérieures ^ oii-titueraieiU lapai
humain
des p/L'/i'iiiiti/rs- {>u des
termes de p/^n ,■^^/(^. de
/,';'.'' de l'e-pril app.u-
plies ont. seuls l.i liberté
■s'.i..ii- .|U ils -avcnt p.ir
pou-es décisive-', p.iur
l.'étu.ie des maiiilestatioiis /.,v.^
tient a Li philosophie Les philos,
necessaiii pour loriiuiler des qiu
.ivance 11^ i.uis emporter des re
d..!iner .les .leli lulioUs d'idées al-lraites el de concepts,
vi.iiit I .^ngine 11 e-t pas siillisainiucnt preci-ee, et pour cvii-
tier de- i.vpolhese-. d..ul le caract.-re éphémère ne lut de
d.'Ule.pi m personne, l .eci n empêche nullement ces .[Ue-
tioiis. i e' .le II ni 11., il-, el tes liv potheses de pouv .nr ultérieu-
rement .lev eu ir lecoiides au p. .1111 ,1e vue de la recherche
psV cho|..-l.|lle. les psvclloh.glles. tout ^olllllle les phll..
sophes.jUise propioseiit d explupie ■ Il nature la plusiiiliiur
des cllo-es. sont ll.lbl.lUes depuis dés milliers .i'.liulees a .e
.|Uc leur- lechei^hes ne fouriiissent
p.isde result.ilsdeliiiiîu-
e n.itur.ilisie. .m Lonlraire. qui s in pose une tache l'e. ai-
Coup plu- uiodcste. et limite ses reciierches aux vaieurs,[Uil
peut sai-ii , mesurer et peser, c est a
I.- n,.. 1.1
.:i,lic ■
lire aux \aleurs réelles,
\,.'iil .^u^ l..rm,.l.i tiii. .[...- —
n
2o|
)Kl'j, AMB IT IM-KIT
lioii viM-r a ohiciilr îles
ihic
.'t ilcllloll
irable
l'iiiir en revenir a la
f;ii[ilc dc> luiictions Ju
inatlicin,Uii|iit,->
du
einpi et Je 1 e-.[Kice, |c raj
i\n en reprenant
t le> rect erclies ex|>e-riiiientale>
puis a un
Spallan/ai
L-cle et Jai
Aiilcnnelh
rdt, et dantres. j ai ri iissi a en laire sortir la preuve de
e\i>tenee
d'orj;
mes selisuri
tioiis et perLcpli
sible d
e ni>s représentât uns
li'itre i.iinnai--sanee des loiiibres
< -ette preuve laite, la
lans la soluthui du pr(
tr>nivait aee(iini>lie
Si
;liok
laireiueiit ipie
le, Ce lu
tache ipii revenait au pl]\~i
ibleiiic du temps et de I espace
iieanuic .111--. j ai a
t puur lc> luiitils
de
la crci\aiiLe a
talion--
d'.
-t de
Ile/. I
enracinée lueiiie c
;icii>, n a\ au plu> desor
Ivtant dciiint
ille^tiMii de r<
k
ptliUl
le ne pas limiter iii>s r
r le
InHant lUr le
lle^d
e I espace. UijUS
.ette
.ininatinii »u
mui de K i.. \ '•
n iniporle .[Uel
jltats
lui soient
ef^.ilcuieiit pal
|Uesli(in de liinportance pf.yclioli>-
labvrintlie, en tant qu'ur^iaue des
.•lie
laite
des buts différents p,
;ll-,, H H Webe
!■
V'eiituri,
K \ie-
lels détermine-»
nettellt. de
:li
it les sensa
iriiiine seli-
de te
lups et
liii>l i{i
iiste
b..rd.
di)inaine
lUix au
I- IX
lis matliiematU|ilC5 il decciilail ne
l'oriiiii
le .( pri,'r,
teini>s. criivance si
de^ rcpresen-
iri>li>udémeiit
naturali-^tc^ et matlieinati-
let 111 raisd
ports étroits i|
111 e.xi-'Knl entre la
rinine des a.Nioinei ^eoIUetruple^ et celle -le
il
uiru iieees~.aire
.;chercl|i
Ii>urnie5 par
nvons.reuisi
les troi> di
icciioiis car-
c^alemeiit a ileiuoiitrer
jrii'i ne Sensible des axiijiiiies et ilcs delinitiuiis^eoiucU iiiuei
tliéti.iueiiicnt a leur aide
et. la pu-sibilile de reco istruiresyut
la f^euuictrie euclidienne .Villsi lurent repi'LI->cs
dc-î mela-matliématicieus s'clli.ri,ani d arra>.lier
le
L-lide
UK.t
^lu>l
iillfilein [i-> .pu
\iiastie r>
Ml n'Kr\i lATUiN M> loNciniiNS fsv i.iiiorr> :!ii-,
UM pa^ \i.ulu pénétrer plus ayant dans le domaine >ie
dévt
ol(>t;ie luunaiiie ; le ^ai^^e aujx y
per et d'utiliser, ,iu muvenj di
hil
lie-- le Soin
dispii-eilt. le-
lees fournies par la plivsi(>loi;.ie
iii.itii'ii ,/. ■^ ,.•//. ,-/!/> jh.^lr.iit-, ./.■ f,'i
mu- p:ii\ <'p.'r.itii>il ,/c l'esprit, d
It d
es études
phi
.-lh(
/.
.nt il-
iii^titii.'
<lp> ,■/ >/'.'.v/i.l
ont l'explication rclé\e
hiciue->. .\u\ mathemati
autre part, incoin
be la tache délicate de\l>
le
Ulec
science a pu eri^'
et créer
ectnieK, à 1 aide vle--queK leur
ri^'er l'edillce nrandio*ede l'anaU^c --tiperieure
ani--iiie des proce-.--u-. lutel
le iioiueites
■eometries toute-- traiisceiuleli
taie
cela eu partant de la connaissance des nombres et der*i|uatre
règles lie r.iruhmctiiiue, due au\ perception-
hauteur-.
des son--. I orii;mc pli\ sioloi;U|ue de-- .ivioiue-. et .le- .leliiii-
tiuns
la ue.mietrie euclidienne , peut fournir a la
SOI
dei
lue
.larl i>our
;es mathemati, [UCN île nombreux points de
, recherche-- lecollde-- --Ur 1 e.btu.itlou de
cette geomterie, ailisi .[lie
la
.■lle-
géomctries plus ou m. •in-. iniai;inailres.
l'I
U-- leciuid encore sera
'r.ibablement 1 es-ai de \erilier
ue la géométrie anjilytiipie a p'
médiate du s\siéme idéal de
ma théorie u
la repre-euiatiou im
données recl.i iigulaires .le I)e--cartes.
a p
.gié
du labvnnlhe deil'oreille a montré ipie
iinlii'ii ,/c r iiilniit:- du trnip^
.■t ./.■
,/.,,
pouvait non- être
fourme par le-- -eii-atiou-
directioii p
de direction.
rcepthin
la
roduit la représentation de la ligne droit
iiue ( lau-
iemoiurer
t déjà noté et nucl leberweg a e--sa\é de le
Me
1 exp
;es >ur de-.-- animaux et -ur I
ont loiiriii la preu\e experimentiile
tille
L-ette
lloU-, Ile pi iU\ 1 .11-
noii> repre
.-,enl^r la direction aiUreii
Or,
jellt
ipi inaiv I
oiK-ratioii-
-ibl
e et Illimitée.
'exa(nell e
t 1
4'
de
irit qui couduiseht dece
tte /
'/"
.■Ht.ltli'll
■Ji.il.' a la lormation du .
.uceli't .
intiiuie de I e-.pace
COnstltUell
t la tache de l'avenir Dans la solution Je ce pro-
2.i(i
Kl' . AMI- Fr KM'KlT
hUiiic. cm devra pritcr
liiii)^ .|Ui exislt-nt filtre
(|iii est aecesiible a notre
et le . li.iDifi iiii./i/i I restr
une attention spéciale aux .«pposi
ceptii.n et par C'
l|sec|l
ier^ept 11)11 directe i . l //^. /:.iiiii,li; i
;iiit. mais inaccessible à iMtieaper
t ;///»///,' en apparence (.■•sopp..
Itlulls IDllellt Certaillelilellt II 11 liilecol
lii jlre
J
formation
res|)ace
I es philosopiics et le'
i|U ICI de joriller les ci. lie
ba-
e réelle t
lie
supie, en les tirant pfu
llUl explii|llc I éternelle
dur
1.
Mlcepts
de 1 esprit ( . e-1 pi.UIill
au's et immuable
iniicipa
■lie ,//,/c
li\ eri
OUI t..ll|olirs e\lste cil |
i|iie ijMiis signalons
serieUsellKlIl le
I.ll.ll,
\h.i mit II
prohic
. .^.iiiy t.
ni . .1.111
II. 1 .111 1 . ./// 1.//;
ifliiiiis ,7 I. f'i
, -/■./..', ,7 /./
'I'
iil.ili,
lini, Ih'H '
lecoiids et durables, doi
compk leinelll a\ ec les
exiiei I mentale et rclati\
l'M
i ll.llUp
7>».
■/,
vaste, ina
is II ni il.'
iisidérabic dans la
.-pt de I inlliiite du temps et di.
psyi
ptsdc-
Hol..i;lle
mit ete o
bli
ces grandeurs sa
appii\
laph
r aiiisi aire l1 e
t d nne façon purement nielaplu-
u\ ini'illes t ,'est ce
teriliie de leurs ellorts pour obtenir
dont la science puisse Iner parti,
.ineilts londaiiieiil.iiix de I ,uti\lle
I le ps.vclicdogue. prix'e de concepts
iama;is reiissi
.//(
/(,' iii.iiiit'r.
a rempli
tach
///,.■/,•.• /■./
lices nu oncili.ililes iini existent et
-holom
It dues a la stérilité
Il Ile sci.i plus desorm Ils possible au pliilosophe d iborder
de la li'llll.llh'll ,/,-\
f"
L' l.ih
n/.-.lr /', i.m/.'//. ,•. ,/, /
■//////.■ .l.r.T.ilL- ,/.
,/,T.
1/1. n. .1
il> I.
il . \ I i.'ii> < .11
..ili.nis. p, r
7m,.,/, ■^ ./,■
ii,>nihi\-y.. d<nil Ir I. nif's . ^/
s \euieiit .iboutli; .1 dis resLlIt.ltS
,eul c<rliillielicei p.ir se lailllliariser
i
lollllet- el.lblles p.ir l.i plusiojo-ie
s .111 lolK llounelllclll de Cesorg.llles
I J LUI
. I. I.- I.ll>l
lillll Kl Ni UTIOV hFS lONiTKiN
si i llli.'l hs
o.,S
pt
lailciiKiit ;i la dcsigiiatiun
l)L-,a--'K i.iti..ii-.'le perce
-ilnll-- l1 >le --'.ir. eini> peu
iiiterveiithiii .le 1 esprit : t
i|Ul icllelit le- eellllles i;
perception-, represenlati
lUr de- a— "ciathills Je ce
lions |is\\ hi.piescoiinnnn
au mot phenonieiie. il [
pins di\er-e, I II phrihoii
cote e\teiienr li'un ]iroc
et I interprète Jill ère iiiiiii:
chose de pas-aj^er. de nii
séi|Ueiil ne eoii\iclit pa
Macll. ipii se djstingue t
lieureliscs de- l.llts les pi
a compromettre aux yc
phénoménale, et cela si
nienl ressuscite ell physi
( ^arl ^tum|ll, réminen
dernier-, 1 eXliressIoll, "
remplacer le terme [>lu-ii
tac'ii dont il entend cet'
" I ...iitiaiieinent au
l)e\\ e\ . elc . le mot fi'ii,
d lin re-ullat produit p
dit .(-(le la circulation di
lions cardiaques ; mais c
livite. du proce-slls. ou •
la contraction même d
1,111. h. 'Il l'i ii.iiiujii,- //
Il est pas permis au nal
l'esprit l'oiir le physioli
1 V,
uil/i, -11. i
AME HT Fsl'RlT
des />/•<)< .'.s .s// ^ purement spirituels
ions 4e re|>réseMlalioiis, d'impres-
ent ayoir lieu en deluirs de toute
t cela, ^ràcc^UN trajets librillaires
anglioimaires dans lesquelles ces
JUS, etc , sont accumulées, (.est
^eiire i|Ue reposent les manilcsta-
L-sàrh<immeet auxanimaux Quant
eut être interprété de la lavoii la
//,• ne montre, en général, que le
rssiis ( diai|ue observateur le voit
nt 1 e phénomène désigne quelque
meiitaiié, d'é.t'hemére, et par cou-
-, a l'activité créatrice de l'esprit,
iijourspar des interprétations mal
is simples et les plus clairs, a réussi
ix des naturalistes la psvchologie
rtoul pour a\oir iiialeiicontreii-e-
[llc le '< tout coule « d'Heraclite '.
philoso[>he, a introduit, ces temps
foncliilins psNchiques », destinée à
i/»,;;.s. N'oici comment II détiiiit l,i
e expression et sa portée:
: définitions de D S .\liller,
//.'// n'est pas coiisii ICI dans le sens
ir un processus, comme lorsi|U on
sang est une jonction de contrac
mot est convu dans le sens de lac
e l'eN cnemenl lui même, ainsi que
cieur est Considérée comme une
• leme dans ce sens ainsi detini, il
iraliste de parler des lonctioiis de
igiste, il n'existe pas de lollctloil qui
5^ ;-';,<:l 1 .i|>|H:1iJkc: .<» li.llJiir.ipllL' s Ju
1)11 M KIM.I.vrioN HKs U)Ni;TIOSs l'SYi:li;i,>l Es s,,,,
ne soit I expression de l'.ictiviie d lin organe l >r, d'après l.i
coiiceptirui »|U on propose ici et vpli ne -era certes désap-
prouvée que par quelque- matérialistes attardes, lacli^ite
de l'esiMil ne possède aucun subsiratiuu matériel accessible
à nos sens' Il serait donc plus exacl
des maiiile-tatioiis de l'esprit i,'. ■■"'/',;'
le parler de l'.j, /;;//.',
.■ l.,-is/iiili;ri' que de ses
l'iih lt,'ii> I. esprit vlirige les loiictioiis cerebro ps\ clii.iues .
il détei mine les lois d'après lesquelles les produits du toiic
lioiiiieiiienl desccUules ganglionnaires peuvent être utilise
p.ir la pensée créatrice, l'esprit n .■ doit donc en .iucuiie
lavoii Lire Cl iii-idere . coinnie une tl>lictloii de
qu'il iioinine 1. e-prit îoriile de
ploi.ini les tresi.rs de
ns sensibles pro\eii.iiit
|llt;ellielil-, lire de- colK lu-lolis. de'eloppe des Inpothe
et des tlieolUs 11 le I.llt cil elll
I expérience de- -elis, de- iiii|irè-si
du cuur oii d .mires ornines mteriturs, trésors .iccuuuile
dans le- ,iiilii\es du -v-téine nerceiix central,, " ia plu
noble cualioii que la nature ait)
iiier\eiile du iiionde. dont rien b ei;ale l.i nnstericUse
-ublllll'ie // l'illlger .
Dégager les |..ls de la pensée, llt.icer les Villes par ie
quelle-, grâce a ces lois, le- perce j
sensible- sonl utlll-ees. a 1 aide de 1
tonner de- concepts dev.iut -ervir i leur lour de point d
.-pis
ces ccillUe-
lorinule des
tioiis et représentations
abstraction, en \ ue de
Itellluelice. telle e-t la
pliili .s. iplie Ni le temps
départ .1 l.uliiile ultérieure de II
tjclie li .iidanieiilale qui incombe ai
ni I espace ii imposent de iiiuites ;. l.i productivité de 1
prit tJ.Uelqile nier \el lleUsC que soll i.icllUte de- Cellules
uinglloniiaires- elle ll en est pas iiio lis limilee dails le telirp-
et l'espace, .^'l.^,^; ./ci'i>//.<-//,<i7.s r.'ii'iu\'r .1 l ^■sp.ur J'rxfil.
ijit.-r Ll iniliirr Jr Ir^pril. illiiiill.
Ifiii lii'ii ^ /m , ,-iih ill lnilil.\'\ ,/,• iii'S
I l, . .|ii.'-luiii .iv Ll >uh„î,uiti.ililc l'il
liuilL.iiii ,. cl. . i.in|'l: Icmchl Jc'pl tcoc- p.u -,
I.i'U -,|- l>[lll,|LI.' a.l lUi'l 'i-i -;,£«.> NoUi lie-
1,1. l.,,.>
/).?/• (■.^.^c■/^ .■ .1 .'.tu/.- .!.■>
l"^'.r(^■.^ l.a prodiicti\ lie
Kil -uh-l tiuciliu- ,ic' 1 e-pra
lie- de il ii..i.\,-ll,- imcTprot.i-
puLUc-ii- pi- I I II .iitc-I ICI
i i
lOHl'^, AME FT FSPRIT
L-rcatTKe Je l'esprit nou-
cinanatiiin des lorces c<
des vérités éternelles :i
(,'énie, guide 1 iinaguiali'
naturaliste iiui aspire à
de la nature et les luis
mesure, pour chai-uu d t
du ciinlenu de ses cellti
question des productioi
énergie potentielle . i>r
ce
% S — Les VI
Kl l'sVc lliil.iHlll
hn explorant le clian
prit pour découvrir les
doit pas se Contenter d
Ultérieure, toujours de
lullenient les données
(.est par la rcciierclu
domaine de la psych
\ iendra. lui aussi, a di
étudier lactivité de l'c
toires a\ ec lesiiuels m
chologiques moderne'
les plus coûteux et le
expérimentale est d ai
la plupart de ses ex
siècles, conservent el
l-Ae a institue la preii
maie, l'endant quarai
i 1.11. ..r. lUMiii- pi.urr.1
lli.ahciiialuliif, l>"iir ai;■^l^!l
amène à le considérer comme une
ismiques primitives. 1. esprit révèle
u prophète, inspire le poète de
>n créatrice de l'artiste et dévoile au
a vérité les merveilles mvslerieuses
leur production, tout cela dans la
ux, de la richesse et de l'ordonnance
es ganglionnaires 11 peut donc être
s de l'esprit, de ses tacultes. de son
ne saurait parler de ses ioiiclions'.
Kll AlU.l'.S 1..\1U)KA miKl >
111 MAINK KXl'l'KlMKN 1 Al-K
p iHiiiiilé de la productiN iie de 1 es-
l,,isde la pensée, le philos,, phe ne
1 étude iiihjf.lnr, de lapcrception
;evante, ni se borner à remuer éter-
amassécs par ses ancêtres spirituels.
„/,/,•, //î',' et ,.»/i<v-;»K »/.i/. dans le
lil)gie liumaine que le philosophe par^
, résultats positils et durables l'our
,pril. il dis|)ose en réalité de labora
sauraient rivaliser les instituts psy-
Uisseiit Us pourvus des instriimeiits
plus Ims l.a véritable p-vchologie
leurs aussi vieille que ihumanité, el
.lériences, accumulées pendant des
corc de nos jours toute leur valeur
1ère expérience de psyclitdogie aiii
le ans, dans le désert de l'.Vrabie,
.,,1, c.uiil,.,vir K i],.l l„iiau.ii J.,i.- 1'- !""^
,r lacliviu' Je 1l>i,i,1 : vlIj a..i,i,.r,,u l[>;n. uv
1,11 ll'.KI.S(.I.\lll,S l,hS l(,\(ÏU>S> l•^^^Hlol^^ 211
.\loise n'a pas cessé de faire delà psychologie experunenlale
sur une multitude d esclaves évadés, la plus belle et la plus
! ■
réussie de ses expériences fut de laisser s'cteiiiJre dans le
désert deux générations d esclaves, avant d'.iniencr leurs
descendants, iies libres, dans la terr* promise
l.e créateur inspire de la psvchol<,gie des peuples. 1 avotre
l'aiil', nous a laissé, dans ses épitres, les nioiiuineiits les l'ius
brillants de revpérimentation fecôi^de dans le doin.niie de
1 esprit: les résuliats de ses expériences gardent eiiore
au|i,urd'hui leur pleine v.ileur. Les fondateurs de relii:ions.
les unilicateiirsde peuples, les capitaines victorieux ont ete,
avant tout, des psvchologues de premier ordre et des expe-
rinieiitaleurs incomparables, (.est l'esprit, et iioii la i,,i-ce
brutale, qui remporte les victoires sur les champs de bataille,
coinnie dans le c.ibinet de l'hommeld'Ktat, et qui décide des
destinées de riuimanile. Les deux puissances qui se par-
tagent la domination du monde civilisé — la l'.r.'jute et
r.\iigleterre - sont des puissaiice-l spirituelles p.u' cxcel
lence. l.a véritable lulle pour l.i supreiii.nic nioiuliiU- se
livre en eltet entre le N'atican et le Westminster, les deux plus
grandes puissances du monde cliretiien, chacune domnianl
plusieurs centaines de millions d'àiiies L.i paii'lc cl la
plume sont les .innés les plus pjuissantes dont dispose
l'homme l' histoire présente ainsi, pour 1 étude de la.tiviie
de 1 esprit humain, le domaine vie recherches" le plus \ isie
moderne, qui vciitlaire
evrait pas ded.iri;ner le-
qii c,n puisse rêver, et le philosophe
lie la psvch(,logie expérimentale, ne
l.ihoratoires d.uis lesquels se lait I histoire coiUeiiip. .raine
A aue une époque 1 esprit n'a exerce sur les ev eiuiUen'.s mie
intlllelice plus forte et plus évidente que de llo-, ii.ur-
Si, ilansla première iin,aie du \i\ sKcle. les pli'lo-.'i'hes.
au lieu des'atfoler, de perdre pied devant ressi,r fi.rinKlable
I S.inil l'.uit l'I pi'iil fiiL- le pitmier j'iii
lUivlit'U tlt-s U.ih.lii^L: LliUt- r.i,livilc «pifiluLlIk: tl l.ulivili.- ('.î\,ii;,|U
,.yu,
qui ait v'p.-rû uiit.- di-
sl iciKc-
.mauit- I
s llMtlllcIlf
lin.it i(j-trL
.ivaieiil
iRiLiiL- :i
.1 .1 k
Il ac
itili-
k-> a
l^;^^sL•■. |'. .luihinc^ l>;ir\ i.
Iciir^ i;i.iiia> picacwc^-^i.-
nuci a la souveraine
ei iliiCL IlUi-
phil...,,|
inlliu-iK
-.pinlu
Il as--istciM
)r-~aii wiir vircle a\ aient su aeveiiir
ae> T'iisel de k-urs eourtisans. l.a
pa, aujoiiraïun à la ruine ae son
s Ll k
a laii-.ser
lietlante
iiiil
SL'ientlIi.l'.le et à leurrer
(Jiianl a l'a suei
pliil
pille.
.•Ik
.■l n e\erLera une aethii
de
ette non\
itirra pre
bienlai^ante sur la
>naitn>n
Li a
e ren-ni
ipi a la
livre-^-pic
ar^iinieiitatiiiii spéeula
les ba^er -iir 1 iih^er\at
étnde^ e\p
poursuit la
italc
lutte
■--1)1 K
ial
iM-
IiK.S Ifl 1 (it
1 ■. ak-ur Ici priKlu
ment ac la eapaeité .
k
contenu, man eiico e.ac La quant
lutil's de ..c Li.ntenu. et
.'t .n'd. .iiiK
peuseurs c
s-t p
t ac
lenip^. une >.iuree ine|
a la eiiiinaissaïKe .
^.>ui ec ra
A MB ir FSPKIT
et ae se retirer pei
Il de l'histoire de 1
>arer ik-^ \ éritahles
au prolil de la pensi
."U dai
>hil.
huiuaiiie, ils
jleur-
spintiiels ineouteste
de
té. de UleUR
I litelleetllel . I.
-liarlatans
uietapln -^niiie n'aïuaieiil laiiiais
.Ik
tendre a un
iirelke sur la
\ aleur reklle
ciele liiiuiaine
iierdr
SDll
diiire
■araetere purement
l..i. de
a vaine
iir es-aver, au
reallte•^ ■
la vie et
le eliaini
ni'. i.'lM'Kii nAxs 1. iNii riPiN
l \1-KT1 s !■; r l.l-.> i.WKN 1 li>.Ns SCll XTll P.'IEs.
ti..iis de l'esprit ne dépend pas ^eiilc
eelliik-s iiaiii;li(jnnaire-> d'int il utilis
Je la las
> eléuiellti eoiisti
■ Ht ikiiiit ete aceuiuulés
psv
:hol,
)gie
reat -urs des seieuces
a lo-'Ule,
ies ^rand--
de tout
ihle de doeunieiit-, iniiivant ier\ ir
icluile intell
M'ort encore
:etiielle et a la ll\ati(ju
l'étude des ieu\ re^ des
DIIH kt\..i \iiox l>r5
>\s i'sv>aii(ji 1 ■
ereateur^ Ut
i seience uu'derne Ii^'ariurait au p-.\\
des matériaux iniiniuient plus p
ricieux iiue
lavtidieu-
phil.isop
e et le> interiuiuaMes Loiiiinenfaire-.
ia aijt.'ussn.in
.•s a-uvres de-
[Ui, par leiir'^ buts et leur^ niethoJ
Sont
de nous dans le tei
uips ô-l 1 espace
Aucun autre produit de l'actixili pivcliique ne tait mieux
■ rtir
rules res
ectit-. de 1
esvnt el du Cerveau lUle les
découvertes capitales qui ont cumblétemeut iraii^lormé le
uidition
s de la vie sur iu>tre plant-te et ouverutant
iU'U\eaiix a uutre c« .nnais--a!ice pendant le ^
ah,
-MX siècle.
Holt/mai
M.iv
()
" l'-'t-ce un Dieu ijui a tricece> lignes?» a
dan-, ses consiaeratioji-. sur les equa;
Il pourrait poser la mcuae qiiesii..n a pr.
de r
■iitropi
.le C^ariiot et di tda
es llert/iciuie-
,p,
de
Kanisa\- sur la radin-actn ite, piuir
ek.'oUVcrtcs ,
1 p roi 'OS
(une e
ne p.uler que
les i>lus rc
.entes de la
leii ne met mieux en relie
I le
capi
lal
rinluitiiui de CCS decuiivertcs nelil4lt
.\hst
erieuse pisque dails
Il du jour
irradier :
la 1
Sun voile, et ce qii elle \eut
esprit, il n'est ni le\ 1er ni \ is vpii ii|i,us le puis
l'.lUst
la'.ui'e ne se
liera notre
n.ituralisu
lui a eu lui uieJi.e
4i;
jasion ai-
lles a
ecouveries, est le
p.irt qui, daus SCS découvertes pcrs- uiucUes, rè\ieiit a 1 act
mieux a meiue ae aisiiu
exploratric
le se m cerveau
et
ittrib
;iuce a I luiuition subite et creiitnce
seul peut se rendre exactement coiiipte q
choix des méthodes lécondcs. rinti|iti.'n J
lie decisii.
!1 être
■ Il cspnt I.
lie, lUelUe .iaUs
ile but
soiu eut un r
est de même naturellement
pour
1'
artiste iiu du poète.
a.Mid
e pénétration >
spiraP.'U
1 hiiini
d Htat.
lacile de tracer
les (iredlCtionsdun piliphele. Il II es; pa- Puipuirs
mute entre Ict- ['ruducticiis i.rvliiiairt
2 I ) '•"'<
Je l'esprit >itii •^mit le
utilisent U-M résultats i
cellulcs ganglionnaires
à rinlunii<n sp(>ntané(
tiiujciurs d'une fas'on se
au niuinent nu le -.awin
d arrivc-r a la solution i
de loiif^s mois Klle jai
partK ulicreiiient lavora
dans les nioutagnts, su
sèment cclajré, uu en
lune, en général dans
penseur, délnurnee di
extase devant les beau
Les grandes déc(ju\
sciences naturelles expi
nierc origine l'obierN at
plieiioniLiic onnu, qu
intuitive soUs une lorii
La laiiicUie decoiiver
et Hunscn en est un
réception d un \erre
Ull-inerne, ils se propo:
ravoiis launcs de la lig
la ji^ne 0 dans le sp
tlainine saline dans le i.
s éciaircir la ligne noir
trouble de-, nuages ;
s élargit et noircit d a
l..iidaineiitale//. s'cxcl:
le Iciideiuain, la raiso
bientôt apires le iapp>
d eini-.sion lut recoun
spectrale- était trouvé
Cette loi cil pll\-..|U
s, A MB HT ESPRIT
Iruit de longues méditations, qui
e lexperience accumulés daus les
lu naturaliste, et celles qui sont dues
[.intuition se manifeste presque
udaiiie et inattendue, souvent uiéiue
commence à douter de 4a possibilité
u problème qui le préoccupe depuis
llit inopinément dans des condition^
blés, comme pendant une p.romenade
■ le bord d un lac suisse merveilleii-
pleine mer sous un brillant clair de
des circonstances ou l'attention du
probUine qui le iiréocupe, est en
es de la nature.
ertes vraiment fécondes dans les
rinieiilales oui souvent eu [loiir der-
oii ou 1 interprétation nouvelle d un
se présente soudain a l'intelligence
;e de l'analyse spectrale par Kirchliotï
exemple éclatant, lai iSs7, a la
irismatique taille par l-'rauenlioler
erent danaivser les rapports entre les
le 1) du spectre Tout en considérant
sctrc solaire, ils introduisirent une
haiiip visuel ; ils s'attendaient a voir
t 1). Ce lut le cas en elïet, 3 la lueur
nais a la lumière du soleil la ligne
antagé » l^ela me parait une cli..se
ma Kircliholïen quittant la chambre
n de ce phénomène fut expliquée et
rt entre la puissance d'absorption et
1 : la loi du renversement des lignes
s Les merveilleuses applications de
en chimie, en physiologie et en
i)IHERF.NCI.\TION DES FONCTIONS l'SYCHlQlES 21s
astronomie, où la démonstration Je la présence dans le
soleil des substances terrestres 'a prouvé l'uniformité de la
matière dans le monde accessible & nos sens, tout cela eut
pour point de départ l'intuition génLalede KirchhotT, qui sut
saisir truite la portée de l'apparition de la ligne noire D à la
lumière du soleil.
La découverte de la planète Neptune par Le \'errier est
également une démonstration éclatante de la puissance
intuitive de. 1 esprit. Klle se tit par iin procédé tout opposé,
lîuuvard a\ait constaté sur la planète l'ranus, découverte
par Herschel, des écarts entre les iTTouvements calculés sur
les tables astronomiques et les mouvements observes Cette
Constatation était en contradictiori apparente avec les lois
d attraction de Newton. Le X'errieir, voulant expliquer ces
écarts, reclicr^ha si les mouxements d'I'ranus n'étaient pas
Sous l.i depeiid.ince de Situme et iie Jupiter 11 lut amené
à coniecturcr qu il .levait exister, dajns le voisinage d'I ranus,
une planète lUsque-là inconnue l.d iS septembre i.Spi, dans
une cominuiiuation faite à l'Acadtiinie de Paris. Le \ errier
exposa le résultat détinitil de ses| calculs mathématiques,
p.ir Icsiiucis il révélait 1 existence ^'uu nouvel astre, Nep-
tune; il iiidiiju.i en même teni[>s sa position exacte dans la
siihère Céleste et sut désigner a l'avance le point ou la pla-
nète pourrait être observée le v' Janvier is.)- dindes par
ces iikIk. liions précises, Hall et d'.\brest, de l'obserx atoire
de Merlin, lie tardèrent pas en eiïet à distinguer dans le
télescope 1.1 plaiiele Neptune au point désigne " .^1. Le
\errier a apefsii le nouvel astre sins avoir besoin de leter
lin seul regard \ers le ciel », decla(-ait Arago dans la séance
du s octobre 1,^41. " Il I a vu .lu hi'Ut ,/.■ ^.i p'.itin. . il a déter-
miné par la seule puissance du calcul de la place et la grau-;
dcur d'un Corps dont la distance' au soleil surpasse 1200
niillituis de lieues, et qui, dans noi plus puissantes lunettes,
otTre il peine un disque sensible »
(^e brillant tiiomphe de Le X'errier a démontre l'exacti.
Uldf Je 1:1 le II d'atlr.u
la
.aleiir éf(alo tliéor
liiemclil Lclle q
réelles expériences sui
Kirelih..!! et Hiin-^eii i itroduisaieiU direclèineiit U:
le^ éli
laies.
lis
dans le
la iiiiesUi ■11, eoininc
l'attraetiun uiiu eisell
Fn
iieiisaiU LOiilii
>nceiitree sur un prip
blèi
~a -.iluiKin probable sont la tonditiDii preniieie essentielle
ecldsiiin des
iiit
1 11 11 ce iiu a
■lui
ration pi
\ rccevoi
'rcniier élan de la pensée sur
tioii n'en lut pas moins e
ors de se .11 séiour
à \'
ilaiis le
à ses 1
ar un b -au
ieds
Sol
1 atte
raiii>rocli
»P1
tandi
s gui
de la ter
lait l.ettc aileedole,
\"<dt.i
St d(
râleur du savant anulai .
tait delà abborb(
pai
attraction
r^ur 1.1
ll\ eiiiellt sur la vole ■
a spontaneiic et I i iiprev
lances capitales i[ni i :
spirituelle l.a-dess
inaticieiis
sont
temciil .1 la coiisclenc
iroloiul soiniii
eil. Sur
A.MK IT IMKir
loll uni verse
Ik
deiiioiisi rai h iii dont
nie preseiiteraie
nt de
es ccirps célestes
iilus tard
réelle relies expcriinell-
cnl il eiait arrive a el.iMir la loi de
.', Ne'.Mi.n lit la réponse ciiniie :
uellenlellt. // là en ellel, l'.lltelltion
.-1 les I.
ligue'
niedilaiioiis sLir
niions spiriti
inlllltliill 11 est
Il r.
sprit a suhi une
■ n.niic prep.i-
a dit également l'astt
lalure de la le
.M.I
d attra
us le
chez. New ton 1 ellel de 1 IllUllIloll-
hooUi.
P
;nJ
ant vp
lune, une |
repiJs.m
b.i
ioninie loiiina
mon lut .lUssitot attirée sur
ait
' subi
it ratlracliou \ers le centre
'1'
était éloignée
■acontte par une iiicLe
llhenticiiie par
1'
esl Certain que
iblc
de New ton a
- grand adnii-
it de Newton
'attr.ictioii bien av.int
'PI
me et sur la
ollliosilloll entre
K
■llets
liinc
Vllll U- llletlre llltni
a solulioii poursiii\ le
, U dt
inliiition '
moigneiU en la\ eiir
naturalistes, psvcliob
iii origine
et mathé
entre eux
u
;ll est a peu j'res
même sur ce lait ipie .ertaiiies iiiuiilions apparaissent suln
c au nii.ineiil
on se reVell
oriullie el le mecaïusine de
l)llll.'a;N( IMlo.s lii;s Fc^Ni
llnNS rsiillli.
d'inliiilions
la
'Ht on exagère
1
d"ailleur>
.lerablemeul
;i valeur, | aurai l'occasion de revenir plus loiigueiiient an
paragraphe suivant.
Les idées réellement iiituitiveS sont le pi
intraJiciioH avt
ment intuitives sont
.■ les opinion
it-ell
es généralement coiisidcree-
Us soU\ e!it en
étrilles courantes ;
. au début cc>:niiie
c.ition
de vil
de \ 1
.■inblables. (Jn.md ces ide|,'S ne troiueiit p.is il appli
pratiiiue imniediate, e
lentes résistances Ce n^est Jpi aiM'i
lieurteiil à lialnt'.iie a
Unie
'Ik
'.ir\ leiiiitnl a su
de longues année'
t.iire loin" .1 etri
géiieraleineiit avioplees 1 eiir c'pP'
régnantes est souvent si traiiclije
aïoll .u ei
le
1 II .111 rreiiiiei inoinent
leur auteur même eproiu e ilUek|llle dlltlcillte a les illllo juir
"cncli.iinementde sespro;
.nuiiie.
k
de
•eell
ement iinpiree
[•lus
1.11 \ ertu de Cc
,-s se trou\ eut être
\eiit des i.lees lUsies * ^a a le droit d al limier qiic
eiir un rai se m
blance et I
■ iilraau tioii a\ ci.
'P
rei,-ues peuvent être considérées |coinme un cnlciium lavi
rable de leur lUste-
[)d
le mes leclier
.Il
.rivais le naguère
u.s arriN e.idessolulioiis
iir cette raisoil, par.iissaient improbables
d .ibor.l Plus tard, on etaik au contr.ure surpris ,|\ie
scieiititi.pies,
inattendues ii
la lUsIe-
le Ue si>
utions aussi
coutest.ibl
()!i
(»
jiiaii.
/,' ,/,■
/'cv, .'/.i /■/.'/
lirolldgeesl
sauce des me
.'U 1 Sds. |e collimeliv .1
III. > .iiit.'rn-L
. her>. Il
. existeii.
e du toUUs de
ut eire delinitix ement écarts
.•thoje
dg
livsiologistes. le restai iieanm.
.'ilk-lllfclil \
ll.|U
i.iw.'i.l
i.ic i lu'iiriiiL-
■ .1 Ks a..,
IIIUvIl'
i dchul .111 m»'
liJilc
IL- un.
st était rêc
m:- le
Ils coiwaiiuii. urace a mes
l.ihU
Il's Jt-,..luC'llc--'iOÎeliti-
lU,; le- lIlUlllJi.lls ,i.' I li-
lU liuiuai- cl triictacii-i.'s
LUI llii.-liliK lIc 11 liiul-
\IL^1-
rknh
K
2 l S
études cliniques sur 1 ataxi
e lr)Comotrice (/.»/".•.•. Jurs.i/i
nnenent Jes racines postérieures exer-
rahl
e sur iasphc-re niotrue corres-
riiilegrllé Ju l'onctK
i,'.iii une iiillLicnce cimsiJi
pc.iiJanle. l.l en elïet, me expériences eurent bientôt établi
la nature de cette iniluen :e tonique, à laquelle participent
:ine certaines parties di
de portée des résull its de ces reclierclies rclati
>ri^ine .le nos énergie-
ers la llienic époque, i
manilenir pendant plusieii
\
^rellol
lllk
le
tnth.M il\ 1
du seriiin de
pui-^aiioiis --ur lin c\
lind
re
iiicrt lire
1'
usieurs mois d
îssais. poursuivis sous
de I u.lw ig, me permirent,
|iretelldlle 1 111 posslbl 1 lié et
-■n aiitoiiiiie iSij
:itei les !■ inctioiis de
.nded
e celle lilellioJ
.nlies Lcrébraux des
que Ceux des llerls de
oculo un itcur-
Al
'|i
.Ud\
=1 T 1
(>arus eu iMq, eurent dem
.Il
lOiiclll^ioIls de Be
nerl-. cardiaques, en delior
pour l..n>;iciii|is résolu vlan
de I
loU\ elles
reci
lercli
des intuitions heurci.
el
prues les llerls
llerls moteurs
-lisible
'Uerls ac
leur mer\eillcux
Je la Munie année '
,-l. Il,
o.,,fJ,
l'.Tlcc |.iiy-i,,l„n.l
prudente cii iSd-
AME HT ESPRIT
cerveau, i 'u a vu plus haut i % 2 i
\ einent
psvi
'V
[laraissait tout à l'ait impossible de
rs Jours les jonctions vitales d'un
aisant lui même entretenir sa nu-
ipiii et enregistrer eu oulre ses
rolatit à 1 aide d'
un minoiiiLire a
lad
irection
e vaincre
-■tic
de créer une méthode pour res
rgaiies sépares du corps, méthiide,
le. eiiiK SI leL.iiideeu physiologie l'iusde trente ans après, à
je ( Us lairc lonctionner, pc^/ iih'ilriii ,
s nerls cardiaques et vaso moteurs,
la respiration et de cert
:illls llerls
le
:eleb
res travaux
ntre les erreurs des méthodes et
le problème de l'exislcncc des
des piieumotgaslriqiies, sembla
■ le Sens lleg.l
tii. !■:
Il \>uu, I cnlre-
ur 1
es nerls du cceur ; grâce a
l'emploi de niétho.les
leur i llerls d
eiiresseur-
erateiirsi lurent d
mecanisiile se trouva elucid
et les
ecoUNerts, el
e a\ aiit la lin
r.v..ij
.es a.'
ac I'.
,|.p.... a.
l'IFIKKBNi I.VTION UFs IONi;T[OXs l'SVc Mli.HF.s
.l'ai raconté ailleurs l'histoire de la décc
.•rte des toiic
lions des can.iux semi-circulaires en tant qu'organes
du
de l'espace 187; , de la destination physiologiste des glandes
ihvroides, de l'hvpophyse et de la glande pinéale 1 iSi)-- 11)03 .
Les unes étaient dues en partie i de» intuitions d ordre intel-
lect
ctuel. proven.m
t de 1
1 présence simultanée dans ma>
cience de contenus en apparence hétérogènes ; d autres
avaient pour origine desassociatujns, plus ou moins
.p
'erceptions ou de représentations ac
lonnaires, associations
ou spontanées, de [
mulees dans mes cellules gangl
à descominunicati-ins anatoiiiiques entre les libres ner\ euses
que contiennent cert.iines cellules ganglionnaires (, es der-
nières associations peuvent se produire en deliors de la par-
conscience générale
ticiiiation de notre esprit et de notre
On
•rehrales
■\rait peut-être designer c4s associations purement
Uls
le nom
da
ssijciations psvc
;hi.pi
Ile
es; elles
'llscieiKe
forment, indépendamment de la volonté, dans
du moi et par\ reiineiit seulement ensuite a ni 'tre coUscieiK e
générale les intuitions purement |spirituelles. par contre.
sont CcUlsClellles lies le
L- début
le iilitre conscience gêné
raie
les arriv eiil spdnianement a la ci
uiscie'nce du moi. Il serait
utile de
inspirath
• iiserver le terme d'intuitions pour qiialilicr les
:•! le
lu in.aions
pur
et
ippelcr -eiiluneiits
prcssentinieiits les intuitions j.
cliiques re[
Bernard, d.
it sur des as
ciationj, ganglionn
llis s.i cele
bre Intn'.liu ti
. est souvent se
aires t.laudc
r^ 1 .lu
mot sentiuieiit eu ce sens
l.'origintt purement cérébrale di
certaines de ses intuilious, a
laide
sentatioiis imin
empreintes daii
nard de l.iire .
iiranches de
diatc
associath uis de re[>r
es avec des perceptions ,.u des nuages
sa mémoire, 11 a
p:ts
.he t:
,1c Ber-
iécouvertes qui ont enrichi plusu
la plivsudogie
lareil
le
entendu st-rt d impulsicjn preiiuerd a l.i [
liU.IIUlUilc. III .1.
Mi,l.i \c juiK Ai pln^Mil.
.■utiiucut aiusi
isce : il .lirigc
vp ji iiiuaulc I. 'iKl-ituiU
ts I
un relise m>n
t II
un iiiL-iRiit aux pr^
Il uveiiiplc J. iiituilii II
1 al-
la hehc
iiiann. iiiK- a--
dt
rapiMiiN
•nti
ilive Je 1 iiulc cl i citai
nu- •^iiiigcia spciiiIaiiciiiLii
pll\ Miilui;l.|llC lie I'iihIuIIi
loiiiniiait la ilcl >lii pi^b
la lilaii Je llu n «iJc.
1'
ir ciiiilii.
I
ntuiliiiii
lIOIlv lit- 1 lixp.ip
iiviaiscinlilaïuc-
iiiL- bcaucuiip d
f.MiMderaicnl
i-iiihr\(>iiiiaiie. saii> rnl»
vilaks cl p-.\ ^;lllqlu•^
iiiali;ré Ic^ Jillitulli. ■
ineali.-
Kcl Llllllltllt.
-•inblaiiLcs //.
kIl-o cl appin a -a dciii. ii
-a pr..piH
cxpcrlcllcc^
iiK-iil iiivraisciiibiablc. du
ciiu| clcnu-iitv i|ui a\ aiciil t
< -cl. ni le ciiiiiMc de l'un ra
du radium cl dc\ euu libre
hcluiiu. //
1
oiu cric
ddUl le clliiix cil pll\Mii|i
laile
lie
\MF l'r ESPRIT
\lllfS 1^
de r
spril pur
)'ar '•iiiipic as-.i n lalu ui
de liciduth
\riiic. lailc par l)a
>iuK
udaiiic a\cc nies scuisciiirs dcja
la maladie de Haseduw. l'aelioii
les iDlKtKins Je
iierls cardia. 1 lies
IlltUltliill i|llc 1 ctudc
niic Mir les iicils di
lacti
>liceriiaiit les liiiK tlDIl-
{III ma coiidiiil a la dce.. inerte
\ se et. lit diudre purement spiri
Il un niLiaiie de iliiuciisi. iii ail-si
)|n suiluuisU
.1 J anale piuisies
lienciicresecuec
terminé, put exercer Jcs l,>iKti(.>iis
1
\ cstii;e
dui
portée SI h. ml;
Ml' lires, a I c\
me dci ida.
;-i imeiitatiiiii
ilirccte t e sont des r. Il SI 11 s du inclue ordre i|ui m . iiil l;iikIc
|iiaiid I ai entrepris d'etndur les l.iiicHnns de l.i ul.iiide
iiilerciuc à la .S'... ;,7i
Ch:
de la rcelierelie des Invr.ii-
ir \\ illiaiii K.iiiisa\ Je\cl(ipp
tr.iti. iii ii.ir I c\i
les meinc-
I'
- le il 11 II. I ne.
Il et.lll .ibsulii
lie m lire atm.isiiliei
pli
Ultlllt
lit
pl'e |iis,|n 1^1 a ri.is re. Iicrelu
-ciubl.iiiec .|ii un ea/ se .leja^eant
se transi. niual s|,, .ni.incineut en
iinellc mctlli.de .l'un csIln.ltMII.
le expcnniclll.lle es
i.riii
e impur-
■ni un. pur pr.i.liiit Je i .-.'i it. I.à
uni I KiN. I \ii.iN iir-
K>\. Tli>\
aussi rintuitiiin iuuc tin rule capit
ment être prcee
.lee de Uniques medi l.iti. m
Idis crée par nu esprit intuitil supcr eur. peiil r
a la sciciue
esprits de se
.1
(elle
l"
rilliisiiiii .|ue m 1 intuition, ni
tuelles ne sont indispetisa
l's-H. ntijri:-
I .M:i
lit l.irc
■■tluide. une
rcn.ire encore
t.iblcs scr\ ices. uicme appluiuee par des
hllUc '..lit soin cnt naître
ualilcs iiiteliec-
it le
• n.l (
en la', eur
blés pour i|iu nu tiav.nl scieiniti.iuc
.•st ainsi i[Uc namilre encore \\ ()st\\aid
.laiis une etlKle siuj la ie^hilKille .it's nu cil
des qualités des
/, ( cla n est \ rai
de I
i '<• trausiniisif
-•lUs clc\ es
clc\ es tr.naillciil .i
luaitrc .|Ui les .1 . w
,1 ..r.ire llieoil.lile.
•lll.id
t sculeiliciu dans le
^
des .k
■eiion du
luvertcs.
menu
liablle .les nutll. '.le
tant, en outre
des
ll.lilte
.■lices naturelles ab.iiiic en prcincs
nient a i.i
pr.j.liK tn
.. iiip .r.intres consiilcr.itioi;
-Iles présenteraient eiic.ire
.lillei euciainui des tonct
1 esp:
es p.
\ ais |e
les plu
celles
lues .iniici
les
elll...ie
.les. p,
.•lu.lier I a.
un tiennent compte
;le
■lilO.lc
iiuiue Icsscu
>ellles c
tlll.llle
//.■.■.^.[ll
.•Ut c.ipables .l'a-
naturclles. 1 cnii
4..I
autre
lies de 11
Mit
1.1
de
haut intérêt, rclatn e-
s et de la
:ri-
s ps\clll.lUC
i^ilcs modernes,
iiabitiide .le ite^.irder
.■t
[1\ lie .
tïerelU
>lus iiup. 'riante
cspri,! Iiuiuani.
.lo.Ull
de
les a.liuissibles. parce .[Uc
urer une précision scicu
■lait une erreur r.i
licald .: les .iitlereiK
I ou observe .1.1 Us les pr. i.iUe m 'ils .le I
'ru luimain
ont une iinport iiue p
de
qi
la llieoric de la
point .le \ uc lnetlloJol.|^l.[Ul
nileliv a I .liiaU se -elcutlli.iuc
-W
t cela iiou sculeineiit en
couuaissaiu e . menu
.lU
iretent iiitiniment
•mie .|l
• n»-
piis(.-r;iit d'ctiulur à ce |
huMiain. IR- lut ce i|1r- d
df> sciences exactes de
ceitaiiiement mieux co
Ile l'uiit l'ait iiisciuici lnu
|)|iv>iolugi(|iies' //.
I ai loriiiiilé de la lai,-()
études : " Les esprits di
deux catégories iiiéj;ales ;
directement à la vérité
dans 1 erreur a Je CuUilde
comme des particularités!
esprits et tout a lait indep
assidue dont ils tra\aill
l'examen le plus minut
iiuestion ne donneroiu p.
prédisposé a l'erreur (. e
Macli chercher a démon
'.'.I////.//NS.?//, ,■ ,7 l-.i r.iir
plus éclatants exemples (
dieux, a|)paneiiaiit a la c
jours de traders ; cJKUiue
dents témoignages -
le ii.,mbre des savant
juste est très limité dans to
l'our i)eiiser juste, il laut,
percevoir lUste les sellsatl
1 ollie cl de la \ lie 11 s"a
telilellt les pcrceplKjiis r
partie d'un groupeineiii h
AMK ET ESI'RIT
loint de vue les erreurs de l'esprit
Ils un seul domaine, daus l'histoire
nature, par exemple, ii.ius Icrait
naître lenteiulement liuniam ijue
'les essais de meiisur.itions psvcho-
h
H
■ t ,|i Cv..,, l.c- ,ilcUl> I
lu I.XIl I
: 11,11.- k, |r.ir,it;rjiiiic» 3. j
|'.H,i(;l,i|,|n. s Ju .II, 1(11111; VI Je
li.iil.irue Jt- i;-|,iii Jt .M.i^h i-,
Iirc5 Ji; M. 11 .nlmiu -iiciililii|uc
I suivante l'un des résultats de ces
■s hommes doivent être divisés en
ceux qui arrivent presque t.iu|ours
:t ceux qui \ersent Constamment
lais alors la connaissance et l'erreur
|ualitati\ es, caractérisant ditlerents
i-ndantesde la lavoii plus ou moins
lent. I. érudition la p|u> grande,
eux et le plus appn.ilondi d'une
s la vraie connaissance a un esprit
t bien a tort que le metai'h\ sicien
l'er le Contraire dans son ouvrage,
II offre d'ailleurs lui nienie un des
'un sa\ant très érudu et très stu-
tegorie de ceux i|UI pensent tou-
lage de son Inre en lournrt d'cvi-
et des philosophes qui pensent
Us les domaines du sa\ oir humain
a\.int tout, posséder la l.uulle de
«lis de nos sens, surtout celles de
t ensuite de se répresciiler exac
:sues, Ce qui dépend en grande
■urcux des images per^ lies, accu-
yi.geiicsl C, ,11,1,1, /'/.'«.,,, , .4,,/i,,,
; ■; Ju di,i|,iiu- II i-i J,ii„ i ,,|,|.,.uJn. Ju
M.ll ,„lV|l.i(;c. 1).1~ i)/ulùh,,i,ili. ^tlWjKil
Jemi.iniic |),ii Ju- cxciiipl, - i,.,nihruiii,
t plillo-4,|>hujlle.
iiii 1 1 KKM i.vTioN i,r:s losi iloss l■^^cnuJl^s ::•;•
mulées dans notre mémoire. On reconnaît aiseineni coin
bien est t'aible la proportion des personnes qui voient et
sentent lUste en soumettant' sinuilianénieiit un ccr'ain
nombre d'indi\ idusdu même âge et d'instruction a peu ;Te>
égale a 1 examen des impressions rei,'Ues par su'.te des nu-ines
excitations tactiles ou visuelles, l.a proportion duu'.nue
encore notablement quand il Vagit d'utiliser les représen-
tations et les aperccpiioiis pour la tormatu.a des coiuepts
et des jugements, et cela, même iHiand l'épreuve se lait s,,r
des -gens de savoir égal l.a lacultclde penser lUste se mani-
feste de i a dans la lorination de i|os concepis I. muiit: .ii
créatrice de 1 esprit n'intervient qii'au moment ..u le savant
cherche a interpréter et a lugcr, ail aide de reiTescntaiiùiis
ou de concejils tout lornies, l.i nature des phciu'meiK-s qui
ont provoque les seiisaiioiis premières et toiuliiii a la per-
ception consciente .Même sans ilituitioii. le savant doue
d'une intelligence claire et lUste pourra certes, parmi l.iheiir
loii:; et pénible, accomplir des recherches utiles ellai.e,
parfois des trouv.iilles heureuses .Mais jamais il n .nivnra a
la science des vnies vraiment nouvelles et i;e lecoiuiera
notre connaissance de la venté
L'intuition iinmediate de la \ eHte n'est donnée qii aux
savants qui peiiseiil jUste et qui; par leur s,n,,,r a. .(Uis.
peuvent faire iriictilierlinspiratioii re^ue l'iic^e pour que
1 intuition dev leiine réellement . 'l'.i.'';.. , un lro,-ieine Lic-
teur, d ordre purement elliique. doit il interveiiii. lu eitet.
comme je l'écrivais dans la préface d un précèdent ouvrage
l/,i-.v .\\rr> Jli C.ini . édition alleinailde , " l.i vente ne se
/Vf.'/.' qil a celui qui 1 aune p.issionneinellt poli;- elle iileiue.
et sans aucun but intéresse *
Naturclleiiieut. de longues années d'un trava.l .issi.ui -.ut
de plus indispensables polir evailiiner et Verilie; si les Uices
et les solutions d'origine intuitive repoiidcn; en eltei .1 la
réalité le succès et la fécondité des recher. hcs au\.|llelles
ces idées et ces solutions ont servi de point Je .Lpail peu-
2.2\
vclit flic Ldll^Kicles cciimili.-
leur \cnu
:l cK\ c Ic-i
i.:i a.
Il ilhiii cl non la -im]
ac l;i
\ cnt.ililc li.uilciir cl .1 ^r.i
libici >hui> le U iiiplc a^ 1.1
;luirc
apic^ :1\ 'ill c\)"i-c k> lull!
--ubic- l'.n < .ir|.cinic, kcp
que 1,1 \ -tliur lie IcuiN i;r.ii
.•11
<_ nu. iil uH ..imiic.
.Ilcuollc >lc
t. jU'uui-. Je tr.i'. ei> c-l liai
I e- -..i\ aiiN
■,clci.Ulu|lle I -e
airci.tioH ctraii^crc. .|Ucl.
|ilu^ -"II', elll llleiiliK l-clll
liai I
la
^ -.l\ailf^ .|lll S'.lelll, lUUClU cl liell-^cnl
irclleiiiciil iiLiplc .1 1.1 iuikIucH.'Ii
.icuvciil aicoinplir. a\e^- mu ~aii-^
lie», rcciierclic-. mal eiiiu.uc- cl le
p.ir !ia^al'
illl re-^u
ible-, .1
cil --a!--!!"
chiiii ui> i^c
iier.ile^ \ .ilabl
( liai. Illic .le tc
LdUll'' 'lie, iill le
-r (.'iiiehl r.ii'c, ce
1);
m- 1.1 prciiiieic
^atc
il I.ukIi.iiI eue.. le di~i iiit;i:cr deux iuIhIiv iMoii^
.lelIciUlcU |Mn>
Ih
[)eli-ce Ile ~' Hil jM^ llUlUc
il)eell\ c. 1 elllelKlcIllellt
a aiilie jiart. eeu\ dmi
ilc^n-- lc> lIllelcN ou 1
1 1
( )], lie -.1111. ;il .iMlelUa.
c.ilcU' ■lie li^' l'c ;■-' 'iiiic-..
elo Uieichciii-. iiiai> .[1
I opLuc hiiin.iiuc : iioii
Ile Cl .|jiiai-~eiil p.i-^ la pci
(. c-I une In polheSc [ila
nieht .1..^ loncliMii-. Je 1
.\MI I r l-l'BIT
la preuve l.i pln-^ JcciM^c
jciuivcrlf
MellCC iiaiurelle
UKulcIlle a leur
leurs ni un-, eu lellrcsiiKlc
~lriic-
.liiail K. !•
\ . .11 11, 1er
icslutles cl Ic^ cruelles épreuve-
■r. dalilcc cl t. ml d'.iiilrcs. a\.ml
.les JoCulIVelles ll'eUl de Ulll\ cr
m cxcciiicc-
lU mciuc
iblelll
.M. Us ils sermil l.iiii"Ur-
iiee cl klcii tirer Jcs en-
leu.uic-
Je savaiil- cl Je |
lell-curs
J, Je lliilllbrclix Jet;re- ( c .|lll est
11! JeS trausitiiills cuire les lieux
le, en ilchois Jcs c~prii- iiiiuiiils,
J'iinc part,
.•ralii.iis lie la
le ces par
les pllenolllcllo .
la
il conJuisanl leurs rcchcrcli
.icll>. Ile spirituelle
cxcllci
la-si. >u-. res
iil.
le Ile.innii.lUs J.UUUlc
Je inenthiiiiier ici une Iroisicuic
|Ui n apparliciiiieiit pas au mioikIc
i ti.rniciit riniinciisc maioritc Je
, viuil'iiis parler Jcs h.uiuiiei .pu
>ce J.111-- la \ raie acception Jii iinit
isiblc «|Ue cciix-la disposent seule
aine c\ercces par le cerveau, mais
l.ll 1 IRI s. 1 \ll 'S 'I -
N, i!i' ;- l'svi uiijri ■
pii-NcJcnl p
!t créai ciir
i lll.pK
partie >ur
ae llloinJre , .ileur. rep.
le I..II1
■ niieinelil Je
pureinent .lUtMiii.iliiiue- : ils -cr.iienl
./i,.iiili!.in,.''iir.ii cl .:-\ini.ilhviii.'iil
\crlebrc-- supérieur-
lu .iJinellanl I 1 |il-le— c Je .
JeiuaiiJcr J.iii- iinclle mc-ure
rc-pon-able Jcs erreurs
calcgorie
( lu ne -aura
jIic/ \c- in
il ecarler
prit peut être reiutu
llVlJu- Je la JcUXlcUle
tlicse J après la^t
les erreurs Cl
lal'les ni.n a Ic-prit. mais aux cf-llu
J une \alciir m.iinJrc. cl Joiit le
ou in.il orJ. 'iiné
le Jc\elopp
conceplliii perinetlr.ùl Jor^
r.uJc Jcs J. .11 lice- c\|
-ni iiuoiireUseinciil s^icntili.pi
tn.n pri.p.
.•\l'er;melltale-
utrc les 1..1IC11.U1S 1
luctlolls
C-IMII
Ul.
1,'cliiniu.itioii Je I c-p
.lu
.linpic- ii.'iis impi
piirlec colV
.//
iiJ.rable : il n existe pa
'' .1.
..//.- ./.■
L-orrcsp.m,l ph
chi.urc autori-e. .p
s\ mptoiiiaii Jocic Je-
j/, , I e tel nie alleUiail
1.
:.uicmciit a l.i
1 Liiuirail -ip
-, .i-Ji-ant ma
CKIlloll iple Uolls 1
luJre la 4
r..iios,Mi-
uc-li"ii -iii^aiiu
M■oCC^sU- p. mil
.:;i.|
l.l l.l
;,te l U-î-f lie
Ue- -U-CC
,t- l'i-Xpi
./l i .UHi
1 K.lelllt!
l'.llllli I
lit Cliuli
.'...> lUe
leurs pruces-iN p-\-
aiciil aiii-i en s;ranJe
lecamsiucs ecrcbraux
jomparaMc-. iiuiuipic
.-"lus l'.irl 111-, a ceux Jc-
illcrciK
J..U
Jl-Cll-sluU
llni'i
mini-c- seraient inipu
llulc- ^aiulioiinaircs,
rail iiiutili-able
.le ictti
leia Je .Lin. .ntrer, a
.pll-e-,. .(
Ue 11 -ep.ll 1
ma, ne .les
:lio cérébrales et le-
ia re.ilite Je-. I.n;-.
!..n^Ui>ii- p-^ -
r.,ii ali.is une mire c.ikIu-i.'Ii, Junc,
;;/.(,'./,//.- m. II!.!
-ta ilirc Jes j//.i.'.J-
. (iinn
lll.-l^r.,iikh.:lri'
îté' .\n-si
ph,iucr a 1 élu. le .le la
la.iic- nieiil lie- la Jillc-
Jcvran-il - atlaclier .t
allecliiiu-
.■1 epralc-
molli— emeiit- ou aulrc-
blcs .U suppiiiiier ..'.i
22()
a :iUcier
le l..ii^liiinncmcn
tJc
iltiiciU-ellcs 1
lour rcnar
laiis qu on ^'
il ,,bli
Liuc ma
hiaic de 1 esprit:
— Kaim-
1. KNl'Kl 1 .
,~,(|.\1MK11.
Il VI
|R'1>. 1-
Dl'IlY
STKl. l.K ((IKI'S.
Kl l.'lM oN
1 11 (,1,A.\1>1.
St ll-.NT.
La question ile-> rappi
ipi- rts e
tucls
enlie le
mléresié au (
lu-1 haut d
l'eu
Je problème-^ on
•-éveraute-).
aecrbei. 41
1 homme «,
J écrite
e celle
ilu^
le> re
a dit a\ ec rai on
huions préconisées, ci
entent d être inentioiu
uuitement scieii
iilunie
ihe
sous cert
stériles.
U apr
De
jartes
1.
rapp.
\ eau
bleuie
ri qu un en seul p
c etail un essai
lurtanl.
)araissait la rendre
P'
lui attr
ibuait Mais 1 in union
lient toujours des g
crm
n'
le louclionu
jinblait ressortir
emellt
de U
part co
«(ccupc.
idérab
eilini/ vo
ulu
dément par une coiupiraisou 1
lell
Jul
regl
\Mi; KT ESI'KIT
parties du c
er\eau atleiutes.
un pic
.les triJlinles
ble
Intel
d invoquer, pu
ur les e.N
1. A.MI.
l'I.M Ail.
11
1.1.
t des communications even-
le et 1 esprit a, dejniis des siècles,
^re philosophes el naturalistes.
ui 1 objet de réilexions plus pei-
noin
breux.
de P'
latioiis entre
jmique
le
1 àuie et le corps
d. I'
du Bois-Kcymoiid. l'arini les
le
le de Descartes c
t celle de l.elbni/
. bricvenienl (iràce a la pensée
de
=s pi
phe
leurs
hvp
tains ra iports, n ont p.
ae entièrement
iini,
4 une
jrps et 1 esprit ue
dans la j'iande pu
seraient en
lealc du cer-
lulion analomique du pro-
ijiuclure .in.itomiqu
pic il jouer le t'
e de la pi
lie De-
uil lioinme
de
me coii-
, de \ ente
le cet orj;a
recherches
NoUs
,erriuis bientôt
ne minuscule
le \i)«T,, pi
tel
jlutloil
rendre
du 1
d une
iroblème qui nous
issible a notre eiileii-
lureiiienl mecanui
ue : deu.'i
lois
polir
toutes
à lUûUVcmelit
mnt.Kl.Ni LMION l)i:s loSi.TlOSs l'sV.Ill'Jl ts
il. fei
>resenleraien
t It
rapp^
Dans
irdr
idées, il entrevoit trois
le 1;
.-t du con
ibilitc
dont
seule l.i troisième était de n.iture a satistaire le deteiiseur
de l harmonie préétablie. 1. artiste qi
deux' pendules aurait été as-,e/. habile
a construit
lur le
laire mar-
cher d une las'ou uniforme; mais, par leurs moiuemcnts.
elles resteraient néanuuiins indépendantes lune de 1 autre
l.e naturaliste ne saurait se contenter de cette e'
peu trop
ipliste Niitre confceptioii
de 1
xplic.iti' '11
>l'rit est
leurs dilhcile a concilier avec Pidee d un parallehsinc
idaill entre 1 activité inlellectuelle et le hiUCtloh-
llldep
lans le sens
[Ue ce parallf--
lléli
soit interprète
de
jibni/, ou daiis Ce
Ml de
i.a question >les rap(iorls entre le yW.rps et l'àme se trouve
d ailleurs ra^
ilemeiit traiisloriuee par
lait qi
rit
est élimine
de
ible des londtloiis de lame De
dernières loiictions peuyellt e
\\\
la
>hlc idéaliste.
pnqnietcs organiques des
A\
Ules ceire
uumc pi
braies. 1
Isiderees.
jnant ue-
II aphorisme
u du sicc
audacieux de Karl \'ogt a si.ulevé. \|ers le mille
dernier, .uitant d enthousiasme irréllechi que de critiques
justiliees.
résultant
l oules les lacultes que Uous concevons co
actiN lie de l ame.
disait il,
tOUCtloli
sdi
1 ccr\ eau
lur no vis .servir
ne sont i[Ue des
d une expression
rossiere, la pensée est au cerMeau a peu pi
plus i;
la bile est au l'oie.
.nlusioii mal
lU l'urine aux r^ius. « Laissons de cote
conlrcuse des ►:cUules gan^li.iunaires
js premières lie sécrètent
lies glandulaire
ien et lie pell\ eut riell seC
reler. Quant au lond
des i(Ue la pel
humaine
se d être
a plu
dere
par le naturaliste c
oinme resu
tant de 1 activ ite
mais est
indique plu
■ nçue Comme un pur attribut de 1
haut.
mparaisoii de
esprit, au sen--
util, m.ui;re
sierete, lie pelll plUs soulever des
'ar suite
la dirtereucialioii .[i e noUs avons proposée.
objcctiuiis de principe
K- icl.iii..ii- iiitr>-' l<--
'Ils . Il
ii.ni < III' iil ' ""'
II, ,/, ■
/, », ,7 /
-m .. c- r.ipp"il- 1.1 l'Ii^-'
le]. m- 1UCM|1K- lin -K-^.1
il c-^l plii^ ptnm- '1^' 1>-
iii,k-cc~mI>U- .1 1 iTilciui.
1 .1 jl||\^l(■ll■^l>.■ >lt-i -cl
inilicii du -Il lie p.ii-f.
l.i iilu- -.11
.-lUdlLC t-t l.l 1
r'iiii|ui
.1.^ 1.
r- -.1 iii.il
|i|l\Mi|llt:
lllclil".itL~ If-'
t cil .1-tlull'ill
uicl . clUcU-cllulit tuii
jcniii^ Je nMii-l'-rlcr
il.iiii.iiiic >lcs -iieiii-c-s t
a», ni a \
ju1.>ii- luiur
-le par Ici ^eiil-- pi
i.iiil .pic -.iiiliuiicr
)c- nuie
preJcCcr.rîCUl^ l'c
a.ec la plii^ cli.iin.ime
1111 chaii'il a bia- et le
,i\ ec anc liiCMiiiMln e
M'
jimaiiiaïKc
i.in^ -"11
.lai actuel
icellc, >ciciilili>iuc uu
1, expcriiiieiitatioii
dilhcultc- ,|uaiui il ^
)ieClse^. Ic
jdllCllMll?
iiairo. aii\4Ucllc~ vi.
1 eiiil'iv.ilogic. 1 aiia
.lulce- par ia palli^h
cliuics Jii cer\caii. un
î"jjic exp'criuiciilalc.
dui-ciil . '■ *■
ilil.'
.a-i'i'^
,/ ////,■ ^Ini' lii' •' •'*
l\'ll. Il"ll- pll\sl,>hi,ili.]!
Il.,",-Jl-
< )r.
;lc! Il a p.i> CL-.-C i
uil! de a..nncc- p
a^^-UinUlei'.
.•lllelleineill ..■■liililc
lent l(iiiniain
-upciicur- t-l
acvenuc. .kpui-' le
l^raialie .ic
l.l bl.il..-ie 11 lliicUX
11; ciaMic Hllc 11 a I
lie pr.
(iracc .1
a- iUlci"
vie- mc-
jgMeiil cl iinel.|Uc
l,,i, -iHiia-
.ilu> ! 1 lii.'urcn-e- c
ijos eipiinaisiaïKci
dc~ |..|Ktl"ll-
.U.^e-, ae lu-,1 ciae li.rellle ..nt
;tu,ic a.in- le
L-,. OUI - ailar-
.ielinUl\ eulellt leUl
ac'le^
il e- p>,\ cliiili
nlrc ie-
>IU|ll
•te-, ac la pli\Sl«>l"
ac- a Une aialeciuinc -uraïuice.
mage |la
\ aliltc ac- e
ll,,rt-< ac leur-
lu'iiu ti.urne >ur plac
nieiiie
habileté. Ile pcuvcu
l I.urc 1'. aiicci
nctirej a ui
nie ae luller ac \llc--
lu- pivcli..l",L;ic. iiui n c-,t pa
rol.inilie ac la pli\-iia..ii
le peill iau5 picleii
ihlloJ.pliKlUe.
Iiv-u.iofii'inc reiKCiiitic I'
- b.i
.lie .1 une \ llelll
aieinciaer. avec
ae- lllcll
ae= ilillllara> de ccUilk-,
miciit. .ibi.utir u"-' i.r.iianer.
de- -en-
; jel 1 lii-ldloglc. p
iiiat.unu|uc. "lit pri-
11— aniuicui
aaii- Ic-
- a . aiice Cl
a.ii-. li au— 1. i|i
aei.iblc -m la l'ii
U ae pri.grc- m.. Un
Il ici:n. 1 Mi.iN"
ukn iostt;
.l"l"'ji.pie- .iccuuipii-. ipie
acIiiiilivciiHUt ac>pii-c-, aepu
Millik
N. .u- ne yi'iiv "lis itueit\ c
ae ac
ara^jti
• r";;rc
111 eu citan
aelliicie- eluac- e\pennicll
t le pa
taies siii
uce vciélMMle. KappclMi-
11 c'ii c-t 1 auteur, lieruianii
Vl-le .pu
ac ireute .niucc- .1
uv recllel'che-
l"ncîi"ii
la prc.i-
.le- ai;tclellle- paille- .tll
ac
.llli.ae- "1
iitupic pciictraiite. iiiai-
iiipartiile. avi
1 h-ibitiKlc ac iUi;cr .m-
-\ b'.cu se- \
,1 autu- -.M ant-.
iiilcreiit a
ileur t"U!c particulière
le- libc- iier\ cii-e- -en-"nel
111. -. .111 lurille
,1e tib
I elcli lue .le la -ub-lauc-e o
lient -crnirciiicnt p"Ur
tnui, -e pri
rticalt ..lu cervc.iu.
ha. pie
le- libre- .1 uu autre sell-
crvc.iu prc-cii
le .liii-i un aiirci;
h.U|Ue -eus.
4Ue I ai ap.pe
IViu- le- clcuiciil- centrau\- ae .U
,uaf,..ri .h
re. te avs
U, -C1I-1U..11-. le- pcr.epll"U- el
-elll -eu- t^uaul 1U\ liiUcll.Hl- sll[
lice- au\
lihrc- .1 .1 a-s. 'Cl
.eiitiaiix 'lUi - e
tell. lent -ur t. 'Ut
t,,iKti.,ii- .IcpeiKianl d . .r^aii-atiuii- n\"X\
.Icte: uiillcc-. 1
,1 adinulatiKii
de
plu- ae p..rtee aecisi\e au p.'int
r.illr le re-lc. IH'U- -iiillUle- .Il
pii.jU ICI le- cXperielue-
ct .uK le- "b-er\ati"n-
M.ii.k i
'atlu
U.-il,;l,
s> ^^^.alll..'^^ ■
'inerte- precleU-e- et
reii- lu-.pi a Hermann
n-er la p.'rtee actuelle
.ace -uivant d une .le-
Ic- >pllcrc- -ell-'i'rielle-
|Ue 1 eiuineiit plu-U'i"
.Munk'. a cii-acrc plu-
expcriinelUalc . -ur ':e-
cerveau 1 a Ime— e et
.•rat. 'ire-., ain-i ^ue ii
la.itielle u .1
r"pre- travaux .pie ceux
euvre- cl.i— l.iues une
-en-, -an-
,pai«eiit ,lan-
1 \ urni
-nlrcnielcr
'flicale au
1 de rem.'U- ai-iuuie-
ic- -phcre- -eli-i'nelle-
.lUe sphère, ell cCUlUlU
i su
b-tance
le- hbre- a.' pr.'jectU'ii. -e t.'rinent
represeiitatU'U-
a un
.le la -iib-taïue
Uuill et ,1 .iulr^
e -i -un. le
ileiucl'/-
.hacuiie .L
■i.uu
-plu
le \ue
ac la l...ali-atu'ii
le-, ténèbre-, parce .pie
iniinau>. n .'Ul pi- ib..u!.
iiuiue- -ur le-, .iphasie-.
llexi
es, agr:i]i
liies
etc
iii>-utïisantes et J une intc
On
111 c
V
1.1 accomii
des tonctiiiiis >cn-ciritlles
incitent de lixer les regii
les pcrceplii)iii el les
pousser la localisatiiiii pr
experimentatinii
les résultais précis (^ua it aux lneur^luns tr.ii
ilusieurs e
mlirvolui.'istc
iniieessUS
prétendre a iiiie \ aleiir se
oui coueenie la localisa
pensée
(^iinmie on vient de I
entre le ciirps et 1 à me es
la localisât
id pri
,h]
iiin et aux
e[lie. Celui <
autrement dit,
////•,
/ / rsf'ri/. I.a solution d
;lati
peratKjiis intellectuel
mahsc 41
k
rapport
Il s
agti. a
■ant tout, de
intenu de nos c
rlh
'prit. .|ui
des jugements, etc
Tell
:^rcsente encore de très urandes dillicultes
ati.uiuer de Iri
it Ans
;t a nel aborder .pi iiidir
7- /c,
•. / .7/
:■;// ilr
P-'
h
,.MV. /.•///.//
////,■
7/1/
Os essais m ont anier é a élargir mes
AME ET ESPRIT
ionnent que des
rpretalion incertaine
indications
lis daiiv la
lisation
it d
eja consuleranie
hle
Ils
,11 Se liinnen
t le-
•.elisatlolls
repre-entalions.
cst-a-dire
sque pisqu aux dernières
les animaux peut encore
et surtout
lllelllitc
h.irdies
dans
de
nlellectueK. elle- ne peuvent
ieiititique décisive, surtout en ce
n des soi-disant centres de l.i
ir, le problème des rapports
t déjà sultisamment élucide quant
mécanismes généraux. Reste le
les rapports entre 1 àine et I esjirit
f',iin/ii'ii'
.les
■lllr.
■hr.,
\i \
iro
hU
me ainsi tormiile n ippa
t iilus tout à lait inacce-siblc a notre eiitendeiiient l.cs
ns entre une foi.ctiou et son utilisation p
jr le
ireteiit pi
aise m eut a
direct- entre le corps et 1 esprit.
;terininer les
voies par lesquelles
es ganglionnaires peut par\enir à
es utilise polir lormer des concep
Us. des idé
quelle, la solution
du prohieme
si 1 on veut
li-jc cherché h tourner la position
t ctemeiiit :
//
./c
li'ird.-Lr-
^liitlLi itspiil
' m m II II 1,1 il. ■
h-S llli'VillS
.1 ni.ihli.-
p.ir lL'>t/i,
JUldc
rôle
DllURFSc I KTlilN HES IOS(TIONS l'SMHKjlF.S
de 1 livpophx-
problème q
et
le la glande pmea
ui nous occupe
Da
.lar rai^port an
leia
introduction, | ai uej
fait allusion à une note -iirles loncti(>ns de ces Jeux glandes,
communiquée en ii).
I.a note resuine les
a 1 Acade
sultats
les ^cien
;es de F'aris
plus importants des
recherches que j ai laites pendant jles années sur le lonc-
tlivniiJe, dd 1 hvpc)ph\se et vie la
lionnement du corps
glande pin
ment et presque
éalc (les recherches ont été ;
iubli
ees antérieure
en totalité dans A'tl
.niiiiilr Pli \\U'!iii'i.
N(
voyer a ces publications, nous bornant à cuer ici.
la note mentionnée plus haut, lies principaux r
. 1 ; , h
IV llir
Jh
ne ]>ouvons donc que rcn
i après
-ultats
I hv
V"\
.iluse assure .1 .iiitoregulation .le la iTes-iou
sanguine mtracranienne.
et vci
lie
comme à I accomplissement ettilcace
itc d
u cerveau,
fonction--
ux sanguin dangereux a 1 ai
Mtaleset psxchiques Klle remplit ce rcde en pre-er\aiu le
cerveau de tout attii
svstème d écluses, don
importantes.
t les glandes th
vrokles
mt
2' l.apiirtion glandulaire de 1 hK
substances actives, qui couserven
culaire dans un bon état d actix ite
1 h\pophvsine, agit en augmentani
teii-itc des battements cardiaque'
.lophvse pr.'duit
le s\steme card'i
illê
antidote puissant de 1 atropine H de
I l.hvp'ophvse entretient 1 excitation tonique
- de ce- sub-tance-,
isiderablement 1 iu-
coiistitue en outre
la nicoliiic
d^
nerts
ihibiteurs du cœur
4
( jr.'ice a ;
bstances active- qui miinticnneiit la.
vite des nerfs
pathiques et
règle les échanges nu
tritifs des ■ issus et la
glande
•:iic
poss
Je
1". i \.\ .1 l.l Vu VollllIIC 1
.l.a.c
V.
J.^^r
SJinti
f.int\ii'i C enîi uiii
pneumoga>in4Uc>
.relii'!i vie
l,i pr<tpn
juihli
11^- ic-lierjhc
i\:H^Vitci'ti
JiiiiJuiie It x^'ll.ili.ih ,1e-
Jcvcl.
'l'ciULiit cl 1,1
Italie»» uch.il.uu et iiniKiiri--- r.ir
li\ |>.i|i|li\sc la\(.iKc iuir-i^aMiiin.-iit
ri >l~saMi.'c tltr> liv^ll^, cl li.Ul IMrll-
iilicjc-nicnt ilu ti>
l.<L> allcct
Iwll--. L'I iiii
in.l> de I lu |H,|i|n ,e pii,
IikIcs, iir,t!ani.|iiL'- ci |i>
i.iblcM et ^./u\ ciii iii..ncl
jl|l\ bc Mil ^,,11 c\lltjMlJl>n
tciix. J iHic pclK ,ic con-
iiiorl cil l'c»|iaic .le i|Ucl,|
<| l-.i glande iHUcik
iiiccani,|ae eu ic-laiil. p.
Svi\ iii>, 1 alliiix cl le ictli
la lleLC5>ile .je llialll
i e,|iiilibre entre ia .|iLiii
ceicbiM -pinal. àeicrmiui
Illeill c..lKMl\iailt de 1 h\ 1
l'.nleriilec daiib une cap>
luciit >cii>il)lc aux inoii
c est irc- probablciiunl 1 1
iicineiu de la lilaiidc puie.
l.a ilote cil ,|Ue>tli.ii bc
■ . I a deblriicil..ii --ubite de I li\ |iii-
tiUalc cbt siiuie d lin état coina-
ciciiLC et aboutit lataleiiuiil a i i
ICb iDilib.
;erce j iiiicipaleiaeiit iiiie acti..ii
r I llittiiiiedlaire de I a.|iiediK de
X du liquide ceiebr.. >piiial
eiur, dans la ca\ilc cranicnue,
ite dlj -ailii et celle dll li.|iudc
natujiellcuieut un iDiietioiine-
/ /, >f't-h
pi'f-h}^. pjr.lll . ir.- ,A
/.////, III. Ml/-.
pnu:iL-.
•/"■
Kel
cv.iiib elKi.ie le lait
les organes deb bcllb pelip
daiib la [lailic la inoin
1 In ponluse
base du crâne sur la sclb
^■iuc cvc:illlcl]u Je l.ij.pwiu .i;.,i
JUc.iic J .IlElIc 1 .tll.,i,li.,i, ai> .1
'i'il > cl.ll^ll--cltl VI .ii^clli
iilo .i^ !,, al,,
ij.-- l'ill..-.ll„
\Mi-: t\ t-i'i li-
me les siiii|iles tioiiblcb loiictlini-
iniben|t ccitaliib Ciiinplcxiis nior-
liiiinl
s. pi"e--.pie toiipiuib incii-
iphVbjj et de la glande pllleale.
le a ilarois rigide-, et cxecssive-
Ircb ithangenieiilb Ac presbion.
cpMpH\>e .jUl dirige le lunctnin-
Ic ■ •
tcriiujne jiar li coiieliibiun c|iic
.irt.
I i\-iiip!ii . J,tii>. iiii
ai.ut .ï^
.( /./ ^LinJ.-
îllivaillt : de niêllle ijllc, de lMll>
leriijues. la iainriiillie c>t siine
i)ophvbc. cnlerniee daiib une eapsulc rigide bituee a la
ble d
il crauc, de niein
tur.iii|e. Cbt de iDiib 1
cb iiruaiieb
'illUlUU:
l"Mil-l_-- -,Li L Iniil lulciL-l .k- |>,ii
i.Éhljiii|_, ; j .1 iiiUci liicJi.iNc Ji.^ jijj
.a;,.iliwi. rcl.iU
cliUj i li\a.*pl:
iiiiy>e cl i.i jii.uiJc
hil 1 1 M \. I M luN |.|-> 1 .iNi.Tli
jieliraux le mieux abrité. />.'
\/l.l,.r.!,
.ii/i;.. I s .xt-Ti. ni
un titiù II
( iràce aux nniiilM'eu-o d
IbpilbllUH
rcgiilari~ant la nulritiuii et le- eçh,
li--~Ub et |irebidaiil au !• iiKliunnetn
le I ( ^ irculatii.ii -.a;ii;uinc
'/"7
/. ■!.■'■ ,-iilr.l!
qiu J"llllll.- tiS fniututi
/.!nl,'~ r)// />,■/// ,A.
il>/.h n-r
I-
I.
'/. '. it- .ttt.i, li.i
">un !
pis nioiiis iuipiii tant le- piiluiUig
dciii- aviiciu accuuiiile de-, iibbcr
lal-aiellt deia dei ilU'Y
rôle Mai
milieu du blecl
I içou iiuiibciitabi
e pa-se .lu 11 a eie nrc
l.c- iiiodilicalliMlb patli.do;;iiiUes ce
jllce- le lilu-- -'
plu-. -ou\ eut de nu.dlti.
du -orpi, iln n.ide et de la ul indc
preb.pie tou|>.iirb de- troubles ii-\
ti idui-ent. au debiil.
ps\clin|iieb et. par une torlt
jMU- I ird biir\ leiiiien
t J
es accès perudique- a m
qui peuvent aboutir tin.llelllellt à
•/.
.'/,•. />.M-. /;/
,7>/.V. ./:■//.
iihiii .i!t/iii!c^ J:iii_
>.iii;\ ,7 /.iiii.ii.> .ji:
! Il\f>r:f>ln:>c ;■/ .',<
. tr.Mib,
'f
d.-lvilJ.-fj ,ii.i!.iJ
'.?, .'///.•y pstrfiiqi
///>/».> .7n.,7>
./ Ill.'l)liill\' f.lISi,
■J
■'■' '"■. jiii i :iiK .rin-if
l ijLil 1
.u\\ih!,iif />/-,
•ii.iiiinjl^>n,t\iiii'>it>
\S l'bVcHlon
/lli
ni r.'i'n
qui cil lont un O! 4 me
,;cs clliniiques da:-. ; , -
ut du s\bteiiie iier\ eus
itjlc le
latloiib cliniques
Je n e--t ipue 'v .
et delUolltre d une
In riopncse. accom
iluiiib currespoïKlaiites
IMllealc, .lé!erin,Mienl
hi.iu
lues p
par une de[i;e-bU.ii et une iiupiin
tendance au -oimnci
iiubécilliK
J-Jiur
IflUsJ l'I I
r,4
.'//(/■■, .1.111 > /,//;, A
//.,/,
As /loii/'L <J, i rspn/ ./i.
.111,1)11.1 /us ./,_s i,ro,,//,'s
siiiiv, II/. .1 /, III- hiiir. , ,,/,
Ce tableau gciicral des li
des allectioiis Je l'li\
priph
d aliecliMiis de la iilande )
1res remarquable de .Idsci
MHisIdrnic de thèse, a\ei.
Se, accdriipagnees le
uicalc. est euipruiltc a un travail
Il IJigel. paru à \
///,/. A
, //A
Au.
en revue presque Imuk
de Ih
>ph\
: peui
er\ ati
li'|llu>
laut les dei
in> .lu plus
clic abonde en ob:
psycliique de l'hyi
anciennes, et d'autres se
peuvent as^c/ aisément trouver 1
/r.'ii/^/.-s Jr Aï
llln./ilu .l/i,ill>
pi
l/r
r /'!./,
'1'
ont moiiiré mes rec lerches e
auîorcu
iilatr
de
mecanuiue.
seules DU coniointenient
glandes \aseulaires, Muit
nerveux central dans un
Hlk
ibl
hiiu/itiiiiic//.-
que. sur les sccrdions c
partie au moins, par une aj^Uon purejiient du
I.es troubles
il
es Seuls que provoquent
1. .le Jtu n. tr.aMil Je tugul. f.
nonihrc . '.jh
lu il r^nlL-riiii; un grand
'.niuiuc- J untrc.~gi.i?ia iiilùrél pi
.-h.ippé ou.\ .lutcur» modornu.-,
.AMK HT F^I'KIT
s/r.
.iiijri'f'ii
i/.iJr./.
si flWjl:
.lu
-t plus i.ip.jl^lr
-V pr.i./tiis.il/
lin -ut J.iiis /.-s
- //.s-i / .-A////
, ////:
.in\ /i
■ih/.s .A/.
i/»///.
esortlresp^ychlque^ qui résultent
plus
up.ent
ic-nnc. en iS-,
ce titre
r.hrr ./,ii II
M,
I ni. m II. Tint
lut d
litl
c son ouvrage. 1
éraliire connue
auteur par-
les
^K■^
prcL
\il mtcrct sur
ouïes ces observations
lcut>;
i1e|a
iblablc
de date
plus reccMlL
i^plicat
ion a.uis l.
hr.liii.iiiir, ,jii! r.-iii/i-iii ,A
/. .< p.ir / /ivl>,ip/iy
-vpermientalcs
activiic
et organe njest pas seulenieni d'.
i.es substance! acti\ es que produit 1 li\
:i celles qui >ccrcicni
>;> autres
lest
:lat
inaes à maintenir le s\ sU
parlait l'onctionnc nient
eut exercer eij outre une inihu
sur les échanges nutrilils dans les t
. /. el
Issus. ain>i
e. différentes glandes, et
unique .
nerveux rafcpelésjci-dessus .sont loir, détre
es modificatii
apporuo au
i,U- 1
ulu
gi.liie : Il .1 ju~4Li. 1..I . unr|.L lcni.;:a
Jircrlion de K..kiljii-k\
Ul.Il.s ^li
il
ujn
ut de dul.iil.
p.ir.
.nH.RENi lATION l,rs ioNT.TIÛXs l-sV(.U
lonclionnement des gla
lulc^ vascu
Ces organe-
-lelense et de régulalion du sv-icnii4 nerveux central. M]
Ce serait dépasser le but de cet t-ijpc
d autres déiai
lail". (lue nou- veuoi
a leler une vive lumière -ur le
Icux
laul et r.Lili
'.■/ lllOVi
'/ ///A
p/i
rniplii'ii
7 !<■
■/.ihli
prit ,7 /.(/,
/// J/,
li/iA
.//,
It Jr
sllppli ssinl
■r.lpp<ots p.'iilillt
ii\- pcriodiijiuni. lit .1 J.s ii!/cn\il/rs p
il.' ./.'
.ina/iuiis
dcl
i'i.iiiiriin,
l(i>IIU\ se
1/ d .
■.iri.l/iiiiis pc.livcil/
.Ull'lllillt.llli'll nu
(■ d.iiis /es v.iissi'j
1 /ri II
.t !. s ciiv.-liipp.'^ du ,.ri\.!it.
.a suppression UKimentanée des f
possibil
maiéria
-Ve torcemeiit a l'esprit l.i
leiis
Cellules ganulioiiiiaire
.//( // .1 c/i- ./// pîiis /i.iii/. doit i-lr.
ii'ih/i
>lon inlracrauieuiie
.■/i illt cil llltlll, /cii/ps ,/
i/.\ quand ces
déliassent cerlainles limites .i.uis
autre sells
I'
lur nous scr\
d'ui
grossière, iious dirons
que 1.1 las'on
lion
hls^eUlenl de 1 ob^
les rapports eiilre
■^'F
jurile d.ius une ;alle d arci
saxaiit poursuit ses études. Que de\it m la
raie pendant que les archn es de
ph\sii
inutilisables? l^etle q
Uestlou est
-\li ph
,1
la
ts de pathologie expérimenta
examen du probK
l'.irmi 1
es s\niploiiies des altectioi
que .1 entrer d.iiis
- de citer sultiseul
i(Uestlons posées plus
t/lli- l\-lld.ll/ pnS^-i^'.--.
r.ipp.ot-
• p.irt;, '!
'.l'iiliini •
■iiti
r-/.r-
Jlltc
net
Il m : iiiituii!
ions p5\ c'hiqi
ité d'uti
illsid.-
pciur
lies da
.(. //
Ils les
./-■ J
'dilications
.te la pres-
I li
•u
• mparaison un peu
■ m s i
rit l'.iit
r
nierru;
lljei' l 1 ea\ 1-
nives ou un
Conscience iieue-
:llules g.inulioiiiiaires
-lu domaine .ie la mét.i-
gisle .ipparlieni seulement d indu
de nali;
a laciiiter
.■poplu saires. U..US
f
avons cUl- le Ici. ,111 ycvi
M<iniiMlcni;c- lui^i-i.mic
■ ' >nscicii>.L >i<h~ci\cnt II
ic.milier-, ^hc/ I li.,inmc
^Mii-lituc-iil Ir s.',iniii<.il I
< Il .^runJf |..iiik- -m cci
^aiiuuiiic ,|iii >c iiianik-^u
incnts -ur. ciiam >iai.> le
Mai~ la ])it->i.,ii ^.mjjiiiii,
>-.-t jic-riius .-if Mi|i|i.i>er ,|i
• lin .icpcn.i .iii i.,iKli.,iii
.liiaiiJc piiiealc ijilel.|iie~
inciM.bcniliiciit ^.JiitirnKi
^1 ^.iliiioii. a la Mille de
loriiiiilc 1 li\ p.-llKsc ,|iie jt
duit par ccrtauu- >mtii
--(111 t.iiL. \1 . ( niiicili a pu
sur lc> iiii,ailKali.,ii5 Jiiïi
i--li\p'.pli\>c .k- iii-inii,,tii-
tailK.5 de ---o cellule-, et p
pliilc?. diiiiiiiueraii- m >le ,p
l-iii \ enaii a eti e c. iiilinue
i lin 6 .|Ue j'aeliv ii^ jilaiidul
111. ,Uc diiuiiuie. ell Illêuic 1
■ ilalc-, peiidaiil le M, mille
l'.aii- ii.,ii\.,ir preel-er d;
d.iu; la pnHiiiclli.il de IllK
serait prêter. liile', lu-tiua ii
de I./Ule aetli.ii L Jiiiiii.pie p
aeUleileliieiit ,|iie I .ih.dlll
liledi. lires de eelle aeti.ill
.jUel.pie eeniUl,ie .|lle .jlia
suli-taueesaeli\e-.ie 1 In |i..
I en..lls-ll..u- en .iiiil.- pnur
iiiéeani.pu de 1 h\ p.,pln,e.
-\-M I r E-I'KII
ll.|lle de l'et.ll llle.ill-elelil et une
e- dlSp.irlt|..ll- perhulupies d^^ 1.»
'riiiaUlllellt el .1 de- inlervalie-
I edlei le- .1111111. iiiv -aili- : elles
-■ -.illUlleil ii..rni,ll rrp..se en ellcl
ailles ..-eillati. .11- de la prc--i..n
lit eiici/ 1 li..innie par de- eliaiige
^a!ihr<t de- \ai-seau\ e-erehrau.v
etaift' rejilce par 1 In |i.iplusc, il
e le -jillinicll est un plleli. illleue
elllenj de 1 lnp,,plnsc el .ie I 1
tra\au|\ spéeiauv. piihlus reeeiii-
ectle
es rei
In p.itlle-e- ( . e-t ainsi ,|l|,
lierelie- -ur I Inpcipln -c, a
s. un m cil pln-i.d..,i;K|iic serapr.i
'U- de -a paille .ulaiidulaire De
'Ile d liilere-sante- . disert ail. . 11-
d..jii.pie5 .|iii sur. leiiiieiit ,ian-
• peii.iiut le soleil lii\ eiiial ( -dr-
u- parlieiilierenuiil je- e.isUi-u-
aullle durant eclle période Si le
oii di!\r.ni suieieineiii en e.ui-
liie du rin ;.opli\ -e ciiez la lu.ir
jUé l'iell d .lUlre- l.iiKlion-
IKll
:lll|):
I In.
^autaje laeiion .le rii\ p. .pin se
Jllseie le'c dliraul le -.Jlnnieil- il
.inel .ir<.ire. de l.iire abslraetioii
'ssibli Nous 11 en eoiin.iisson-
■selllel I linal les pliase- illler
Ile' p./irroin être élucidée- a\i
1.1 11 *;.uistiuilloii eliinihjiie des
ll\ -e-;r.l deliliilii e lue 11 I el.i hlie-
e in.u! eut a I .inalxse de 1 .lelioa
la -uHi-aniiuent élueidée
Ml 1 1 II N.
Mi
I Ile diniiiiiiti. .11 .ie iatinile in
soinnieil doit -e inaiiilc-ter par iiii
popln -aile pell.laul i.
rclliiA moins rapide ilu
• •iiif; de- \aisseau\ eerebr.iu.\. d(Uic"par une certaine aiig
nieiHatioii île la ma— e -anmiiiie d
( >r. toute -Ulse -ail.i;Uine dails le Cci
detel mine. .lilllillUe 1. .r^ eniellt l'acti
.le lellllle- -iailil 11. 'lUiaire-
Noii- \enoi|.s d. j.irler du niainlieii de leo
on |i|iitoi ,iii " entre la q
.lu li.iuide cerehro -'.linal à 1 iiiterie
t ne aiii;mcniatioii ,ie la i|U.intilé
doit être suivie. p..ur de- r.iisoiis
dune .iiniiinitioii .le l.i quaiitite di
ct\ue \er-a l'..ur Contrebalancer
l.llldiall une lllter» elirioll 7/,(T(-H.s,
11- la cavité crânienne,
veau, arrivée a un degré-
.■itc d unccrtaiii mniibre
nautile - _ - . .
ir de laii.'Ue cr.dileliae.
du sang, par exemple.
l' me meut mécaniiiues.
iuiuide cere bru spinal.
Cet ellet mecinuiue. il
Je riU lH>i>ilvse. Ulodi
liant lei.ii Ion. lioiuiel de la glandt pinéale. Nous r>e j
se.loiis inailieiireiiséiueiu aucune
irinl 11 possibilité a une pareille
indispensable p.our iiiaiiilenir 1 intei;
saiiiiUine. modilication
le la glande puieale ne
Cérébral (Jn.rnd il -'.luit dune niodllicatioii i-eriodique
.1 ordre loiiL ii..iiiiei- .iê 1.1 pression
amenée par 1 In [■. .,.|n se. l'iiction
p.iiii rail s acci. lupiir .pie d.iiis un icu- concordant a\ ec le
cation r.ireiiie action
du b.ilanceniciit inéca
deu\ li.iiiide- iniracra
.-tarder. -eUni le but .i
>vlie un
• ut .1 lait liiJei.eiid.inte
but pin sloio^i.jiie d
sei.ill .1111
III. pie de- .jii.inlite- re-pectl\ es de-
nieii- 1 lie- pourrai! .uccierernni r
.itteindre. i e^ . .uieuu Ht du luiuidc cerebro spinal par laque
^^ M
pilent les oi-.-er . .iiioiis iiidiquaiil i|U une certaine tension
vlaiis ces c.i\iies e-\erce une action
I ,Kin lie de- . eiliile- t;aili;iloiinailc;
a i.l \ le inulle. iiielle ',
i K..|,-i,, ,
joiinéc directe démon-
iiuer\ euiiou- p.ourl.ini
•ulite du louuoiineineni
jue teinp-.
IliiHt-
iirecte et lavorable sur
4ui_ iMrticipeut le plu-
l,i '
et
A ^.>iiiiii, il pour .Uï.iihli,
p>_i./iu/iu Jr. .,//„/.; ir.,„
lir.lu m. Ht. d.lils /,■ //-,,;,./
/'"". C'i ./.,7V J.u l.iirs,
l-> v.iis.,:iii\ .1 /., Junni
^•i\h,jl,., ,/,/. /,■,/,/// Jii.
ment ./, l h\p,,phy,,- ,-i J^. i
(-"lunienl la diniiiiuti,,
i-eljuk- (iaiifilioniianes ci 1
>.ialiijnbc iiianircsiciit-ils p,
hahitiie au irayail mtciiec
tkJii en s aidant J ch-ervali
pi>-t;niciii >c maiiileste Ja
coutciiub de ia conscience
de ia ciHisclence du nioi.
cliort!, i.rdiiiaire^ de laltenl
bea~atiunb, pcrcepUiins et
cl iini-recis-eb: le, plu, he
diuie façon de jikib en-plus
■>pp.ircii> ..■r.-hr.,,n d inhib
.'•;/•/.-,/// ,, s .)>,>,../.,//,,,, ,^ „ni
la durée de cette péri
variable : elle peut n être cp
I teindre piusjeur= minutes,
ricures .,11 inlerieurcî.. l.e p|
l'ilJ^ apparent au m. .nient d
par un cnihr.,uillenient de
arrivant a iiutre cun»cienc;
unpressiwiib Seul un ré\eil
4UI précède le M,nimeil prol
coniiai>>ance.
N.,us ne p.,uv(,iis d'ailjet
■■■■' '- ' ^X-'HIui. lllinull.;ii.v Je» .u
AMt HT KM'HIT
■"/. .\^ir ,„ih iirr.iiiin.iil p.nJ.uit
"Il >ii>pnuire /.. loiutioinum.ut
ll<'ll,i.1i,-., ,1 p„i,r IroiihL-r ev,;,-
I -Ltioii Jr Liir, Hhn;J .,,„,. 1.1-
I .iii.o>,i.Ht.U,oii Je prrs,,o,i ,/.,„,
'//.'/' :/.■ Irnsi.n, ,/.,/,, /,■. ,.,:■,/,■,
'lem.ut Ji, n„.J, d, loiulioun.--
1 i'i.liijr piiié.iL-
1 de l'activité tuncti(,nnelle de-,
estn.ubles de leurs tra|ct> das>, ,■
:iidantles.,ninieil ? T(,ut huninie
ilcl peut rép.judre a cette .pie,-
'lis laites sur lui-nieuie ; lassou-
""•J par lin état cnlus dans le,
générale, par un artaibli,senieni
par une luite didees que les
l'-n 11 arrivent plus a arrêter Les
nipredsicjus deMenneiit \agueb
icr.jgèues sa=s.<cient entre elles -
incohérente Oi, J,r.ul ,j„.- L:-
'i"ii iiii. .1 /r/.,t /;„/-w.,/,./v»7/-
'de diassoupissement est tre,
e de quelques secondes .,u al-
'"Us certaines inriuences c.vte-
énomeae le plus constant et le
à lassoupissenieiit se inaiulcste
Piu» en plus grand des idées
cl- par la cniusiun de nos
^"inplet met tin a ranarchie
'iid avec perte complète de la
■» qu émettre des hvpotlièses
veux J... Hclmli„lu a a,- .M^i.zjI. .,u
MfrLKKNVI.UhiX l,ES lONCTIOSS l'SVCHKjlE-, 2-!y
plus ou mollis vraisemblables reiativinient aux phénomènes
dont la vie psvchique est le' théâtre pendant le sommeil
même, les indications tirées de la t'^çon dont se comporte
le dormeur dans certaines manitesta^ioas accessibles a l'ob-
servaliou. comme par exemple daps les mouvements re-
lle.xes. par lesquels il réai;it aux excitations extérieures, ne
pernietleiii aucune conclusion bieifprecise L'activité, dite
inconsciente, de l'àme ou de l'esprit pendant le sommeil,
dont plusieurs philosophes tout si jjrand cas. ne présente
pas beaucup d'intérêt pour le plivsiologiste, iustement
par^equclie reste en dehors de notre connaissance Les
bribes de nos songes parvenant a notre conscience, directe-
tement ou^ travers les souyeiiirs, si|: raj'porteutà des phé-
nomènes set.mt etïectivement déroules, non pendant le
b,.mmeil. mais pendant letat de deini-^ eiUe qui précède le
réveil .01111. iet '"1 4"i inlerroiiipi de temps a autre le sLini
llleli
t >r. 1 obser\atiou de tous les jours nous .ipprend que. si
l'./.v,,,,7/'/.-,.v w.-/// produit une conturiiou absurde d idées et
de rep.resenlatious. le /\-.\-i! se maijiiteste sou\ent par le
pheaonicne opposé, l'rcs.pie tous les savants dont 1 acti-
\ite tut largement créatrice ont eu j l'occasion de taire la
coiisi.,tati(,n suivante : la première Idée claire qui se pré-
sente a notre esprit après le réveil l'^.urnit parl'ois la, solu-
tion inattendue d'un problème quf.a s était \ainement
et'torce de découvrir pendant de lont|s mois la conscience
commune des peuples n'ignore pas ce tait. " l.e matin est
plus iiiielligentque le soir «, altimie je dicton russe ; la auit
porte conseil „. dit le.pro\erbe françUis. etc A la suite de
iiomiireusLs observ.itioas personnelles, le suis arrneala
coiniction que l'heure matin.ile n .i rien à \-.ir a\ec la
naiss.incL- subiie d'idées heureuses U ne s agit que d'une
coin.ldeiKe fortuite entre le soir et le moment Je 1 assou-
pissement d'un coté, entre l'heure matinale et le réveil de
lautre cote
'IllIll'cUsc-
ilC LllMlKlc iL'Il
r
IlIlliC IJlLll]l.l
I pli
k'IlX i.U II'. .|>
t< .lit .1 1.1 II lll.le|irll I.UIIIIIt.
I • ..prcs ma 1wiii;ih c-xpcri
>lii -(iiiiiiifii II c \t 1 "tciil au
Ill .le t ln--ilii
l|iimKk
■ k
-m lapiMilth'n .le- iiilii
i\'\ i;tl SiIiIl 11 ! I .■h.iij.
i.ip(ii .Il mu ', t i l.nijf iiupc
pinliiiui Ll)ll^lllllc un Ic'p
piLiiiKrL- liciiii,> .lUi >ui
ol)>t r\ atcui's cl i \pcniiicii
\|]. hciM.hii 1 1 aiiiio. on
riaiiLj.
> pMjir
Un. m > .lu Ml
Inu? Iicurc>
perbiuiiK>
jur II uc- II.-
.111.
ji" . eau rcpi i~i
iniiit-loib a la
luciil. baii> .|iic .II? iir^'i
liiiiPs ..Il ali..Ui.lieiui.iils
liiccs
iiiluiluo. -mIiiiI.
l'clluxii.ii iiiicii~c u .i\ aient
suruisseul aiiibi asse/ ïuiu
Or
/,,
./,.
// .\iai> i
.'|u 11 ap;.urie.
lineoiiMiciKe . 1 id
générale ; l.i
nient el pii
;ii
r-iunilit
ee >((/■. /
^ii-ni..iiju. i.i
liïL-.l.
ijul IlI U^C
~j et pnnei jialenielil pi li.l.iiil
ilMellei. lllcile. inon ^. .IliUleil
.luiii. IK e
.t la ,/(,*.
bie m SI
une ililluener .ippreiia
->pril JU>-llc.l .ipie- le lei i i
heiircu-e- au inmnen
t lii
Mininicil pile>ente
pai'i e i|Ue ^elll K ^
notre cer.eaii i >r.
iClIlill.l
it I
.lUtii
sut
• p
eiUKlllUiU iii e le ri:\ cil se
n^tan
lu
u p.
.I.int le-
,ib>oupi~>cnienl l>.u~ le-
aiii. e. .niuie K. .Iil-t liutu r.
e slieiKIleiuen
I k~ i.li
là de-Mi? Au>>i
isenl elle>. meille e
lie/ le
jirani
ri5 inlellci. luel-.
rcpreiulre U ir,i\ ail
Jllls
e\teneure>. te
aient le'onlnbue a 1
i~ inaitlendiiej, .lUe
.le~ mil
pa, 1
lermis même de MUipoiiiiier.
eut au! reveil d une la^-iiii
bubilt
•'M
i re\eil. ave
las tOJlOUIs Kl lin e'.iniliUte
>ri
I pleine 1 1 III ?eii liée du nu .1 Ile i e\ ielil i|ile lente
U.llllOI
./.
'./.■.
,•/.•
1\ elles ide
arait -eiile a 1
1 ei iiiM leiiee
.- 1.1 r.lU:
ni .i I
..!.,-
Il H.KI Ni I \TU)V iii;s ii.MT10>S l-\ i llUjl'I.-.
(,'esl d h.ibitude après le retour d^ la eonseiciue du m
!4i
les rapports s établisse
Il uraduiilleinent entre la iiou
ible
^ile idée et eellesqui avaient préo^fupe 1 esprit preaUible
ment au sommeil
II
se passe un in;er\alle sen
-neliaineiiieiit des u:
isibl
e avant
.luit
a l.l soUltMU du
problème apparaisse elaircmeut a no re eoiiseieiiee. hncore
mannue-t
1'
nivent a e"et e
hainuii-. surtout eelui qui a
t'
•./.■
immediaiemeii
ride
e intuitive.
;linir exactement l.i durée de cet intervalle
est en droit d'allirmer, c'e-t
le la p
une
duré
e varia
ble.
:\ que
icliainemeiit quel
tr
appa
U est nat.irelleinènt ditticile de"
II
iUt ce qii
Us parlons s'accomplissent- .i une lin on sensiblement plu-
lente
eSsUs
le de demi re\"eil a
de 1 esprit dont
iiie daiïs
1 liiUe désordonnée des idée- au cours dc^
vrais re\ es
(.es laits
pliUosupli .-s el des p-
lissent par observation per-on
unbreiix
d ex
dicati.
lii
uscieiit repose, en dernière aiialvse. sur 1 appanlioii
subite d'idées inalten.iues
;lle
ont doiiii
)louUe;-
j heu .1
la philo-op
.illie
d.
nuages qui a\ aient empêche la lu
1 esprit ( 'n clierclie a expliquer cour
échiraiii, -comme un éclair, les
niere de se taire dans
amnicnt ces apparitions
adinellanl qu'un graii.i iu.mbrt de m.initestatioiis d
1 activité intellectuelle, psv chique
conception particulière de tel
ou te
ou cérébrale se
leloil 1j
Pl
lUosoplie
duisenl en dehors de 1 iulerveulloih de notre conscience
I
rester.iit inconsciente.
.is grande partie de ces idé
lU ne parviendr.in toi ou tarvi a notj'e conscience qu a 1 état
iraumentaire
lUe
\|>iicati
la part des plusiologisles. Les 'phénomènes q
teignent p.is notre
.nscieiice ne pt
recllerclle
ibiet
ui par.usseiit eii\
ahi
r noire
ind
e ccrt.unes
u\ eut. en ueucra
\m II al-
al. l.iire
xactes. Quant .uix pensées médites,
subilemi-iit. rieil
oiisiieiice sU
n est moins aise que
tanière ai*proxiinatu e
jll elucidel
Seule une
origine, lul-ce J une
mgue expérience per-
I'!
irciiiurc
ac
.1.
il illUllcCUK 1 piiiCc
il .iiitnii ne
/lil itic
[iriKlfiicc
cpriiilN cr-
.1 .CL 11. (5 |)r()|H\
cl >Lulciiii.iii <|iiaiul c
;t ,|U clk
I C5 re>c
r\ L- l..riliulce?.
l.iiiiIlciciKiauun j.rMpwïc
iK-.lIloil
I c~
ac 1-1
.^ ac
ii.ijiUiue ac
-iiitcr\ L-iili"ii.
lui
It a.ill? le elcjll
il
-..il .laiis
|ir.)\ iM|iK
I acliMK
lltaleillelll. n..ii> >er\ il'. Mil vie i;mae .
lit 11.. lie ^\^tL
iiiai~ 11. .11 ai^paraïUe loii
i liel, le >\ slellle ller\ eU\
il iniervailer- libres Ac l.a
jrt~ -ell-l
ble_s
la
e\lltaU..ll^ MillI .
uall^ill.Jilll.lll'e^ ee
J.illllIU
litiaie-
)Ot-
ellerule
V-
iU>si, a iiiaiiitei.ir ii.iire
:ulilraen..li l.iill.iue, I'
h, lit iës 1 riiieipaux ..Il
i Dieille. airiuelll el le;
j~ |. .IVe? .
jXèll.ltlnll a
cil iuiier\ali..iis iiuililes
:nl^
par ii.iiib eii
a.
iialiK
OAi
■:r i>i'i<ir
p-\-. liMiigi.lUe -illbieclix e peliUel
iaicaU.iii> va
lable-
lanced
.iaiil il
.11 lllllilH\e~
réveil. I i-
aeeiieulie-
1 11 a\ ei
•nt
jiiiaiiciit
;■ I oriLiliie
laii^ 11. lire
b-er\ .iii. .ii>
h>er\ aleiu>
Ac>ù
cl cil preiiaiil p
ietl..li>p
..iir p. .11
>\ eln.|ii
lie.,
jcparl
lira aet pll«:ll.iUlelle~ ell ,|lie-llc.ll
411
ur 1,1 ae>niiali..ii plivM.
i j^laiule |iliieaie el ^ur
leur
eial? ii.lualeiiN palhiil.ii;l>|ilcs nU
me llet\ ell.V Lellir.il pelll aiiuliuier.
.lelelUeill peiuiaill le s.. 111111
eli I,
Jll>ll
i|e cl ^cnsllncl ne eoiiiiail pa
lee\e-iiali
11. <.ill el
. eiiiaiieii
t a es
illéne ..il aes organes
elleiuiiiit iraiiMius
llllerile.--
;llc5
au\
iiiiiiiuieiii a i.iriiier
ijuc tllcrglIl.MlleM el
\ sleiutJ uuiseulaire aaii
;ll p.irlle
111 elat .ie
~ appiareils a iiiliibilhni >pceiaii\.
leur feleg
ie aaiib le lain riiitlie ac
ji.-tnbiiliDn el I iililisali.iii ae
1 a ciiipe
. Il er.[ll elles ne se .ilssipelll
jii cx.igcrecs ^ur ecs iiieeanisiiies,
iil aaiis un prév;éaeul (Hivrage '.
illlle Je llu> I.iiiell..lis j)syellKlile>
,ji plu^ il. lut. ib 111
: /.(''
7//.-
s'-v l■^^. Hii
-iiilaiil
lali(>ii> qm par\ leiiiiciit au iiuuiae e:- leiicur au -v-.tenie ucr
illlral se tr(,lU\el\l e'Oll-.!
aeral-
éauelii'ii a. .il a\ oir pnui
L<-ius
.table aail- le loiKtl. .iilielUeUl .1
1 tup.iplivse et 1.1 ul.iiiae pllle-a
ur .KtiiMi pr.ipre.
le c
aoi»t
.11 recuite .[Ue,
la ai-p.iriliuii a
la \ le p
:lii
lie -e inuii
a peu |.resi|ue
.ileuielil rc
auites
cette
: un al!aiblj->sciueilt
jeuircs ps^chique^
jiitiiiuant
.'Xereer sur
la
parlé plu- haut, il
.u-eielice ju iumi.
iae-rat leiucnl aiiniuueeet peu
'/'
/,■
,/.
..lUleremelll sil-Peualue /.'
(/.'.• .Il lii'il
.ciatii.u- ae-
repré>eiita(iMiis
■i^ue-
;t de
lielUellt se pr. ..luire. pr()\iciinelU
telle-, extérieur^- i.u iiitericuri
meut l..uriiir uiiiiere au tr.ivail pr
s. t lie s.iuraiciu aueuue
lit a. .Ile b.
it.illl- plul
ir I liuinirl iiiee
.Ile- a.
luei)iiseieiil t
tMgiUellI- .lel.U'Iies.
i .ir\ iellilellt .1 Ui.tre
lUvent le l.ilt lu
npleleinell
.^Cleiiec ail"
luisait il .[I
.jvttneure ,iJv laeiUelle. plus ettie
luoiucniaileiiieiit plus léger
OucUe- r,ii-..us auri..us lu
i'aiiieui"? .l'.i.luiettre
aeti\ lie lu.
ite ae 1 esprit pe
lileilt .
•propre
. ii\ Ite pourrait
.lion.
lie p
j>pril ne pi
.sseac Ulle
s-eJc pa-
ae- faeuli
tiesolii. a\ aill t. .ut. poUi" e\er
intciius aecuuuU
l.lll- le
rit put. même ]
llul.i
supposer que I
pojcr ae eeri.iius contenus
la l..riiiati.iu .i i.iee-. sou p
liiiiile . il ne -eieiiar.iit que
cerebrau\ .n aut échappe ac
excitaiiou- a.c!
.ien.
auetil ae
esprit
F.ll
•,i\ e que leur prêtent
Il e-t qu a
l'état de
iliulili-ablcs. .[U eile-
uioi. et eu.:..re ie plu-
e -1 quelque eXcltati..|l
iCe. relia le Scuumell
.laut le -oiiuucil . l .OUI
iime-ter'r l> après uotr
Je c.
ntenu qui lui soii
e- el aes Virtualités il .1
n actixité. ae se ser\ ir
ilules ganglomia
nJ.iiil le scuuinei
ire- A
ais-
poiir 1 .1— ociaHoU el
-aurait être que tre-
pelll II'
.uib
lies centre-
tl
■meut .1 1 ac'th.u iiarco-
•M
-44
ti~,iiite Je 1 11'. p..i)lu>
les.
ctriitreb restes c'\ ci
.ivtc 1 esprit. "Il d>.vr.
>|iii. jiciulant la pciio
de la: tilaïuie pinealc rarmi ce-,
-t-a-Jife en c<.miiuiiiicalion acli\ e
ircn.lrc. priiKipak nu lit. ceux
.le i
ineil. (Jiit p.nlicipc
tuclle
.■llulc
C5 ii,mi;ii"iin4irc>. n
temps plus
■■^ \
tenu. 1)1
lueiil p
psvdii.i
Centres
II deia. il c
lus de lurc
q
que
leur
du
ervcau se Ir
me
il.
filtres ell evc
CX
seraient ainsi
reser
: e d énergie y-
Is les ce
litres MiisUis.
/.\.s^
(/( .1. //;
/.//., ./.
// ./.■
pliénoméne ijui inuis int
( In peut, elicnre en adr
de vue. apparaît iiieine
esprit ave.
rappi-u'ts
. spécialement a .
lurant le S'Uiiiiie
1. el 1 es
dant la période.
lu
l).ills
:ette pci
i.,de. la
jouceptinii, c.irresp
uid
rieures
eiat de
ir leiiuci sunt Y
.11 intérieures,
ieini-cuiiscience
les nomsde .'■/(
m, il'ii
.onli'im
huent a notre
1 esprit, se prêter le
lires cérébraux 4111.
alisurhe
aiteulioii
del'
dont
le ccjiitenu
peut
*[ i^ihlT
mip
récéd;jnt im
niedialeiiunt le soin-
in très iiiieiise à l'activité spin-
tili
1"
daiit
iiur le tra\ ai
I intellectuel s.,il-
épeilse. a 1 elat
veille, inliiu-
.nsiituciit 1 énergie
.■nation >iui c-
sllles. I .^lais 1 .ictl\ Ite de-
u va ut suspendue peiida m
autrt
eilipts de coiicurreiii-. dispo-
, cliuiue accumulée
//■.,
, c/
!.-t)\lllf .1.111
il hi
;(M//(.
/.■
il-
parellle e
xnlicaiiun
resse in'cst p.is la seule p.
ible
lettre une autre qui
a certain piiint
jmmt 1.1 1
vraisemiua
Me. !
les Centres cérébraux 4U
il a\ait
tiibulu-li sont elïectivement rompus
irit ne
, ou mollis
iniueiioe a
iii
les renouer iiue
rie. du deinl reveil.
c jiiscieliK'e
du nioi ,pii
après ma
iou-
au point < ' du s\ stciuc de coorc
.Ijeteei toutes IK .s s
jiis.ilion
omnlence a rev
enir p'
jUe Ifcs phllosopiies i
s. éxte-
liell < et
signent sous
jU du :
nhlimiii.i!
.doit,
lanièjre d'envisager les process
uieux a
m activité créatrice.
1.
iniis un ee
rtain temps
déjà. a\ai
spri
t. doivent aussi être les preinieis
muiuni.iuer .r. ec lui. lors du réveil
Dlf ir;HhNi.l\lh)S lii:s KjX< Tl
de
la Conscience du mi
ibrai
e-.t
nuis d admettre que les
jiigés dans le soiumeil.
stenl inaclils et hors d état de tare grand usage d énergie
autres centres cérébraux., encore \
p-vchique lii
laiiis Centres c
1 .ictlv Ite des eeiltres vois
inévitable pour les ■
.llet; la ^oiicenlralii
.rebraux exerce un
lus. et cela
4isp(
.r de torce
ces d eilerg
p^v cliKlUes
■ 1 atleiiliou sur cer-
i action inhibitrice sur
ijràce .i leur ccjiicurrence
e ; les premiers peuveiil
bien plus puissantes
Dans cette conception
de 1
urimi e
.//:
,/.l
lent: êlrc ..Ji,
iih' il.
it:- .L-
^piil priiJji,
c s'agit là i|ue
emi-soliunel
activité liiTiiti e a la courte période de
sClruCe ge
ou les rel
nions iniemimpue"-! entre l.i cou-
et la Conscience
eiue
(>u..
a se rétablir.
Il a la V eritable valeur des iiiluilioUs qui apparai
V
d.inl
el el.n
demi
-lUscien :e. 1
iuger avant le réveil conn
Ile soit entre en relation ave
Ict. c est a-d
li.a I
i reltcxiou.
gangliouiiaiies .
jiort avec 1 idée intuitive .ilin quel
a une .malvse loyuiue nouvelle (-
ilit.
lar
loiictiouileineiit >iélon 1
coiiserv e eiici
le rev ell 11 esl
re toute sa valeur
iplel i|Ue 41
land
inlerne-
et eXleriles
imim nécessaire pour
leur bon t
jxiiie. de soll ^t
lie les cileriiles
meut de leurs diverses sources. 1 Lit.imnieu
sup
lierieurs :
i.î V uc el 1 oUie i ellis id
alsseiii comme
de
inUKtloiis t;e
.pu
veux soiil eucorii termes.se dévoilent
souvent a il lumière du loiir cou-jine de simples chiiueres
,aus \ .iLiu .uicuue
l'sV.iUlijlL-
intuitions, il feut
,lh'ii
.K !i-
!.■
;rtet.
du nu
/mmeiicc
lit
il est
is^ib!
lire avant qui
menu de toute
l'espi
ell
escellule-
, elU être ml-es en rap-
jsprit puisse lasciumettre
s Cellules gangliounairc-
uséviuent. Se trou\(:r déi.a en parlail et.n de
l liléorie d 1 sommeil de l'ihlger. .[Ul
I ils se
lisiU
giies principales,
iinme des exciuni..n~
i.ius le- ^aiiiiiious est arrivée au maxi-
"lucliounem
eut C^cl etai
isvcliiduesaltluent Ut
U des deux sens
qui uoiis appa-
iiales dans i obscurité ou
!' I
i|i i 1 KINi lAll>)"v l->t> FOM ru N> 1-511 H H.TK
il-.tc
Il ni.iiVfiiu t hauip d cxpcnenc
11 > at;n il irlu^ivU-r J.iv.int.!\;c 1
.IHlUlUe-^pel
.■ut
;r\ eux eariiui-iuc et vase
il.i
ominc |e
.hvsf 1).
lirait-
ai àciui.ntic. et eu graiiie partie rc^ic par
ui-
narel^c^
iiniiUL-ttri.- U-~ iK-rls vus
rcclierclie-
tibulaire
iiniil. h 1 f\eitaliiiii, et aus^: ci
lUc et clc-ctruitic- qu'a l'excitation
( crte
Itll.ll vil
t.-lk
■aiutc- ditlicultc^ ic'ihjiuiuc-
;ventiiels serait 11
t d mil:
iniru
.per
atoirc» i.-xiueraK'iil i1l'~ su
a 1 eXLitatioii mei.',!-
ir des ondc> -.l'Um'e^
ice- prcNeiiterail d.-
aus^i leiir^' ré>ullat>
~idérabU- lei proced^--
iiu- tjul inuliculirr- ; mai>.
pi.ur uii cxpunuKiilaK ur
|Ui \ eut > attaquer
pr.
.bleuie-,
laiile-
lolli tlou-
1 .111 lU>c de n..~coU11
de rhvp,.v
et
la
~ur le uieeanlsiue
le iii.lri
t-ii.iiiîeiiieiit pureiueiit p>\'ellli|ue
unaiil
tueil-e. IIK
■ 1111
lete
M.lllHlell. iJU
.t 11. Ut. a lait 11
-piil peut, pai-
lu einellt sU>iielKlUe p
da
la p:
iil. être
.lulaiit 11.
vin denU-MillUtl
>l>
l>areill
aetivite
d.iU> le> '
1
dm
lUe iiuUb \ en
i~>lbilUe <\\\\\ triivail iiieuus :iellt de le
.tat lie
^elne^lt^
.iUe
.li>!UUe lUi i>r
.bi
iarai;raiilie
.luiueil et pendant 1 état -ubei .nMàeiii ou >abliiuina
aiti\ 1
le pruduetnce iiK'OU>eieute dd uulre e>j
ible / e.if'
■ i.t/in'.r>
iiu\ re iei au ph\^i<'l('-
itUlelle-e ilUe le-^ éXel-
exereer ^ur
le-
sv-^teiue-
fiinetuinneuieut.
péniuentales". il tau-
ct le- uerl->
.lileaii
dé y:
ie \ i-i weeUoii- uu-xeiU
actuelles
le
?
lie. ainsi qi'.'
I. induiue que le luiK
u cerceau Ut
une niani-1-re
peut
jtee
.lièrent^
^'oUH
1, aetu lie île
i>iniue ctïee-
ilet . (^e ne-'
ell
v.utot ilu ilenii
Il se uiailUester.
d e\p.
>prit p-
dl-liiul lie Celui. qi
apri
le
.-hique- peiid.iut
il. ui
L-l lILldlUl^
I
24>
;ûRP I, AME ET FSl'RIT
r.
^ II. — l.l■^ I.IMITKS
Le mi-i a.nimme mes
1 Itl.NS.
11 \ ;una hientol ijuai
j;i>le du i-Sois-ReyiiiDiid. >
limites de notre coiiiia
Ijiiieux /jrihir.ihiiini^ p.
hcieiicc ne saurait jama
dont la solution l'ut décl
ment, liguraieiil la >enba
delà pensée humaine
Alors. L'onime aujou
pations les plus vi\ es p
logiies. Ue toutes les
d'après du Hois-Reynioi
humiliante et plus pénil
\'oici en i[Ucls termes
à la ihose soutenue pa;
toire de la ph\ siologie J
il V eut un moment où.
dus a l'introduction de:
phénomènes de la vie, li
leur suffirait d'introduire
recherche exactes dans 1
pour cueillir des laurier
" A leurs veux, la dépi
du degré de développe
que nombre de causes
délire, la folie, la micrc
sur la direction et la r
pouvaient servir de poi
ante ans que le célèbre physiolo-
lans un discours retentissant sur les
ssance de la nature, a lancé son
lur indiquer les bornes que la
s dépasser' Parmi les problèmes
arée inaccessible à notre entende
lion, la conscience et la tormatiou
DK l.'l-NiKMUMl NI III.MAIN
SENSA I IHNS ET DE.S l'KKi i;P-
hui, c'était la l'objet des préoccu-
r les pli\ siologistes et les psycho-
bornes imposées à l'esprit humain
d. aucune ne leur paraissait plus
le a subir,
j'ai f(jrmulé, en i^7"i, mun adhésion
mon ancien maître '< Dans 1 his-
; ces derniers temps, disais- je alors,
iblouis par les succès sans exemple
vues mécaniques dans l'étude des
s phyaiologistes s'imaginèrent qu il
les mêmes vues et les méthodes de
étude des phénomènes intellectuels
aussi glorieux
ndance des phénomènes psychiques
nent cérébral, la grande influence
>omatiiqiies, comme la narcose, le
céphalie, sont de nature à exercer
larche de nos idées, tous ces faits
its de départ pour transporter leurs
le. Leipzig. iS8t)
[il,fKKEN(.lATloN DEs F0N<.T10N-> l'sVCHlQLES
240
recherches dans le domaine de 1 esprit. Quelques succe,
obtenus par la psycho phvsique seiiublaient promettre aux
physiologistes qa ils réussiraient enjtin à expliquer le mys-
tère qui a résiste, pendant des milliers d'années, aux vigou-
reux efforts des plus grands penseuij^ de toUs les pays Ainsi
reniant, vû\ant à l'horizon le poiàt de jonction apparent
du ciel et de la terre, croit qu'illut sufhra d'arriver a cette
limite imaginaire pour escalader U ciel'! L'inutilité de se-
efforts evciUe d'abord en lui. le sentiment de la difficulté de
l'entreprise .Mais sa laison n'en admet l'impossibilité que
lorsqu on lui expose les véritables: relations Je notre pla-
nète avec le svstème solaire.
" La conscience de la ailhculte qu il v aurait à expliquer
ce' qui est resté jusqu'à présent inexplicable s éveilla sans,
doute assez tôt chez quelques physiologistes .Mais le- véri-
table but qu ils pourraient atteindre ne se révéla a eux
qu'après qu ils eureiii obtenu les premiers résultats impor-
tants amenés par l'application Je la méthode physique
exacte a l'etu.ie des loiictions psyv^hiques Alors ils virent
clairemeiit ou se trouvaient les lin^ites de leurs recherche-,
limites i|ue 1 entendement, humain' ne saurait dépasser
" (.onune l'étude de toUs les phénomènes phvsiques, les
recherches sur la nature des lonctjions psychiques douent
avoir pour but de réduire ces foiictious aux mouvements
connus des .itoines, mouvements dus aux forces qui leur
sont propres, en un mot de créer la mécanique des atomes
du cerveau. Lu continuant d'étudieir exactement la phvsique
des organes sensoriels, qui servent, pour ainsi dire, d latei'
médiaires entre le corps et l'àma. la physiologie réussira
peut-être un jour, au prix d'efforts cousidéiables. à ciéerl.i
mécanique des fonctions cérébrales. .Mais le luoineiii dut-il
venir ou iious serions en pleine p-jossession de cette méca-
nique, ou ks mouvements moleclilaires, quioiit lieu dans
nos cellules nerveuses pendant hj crealiou des plus hauts
, produits de l'esprit humain, nous |seraieut aussi cl.urement
Kl'r , AME I T I-SI'RIT
JOiuprillcll^lhU
1 eak ulc
U
ili nier ; i.ii ciiliii. pciu cnipniiiKr une phrase de du H<
imnitruiii'.. insqiic-
' détails. 1.1 d,m-f 1
■ I ciUN rt-iiicnl |>ri
li^.nveiiunls iiio
les .itui
iiiluit Ji
leculai
'1^
■ r- même nmis ^cnwii
>mpienilie
'iiimeiil noii-
'|i
st I
pensons, uitre la li .iwiaissanee
meLaiiliine-
1 manière dunt ils la
entendement luimain n
H 1; peiiste. et la ecuiipréhensio
P'oduistnt. s'diivie un .ihime.
Il
■ ulhl dt
lenclrer
<f L(jnit3iera pis
la rétlcvii in le tuni
iclte i|nestn.n p>.ui
piuir 1 inlelIluclKe
V a entre certains
eerveaii et ce tau
piouviins eiiieiidre de^ snns. voir des e
plaisir
entre
c notre
es inoiu eiiieills e
relation e~l aussi
exibiencp. L'il
grande
plus eieineut.nre- de dou
qneUjUc anim.ii inlérieiir.
1.1 I.iin.n-ic creairK'e
lin
lnui~
les atomes ( ). (,
sera cgalemenl im:
.n N i
ins telles eonihinaisoiia
Comment cerlauies
iiaiss.ince a h
.1 de Xc
l'epuis .]IK
.ic I I
lomnic. 1,1 sctil
ijtii n
>nsKlerahles dans loiiU
plus a
rdii. ce II
4'
mécanisme
une simple m.icliiiie
, (.
il. N,( I. I'
orrespond.int a
;>r la niiisii
ne, et le tonrhilloii de
le l.idoill
ciir ne\
r.il-
iiii qii a présent de
;l coiH.cieiice de nous-niemes et
les procède^
ibjc
I linp..ssiliilite .ib-cdiic
ipreiidr
re quel rapport il
nieiits
le~ aloilles plusup
du
us seiiioii, la
doul
■ nk
elir, que liou~
■ouver di.~
:t la
insolence iiiie lions
>"sslhlllte C
ayisSc des
'Il de phi
c saisir cetle
.ensatloiis les
cproiu ces par
.Shak
leilsec A un
espearc ou d UI
Desc.ules cl
Kai'liael. il
>ssihle
i'
le coiiipreiulre poiirqiicii
;|ironvciit du plaisir a ~e il unir
iéplaisir dans telles autres, cl
comniilaisonschiinuiues peu\ eut donner
ewton ou au
V'
.M,
es partdes lurent prononcées, la ps\cliidogie
jUs intéresse ici. a lait des
ies- djrectifuis I c
des miilliers d .iniit
proure^
1'
instituait
hlUl-Rl-Ni I \Tli
iS lifs FONCTIONS 1.'S\CHUJ
point de départ uulisy
.le Usa
blc
a reçu une si
lulioii satistaisinte
teux sens malheiuatiques de
liase scientilupie. sur laque
espac
,oute th
l.a d
ecouver
te des
et du temps a crée une
dltler
vieuieu
t la
luture science
de r.
iai
'ir.iiil
la prévision
dc\
de
M'oblcinc
même de la ps\ c
de notre co
he
lu iiii'i avec
lut'oU
ttrait Jle " coucevo r
Uer l.i n.iUire de- rapport--
e monde extérieur, i al
,ay'e [>lus haut d'élucider le me^a lisiu
des relations entre
l'aïue et l'esprit A Cette
•et de luture- rectierchcs.
.lure l'csiuit des touctiolls de 1 ântie et -eparer elltiercUient
irps et 1 ame,
intention. | ai cru tle
e Celles entre
le\ oir. daiisTintc
la cipiiscience
cience générale
vie l'ormaticin de
lu mol, — touctioi
pure prcKluctuui
;a première a pu i
diniis son oriuine sensi
;llt
P-
hique. de
Je l'esorit. i.e Ulecaïu-iilc
t|ie dessine a iiraïuis traits,
le loiutU'nnciiieiit du
-\ stenie des c
janaux seini circulaire^, lusqu a
-, .11 ;de lll-a'.ioii
tns I esprit \ lur i
lu- haut.
Tenant p
lur théine mes étudess.ul h\pt)l
de I
aille \ Il il
iir p
ibles
;.i iilailde pineale, 1
MlVse.
;nia
blc
-lavantage la nature des rapports dntre
et SCS relation- très pru-
ai es-a\e d appr^ioiidir
nue et i e-iirit. et
nisciiucnl entre la coiisci
.lie
ieiict: du mol
ilt.« princip:
mer dans la lormule :. Ihvpophvst parait remplir dans c
rapports les toiictious.
'un />'
et
sai iiourrait -e resu-
'///. au nioin- d'une .'.
,/, pi'iit: elle presider.ui .un-! a I mter
sLineiil de- touinuiiiic.itloiis entre
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•upti
nature
des tonctloil-
lu
la \ ie attective, se si iiit Ci ■n-Kler.l
bl
lolldles depuis i^
W.u ,li
es mccaïusines
n et m rct.iM;-
r\eau et lesjirit
.u'c- de
ane i
■ nu
al Ue
,-mcllt el.i
rgies et ai'i
lesquel- repo-eni
lei iiilliieiKcs réi:iprm|ii
mieux préciser, de l'àiii
ricUe, ont été l'ubjet de
pei mettent den appre
l.iiliii, la muull- priiic
dépend tout le lonctiun
central, a ete eyalenient
iieiieral de la distribiiti
niotriee et la \ie sen^ibl
Il eil diiiic Imrs de do
accomplis par la pliv-.iùl
p-.vcliU|lles. depuis que
fameux I i^ iim .ihiiiuo, ip
le monde intellectuel.
en psvchol(<}iic humaine
i|in dépassent de très lo
d'il V a quarante ans, la (
dément se pose a UoU\ i
I étude lies \i .nctioUS de
1.1 élucider da\antage les
malioii de nos sensatioi
jireheiisible la nature de
et la conscletice Ju UK-ii
i.e- plus illustres philo
cnsiderelc problème c
ijuc la Conception niée;
rinijiossibilite d expliqui
taire. Ni les mouvemen
qualités de notre âme n<
compréliciisihie la seu:
\aincre cette dilticulté,
nicatioii entre le corps t
aurait pu le . oir au débi
le \eritalile créateur i
l.o^ke. dans son Imji s
.\-lE ET KSI'Kir
rs du cuiir et du cerveau, ou, pour
; émotionnelle et de 1 àme seiiso-
nombreuses recherches, qui nous
ijer mieux la portée psychologique
pale des énergies psychiques, d'(.u
nemeut de notre système nerveux
leterminée, ainsi (|ue le mécanisme
ni de ces énergies entre la \ ie
ite que de iKjtables progrès ont été
igie dans le domaine des lonctioiis
du Mois Kex inond a prononcé son
I eut tant de retentissement dans
Le domaine de nos connaissances
s'etant étendu dans des proportions
n les prévisions les plus optimistes
[uestion des limites de notre eiiten-
au. 1 es larges hori/.ons, ouverts a
1 âme. nous permettent-ils d'abord
mécanismes qui président à la lor-
is, et ensuite de rendre plus corn-
leurs rapports avec les perceptions
lophes, nous le sa\ ons, ont toujours
)mnie insoluble. Descartesdéclarait
nique du monde s arrêtait devant
:r l'essence de la sensation élénien-
s des atomes de notre corps, ni les
pouvaient vp.v.iini// nous rendre
Jtion. I.elbjrt de Descartes pour
en cherchant un point de comniu-
t rame, lia pasabouti, ainsi qii'.iu
t du paragraphe io.
le la philosiqihie critique moderne,
(/• l ciilcnJi'iiuiit Intm.iin, s'est éga-
Un-ri.KF.Ni I \T10N
iNCTIok'S l'SVC niQlES
lenicnt préoccupé de la nature des sensations, qu'il tenait
pour la source première de la Connaissance Adversaire des
idées innées, il n admettait dans 1 entendement que les
/.ï, ;(//.'s de perception, d'abstractioiji et de compar.usoii. 11
devait donc chercher ailleurs l'origine- des idées qui nous
permettent de connaître les rapports entre les ob|e'.s ju
monde extérieur et nos représentations. .Mais, selon lui,
n<.tre esprit était impuissant à décoijivrir un rappi>rt //;/;■,'.'/
oihle entre les objets matériels et Its sensations qu lU pro-
duisent en nous " Nous sommes [incapables, aisait-il. de
comprendre comment la tonne, lalpositioii, ou le iiiouve-
mciit peuvent provoquer chez nou- la sensation dune cou-
leur, d un gout. ou d'un son: ('/ ii existe .luemu- nfiin.'xité
entre ees plieih'iiieiies iiiee.iiiu/iies et nos repres-iilalni;.-. „
La tentative de Kant. dans sa Cniique Je l.t R.iisoii f>itre,
pour établir lorigine de notre connaissance du "monde exté-
rieur, ainsi que de nos ccjiicepts diespace et de temps, n a
donné qu'une solution apparente .|e l'énigme Nous a\on-.
assez insisté ici même sur les eri-eurs fondamentales de
l'apriorisuie de Kaiit. dans toutes s^s appdicatious, pour n v
pas revenir encore. Ajoutons seulejncnt qu'en se ratlachaiil
a l.ocke et en lui empruntant le concept des "'choses en
elles-mêmes // tliiiix^s lliviuselve:
concept comme étant donné .re.mt
De Hume, il a bien accepté ses ndtitms si précises des per
ceptions et des représentations; mais, en stipulant qu un
/iiireiiieiit .Ultérieur était indispensable pour qu une percep-
tion devint une expérience sensorielle, il s'est éloigne du
système de Hume et s'est rapproché de l'idéalisme de Her-
kcley Quant a son prétendu rattachement aux théories de
Newton, Kant en niant la réalité d'un espace absolu, a devié
entièrement des conccptujus newtonienn-es.
Si la physiologie n'a pas été plusj heureuse dans ses ellorts
pour expliquer la nature de nos jeiisatioiis et de nos pcr
ceptions, la faute en est pour une large part, a ce que Helm
Kant a considère le
expérience selKSorielle.
11. .Il/, t. .ut cil
inbattaii
t ccrtaiiic-i o
d^- K.iiit. ,1 iiL-.iiunc.inssulii
loii.i.miLiil.ik- .ic 1.1 l>liy--i
11 k-
incaiiiMiic
•cnsatioii-
LS c\leiK-Ul'i
inaiulc-tcni dcpL-i
I cil- ~iir lc~i|UcU 1 .ut ion -
J.c il..- -cii~ali..n- JépciiJ
cs-iciuicllcincn
.|iii la |>
de r
.ti..ii cl ii.iii coiiiim.' Sdii //;/
c.\it;c la ..■..nc.rJ.iiuc .i\e|; l'obiit
>taUic. 1 iiiculiK- de- f.ini
la |ir...ic., 11..I1 cil pci^i'c»
lanlciii. ri.iciilitc dc-i ci;
.rtc J.c re--ciiihlaiuc a\i
litre ie- Iciix Ile c .ii-isl
lltcllU
jii\(jiiMt; ncc
-lijuc. cl .11
le de- -ii;ne
.llllcrei.t-
inc .iiLiiiinenl eii
dc^ ieii-.iti.)ii-> Ile
. mliolc
-uHi
111. .Il\ clllclll- uc- <)h|
.rid
e a.
i-Ullllc
jorrcsiiùiidrc a la -llcc■c^s on il
llienieM cause-
Api
ilch
.;alemcnt
/'/,.
tu rcllU.
.i..alL 1)1,
Ji, ilplik,
Il iiOm..n ICI ij
1 iM'i-ir
N.iecratiDii-
de
lllueii
logie lie- ■
■,en-ati..ii-
- clleti pi
ce aan- cet
diill-
lle-tli
It il
la iiiaiiicrc
îtlct-
t de 1,
i nature
.ippa
si éNçlccc lui tant i|Uc l.l qll.llll ■
e- p.nlicul.iiilés de 1 action cKtc-
le doit elle Considérée ennuie un
.(/,'■,■. D'une image.
.dl
Il elle repr
d'un de
■ dan- le
.dnit : il'ui
.iil..iinitc >
leur-
i.iinii \ i-ucl
ne n e.\it;e aucune
.bjel
lal
(11 il signale l.e rapp.
:il ceci i|iie le iiieiuc ob|et.
niaiiiie-tc par K
lerenlt. c..rre~
;-nt a
..blet-
as eur
le celle c.illccpllOll de I
Inilloh/ 11. .te le lait .|Ue les signes
i.iur n..iis luire ci.nnailre les loi-
1 es ..bjels siiiii
ils cXlt-neurs
ibl
ihle a 11. >■
sens, nous étant lou-
es si ;nes ideiiti. pies, il -ensuit IJIK
le d..uiaiiu
dt
seiisalii.n-
d..it
uiliirelle des luenics c
iTets
.ir ad.jptc la concepli..ii de K.iut.
ions sont l.l l.)ruie de ii.nre iiitiii-
lurce d admettre
lolt/ s est troUN e
lie JiJ u .
;ipe J
Itcrliu,
i.lKcpl de
e causa
litc
aille
ne ^.iilr.it
..(liiiue rep.
1.111 l 1.1, \. I MU. s 1>1 ■
!■-> ..lll.jrf.s
.Malurc la liante .uitorile d..iil loiiihsait a lu-tc îitri
Helni-
.h/
la pb
iuetaph\-U|nc
rc-er\ es. \:\\ a
de- -
jtc ae
lll
:atégoru|ueiiieni pr. .iiliic
.\dolt Tick
jo litre
la
,peciilalii.ii piUt
lails le don aine de la plivsujlogie
.■\aclc. in\ a-iiiii 4
ni ne pouvait qu
de la
;ll-.lll.'ll
I..II1 de
le résoudre
.c lail que le- inclue- or
11. .Il/, " la
seii-alli.ns et non-
liutl.ill llliat;ce de-
uable
mile de la V ..
liicii an cutrairc.
Uicse opposée, ,/;/
'11. .11
,1c- -cil-
lait pari
^pn.iii, purement
- de m .lubreuses
•i b
icii J autre- ■
-..m
.«areiilc iiiv.i-ion
.b'
prohluiiic
blet- e-Kterieur- pr.iVoilUeUl elle
Hetu
ii.nnenl suivant
p 11 c 11 o m c 1 1 c- e -\^ te r i e u r-
nnive luiUemen
i- .'oniiiie étant ,1
plui
■n^.ilii'iis I
,/,■/,■•. ,/. ,v l'h/ils ■■.v/.''(c;(V..
.ur .[lie le
s signes et les svni
h,.l
iiinecs a peu )
res exactes sur
si l..rcc
d admettre 1 existence
l*
:.iiiiingi
de- I.
de- h. nue- de-
e\plu|iie la siiiuificatKui
\ ariete illimilce
;lit de
e-prit 1
■bl
.1 cil laveur
t l.l Icglll
ll\ po
pui— eiil lu.u- lournir
. ..blet- extérieurs, ou
dan
s noire c-1
il de
iril d une
lualiic-
d^
Ignés
Kiaiil doiiii.jc l.l
.■ts cxicneurs titfi pri.vo-
,|L
.■ii-ali..u
n.H'^
.lc\ ru. Ils avoir elaii-
Uiards
.ippluiu.inl a an
l.iiil de -it;n
Qu
Ic-pril d un l.inue. d un l.iivier.
r.itcurs m. .dénies de 1 .\lrupie
de terminée
.11 peii-e au
.nleiiti de
■ u de-
expli.
= t 11
!.. ,..
ul- Je lllo
t. .11 .le 1-i e
l.epti..ll a.-
'(/.■; .illloieine
ae- /..■>. (T''
de 1 . e.ills
J-. lut de ,.
llt..il^tKHle
,i..il- Il 1. .lu.'
,111 !.. . iii-e l'.l
.....Utei J>.
itu.U'i pri.'
.e\..iilr..lo
lll J;"'. el.i
el de letti
- euleiidi..
.■U.1UI de de
t ie.ipr,..|i:
ifer.eptii
nt.ui M m.. il- 1.1 d..uleiii dune puiii
l.e de r*.
Du .lA/,,.'./,,
UV,'( ..
,kcn
.-t per-ep
Je V eltel . 1 .
de 1.
uirbiuit I..-.U de 1...U- .t..i'il
■1"
une epi
"i"^^
;i-*i
(.DRP ., AMK
repoiH>:iit iivci.'
IcUt
raison
iiili'iiii liaii-- iMlie
(iiteiH
1, il L-ul rt
cii'airL-s lut ilciiiontrce,
vation
Nmis a\
lux prctenJues sens:
tiwiin.;- l'in-. Iiaiil 41:
Th.
ailleurs n
renonce
Rappelons
logistes et ipic personne
Helniholtz liii-niéme
n t.iit rec
Or, ce lait le
llKSe
I Il/pu
.1. //..
s\ inhole-'
\.,li
/•.•..ml .1 m
ilii, II,
la vue que |
les illusions
Cela e^t an
mur celles t
lirect
jrell
Dans un prccei
ithoJe graphiiine, rei
les plus variées
Jell
ilenJeinenl sur ikjs st ns
tre les I
délimitation en
lion- .le l'esprit, celle il
leriuiu sur pour Ji-unh"
du jugenienl
Nous Vo\ ol
U
la pensant -(ihéritiu ;
oiitinuons a perct v
a\aiit dan- noire 1
Malgré (^iper
lie. <ial
le 1
t k
ever et le co
sur riiorizon.
de corriger les
I V.;li |ll»> II.'
N(jir
e en
ibr
r
1)1,1 l.ihilllllli- .11.
ET F.SI'KIT
idée kantienne
-nteniieinent I'
.•xistence ue
lac
lur reiuplac
ibord .iii\ -ensatioiis de- luouve
and l'ab-ence des se
nsatious imis-
lUons
iiuier-
//. elc
lan- la der-
il V avait également
)nnu p.ir t^
n a relevé avec
m- le- pliv-ii
plu- de lorce ipi
ùlte .//
/ llivp'
//,»,/,■
■ni
tl,ii:<ii
,/ .ihsoliii,
ni
A-
lUhlr
rai pour les illu-ioiis du sens de
lHll.shUI^
le
antres sens, e
1, iiirovenanl
t ni't.inimenl pour
i.ilnriir.ne
lent 01 vrage. iiou-avoiis p
>lir tiiul un
:liapitr
intrciu celte impuissance
expériences
de notre
IMus haut i:; «". à pr.
nclioiis
aine e
uiissance même nou'
ir le- illnsionsdes se
de la
inanifesla-
a -er\ 1 lie ci
n- et le- e
rreurs
u- la lornie d'un di-i.iie pl.it. tout
11 en est de même du
lir comme un di-que |ai
lie
deil. il
aire. t(jill
ensée sa vraie
lor
me il' lleringi
;t Newton, iioUs '
iicher i U soleil
et nous suivons
,ns toii|ours
sa marche
tell
dément est également iiicapa
ble
ible-lllusion-optique-q
ne iiouspro-
lilHllKlS UTIOS UEs loM.riO^s l-SM Ulo' KS 2
\ oiiiion- a \ olo 11 le au cour- de- ex peine lice- phy-iologiqi
lalioraloircs
.— il'iliu- pour
sprit
l.'impo--
hébraux
slniiliir, ,i jii\ '.i,ii!li-s liiiulii'ini
I- seii-.llloll-> errollee-
pUlSl|Ue iloll- /)( '/.^
ilcH!ii:l jiix Ji-I.iiil^ de
1 liste, ce sont
iditier d.iiis le- centres
oit être aliribuee a la
IL-- de ..-.s
' .■iiL'ud.-iii
les laculte
//. Kl
-Itct.
lulc
i^aiiijliomiaires qui ne peu\eiu pa- -a
J.ipte
nos pen-ces.
Nous
i\ on- luduille plu- haut >iuil en e-t de même poiK
j- ceiilre- ganglionnaires auxquel
non- uc\ oit- no-
tions
Noir
-pn
iiand il-
iUl u
e-i iiiipui— ant
•oui provoque'
dilier n.
.•iituuent-
es cau-es tictives et
•ar notre intelligence mue-ceiie de mort.
bleu
ac-
jiuiee (lai un ur.in
J artiste, iiousi .irr.ic
he p
ilus tacileuicnt
mort naturelle
'h
opital
11
st de
[ueuie .1 la leilure d une <i-uvre de pure iinatiinalion.
I ulls i e- laits 11 ou- lliip(jsellt de us conclusions générales ;
Les se 11 -a lions lie -ont pas dcssig(ie-oU de- -\ inbolesque
enlelldehieiil iiou- impose .i priiTiU
u nous ex
li I iiin. mais plutol .
il.ihL-
pllqtie ./ /!<'
lages qui peiu eut rester iiiel'lai,-ab|es pendant toute la \ie.
I.es preleiidiie- limites de notre entendement ne sont en
alite que. les liiiUte- des Centre-, cetcbraux, organes de
.liique. (.ctte dernit-re conclusion pistitie
-I te a'e 11 m nier l'esprit des tolictlollscerebralcs
notre \ le p'
encore la nec
et témoigne en laielir des coliceptiblis dualistes de
.•t du
""1
- d,
m- le -eus
de Descartes et de leib
.^rit
la- ilell Ul d expo-er les IlouibreU-e- exl<erielKe-
.1 iibserv alic
ces par la plivsiologle des sens supe-
rleurs, qui nionircnt la concordance ou la similitude il
sensation- et des oblets extérieurs (ilton- seulement
yane de-
direclion
-V. as aiuiael nous devon-nos tr>
trois sensations de
.lude- sur le lonctionnement des canaux
-emi cire iil.urc-
uit
s plan- sont'} erpeildiculaires le- uns
f^^i
2t8 1 "Kl
aux autre it au\i[iicls
.If-. Unis ilirccUi)!!-- larJ
1S7S, lixc mon attciiliii
daiKc le ac\cli.piifint
liiincr CCS vuc-^, just|ii a
(.les coordiiiincfs de l)cf
d(jnnéune licincuislratic
Des rai'poit^ anali>gu
ricliri el lelle de lins
iiiciit dans l\jrf;aiie du
dans le linKKrin de \i-
\ ibrationsdesonJes >on
de l'organe de (^orli, .
nous fournit les sensatic
(^cst a celle diversité i|
nombres et du temps iv
l'nur 1 organe de la vi
tances colorantes dans 1
du pi.urpre rétineux 1 Kii
pliotochiiniciues et elei
vision, les optogramme
de grenouilles et de la
épreu\ es pliotugrapliup
égard sont les substanc
relinc. lesquelles blanch
ipic dans l'uil, alors tp
piguiciitaires
I extrême \ itesie avei
d iniagc-, sur la retuie ex
cliimi.|Ues s V accc.midis
l.a uieme planue phiiti.,
rcn vi.i\ ée aux ceiilro ne
uiatii|Uement et cela en
une nouvelle image ( )i
cultes extrêmes iiuc urc
,. AMK El ESI'RIT
lous devons les sensations imagées,
nales de 1 c-pace, a\ aient, des l'an
I sur le ride d une pareille concor-
lit de ma théorie n'a lait que con-
:e i[ue la représeiilatinii du^x^tème
■artes dans notre conscience en eut
.n évidente
seillre la nature désexcitants cxle-
ensatuMis auditives existent egale-
cns du temps et du nombre, situé
cille, la diversité du iioinbre de
irese|Ui excitent les libres nerveuses
.-cordées pciur des siuis elilTerents,
Ils des dlllerelltes li.lllteurs dessons.
e nous de\oiis la c. ju naissance des
lir cil, n. ^ 7
s, rappeli.iiis la découverte des subs
•s celhiles de la rétille iliolih. telle
Sllici, et les éludes sur les processus
trupies d.iiis la rétine pendant la
ibleiius par Kuhue sur des rétines
i mis, représentaient eu réalité des
les- N<.u imuiis iiislruclues a cet
:s rouges nu roses, cMialtes de la
ssellt a 1,1 lumière et IK se régénèrent
e la reliiie repose sur les cellijles
laiiueille s Mpcrent les cliaiigeiuents
ge naturelleiiient i|ue les processus
.ciil avec nue rapidité vertigineuse.
;raidii4Ue. ipii a re^u limage et l'a
\ eux. dnil cil elle! se régénérer auto-
.111 insl.mt, .ilin de pnu\ oir recueillir
1 se rend aisément cnmpledes dilli-
ente 1 eliulc (dijectK e de ces nuages
Mil I Kl \. 1 VTION lus loMrinXS l'sViHln:KS 2-s>)
sur la rétine et des processus c'iimuiUes de sa régénération
Qu'on se figure un ciuematogr.iphe (lutoinatiiiue et autoré-
gulateur, reproduisant, avec une précision merveilleuse, les
images nui passent devant son oculaire et renouvelant cons-
tamment lui-même les plaques sensibles, après Ls ,ivoir
déposées eu bon ordre dans les archives du cer\ eau
Les images hxees sur la rétine se transmettent elles soUs la
même lorme .lux centres ganglionnaires du ucrl optique,
pour y produire la sensation destinée a être per^-ue, ou bien la
sensation se produit-elle déjà dan» la rétine par le fait
de l'impressuill de l'image, et est-ce Cette seilsatlnil qui se
transmet ensuite aux centres percepteurs et ipie nous sommes
obliges de projeter sur la renne cliaiine fois que nous dési-
rons nous représenter 1 lui.ige première? Le fait que ninis
[louviiiis, même après 1 I destruction de la rétine, evnquer
les images une Inis peri ues, n'est en contradiction absolue
avec aucune de ces Jeux alternatixek. l.a représentation de
ces sciisaliniis, et.iiit Conservée dansiiiotre nieuioire. peut .a
l'occasion être iii\ oquee. La première alternative, ijui est la
plus simple, devrait être considère^ comme la plus ac^-ep-
table ; elles hariiuuiise plus aiseme ni avec nns >.nnii.iissaiices
de la pluslolnglc des sens
.Si l'on hésitait autrefois a adinetlre la possibilité dune
transmission directe des imagesdes (d'ijcts extérieurs par les
libres nerveuses, il n en est plus ainf.i au|ourd'hui que imus
connaissons le téléphone, le phonojjraplie, la photographie
des couleurs lippmauni, le ciiieunatographc .^Lu'e\ , la
trausmissioii par til électrique des lukagesctdes dessins, etc.
.\pres tant de iller\ cllleuses decoinerles, qui mit Cnuside-
lablcmeut el.irgi nos cmiceptiniis des phénomènes plnsi-
i(Ues. la photographie des objets extitr leurs sur l.i rétine et la
iransiuissioii ilirecle de nos seiisatiojis images a nos centres
gaiiglioiiiiaii es p.ir les libres nerveiises ne présentent plus
'leu d im raiseiublable ou d inacce
nient y. Ilering, qui .1 ti>U|ours de
-ible à notre elltellde-
ciidu I uniformité, ou
1
■i <
"i'
r
Ji|uti>t i Ullllc JcS piilCCSMl
aillai ijUc li.lli- Il-1 Lflltre
-i aux diltL rciiLC-. .[iialitat
piiiulait p.i^ iiiK- di\ i--r>itc
i ne pareille divei-.ile e
apparaît \-]u^ à une gran
lei meiiie- liU liiélalluiiii
matheinali>|Ue. a ile> phu
à klei appareiN pliH ei >ii
leu >1 un ..relie-irc. la pai
de-. de-~in^ 1.1 .le-, iinaties
( )ll eli~eiL;lle eiie'i ire
imiidre le b. .ut Central
h. .ut peripilierKiae du- n
.picill ; // le l'ilinerre et i
teniciit exael .pae. -.1 1111
iiptu|ue avee le ucrl aen
i|iii frappe ii' .tre tympai
leiisatii.n Uiiiiincu>e, eu
iiiiiue du ncri ' .ptuiue :
ressemblerait aui^i \^<fii à
priivij.|Uee par l'cxcila
bruit du ti.uuerrc. les /
plus être senlles oll peTi,
de la spliere auditive
eclltre~ de la sphère \ ir
inent~ entre do uerti a
»le Ic.neln.niieinellt div
di int -c t ..m piirteraieiil 1
menti anali.iiue--
( (luiment d. .!t -e dero
>i. m de- perLeptuiiii et
lonnus^ent réellement I
excitants externe-. ' l.eil
ee-.seur-, rtv niait le-, lii
A NU 1:1 EM'KIT
pli\ >ieii-ps\ Lluquesdans la rétine
L'erebraax.a plusieurs ti.is clierclié
\ es des L'entres ner\ eux ne corres
.les libres nerveuses i|iii les relient
es condiuteiirs nerveux ne niuis
le utilité depins i|ue nous voyons
s .transmettre, a\ec une précision
Ues élastiques préparées .1./ //.., , (jll
plexes, sawimment appropries, le
oie luunaine, ou les tornies exactes
!
u pli\si(doj;ie >|U il sullirait de
in uerl ..ptKjue sectionne avec le
ri ac(«nstii|ue. et vice versa, pour
n'on riiLiiilit l'éclair 11 est parlai-
.■ pareille jonction cr«nsee du ner!
isiK|ue devenait réalisable, le bruit
pourrait provD.iuer une violente
unie le lait toute excitation méca-
inais (jertainement cette scns.ition
l'éclair que l.i sensation auditive,
1011 de la retme, ressemblerait au
ii.ii/i'S i\tiiiiiiiiii >< ne peuvent pas
lies par les centres ganglionnaires
ne les li.iiil.lirs .lr> .Vi'/rs par les
ilelle. l.e succès de pareils croise-
outissants a des libres musculaires
■rs ne préjuge rien sur la manière
s organes des sens en cas de croise-
iler daiiis mare conscience la succes-
les représentations, si les sensations
es images plus ou moins e.xactcs des
ni/, qui. contrairemeiil a ses préde-
tes de notre entendement plus loin
1.11 rKKi'M I \Tios i.rs los.rDNs isv i.Hi.jri.s 2(.i
que la sensation, nolainuient iusq\i'à l.i perception, posait le
problème dii ces termes :»( )n est . .l-jligé Je coiitesser viue la
perception et ce qui eu dépend est! inexpliqiiable par des
raisons mécaniques, c'est a dire p.ir les lii^urcs et p.ir les
inouveinents Ht, teigiianl qui! \ ait une machine dojit la
structure tasse penser, sentir, avoir perecptiou. 011 pourra la
concevoir agrandie en conser\ ant les mêmes prop..; tioiis, eu
sorte qu'on \ puisse entrer ccjuuhc dans un niôiiliii. Ft, cela
posé, on ne trouvera en la \ isitaut au dedans que des pièces
qui se poussent les unes les autres, t-t laui.iis ,<.e quoi expli
quer une perception /.. .N|onad..|ogie .
Supposons qu'un phvsiologiste, iu courant des progrès
faits par la phvsiologie des sens, aiiisi que des dec.uvertes
les plus récentes de la technique et de la mécanique, pénètre
dans la iii.ii In ih-'ir ./<■ iflie l mcin \i "iiiiih' Jji's rr ;//./;/;//,
et se mette à étudier la marche des miénomeiies j's\ chique^,
depuis l'excitation de la rétine ju-fiiu a la perception des
sensations \isuelles par la conscitnce. Il \ erra d abord
apparaître sur la rétine l'image renversée de 1 obiet luinineux
extérieur, exacte au moins dans ses contours principaux
1. image se transmettra ensuite par la \- oie, des libres ner\ euses
aux centres ganglionnaires corresji.ndants, situes dans l.i
sphère \ isuelle Avant d être perçue;, limage rétinienne sera
projetée sur le svsteme de co. .rdoit nées du .lu i..i!ctionue-
mcnt du labvrinthe. on ses lormes t-èroiit précisées et l..ca
~ees, et l'iiuage entière se troUv er.l redressée. I.a i. .calisatloii
et le redressement des imagés plus c<
souvent leur projectio'n préalable
accompagnée de quelques inouv cliieiits des globe- ocu-
laires, diriges par lappareil des caiJaux seini-cirLiilaires 1 ,1
perception de l'image rectifiée aura lieu au point (' du sys
teine de coordonnées O point, d'aprvs in.i théorie, cor-
respond au siège de la conscience du uioi
Si l'obict extérieur se tron\ e eltre en m>.u\eineiit au
inouieiit d être perçu, ce mouvement sera rec.nnu pendant
mplU|nees nécessiteront
ur l'o'bie' extérieur..
sciisalHiiis et lies perce
Pt
|c \ le 11-'
Je la développe:' ic
foiulamentaiiv
tiT CdUliaissaïK-e seiiM>iif I le
Joiinent le-, images du m. unie ree
s V
at-Complisseiit,
c- I
données de nos sens doi
les lois, d une iirecision
création et qui ré^iissenl
.•ni
l
le antre c
.nse.inel
sensations comme repr.
est de rendre vaines les
dn monde, .pii. depnis
Il de la
psvcnolofj
être en harmonie parl.ute avec
iitheniatupie. qui oui présidé à l.i
les phénomènes de la n iture
.•e lielireilse de 11 conception des
nclions lideles des ohiels rxtcrieurs
ternellcs spéculations sur la ré.ilite
es siècles, elitr.nent le >le\ eloppe-
e l'reiidra lin en nuiuc temps
1 hvpnihèse bi/arre
le
s antres ex.
ilaiiis
f , organes sen
eMsteiil pas en realitt . c
Déia an temps
scnsali' ■Ils.
plus aii\ lie
la stricte lojjic|iie La
agissent antreiiient sur
excitatli'iis mecanuiue-
également eproin
dé] a
dell
;. bien a\ ant
■oiitiniiera
trace d être
\ i\ aiils au a dis|
ant
\\,
iniK-re avant ce
ise .i\ait doui
lie de
n était et n e
,t po'.
\()it la liimure
antres organe' ues sen
|)ans lelat présent
tre qneslioll d idelllll
aie soit la détinitioii
uncejition de 1 eib
ET ESl'Kir
du monde extérieur, telle que
es éléments
1)
es I instant qiie
llt
nous
il et le
lieiiouielies iiui
jtre esprit dediut de
la 1
niillere
les
delirs lI
si.riels pcri[>lleriques
;t ne sont i|Ue les pr<iiluits de nos
de < Galilée, cette i.lee répondait
1 ' aiiite linmaïue q
11 aux exigences
igument que les ra\ous lumineux
a pt
nie sur la rdiiie
u .lUe les
. Irniue-
de 1,!
rétine nous loin
r une \ aglie sensation luinineiise, e
.tait
les iieco
uvertes ,i,- .\l.i\\\el llert/
la terre, luenie quand toute
ilecl.i
1 présent
très satellites non habités Hn plaçaiii la cieiti.
laiiu
les aiiiii: aux
•I de riKunuit
Sans la lumière ilu -
ble sur la terre. I .i i
la produit pas 11 eu
ine siibit et
si de même
• nnaissaiK
il II
saurait
;ntre 1 esprit et !a sulisi.iiu e. qi
loiine a ce
lie Cl
\lt
énergie
est I essi'ii
de 1.1
H-ÉKIM l\TION l'ts POSITIONS
l'sli H!.,>l I-
substance, ne saurait être apidiquee a
fut-il interprète dans le
l'e
s-orit.
mot énergie
sens actuel
Fidèle au principe
'istes et
chapitre dans un in
toute discussion sur
lu trav.iil entre phvsio-
au cour.s de ce
terét inetliod(dogique, )e m'abstiens de
ihe
1 ai pr>
esse ne
/'".t
Otte quatrième règle
e de l'esprit
de iN
l'.f,./.','
ewtoll est
,M'.i m
le plixsiolog
jililcstattuiis
iste :
:7.sc
il ne peut juger 1 e
r
d>'.;i;aU>irc
sinit que p ir
/-,',/»! //('«>
Sur
avoir touchea
l'extrême liini
■ terrain, le çr<r
le de nos connaissances actuel le
laus mes e
tïorts p
our uiu
.■tinition
de
MU
.\l.l
'V
tion
.•ut se resiimer en c
.ette lorniule, empruntée a une île
mes étudies pli\si(dogique
e Créateur u
sprit g
oU\eriie /'
\ N N V \ !■: A I
Il .M'ITKK m
l'tKK AUONS l^Vl MIolKs
/..■ •■pintt^Hh- JiVMlt l.l
.\ la lin d'une étude consacre^ a
loiictions psv
.hiqu
rt iioiamineiit a
F
recise
du
de
sprit. il
d aioutcr ici queUpic
ps\illiques, telles que
mots au sUie
tde
la diiïereiK lation des
l.l deliinit.it!Oii plus
le p.irail nécessaire
certaines .ilic-rratious
le spiritisifle. l'in pnoiisiiie et autre-
hciiomeiies
attribues a Icsprii.
iionunes.
autrelois e
tan-
des la
les as eiiturier-
xploit.
.■tic
lU aux esjMils
.•xcliisueineiit p.ir
«reslidiigiiateurs.
1 .es plie ■
js charLi-
iinuieiice .
iiide mol
lié du siècle dernier, api
iper .erlains
milieux se
leiUitiiiues et même
S. .Us prétexte de Coin
batlri.
a Ijeur ser\ ir d (d<|ets d
es supersiitioiis sccul.ii
.-lude
riltr'ous ert a ces recherches ipn^lq
de clinique, oii Ion n a pas
hésil
laboratoire^ et salles
t a exposer de lUllheurellx
.s alteiuts
de !(dle a
la curjosiie malsaine je
touk
MIS, .liim.- l'.irt, i'r.)U-:
J 1 1 L ' I I II I 1 1 .
.aitrt
d cl,
d.u
ii.nn ciiiiM.lcranlc-men
ivlcr a Uiirs
. U-IKC ICI.
c p.irî, p oiiuM.iiitc >|ui eut pour rcsultat
!c cc-rcle J'ai'tioii Je Ltsileriiicr-..
lii|ii.-s charl.ii:iiicM|iiL-. une L-si,nupillf
IciiJii a 1,1 pr. .pa^aliiiu des supersliti
>U 1 iliiic .luiiiali. iii-.
l\ pilollsille selaut -.c
i I. pour ei .u-,er\ er
lli'lll «le
I-.Ï i lii^uie
tant
pour 1,1
p-..hul.,4i
CKiilusi.iii .lepliiiable a t.
I.' 'lu ..le Ul"l l'iUtelUiiiU
lUelie-. de p~', « iij-iiie . .u d
illu-iMUS.I le- d.lIlLiel-- ( :t
vaires lue la-^ent del,mt [
■ ce st-rail pluli.t I aliou.l.m
•ji
wiiriMil nie ueuer.
de 1,1 \ ei lie >eicul I li.iue . |e
.u dt
\ aiil
uiiiii It eiiher .\', aiil. d au
e -piiiie-,, lauieii\ par I
1 e. l,,-,|.,li de I
1 Mipel-t
11
pa
I l-iellUei. ) ai
plleiLilu. Ile-- cl ree.iuu.ull
Soil.elll ellla, Milles, Mlr |
rep' .-,au lU
U
li'UiieiMi a eltcr I
<.leUU.,i-,lralll- I e pi eiuler
lliiMie, riii\ eiilciir des lab
c-priN liappeiii-,, .pu, au
ail'
la, par
ctralltju
plleU'Ullelle-
paie> i .Ipltales de rillicp'
.\MI-: ET ISl'HIl'
s'est établie entre savants et '
•Is I
npiii diseurs, spintes et
de .1.
)iiner ainsi un essor mal
MIS les pi
plus ineptes,
l-disailt seieiililupies
[>aré eu appareiiec du spiritisuu
les dcii.irs respetlables,
est Jtj\ eiiu ijue plus i ..lupr'.iuet
sérieuse et lUeliaee île ereer une
a pn-
U
1 les p. 'iiils de vue
le diSi. iiter lei a IiUkI les p|
In l>iii:.liii:
,■1 d'en vle\ ..lier k
Il est pas que les iiialeriau\ ik
ille d
eiii(.iisirali..ii
des di.euuiellts d..ut |e dlsp.)se
-liel.
h.ls, dai
Is I llileret
Us auielle a delll,lsi|ller en publie
Us réunies ,/
/ //.., . u
.l.'lls
iiiaii'iii\ le^
iiiir.Kuleu\ .l.iiis le
re p.irl. .issiste, ii.iii sans tristesse,
11. .11 l|\ pu. 'ti,|iie dans plusicur-
U e.n
ak-inellt étudier de pit
c les crielUS et le
s,| llelk s
S superelieries,
la plup.lll d elllle eU\
leU\ e.velli
.k
sullisauiiiieut
asciiiKeriie le laïucuv D.iiinlas
les t.
lUruanles et l'ev i.e.ileur des
.lul
e moitié du
.lélnit de. la
.11 habileté et p.ir le earaetere
-a\an pn.jdaire.
k
.lue lut eu réalité le
créateur
lill I I Kl Ni I Wli.N
N l.Ks 10S..ri©NS l'sY.UlijrHS
.-t l ihitLileiir
.\ ( ,..liipiei;i
lu spiritisme aetuel, mhis ses t.>ruies les
.uinie a Windsor et au l'alai
H
iver.
douuunt eu maître I esprit des
de la II, iule s..iiete. In |S
de
ourtisaus et
',aroU-iueiit susdite par
II.
me
.-n Aui;lelei le ilait ariiv e a Uii
tel de
■h
mettre ,111
d exailiiliei
deli les savants au-Alais .lassister à ses se,iiue-
les p
aenoiuèllcs qll il pi
qu ils eliulll e\plK
1 lUti
ti..n de\ mt SI vi\ e que la pr
auiilaise, (.lesqiie U iiaii imeiuelit.
iu,ii;ea I araila\ ,
lustre Ji
de l'epoqi
relusa mais
.picl.p
r e\eeuie d.iiis son l,ib..ritoire
ues, il déclara d
Il elait qii un bibile preStidiuUatei: r et que les m
Mbies 1. .111 liantes étaient simpleileilt pr..\oqu
uu.uveUK iils, v..l..iitaires..ii iiK-oii
La d^i Lu aiion
dans 1,1 l'iesse
nieUses lilieil
De VI.
1 dirii;.-
.leiitc
attaques
piuissa
Daii-
1 de 11 l'ius liante autorité
II
iS- I , I loUlL
I saïut-retersbour
tu.us et. i_rue au
.ii\ eiiir elK'..v
il ne larda pas a re^levei
Ses un -tel lellse-
l'ala
iv.iquait, et de prouver
\eutiol-ii.des b.rces pin -
la
le ph
le det.i.''ll s
le l:
ue Home
.ieilts, des luaius \'\.i^
\.i une vue iiKlli;uatlon
des ac^iisatuiiis e.iloiu-
ant qui, a lUste titre.
d
pin sique
iprê . une très longue anseiue,
V retroUN a sesaïK'ienues re
ela-
\ ivaee Je ses e
\pl.>lts
l oracle du i;r.uid monde
s d Hi
tête a tête
leurj (.inJc .[U
.a il - ..
.tiul i.u-Usi;
la.l,.
a^ ln-u-f l.uii.
_o.up -L po-'
!.,•.■. .mi.ii-Kliii^ii pr.-*i
.'litre cl ^uc |u IU-1I-. 1
le .1.1
1 lih.
(ji jplii.iii
H--c,^.vv-i .1 persiiui
uUv A^ t^iiwjJ via
1;, .l.(//.i
V'III, 1.1
1 ar iJiv iiKliiine ajie
m j1..
Duelk- clu-i.- super sUtu'U-io,
.iuu\c
mAc
1 1 iiu.o'is Jo coiuradi.lH.rts i-t
ml la v.ilcui ni'.v
.ur ii.niHa
e-àne a^- be.iit-
les. le pié-
1', Il Mollement cl 1 uls
(aie a'.ipus L-s cuiae-, f
,v.h..
,/.■ l'In:
ofh:
2()S
Al
exaiulic
11, laisai nt l'ohielde toutes les couver
ti(.n-> et [iréiiLLiipaiciit ser
initiée aux sci;ret> ule la h.
l.e 2^ lévrier iS-i
l).
rence privée.
renmn ela
.e-li I
mce \ iii^t an> aup.ir,
Je chimie a la l'"acultc de
la séance, apiniva ce iléli
iirovotiues
hciiuiiiénes II
i.t ténu
ligna
:it;e lit scaiulale et soulcv.i une vive
eiiiotiiin ilan-- le inonde
réuniiiii lie la l'.iculte, l')
jet. Dans 1 i
dt
lie dessiller les veux de n<i
ire
deli
resodiisa
me
icci.
bilité
ucKiui s savants voulaieii
a moi pciur c
.i>H
instituer
une comi
bv
:hel,
lAcadémie des sciences
Het
roiisi liew kv e
concours
de
t le ]
idai
dical
lepartemellt me
partie de notre coinmissi
bl
le réunmn preal.ibic lut décidée c
iisculer avec
le
es rcprest)iitanls c
Me
li<
dori et Alexan
lie
s un pr.
.-de rail a
nie insistait pnir >|ue la coinini^-inii
ment lie huit ineinhrcs. v
piiuvant être dé|a c^
in-'id
la cuiiiini-.sion aurait cni ijné .[iiatre spi rites
ditions réclamées net.iie
personnes présentes de\
et y y
loser les m. mis
ne serait troublée par ;■ ucun lippe
AMK FT KSI'KlT
■usemeiit le-- rires patrmtes russes
nie p'
;las 11
illtiqlle
ome, au co
levant un
iirs d'une coulé
iblic nombreux, k
\ aiit en
An:
llelc
lil!
■ r.ik
sciences, Hmitlercj!,, qui assistait à
en se portant t;arant de la réalité
tbles 1)1
II.
illinnait avoir
icadéiniiiue
A 1
occashin d une
utlerol iiit vivemenl interpelle a
ire cet incident pénible et
aus-i
lefiue. iepro|
losai d accepter
irint prêt a
la
•Il assiinier toute la
U bien >e |oindre
nission d examen
;hc
le mathématique--
te
esseur
ris, le prol
ir ( )wsiaiiikol m ollrirent leur
le D l'elll^an. dn. ctcur dil
intre
ministère
jhe/.
der
a laire
nier piiiir
de li(
le bai'iii Niciil,i~
.\ksakcif. le- c.iliditi.ili- dans les-
1 examen des plieimmelle- -pinte--
conip
jompns -lesdeux témoin-
lUtlerol
_-re Comme u
n .ideple du -piritisu
ni pas moins se
es autres coii -
es : '< t' uites le-
iciit restera-si-es autour d. une table
s; les jiorles fieraient lerincs. et la séance
;1 du dehors ;
de la
1111 1 IKI S' 1 \110S lil- loNi IKiNS
[■>M Hlljlts
ch.imbre dt\aii eUc irai-
1 I Reaumur. t ti //. l'elr
.1 température n
e de
-anl p:
retira en protestant
cou
tre 1.1
Je- témoins
Je M "me et
telltui
dl-CUs
iser Se- exigences
intre sa pre-
t qu après une longue
llls
.Iroit
la nalure d>- idieniuuèner
que le p. il
a\ i ■!{- .ilitelUl le
(.el
a etiablir un a..
.11 lin
de liuotitr H.
r"
l'exi
de la
ait
reiniere se:i
MM l'eiii-a
chel, C >\\sKl
d 1 1 1
.teiir du departeJnent méi
e ; I re-eiits ;
al , rcheb\ --
Iills.del
itlerol. memlbrc- Je l'Académie impé-
riale des
b.iron de
à .) Il V'
-lice-, l -\ iiii. prolesseiir a la
acuité
.ter-l^oiiri;.
II.
e et -e . teuioius.
.iid.'rl. 1 .1 séance aeti ouver
rie le
Aksako! et le
1.1 mars i"-" i ,
du
da
1- une s
aile du laboratoire Je plivsique
de l'iiuversile de Saïut-l'eter
■.b.d!
V^
1 température
de 1j
'lece e
tait
l
keaumur. Aii initie u Je la chambre
tioiivait une lalMe rec
(A-on avant deinand
iverte d'un drap vert
si la matière
dont la table était taite
r
ituait aMiii
Je 1 iiuluenc
la l'ro
JuctUiU Je- phei
menés a exaiiuiier.
Il
l.ibiet lui elail j'aMaiteineiit mdjll
a rep. 'lidu q
-rente
lie la matière
de
présente- ..ut alors pris [
periencc-,
tuee par u
Il le tapis vert a ete
de\ anture de glace
ble en b..i-
qiialre pied- d une table en b.u-k el
mètres de I..111; et environ un mètre J
était étendu des-, .u- ; la lumière dt
lUtes les per-
inur de la table d'ex-
vé. IJle était consti-
pe librement sur les
1"
elle avait plu- de
e lari;e '. un
Irai. blaiK
eux h.iugle- placées
sur
:ette table en \ erre e.
de hH'on .pi
de toU-. I.a
l.i -uivauie
en lace de I
l'elik.m et a -a
occupaient Ic-
lairait \ iVelllellt I eSj
lace intérieur .
pieds de- pe
itK.udes a— isiail
pre-eiites étalent v li-
ts autour de la table était
assis en
tre 'U-hebvschel et i ,\..n.
-( >v\ -LUI
ikol .
: lîout
dr.ii!
te de ce dernier était assis
lerol :| Ak-ak.il el
de Me
ux extrémités.
A la reqilele de 11. .me, les pcr^
-eûtes .int pLuc
I
ll )
.1 -.u-pt.-iulii 1.1 t:ibli.' au iuci\cii il un vl\ n.inic'iiictro niipruiiic
,m labillcl >li.- l'lu--K|Uc; ..c iiind».- àc ['cs.im.- iilïr.nt une
^iMUiic piL-i. i^iciii. I c pi.kImIu nifuhlc, .ucc le-, main-. pM-.^,.-.
dessus, ctait >1 environ •»ii\anti.--iikiin/i.- Iwio. maigre !a
v<il<inte >le llMHIeetile^ l'er■^| 'nne-pre--ente^. ^e p.'uls n a ■.'a->
augmente l'n autre pe>age ^eulbjlable. e\e.u
tlen.l,
e^t ilenielirc également >a!n-. su
par
1
Ult euva^re restes assis autour de la tah
|u,s,iu a
Il lieures 2.., mais aueun îles pheiU'Uieiics ipii, Jil.'ii,
irinluiseiit il iirilinaire dans
les scaiK
Jl
^eiiii., ne
llesté I:
11 lonseiiuelice, les
retirées,- après et
persanes presL-ntes se s,.nt
re II nu eilUes ,|Ue lil rcUilK .11 si:i\ alite lurait
liell le 1 1 mars, à S lieiiies du si.ir.
Ic.Us les preparalils de la seaiuai du i.. avaient ete a
inde de
aeiunmissh ni, exeeutcs p.ir (^\ .m.
aménagement de
la tabu-
les .i|ip,iiei
Is dl
pesage, eti , avalent ete règles par lui, de s> n te que m
il
mue, m ses icniiiuis ne s,iv.iient rien
niilitunis de
détail. 1 iiiites les el 1,1 m blés attenant a lelle «.Il .le\ .ni u .'ir
lieu la scanve avaient ete, des le
inisessiiUs siellés p,ir ( \i.il, qui en
ni.ltlU du 1... lermees et
g,irdail les ilels (.'e pr. .-
t. .mie tut signe p.ir l'elikan, t M\ -i.iniki.L Lhebvsiliel
i, H. .utler. .1.
.-Iin.lh.n que pr.. luisît lette l>ieee
publi
.Vksik..|
<■ i,i ec .mniissu .n , lut îit
et .Nle\endi.|l s.ms 1 .iiit, .ris.m. .Il d
\i\e et prc.\ i..|ii.i dans la presse une p< .leni i.|Ue leiidl
pénible. p.ii 1 intei"\ eiili. .n d un // .
qualité de nieinbre de la iMinini
h.iiil pers. .nii.ige In in.i
shiMii, je |iii;e,n pourtant
lieeess.iiie d.i|..iiter a ee [T. .v es-\ ^rb.il quelques e\)du
ih .Us, qui |iarureiit d.iiis l.i l t.i;,:lt, ,/ ■,S.;/y//-/'.-/i'/ >A.
repr. .diiirai ki de i . .urts e\tr.iits
" 11 et.llt desir.lble |'..ui beaiu..u|> de r.lls, .lis ,[ ne les pIk
n..inenes pr.
duits
II.
Ule lUsÎLiit s,. m
uis .1 Levaiueii
dli..ninKs > i.nipetcuts. .naiit 1 ha iitude des . .bseï \ ali. .n
se lelitiliq lies ete. lisibles d a lia User et de l . .uipjen.li e *.s I m
\i
U
; i,
i il
i
^cuihlc niciiic Lii i. iiitr.iai
aftirL-r 1 ,itK iiti"n >lu ii:it
1.1k-i1'.iiu-ik- l 11 .iiu^thMi
|,,iij.|>.iir iKMillit p.i-'.i «11-
iniMcr < cliii i I. >-ii >lcv.>il
a^N erreur-, rrpjuaucs, ii
a rct iKrv lier le-. \ r.iiL-. e,
irtilu kIIchkiiI |ir..VKiu
" I.CX.UIICII lie-. pIlL-llll
■ aitrc tel iiiKrct .|u il ri
liiM-huiue-., .1 I ^ikIc acM|
tL-inp^. cbl.Miii U- public
^:nK'i-- mirai ulcu-^c UK-inc
// 1.1 t ,pniuii-.^i"U de
s'ol d'.iK nunic .1 S.imt
Je vjUUicttre le-, phénuii
c-iUllriile levere //
" Apre-, 1 iiiiueeès ilc
deeiae. -ur le deNir expr
veau le i I uiars, le m
,)u'él.uU malade il lie pc
iiou-, pria de li\er l.i ^'
encore il ^ e\ia-,a, élailt
-,i,ir. |c rencontrai lloiiu
a mer\eille, mai-, il mec
ear il -eiitail -.c-. laculti
K-mii^ le 11' mars, il p
volt. 1 e. hec elail coin
" .\ii Ce )iir-ï de la pol
eaiioii du proL.cole, I
mettre Moii ecliec Mir
n'était pa^ propice a la
lielu est \ rai en le sen
de \oir tout ce qui s
\vil- H 1--1R1T
cpii sort du cadre habituel et .pu
.11.. il avec le-. 1..1-. pllV-^Uple-. d..lt
„.,li-,le le -.elll -oups.m .pie le
-,..11 le pr..duil de 1 liabllelc d un
• eliser le sa\ aiit du .lev..ir de I e\a-
ant 1.1 super, herie et en delruisaiit
u- s, .rt pas .le s..n rôle .pli coli--i-.te
i\i-,es ,;e-> plién..iiiene-. naturel-- ..u
.'S
uelie-. du -.piritisnie pre-^elitait en
nd lit pos-,lble lelude des laiteur^
uels les charlatans ont pu. .le tout
et inspirer coiiliance en leur puis-
au\ personnes intelligentes
,a\aiit-, .pie il. .me réclamait tant
l'éleisb..urt; et lui a ollcrt le nioveii
leiies qu'il allirme pr.ivoipicr a un
a première séance, la ...mmisi..n a
nié par 11. .me, de se réunir de n..u-
ir du même )..ur, li..ine lit sav.jir
uvaitse présenter ■. le lendemain, il
aiice au i ; mars ; mais cette loi-,
tombé subitement malade Le isau
au théâtre : il avait l'air de se porter
it ne plus p. .avoir d..iiner de séance,
s spiriles laiblir s..us linlluence du
utit subitement p.iur l...nJres On le
.lel.
.-muine .pu s engagea après la publi-
;s témoins de Home s'ellorcerent de
e compte de la table en \crre. «pu
manittslatioii .les forces psyciiuiues
s qii nlie table en verre, permettant
s passe dessous, est en elTet très peu
i.ii ii.KFN. i.\ii,>N iii;s i.iN.rioKs i->vi u; Jll
■ pwe .iiiv l'.urs d'adresse .pu doi\
paiement a\ ce r.iule des pieds i)ail|leurs. liotiie lui-me
a\ ait c.unmeiice a déclarer cpie peu h
dont et.iit laile la table i.a couimi-sion décida néaniiioins
vl ein|.l..\ er. p..ui la sciuce suivante, une table en bois;
m, Us 11. .me prêtera ne |>lus se présenter
•' i.'u Mil a 1 échec de Lfxperience relati\ é a I au^^iueutav.. .n
du poids .le la table. Home prétendu t que s,i sUspciisi..n au
d\ iiam..iiièlie et.iit trop complupiee ; c'était pourtant la
seule l.u.'on ,1 e\iler les erreurs ijui s.f seraient certainement
pr.. .il m. -s si I Un ,u .iit tenu le .1\ nam
toutes les mesures sUseptlbles d eutr
lours Jl- loice .ir.im. lires se sont
em|.etliei l.l iii.i II I lestatl. .11 des pliell
la.r.uu.lll l el.i sUUil .l deiiiolitrer .pie les pheli..iiKiles en
ipiesU.li 11 et. lient eli elfet .pie des li ufs de lorce.
" l>e\ aiil . el échec l.inielltablf , . .|i se dein.llKle i. .iniuelit
il. .nie .1 pu,' peu. i. lut ireiiie .uis. tr..i|iiper iiiipuneineiit tout
ie m..iide, al..rs ,pi il .i suili d une s
ipie 1 Usa-.;e d une t.lble en \eire. p..
blllle .le répéter sfs jongleries.
" i es phell. .nielles pro.luits p.ir les
deSTeni..ins .lnjlit-s de loi se ievluisel
pres.pie t.>ll|..lirs reclUerte .1 u 11 I
la.pielle t. ml le iii..|i.ie est .issis. on e
,1e lai blés cou |. s : les .issistaiits epr. .in eiu des contacts subits
au ni\ e III .les i^eii..ii\. les .lames seiilt-nt tirailler leurs robes.
la table se penche, s..- s..ule.e imjpeu, ou i..miiieiice a
t..liriler i .1 |..lli;lerie la plus compll.{plee de li.mie c.llslste
en .e^i .pue le i>.ùds de 1.1 t.lble. sur la.piellc s, .ut p..sees les
m.iiiis .les .issisiants. peut ,iiit;ineiùer lu .timinuer .i sa
volonté \\ec un peu .1 habileté. U premier ieilii p..urr.i
repr...illlie .es L.ursde passe p Issr ;| ^-s c. .iij's s . .btlell lient
avec les pie.ls on, vl- qni est [dus simple, par la piessu'.n
d un niecanisine .pielcoii.pie c.iche dans la p. .elle iju.int a
lit être pr.iauits priiici
impi>riait la substance
meîre ,1 la iii.iin Kret,
i\ er 1.1 pr. .diictlon .les
in..iitrees .le nature a
nielles d. .lit 1 l..iiie se
mple precautL'll.. telle
ur lui .lier t.iute possi-
spiriles et c..iistales par
t a ceci : .laiis l.i i.ible,
.im tapis el .iinour de
nteiid .le temps à autre
-74
lit
P
roiidroil li'tiii pnivieniie
a expliiiucr : Lha<.iiii cou
de théâtre-, lorsqu'un ve
taiiits l.e^ attoiiclitint-nt
iiients des robes et les m
facilement produits par d
pieds et des mains, sans i
outil iiuelconque. i.esch
dus .à 1 augmentation oi
exercée par les mains
meuble est maintenu ave
en augmenter le poid^
presSKMi plus intense des
assistants aient conscienc
plus forte.
* Mais, polir i|ue ces pi
saire de distraire 1 attent
sations iiuelconi|Ues, par
a donner le change, etsui
avant pour sujet les mira
nation des personnes prés
menas les jilus simples le^
lités, Home les possède
puissance Jongleur inédi*
sagace II parle avec une
impossibles: en racontari
par lui. il a si pt-n l'air dt
que les plus meliants pei
maniaque plutôt (|U a ui
catrice i|u'il prétend (
comme s'il avait honte d
« Jusqu'où peuvent ail
provoquer parmi leur pu
de nature à lui faire pi
d'adresse les plus faciles
.\ME hl PSI'KIT
it les si>ns, l'illusu.n est très facile
liait les elïets réalises sur une scène
rendre un écho ou des voix loin-
an milieu des genoux, les tiraille-
uveinents de la table peii\ eut être
-s mouvements imperceptibles des
il il soit nécessaire d'employer un
ngementsde poids de l.i table sont
à la dimmutioii lie la pression
)sées dessus, ou a ce lait que le
c les genoux. ( )n peut f.icilement
d une façon notable par une
doigts, et cela sans même que les
; i|ue la tension de leurs doigts soit
énomènes réussissent, il est néces-
lon des assistants par des conver-
dcs précaiitii.)ns inutiles, destinées
tout il faut savoir, à laide de récits
;les du spiriiisine, frapper l'imagi-
entes, de fai,on à ce vjue les phéno-
fassent frissonner Toutes ces qua^
an plus haut degré, et c est là sa
jcrc, il se montre psvcln.logue très
telle assurance des choses les plus
t les s,,i-dis,ml miracles accomplis
luloir convaincre ses auditeurs,
iscnt tout d'abord a\ c^ir alïaire à un
Lharl.itaii (Juant .i la f.iculte évo-
(jiSseJer, Home en |nirle a regret,
me pareille intirmitc
r les niaïueuvrcs des spirites pimr
ilic un état d'àme tipul particulier,
dre pour des miracles les tours
les plus vulgaires, ^ est ce i|u'ont
liM H.KESi.I.XTloN lils lONl.lilONs 1,'SVl IHylFS 2---,
montré les frères Daveiiport. énfuJes de Home en spiri-
tisme Tout lart des Davenport reposait sur ce calcul bien
simple qu'un homme, se trouvant pour la première fois en
scènedevant une foule nombreuse, se sent iiatureUement très
troublé On l'ahurit tellement en lui faisant inspecter l'ar
moire mystérieuse, le plancher, la[solidite de lao.rde. ctc ,
que pijur mettre tin à sa gêne, il esï amené, en liant les près
lidigitateufs, a faire les nœuds que ceux ci lui indiquent
comme au hasard et sans avoir l'air d \ tenir .Me trou\ ant à
Leipzig, en iSf.y, | ai eu l'occasion de lier I un de- Daven
port ; sans tenir compte de ses iiiijications, je lui passai un
nœud coul.iiit autour du cou et lelhxai ensuite la corde en
, 'I
attachant ses mains et ses pieds aulbauc de telle l.içoii qu'il
se fût étrenglé au moindre gestt» l'aie comme l.i mort,
Davenport resta pendant une dcnn-heure immobile dans
l'armoire jusquà ce que son frère yint le délivrer
«• Ni l'échec de Home, ni rexplicjitiou de ses ti'Ur-. de force
ne leront sans doute changer d'avis ses p.irtisaiis coin aiiicus
.Niais jcspere i|ue ceux qui auront î'occasKin de fraver-daiis
des cercles spirites trouveront dan-l mon expose des indica-
tions sufhsantes pour leur permettre de démasquer les jon-
gleurs S'il n'est |>as facile de guérijj quelqu'un du spiritisme,
on peut au moins empêcher cette jontagion de ~c répandre
en taisant counailrc au public IcS uicsiires préveiuivcs a
prendre lorseiii'ou est en contact aWec des spirites .Xassi me '
par.iit il opportun de dire encore tjuclques mots des prepa-
ratils qui turent faitsen \ ue d une deuxième séance de Home
I a\ais choisi cette fois mon ainpllillieàtre d'aiiatouuc. I.a
table de dissection, qui devait ser\]irpcpur les expencnces.
était en bois, mais iellemeilt ele\ee qu'on pouvait très bien
surveiller les pieds des assistants, \uin en restant a— i- sur
une chaise Home ayant dit que ptiii lui importau que les
mains, an lieu de toucher la table directcmciu, tusseiu posées
sur des Coussins élastiques, i'avais prépare, pour les mains,
des vessieseii caoutchoucavec dessiitleis cachés à l'intérieur ;
la niDin.li L- pri.— ^i' 'ii cxcii
Lle^ --llllcllU llt-^ L-p'>ll\ .111
1,1 .
« >.i tuiis Lt-iu nui p.irli
. Liiloiir.uent .lu prL-i;;mti'
JM 1 lijlllc 111 ^C'> ->clll
bl.ibl
iniiiiKirc liiui' lie !■ >i\L-. M.i
llau^ 111
lai'cil luiliiu. Li
lUiK-. cl .1 ^c iiulicr le p
11^ pi
IIU-^ le pl.ilMl ik
.rg.m
_MTcur siillil ^' .ii\ tilt piiur
Ile laiil p.i> ..uMici 11
iiicilk-urci iiilciitii>ii>.
iiuiacle-. .lu -pirili-,iiK-. 1
11
ii.|llcr au \ <il-.lll el .le I llKlmie en
levellir euinpliee .le 1'. .peraleur
Il plu> .|Ue les i;ell> alllllles Je^
nais er. .^aiil a\ eui;léiiieiil au\
dlUlll. .1 -ellle lin >lc
,1c-. leli
.iiinl
le^ spir
le ce L!elire,
"ite^ .le^ .lellV ■
" Kn leriiiiiianl, |e iiie ]
>piiil!>iiie un a\ K eli.nilal
.|Uel.|lle lelllps l'IiablUlil
llinilic~. .I,in~ le-,|lleK il-
a.leptei et .le 11 \ c 11 t le-- ni ■\ cils lrè> slUl plcS Je Ul l 1
\aicnl piiiii y
lire Icu
pa-i-er a la p
,t.
..illliia p.clll être a
■ .le Ile. 'plu les «
.a publie.ili..n .lu pr..t.
uubi i
,/,;.////
/A ,'. .lan-i k
ir.).lui-il une ecitailie ^el
elll'itl..n en
a |..riiie- e. .
\iiiilet<.
le ph
i lUlt^ll.lt,. Il . lllll,,'IM-llff
lai^ lH^l- m y )..lf;n.ilil u
ci-)..nn.j- .
ijl Je 1.1 Ubk cil
.\MK r.l I^IKIT
-•ur ecs vessie-, aiirail proviKiiiL
lellt il lie
■,é.iiiee> du spintisiiu
is aiialuf^ue-^. lin peut elie >iir .p.ie
> ne ser. lient eu et.it .le ^éu^si|• le
s 1.1 préeaut!. .n la plu-- iinp. .rlaule,-
isisie a n .1'. ■ ur
n ti a n e e e
i,bl
>()SM,iT|e. mellie .le se'
Il p.
pr.ipi
hésitent
p. Il a prêter ai
ii\aiiKre Ic-
I a lui
lie bcàueiiilp ail-1-.i au --ueee^ ile>
jiMielll bleu \ lie .ib.lll.l.iliuee^, -. ■
:e^'. lient .le -.e leiiiur ensemble
einiets .ra.lrcsseï .iii\ leiveiit^ .lu
lie l.e> lue.lilllil-i .ml pn^ .lepui^
- .le liiis^er .le^ iiiein.iues pos-
lailleiit iiiipit.i\ableineiit leui-i
le
elfels les plu> uieii eilleiu 11
ntc par l.i xiue .Ici lueiaoïre-,
.l'iii
etiiiKlir 1 ciitliousiasiiic J'iiii biui
le et >lc iiiiui étu.
le, /.,■../•
|i .uni
inlisui,
aux lie S.iiut l'etcrsb.uiii; '
-..illuii en Klls-iie et nue veiU.lble
II. le spiiitlsUle. siiUs t.illtes les
.le fKlele-.
la presse .iiii;lai-.e m ait npia \iveiuciit ijiiel.iuc-- . ii>;aii
J..'»iii
Ic.liVil un Jol.nl II
L- C\.l.l, U|U
iil.iiii L- liiiii
Ml I I KIN. l.VTION lils li)M)l.>\> l'SI. 111 II !■- ;-"
I
|Ui. CMiiinie le .s/. (//././',/, avaient .iciuipris la viMie pmtcc .it
l'ecliee sul
tatlou, le
11 par
lui e; .1
■ nie, Jeel
ireiciiî .|iie. pour --.iu\ cr sa lep
e\ait se --iiuineltrie a 1 examen .1 une eoiu-
nussioii de ■-a\ .iiits anglais, .iliu .le -^-.lisculper JeNaeeusaliuii
pintecs p. Il l \.ui. ilcAcnu .} Ih
il> ll.ireele .le tiiU-< entes, Hi
lUiie \ eiiiiseiint l uc
iiii---i.iii se reiiiiil, Lluiit taisaient p.i nie, entre autre-.. ra--tn.-
iliuiie lliumii--. le eliiiniste l^rcm^cs, et, |c er.iw, .Mlici
tant iiue ie s.u hc. aiuiin
e .l.ilie le> .letaiU .le la
W'.ilaee. le eeleb
;l--tt
//; ///.• -.jJ- .If tlh' sf':-
)ir.it()eolc Ile parut alm-,; |it;ui.i
seaiiee .\|.iis. .laiis une lettre [Mlbli
--e ileelarail iiie.i|..ible .le .l..uiicr
e\
vir le / /.■
plu .11;. 11!
nielles ctralll!e■^ .In ut il .1\ .lit ete te'IU.'in
(. CK
biUlMlillU
.r.i. ikes. cm le sait. .|Ui inti|.. luisît le pveiuter la plu
i oeatliui .les esp
Intiiiiiiiiste ri\.il lie |)aiv\iii, tut a
les plus /eles .lu spiritisme l>aiiss
Is Allre.i W al.ue, r.
il'.uatclir-
, / .', /(/,.,/,
^/.,
■.III \ .l.mi u
ne i;r.iii,le paille est cim
saerce aux expluits .leei iiiiiilis ivh
pletelliellt s.uis sileliee 1.1
pllsp;
l lUesav eut
.1 iiiniuiis
1 s^ lentili.jUe de Saint l'etcrsb.ui
u e p.is n.Mi l'ius ,1 alliisi.iii a
Ih
li.ii.l
I es en 1^71
.1
'ar
'iitre, a la
s étale cette .iii.l.uicuse allinnatuiu
publupie .laus une l.iiue uiesiirc lUiraiit viim; uis. il a eti
cxpiisc a l.ipii. c\,iuien et a l.l sii^pui,.n, i.iiiiais caliuee
W
allaee p.isse emu
nie .le ce Jeruier .lexant
.1 seailcc i|Ui eut lieu a
p.ii;e ;:■; .le 1 tiuvrage.
la vie de H,
lue .1 et^
vl eili|ueteurs iniuuii
brab
ii.l.int luiue preuve
triclierie n'a lainais cie .Inunec. et
llcrie ou d .ipp.uell piinai- deC.. UVelt
I),
llis les liiUDiil
brab;
Its de
ment p.ris a p.irt, mi a tnuiuiir-
nul Iramueut de m
a eh;
pintes ou le tus \ iiilciu-
Sc liiilleUsenieni e\ltc de
liiclitioiiuei"
les .létails .le
lliitre sjtaïU'c l-.\ Memuielit. i.ll
.ramnail .1 attirer rattcutioii sin l.i tiiblc eu vcrie et les autri
Ti,i.U.
Pan,. I.bi
ycli..l..ni.iues
Î7S ( ORI'S
inovcii^ iiiiaf^inés par iimi
des métliuin-- Dans ses
qii on m'a assuré, ne lai
t incident * de sa vie
Deux jw, après, en iS-j
bour^ 1 tliebysLiicl. la'
donner a 1 ancienne coniii
reste lui dc\oir llonieac
la condition expresse i|ue
est antipathique .luv espri
présence //. expliqua t il 1
membres de la coiumis-,i
ridicule cchappatcjire n en
cause spiritc un autre -.avai
logie.a la l-'aculle des se
Comme Walace
Je dcii- reoiiiiaitre ijul-
quer Hoiiie, A ussitot apré
la séance du lomars if\-ji.
ambassadeur a l'eler->bou
Dr Pelikan lesdétaiU d un
réussi a prendre Home sur
I empereur, I impcr.itrice, 1
i|Ues autres Ultimes de la .
avait a s.i g.iuche I impei
celle-ci se trouvait N.ipolé
lace de Home, lut Irappéd
nier dirigeait la coiuersati
trice lut obligée de rester .
pereur, jiour lui poser des i
Soupvollll.mt quelque
l'Ieur.v demaiul.i l,i perniis>
porte sitiiec a droite de la t
une autre porte, i|ui se tro
celui-ci entrouvrir la sem
ur rendre impossibles les fraudes
l<h iilriils II/ m y lifc. Home, à ce
; aucune allusion au plus grave
AMH KT HSI'KIT
!. Douglas Home revint à l'éters
ant rencontré, lui proposa de
ISSIoll les lieux séances qu'il élan
:epta avec empressement, mais à
l-von n V assisterait pas. " (Àon
s, qui jamais ne paraîtront en sa
'es lors, Ichebvschel et les autres
m prélerèrent s'abstenir, (iette
ipèch.i pas Home de gagner a la
I, .M W agiter, professeur de /oo
lences, cvolutionniste passionné
e II ai p.is été le premier a demas-
la publication de 111011 article sur
le général comte l'Ieurv, ancien
g, me fit ccunmuniqucr ()ar le
• séance a (^oiupiègiie, ou il a\ait
le l.iit A cette séance assistaient
1 princesse de Metternicli et quel-
our .\utour de la table. Home
atnce lùlgéliie, et a g.iuclie de
■ Il 111. I.e comte b'leur\ . assis en
: 1 insistance avec laquelle ce der-
iii de manière a ce que 1 impéra-
onstanimeat tournée vers leiii-
lUestioUs.
our de passe-passe le général
ion de se retirer ; il sortit par la
ibie, mais il rentra inapervu par
ivail derrière Hoine. Il vit alors
;lle de sa bottine droite, l.iisser
l'Il lhKISc:l.\TIO\ DES rOSCTlôSs l'SVClIKjUKS 2-(|
quelques instants son pied nu sur le marbre du sol. puis
subitement, par un mouvement rapide etd une agilité extra-
ordinaire, toucher avec ses di>igts de pied la main de I impé-
ratrice qui surs.iuta en criant : « l.a main d ua enfant mort
\ieiit de nie toucher I » Le général l-'leurv, savani,"ant alors.
dévoila ce qu il avait vu. Le lendemjin, Home lutembarqué
a (,alais, sous la conduite de deux agents : Li consigne était
de tenir 1 incident secret.'
l'arhas.ird, |e rencontrai Houie peiidant leté de iS^^dans
une pension a Clareus, ou la malice d une Américaine de
ses amies eii lit mon Voisin de table .Maigre son pouvoir
surnaturel, il lie me reconnut pas et m adressa quelques
paroles banales. C^uand, après le diiiier, sofi amie vint a pro-
noncer mon nom, il faillit sévauouiir et se plaignit quelle
lui eut présente f son pire ennemi, qui avait cherche a le
deshoïK^rer publiquement 0
Home mourut dans loubli six ou sept ans plus tard
En somme, la retentissante lavoii dont la commission de
Pétersboiirg réussit a démasquer les supercheriesdu créateur
des pratiques spiritcs n a nullement em[>eche le spiritisme
de laire des ra\ .iges lusque dans le monde de la science, etde
gagner des adeptes de la valeur scientiliquc d un (.'rookes
et d un W'allace.
i^iioi détonnant alors que les laineuses séances, ou tant
de savanjs proiessioiinels en Italie' et en Hrance se sont
laissé duper par un \ulgaire médium comme Kusapia
l'aladiiio sans parvenir a dévoiler ses artitices, aient tant
contribue a propager la superstition spirite dans les milieux
intellectuels, même parmi les professeurs de l'acultes et les
académiciens? Il aurait sutti pourtant d a\oir recours une
I ( )M I allHt m..n jucnliuii iur un récit ,
^uelque^ dUliée» pjr la priiue->se .Meltcrnich
Revue ln;tul..ni,ijjire . Dit \V,)cl>e ■• pjraiss
J'-^old .i 1.1 iidn.e .le Compiegne , t,iii reçu,
imporlance. esl iiitiilique j celui que m'a fait
le celte aventure t'ait il \- i
.et publié Jaii> une petite
aiit \ Vienne la princesse
saut ilueUiue» JetjiU sans
le général i-leury
','i'
R ^, AMI! i:i l-M'KIT
--cille [■■I-' .1 IIIK- l.lbl
rmi|iui^--.nKc.
H - /•
Maigre Uni' JnKiiiu
ii.iti-nic ic-p. .--..•m ^iir 1.
■-iiL;,m---ti. ^11 ; ['niKi|ic VI
i-ii In i.uli^ i.i pituiKif
K-ii ; lc~ l'hi- iii,iliM> I.1
li,L:i. nl>, ~iit;^c-li..iiiK'in
iIl ^ubtL-iliiiii^ >ln ci's.
An ^Iclnit Jii ni..u\,.-
dllis.t J.1II-. ijUi. I.|1U^ cl\
\'.i- II.-. liiL-.k, m- ,|ui I
pluti.t le- lù. il.uk- ,|lll -
U IK- ■. i-lIX |M- lU-l-
iii.ir.|iii. iciii l.i n.ij--,iiKi.
Icl'.li -L lllillielil lin.; i
M..-.
lie i.i 1m>.uIIc par un M
i'^>7. lai-aii -cii-aiion
i nit- lller\ t llk II-C-. ( .
Lckbif piihiki-tc Kalki
liiMIt I cillV ]- k- klliiein
.L M u.
it-r s, Jir a en lieii a
ilepi'. •It-r,
.le la
pre~.se. une -eaiu
c.xéiUter iii\ei'-e- e\pei
\ i-ine .•' , et liiieni nne
ii un ni! et de. lait. ,111-111
" 1-11 ..u\ lant la -cane
ini-si. .11 .le i in.| ineinlir
phcni.iiiènc- pJ•...lllll^
1,
'iir leilniie l.u-.ipia ,i
apparente, le spiiiii-iue et riu p
l'Ilil pi IIK ipe p-\ i II. jIi
'fil. pie, l.l
:UK Clllllile le in.Ul.le, pui-.|lle K\ e
ipplie;lil..ii (,e-t t..u|..iir- le même
le- pin- i.,iié-. -m. .11 le- pin- iniel-
le- iiail- et le- ereihile-, au iii<)\en
llelll. l..r-.|lle 1 lu pu. .ll-liie -illtl..-
ll.pie-i. le plu- -. iii\ eut .e il .talent
\ pin.tl-.llellt le- 111. il, 1. le-, eet.llellt
-' ni. ..|ii, lient .le- iiie.leein-
er iLl Klir le- pénible- epl-.nle- .|lll
de i'Ilj, pu. itl-llle nie. Ile, il. le r.Ka.ll-
lell-e .fe.iliee A li\ pli. .tl-iiie. .|. .iinee
ic\ ..lit une .1— -mblee' .le llle.leel 11- et ,k pi. •!..-— e 111-
. >pil. pelul.lllt I lll\ el .k lS,--l.
en eelle vjil
p. Il -L - pi etell.lu..
a deiiian.le de ni. .i
1 .nul, ic
-1 -ur
I. ipie" |e nie lelldi- ,1 i\ lie reuilh.ll,
in un s..inpte i elldll .1,1 il- l.l (/.;,-, //,
r
.Kleellin.lllc, ei
1 pie-cilee
pi'" le -se 111- .le M 11 1 \ e 1-1 le. die llle-deein- cl de ^ep^e-elnaIlt-
m e.illl- .le 1.1. nielle S\ I n .IcV.Ilt
.IKe- .1 I
u pil. .11-ine el de liielltL
niai.ute .Itleinte de eeUR Cliuilclc
de 1 ICI
.pp..-e.
. le pfc-uieht anilc.lK.i iiiic 1,1 e..ni-
-.ehiif prciéileninieiil pour étudier
.\i.r
11, - était ,u .niillcc e.iiis
hll I I Kl N. 1 \iU)N hl.s 1 (.IN.
Tioss isM iiiijrr:-
. lelK lell-eliieiit de -,i lin — ii.ii. 11 ITc-ellta cn-illle 1 li\pu
liseur à la— ciiibkc, t..iit
11 e\pfim,int le reflet i|Uc ['.U-
sicur- -a\ aiit- n eu— eut p.i- rep. .iikUi a 1 in\ itati. .n
".^1. !■ .11, nu hiimnie .le trcnK-eiii.| an- eii\ ui.ii, d une
pll\ -|..||..|llle lll-lunill,lllte, perte 1. le- llllletle- ;..luee- .pli
ae-|iciil e. .1
npkteineiit -e- \eii\. I >n -.m <|uc 1
un nr.iiKi rnle .i.iii- 1 e\ . .eati. .a di
11. pie- ; au— 1
le reg.lr.l I
le pi.lt de . e- luilett
l'llell..lUelle- dit- Inpn
e- 11. .11- a-t-ù -iirpn-
" I a ni.ila.le .I..IH ..ii ii..u- avait pri.iiu- la .mien-, .un
p.i-pi
-erail uiieric \
itee. .\l,n- 1 . .11 .le la
ndre.li pr..elKi
nu. .! \ ai
11 lit -,1\ ..ir elisiiile '.|ll il a\ .ut
le -e re
11. Ile a - IK Uie- I ( .r.l 1
.le la \ellie .1 un eltl.li.nU
ll-ee p. .1\ te, lini.pie. d V
deliiailvicr le lui' , lM .le le p.rier d :tre Mill inti'...lUk lelii .1,111
1,1 -,ille ..Il -e tenait l.i rcuiii..ii, .V
1 étudiant .ini\e ellccuveincnt el
.M. I
Il .11 .lit -iiLiuere
plu- au
-elltel' .lev.ini lui une heure vip.re-'
p.ir la 111.11 11, .le le .;..ii, luire aiipre
ue ma 11. 1er
.1 ee dernier de- c\i'lu-a
.1 lu iMii.li-me, I. Iieiire li.\ee .uant cte .1
.p.iarl .llieiire et 1 étudiant, .ib-1.1
ave^ -e- \ .
-m-, a\ ,1111 iii I .bab
l
,,11 lepri ..lui-lt le lllir.iele bien
inpertiibablemeiii .pi el
it -epl 1
lellie- du -, .ir
llc.ire .lite. . .II. llin a. le
~t intiCvliui ,1.111- la -aile
même cliKliant .k m- pre
■11 arrivée, de le prell 11".
.iil pri>Ic— ciir l .Il . et ,;.
tl. .11- -ur le- l.liein.ilielie
lepa— ee depui- un
>c par un^ e..n\ crsali.ii
.'lit ..llbiie 1 1 -ilt:i;c-t;. .11,
. . .111111 de .NLiImnicl .1111
Ile poUv .lit, iiKiUre
-e- elk.l t-, tau
il alla lui meule elierelier 1 etiuii
re . eiur l.l 111. .iit.iuiie a lui :
aiit
til as-e..ir a -. .n oie dan- la ch.iir
i 'uckiu
, I ..11.
e- luiniltc- âpre-, 1 e
du de la el
1,1 ire. -s al
el lui dit la plira-c .[Ui lui ,i\ ait et.
tu ensuite a--e..ir leUldianl da
It.ibl
prit p ir 1,1 iii.nn. el
tiKiiant. .ue..iiip.ii;iic ,k-
pr..^ lia du priile--.eiir i .li
i. -uuucrec
i la veille I-
m taiilcnil, et ,il..i- e. .iii-
mei^a la \ ciit.ible se.inee qui -e pr. il. .iis^ea peiul.iiii pln-.i mie
heure Séance de qiKn .' N.ius seriJ.iis bien ciiibarias-e .le 1
ilire. N a-si-,t,inl à la reuni..ii qu eik qualité de simple rep.i
L-iUants de la in"
esse, n..ii- ne
p.'Uii.iis que traii-nicttre
2>>2 CORP:
lidclcinent ce que iii)ijr>a\
sion ht celte impression
à habituer 1 étu^iiant a lij
l'ut cunipiet et, qu<jiilUe
saut sur lequel le péilagi»
<.iev(<nsrec(.nnailrequcl é
" \'iiu> Jnriiic/ l)iles i
V Dites que \ iius diirniez
répétait 1 étudiant. — *■ l.c
« \'ous enieiuiez r Hxécut
1 étudiant exécutait. Les p
sentants de la presse, les
devant ce pri .dige.
" Ni-iis n alliiiis pas éni
auxquels le sujet cjbcissail
t'iUs les inspecteurs des étl
ijUes uns. parmi les plus c
" viiusrQuelàiieavez-vdt
f Stepanntf; vi.Us avez ci
'< \ "Us ap|icle2 StcpaiiulT
" ans et Je m appelle Step;
« a\ec Cette piiUpee ilui u
«■ (.est une puupce ! - (
l.'étudianl sourit « l'ieui
triste Des miracles '.
" \ ous a\ e/ neuf ans.
, " nom, en gros caractères
• 'l \ oUsa\ c/ vingt ans ; ecr
«•A présent \oiis a\ez so
<( ecri\ez \olre lloiii „ \x
treilll-iler et il écrit SOIl W'
>i avez cent vingt ans ; écr
encore si-»n nom. et tous 1
cins. représentants de la
écritures J un vieillard de
P'
.\.Mfi FT ESl'KlT
Mis VU et laire part de notre iiiipres-
est que toute la séance se réduisait
)éissaiice Sous ce rapport le succès
ous n apjirouvions pas le ton cas-
ue !•' . .n donnait ses ordres, iious
tiidiaiit y obéissait ponctuellement,
ue vous dormez! \'oUs entendez ?
! * lui criait I'" ...n — «r Je dors *.
, ez le brasdroitet baissez le gauche !
il. immédiatement mon ordre ! * Kt
otesseiirs, les médecinset les rcpré-
)remiers surtout, étaient en extase
mérer ici tous les ordres de !•. . n
a\ec une docilité à rendre jaloux
diants Citoiis-ell selllelllellt quel-
irieux : " (.oiiiinent vous appelez-
s.-" le vous ordonne de \ o usa p peler
ni] ans ! .^leiiteiidez-vous ? X'ous
;t \ (lUs a\ ez cinq ans I — J ai cinq,
iioll *. balbutie 1 étudiant. "Jouez
Trant un cravoiu Kntendez-vous ?
'ui c est une poupée \ — Riez I «
cl\ u I. étudiant tait une niiiie
vous (.avez écrire ; écrivez votre
! « L étudiant écrit. « A présent,
vez votre nom «\'(jilà qui est fait
xante ans, vos mains tremblent ,
s mains de 1 étudiant se mettent a
ni '< Vous avez cent ans. vous
vez Votre nom « L étudiant cent
es assistants, professeurs, niede-
esse. de reconnaître aussitôt les
-cilt. puis de cent \ingt ans. et de
1)11 M Ki:X' 1 AllOX DES ^ON(:TU>N^ l'SVl-HIUI'Ks 2S1
tomber en extase devant la puiss.iiice étcjiinante de 1' \\
' « X'ousavez Iroid. \ous tremblez, rdlevez donc votre col ! *
[.étudiant relève son col et dit qu il a froid. " X'ous êtes
« dans un jardin, il \ a près de vous des tleiirs, des roses ;
« sentez une rose ! Dites que c est une rose ». crie 1' n en
offrant un llacoii d ammoniaque a 1 étudiant. (,elui-ci renitle,
fait la grimace et manifeste pcjur la première tois de la déso-
béissance: " (Test de l'alcool //. dit-il et il eteriuie lortc-
nient
" !• Il II insiste pas et lui présente un morceau de
citrcni " ( , est une iiomnie ; n est-ce 1 pas qu elle est bonne 1
6 Dites ,|iie c est une pomme. Mangez-là ! • L'étudiant com-
mence à mâcher le citron et le crache aussitôt ; il est plus
obéissant en paroles qu en action
«rSurl lin nation d'undes assistants! 1'. n i>rdonneensuite
au sujet lié repeter le vers grec qu il lui avait suggéré la
veille (^etle lois, soit par mépris dés classiques, soit parce
qu il n ai m. m pas la p.'csie. 1 étudiant ^-ef use carrément d exé-
cuter 1 ordre I'. .11 applique l'aima(it a la partie du crâne
ou devait, a'son avis, se cacher la phrase grecque, mais en
vain .Vh'rsil rei.ite le vers lenteincUt à haute voix, et. oh 1
miracle ' l'ctuiliaiit redit les mots tant bien que mal
v Invite a répéter une phrass géorgienne, l'étudiant ne
veut plus obéir du tout, et cela malgré lapplicatiou de l'ai-
mant sur l occiput, qui sert probablement d ciueloppe a la
case rciilermant les langues orientale)», et maigre la sage pré-
caution de !■ . n, qui a lui-nieme récite la phrase a haute
voiv. L'ej>reme lut plus heureuse avec 1 arménien ; sur un
ordre donné par l-, .n, letudiant balbutia quelque chose
qui me parut être d'un pur" volapuk « , mais, d après l allir-
niation de i'habile pédagogue, c état bien le dialecte des
ruses habilaiils de lA^ie .Nlincure.
'( !■ Il ordonna encore à 1 étudiant de le repousser du
fauteuil 1.1 de s V asseoir lui-même, ce que letudiant fit aus-
sitôt avec lin plaisir \isible ". ht nuiiiteiiant, reveillez-\ ous
2^(
) ■]"-. AMI 1-T 1 M'KIT
" 1.1 IK ICbScnlt-V :UK 11
« V' ■ui tc-riMiiici"
N\
util./. Ile iiic lr.i|'l
L tlldl.llll IC lc\ .1. l'
,|U
il \ a de iil
plii^ donna
tri> traiu|uilK iiiiiil ac
iniliativc .in'il alluma
la^se Je Uk
()
Il V cdt par
L<lllll
IIIK r lai\ eui" \ eiui. --'i
d une lellllh i\\ de sa\ ai
tilles. plu> lliai^e^ que 1
prtjfcssiuniiels
le >ueeè> nblenil
Kl
M d'\ IJ
disant iiuiaenleus
-bh
intervenir et
cas de lidie s étant ma
( .es iiiekleiits ii'.uit lias
iploits
;n .\ineri
rteK.
vi \ eiiii.iiierir
rissanl tciule-, les ma
lad
D.iiis 1 lii\ er de 1 >>):
Hait, al> ils éditeur du
L ' . nulle tenu un a une m
.r,.iit entrepris de laire
iii.|iies parisiennes V a:
et rcurette lundalelir i
11
Alliilel
erre et iiieine au
\..Kll
c teinuignage
• |U il publia ; * Je ecrtilli ijne les experie
assiste se sullt passée
ne traee de eette sé.liKe dit !■ i
.-n \etiille/ pas, et. si vous me reii
sans rt-seiitir aucune tr.ice //. et, ce
it. ne Ir.ippa perscniie II s appris li.i
es'amiS et Cette h Us ce I ni de --.l propre
une ciuarellc et se mit. a boire une
rendu Combien il e-tail aise .m pre-
iiitiilaiit li\ pnotiseur. de se moiiuer
is au iHM\ en
T"
.lien
es elllan-
s pratii|ues li.ibituelies lIcs niediiin
r r. n lui permit de parcourir l,i
illt deH ci.lilerellCeS et de- villes sc.i-
dusicurs reprises, les .inlontc- lurent
d'inlel'dire les séances, de iioiiibr>. ii\
lestes
au Cours des représentations
le le persolinaLie île
uirsuivre
|ile et. m.il^re plusieurs a.^idcuts
la réputation d un li\ ik ipli-^ ur uiie-
IS
-);. \ii iiis imite p.ir le |t|- laiie-t
liiili~h M.Ju .il Ji'iini.i! . a .issister
rie d cNperieiices d li\ pnoii~me i|ii il
les: sillets K
illll 11- vies cil-
istaicni y\ l.oiiis ( )li\ 1er. I eiii nient
,/.■
'lollel Kocll.ls. et plu-iellls IlledeCUls. .\ ToCcasloU de
:ance-. le Di I Lut ecr
Je-, ///. .\c.. .\Lsm.
k
e série a .ir-
\\ it dan- -on journal un
i>in, illll tirent grande seiisatiiuicn
Ktalsi-lnis
[Ile je lui adressai sur s,i dcm.mde et
;lices aux.iilelles i a
e.vacJenneiil ciunme \oiis
nu I 1 Kl Ni I \lloS lils 1 oN. 11.
décrite- I esllletliodes emplo\ees p
les siipierv liei les vies -iiiets. -urt. ult le-
pces et l.l subtltutiou des Verres d .
d une telle simplicité ,|U oit .1 ,(Uei<', le peille a .idlllettle vp!
les medL V m- .pli -e loiil les .ipotri
titloll -..uni
1..1 .Mol
NS l-sVi IIUjlKs
r \ ous pour demas.iuer
;luiiii;eiiients des pc<il-
\\\ et ,les .iim.ints. siuit
iecettc
lllemlL- I .11 proce
experieUvi. -
-m le- sillet- du Dr I u\
lire i 1 m. .111. Ire dilliculte a de\
\ r iniieiit iK -.11
être irolllpe-
iraieiit tromper 41
1 lltv
rn.iiiii. p
leptes vie d
.ivlei
lie vli-v le.liter i.i nu
me et 1,1
le -llls elltiereinell
t .1
liile dv- -lllel- .pu -e p
lil.lv e-. vl
iMllr.lilie p.ir le s
■■I le de V olllv lellce-
ces. le Dr h
a ( limauv.i. pv
ib.itrv U -piriti-me et I livpno isiiie. .M.il lui eU prit
.ir. peli.l.inl une -e.Ulce oii il del
es Ir.uivUs vie- uievluiius et .le- hy
;cliarpe pai un auilitoire vie -pinte-
Sliiii.lii'. ^-ull ./.-. ipi '
piLitiseiirs, il l.iillit etri
1,111. iti. pies.
\ elle supers
le a plusieurs
-. v/t le II ai j.uu u- reii-
i!er leurs arlitice-. viu,
celi\ .pu \elllent bieU
telle l
.ir.nt être
Ctllile- .pu Ile pell\ cl
eleter plu-leur- -lev-li
Ut a
■r. ile-vIlles iiri
.•st ll.ii l entreprit Ul
ivl.int I l-.\position, pour
lasvpl.Ut les pi
.-.les et
fi;
TROISIEME PARTIE
EVOLUTION ET TRANSFORMISME
I \ T K ( » 1 ) r ( • 1 I ( -> X
COMMENT IL CONVIENT DEC RIRE 'LE S L IVRES
DE VULGARISATION SCIENTIFIQUE
c> iluux prciiiicies parties
de
t tl-cm a I i;\aiiic-n
:et (Hivrai:
es plus hauts jiriiblcuics de la phil'.~ii-
filllc cl lIl- la s^lulKc. dont l.l sidutli'U a ctc LiK-iViu-L l'.'Ur
Pl
rt a lau
1l-s incttu
plu sicdcijiiu cxpcrniRiitak
A VI
le
r
du I .
des K
lus ni;MarcQ^
cxolutiliii cl du iran^h'ruiwuu
nou~ enli'i'iis dans un
moins aLCe:
sibl
c a 1 cludc cxpenijiieiitale
dc^ ScicUec''
laturcllcs
h.h-.
rvatii'it
Lonstitue lu |>inuipal. sinon 1 unK|Uc incivcu
i \ akur Uls résulta
hais
hteilUs
1
ir
.1 d
.e-tli;a-
c celle
luetliode lie peul être ipie relative Hn dehi.r-des mérites
suhleetils du sa\ant. elle de(iend j^url^.ut de la ri.he^se de-
uialeriaiiv et des laeililes pi
\ er (e n est qu au puinldc
us iiu ihnins liraii
les (discr
imitées a
r,.h:
ser\ati(in peu\ent prétendre a la ,;e
eseriptlt que les sv.'lenee
rl'itu.ie dé
leurs diuuie
'ar
lUlri
.■lie
es prcselUellt 1 av aulane il elle
.ibles a reiileiideinent du grand lutmbre. et. quand les suiet>
[U elles traileiU s<.nt d un inlerèt aussi gênerai que len'iu-
I \ .)i.i riuN
•1 la >k
.1.111
ai>cnitnt ,i l.i • iil
se ii: . i Ml 1.1 i ,iu^c
1.11,1 Ji
L> I'
ILltlllcll
I. \ti-.M.i\im
ml iL'\cr>. LA- cl
jiiaiiiU-^lal h .I|~
liu i, I f\ cllki" l.i prilscc li
laiu U~ iL^llIl.a-. lc> plu-
fii.liK-s I f ilt^ii' Je \ iile.ir
iirç>
L> ii.itlircl
)litU|lk- il ■
; ItlKilt- ai.-
s.nilaill> lit
ir.
il . ,iii-> >.iiii\ lias
mil
p,,|.
1 11.1111-4.111 \
llk
IH
uiti : hiiiliU U
iiiiiai~~an
clr;
[111
vk 1 est
. l l.i -. i.i-ili-
a i|lli.->lh lil l)c.si.i
mU\ laucr
>1li;
l'.ll Cillos.lllt
aiit.iin i|iic ji
rcsllIkU
sil.k
> des l1k-iv1ii
et au-v "list.!
.uii.iiii jiMiir îcu
luilc ll'>lll
iMiiiiaiti c au
Icciciir
aiLiiiL-i jK-iiNciil pretcii
tllc ^1 les pinpi >sces
< est .lillsi i|lle 1.1 \ ulg
ET Tl;|\N>l-OHMH.MI'
elles \l\.lllts
.lie
M
IIH cet a\ ailt.me llieuie >le\ lelU
se prête lit
le
eiueiits .laiieeieiix.
i\ rajies pupiil.nies tr.u-
111 sièe'le dellUel" p,l
1 llIlluelKe elli n m
lieiiie sur toule- k
.laie, ik
ssihle au pu
ieellerelles
\ aient l. 'ri
hh
.1..-
. seleiiees 11
.-lit
ilurelles ,1 hieiltul
.es ik pr. i.ilK lu .11^
liaeiiue un but très
-le rexttir .1 lllle l..lllle l.ulleuieut
esj.illt 1 .lppllL,lt|..ll pr.ltl.|Ue peut
itre sti pr..piise iie rep.ui.iie .i un
lit liuiiKiiii, 1 aspir.iti.ui 1. le. lie \ers
ll.iut lillteiesse cette seii.iule eale
.- elltrej lI.IIIs le ea. Ire Je ll.isetlkles
•e partut aisee : 1111 ..ll\rai;e pi.pu-
.ine l'.i|-|iie laeileiiieilt s.Uslss.ihle et
les resiilt.its Jes seieliees
il, e est-a-Jire t..iieliaiit aux
.\ première \iie, la rep.u
lairi .l.'ii présenter, s^uis
_attr,i\aiite pour le piiblu
naturelles. ilïrant un iiitt;r :ltie'nera
pr.iilemes .pil s liiipi .sent le plus .i 1 .iltelltl. .il .lu penseur.
.■lice. Il
leetelir
st IK
.;th..aes.
1rs. aii.'c dilKultes .|ue eeii.\-ei ..lit
les ipl ils I .lit du \ .uiiere.
Kt
iiiat^e aii\ sa\aiHs .pie p..ur laii'e
rtitu.le ..u .le pr..i\ibiliti
liire uc t e
iltats ..bt
en Us et
nsation
.lenees.i t.'Uj.
Ll\ kl.-. i.E \i i.i..\r:s.\tion
ei.iuprisc
lU.litres incc.nteste-h du genre, te
.1 lENtlHol E
Hiimbi.klt. les .\rag.
■ u Ha.
-Ké
Hcrtrund, k-s'lyndall, les (ilaiidc Hhnard. les Helia
les X'uehiiW et antres Malhei
urcuseiii ..-m, t. .lis les naturauste-
ne se s. .lit l>as ret
.le inilitaïu. Les II
IlK.deies. |1
de
11. mines de sjieiiee ne p.. u\. lient ni
ne devaient rester spcetatenrs indiljlerents des lutter pi.li
tlijUcs. si.eiales. rellglellse-
ik.i-s le
Mits. Armes
exerces a la uuerri
.-ntri
sa\ aiit- naturalisies et. lient en luesiiie
ee ti.ute 1 aut. .rite s. .uliaitabl.
lutte
M
ais tans ne se s. .in p.ls clUelUes des scU
une la science mettait a leur
di
ispi.s
.ini
bat. hcauci.up <.nt -plus d'une lois reci.uru a des ariue
iiii n avaient rien de vraiment scii-iitituiu
lu.ltz.
.e Xl\ sle
lel
Ut surt. .ut
t phili.s .pliu|iies. qui di\
leurs cnnaissances pi.sitive-
igni.rance et le inellsi.ni;e. le
de
lie-
l'e-si .urce-
itn.n
1).
Uls
larde
eur
du
l);
.u\ rages pi.jnilaires ne se prêtent guùre a une .irgumeiitati
riui.ureiisemeiit eiicliainee
ireseiltes ail
I)
un autre Cite, p.irnii
les laits
uiblii
.i.iniile sclentltiuiiemeiit
incntestables. le pri.lane n'est pa^ en état de distinguer
Ceux uni méritent réellement ti.llte ck-éailCe de
dans rimaginaticn plus ..u m..ins di
SI. lit destines a tr..iiiper un lecteur
Itet ae 1
i cmpeteiice necessai
■a\ants ii ..ut (.as résiste a
luti.rite .pu s att.icli.iit a leur situcitii.n
1
ilée dl
deu
al
xuui.eL
ep..ur\ u
u \ ulgarisaleur.
ia maluntj
Da
.nditiuns
l.i lentaiii.n d .ibuser de
S..U-. eut. Us
..lit eudi.rilU leur cllsCleUCe sclelUltuiUe eu se perslLiiiani
.pie li.u tes les armes' étaient bi. Il 11 es pi.iir lutter entre 1 igu..
raiice et la siiperstiti. .il. et qu un iecru p..pul.iire exueail
luciiie nue
.eit.une liberté d allur^:, iu.idnussible dans k
.11'. rages
Nat
llrellelllelU. entre dell.X anteii
lies 1
s re)H.iises a ti.iites les ipiesti^.ns .|ui irrite ut la curi
site liiim.iuie, t. m.
>l'
uitr
Uii.ile .1 chique instant
les l.i
.1 scieiue i.u tndi.
Dh <;
a. lin 1 un ii.uriiit ti.ii-
limiti
.Ik
')0
TI,)N IT 'l■K\^^^')KMliMl•:
n ilc|
ia>M.r,
ihl
lu inciuid ^iir
raie i|UL' le- ju
.k.l.
.Ilrantac>>-nxiis pi'
:\ luiaiiUiairc?
icinciit a\ "11'
aitiii.'
lci.iiU\ tr
liiKiiic |ilii>ae iMulciiiiui
11 iiiiel.iiic \ ulgari>alc-ur ilci
i|Lie 1 ..péi-ati"!!
Je 1
llll^ ijU
avci' ijUclle
une act'.ini
>liiiplicile
de la uatuii
R.1
I..IK
iIlcIli'MUlU
eliiellt; ll> }
inexpliq
nier un autre i
l.lKiUe 111' iin =
eiumilé
illelli
'iil's'
ailli e
mené.
liarisaleur lui iiieiiie.
.le L-e .|U e>t pL-luellK
ir.)ii\ er ^l lacileiiieiit
piiblK- .pie le? ?a\anl
iiuestinii .jbïcurc;
explique lui e>l .1 liab
I
Il bUCcer- IhUl ni"l
a liiiu
apurant i|U il
i.i'i^anuiiie. >t
ciiiniKiue la plu>
e^lairLi 1
arbre gi.
.le 11
ll'.Hl.lUL
U'in> qui. .tepul? K
jieiiple IKitie gliilie d
lie li*-te
jlellUll.lUe
leiuill? poïMli
A),,ute-l lin r
>..eiéte. luM»
le, M.
l'iitie un ■savant tiui, vie
iinera la préle-
vant
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lh'l.lhilllll> ", e
t l,,lll et .pleUH'
Iule he^lle II
> a uuerir t.ulte^
t un autre
eiire. il e^^t
élu i>eeiKi >
.harlatan .le bure.
•> ni.llaille-i. reelk-
lueiiêein
are
h.iu
ae 1
itiexé,
, f;en?
,pril n e?t rien
uule admirent
Hé dîevoile un des pliis(;ran
,t> iu\>
lenveiit reeounailre i|:U au
able ..n 11 a lait que snb=ti-
t.uil aii>5
i inèiMnprelien?ihle
lent ll> que ee relUl
ilaceuieiit
;-ule eause I m
telligencedn vul
, e>t pas
bien len
.lu
illU'l',
it 1
e proce»
U>p>ycllique
d..nt il vioit
s^plitati..n l.ii pareil ca?. ilMillilau
>c diHinellt P'
lire dant le pbelliUnene
m an
tude indlllerente.
ndre dwit ech.ur a tel autre
Ineuler nue
a ete
id.leleUX.
cret Je l.i erea
tlull du inwlKle
t le. lit ausM vlair pi.iir
r lui que 1.1 re.utu.n
inentaire :
ne mm se
nleinellt il
iiume. maisi|n
il a même construit >.
dcH'iiiibrant les nu
imitil' et ruduneiit.iire
lllers de ge
Kathvbius
.ni
uran
ibli.
t d
es niilluins
d années
extasier sur
de
seinbl.ihl
;t a s lin
liner devant le génie qui lésa
st-ec bien là popnlar
i.i .,i.iuine des ccuiiialssances
ut a
i,i coiiiliiiiiiiqii^ ii'ie m
1 sClellee.
de 1.1
iillitnde
laits
n\RKs i)i; vri.uvKi-. vIid:. muxtu ioie
.mis l'au
sses, lés
aiitri
ihisti
uiiiesi.Lule pure iu\enti..n.
rsque, au lieii wl explieatn uis \ raies
l.us.,
1111 las de. 1111 .i~ inciiipretieiisible
que lilldlgeUie .le l.l |iellsee et l
ilgarisatcur lie ee genre est-il en mesure de d
raïue. de déraciner l.l supeistithm et d
1.1
pas a douter q ,i
tidiisne peut être que negati\e l..-sd(ietrin
.1 de tel- pn^eede.- .le lutte se J
Icingiie tuiite âetii.n sur les mte
premier eiltr.lliielUein. le publie
qll un iul .1 pr^^elite
le inas.ji
n.mpreii.l h.t ..u i.ird 1 iii.anite.
ig ei epiiieux eheMuiu qu
attirer k
. e~p.nt~ et
|lle le plu~ ptiit p.ls en a\ aill représente un etTurt
ll.|lk
-t .|Ue
Ulll.ll-s.illve-.
114.
■ Il .le\ erse siir la tiUlle
'U\ eut ne ..ouvrent
qui ■
a pau\ rete
laits
r
spirer
lissiper 1 II- Un-
ie respect .le
^es^|Ul rec uireu!
créditent et per.lellt a : i
Ke
.1111 .le
detiil
de la
de-
.VstelUes
a dont ;1
iiieiie au \ r.ii - i\ .
retenir. C es seulement a 1.1 Cuiullt!
.■leiiti
soit asseï soli.lel
1.1 cb.iiiie de~
lient s, .ude 1
e pour resisier aux .iss.ijits de l.i vriti.|Ue. Si 1 .
.ut
ui.ilure .1 ine\ itabie~ 1.
il
.iptl\ er ioUiitelups les mas
|U elle .lolllle .
l.l iettc lir ,1
.mille (losllll soit.
i\\ lelll .1
c repoiulre .1 l.l .piest^oll \
oin r.iue po[...!laire"d iiisti
par s. .11 1110, le .1 expo-ni.
ii.iti r
la
inil"e
.aire que t. .Ut
<t IK
;n elïet, urelul.lble
pris maïuteiiaul coinnieiit. a notre a.
see |.
.lolt.
11. lut Si
Is.lble
1111 tra'.ail
.(.7 III III.
\ ulgaris.iie.ur. .
p.ire. .ie\r,l -e
e dans
.1 in'ih'itr s,
icilt,
a.li
esse .1 un p
.Il
ibllc iiisulli-imuiellt pre
ri
Conclusions
.a\aiil-- .k
b'"'cssl<
rormiilee
une II.
pottu-e lemer.iire. Uiie c
risiiiiee indiiil r.ircnieiit
disti
.piollK
th
ru.tellt el
s il a\aii alf.iire a des
ails un oir.rage spécial,
iiieciure plus ou moins
dit, cap.iblc
lecteur cru
el l.l
tlK
il'
1(12
LUT13N ET IKASSKORMIîMK
loi. 11 n en t>t iia> aiii
M.ii\ ciit. le IcctLiir s a
brillante, a la cwnipara
titi> pwiir le li.nJ nié
l'eu de pr.>bleine> e\
puib^ant que Lelui de >■ >
animal i ii deli'ir? du
ainsi ouvert a 1 aLtivit'
pr./posee inllue priilm
la vie et de 1 univers,
ijuc, si beau^uup de :
reï<uidre la quebtion.
Ictroit terrain de 1 ana
ortre de dltlieulleb qua
ments rigoureusement
reLijurir a des raisons
ment étranger a la sc
dans les livres populaires l.a, trop
.tache de prelerence a llivpotluse
son ingénieuse, et les prend voloii-
ic da la doctrine qu on Un expose.
;illcnt chez 1 homme un intérêt aussi
1 origine et de sa place dans le règne
vaste champ d'investigation qui est
du savant naturaliste, 1 e\plication
dénient sur t.uile la conception de
Je» liiis. il est aisé de comprendre
vantb eminents se sont attaches a
t(]Us 11 ont pas su se maintenir sur
Vse exacte, plus la solution a trouver
nd on ne la demande qu aux argu-
scientihciues, plus on est tente de
irises dans un ordre d idées tiitale-
ce. I
L-len
CllAI'I IKK IV
GRANDEUR ET DÉCADENCE DU DARWINISME
^ 1. — \.A l'SVl Ihil.doIK m:s l';Viil.rTli>N'Xl'sTE>.
Au .^lu-euiu d histoire naturelle, la l-'r,ince vient d'elcver
un monument a l.amarck. auteur de la I' lul,'<>fhic -nol,,-
iin/ii.'. Presque en même tempsi l'.Vngleterre célébr.iit a
(^ambridi^e le centenaire de la naissance de Darwin, qui
C(uncidail ,i\ec le cinquantenaire de la publication de son
On\aii ,./.S/ii\ /.■.>. Le monde savtuit olticiel a pris une pan
large, bien qu'inégale, à ces deu^ têtes de la science Des
discours élogieiu. enthousiastes ûaéme. ont été prononces,
i Paris et ,i (^.imbridge. pour gljiritier les deux créateurs
des théories modernes de l'évolullion et du translormisme.
I.e public. profane, qui suit d'un >eil distrait les événe-
ments scienlitiques et ne les juie guère que sur les appa-
rences, ne se doutait pas q\ie ceb fêtes retentissantes, tout
en ren.iant un hommage mente il deux nobles savants, qui
ont consacré toute une vie dt travail et de lutte au
triomphe de ce qu'ils crovaient ^incerement être la vérité.
n'étaient en réalité que des tunjrailles soleiuieiles laiic- .
leurs doctrines expirantes. Pour! les initiés, ces pompeux
discours, qui glcjriliaient si éloquemmeiit l.amarck et
Darwin, sonnaient ccuiime le t;his tuuebre .les tlieories de
la descendance, lis n'ignoraient jpas que ces honneurs tar-
difs, l.amarck ne les devait qu"à 1 écroulement des doctrines
darwiniennes. Les évolutionui:^îes aux abois 1 élevaient
iiiaiiitcn.in! au piria^ le jifircc- i]llc
bri^t-t■ Lll IIli il--'t-,iU\ biillr
|)i.> le .Ichul. en clf
s Hl TtKAN-^l O^Ml^M^:
Li'iu
■lie lu
h 1
)lce> «.ic 1
(.ir. 1er.
le maille lieii
mat
ial
I nui
e, eiait un par i>aii
e>Iieeeb
M
alfii'
aiipui
série >le -li-Lll^ic
il> llleinij
:lle >IK
• m h
hlantes lie m
?es erreurs.
OUI autre
tut
-i Je la théorie
>ar\\ 111. .\|)reb un trioii
( h- 111 il:
luarl lie
-/ .s>.
tjttc llieiiric a ilumuie |>cn.laiit un
illiclit inlellei-tilcl -lu iniHuie i.l\i
lise
ippusitic.n tu
biol..tiistes .le 1 éjKiqi
.\lilne lAiwarils. (.lauile
■ 1 autres, à eause île la
a lise ne
lllelllales et
tangibles, lut tantôt tr
Unn iléiiaiiillcUse pou
il a:l
loul
Itïole
surtout p.ir
le IJ
iliott, ijui preihait un
lentlluille \ en, ut il
nivsteres
;le
ex.iCtes. ehli lill p. Il" les j.
s. lient lie fuiiil en emu
le
iblic nétail on
.isille une tneiMle
Il iriiK
^ssibK
Tiilole
il.
p.ar eux selait
râleurs
la .l.ictr
le l.aniarek. liaiis
ir> U\ es selentlll.|Ucs lie lep.Ulilait
ir.ilunileur
il.' Kl
on. lut \ l\ einciit
iinbatlue
ill
:oinine s.iii illuslre prcilce-es-
.Uiaïueu lie la ...ilstauee .les
.le (leiiiTrov Saiiit-Hilaire et apris
rablc
.\ca.le
ile-
Ic poids lies pre
u\es (tcea-
iilie s.iiis
lutii/iiiii^te
appantliiu
e a rencontre
e, \oll H.ler.
lie 1
li. (^uatrefau
iblcbs
laruli
e ses e.
i p.irl .les uraiiils
ùi relis. .\i;assi/.
cl be,iue..up
II.Jlls iDllll.l
.te lie preuves sèieiitilii[iies
ve, tantôt tr..p imii.le i.u
elti
1..
lutter
nlre
,1 était
Il ,1c 1.1
liapilis \ Il
lf;,irisateiirs
lri.<
hiiehr.er. Ku
\,,i;l et \h
:l ,11-hl
lu nue n.piivi
Hall
airer le iiuuule e
1 ereatiiui.
Hab
nue ileiiui
t de .leM.ll
le
.'llIlU
c ilu
eliippelllellt .les scleu.
• iléccun ertes ,jui b.<ule\
.luilthUls in.llerielles Je
i!»irt
e a aeeue
tr.,p
ntiliiilie p.ir.ii?
•aiit
prits
llir ,ivee
^plup
itll.
Ultl\ es.
iK \M.l l"k VA l.Ki \1jKS. E
V l..\K\Vl\l>Ml
let.
.-1 pri.b
,1 perspective
e la li.riuatH
ir le créateur
l-.le^l
,1 être ilélivre de la reli^^iwii et
'elle impose
a la libre uiaiiileslatii.n
.les p.issl(.n~ hiiui.llues. de
cvaietil li.rcemeiit entraîner
dliésiiui du vulii.iire fg-ni'iant,
h
lignée dancetres. peu se.iuis.uH- \
reiin.nt.int a des milliers
Apres avilir résiste pé
de
léndanl une \ lut;
aijues iustitiec-
iiine eut letr.ingi
destinée de
p.irtisaiis
De
hyp
ses ptus zèles \
•relie des pins aptes
prietes aci|uises peiiil.iut l.i lutte p'
;A la transuibsi
les pirincipal
.Isslses
-iH
lie
r
itiiiii tr.insl..nniste.
H.
inetapin sicien .luglais
iiiiuvelle c
lUceptl
Ii.nde lient
d'une éi
aetruire le premier île
i..illplete unp..sslblllte
supérieurs. i laide de la seleètlc.n nii
ii.ste Ji.ui ini.iiis p.issiiiune.
\ du nii.iide i.ruaniiii
.le l'iiiiri ers détrôné,
de l:l
de
uitrainte morale
is coliviiitlscs et
.•1
tr..\ .m
em-
;iu-elre, m. Us
^faïue d'années
au.v
la Ji.ctriue darwi
mber SI lU
s les c.
Up'
de
lire
.:ih.n natu
ii.iu héréditaire des pi
eMstence
h.rinaieiil
jtait ediliee la
th.
rbert ^i
k
lapotre Iti plus eiUluiU^i.iste de la
li.ii iiuiiidiale di n.irwiu. s'est charge de
de démontrer l.i
olutii.n des i.rgaiiisme^
turelle '. In .iiitre dari\ i-
"U isie
w
.uiiiit a une aii.il\si
nliiiue dclt.iille
le'- talts essentiels
sur les.|ucls ..n s .ippu\ait p.
tr,iusmissi..n heredit.iire des
aciiuises iieiid.int la \l
ur s.'.Ueiur la
pn.p
lete
lie unîtes
deimuitrei" .|Ue ce;
des récits in\ entes
■. .ileiir scielitlli.iue
1. ecr.uilemeilt d
ét.iil sullis.inl p.iur reinerser
irg.ini.iiies
s et de
.iblllte d une
i.irticularite;
le des ..rg.ilii-lUe- Il p.UiUll .llUs! a
prétendus laits ne rep..s.lleut que slU
av.int a peu pri
tes de llMlirrices
es bas
lypiith.
I.irw inisme
il. me
l.iruies
ïi
.a^
[ .irul en • meiiic Icnij.-
•....Uirh^hiii /uOilw.ilil
k:u jlleuiau,
a. M.Ù
.ftet. s.llis ti .lllsinissl..ll
(:,:utciu(«'l:irr Km
lu .tllie i. t'iui.l.u.^luhki
■2i)(' Évor.irTl
licicdit.iirc i-ic> piMiiriét
cette h^piithc^e peidai
pliiiuc-r 1 cvidiithin Al
r.HMiii ~iir Ce puiiit que
l;i dcictrme Je l.:iiii,irct
.iJaptcs au milieu am
éJilié uue U'juvelle t
Cellules gerniinatiN es ;
ration en geiieratiiui :
celle de 1 embuitenienl
manière absolue ti.ute
priétés acquises pcudai
de la sélectinn naturel
principal facteur dévc
tait la possibilité Jun
(iriétés ac.|uises
t-'.muie si les eliurts
Darwin n'eussent pas é
des di ■ctrines du trai
Haeckel. leur plus 1^
longue vie de labeur à
le ridicule, en jiiiussai
Conséquences JUsqu à
i. illustre /ooloniste
Contribué au succès
'■- // //h J.I/\,ijU.IJI I
Huxle\- s'est réalisée a\
tloll reste-telle encore
l.a réponse dépend Ji
nîot. Si re\oluih)n
espèces ! homme in
)S FT TKANsI OKMisMK
•s acquises par la sélecti» ui naturelle,
toute \aleur comme moven d'cx-
issi M. W'eistnann a-l-il insisté avec
sa démonstration ruinait étialeincnt
, basét sur la survivance des mieux
liant Mien plus. \\. W'eismann a
eoric de l'hérédité par l.i v.iie de
,./;;/ ,;,-//, 7/1 se transmettant de i;ene-
cette théorie, qui rappelle un peu
. imaginée par Hounet. exclut d tme
possibilité de transmission des pro-
t la vie'. D'autre p.irt, la disparition
e pri\e la thèse darw inienne de son
lution. et cela même si l'on admet
; transmission héréditaire des pro-
: t-;lc à .iju..^ Wci.siii.ii
de ces. deux partisans déterminés de
é suffisants pour démontrer le néant
isformisme et de la descendance,
natiqiie champion, a empiové sa
faire sombrer 1 e\ olutionnisme d.ms
t avec une ardeur «sans pareille ses
'absurde i \ . ur ch \
Huxley, dont la haute autorité a tant
u darwinisme, déclarait un puir ;
piil/i<<i< li.is si.ip/ .r.,.n\ ii-iilnth'ii
il w.is -. „ 1, éveiitu-ilité prévue par
ant la tin du siècle dernier. I 'evolu-
deboiit?
u sens que I on Veut attribuer à ce
impliquant la traiislormatioii des
Us . prétend à i honneur d'être un
i.K\MirrK ET l)i:i VHHSCF lif liAK\VtMs\n. :^ |-
s\ sterne scieiitilique. comme l'ont voulu [..imarck ei
Darwin, la réponse ne saurait être que négative. " In
pareil svstème, .q>puve^sur Je paj'eilles bases, peut amuser
rimagination d un poète, .i ditj (aivier, en parlant de
l'u'uvrc de i.am.uck; un métaphysicien peut en dériver
toute uue génération de système^, mais il ne peut soutenir
l'ex.imcn de ciiiicouque a jamais Jisseque une main, un vis-
cère ou -implement une plume +
(domine on le verra plus bas. les paroles Je t.uviei
e lUstesse aux sVstellies Je
/i-.< /.•.> //ii-.'/-/'c'.v //•.M^>^"-
peuveiU s applu|uer .i\ ce .lutant Je
l.amarck et de Darw i.ii ,/« .) /••; ,
iiiish> /"-.■.w/ï/i'.v i7 .( iiiiir. Quelle que Soit la vihur indi-
viduelle Je leurs auteurs, ces théi'ries ne seront i.imais .lutre
chose que les projuit- plus oii iiioin- heureux Je l'imai;!-
nation. ou Je la spéculation pure,
l'our i'ou» oir soutenir ses prête itious scientitiques. ! e\ o-
lutiou Je\ rait se b.iser sur Jes preu' es tirées Je notre connais-
sance sensorielle, la connaissance spirituelle, même .tiJée
par 1 iniiiition ueni.ile. ne sauraii Joniier naissance à une
science exacte, qu.iud ses Joimée^ initiales, iruau nioiu~ -e-
JéJuctions ne peuieilt être souÈiises .i lépreu\e expéri-
mentale Jes sens ( Vest une pure aberration p-\chique que
de \ouloir louder une science naturelle >ur de> armiuicnt-
et non sur des preuves sensibles i La dialectique pure peut
sutfire au métaphysicien: elle né suffit pas au liaturaliste
( 'r. I..iinarck et Darw in, Jan^ leurs teiit.iti» e^ de lournir une
explication naturelle de 1 origine du mi/ude organique,
n ont pu accumuler. 1 un et 1 autr^. que des arguments plus
ou nioius ingénieux, s.ius i.un^is apporter de preu- e-
De\ ant 1 immensité du problème à résoudre. Iesi>bser\ ati uis
recueillies sur des plantes et J
même que toutes les décoU\ e
es animaux existants, de
tes paléoutologiques et
anthriqiidogiques. ne sauraient l^oustituer 1 ombre dune
preu\e rigoureusement scientiti»|ue. même si ces decou-
vertes ne témoignaient p.is coiltre la thèse qu on xeiit
I
..iciiii/iiticr.
ltliil)IU~lc
•lent
cl iiiaino
\c>,\
c llcljic.
c\.int;rati()ii> iiieiiie>, il^ rciuli|nt leurs [
iii-olublL-
ir.uisloriiUMne cl u Jc^Leiuiance cngafie-
iir la.|iu-l
Da
uiclaphi^iLiLiis
.urriiiit )
lie 11
IRsf >Lltl
iuilii|Uf. I-Ji clfct. i)..iir etrt
'iir cxpliijucr un tro
it-nicnt clal)li>: 2" N
^raui
layranic a\cc kie> lait? .'éiiéraltnicnl recunnii
par sa nature même jniiiviur titre
- un a\enir plus
L-»aH'e kÏ insister sui
l?tc de Da
selltielk
r\\ in ne re
' A\ec L-eltl
auteur ùe 1
I iu\ rafie ;
îeetufllcs.
' 1 .lUl luuniv
attnliue uiK
ne.xplieahles i[u a 1 exp
epiiUssera ma théorie
jUe ses ei mtra.IlL leurs ^
eXlllleatlun .le liiUs
41
ibre
tll
le laits. '< ./
-]a être suiiisamineiit
iaute de s apiuiyer
i>luti.i
eiulre
J.. étrilles lie
i ureliieiit spirituel
N ET TlKANsi OkMlSMK
i n arn\ e que trop s.uucnt
a\ ee ilfs milliers et même 1
.k
eiilants avec
reiulciil pa
pas ciinipte ijne. p.ir ecs
ircibl
enies a |aiiiai->
liaus la 1 wie
'ar la laule Je ses aiuuilleiir-
■inanJs
miais p
lepuls
Hneli
|iis>iu a
retendre lueine au titre île
,labie
ut reilU'Iir truis cumiiti
is ; 1
ib
le laits iiiLi .nlesta-
pas ^e triUlN er en
.ntr iJieticui
et
ntin
déx el
iilinee e
t Jeliii Ullree
u mollis rappriie'lie
■st-il
Ce point ,|
Ise aileillle
Lie
la doctni
tr.
trauslor-
olulitKUls
sincérité nai\e i|ui lut sa priiKipale
Oni'i/i ol .S/ii . u> le
oiinait lui-
1* le a
entier chapitre Je
e «[ui. A après
lys jirande [
dis
m
inlel-
lorte
au\ anticulti.s
icatiiu> d un certain nombre
,1c tai
Autrement dtl,
lit
1).
ir'.''. m coii
slde
ni mal loïKlesa exijie
a une tlicorie
heiloinelies auxquels el
e ne s al
liquant qt
'I.IIH:
Il H III ni r 1
/ /.
.-rlaiii
parait
scitntiiliuue.
ur
la :ci uinaissance s
ellsi U'ielk
1 el dm iraush.rmisme peu\ eut-elle
Iles
hl
s\ stell.e
uni uss.ince
re lUlt cU
■ K\Mil;lK ET 1>1;> \:.l M E l.l HAKWtStsME
reaiile a
th
c .thèse vie
;tion que
la seleclioiii n.iturv
l)ar\\ 111 et) ses siK
1 auk
esseiirs essaient
vl expliquer, par la \(.ie naturelle
or>;aiiuiue sur notre planète
dr. 1.
le ph
plus inilispeiisal
la
•elle
l..ilrine vie la sélection nature
rt SCS disciples lui ont vh.ilUee,
■lus élémentaires de la lot;UiUe
Il lorination vin tu.
.nde
: h.uique est l oU
lil
ssance spirituelle, et li
lUs la U-rme vpie Darw in
he Contre les rcules le-
st vie la théorie
ji>nomi.iiie
le principe mal vi.mpris .le la Unie pour 1 exisîeiKe. .j
Darwillsest iiis|iii e vlails s,,ii |i\ pojhese de l.l seleCtloP. nalu-
11e. AltrL
Wall
4'
Uslru sit en meiué leiup-
Darw in une the
del
luli.u» ,1
ment loiivlee snr l.i sdevliou n.iluelie. racnle .\\\ \\ eut l.l
Jette selcv tloil .
UsUtier
lu 1 oUM.Ège vie .Malthus Le
ars. et Ils éleveurs obtienne
dv
ibl
i.inireut sultis.mts aux
lapi
luati.'ii vl un
lorm.Hioii vin nioïKle
.ruani.iue
.trolle
ïir.licsse extrême, elinl
dai
lantes et
de tU
urs et
.11 peut
lies, ble
" i
.11 se trou\ e
..isemenls hybrides
(Juiin metaph\sicieii. vi
uitait
.ur Icvpie
une ulee uelier.ile pe
l,.ul un s\ tenie m .11
.liai.
■ Iv Ise
i.iiurelle ,i la creatnui
de touK
.q.puv.int sur
.Ust.ltei
,1 '. Ile ql
.lu.lloi;lcs a'v ec
.. vlaas >.elle de
iluellte vie I llol tic ulteur oU vie
l.icteur devisil 11 se \ erra donc
vie recourir a une
vlirevlion iiul>osee
iiiter'. ciitioii
>.ir l^ieu. p.ir
uialltuisieiuie
l">asee sur
peu prés uleiltU|Ue.
.s vie Ik
. haud
e. après
result.ils v|Ue les horti
la sel
..lioii irliii-
ux e\ olutionnistes polir
ible principe a la traus-
loin entier 1. i.iec et, lit
ioIUlees les Inultes très
obtenir vies variétés de
restreintes
de l.l sîer;
ibstravlioU
.11 siiltire p.
d'applivpie!
.es U
rnies
:alit
1.; iUlvpies.
l.l sélection .irtlticielle. il
riiiére. l.l direcîi..n intel-
levciir inler, '.eiil comme
Iwe. par l.l ioi;ivjUe uiemé
vi ordre supeneiir. a une
le l'reateur. >.u au irc^ius
par 1 11
,ahlc
■. c-rr.i la |ir<.'ii\ c dan
le-, 1..I
I atiDii
1
s iiK-luttahlc-- de
aIJlal^
1k1.
Plier les merveilleuses
fiirniatioii des diverse:
avec les \ertc-nrcs iiilérieurs et même
iiiiiqii, nu lit aux hasaro
Jiiiiir la pr. icreatiuii 1 1
erreur par
le s,
imayuic un svstcmc ha
luîtes d une télé sans
tr.iiK sans extrémités
-ans triiiit
>ii
iras allwnm; tnit seul, lui siitlisaienl
p>iur c\pli.|uer la créa
inn d
avait-il 1 e\>.iis<
1 hi iiniiii'.
diun
phil.
,pl.
•atirt
d Arist.itt
ur la t
I. Hv.d
iition creatri
cotes la lantaisic d v.
sans 1 inter\ entioii
nieine la raismi n inter\
creatK/ii ("
ni"dcrnisé
s\stcme
;t de\el.
>p si)U\ dit iiiani|uan
Mat,
;lite
■A d
esliiiiait
larait qu aucune
IV : mais Hérucli
n'iinénes et des cliDscs (^he/ li
et les cli(/ses ne sont ni
melllc
le
ON ET TR \NSIORMlsME
Hcrl
-r (]ettc
lert .spence
linalite des plieii
lirectKiii. il
iilllelles et
lans
a criiissance I ir^anujue c
tdel
Igene-
\iendrait a un phili)S(.phe d'attri
ipératioiis cpi implii|uciit une trans
espèces, une tiliatii.ii de lin
le
iii\ cr
tébi
le la lutte
serait d aillein>
Hmpédiicle
P'/iir la nijurriture i>u
pi'eser'
une telle
un
sur le h
rd Les
lui aussi, axait
rcuciinlres tur-
'irps a\ ec un cc.i
:i\ec. une jambe
ill
is sans tête.
1111
se nrumeiiait
u monde
iriiaiiU|ue
F-au
.■teineiit 1 anatoinie
es. eux. Connaissent hRii la cruelle
mtaisie
di;
locl
e .Son '
;son rappelle par certains
é\ oluth .11 «aussi se nasse
( d'éateii
lllle
intell
luence siiiie-
Xi I
esprit ni
tilii|ues quelconque
leniient dans les piicuoiiiénes de la
'< Tout Coule « d Heraclite.
pjie ilaiis un langage tics heau. i
unplct
cillent
Iirecisloii e
lin peu
ll.Us
t de
rès spiritiicllenieiit l.i t.iutaisie
es adeptes de Heraclite t-.-J; '.'i
IlsCllssl.dl Sérieuse 11 est
ihle
msidérait le f
eu Comme
u cl il .idiuettait 1.1
^lit.'
crgsoii. par
e les produits de
des uiaisous ,,'iiL-iil.
esprit
s plié-
ntre. les faits
illusions des
st-a-dire
: \M>El « l.r
.l.C.\Lil-.M E
1>U nVKWlSIsMK
changent
chanii
.iistaïunicu
t. oU pluljol Un tout 1 illusion .U
le b
au st\ ;e
e Kcrgscjn ci
ulc également axei.
une aisance aduurablc c
t pi
luit une imprcss
asiderablc. Ou peut les coiupriendrc
ion esthétique
d.llls U-
a \olonte
sens les plus opposes ou plu
lutot avoir 1 illusion
de 1
es coui-
pret
lolit cil il V CoUipi
^ct ou\ r.iiie ; c est la
donné par Voltaire a
;nant rîeii. l-eci cxpliqu
. i luetaphvsiqiie d.ni-
elniot
Au début. Cdiarlcs Uarwiu etail très el
,e de
la sélection naturelle c
due
i.\- hasards de la lutte
1 existeiic
S.i
the
lUe en e
nlier de
.11 s;r.nid-pe
;\(ilUtlon. il
la te
U.llt
•!rasine l)ar\viuT"i|Ui.
nous
.UtoUs p
.i\lait
sieurs i.UN rages.
,pp,
i.lUs \
S il t'arde le silellce sur cette s>,uri
taïui-
lial
e. c est sans
en vers médiocre?
une a cause d
donné
le ka tonne ridicule eie poet
Or. c
Certc
de
.r ct.nl un crovant
la lutte polir
existence
ie par Éra •nie Darw m a ■
■ u sVslellie
:\ un tinalisle couxaincu.
ne lui était pas inconnue
en principe, et au beso
verra plus loin .Mais, axant tou
des dllTereiits cliangenieii.s qi
V aîx ait
t] il cherchait le /-/(/et la //'/
il Récrivait
l.orsqii il publi.i
it de
■ vage
d étude
heagk
(,h,i
. Darxx m. lui aussi, raisonnait en vrai tinaliste.
bien que le mot teleolog
le lui lut
édition lie
admettre 1
\Or
,/c.< H>pc
interx elltlou
lu crea;eur Ce nesl eiue dans les
iitioiis sUix. iules q
u u V renonce
ijue
Pli oiix rage
axait relie
■ litre
de nialeri.illsles .illeluands
de erands naturalistes
Sans
anses linales. nulle
lutioii
lecllolllle
iiieiii des espèces ne saurail être luiaguiee
l-à-dire une regre
traire, une dcgenerescen
ranéantisseineiit délinitil serai
s probahilites
..st applica
bl
inconnu D.iiis la première
s. il u hésite même pas .r
api
jS le sUcees
un cert.iiii iiouinrc
:r.iil a tort
l.llls
se Ils au
Au cou-
ssiou. et
icltuiéxit.ibles .\uciiu calcul
aux uioux eiiiell
is chaoti
( »n Ile
a..it
i).i>
iHii-ibit-
:t.U
pro^p.
I.t piii^. i. iiniiicnt Da
iiic^.uiKi lie Je 1.1 \ le :*
.1 illlIIlhlUe^ mIk-IiicIU I Ùl^ li!)i^ iiniiiiia
>i'.n ■le ii~ i. 'i^ aiiieiier
liwii nu nie -.la imiiule i
Dan- ie~ -t lelKe-- liio
"ll'k
le physloi.itil-te elltlcl
■ .l'Liaiie i|lle!.ll|ii|l.|ile. I
.|Ue i et . iT^ialie .1 une >l
ai>u
<pl il
i|Ui Miil pa~
ulipie lll>tallt
I" . e ; par luiiI
i le d^
hiit.
le pUl> -ull \ en
I 1',
lie I iiiterx entl'.n
par exellllilc. lill :
Il -era la
• ili>er\ e une >le\ lat
lie 1 é . wiull.iu .le I ellll'
.plei.|Ue llii ;n-trin J>ité t
I eiranue pell^cc ne lui
variétés puls-e être le r ;5ultat
IuImIu lU
r
au ile\ elc ippelllcllt
Il perteeti.iiiiieliiell
livliriiiali'
IllélUc.
iiitaireiiieiit pr
tiiiii liai
illlllie HUA en
I e\i
Aaient et iieii>aieiit la
ni
lllllme une eruel
tloli ,1e
Mendei.
Or
./,•> /:
cul. en i>r,.
nieiitalii.ii
1 étude
)N HT ÏV ^^^10RMISMl;
ihh
dailk
Ile le». illIlUelKei
<ilt eciiitaulell-es. taiu
. eit lias
will et--e> partisan- pell\ élit il
ai" le' lia-ard a\
ilKeptl' >ll
e> pllein illlelle> piirelnelll pll\ -K|lle
ible-.
■ Ute
ipp
lit efialelllellt le iliao- et la desIriK
iiirgaiïuiiie
liiiiii|iit-, aiieii
Ile recllerellê II
1 e..n>tatatii.ii de la tinalitc Q
end d élucider
part II irL'énieiit
iiaiK
e- Il iiietic ui- d un-
le la -uppM-itii.n
itinatiiiU deteriniiiee
Mubi
d.
ta
ip(>eliieiit d un eiiihr\ I ui.
le fu
■■/'-
111
liangelUellt
le
'iiuii. lit lui
-happe
in>tanlt il ii eii\i>afiera la pus-inilit
ird dail> le dediiubleluellt de 1 ci\ ule
ei|llellte5 S
IraiHb iiinatii ni- Mib>
tiMii 1 ails Ici
iriie'OSll?
de la I,
rniatiiiii cm
il;
ut d
lUe 1
i nu Ht "11
leiiee fatale Jaii
de
>|ll lin pel reetionilelllent de^l
.1 1111
llled
eri )^;atii wi au\
e ee genre l'ourrait prii\eiiir d une
te ; mai-, par »on e>->eiK
iirelle de\ait exeliire I liybridaln.
itlMll
.a eiKiire.
larw inisies
Allh5l
h5i lesex eneiiiellls leur lUit-il^
Il Six jans à peine après la [
ibh
iiii iinniie Augustin. (ieiir,u
lêurelise idée diiitrcidmr»
1
de 1 tivbridal
ion des plantes. Sun
xDiaH tr ia...\iiF.Si F.
hi' ii.iKwiNi^sir
slK
L-s lut
latant ; il reiis-i
t a piti
hure 1
t a déduire
esreglese. ■listantes, p(esipie
missicn heredit.iire
1
leiiielit ueiieral
hi-ieiirs variété-
s li.i-, de la traiis-
pr. 'v .iqué par le
larw inisiiie etai
t al'^rs -1 uraiid .lUe les belle- vle^i ■inerte
.\lenv
i.lsseielll uiapcr^-
.lies (^d II est i|iie quarante, ans
Us lar.
travaux
les étude
de .MeilV
lie .\1 (^..rreiv
destines a di
s atlir.i 1 attention sur le-
ir 1 hérédité.
.\|. de V
rXperielKe-
l hybridation ar ifieicUe Les .laruinistc-
aiix ,llv.!-. a
-IllUellUe cp
■ iiuai— aiit 1 luip'
ibilite
st ehere, à ! aiJe des the
se rclettcuta pre-elll sur le
lesdéeoii
dati
de-rdalltc
leur)
>erniettra. t-pereii
.1 di^i-triiie .pu lai
t d
eseCll
.Ire 1
.ispee'e
r.iinpants. des inseete- puants et
.M .\leli.linik..!f attribue une àiiije
obstilieiueill a l h..iiiuie
lieu
rellsclllelU,
vrais savaii s
pour le propre
le la sL-ienee. son ; a piinai- eue
.:inein ti ,lll-l"iUllste.
.le la SI
pelir .te
l anuois'
dllilUt^
■ iiiproiiiettre aw
.le . ant ee
ui .aie
1 Jlilriir
La m.
ihliiii'.-
.'lïet pour é\ lier
i|iles
telir
.le I ev.
luti.'nnisine .uit ami;ne
il ( >run'iu
./. •^ A.-/".-
lus suniatiirel
iMiis luiraeii
leu\
une ï
■ renav.int tout.
ries a repris
sue
Darw ui
de .Melldel. L hvl
it-il-
tesaui en.ir.iei
huiuaiiie
nrotozoaiie-
illiniorteile. .pi il reUl-.r
.|U1
■ UlMe
léris .le 1 entra'
tloii par
la tiiialite
le h.is.ird. .le Li
:t -urtout vie
■k désiunait a.ee tant .le
./.■ /.'»/.'
c:
est en
terveulion d 1 surnaturel .|ue
les lanati-
Uarv\
()
in a bilK-r k- Créa-
it pu être
érie de ha-ards se répétant pe
Newt.ui
iidaiit .
d un proio/oaire en un
r. rien il aura
la traiistorinatioii. p i;
s milliers d année-,
un ( .orneiUe I' u
UlUe.
1 esprit .le t eliii .[iii a eri
les maiiiiestati
les
.ioit et Ile \<
eut l.lluals
tur
dit
le " les lUiraèles, a'de)a
.ntradutioU .ivee les lois di.
iious sa\ <.iis
us ou vie- pr,..liUtl'.ns .le
Us iininuable- .ie li nature
eoiisidéree loiniue -urii.l
saint Augustin, ne sont pa-
la nature, iiiaisavee ce .pie
ff
Ht
I
3-'l
in ru
.[.11. .11 .p
ha
nte
peut i|Ue
•Dnteinplcr.
plus calantinc ^pi "ii pi
UCS L
reatioii-
même beuiKu
MKCes
IIP plus ai
se retusé
unitrmre
;d
aliMilumeiit ;
un
simple L
adeiias
an>
le un
IliiiUi
un cadran
snlairc en ui
en Llir
e autant lic la tra
/U niemc en ver
tébr
N'oUb ne sauriuns ini
p^yc
hol,
lies e\i)l
aeeablaiitc et
nir
K. E
leelsive
\ Mil
résiste aux
illieitatii
émettre s^n
i)inU)i
seulement en iS-^'i. au
lussessKill
de s.
es mcr\
.IceKla a M
lUinettre
;t a demrjiitrer la
jiii
sLientiiupics tpii
1. M. L.iati.h.ii(i. l'i
k [irotagoiiiM^ dune pjrei
r,.,,sel.
.luUul jciili.ini
llUU^ s-t •"
■1»
ui> \•ul^^ o.iikicij
!..
Ildl>:
dcL
L.iJcilhulg. d^ icluur
h.iulcs pi
■■' -'V-
s ET -i^KANbH'.>KMlsMl-:
prit
L-ertains naturalistes.
dans
:ateg.
DicU. wnc l.'i-, 1 iini\er-
speetateiir impuissan
t et désinte-
(^cst bien la conLeptu.n la
unag
lier
l\es sunt eue
,re plus li'giqi
cessibles
hie
itre entendement 11 est
mblét une 11
unutive. mai-'
iiice\<'ir e-
immeiit. par exemple
rait se transie irmer s)'
innée^. en une
iUtanemcnt.
JlllIltlX <
bien
:hriinoinè
isliirinatiun d une ase
|uelcoiu|ue
;ux Lunelure cette in
tre de Hreguet. » >U pe
ut
idi
e en h.imnie
tri.duetiMii a la
itiiinuis
rclutation
tes ipi en rappelant 41
de leurs doctrines lut
1. illustre savant avait longtemps
ui le pressaient
tes n
aturalistes i
autorisée sur le
iarw misiiic
(.
m de sa vie mais encore en pleine
illeuse:
facultés intellectuelles, ipl
il
je sysljème à une cr
iliauc minutieuse
plète inanité des prétendus princi
lui servent fi
1 Mdi cn.tii sa
,te bases
prononcer un
hinu».;
Hlc>l.lli. s'c^i I.Ullc
Uull et,
Cn^it
.lll>le~
Ihcsc nus .ip[
i,luJl>sCIUCl.l? vie 1 .
1j lunJcl(l.illi
l.l
seiiihice ,ipr
P'
ulc
Ju vlumi^lu Su
\\'illMni
l.(uJl-.s.tU
K.iiusdV
;ii r,,i|u"il pruuuuVJ voiimic ^"ii
r
i.hlu
Je>
aluinc
Ram-
U la Iran»
Uoii du radium eu
luM.,
cluim
tie.-.lau, diu ru^uurir
do paliiludiei liumi-
lllidlj halloU >ll"e .-a coll.ef
Mduii p-
1
ll.jli de Dieu avait pruv.
de Claude li-iu
,11 d.
l.KANlil-lK El iil c AUkXt.F. M' DVKWlSlsMi:
lUgemellt delinitil sur 1 e\ dlution.
i\ était mieux
iiualitié que le créateur
embrv
L-t mettre en lumière 1 eMsleilcc des
dogi
le iiioaerne. i|tii ,1 su
lies dans
lollicules de (.ra.if des inaiiu^iitèr
^oii oiurage
uit, << ruist
luiL.iikrlii
(Ure du developpi
It de
animaux *
r
JnJilr d.r VJ)ni\
.-ja.
par son titre seul, a lUiel
'Oint
M'
ditïeraiellt des idc
V iduiue tut Couronne p.ir
s transtormistes : le premier
demie des sciences
rapp:
rt de (
.u\ 1er. en i s; i
nd.iiH l'Uis
ans.
reehefches
1S14 a 1S7I1
■ n baer. p.
aris.
iMe
mdt
meut eiiri
illl pies, pie
branches de 1 histoire naturelle. Ses iiiiiomlMables tra\ aux
.•inbrv<doi;i,pies. aiilliropidiigK|
tologK|Ues. geologU|lle
études pi
coiilirme
phiuue-
■ geog
ont
ra
huiiic
.nisuler.ibleiiieiit élars^i el
Conceptions bu
.ulvHies
de
premières
M t.irdive qii elle lut. 1.1 réfutation de \i>n lîaer n en était
las moins comp
lète et decisu c ; elltt ne manqua pa
sur les \ e
;ritables naturalistes une profonde inllueii
borner a citer
iiu liisioll .vie
llfai
-emellt peu c
.ilIX lu iiniues lie
de raison d etri.
innu en Irance
science ql
41
\ rage, lualheureu-
" j le ne puis que declarei
In'pothese u a de \ aleur el
ipiaïul uous la ir.utous en h\ pothe
st-a-dire qu.iud nous nous eu sei\ oiis comme d un point
le depan pi
.hercht
funeste et deshouor.int vie
islfi
ercr comme
rUuniieur d'elrc a Dcrp.it l'iiùle de
;itiv<i» Ultimes
p.tssuiiille.
lu meivreUt,
:- abeilles.
lUiVei-alli'ii
riller les émulii
dehuul. el ijui e
■ dévlat.l
as dune
,ilvjrs
fut
vjue, vu SOI
.Miiip.ik'iie
11
ut di
Dh C\
t. lit d
1 |nli 1k pi
e-tmee .1 s eeri-u
1er d
K 1.
li.ier
r.uite Ci.ipskv
la tiu
lid ,l.ii
irelerail s ep,ir-
lie vpu ne ter..lll p.l-
.■lie-iuellle tôt
l.ird. vpi
,d
;i.»
i,\ .11 nu
,!,■ 1.1 ^ciilKe 1111
\ |ii,llic--c .|iii in
llj.,\ cil-
cl >lc 111' ir
t.llt de )>1CI
< jiniiilctcr i c- |i
Kic- n 11' ■.'
iIl- 'lt-\ 1 :iu nt e rc m^
Vciaicnl tciitc- .le l'it
.,i.l|V\ HllcMIK-
« Siii\ani ii..n c l'r.il'
'c ilarw iiu-inc m ■-cii>
c ct-ii^aiir 1\\|.Ik,1II"I
.,-|iLL<.> ..iii.iiii'liic- [i.ii
j rcci-ilciil. IMIcl
II. p
l-lk llL b C~t
-.1 ,iiil |ir..|ii''
c,lll-cc |i.
llKllI .lit
ni I"
lu |..lltc . .Il
l:
I .1 -c.llUlh.H |..irlK llll
. \iicec sili' l;i !<■ iiiu
liMcn \r"\> p
.I..II.
.ii~parai
irc .k -ilol
l.a |iui-->aiK
lie. il. ■lit ..Il a
iTi. IIIS 111 \ "ti'^
I.lHl
.tcc .n-i.lcrc la |
..t aii\ iiial.i.K-
a raiM.>n ik
la f..lK
I c-t |U1-
ce cl la icilii . 1111 t
a-,sc. la '.crin .1 un
iriir le iiicii-'inifie.
pidile NciliiiiiK'ilsé i
iiit
.ic> >iccle- ; le
lulicr D.ii" ".
l.ulir . |>1'
, / hliil--^ >. I, iilili.jiic
S IT |V.\NM .iBMI>'''l'
111. |Uc elltièicllielit
/)'.■.. , /,^»//
//,/, N..lrc -aw.ir e-t
aux I I///M'' Il is-,.'ii I
.1 Mil. /; ...■'/>■
ae-,:-upp"-ili"ii-. peut pr. .curer
llelk--. ". c
kllK
e 11 e-t I
t pa- la -cieiK
les l.l..l..^l-.te- .|lll
lier lia re-urei ii.in
.Ic-^ .Lictiiiic
iule e.jir. Ktu.li. ccn\ais-|e e
n lSS(.
^iricK me
ac la
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.n~laiite iraii-l.'i inath.li
de-
là •.cl.ili'.n naliirt
Ile -nn i\ r.i
DapriM-ni^-l^--""-''''''''""'''^'!'"
■auu.. in n clan pa- .IiIIkiI.' a laire
irt.inti .pi i n p.irlu
l'..iir le 111. .mit
U- tliJ..ric- Iran
l,,i lui^tc- .le Darwin
,11 p.Min Mil nieiiie
an. l.'iit iiiterél
1 iiialliciireu-. ineilt >a- ain-i
p..iir le t;riiia piil'lu
( ),,..;//, ,/. < /:^/'.'. . ^ a^ail
•rc .pie
Ile. nulle au -icele pa-
p.iur ijii ..Il pni— e i-p.
.,ll-e.(llclKe- llllie-lc-
reiir rep..-e -iir iiiie
lai— .c .le-
.leii \ .nr
naturelle
ll-taler le- e
llct:^ a pr.ip
1C-. .jin. pciulan
1 la lin au wiii -.le
;le. ..ni
n>ii
,1.|.j;k et tant nui a la nie.
-t e..|ilameii-c aiÊi-i .pu
la luala.li
plu- .|jile la -.une De lUeiiic p..in- k
levé \Ulell\ l'eut inlecler l..ilte niK
cul II aurait p
t rc--te
inillle
1'
Ht ~. .ii\ eut 111
labli-kineiit .le
ac I
.patieiit a\ ce iiii).-
.Icracinablcs peiî-
la \crite se lait très
l»i.niu: Jn\.;i^. 1^**"
,i.l .ielixulllc
„luiii- a.;- /''
.K.wnKi K i;r i.i.. .\uKN.a: :n 1)^KW1M^M1
n \ ,1 pa- plus.
Uihiiiictc
au, m. .11. le intellectuel que .1
m-
I I
|..niine i 11 .|UI -e pe
rs. inilllic 1 une
le premier .pu en lit cil
lui a ctc prcp
la pcus.-e D.iraiiiai
irc par t..utc une ^c
le ae lails ailtcrielir-
II- le- ^r.llKlc- I c. ..lutiiMi
■Ile- au m. .11. le p..lltl.pK
a clic- n L -t nullement
rc. le lei
I
1 voi.iri
ac.-.
dcp
1^ 1.
Kl
aire
■..nrant lioiit i
la 111. 1
•I
-l,,!! acquil.|iK-. MiilKitj.in
ilc> ai-pu^ill')!!-^ i|lM la 1
ni.u\ i-lU>
Ni
iiarl la rLiiiUMi
iiaiiili-^tL- qiK
a a
a I
ittatlia M 'Il ii"iii
ac|a.
./ .s^.
ac
lut
liliisR-iir-' laNaiit-' >-c1l-
ti.ut a lait uuK-
.ti.--
■t I
ilul
.11 a a 111
iplit
.lUclltlMll de
arti-^an^ c
t .u\
.riiiin
, ficaire I uc ^1.
. au iii..nac ornauuiuc q
ai-aLiiti-. aLliariKc. au
|i.urnau\
aut-il rap
, iiatui'-U'-
^ClclKc^
av 1':
aiui a.. lit I i-,Mi<.- lut 1
lait le iliaïup^uu au I
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rét llainqic poiiMiitc
.,ui\aiit. rac
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iui iûlcrméJi.iire eulre
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I T IK.XNSIOKMISMF
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1111 et ae M.
-era appel
leniientalUiii aans le
, e(Uiteiup"r.iiii-.
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a p
are l.i aireelK.u.
it- .uuiiie a 1 impu
. haraiv. a^it au"i --e ir.uiver
aeiit p
11-, la\ i.r.i
ble aii\ teiKlaïue-
;ireMl|it.llK'e'i 11 .1
..irait plus
aiiiiMii a l.uiu
■lie (ai.irles
Il avee
>u l.inieii\ > u\ r.iue
l).ir\\ 111
On
au liiMUlellt l'U.
illill^te- lié
rilLllell!
L plll-
aaii-'
un Meele
1., tête ae
ire-
qi;
lllellt le
a ae aiiïer
ae
aulre--. /'
(iiilste-
t, lient elltraille-
•tle llMllVe
Ik
ll.in-l ellU\
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li\r,iit une
lutte
bien
1
^ traite- ~ei •ntilique-. que
lans
aïK
laineux il
qui eut llell ell 1>>^
les leaaeinies
e. .1. .unes aes
au> 1 histiiire
a 1 .\eaaelllle
Itre (,livie
.-eraseniell
r et (1
,lïr..\ SJint
-Hila
l ae Saint-Hliaire qui s e-tail
autiiuiui^te
•1
Il ae 1.
jtte lutte.
par un ami ae (in-tlie, m-u- le
5 niuivelies
au >uiet
ae 1
1 réviautiMii qui
1'
irr
,iit arrivée-! au)(iur.
Iiiii
1..1H en ellHU
;nau auprt
aiit, que I
-tlie
I lira ni ae
' Eh bien '.
i.hlllu l ett
iensez-\
-1 jlKluniie que
Jlli Ac ee gruiii
i>lid Pl'"
iu-vlc
■ idér.i
wk el riioninie
.i(\\;.i.; K i.T i)É(;.\i>FS\.F. w i>ak\vim-.mf
" é\ elleineiil :
aeana eelateen|in ; t. .ut e-t en tlamnie-
<< et ee ne
■^era plus une alïaire qut.n p
— lerribl
altairi
.ii-)e repi
M
e traiter a lui'.-
iw a .qiii..i p<.u-
\ ait-i.ii - .itleiKlre
lails une telle
Ile
-.itu.itii.ii et a\ ee un
/' nuni-'tere. iiii..n
a \ (.ir e^puKer la br.inehe
r. .\ aie qui .i
(leeupe .e troue jusqll a présent :
rip..-,ta (..etlie. il parait que n..us ue
.M.
Ile p. ni
11. .Us enleiub'lis pa--.
•,-la ; il ■- aiiit p"ur nim ae bie::
.parle aeeette niaiiite-^tati. .11 publique
ae 1 .\..ia
■mie.
ae eette ai-eU-!--
" pi.ur la
.litre C.U\ 1er e
leur
t(
" aile une
-lae plu- ll.iutexaleur. et ...U^ ne p
ulee ae ee que j epr..vl
.lïn.\- Saint Hilan\
I.:
p. .uve/ \ i.us tan\
pui
1.1 11. .UN
du M) iiiiilet. .Maintenant, an.iwa'
Saint-llil.iire ii
.1 a
Ui
aan-( je.
lllee- *.
de 11
,.tlr..\
montre e..iiibien gran
.le e-^t la p.irt que le in..iiae -,.i\au:
.-r.HK
l'
.na a
i.i terril
a^itati.'ii pi .iitiqiie .le
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..lur.ut plll-
être r .-lemi
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-t .lU|..lira luiiae\ ellUe p
..l\cne- .111 sein
ae 1 .V
à\\ \'t iniUet ae-u lieu
q'
lu- llelirell\
a traiter la nature e..iiini
ilaireaintri.auiten l'raiK
Irqiic. «rae
laaémie
•u p-
li.inbre 1- at-
aux libre- a\--
lee a un
ibli
.nibreiix t»n ne peut p
la
.\ er .lU.X
« ec.ninn
1 limer le
l 1 et. .aller entre quatre
i(f tlle .U al
t rai-.. Il : le publie était l..iuae-
uii.ntrer
mail-
lèrent. .1 Le lie ql
liitiounaire. qui agi
j-tloll -eieUtiliq^le
la lernientata.u rev..
.■le
itait les esprit-. |epiii- la tin aa xviii -le
lesTeiuiai; a .uileursemineinnientac
ibl
,ai..iite .
.11 i.pp.
-ili..n .ivee
-Ue
au pah->e Dan
le e-.i-. a. .une, U
uiblie et.iii a tatant plus >yinpat|liiqu
.■t aJ\
lutii.n que p.irti-.ins
senter L..I1I1IK aev.lllt mille
rs.uri s s .Kl
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, i.l tlle.. rie ae 1 e\ >
aaieiit a la repri
traaitii. miellé
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.IL luiriiL-c
luMliic-la il .Ic-iuiis 11
■,:i\anl cl liaiis II j.iibli
)ii.c il aiiuiKUiN il ili
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jX s t-tail iiKiiiiU mil p
lail a I ..ri^iiK'
1 LMlUt
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Ls II a\ aii-ii
na- aluii- n
Il iiR lit la li\ilL- il
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.liiiiM- a la lin ilii \\ m
1.
iliiii ili- la lii.
liiiail ~triiU iiiilil a ii
|)n i 1 1 iiiiiiii un i I1--1 11
iiii ni l'aiiiK iiiln iiix
^n|)jiii-ii" i>Mii
>li- |>ar
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lie nnn\illi- ^aiHlKin a
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.li~ i-.|ièii> Migaïuiinc
, .111 .1 iiii inii|ilc part
1 iiuciil lUi iiionili-. 1 1
-.i.anl. lIc-^ la tin iln \
,aiinl a
ih'iiiliii i
ll'-MI' l'ii
is i^piio aiiiiiialiS i
laicnt Liiiiiri .i\ii P
pLiicnl .Il Iciinnli^ p
iliM iitir. il mil laidii
isijficM Mirlaii-iit lc> Il
>lnilli >li- l. .11111
fi.iliii'i
I r
Vr'!'
1 1 . 1' 1 n i
.Il p.
(iiil la pli
H II lion a
,-Mllllltl- .1
i\ n claiiiit
a pirmaniiiii
pi 11 a piii
.Il
Il iiitain
aiiM-^ naliii illi"^
-imilitii.li- .Il 1..11I.. iiiatK
K,\^htuK.■.ll^MF
1 trii.nii
hante lai-^ait uni- miiii.
1. .lans 11- iiiiiiuli
ti-iiipH iiiiini-in"ria
ii-niiait 1.1 ii.n\ iiti.in iiiii- i lia.iiu-
i-uil.iUN .i\ ail iti- iii-i-i- scpaiiiiKiil
i 1.1 nii-nii- liirini- .pi illi
. Iian^iiiiiint-' MiiMiiaiit
I"
itil l.a .1.
lahiliti- .li-^ i-piii-^ il.iit iiii"i'<--
.Il
par t. .'it 11- iiiiiiuli- 1 1\ ili-'i-
iitiiiili. 1 illiiNlrc l.iiiiii-, -^iii
lli K.iinpli'.n. Iii .lilinis-^aiit 1 is-
ili- .le plaiiK-' ..11 .1 aniiiiaii\ icHi'
111 inv.rl.intairinunt .m pi.iiv.iit k-
iit.1
iiiiniin-, il .l..iiiiait par nia
1.1 tlii-..ru .II- la pu in.iiiiiiii
Cliai
.-. .1
Mii\ an! lui
it
lii-r kraiiielri-., cri-f^ .111 i.'in
lois, iiial^iri- la j;ran.li aiiti.ri
.li-ri-
li- .Il
aèili
■ iiti-
.t M-K
.1
rl.iiii-- cspnli i.injiniii-
, Mir l.i pi rinaiiiii. i
•lali-- IN II-' inaiiiK--
■aiiitiiip .II' ri-siTV i- i-
Il lut iiîli^iiiri-
.ilu> iiii niiiiii
t li-i iiimI"!'-
; inai-i .'Il -m- liiittait a
Iraiulii-, lulci .[Ui li-
nc-Mlc* aiiiri-. j;
ran a la nu
.lili
iniiiiln i>
D.in- ■'a
.-libri ///^/.■/'.
lu.ili.iii i.inipliU- .lura .piar.inU aii-
ilii-iiiirN l'.i-. .I..iint
ili ii.li
iiitiii?*
il est \ rai, .[i
iil.inli^ il
iiut-c'tri
h II. mil"' i
. I.NP<-4 pr
I
i.i>alt fi^ i
.iiiiniti-intii
t lu-' p
t .p
mil-.
i\ aiiiit pli -i II
„,ll^ I lllIluilK
,11 iii
niiitiiri-. sur I1-. ^i
,K \M>l-l K hl ui . \i
l'.ii ilciri\ .int li-^
rti-b
iKX.i: (Il 1I.\K\\1M--MK
il ^iKiiali- I an.il.'.^ii- .li- --tri
tiiri- .pu- 1
in-Miiti-nt t.iii-'
t\ pc iMiiuniin .pi il
II
aiiihi-- .1 mil' •'iiili' i' III'-'
.-s aiiuTi.iiix.
lient l"U> c
.■nu- lailiiUi-,
■,1 ii.nl. .rini-^ a up.
tre il--, .iilti-rcliti-^
1-.-.UC .1 mil' •>! 'iii'lii-
'I'
On
p,.iiri .lit iiciri- .p
1. 1 11)1
Uc. Il
. iriiiii'.t.iiii i-'
.lil.i
.llN tVP'
l,.ppi-ni
.ttit il IIIK
t.IlKll-. .p
llKlIllM L-s .le
i;cncri-->iii
.lit .lif.irinc^ p. .111
.■t .1 autii--
mli-nciir-
it iilii^ pari, ut ili-
.lutr.
;raic .111 ili'\ i -
illl .1..1U11- li-^
siiiiiriiur-
A la \criti-. Hull.iii M-ii\pri-<-^i- .( .M.'iiti-r .|
i.sc nue telle p..^-.llMllte pi.lir
auiuiie rai-^i'ii p.'Ur ne pa-- elar^lir .ette lu p
e p.ls .liiiu.tlre .|
.11 -«np
.1 ,iiiiin.iii\. il 11 \
• ttr
li.riiKiti
iiilti\ e
tli.ii-. ,i;r,i.liu I
lie t.'llte-
vle-M
Il est pas P'
■s liasses. I
.leilt .1 mil
blej i.bsir\
e et p.'Ui
Je tl llls
I. .nue
pr:
le pril.lellt liatl:
raliste, lar la re\ e
atloii 11. .Ils eUsL-lune .[i
.Il
.la
cte ereee sej
h 11 lie 11
Kireinellt
[.ilt-ll slllieri
.tl i,.riiail.int eette re-
11 est .llllulle .le le .lire
lias s.ins eili.' et, .laiis .
.Mais
.•mise par lin ne rest i
■lents !pa
lie sinulltaile-
it. en .Mlein.lUlle. ell liaïKe
.\n
.-terr.
tr..is p.
11
.relit. ,1\ 1
l'i'H
m lll..ins Je netteté. ei>.
la\ eiir
1.1 tlie.illi
lait .ieriv
tnll
tes 11
Je 11. mus plus slliH
el' pr. .tilessi. elllellt
les N'.iii I ....ininent
17,, s, (ùethe s e\prilll.llt sUl
|llesll..U
S.
ne s.llls
lesiter .|i
l,.lltes les l..rines pllls p.
laite
^< Illl nu le~ P'
Iss.iiis. les .inipllllnes.
ni.iiiiiiiil> res. a •
• inineiuer
prlHlllU elllellt sur un sell
par l h.iiiiuii-. iiiitete iiri;auisee-
1 t\pe i.iimiimi .pu. in.unteii.in;
lli-iire. se nu
|ii il se pr.ipa:
ililu et se transli.rnie ilia.pu i.mr a iiiesur.
.1,11 U lUI^te-
iiniiii la
:iteut tiiii|.n(rs
.tti 1
au
lllste
I et. Ut e\i.lutl.iU
tnel liu 111. M l'iii- t-ii''. euaeinnieiu.
irreliit(il'le .pi i
I
i
lî!
;i6
s; KT TU \S-.I iiKMI^Mi:
CLiits .Il NDii ur;iiKl-|iL-r"
la suilc. lui iKiiiurcn
iiii-.tc' If Liiractei'c
(,lii.sc iliyiK- lU
Il d
li IIIK
\c11Il Au
llllst l\
.le D.i
lausc. le
apprcin.'-. sel. .11 K-iir im
iiulk- part !.. 11.. m .k- cl-
tiatciir ik- ^a lliLmiL- c\ .
— l.K
S ((i:C( i l'Tl.iXN l<\ I.AMAKC K
I
aniarLk. l\ i.lL-iiiment, n
le «...Il piL-iIcLcs^Liir sa
im ..lit lait L-p.i.pie .laii
( . et -.L-i
la tliL-. .iIl
au \i\ sillIc
~( iltiL- .II-- lailj^L^ Lt, ^all■.
a .iu III. .iii- niLiitc .1 att
IIPiUlL-llt .pic 1 lIllIUL-ULL
iL-llclL-r ~ur Ic^ iiiinLip
/i).)l..giL- et L-ii ^;ci
.ill ^ieL le. I.e^ ad\
.|.,.|L
uieuie- l.irve-
iClU
l'es II
iiiiar.k eut d
Je-- i -.1^
■-t-a .lue a\
de LaiiiaiLk , avait eii\i~
riiati..n de^ e-^peee-,
l*en^cllr piiiluiid et
pourtant p.a^ e\eiupt .
-//>//,
./,.
liiJUjII, \
itui
I tr
elle, luaw II tniuva .lau
les idées |. .Ildanielltales cpli, pal
donner a smi luii. .thèse trausl.ir-
tlleiii'le aehe\ ce
^t seul
elllellt eu l>>.
m. iule, .'raLC au /.
ser\ ICes
ol.igiste allc-
IIU lu I lllellt
rite S<.ii petit-tils lia iiieiiti..niie
ni iiui lu! p. lurtaiit le xeritable ini-
lutiein liste
le CMiiiiaissait pas lesteiitatixc
;lais. lorsL(ii'il entreprit les tra\aii
. les annales .le Ihisti.ire naturell
leineiit ixeL la puhliLalion de sl
.•\ . ilutl.iU est,
iiir aiusi .lire.
ibteuir .Ir. .it de eite .laus la seieiiLe.
•e. ratteiilhiu. ( ' est a partir de ce
du trauslorniisine Lfiiuuieiue a se
les roLlierelies en butani.pie, eu
pu rein|>lisseiit la première luoitie
l.ainarck sont eu\-
le les discuter Du
hreux et acharnes.
s passi. .iiiiL
1er Lie ses vues
bs ennemis iii.ni
l'ar
nii c.-s i
il ciiipia aus-i .le zelis partisan
laut p'Iiccr en premier. Ii^iie C leollr. .\' Sainl-Ilila
lerniers.
lt 1 a]i[>ariti..ii .les premiers écrits
es opiiii..iis siii" I unité de c(jnl.ii-
plus subtils, l.aïuarck n était
idées prec.jiiçues. Dans sa
/'/,,
el.jppe rigoureiisenie
lt et I.
nieiil s ,n s\steine evol itl.jiiniste. sans reculer ilev .int 1 m
ET Ut;CA! EN(.K L>U hAKWlMsMK
sulhsance des preuves
. iciilituiues X'iv.i'nt presque aaiis la
111 Isère, a
veiinle, lie rencontrant I dans le ulukIl ..tti..
.|U hiistilité, il lien p.iiirsun lt pas moins cuiraueuseineint
ses recherches. N'oki eii .|iiels termes (harles Darvwii a
reconnu ses mentes
11 l.aniarcki rendit k
rem 1er un
^''.
andserviie eu appelant laUeiiticii
sur l.i pi"' b.ibib.te .k
liangeme
dans
nts continuels d.ills le unuide i.ri;.iiil.|Ue
monde iii..r^auii)Ue, cliaii^enveiits .pi! re
sll.ltellt .k
naturelles et m .11
11 .1 une iiiter\ eiitloii surnaturel
l.ainarc
k tut amené a a.liiieltre la' iiiodilicati.ui pri.i;ressi\ e
aes espe
leces, \ Il sur
tout la .lilliculte de dlstllis;Uer k
u'eiiailt en
siilerati.iii 1.1 l'i
,lLCwiillille .les |..rines .i.uis l ert.iiils ^r. .upes et se t..iKiant
sur 1 anal.igie a
par lesquel
\ ec I ele
âge d.pme|.tuiue (J
liant aux m. .^ eus
.btieiiiient les iii..dSlicati..ns. il les \,.\au eu
i.iriie dans I action
ie. en luirtle dans
directe des conditi. .iis plicsi.iucs de la
e croisement des li.rmes e\istantes, et
siirtiiUt dans I iiilUieuce .!e 1 habitude, de 1 exer^iLC ou de
linertie de certains ..rj;anes 11 attrilnie a cette dernière
cause t..utes les appiopriati. .Us edataiiles .pi..!! remar.iue
dans
l;l|nature. telles, p.ir exeni]
k-.le L.llt:
.le la
qui lui permet dalieindre sa n..urriture su
i:tk-cti\ émeut, l.imarLk estimatt .[Ue les animaux s eiaiei
de\ek.ppes surtout p.ir suite d.
progressa émeut, les .ixait amen
leurs aptitiuk-
letïi.rt l..|lCtU)linel .[.Ul,
■s a accroître et a eLirgir
.Ils i|ue k- grand C.uvicr. .|ui rendit a la gel. .ni
d immenses services par ses travaux sur
siles, restau
hdele a la théorie
des cat.ulv
-mes et des reliai
iliqiles de la Me organique, l,ani.«rck admett.nt, même pour
la nature inorganique, la trans
iormatuui cra.luelle de l.i
.route terrestre soUs
action de
k- laus
.■Ik
^ard, il peut et
re cusl
,lere i..inmc le précurseur de
Charks Ivell.
reiiox ateur île
lt>
L iutVueiu
dées de Lainarck sur cet illustre ge.d..gue lui si coii
islde-
ibU ,|U cil I S-; I |,\ cil
ii;:iui. nu .lur.inl K-. m
I c^ln-
H
e:UK ■ .1111 lie
ilaii- i iiitcr\ alk lic tcini
H -uliimiei ollbliclll. ciTil l.\ell, iji
ritifui ,1c l'( >
nijiii ,il
le
:n.11t ilcl.i ctc l'iihl
llic.ric tic i.i Ii.iiisiiiilt
ilclcikiii i iiiiiitcrrii|ilii II
^'•inciiu i|iK . iii.rïiHciKiii
1 CllcUfc
H >1
C-- C 'Cl t ^ . t|
il ^c inrc II lu- lu lie i
>l.iii^ celle lullc. CCI tan
K> .lUllc^. 'IIU
mlic^ .li^iMi.ii-.
Illico loin
Il /. .\ loin
llj-K .le L.llli.il > k .1 \ ,lll
I l.li'\\ 111 cl lie hlii-lclir^
Celtaillc- lie~ll.lli.ili-- .1,1
il II ..lllill
cil rcalile un liii.ilisie c.|ii\ ,iiii>:ii |).ni, Li H
lu.iiibri u-c~ . .Iwt I \ .nu I
l'iciuirc cil c..n--i,leiMlu
pllen..lln ilc~ .Ici .Jllllii
l.ui|..ur- .1!
Cl 1,1 llellele
ill «[U il lie-llc lu:UllK
i;. >rr.|Ue~ |i,n\ c .jii il cr,ii
ilc~ t. .iiir.ulk ii,,nv ,|u Cl
|Mi la l.nucu~c lu )iiiilic
.\|.ll- -M, Il 11. .11 -tu-,, I ,11
ll'c- -Clelllllli| lie .1,111^ le
.le— u~ cl L.nii.iitk .1 rei
le- pllclu .nielle-- .le I e\ o
(. e-.t ~UI-t..llt
fi race ,111
.i.lll> I ail.lK -c de~ ni
l'Ilell
~t lire-er\c de 1 crie ir il une -leicctl.il
ciealK.ii ,|iii lui -,1 lune
lailt de I.IU.— c> ililKcplU
)N HT TK \SSli)KMlS.MH
lUleliail 1 lllluleiru[Mi.ui de l:r\ le
liricall..iis lente-- ilc l.l cioùte tei-
1-- eiiiii|ins eiitie I aiiiai\ k et 1 app.i-
i/i(-, /.'.s: de |)ar\\in, illleK|lle chose
Kii- d'aulic-.. S.iii-, me i,illiei- .1 la
ilioii lie l,,iiiiaick. I ai, ,1c-- I S-, 1 .
de 1
Il Me oi.^anK|i
ae. I ,11
.pelc le de\ cl. .|>|i
eliicnt
le coiuiuc f ,1 |p,oil\ e ,1c ( ,,lll,lollc,
lllinilellc |ioiii- rc\l--lciKe cl ,|iic.
^ e-ipcc-CN -,e lliultl|i||,nl in\ ilepcll--
u.if-l,--. 1. 111, lis ,|Uc
la II,
cric e\oli|lioll-
e i;>aii,l .iv.inl.ii
c sur cet
ses ,lisci|.|cs .|uc I .1111.11, k, lnal{^r
\|)rc--sloli ,1e ses |i
cllsccs, ,1,111
Isi il-sioii ,1c s,-
|'lcs,|Ue |. nu. Ils ,1e
I le hlil nuinc.li.n . .ii l.uulain
■1 ,l,| \ ,111. m. .11 11 ne le l.iil pas
une Uoin ulioii lu,. 11 ct.ilihc ; on
lois
c\ ,1111 ,lcs .illinii. liions cate
n >ld rJLllc.,lllre|- ,les ob|ect
le ,les sas ,lllls
|cctl..|ls ..Il
scies a I e|i, .,1 iK.
,1e l,,|d
|i|,lce Iles en
V ot;Ue .iloi-
.dillot 1.1 |iiecisioii ,1e s, 111 cs|uit.
I<>ll,l. plelul |>rcs,|u, l..lli,,|irs k
ours ^ 1.1 liiialUe |i..|ii c\|>li.|Ucl-
lllll.ui
ll.lllltlli'll ,lu
nielle
piinclpe ,1e 1.1 lin.lllle
aiiiarek
-\ ,|iic la tlicrie ,1c I.
au A.
liaii!
Il n.ltuielle sail-
irw iiiisiiie, en iiitioilnisant
les élu, les elllbis . doL;i,| lies.
iFlR 11 1>H. MlKS, E !>!' l'\K\VlM-.\|K
il laudi-a ,'.es di/anu
,1 aiilices ,1 e
:herelies toiulanicutales pour efi
tUiies LiboUc-Uses e, ,1e
vlebarrasseï detiintn e
.■lit cette brandie e.ipi
t.lle de 1 ei<lbr\..l.'i;l
Ainsi. iH
,1 Daruiu ci.iiiiiienJ.i
nature
Uc. 1.1 d.. drille e\,duti,.iin
lucht rep. indue p.irini le
i^ells
d histoii.
istc et. lit ,lel.i sullisaiii-
donnes a
I ettlde de li
iture N. .Us 11 a\ .Mis ei
dans .ette Silence, icu\ ,|Ui loui-
NcrscUc M.iis e.iiubieii, p.irnii
te ,iue les ll|.inilles les pUls eHUlleU ts
it ,1 une notoriété uni
. savants ,1c iii..iii,b\
import.iiK
.■taicllt des cette ej
1 uillement. cU la\ eiir de
■\olull,il
l'.iur 11 en citer ,pi un cvciiiple
l'.diii, 111,1 < iraiit. d..iit » h.irl
net
teincut. il.iiis un ti
Dai
il sur 1
publie cil 1^21.. ,llli
nues ,les attires
les csp.
■ que. pr,.n,)nctfs eate^;.'
protiressi\ e îles espèces
prolesseiic ,1 hdiiiibouri;.
u 111 lut 1 e!e\c. .Utntii.i
.•s ep. .ni;es d eiii ibnic
tnaioiit leur oreille les
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.Ih. Dl. 1 ll.VKl-l s |,.\K\\ IN
I I I lil.XN
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Il .isine. .limait p.is~i,.niieincn
l les
lions ,1 liistoir,- ii.ilur
■lie. 1.1 t,
.bserv ati.'U
uriilire poetl,|Uc
^ill.lllon prêt lit a ses
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iiui nuisit i;r.iii
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,i,iiiciil .1 s..n
il est inciilcstlble .pie
lietit lils
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lie ,1 ..bservati.
.lus exacte ( -ette ilclUlere .,|Uallt
Ils ,lc sa mer.
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de Darw ni et.iil un poUer reii.ai
d-pere de D.i
s et les ,1e, lui
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le app.irciKc lantistupic
t Ncaii
Il c. .mine sa\ ni
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plus line el
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Icplel \ l,.li;ll,llt. liellleu
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il 11 IcU.llt e\ lileilllllellt
HW ,...,1 I llclll m.llclllel
ire d.iiis s.i
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irolessi, m .
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auce cl ,1 un ll.nr artisluiue peu
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( .h:uli-- |):ir\\ m. et clic
•iiiic l.iriic |i:ut. le caiMCt-
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il cxei\-:ut aiisM 1,1 iiK
brill:intc. et ii\,ut une e
t.iue qii il hii--.i a Uai
jiennit an leime natiiia
science, en 1 allranclii~
rielle cl Ini as-uranl. e
puni' ^e> \c)\ af;es. --c- le
Cliarles Darw m na>|
11 re,,llt le^ piciniel^
natale, a 1 eeole iln itu
de LchKtield C.nunie 1
p,ir nm: extrême appli
el l,itiL;antc5 excniiioi
divei^ niinéranx et \ et;
ci>nr> cle la l'acuité cl
iiisurincuitahle degout
^nnpu^^ihilltc même .
,|uirent bietitot ipi il 1
i.iutinua cliiuc a reuni
et a > occuper Je /liol
(Jraiit. mai> plutôt en c
nement particulier \ er
Hn i^^S. il se reiulit
.lU <'.liri-.l Collège, clai
Icjgic l.a, il aeviiit la
gnail la minéralogie ci
a la laveur ilexcurMon
,-a passion pour les pro
ce qui lui tombait sou
1 intéresser plu^ assidu
remariiué ijUe 1 etudi
rare laculte d observa
)S Kï IHANs'rOKMlsMK
déterminèrent cert.iinemeiit, pour
re de-jou actiMtésclelltltuiUe
:-\Mn, était le second liK .1 l-a-asme.
decine. jouissait d une réputation
licnteljc ciiornie l.e plu-, dair lieri-
Hin lut une grande lortime ; elle
i~ie de cii^acrer sa \ le entière a la
vint de t'.ute préoccupation mate-
1 ouirt- des ressurces coiisi,.lcrables
cllcrcHe^ et ses L-oUeclloU^
it. le 12 lc\rier iSo.), a Slirew -lnir\
leinciU- d instructKui dan-, -a \illc
eiir Kutler. .|ui lut plus lard evcque
c.dier, Darwin ne se di-.liiii;u,in pa-
:alion ; il préférait laire de I.. liguer
s. durant le-.iiucllcs il recueillait
ctaux A -^ei/c an-, il all.i Mii\re le-
■ médecine a Kdimbourg .Mais un
pour les dissections anatoinuiues,
1 a--i-ler aux autop-ies le cunain-
lavait p,!- la vocation inedical^ Il
-des cl. dlcction- d'histoire naturelle
igic -OU- la directL.n du proie-seur
ilcttanie. et sans se sentir iiii c-ntrai-
, ces éludes
.1 1 rni\ersite de (Cambridge et entra
- 1 intention de s'adonner a la theo-
m du pr.dessciir llarb.w, c|ui ensci-
la bot,inKiue Leur liaison se iorina
,scicnlitiinie- Darwin avait coii-ervé
meiiaJc- et il aimait à recueillir tout
,1a iiiaiii. l.e prolesseur liarlow sut
ment aux choses de la nature .\vant
nt loignait a un esprit rctlechi une
iuii, il -.ittacha a lui et peu a peu
(.K,\Nl.l.rK Kl DhC.\DESC.E DL' 1>.\KW1X|SMK ^11
il lui inspii.i le goût prcilciiid 'de llu-t'.ire naturelle,
1. intliieiice de ilarlou -ur -iii él{.\e ne se borna pas a la
directiiiii -ciciitituiue ; son action linorale sur le caractère
du ieuiie -,i\,iiit p,irait a\,.ir étL- plu- ^r,lllde encore
Quelque- e\tr,iii- d uiic lettre de Da) « lit au re\ ereiiil .lanya-
sont tre- -mniticatil- a cet égard : l'n mèiiw tcinp- ipi il
décrit le- priiicip.iuv trait- du c.iractere de -on maure,
Darwin -eiiible -e peindre lui-nifine : " .Vvant que le
ne 1 eu— e \U, I elltelldl- un lelllle llo'iune re-UUler le-
qualite- nior.ile- du prole-eiir H:m1"" en disant -imple-
meiit.qu il sa\ait lout. l.or-que je rétlechi- a la tacilile avec
laquelle liou- iiiUl- -■■mine- -entlj- a 1 ai-e a\cc lui, bien
qu il l'ai plu- âge et qllc -a -upejl, ■rite lut Ire- haute, le
criais qiK la tran-pareiite -incerite de -e- -eiuiment- et de
-.1 bonté en turent l.i c.iii-e. et plu- encore peut-être la
remar,|uable ab-tr.i.cti..n qu il tai-ait de lui niêinc, i>ii
s'apercevait .pi il ne peii-ait lamais a son -a\oii étendu, a
la clarté de -■■Il intelligence, mai- que le -U|et en que-tioii
loccu}iait seul, t^e qui doit ciiC'ré a\..ir trappe chacun et
ce i|Ui .iiouiait un grand charme a -a société, c'était son
égale c'>urloi-ie a\ec tou-, avec IcS pcr-c^nnes âgées et Ji--
tinguee- c ■■nulle avec le- plu- leulle- étudiant- Si ■Il e-pnt
n'était atteint d .lucuii -eiitimeiit de vanité, d eh\ ie c^u de
jalousie l.ctte égaille d luimeur. Icctte remarquable bien-
\eillance ne lai-aient pourtant pas de lui un c.ir.ictere in-i-
jude, « .\u cour- de ce chapitre, u>i lecteur aura plus d une
occa-ioii de -e convaincre que ceijugement peut tout aussi
bleu -appliquer a 1 elcve qu'au maitrc
Darwin pendant ce temps lisait
et rêvait lui aus-i de lai're le tour
clexplc'rer les contrées, tropicale-. Il essavail ilieme de
tonner parmi ses camarades une si|)ciéte pour visiter le- ile-
(banane- Telles étaient les disposiltions dans lesquelles il se
troinait h.r-que le professeur Harlow l'intorma que le
capitaine l-'it/.-Ri^x . revenu depuis peu d un v.ivage anl.iur
1)1 iM,:.
es \ ovages Je HuniboUlt
du m^indc, on au moins
fi
I
i'v<iii:tijn 1 r th \nmokmismi-;
au moiiilc, i.rn.uiiviil 1
de prendre ilc-- incMire-
a\ee' lui un leune lioini
D.irw m '.ai'^it 1 oiiasio
lev ..b-taclcs. i.btMit 1 ;i
lii)U cu qa.ilitc ^^ n
liaitcuicut et --f eoiili;
cai>il:iiuc. Hn rtvauchi
lie ti.ulc- Us olUcti
,,|i|ii.sc l.,ni;,tcMip-- a ci
nti.ur il uc iciiciK.at :
avait ^Icia rcuniiic a 1
traiutev, niai^, iiuiu,|
iS^c). ilix ans avant I
d cMibU-e -eu lil'' au i
ncauui'.ms il put ->.■
pas nui a (.liarlc^ et t
cclat la carnire cho
navigatiiMi «.U: cinq ai
^7 Jct-ciûbrc iï^-, 1 . ^I"i
\ itc Ju )eime savant
partie Ji-s riches ma
,1 livre aans la plupar
11 est intéressant lie
lique Darwin entrepr
SI uraïui n'>nibrc d>
plusieurs relions Jes
\'(,ui Liiiniiieiit, a
selir l'rever, lui lliel
i|U il posscJail alors.
elle est aaté-e de iS-o
sur ni"! ; mais, puis.
papier ce qui me vie
des leÇ'Uis a F.ainiho
orainairc et, aurani
ne iiou\elle expC-aiticii dans le but
j^CM.graphiques et aesirait cinmener
,ie s occupant de sciences naturelles^
1 an\ clieveiix, et. en depit dé t.ais
ut..risati..n a accmpat^ner Tespéai-
aniralisie. 11 .lut se passer ae tmit
,ter a un haïuac dans la cabine du
. il sejreserva la iM..pnc-te exclusive
,ns .pi il reuniiail. Son pcre s'était
vovage a.entureux, craignant cpi ail
la carrière ecclésiastique, cciuuie il
, médecine. I. e\ elieliu-nl |Ustllia ces
a le père de Darwin s.,i\ ni. .il en
.j.pariti..ii du l.iiueux livre .pu plasM
ang des grands naturalistes du siècle,
conv ancre que le \..\age n avait
lie ce dernier ne parcur.nt p.is sans
le par lui In l.iit. "Utre .pie celle
s, comnieiuce a b..ra .lu li<:ii;l'\ 'c
II,, iiiit luientatiou aelimtive a l'acti
elle lui l.uirnit eiio ue une graiule
.eriau> a liistiiire n.ilurelle, mis en
1 de ses livres
noter avec quel léger bagage scienli-
i le v.iyage .pu lui permit de laire un
bser\;(tloiis et de decuiverles d.ilis
.eieiues naturelles descriptives
lus la correspondance avec le pioles-
le dresse le bilan .les connaissances
Le ion de la lettre est caractéristique ;
'/ le i> ai rien d'intéressant a raconter
ue voiis le desirez, je vais leler sur le
idra h l esprit le n'ai tiré aucun prolil
irg ; eljes étaient d Uive pauvreté e\tra-
Iroisafls, elles mont oie toute espèce
l.KAMiKlR Kl DÈC.\1)EN..E pi' 1>.\R\VINIS\1K -,:;■;
de goût piuir la géologie. 1-e docteur (irant n'était pjs pro-
fesseur, il travaillait pour lui, rnais sa société a cté un
grand stimulant pour moi . l.anatiJiuie me répugnait, et le
n ai pu assister .[u'a trois le^'Uis; plus tard, cela m a lait
beaucoup de tort l.ors.pie j arrivais à (Cambridge, i étais un
passionné collectionneur .le scarabées, mais unu)Ueiuent
pour mon plaisir, l.orsipiou ni'a\ ait du le nom d ilii sca
rabée iiuelcontiue. je crovais tout savoir, et 1 idée ue me
venait pas d'examiner de plus prtjs sa structure • De tuus
les livres, ce sont les vovages de Humbiddt qui ont exerce
sur moi le (>lus .rinlluence... .le ■|upp.>se que lain.us per-
sonne n'a entrepris une pareille! expédition .ivec moins
d instruction prep.iratoire, c.ir | e liais un simple c..lle..tion-
ueur. .le n avais aucune i.lee de raiialouiic et a .ixais lamais
encore lu un manuel svstemali.iuie de zoologie le navals
jamais encore touche un luicrosq.qie, et >. est seulement
i|Uel.iues mois .uaiit mon départ ijjue je me .mis a étudier la
géologie, remportai une énorme i|uanlite d ..ii\ra;;es et ie
travaillai he.iiicoup a bord; |e dessinai n..t,imnieiit bon
nombre d anim.iux marins d'ordrei inlerienr. .Nlais le detàul
complet .le connaissances me gen|a tort, .le lie coinmen.,'ai
reelleinenl a lu'iiislinire .pie sur lé /ii.io !. . . la p.issu,n de
collectionner dittereuts ob|ets dev'eloppa probablement en
mol le .Ion .le l'observation., .le n'ai lamais auiaut e^rit sur
m.i propre vie, m.iis | espère que tcl.i voUs intéressera. /.<
Dans un autre passage, Darwin
dit que iciiiic il a. ait l.i
passion de l.i chasse, ce qui le rcu.lait très paresseiiv
< =,. — 1,A rsV( iiiii.Moii- hi; ii\K\\i.\ ft M'.WT
SUN \iiV.\c.l-; .M lut R ht M.iNhl
Si Darw in p.isse p..iir le loud.iteiir de l.i t lie. .ne e\ oliiIi..n-
niste, alors que plus ,1-an .Icmi-sjecle avaii't lui elle a\ ail
ileia ele développée et s. .uten'ue p.ir .lautres, p.ir son aicul
l-rasuie et i>ar Laïuarck, il doit presque exclusivement cet
Il
;i\.inta,u<.- .1 ~"ii vwvll^c J
■l;liKli- 'llle >c^ piL-.lcfi
de c.lbiiK-1. ri:diiits à sp
D.irw m vit >ic SL". prup
tcric-ire ft des crcauin
du N"rd, tc- paii\ i-e> e
de ii[.\cé iiili i.ut couve
taclcd'un nicinJe i.rgan
\ivaiitev. ( .t- iniMidc n'<
n.iiite nature des trop
dc> UMiip-1 antérieurs à
outrées tropicales a d
naturali-te, et eu part
toire de la vie .)ri;aill>l
S.iu-, ce rapport. 1
conditions particulière
\i~ita précisément des
teur de\ ait être lorcéu
botanupie, de /oologi
solution.
le ».ap \'ert et les
olfrirent des echantiU
leurs rochers mis par
niis Au l^resil. il cou
tlore des tropu|Ues; J
il vil les restes gran^
géoloî^upiesdesais et
dluii i-cs déserts. Sou
il rencoiitra les types
cl les (.ordiUéres lui
ce débris vluii monde
image de celle qui
plus reculée. ToUt C
de Darwin, eut bieiit
de son éducation uni
IVOI.UTION KT iK.\SsH>RMlSME
circumnavigation à bord du //.■.(«.Wc.
.seiirs n avaient été que des savants
culer sur le monde sans 1 avoir vu,
es \eiix une grande partie du globe
s qui 1 habitent l.a lloie et la lauiie
misérables restes des vastes plaines
•t neutre zone, nous donnent le spec-
que relativement indigent en espèces
st rien en à coté de la riche et luxu-
.jues, .[ui nous présente le tableau
apparition de l'homme. I. étude des
,nc une iinpt)rtance capitale pour le
:ulier pour celui .jui recherche 1 his-
|.ic sur notre planète.
oyagej Ju /A.ia'A- s'effectua dans des
: nentlivorablesi. Darwin. Ce vaisseau
cgionsou lesprit du sagace ohserva-
ent attire sur différents problèmes de
et de géologie, qu; réclamaient une
autresjiles de IDcéan .Mlantique, lui
ns de plantes et d'animau.x, jetés sur
es tempêtes ou les courants sous-ma-
nut dans toute sa variété la luxuriante
ms les pampas de l'.Vjnérique du Sud,
loses d'espèces éteintes, les ancêtres
ies tatjousqui habitent encore. aujour-
imat polaire de la Terre de l'eu,
humains les plus dégradés; les Andes
iniitrereiit leurs volcans; l'Australie.
lisparu, lui révéla sa lanne archaïque,
existait en Kurope dans l'antiquité la
panoijama varié, passant sous les yeux
)t compensé au centuple l'insultisance
ersitaire.
11
GK.^SliFfR ET DKC.VDENi E bV 1> \K\VlNlS\ir ". :: S
l.e but de cette étude ne nous permet pas de n..Us arrêter
aux différentes étapes du vovage et de signaler, ne t ut-ce
quesommairement, les résultats des observations de Darwin.
Les vastes collections ijuil réunit au cours de cette expédi-
tion scientitiqiie lurent coordonnées, sous sa sur\ eillance,
par ouiii zoologistes célèbres : {'..Owén unammitèrcs !os-
siles , Waterhouse inammilères encore, existants . (iould
(oiseaux , liell ireptiles . et Jenyns poissons Kp. outrv.
Darwin publia, dès i.'^i.). \c Ji'iirihi! de son \o\age. auquel
se rapportent aussi quantité de colmmunicatioiis contenues
dans tous ses ouvrages ultérieurs 'lout cela prouve que.
durant ces cinq ans, Darwin deplfiva une activité tout a
lait exceptionnelle.
Cependant, il iut tort éprouvé par le mal de mer et. sui-
vant le témoignage de l'amiral Stokes. qui travaillait a bord
à la même table que lui, il était oblige, pour résister a ce
mal, d'interrompre son travail d heure en heure et dé garder
pendant un certain temps la position horizontale Jusqu'alors.
Darwin avait loui dune constitution très robuste; le tan-
gage, la nournture souvent iii.ulvarse. le se;our d.iiis des
régions insalubres altérèrent griyenient sa santé, et lise
ressentit toute sa vie des suites de son vovage autour du
monde
Si nous ne pouvons pas indiquer, même d un tr.iii ripide.
les nombreux travaux de Darwin au cours de ces cinq
années, uous citerons du moins quelques exemples qui -
caractérisent sa méthode de trav.^il et le tour parnculu-r de
son esprit (d->servateur Que de ijds, en lisant le i».urr.al de
s,)n vovage, on rencontre des pasf,ages d <.u il ressort claire-
ment que les théories evolutioiyiistes lui étaient connues
des cette epoque. .Mais il évite itoute conclusion iieUefale
et s'en tient strictement a la constatation des îaits.
Avant même que le /yci;'-/,' eutj atteint le Cap Vert. ~-i pre-
mière station. Darwin avait dejtt reUssi à trouver, dans la
poussière tombée sur le pont du navire, soixante-sept
il
aiiiques Ji\tr^L->. apparteiiaii
t.iriiK- "rgaiii>|i
1 Aiiuiiiiue nuriiiionalt
de-, paiiclk-- lU- pierre
pollCi-- i .HTr IViit-on :
-.iere abonde cii --pi ire
iiit hcautuiip I
lu. Il
l're- de-- ruchers de S
t-, VMkaiihnie''. lai--a;it --ai
'I
.•t aii---itMl il leiiiarm
^lle> -IMIt
I'
lorincc 1 lii,t"n\
etrilllelllelll .lu.
,1 la .|lle--tl.iH
aminelil le lelllle -.a\aii
de- I ..rtiii
(.al
l,^"'-
di\ idil- a^euleiitelleine
duRreiit -.111 iiii une mi
it iinpiirie-. de-, rivage-, vowins.
le //,■.("/, lel
lela 1 aiiere :
niiere Iwi-, ri.eeaMon
: llalua.. et Darw ui eiil p.air la pi>
lati'iii tr..p
I.
_'\pl llhi r li--~ ~el
,e l)riill)elK
■ ur la pr -iiuere
UlCi. .U~ hel'l
I.elee
la beauté di-, lleUlN et
-urtiiiff la rii lu— e
liaient en lllellle leiup-
l.a. Darw m ~ ' .eeupa
in--euti.- >. t d.iiina ui
iniAeli-- elii[iii'Ve, pa
(la.nii
- C i-t en uraii
liiiida -a tl
d une I"is,
•le de I
It-ll. de
dliïi
i^- I
relit. \ .M.nellt
lers 11- di-tiiKteinen
.|iie priidiiit une r.ait
a tl iiK liL r lin rL-.--i<rt
N FT TK.\N--liiK\|lSMK
t à des espi
le rceueilli- dans celte poussière
lit la uraiideiir d'un millième de
pré-- cela setniiiier i)ue cet
. de plante- cryptogames, le->|
le->|Ue
aint-l'aiil. il V(nl une mas-,e Je s.
Ilie li.ir--del Océan .\tlantupiL
le-f araitjnées et lesin-ecte- para-
liabltants a une île, re
cemnieiit
peuplement des lies inanelle-
de 1 evidutliill des lliiUV e
t Dan-
jt la lauiie, i— lu
m pr.d'inide le :?> Ie\ lier i^
l.lUi
innai— ance avec la \ éije-
.iit-il. e-t nu
mut tri.p laibl
i-a lu m- epri ni', ee
p.ir le naturali-le i|Ui
li.i- dan- une luret du Kre-il
lie-| la niiiineante des plante- para-itc-,
la \erlliire lu-trée des lellllle-, mais
I; veuélhtii'ii me ra\ i— .lient et m etuii-
^cllullller ae-
prilKlpalemellt de i-i
e attention p.irticuliei e aii\ ili\er-
e- lliale- |ii
-eduire le
le p.irt
le -ni" t e-
-tion- lin il
.tli.n -evUclle
papill'iii-, appareiniiieii
-lUe p
t de se
t .1 Cille de llli 11.
iur>ui\ ant I un I ;iutri
t un petit bruit -ec.
analiimie a celui
itec
r-i|u en tiiuin.int elle
.lent
..R.VNliFlK KT l)li:.\I)ESCE lu.' UVRWIM-ME -,2-^
Dans M ruL;u.i\ . ! ab-eiice d arbre- -m- un humide
climat tropical le tr.ipp.l. et il -e p<-.i l.i i|iie-tu>n de -a\.iir
dnii piiu^ait dépendre un pheiimuene -i etranue t . e-t la
111— I qu il \ it pi lur 1.1 p
|i;il- le tu, "'tiu'\ riiiii;eur
|lll a le inèlile L;enre
de Vie que la taupe et qvil e-t .l\eili:
V Htant iliiiiiiee- le- habitudes siii|lerr.iiue- de cet animal.
é-crit~il, la cecite ne peut pa- être ipuur lui un uraiid iiicun-
\ elllellt ; mai-.
en tliese ueUerali
st elranue qi
lal -iiit diiue d un iiri;,iue -I -nuveiit malade 1 am.irck
it 1.1e i.i\i -il .n.iit cuiiiiu ce l.iit quand il rai-nun.in
111 inableineiil .i\ ec
plu- lie iU-le— L- que di.
■ lltUUle -ur le
de\eli.ppemenl ,i;raduel de l.t Cécité elle/ 1 .1-palace. rmiiie
itlle qui \ It d.m-
qui hal'lte -iill- terre, et elle,' le pijitee. reptile q
desc.lv L ilie-reinplle-d eau t csdel(\ .lUini .lll\ . mt 1 n-llal état
' I
111, liment. lire it ci .u\ eit d nue peljlicule l.elu! de l.lt.iupe
i.rdinaire e-l Imt petit ni.ii- adie\L-, qu.ii.|Ue certain- iiatu-
rall-te- diilllellt qll 1
I -. .11 en rappil'it ,i\ ec k
.ptiqi
SI. Il u-ane I -t piiibableineiit llinitL-. bien que. -eloll t.. lit
al'pareiu e. il rende -eix u e a l.i t.uq.e ,|UaiKi eilc quit
rite < .he/ le llM.-lUci. qui. |e -up
demeure -. .iltei i .une. 1 lell e-t plu-
atteint île cei. i
pir.ii— e en epr..u\er aucun diiinni
que l.aniaick n eut vllt que le tucu
l.lce et vie pi i .tee. //
( ^e pa— .l'^e e-t. l..rt iiitei"e-.-aut
d.- 11.:-. \\^
plu- qi
iiin.us-.iit le- i> i\ rai;
il 11 en ,K I. ept.llt pa- le- th
.tel 1-e an — I le prucede intell
lie -I irt l.lUl.U- de -a
il e-t -iiU\ eut
te et il devient lujutlle, -.111- que l.inillial
il 11 \ a p.l- -le d.iUle
tUC.i p.l— e a 1 et.lî d .1-p.l
1) ab' iid. il niuiitre qi
de. 1. iiuarcl. et di.-
.rie5 hn-uiteli ^iUtuni
tuel de D.iru m l'a> un
l.iit. lut-il le pin- nie-quin et le pljii- iii-iLiniliant, u echap)
1 Ce luiiintieiix i>b-er\ .iteiir 1)
ir.ippe. il en iLclieiehe iinmedia
miens dire, le -eu-. Ici .•..' /■.•;'.7t■■/.•
,/l• Sdii . .-/1//7, i///i' .M'.-. pJs>:i>iis in\
rri'i:^ plli\ J
III, il'Hiiiic ih'us
- qii un plieii .nielle I a
elllellt l.l lai-iill iiU. puur
.( .'./ /,/;./.(///:■/.■/.•. '.'(';''!/ .'iC
i(! >i .■iu-ri^'i<iiu'iiii'iit, iii.iii
nu.- t.'IS. i ,'H\llil!,' .'.! p.l' ■
»
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■Î28
hVOLUI
If
/i.iil.in/r ./.■ >.( .'-/'>■' '^
lui siju il i oii>lniil ■'On
Idii/iiiirs <•/ .C'.ï/;/ /r<//
«(<•//.• i//('/7 .; iihsrn;-
L.iiisi' de la cécitc du
d'yeux. iiiai> f^ntirc/iin
lui est si souvcut mal
la manière d c-criri-
i|UL- mieux en e\ idelUi
lation. Il écrit aussi sp<
pas du tuut les tour-,
concilier se-^ idéei ave
Prises en elles-mén:
culiere> de Darwin
a peine dlf;ne^ d une ai
en s ajoutant les ui
tMiissent par lornier
la\orable-- a la cou'ii.
Quand nous lisonsdar
lastidieux, nous asM-.
psychologique <-|Ui, a
presque insenNibleiiiei
lormulées après un in
l.e mode d'ar.uunii
dans rO//^'///, -,/<•> /:.^;
>](in produite par -e-
t"ai,oh tre> molloloUe
Darwin, parmi --e- b
ment < . e-^t a ce --tNle !
qu'il doit en UKi|eUre
la plupart de~ leclcui
bonne loi de < diarles
dinaire circon^peciio
et de la patience, plu
durant de^ chapitres e
loN ET TKANSFOHMISME
Litnm. i7 qui se m.iiiili'sir siirloiit
Inpolhese de la sélection naturelle.
t. D.imiii .lier, II,- 1.1 lin Ju plhiio-
11 ne se demande pas ipielle est la
tuco. ce qui provoi|ue sa maladie
l'animal iios-^ede un organe qui chez.
aide
un peu primitive de Darwin ne met
ce procédé caractéristiiiue despecu-
ntaneliient i|U il pense et ne cherche
de phrase i\u\ lui permettr.iient de
c telle ou telle théorie
es, beaucoup des observation-, parti-
raissellt au lecteur lort mesquines et
:ention sérieuse .\lais en se groupant,
es aux autres, toutes ces minuties
une suite d arguhieiits \isiblement
cture ou à llu pothese (]u'il émet,
s son. /i'» /•«.'/ tous ces détails solive lit
ons en quelque sorte a 1 opération
, ec une extrême lenteur, pas a pas,
it, a conduit Darwin aux vues qii il a
ervallt de trente années
ntation qii il emploie couramment
,'. , > Il .1 pas peu contribué a I im[ires-
theofies. 1, ouvrage est écrit d une
et. les plus ardents admirateurs de
lofirapiies, le recoiinaissenl Iranclie-
atiganl, iious le cro\ ous sincèrement,
partie sa puissance de coii\iction sur
s prolanes, (-eux ci sentent l'entière
Darw m ■. ils sont frappés de 1 extraor-
n '\u il apporte dans ses conclusions
extraordinaire encore, a\ec laquelle,
ntiers, il accumule les menus laits de-
(,H.\NliKrK KT l>Kt:.\I)KNcE l'V KAKVMMsMK \2~}
tinés à etayer sa théorie. Ils ne se délient pas detauteur;
en présence d un expose plus brillant, d une aiiiUiiieiitatu.n
plus passionnée, iK se tiendraient sur leurs t;,irdes et se don-
neraient la peine de passer au crible de la critique t.. mes
les.diservatioiis qui leursont présentées .Mais, langues par la
lecture d un livre incontestablement eunuveux et pleine-
ment persuadés par la droiture de lecruain, pres(iue tous
les lecteurs de V ( >ri<;lil l'I Spi\i<'i sautent les lieill dixièmes
du volume, et en acceptent les idées comme des articles de
loi
l'u groupant ces mêmes observations d une lacoii, moins
systématique, en soumettant la plupart des argumeiit.s a un
examen personnel et impartial, le lecteur atteutil résiste
mieux à limpressiou première, subit inouis lacilemeiit la
séduction de cet esprit lovai, prol.uidemeiit siucere M la
lecture de 1 ouvrage lui laisse uneliaute estime pour laiiteiir,
souvent aussi il reste lort sceptique a 1 enard des doctrines..
Quand on lit le ./,.///•//.(/ ./.- \'.m.i,..' de D'arwm. ou
saper.,-oit a chaque instant iiue It même laiî examine dans
un autre esprit, donne heu .à une iliterpretati.. Il loiil opposée.
Nous citerons le premier exemple venu', .e 11 est peut-être
pas le plus topique en lui-même; mais il est irappanl par sa
simplicité En l'atagouie. Daru m trouve une toule de débris
d'animaux disparus, dont les congénères vix.iiits se rei.cou-
trentaujourd huidaiisl Ameru|U<^nieridi..jiale ( es derniers
sont de vrais nains en cunparais^m des los-iUs giganies.iues
découverts par Darw in la première idée v|ui nous v iciil ..
lesprit, cest ipie ce lait prouve c.uitre 1 ev,.lulu)U par voie
desélection naturelle, attendu que, suiv.iiit celle ihe ifie.
seuls les individus les plus parlatts. les mieux armes pour la
concurrence Mtale auraient du'être épargnes l ependanl
Darwin, bien qu a cette epoqUe il se- nio.iiiat encore de
Lamarck. voit dans ce lait I indice que les espèces .icluelles
descendent des espèces éteintes ,
Mais même sur les p.unts ou ses théories oiii ete rel.itees
V^l^
(■Viil.iTI
|i;ir U"^ 11. Il IU.lll-.li.> \ clin
k-, . .hseï \ alimi-i i|U il a >
lI ^c- iiKiilos d ■■hM.-r\a
peiuiaiit lC Miêiiic \()\a,i.
I ( )cLaM l'ai:ilii|Uf , Dar\
II iiilf il iiliscr\ atiiiiii lin
[Il >iir se m 1 iii\ i.ice, Ih- 1.
Jr> /, , //^. pulilu- L-n 1
loniiatiiiii .It- icLil-. a i
par les rci Ikii lie de lu
preiniei lien, el. phii 1,
Neaniiioiiii. Ili I .|i>er\ .u
et ( leikiL lin iiiellle. ad
une .|Uaiaiilainc il aniiét
lie 1.1 lllellli idv M ielltilii
el I )ai \\ m ii eut il rieii
•iiilli a le phiier au pre
liai 11 le //
I'. au I hi-l..ire p-.\i.ii
de I >arv\ m, im .ih de\ i
reuieiil iinli iii tp. Cl se
I i>rtue> i )u a deja dit
l.iiiiai-^ lait pai Ile d aiie
tre~ lUneuse, d«.iit Ic
Dai'.s lu à s Dceupcr de
III lii eimuille-^. ni ni a m
e\ liienunellt iniporlec 1.
des tiillues et des le/ai
i;es lieux le- i -peee'- \ I
put \ euiiipler plus de
\ i.ul ses lellexioiis a
|>r. . lui lions I iri;anii|Ue-
essentiel le nie m llldigell
ailiciir-^ . on leiii.irtjue i
Uiits de le- diverses il
IN 1;T TK-VNSIOK.MISME
. apies lui, les laits qu'il a recueillis,
ni emstréescoiiser\ eut leur valeur,
eur subsistent Ainsi, par exemple,
e. a l'aliiti et dans d'autres îles de
in lit, sur les re-eils de curail, une
plus haut intérêt, qui lui servirent
, iiiislni^ li'iii cl ./i' /.( iniiltipli, .ituui
vp l.a théorie qn il donne de l.i
té loinpletenient renversée depuis
m .Nliir.n a boid du (^ll.ill./ii;ri . en
rd, par eelles d Vrcliibald (ieikie
oiis de D.irwin tardent leur intérêt,
.eisaire de se> théories, a dit il \ a
s : «''Alieun exemple plusadniirable
ne ne lut laniais donne au monde.
eiiit d .mire, ee traite seul aurait
mier rmij; des in\ estimateurs de l.i
dogiqiie des théories subséquentes
ns iioler. coiniiie tout partieulié-
(disep allons d.uis l'archipel des
i|ue cds lies \olcaniques. qui n'ont
in Continent, possèdent une laiine
qiectaile amena involuntairemeut
.origine des espèces il n'v trou\.l
uilerci-. à rexce[)tioii de la souris,
i.ir quelque vaisseau Des serpents,
Js, c etsi a Cela que se réduisent en
ant si|r le sol. l'ar contre. Ilar'.'.in
:inquante cinq espèces d'oiscaux.
i sujet de ces i.hts " la plupart des
(de l'ircliipel des (ialapagos sont
es. ei (j»ii ne les rencontre nulle part
léine i)les dlHereilces entre les habi-
rs. luis ces ..ruanismes cependant
l.K.^NUHK ET UÉi..\UESC,E >V 1) VKVVlSISME •; ~. l
ont un degré Je parenté plus ou i|ionis marqué avec ceux
de rAmeri(iiie, bien que l'archipelisoit sépare du continent
par s.io ou ooo milles d'Océan , Du e--t encore plus surpris
du nombre des êtres aborigènes q(ie uouTrisseut ces îles, >i
) on .considère leur petite étendue. lOn est porté à croire, eu
voyant chaque colline couronnée de son cratère, qu a une
époque ge.dogiquement récente lj'( )cean occupait la place
qu'elle-,,. Cl iipent aujourJ luii. Aiijsi donc, et dan-, te temps
et dan- l'espace, nous nous trouvons lace à lace avec ce
grand lail. ce nn-tere des nivslerds. la première apparition
de nouveaux êtres sur la terre. ..O i reste étonne de 1 inten-
sité de la /.'/.■■ .rr.itri.r. si l'on >eut emplover une telle
expression, qui s'e-,i manifestée sir ces petites iles stériles
et rocailleuse-,; >.ii est encore plu, etoune de l'action ditTé-
reiite. 1..1I1 eii restant cependant analogue, de iclte l..rce
iréatriie siii .le- point- si rapproche- le- uns des autres „
11 e-t h. ir- de doute que Darvvili, de- cette époque, -coii-
nai-ait la théorie evohitionni-te |de l.aïuarck. Neamuoin-.
en «'lleihi-s.int -ur le- que-tions
qui l'ont succes-ivemeiit
ame"i?é aux i oiu lu-ioii- du transtc rini-uie, il reste etraiii;er
a cette doiinne cl il Continue, -ans he-it.iliou aucune, a
parler de la '.".,' .ic.itn,.- pour expliquer les phénomènes
qui le Happent F.videmment. -ui e-prit était encore
éloigne .le- \ ue-,iu il einit trente ali- plu- tard, en - appuvant
pourtanl -nr ce- même- phénomènes.
l'Aeiiipl de toute tendance ni.etaphvsique. DarvMii ne
pouvait ..iii^er a de- conclu-iûi- générale- que par une
induction lente et graduelle l.a 11^.1
valions devait en quelque sorte
ligeiicc poiirj'obliger à conclure, j
Dan- le- ligues suivante-, ecritiis a l'âge Je cinquante ans,
il met pleineinent en lumière cejpli to'ut particulier de ses
taculte- iiitelleituelle- " A mon ijetour en ^'-7, Usons noUs
dans la prelaie de l'( )/•/.'(/; o/sL,.-.. il me vint a lesprit
qu'on- p.oiirrail peut être taire .ikancer cette question en
asse des laits et des obser-
aire \ icdence à son Intel-
^
I
f
i
•!^3
accumulant, pour les
sorte qui auraient qucU
années lie travail, je i
rédigeai Je courtes note
\e> conclusions qui n
Dciniis ce moment )usi
ment poursuivi le niém
siiiiiiels, ./.;/'■> /•■Si/Il, ■/.-,
H ai pas ,•/<■' trop pruiii
.Madirterencedespr
et I.amarcic. qui avai'
1 éNolution à l'aide d'ar
physiiiues, (~harles Da
idées une métlK^de pr
nientatiiui s'appuyait
n'étaient (las bien pr<
lesquels il essayait c
étaient si simples, soi
toi sans trop insister s
^ h. — La I
m-: i.'o
Le 2 nct'ibre iS >6,
lors, il ne quitta plus :
l'heureuse idée d enti
logue Charles l,\cll
ment une influence i
^,a \ ie-. N'oici. entre ;i
jeune naturaliste, en
avait envoyé : '•• Si v(
position scientilique >
vous ai donné ce coi
en in'accusaiit d'aiitii
pu cintre le malUeu
tVOI UTI 'N ET TRANSFORMISME
néditer. les observations de toute
uc rapport à sa solution Après cinq
ne permis plusieurs inductions et
, Ce ne fut qu'en i8}4que j'esquissai
e semblaient les plus probables.
n'a aujourd'hui i i^^')), j ai constani-
c (jbjet. On l'XiiiSi'ra ici détails pr/-
/,■ n'rntrCtjit'athl ./.■ iiniiitr.r .//«• jr
pt a IraHilur la ipicslioiis ,,
miers transformistes, Krasme Darwin
lit entrepris d'édilier la théorie de
;umenls audacieux et en partie méta-
win, au début, mit au service de ses
idente jusqu h la timidité Sdiargu-
iur des faits. Sans doute ces faits
ibants; mais les raisonnements par
les faire passer pour des preuves
eut inéine si naïfs, qu'oui >. ajoutait
ir leur faiblesse.
sv( niii.iidii-: Di; i .\i i l'^i h
joiNK Di;s i-;si"i-;( ES
)ar\\in dcbar.iua a l'alinouth et. des
un pays l'eu après s.mi retour, il -ut
-A en relations avec le céli.hre géo-
i\ celle circonstance exerça évidein-
écisive sur tout le cour> ultérieur de
utrcs choses, ce qu écrivait l.yell au
réponse a un article que celui-ci lui
us poiive/. l'éviter, n'accepte/ aucune
.fticielle et ne dites a per>onne que ic
eil. aulreinent on criera contre moi
latriotisme .J'ai lutte autant que je l'ai
irçtre président de la société de géo-
(,KANl>l.rk KT l)l-.<;.\l)tsi.i; |il llAK\vlSl^MK ',;■!
lugie. loin a l>ien tini.et je n'ai pas perdu plu-, de temp-~ que
le ne le ciaignai-., mais je doute que le temps qu'on ga>pille
dan^ les vocielés savante^ en besogiievadmini^tratives soit
compeii-c par un avaul.ige quelconque Quelle folie d'avoir
voulu transionncr le Her^chel du,cap de Bonne-K>pérance
en un IK-rsaul président de la [iociété rt.vale '. 11 n'a pas
échappe -ail-, peine a ce danger. I W dire que i avais vote
pour lui : j espère que cela me serabardonne l'our conclure,
travaille.' pendant de longues année-,, comme |e l'ai tait, et
oniieur et le fardeau dt
geu> qui sont taits pour
|U ils ne muU capable-, de
n assume p.is prématurément l'h
distinctions oliicielle-. 11 v a des
de pareilles occupation-., attendu
rien d'autre »
Comme plu-ieurs grands savants aiiglai>, Darwin possé
daltas^e.'de fortune pourpouvoiriuettre en pratique leçon
seil de Lvell Kevenu en Angleterre, il procéda a la mwe
en ordre de ses collections et publia une relation de ^ou
voyage, aln^i qu'un important oiivrage sur le-, acquisition-,
/.oologiques laile> a bord du n.-\glc, travail dans lequel lî
fut aidé par le-, ■,avant-. mentionnk's plus haut.
Nous avon, indiviue à larges traits ou eu étaient les théo-
riesévolutionniste-,aucominencemeiitduMeclcpa>se Ainsi
que le lecteur l'a pu voir, bien qUe Darw m connut cc^ théo-
ries, du m. .111-, celle de Lamarck. et que. durant -,on vovage,
il rencontrât a chaque pa- des phciiomeiie^ qui ^emblalenl
se prêter on ne peut mieux à leuf application, cependant il
n'adhérait point encore à la noijiyeUe conception de 1 ori-
gine du monde organique, lise qoiiteiitait de poser le^ quê-
tions et de consigner rainutieuseiment sesob^ervalions dan-,
son JoHinal, mai-, il évitait tout ce qui pouvait ressembler
a une réponse t'.e n est guère fiu'en passant, et non sans
ironie, qu'il mentionne les vucside Lamarck Nou, ne ren-
ci.nu-ons nulle part dans son jAinia! le mot ev.'lntion : en
revanche, nous vovons que Dirwm ne dédaignait pas le
moii-r.ati:'!! Si donc iL inclinait alors vers l'une des deux
— " ^™
»
M
manières de \uir cou
nii-nes organiiiues, c'et
Ajircs Miii retour er
j;ruuper et a élahi )rer 1
ses idées comiiieiucren
Comme- nous 1 apprcu
citées plus haut, cette c
Sous quelles uilluence
lui- même, s'en rendai
analyser son m^i Mo.
perdre le temps coii->a
s inquiétait intinimenl
de la théorie que d'éta
moins, pour satislaue
lui tut parfois de dm
même, comme le mon
citée Dans un cas de c
i|Ue la première idée
lecture du livre de .\lal
/.)//.'//, publie cil I7>)
Darwin lui revenu de
ciuelque article nécroU.
savant sur le principal
l-,n outre, des entrel
listes émineiits. tels q
a coup sur, laisser d
L)ar\\ in. (irande lut ce
le créateur de la géi
cette science la toi ai
titua la théorie de la t
restre
Quoi qu'il en sKii. t
note, e.vjxjsant sa maii
mais ce ne lut qu'en i
mures pour nmntrer c
lû^
)N' IT TK.\NShOK.MlsMK
cernant la producti.ui des phéno
ut é\ idemment vers celle de (.uvier
Angleterre, lorsqu'il se fut mis a
matériaux rapportes de son M)vage.
t a prendre une direction tout autre
lient les propres paroles de Darwin
viilution intellectuelle fut tre-, lente
, se pjoduisil-elle ? (.'est .1 peine si
cdiiipte.car il n'aimait guère à
este au plus haut degré, il estimait
Te a sa personnalité et, en général,
plus de réunir des preuves a l'appui
ir sur elle ses droits d'.iuteur Neaii-
a curiÇisite de ses admirateurs, force
lier divers renseignements sur lui-
tre la lettre a l're\er. précédemment
genre, ecri\ an ta llaeckel. il raci.nte
le la selectmn naturelle lui \ int à la
hiis, A'.^.^.n .'" //'■• /''■'■'.'. 'pl'--' "' l'"t-'
.Mallhu-i mourut un an .naiit que
vovagie, et il est fort probable que
gique avait attiré l'atter.tion du jeune
uvrage du célèbre éc.iiiomistc.
leiis intimes avec plusieurs natura-
le l.ycU, Hooker et autres, devaient.
•s traces profondes d.ms I eii'rit de
tainementsur lui l'inlluence de l.\ell.
e moderne. 1 hcjinme .pu bannit de
catastrophes periodi.lUe■^ et \ sub>-
anslorlniatioii lente de la cr.aile ler-
n i.s-,.». Darwin rédigea une première
Lre d envisager l'origine des espèces ;
- 14 qu'il jugea ses idées suflisamment
travail a son ami l-\ell
(.KVMiEl R ET l>l cADEM f.
\IV liARWlNIsMl:
base son s\-.teme eco
lie-, variété-, d aiiimauv et
/; .irlit'u:.-'!i\ de même,
'.',■ sert à fermer Je ii. .u-
Hn voici le f<md .Malthu-- avait
nuque sur la prop. isition suivante!: la population saccroit
plus \ile que les denrées alimenitaires d..nt elle a be-oin
pour si.n entretien ; il se produit alur- parmi les. Iioiiuues
une 1 r<//i7i//-c».c v(/,//c. dont seuls les mieu\ .li.ue-. M.riciit
vainqueurs Des sociétés humaines. Darwin ti .iii-pi.n.i la
priqMj-.ili.iii de .\l.iltlius dans le d.imaine anuual et végétal ;
en appliquant ce principe au dévieloppemciit dc^ espe.cs.
il imagina la ■.■.■Idimi i!.itiircl!i\ L•'e■^t•a dire la disparition
de~ e-^pece--. mi ■m-- aptes a la lutte |.(.uf l'exHleiiceetle de\e-
l,q>pement de celles ,|ui s'v tr..u\!ent mieu\ préparées De
même que l'hiuiimc produit certa
de végétaux a l'aide de la .se/..//
dans la nature, la -c.'.. //."; ii.itnr^
V ellesespeces
La piemiere il.. te de Darwin s|vir la sélection ii.itiircUe,
cmmuniquce a ll....ker, ne tut pasjivrecali publicilc. .e
qui peut-être valut mieux [i..ur le -.ucces' lulur du .iarwi-
iilMue. S.msla t.. nue .pi elle avai< aK.r--. san-. 1 .Kcmiipiune-
nient de nombreux d..cuments réunis pour en moiilrer la
iustes-.e. Ihvpothe-e de Darw inl aurait ete pi idiablemcnl
aUs-,1 peu remarquée. lUe lelurellt le-. Iivp. .tlK-.cs-.emblable-,
de ses prédécesseurs t'a.'st ain|-i .pie Wells et Patrick
.Mathew.des iSis. avaient cmmunique a la A'.m.i/ S,.,;./r
des iiK-iii.. ires sur la selecti..ii naturelle, l.i llieone ev.. In-
tl..iiiiiste ne lu p.iiir'ant aucun jfrogres dans biqniiion des
savants et du public, maigre l'api^-iritiou de diltcreiits traites
qui la dclciidaieiit au p.uiït de vui scicnlili.pie ..u purement
métaphysique. De is^o a 1841)
ordre d'idées b.«ii ii..uibre d'ouvt
ils ne tr.-uvereiil pas d'-echo H. .m. .ils 11.. u
travau.xdespaleonl..logistesrngerel de llalK.v , dumorpho
logiste Cariis. des botanistes Nandm et lecHp ci eului du
célèbre phil./soplic Herbert Sper ^er
loutelois, 'deux livres qui virent le lour durant .ette
furent publies dans cet
ai;es remarquables mais
;iialer les
(I
i.HVS-hKlK KT 1)1' M'ENCE .)i; 1>AKWINI-,ME
>ii Ciiiiiarailc
Hatc-., un \ owitle J.iii-. les pa\ s triiiMc;ui\
polir roi UL-illir
des lait-.
^1
U rc-Diklre la iiae^tinn de
.rigiii
-1"
l'clKl
lut
lit 11 lie .luaiUitc .U- belles c>li>er\ at
p. .ri naturel >le> aiuiiiaiu et .le-, pla
nation nelic et inépuisable, il taelij:'
tii.n i;.i.t;tap!n.|iie de-. e--pee
•i;anK|lle-,
:llan^eMleilts daii-. I.i cnliuiirati.. i de> ei.iituieiit-.. par le
détachciiieiit de
ile> et autre
e> ( Velleiuent-.
-.ciiiblable
lions ~ur
reeller^ lie
en. tant ee tciiip
ir .\ lu p
nues e\i>tanie> et passait Jes .innées en
.ineUple petite iiue--lion speeia
,ir cxeiiipie
m >ieii de lours le-> iiraine-.
poii\ .lient re-,ler .
i;ermiiiati\ e I. ali
W'aihue, ■.a\ ou ;
du e..niinent dair
e.lll de mer
le ne-oudrc
•lit le
l-dani d.
idei.
le^ lies
.r.rit aiidaeicux di W'a
tie l.i ielee ti.
4Ue
léte. il lie s attarda pa-. a elle
laturcllc
r.-lier. d
urant de loiiuues années.
toute
PO-.--11
es a réuni
.■vel..['pj
1 Kl-, uu brillant artu
:crnat on il -e trouvait alors, a su
.eh
le lut
1 \ ell, ( ."était e 1
.[lle
I ).iri\ 111 lui ineiue n av.il
ses vues peisi .miellés sur 1 origine
Aïoiilon--
W
illa.-
d at^res
idée de 1.1 seleeli..n n.ilurelle pejid.inl
lu délire lie la liè.re: re\eiui à la >anté, il s'empressa
'Oser p.ir eeril ectle li\ p
allés
.IV ait lu \lallliiis et connaissait la d
sur la lulte pour
xisleiK
larmi
I
arti
e iiii II cindva a
Dar
7. ■/(./< /.'. le/ Wi/irii,-.^ Il' J.-^.irt iuji
l vfc l.i-tl
leorie Je la seleetlon IKltLrelle V elait
li< (
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'11,
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iiis c. .necrnaiit le traiis
ites. Doiie d une iiuani
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evpluiuer la
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.ans perdre leur !av:ulte
même i>robuiiie iiue
t,iu\ ont ele traiisiHprtes
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ITopi
.-tait en p
omme Darw m
W
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drille de cet ece.nomiste
;-. hommes.
r\\ 111 avait pour titre
( >i
i/n\-li II
lin-
;\"eloppée
il
.KASI>KrK El I)
' IK\VIM>.>!1;
.es lignes se trouvent dans l;i iircl'ai;e du (.' ■iiip.'
■lit Je
Li llh'diii' Je Li >éli\tioii ii.it nrcllc
ace en iSto, c est-à dire au
'Uvratre pu
jbli
yx: W
ment eu. entre Ic^ deux
créateurs Je cette théorie, régnait déia un proton
ment sur son application a l'origine de l'hoinini.-
a.
-enll-
i »n
■ ut .[Ile devenu spintualiste,
W.ill
acc ne i:cgligea
rien aan-.
la suite p(.ur modérer l|'ardeur tanali>iue des par
tisaii-
de
étrille
Darwin, aii contraire. Pou
par les attaques passionnées et Si.'incnt
\ er-aires. se
ihl
la
aille de plusieurs adeptes aile naïKls. e
cuscs ae ses ad-
sa entraîner par 1 enthousiasme dérai^
:t il alla dans
conclusion-,
beauv
oup' plus loin
;hut
Ile se 1 etai
P'
i\oii> déjà dit qu'il s'en lallait de beauc
Da
rwin lut doué d'un proloiid esprit pliilosophi.quc. S
ilelligence simple et droite sei
.i\ oir ete créée pour
es sciences purement descriptives. li.iutc teiil.i.'.ive de rc-
lurir à la déduction lui était lienible et même lui repu
lit: il
s'égarait et. sentant 1* terra
blait
Te
lin vaciller
ieds. il s'efïorcait
le.
[lutter au puis vite. ^e~ a\ eiitureu.v
isciples ne se distinguaient pmnt par une conscience auss
scruinileuse. ils se leterent lele
du
raisonnement deductil, rem
ihvt
e ce OUI leur inaïKiuait iiuant a la ri;;ueur e
tude inéthodiuue de 1
1 pensée
Da
baissée dans le tourbillon
ks'ant par le /leie du neo
;t a' i'
exacti-
rwin essa\a en vain.
une lois, de
déb
;iordemenls d une specu
ilati<
11
était trop
doux, tri
op magnanime pour prononcer un veto énergique
.Vus?i sa bouté lenlr.iin.i telle beaucoup plu
m qu 11
;Ut été Utile UOI
-uleiucnt pour ses partisans, mais pour
iropre doctrine l'ius mode
aans
son trioiuplie.
larw inisine aurait rencontre c
hez
es criluiues scicntitiques
beaucoup plus d'indulgence puikr ses lici
a re-erve
dont Dar
lui même ne se dép^irtait pas avant sa malheu-
reuse publication sur 1 origine de, riiommc. le charme de
lit,
VIO IV.
peraijiiiialitc ■•'. iiip.ithi.i
j\ aient J'.ibin\l ilc>.inn
|ireiniere tciil.itive puui
der, opccc?. en Jcpil .1
d être .ictiicill'.e .ivec a;
liâtes 11> Jmciit cliauii
t)>iiie et Je> cxaiierallKi
t|U(ji le .iar\-> iniMiie a i
d abord Ile i>aient .pie
N'oii~ ariet'.ii-- l'aiialv
publitatidii de ï ( h ii;iii
.uil h r. I Iji \\ 111 nier
règle a -.1 |ier-iline. Ni
génie a ,d)5ervateiir h"
inlatigabie, J'Mit la pa
niellle llall^^e> erreurs i
leciillde .pie plu-leurs^
l.iUte? ic^ brailelie> de
parée ^.lll^ a . mis dit .
.[Il elle:- niLriieiit. grà.
Aussi prêter. /iis-n.ius p;
i I luIlUiU
le ictein altelllil d.
remporté i iinpressi.iu
terre. Darw m dut subir
n.iuvei enl.mrage. aval
relie et de se résoudre
observations recueillit
uioiide Sun iiistructioi
teiuellt de5^ripti\ es. r
plus exactes de la biob
de recourir au-x conseil
portaient intérêt V.n so
par la publication de 1
sonne plus que l'autei
s i:r iBANsrOKMl--.ME
le et la sincérité de ses convictions
e un grand nombre de savants 1 a
explnpier niécaniiiuemeiit 1 urigiiie
; t.iUs ses delaiits. 11 avait pas laissé
se/ de,,bien\ elllaiice p.ir les iiatura-
;r d'attitude en présence .in tana
s de l.l ii.iir. Ile ec.le N'oila p.)Ur-
eCll par Iki.cllet t.lllt de Ciilips. qui
Haectjel et autres
^e de |l ps\ cli.ilogie de Darwin a la
des i';.'./'., . '. />.■ iii'irliiis .mi iiihil
te hautement (.(u'on appluiue celte
Us a\cns rendu pleine justice a son
rs liiiite, a sa probité de cherclieur
■laite lionne loi était incontestable,
vldenles. a limpulsion puissante et
e ses lira\aux ont d..nnee a presiiue
la botanique et de i anat.iinie om-
Ic ses premières nii\ res t.<ul le bien
e a ses n.imbreuses decon\erles.
sser SI Us silence sa IK >..ii.Lin.\' ./.•
:s pagrs jirecédeiites a certaineineiil
que. .lepuis son retour en .\ngle-
une forte pression de la part de son
t de vaincre sa grande timidité natil-
» rendre publiques les mer\ eilleuses
s pendant son voyage autour .lu
. déjà limitéedaiis les sciences strie-
;sta iiresi|Lie nulle dans les parties
gie IL était donc obligé, au débul.
5 des é|ninents'savants anglais qui lui
urne, |i grande sensation provo.piee
''>ngiiu Ji-s Aj/i.-.ci, n a surpris per-
r lui-iiiènTe. Les toiles exagérations
.KANUKIK t.T lit. \L>bSc
auxquelles se livrèrent les vulgarisateurs allemands, plu>.
métaphvsicieiis que savants, ' einpressés d'exploiter celte
gloire naissante pour s'en créer m tremplin de réputation
personnelle, ont du lorcément
Daru in .\ussi esl-il ioii)ours reste
rite des reproches c|ue de vrai
argumentation ^.iiuent faible et
ni' ^AK\vt^■l^^■,l
troubler le lugement de
impassible de» ant la sévé-
savants adress.nent a son
l l'insuffisance de preu\e^
en fa\eur de sa thèse. .\\ec sa mentalité un peu féminine,
il ne se rendait pas compte de la dilîéreiice entre l.i valeur
d lin simple argument et celle .lune preuve scientifique.
Soutenir .pie I ab..iidaiice des aiiiuments ne peut pas coni-
penser dans la science labsciice jie preiue-, cela lut parais-
sait une marque de malveillante partialité. D.ins le même
..rdre .l'idees. l'analogie lui semblait tr. .p sou.ent sunitier
lequiv.ilent de 1 klenlite les noiubreil-e- erreursde logique
d.iiis ses raisonnements, autce tr.it de 1 esprit temiiiin, lui
échappaient enliérenient.
11 est d..iic tout n.ilurel que le- enihoiisiastes hommage^
de ses admirateurs lui aient inspire as-e/ de cntiance pour
qu'il renonçât à s,i timidité primitr.c et qu'il se décidât à
écrire, en 1^71. sa /^..s. c'/./.;//,.' ./c Itli'unii- '~<'.n\ devoir
n était il p.is d'.iller au-devant d;s exigences de l..pinion
piiblii|iie. en imirniss.int des preuves décisives .pie. gr.'ice a
la seleciioii ii.iturelle. l'iionimc d;\ ait. lui aussi, descendre
pliisou moins directement des vurtebres supérieurs r
l'..ur sauvegarder la mémoire! de U.irwin. li xaut donc
mieux ne pas insister sur les delaul- de cet oU\rai;e. (aiu-
tentons-nous de rappeler qu'entièrement étran>^er aux no-
tions huidament.iles de la psvchjdogie. Darwin avait néan-
moins entrefnis .le démontrer qile les aiiimaux possédaient
une puissance mentale et un sens moral de l.i même nature
que l'homme, et celaa l'aide de Hanals récits recueillis de-ci
et de l.l siiiis examen ni inethodd. t.oninie exemple de son
mode d'argument.ition ne citoni qu'une seule phrase. Idi
parlant .fe la crovance en Dieu il' s exprime en ces termes :
If
'( ( c-ttc ijueblîoll est,
d'ordre [ilus élevé, s i
vers, ijuestion à laque
loii> le~ temps ont répc
Avec la Irancliise q
disait d.iiis ses lettre> d
to follovv a long. and su
limilcd: and therelorc
nietapli\ 5KS or niathei
peu di>posec à la svnt
biographie que son '<
Lhine pour de^iuire les
lation> de l'ait> observ é'
N'oici d'ailleurs con
leuvre dans une lettre ,
d'ajouter .|uc je n'ai j
imaginer que j'ai réi
smer quelques larges
Au point de vue de
traste avec i.amarck '. 1
résumée dans ces quel
twrcent, par leurs trai
naissances humaines
découvrir et de démoi
la rép.mdre et la t'air
dllelie et la raiswii [luh
éproU'.er quelque ch
obstacle tel qu il est
naître une xerité que i
En dehors de plusi
quées qui ne tenaient
I / ir, .uui ittlci , ut Ch.
IN KT TRANSFOKMISME
cela va sans dire, distincte de celle
esiste un Oéateur, niaitre de 1 uni-
Ile les plus hautes intelligences de
ndu atlirnialivement *
lait le charme de ses écrits, Darwin
e sa propre mentalité : " .\ly pouer
i\\ abstract train ol'throught is very
I could never hâve succeeded w ith
atics'. * .Nlalgré son intelligence si
lèse, Darwin attirme dans son auto-
esprit était devenu une sorte de ma-
ois générales des grandes accunui-
nient il apprécie la valeur de son
idressée à .^1 H\at. " Permettez moi
iniais été si insensé {.■<ii /onlisln pour
ssi a faire autre chose tjue des-
:wntours de l'origine des Espèces i/i'
'ii'.hl iiiilliiiis ol tlu- On'iriii df' Sp,-
la pensée philosophique, quel cnii-
oute la tragédie de sa \ le celui-ci l'.i
|ues lignes ; « Les hommes qui s el-
au.\, cJe reculer les limites des cou-
saventi assez qu'il ne sullit pas de
trer uilie vérité, mais qu'il faut encore
i reconnaître Or, la raison indivi-
ique qui se triiuvent d.ins le cis d en
ngemenl v mettent en général un
ouvent plus difticile de faire recon
e la découvrir »
;urs hypothèses, excessivement ris
pas debout au moment de leur émis-
.'■,•- /J.ik, ,„, V,,l 1.
eurs iio\aux exercent sur
isine entier I intlueiice
oKASUE'.'K KT DÉoAIjESCE ur DARVMNlSMK '"i^l
sion, Eamarck avait raison d'attribuer dans l'évolution une
large part aux forces psvcho-nerN'euse-î ("es forces jouent
nécessaircuicut un rôle considérable dans le développement
des indi\ idus. cl par conséquent dans celui de l espèce " La
cellule germinative de Shak-espèare, écrivais-je dans les
AV;7.v ,iii (^.iiir. conteiiait déjà les éléments nerveux i[ui
déterminèrent les prédisposition;) de son puissant cerveau
de psvchologue « Les biologistes l'oncentrent actuellement
toute leur aUtiitii'ii sur l'inlhiencc que la vie et le dévelop-
pement des cellules et surtout de
la naissance ei l.i vie de l'orga
récipriHiue. celle que l'organisme entier exerce sur la vie et
la croissance des cellules, est à peine prise eu considération
l'iuirtant. celle-ci est décisive ; elle opère en grande (lartie
directement par lactiDU du système nerveux, ou indirecte
ment par la voie des organes de circulation et de sécrétion,
et des échanges organiques. Lamark a eu l'intuition de p.i-
reilles influences, et c'est lui rendre justice que J'en relever
la portée
De la théorie de D.irwin, nesurv
et admirables observations sur la jiie des plantes et des ani
m.iux. vpi il .ivait si laborieusemèiil accumulées Son idée
géner.ile. ic.oiaiu.n par la seUction naturelle, tut une
grave erreur 1 i suppression ménje du mt,l ^■vnutini/ et sou
remplacement par le im.i J,-i\'!i'bpLHuiU s'imposera tôt ou
tard à ticus les esprits imu prévenus. Il ressort en effet de
twutes les recherches récentes, inspirées par les expériences
de(i .\|e;idel. quil lie peut plus
formation , n^/. ,/.'/, des lormes org
s.iiits que les nouvelles variétés p
Le mol iiiiit.il/i'ii. que les continuateurs de l'ii-uvre de
Meiidel. comme .^1 de N'ries, chejrchenta introduire dans l.i
biologie à 1.1 place dévolution, esjl trésancien. Saint 1 hoiu.is
d'Aqilin l'a deja fréquemment einplo\ e dans le sens qu on
lui altribuc actuellement. K, 1-. \'u[\ Haer recommandait les
ivrontque les iKimbreuses
être question J une traus-
aniques C'est par />///v/(/:-:
araisseut se lormer.
I
If
;
3 14 ivoii
ternieb ///.■/.( ;//"//> //•'>.'
expcrimentalcs. obtc
iiiutatiuii Coin icnl ]i,i
1 eiiiplnyaiit, c\ iter le
fint été si hmcstcs au:
Des blLL'icS .i'illlUJll
sur les cmiditi. his de h
ainsi uue sur les tran-
des variations jn-ssiblt
hisluirc du dcvehippt
prise dans une dire^-'ti.
% 7 - l-l>
i>i- i.'iii.Ki ru i 1- 11
De toits les nustcr
rembrviJii est. sansi.x
le plus uhstiiiémeiit d
Dans le courant du \i
classiques de K ï. \-
se sont Consacres aux c
chaïuj' d iu\ estigalion
observant, surtout,
animaux mlerieuis. il
de nombreuses inJica
Ti'jppeineiit des orgar
littérature embr\()lo
mentes arri\ eut dillici
documents mis à leur
Mais ces document!
1 ripli/, et c est tout ;
de départ a la Icntativ
puleusemeiil observé:
l.'embrv ologiste pr^
oit elle se détache de
g'I
ION tr TKANMoHMlsSIK
Il II .iiisinul.ilidii Pour lesprodiictioiis
ucs à 1 aide de rhvbridalion. le mot
'laitcmciii, mais il vaudrait mieux, en
- génélralisaiions mélaplusuiius, i|iii
sciences iialifrelles
brables expériences et d observations
vie di:s cellules et sur leur c^roissance.
iiiissio is héréditaires et sur la nature .
s a piciduire. ]iasseronl a\anl ijuiine
ment des espèces puisse être eutre-
in strictement scientiiii|ue
't'Al'hi:-! MoKniiil I ".li.il l'-.'i
A iil.c Ah! .N( l'. II! IiAKW 1.\1>M1.
:s de lu nature, le développement de
mredii le plus obscur, celui qui s'est
robe aux recherches des naturalistes.
.' siècle, depuis les premiers travaux
in HaeT. un grand nombre de savants
tudes embrcologiques l.ii elendant le
a pres^jue tout le règne animal et en
a mar'che de la croissance chez les
> noua <uit. en même temps, donné
ions sijir les dix erses phases du deve-
smes isuperieurs. .Xciuellemenl . la
ue es< si vaste que lesspécialtstes eux-
lemenla se rendre in.ulresde lous les
disposition,
sont surt(Uit d'ordre purement ./■.•• '
u plus s ils peuvent lournir nu (loiiil
5 d expliquer des phénomènes si scru-
nd la cellule germinative au moment
organisme des parente, et la suit dans-
OK\Sl>KlR tr Dhi.ADENlE 1)1 ii.\K\VINlsMh -| =
ti>utes les phases du développement qu'elle tra\ erse, depuis
la fécondât ion jusqu'à la reproduc ion complète de l'individu.
A partir de la segmeiilatiirn. toiiics les niodilicatioiis ulté-
rieures de tonne que subu 1 ijeut pendant sou eVolutlon
sont étudiées, observées et décrites a\ ec autant d .impitafc
que de précision. Deux questions essentielles, couceriianî ,
la reproduction de 1 indi\ idu, i interesseni le penseur ;
t" t;)uelles sont les forces. inhér|:ntes a l.i cellule^geriuuia-
tive. qui dirigent son developpiineiil et lut tont parcourir
fatalement tout le c\ cle des moditicatious régulières."
2 ' (^ommeiil cette cellule parvie it-elle a transmettre, a tra-
vers des centaines de génératioi s du règne \ei;éial ou ani-
mal, les particularités c.iracteri:>tiqaes de structure et de
forme .'
I.e premier problème concerne le~ loisdu de\ eloppemeiit
et de la croissance : le second se rappc^rte a cellesde la traits
mission héréditaire l.orsqu iletudie lesphenomeiiesembryo-
logiqiies. le iiatur.iliste est soiu ;nt force de ^oulondre. de
ci>mbiner ces deux problénujs. puisque, pendant ses
recherches, la même observalionj peutegalemeiil contribuer
a la solution de l'un ou de lautré. -^lais le piulosophe doit
les distinguer rigoureusement. La scdulion du premier pro
blême nous donnera vraisemblablement la clc du second.
Lorsque nous connaîtrons les forces qui presidenl ,ui deve
hqipemenl du fa-tiis et les lois ejn vertu desquelles s opère
sacroissance, nous serons, sans dijiute. en mesure de^^pluiuer
aussi les causes de l.i transmis:lon heredllaiie \lai-- p.u
C(mtre, ces causes mêmes pourraient nous être connues] Us. [Ue
dans leurs moindresdétails. sans pie la réponse a la première
question eu devint plus lacile
.\yiuis le courage de l'avoueii. nous n'avons pas. lUsqu à
présent, avance d'un seul pas vtirs la solution du premier
problème, ni même fait une teiitatue sérieuse pour le
pli, pour la plupart, ne
résoudre Quelques hypothèse
mentent pas une anal>sc appiolondie
Voila
I Vi^-jm-v-^t^T:
E <
I
b
b\
Î4'' E\'
réduisent tous les etïort
depuis HIppocrate et A
des aiinùes que Haecke
d impuissarKc des sci
modeste ambition de r
lions dont 1 humanité
d années, alin que'la p
dans l'admiratvofl con
disons-nous. a\aitenric
rature zoologique. de i
ondulatoire des partie
torcc reproductive, et
pour satisfaire notre
sérieuse ; mais ce luxe J
<)Ucr la pauvreté des di
Nous soii>mc5 plus h
transmission heréditair
muler avec netteté. Co
organisme supérieur, 3
structure, cumulent lo
lecluelles ^c transmette
parfois san? subir auci
période geiiiogique? (
énigmaluiue lorsque n
de Lellules i.iyaniques
mission liéréditaire, uni
duire, dans un nouvel
structure de i'organisni
manière cette cellule ui
et sa multijilication per
nisme ?
l'iusieurs solutions d
n'en signalerons que cq
bien plus qu a sa valei
laveur : nous voulons
os KT TH.\.NSKOKMIS.ME
î scientiliques tentés dans cette voie,
ristote jusqu'à nos jours 11 y a bien
1, qui supp(<rte avec peine tout aveu
;nces naturelles et qui nourrit la
isoudre, à lui seul, toutes les ques-
s'est occupée pendant. des milliers
stérité puisse rester les bras croisés
emplative de ses teuvres. Haecke! ,
hi sinon la science, du moins la litte-
uelques théories du développement
les vitales par la transmission île la
: , etc. l'ne seule théorie sutlirait
curiosité, à condition qu'elle fut
e mois ne sert, en réalité, qu a mas-
:trines darwiniennes,
ureux par rapport au problème de la
. l.ssayons tout d'abord de le for-
iiiment toutes les particularités d'un
compris les moindres détails de
ites les capacite^ physiques et intei-
nt elles de génération en génération,
me modification durant toute une
^ette question devient encore plus
lus voyons que, parmi des milliers
diverses, luu' seule sert à la traiis-
; ^eule possède la propriété de repro-
ndnidu, toutes les particularités de
; dont elle s est détachée. De quelle
ique reconstruit-elle, parsa division
létuellcs. l'image exacte de cet orga-
1 problème ont été proposées ; nous
lie qui, grâce au nom de son auteur
r intrinsèque, a joui d'une cerlaïue
larler de la pangenèse de Oarwin
oK.^NI.I.lK ET 1)Ki:A1>ENCE' Df DVRWINWME ■547
D'après celle hypothèse, chaque Lellule détache f de petits
gcrme^ * qui sont toujours prés^nis Jan» l'organisme, et qui
peuvent -.accumuler dan^ la cel:lule destinée à la repro-
ductiiin de l'espèce; ces germes ont. en outre, la capacité
permaiicnle de nouvellescellules. destinées à reproduire de
nouveaux organismes semblables à celui du générateur dans
les points essentiels.
N'était le nom justement estinid de Darwin, la naïveté de
cette h\ poth'ese eut frappé dès \i. début. Klle est surtout
inacceptable au point de \ ue morphidogU|Ue Le^ingénieux
efforts de liroocks pour la defenire sont également basés
sur des h-potlieses inadmissibles.' 11 \ a plus'. ."^1. (ialton^
parent ei admirateur ardent de D.uuin, a prou\é, par
des expériences irréfutables, que Us '< petits germes » darw i-
niens n'existent pas dans la réalité.
S\ W'eisiuanii lut le premier àUonnerde l.i transmission
héréditaire une explication, qui. I dans ses traits généraux,
peut encore être considérée coriinie assez vraisemblable.
.\lalgré son audace apparente, cette théorie des plus simples
ne rep<.se que sur des observations et des données incon-
testables : aussi .i-t-elle d'abord facilement triomphé de la
plii(>art des obiectioiis quelle .ivait soulevées l\'ur
l'adopter, nul besoin de reeourirà;de nouvelles hypothèses:
eiilin. elle éclaire d'un jour nouK eau plusieurs problèmes
fondamentaux des sciences naturelles l^'est l.i théorie de
.NI Weismann qui porta le coU[>jle plus sensible aux doc-
trines evolutionnistes. en pleine fogue
X'oici le fond de cette théorie, ijuc son auteur appelle" l.i
théorie de la perpétuité du plasurc gernimatu J'.niiliinntj:
des KeiiiipLiMn.is ,,. lùant donné que l'h\ pothèse de Darw i
considérant la' cellule germin.iliN e comme un cxtiMi de
tontes le^ .elhiles de notre ,,>rp:,. est devenue insoutenable,
il ne reste plus que. deux manières d expliquer phys'f>h<^i-
t Dit- t'.it/iiujuii.i: ./<i Ki-/nir.'.tMK-i^ .;
l'iiiiAi.w" l'mlosi.r .\. \\\i-m.nr... /t«.<
!,,!./:.!
nu-y Th<-ortc .ii->
l>iSs.
il
il
^i^
I )
qiiciuiiil la ir.niMiiisii
lie la tcilule }ic-rmiiial
lout le c\ lIc des nu Ji
ilÈi, tiiiii Ji riiru.jiii'iii
lioii ,/,■ , rlItiL-', i;. I lin
firiiiiiii.i lii\- lie tr.'ii
iiiai> Jiiw Liiuiil .il- I.
i.c |irole3>eur W'eis
dtrnicre siippositKJii.
11 admet i|iie la subst
proprietcs cliimii|i.ie;
uii)léculaiic tlclciinin
ration en géiiératiDii i
postérité contient ào
le!^i|uellcï provieiniei
Iules gerniiiiatives d
prolesseur W'eismani
gerniinatil (,/./v Kcm,
<.on>équenunenl. i.
Cellule gerniinati\ c.
ductiun dn nouvel o
titue une sorte de ré~t
à lornier la tellulc
ijuente.
( 'ette tiiéorie a pan
tenip~ trè> simple lin
parait hardie i|ue parc
n'y est pas habitué. .^
probalité ijue nous pn
viidence a aucune \
transmission hereiiila
i|n'elle la réduit a un
tinu. qui est le [diéno
plasme générateur ne
ijui se trouvait dans to
rgi
rioN HT TKANStoRMISMK
^n héréditaire : ou bien la substance
ive possède la jiroprieté de traverser
ilicatnlms qui ahoutisseni .1 la irpia-
■ iiiiii^iJiu'l et ensuite a la rc^niJ.iu-
i.iiiii.s iJ, ii/i,/iir> : ou bien :.i n'Unie
•II/ iiiiIL iih ut Jii .■('//>.'. ,/r F iintividii,
. l'Uni oi iiiiii,.ilni- .iih i sh\iL-.
nann s est prononce en fa\ eur de cette
|ui coii>titue ain>i la base de sa théorie,
n>:t: germinati\e, douee de certaines
et physiques, ayant une >tructure
ce, se ^raiiMiiet directement de géné-
a cellule germinatu e ipii tonne notre
ic des I molécule> de cette >nb5lance,
t ilii-i-Àliiiii ut de la substance des cei-
;,nos iancétres le> plu> reculés i.e
appelle cette substance le " phisiiie
r>l.iMi/.l , „.
j plasme spécifujue. ci)iiteuu dans la
le participe pas ./; Inl.iliti- a la pro-
nl^Ine : mu- p.irtn- di: ce pla>iiie cons-
rve dans cet organisme même, et sert
rininative de la génération subsé-
g£
d'abord très audacieuse, el en même
réalité. 1 idée qui en est la base ne
qu'elle est neuve el que notre esprit
ais elle présente un tel caractère de
rrions l'adopter sans iaire la moindre
:rite établie. Ivlle e.\plique aussi la
re de la laçon la |>lus simple, parce
iheiiomeiie de développement coii-
néne le plus constant de la \ le Si le
t. en réalité, qu'une parlie du plasme
es les cellules gerniinaiiv es des géné-
i t
oli.VNHnR KT l)ki;\l)ENCt HT 11-\1;\V1NI>ME
rations précédentes, il ./.. 7 posséu
de reproduction, et. après avoir p
develiq>peinent, .ih^iilir l.ll.ilciii
I.e plasme geruunatil constituerai
,/i' iwlri- "i-o.i/iituir .
l>u Se trou\ e ce plasme?
Les bnllauius recherches enib
piar -\l.\i I lei l\\ li;. Stiasslniri;er et
tellt p,l~ de douter que la ^ ,■////.'■ ,
rôle second. me d.iiis la iecondat
réalité, -par l.i copnl.itiou des deu:
cellules genninati\ es m.'ile et lei
lieu, ainsi que M \ an Heneden l'a
;;.'i'»'.;/('i . />/.'.(/./. pir l.i réunion di
a\cc le iiM» au de i oui. lesquels s
, unique, le iim. .lu segmentairi
pi. uir \i iiiaer un omanisme entier
qui approt uidll particulicreiueiit
Iule gerniiiMlu e .|ui le conUent
les subsiaiu e^ nécessaires a sa n
n.itil uniquement celui qui est eut
le pblsuie cellul.tire qui l'entoure
luariuvL, (!ciu Conception de
iio\au doinuie .ictuellemeiit tou
l-it.mt dcuiues 1 état actuel de
im'poit.iiiLe de i.i trausiiiissi.iu h
coiicepuou de Torigine du m
aisément qu a l'aide de la " pe
natit' ». nous expliquons sans pe
taire de t.uiles les [larlicularités /"
• thc.irie csl dilhcilement concilia
particui.uitcs .^ i/z/rvo, hypolhes
b.ise de loutes les doctrines év
termes. /.( thi\>ni Je WiimiMni
li\i 1: MU !.■• Mil II ^1(1- '.iqiu-lL- i\'p '.-,.■
a:
lUdi
H
'V)
ier les mêmes propriétés
,ircouru tous les degrés du
m au même' résultat final.
; ainsi /.! p.uli ■ 1 iinih^icUc
vol"Uiques, laites depu.s
\ au lieuedell. ne permet-
erniiitati\ c ne joue qu'un
>n. celle-ci s'opérant. en
;' o.r .■ \ Contenus d.ius les
lelle. (iet acccniplenicni a
.ait observé chez 1 . 1 <^ .ir:>
no\ au du spcrmalo/.vjide
■t c. .ntoïKieiil eu un \\t>\ .lu
. celui qui se développe
Ce lut circuits l'h l!o\eri
le râle du iio\ au l.a cel-
lui UMiisinet simplement'
nu. .11, lîst pl.isine genni-
;rmé dans le uo\ au même ;
ne sert que de substance
lodloplasUle N.ygell du
e 1 einbr\ ologie.
la question et la grande
;réditaire. par rapport à l.i
organique, on conu>rend
pétuite du plasine termi-
ne 1.1 ir.iusinissUin licredi-
vc.sdes parents. .Niais celte
e avec la transmission des
i qui. précisément, est la
ilutionnisles. lui d'autres
,u7/// i.-tt.- p,>iMhlliu- Ji-
.'.■ tr.uiitoriinsiih' I.e tait
>j
!'i
ri
est aiitaiil iilii>>i,i;ni(ic
un Jc-> |)lu5 aidcius ]
iiiagiic,
Daitleurs. il ne se
portail un rikiL- couj
e>pèces. Dans un tra
Ji'/i-. il cherihc Je s(
laite. " S'il n'existe .
transuiissiiin liercditai
pas prou\ e nc.n plus i
puisse être liclcniiue
siun >y Kt il tente 1 i
mais, hélas ! force lui
lions vagucs. Il n'est
très porté à détendre
père luiMuénie de sau
écarté le principe de
il est vrai que la [u
seconde. .\| W eisma
lusqu'à présent. " il n
un seul tait prouvant
l.e célèbre phvsiol(ij;ii
étudié de prés, dit-il
transmission héredita
des qualités qui ne dé
de l'ieuf et du sperii
appropriées [dus tard ;
A iii iiii ,/i- c l'i pliciionii
et ih'> p.tiiit uLirilcs
pas moins catégoriqu
sincères, rK-ius devrio
larités aci|uises .7 cl.
i/u'il s'airisi.iil J'ixpi,
hypothèse obscure. »
l:n produisant les
ION Et TK,.\NSFORMlS.ME
jlil i|uc .^l W'eismann a été lui même
ropagateurs du darwinisme en Alle-
■t nullement dissimule .|ue sa thèse
a celle de Darwin >ur 1 origine des
.'ail consacré spécialement a V Hérc^
n mieu.x à guérir la blessure qu'il a
ucune preuve sérieuse, dit-il. de la
re desjparticularités acquises, il n'est
lire la théorie des translornutions ne
pi'a 1 aide de ce mode de transmis-
nipossible pour sauver cette théorie,
est de se borner .a quelques supposi-
las diflicile de voir que 1 auteur est
53 propre doctrine, mais qu'il déses-
er la théorie de l'évolution, une lois
a transmissifjn des ijualites acquises;
emiére tache est plus facile que la
m n a pas de peine à prc)u\er que,
L:\iste pas une seule obser\ ation, pas
hérédité des p.irticulantés acquises*,
lie Piluger était du même avis : " J'.ii
tous les laits cités en faveur de la
re desi i|ualités acquises, c est a dire
•i\enl pas de l'organisation primitive
atozoïde, mais que l'organisme s'est
f)ils I intluence des causes extérieures.
ihs ne firniivc l' lu-rédilc i/.'v qualités
a.ijitisis ,, Du Bois-Revuiond n'est
à ce sillet : " Si nous \(julions être
is avouer que l'hérédité des particu
iiinijiu-iiiiiit inventée pour ,/.•.•■ laits
uer. et .lu'elle est elle-même une
'/
divers arguments qui inliruicnt ce
f'.'.eiu e eongéniLile Pour
théorie darwinienne Je
selon i.|u'on lexerce ou
moditicatioiis uraJuclles.
l,K.\Nl)F,UK ET liB .iiliES< E 1>V DARWlSlsMK -,-1
nioJe J'hérévlite. M W'eismann cite également les expé-
riences Je Na-geli sur les plantes, qui Jéniontrcut la non
transmissibilité Jes particularité» acquises 11 aurait pu
signaler aussi un fait bien probant contre leur transmis-
sion héréJitaire chez les hommes, l'ont le monde sait, en
etïet, que. pour des motifs religielix. les peuple- Je l'Orient
pratiquent, depuis un temps imilnénKirial. la circ^nci-ion,
et pourtant il u'v a pas cu jusqu a présent, parmi eux. un
seul nou\ eau né dont la particularité innée ait rendu mu
lile cette opération. Il en est. Je |nême avec l'hviueu : on
n a lamais encore constate son
défendre autant que possible la
1,' " Origine des espèces ,,. S\ ^'cismann coniiueiice par
sacritier l'ulée fonJauieiitale Je tamarck. a savoir que
gane se développe ou s'aftaiblit
lUju ; la somme de toutes ces
transmi-cs par l'heredite. devant provoquer i.i iransior-
nialioudes espèces. Il est. en etïet, évident que 1 idée Je
l.amarck est inconciliable avec iji théorie Je ia perpétuité
Ju plasnie germinatil. |
l.e professeur W'eismann. par i outre, recoun a un autre
argument, bleu Uu'ce il est vrai, aiin Je parer le coup que
sa théorie porte au .iarwinism^; : penJant la vie. les
influences extérieures pourraieht avoir uiu- aciu.'ii Je
nature a moJitier Jirectement \c plasine geruiiiiaiil qui
sert a la transmission J.-s p.irticularilcs héreJiiaires .le 1 in
JiviJu, et ce sont ces luoJiticatiiîuis qui se traiismeUraienl
de génération eu génération Cela n est p.is impossible et
nous expliquerait parfaitement la transmission Je cer-
taines malaJies c<^«.^////(/^'«/;e//.■.^. Mais les luoJiticatu.uis
Jes organes, provoquées par des causes qui n agissent pas
sur le plasiue germinatif et le transtormisme se lonJe
luslemeut sur la possibilité de Semblables luoJiticatioris ,
comment les expliquer à TaiJe Je cette théorie, sans faire
intervenir la iraiismissiori héréJitaire Je» qualités acquises :'
\ -
!«•;
IV. 11, in: as et transiokmisme
ont lianslormi-to mu
UlMirill' illKlDIe
De
ces deu\ .|Uc-st'.ii[
.|Ui ti;mslnrnn.iit le t;
cDiiiiiient les paru
tclll elles de uellérati
\ ieiit .le le^ e . ..il" un
Ikiuc saUsl;nsJiile.
t rme en un organiMiie
N.
tlilIlN nll^ llUIti
ilciiuhrcuse,- le nlall\ e-
tlK
iiii 11 .'III lai
,1 dt
tran?inis.->iiiii lieiCiiiair ; des pi-iiprieté> ac.|ui
tl\ clllelU
.le la ~.,lceliiJii il. lurelle. à 1
ir>. Ile su Hit pa>
as haut
in.iiiln
priiKipt
e 11 lalite.
leiK
ort;alU^^l
iiiir.tut tiiutt
<j|.iaiii.|iies >ui
ui'crieure
lion tiaiisloi mibtc ne ri p.i.-e due sur le
I
lelles eoiuepli.
lit bioloiii>t
. d'ciiibrxoli
,ns de
it lullra
lerise lUsleille
leriiies "la . ariabilil
coiiuilit au liasar.i et
A
meonniies
devient p.'iir
naturelle p..u
,|Ut
W
M W'eisinann lait lui
de
./<■'/.
ilus aptes est eertai
.11 litn\M
D;- Inl.
inaitra .[ue la .lillleulte
est
s eapilalcs ; q
uell
ei s. Jii
t i
es loroes
liuniaiii, et
ai lle^
dividuelles se transmet
g<^ii
lie 1
a see^onde
niiiiienceiiien
dili
t d
e réponse selenti
W'eisniann dan> ses
ai de coinplcter sa
l..b.
r.me
M'
ip.
.rovanee
lam.itioii d
est .
le la /.'«/>■
jlini-
lu
pielle M . W'eisniann a
lier le daru inisine 11 a
aJlmettre la béleclioii naturelle
ur ife>siis.
?t à-di
; priii(iiit
slorniilioi
re sans
.meiils
la p
.leter-
L.■eSsl\e^ en lorilies
.|Ul\ aut a
.ieclar
liasar.l
( )!e ir
lerU\ Il
gie etj d'anatoinie. se rattache
a nature
de K i:
liaer, carat
larw m
des
:lll
M \\ eibniann en ce
■erminatives .ini b a^
irectioii. grâce a des cause.-
ipe.nt a riiivesiigatioii
dir
.u
eijiu. nn
a lorniJti.iii
lu oitre la selecti
des cspec
Jet aveu :
la sur
ne. mais nous iun..rons d.i
«,../..,
Jllet.
cli.iqiie
$
,K \Ni.EI .K El
jas spécial
.e .p
st ph
;1
r UAkWlMsMK
s apte, et combien
haipie génération cela survit ou di it survure pi
à la victoire Nous ne pouvons doiijc }
e lois daii^
■ ur abouti!
a preiivi
.|U une adapl.itioii donne
It pni!\Oi|Uee pai
la -.élection
naturelle
altirinali.. n'-
en
air. même i i^'iilMiees sou^ un litre
retenti.-saiit
tie preuves
-aur. lient rem
Pl
1 absence Complète
hasard, éle\ e au r.j.iii; d uni.pie lacteur de
/.\ oluiion transformiste
.n.li.
univers non ^eiileiiicii
t le
dent dans tou
te~ K
s transiormatii
ort;ani.|Ue
e.vclut
de
la tinalite. si evi
lis de rembr\on.
mai
111--1 Celui lie la laiwalite. unuiue
:-ls (.
= 11
e-t hlell la lOncep
lion la
turelle qui ail ete émise depuis iMiip
lient '•aisissablc dans ses
kis absurdeiiieiu suni.i
^.U'C le.
>ur poin oir acv|uerir une v
n.i
iS(i(i. dans une dt
tinalité. rii\ poihc
priULipcs
de l)a
aUiir scieiililique. écrivait
idiiiirabie- éludes sur l.-.
ievra se soumellre aux
de la tiiialiu
^11
1 elle n .
jerl.iineiiicnt ab.iiidoii.iiee Cette predictioi
m lier,' II,
Haeckel
ilutol
qu on ne pouvait
.re\ i>\ait bien auss
.^arvieiu pas
ell
elle si;r.i
e~l réalisée
daiit;
meii.ivail la llieoiie de Darwin
essa\ant Je remplacer l.i tinalité p;|r les
apital qui
1 clicrcha a 1 éc.irler en
sites lilecanUlUes
relevé celte obiec'
l'ilell d'auUi
apital
-il dans s,i M.Tph.
ail
objection tombe
d'elle-même et toute la tele
inéluctables neces
tinaliste
re le dar
il déjà
selon iious.
jlouie a\ 1
isie dans la nature ni tiasard. m lui ..u but. et
bure l'ileii au it.nlraue
elle il n e.\i^
encore moins un soi-disanl libre ai
Il etïet est
iro\ l'Kiué necessairemenl p
.•nies et l.iilte
lit lorceni
tains eîfels Nous mettons Jonc à
tin et de la \ olonte libre, la nécess
./// chr Xalii
it, 1.
MUsés pfece-
jin elre suuie par cer-
l place du Ic.i-aid. de l.i
le absolue et lorcee. //
.litnii
p. Oll- iïi..<
\ -
1
i
11
5.4
Haeckel, clie/ leq
vaut, mainte-, iiCi,a>i
prit -,i.icntiti.|Ue et
piufûiute igii(jraiii.'e
|ihv>iiiue, est certes
i|iie le jea >.ie> lurcé
lin DU J LUI but, aiiti
>iinple bons sens 1
apte a liini-tionner i
iclui ^\u\ I a Liinstr
ienip>. un ni'iteur
des poids, a ileplaci
des ui'Uiveuientsiiu
agissante est imn n
lonLtioinienient no
Nou> avons L'ité ]
lequel ee créateur i
l'énergie cite ju-tei
l'omme preuve écl
inécanisnie- orijani
lité dans leur ^tru
leste eneoj-e d'un
liste ipn eherche à
quekoniiue part d
remplit lurceuien
minée, (^e n est ip
espérer de decouvi
hasard pendant si
des hvpothèses s;:
jiiste peut être cl
arrivait quotidien
duetiun des metln
" l 11 esprit p
dans son bel el
supérieur a la sei
JTION HT TKASSloBMlsME
lel nous aurons, dans le chapitre sui-
msà constater l'absence complète d es-
philos. .phiiiue en même temps i|u'unc
les données les plus élémentaires de la
(lariaitemeiit sincère en s'imaiiinant
mecanu|ues exclut la nécessité d une
finent dit d une volonté créatrice Le
Jique pourtant que tt<ilt me^anisiue
;inplil un but quelconque. pre\u par
it. l'iie horloue marque la marche du
mi- Cil marche est destine à soulever
r des corps et en gênerai à provoquer
:lconques. L'intervention d'une volonté
oins indispensable p"ur .7//r.7.7//r le
niai du tout mécanisme
lus haut queUpies pages de Leibnitz dans
e la loriiuile exacte des manilestathms de
lent le loncti(Minement des mécanismes
liante de la tinalité Quand il s'agit des
|Ues des étres'vivants, le rôle de la tma-
■ture *t leur lonctioiineinenl se niani-
: manière jilus évidente. Tout natura-
elucider le l'onctioniiement d un organe
eja de la proposition que cet organe
une destination lonctionnelle détcr-
l'avec un tel point de départ iiu'il peut
ir les lois de la nature. En tâtonnant au
n expérimentation, ou en construisant
lis aucune base sérieuse, le physiolo-
rtaiii de n'aboutir lamais à rien (-ela
neiiieiil aux anatcjmisles avant l'intro-
des e.vpérimeiitales par la phvsioh.gie
lilosophiqiie iiou\eau, disait l'ioureiis
,ge dé Magendie. ne de la science et
ice même, se pose dans toutes les grandes
I
l.RVN.iErK Eï DtCAhES :E Dl' 1I.\RW1N1-ME ", S s
question, de la vie, non plus dans chaque eii particulier,
mais comme un élément constitutil. et le puis ainsi dire
avec Montaigne comme une pièce delTaivers: Son appan-
ictiTius, ses variations su,.
' le ■.
lion, son aïKiciiiiete. ses prod
cessive-. il ose démêler, il ose suivre l'histoire du glo
il voit le -lobe cl la vie se cévclopper d'une évolution
commune; /, . pr...r,s c-.,/c,v/cs lui /vtv/,/;/ rniul.^J:->
Jl'sîciii:,: et pour rappeler une pande éloquente d un ora
teur romain. " /.' .^./..^// prcsqii
/ont.
Créateur que llc'Urens doit en
ses merv,r.illeuscs découvertes
plexes de .la physi.dogie du sys
( !•/»/ Jlll l\
,'.' iii-'J:
(.'est a celle reconnaissance de 1 intervenu. .11 d un
grande partie l.i richesse de
dans les partie^ les pluscom-
ème ner\cu\.
Le problune f. .iidamental da linallsme s'impose au phv
si.dogiste plu- encore qu'aux autres naturalistes Le phvsio-
• lus lec
logiste
hdoiiM\!rth:Li^r qui a consa
a l'élucidation. dan- tous les
des liens qui exisiciit entre la
et les cau-e- qui le mettent
recherchcD en ifiio. encore é
-vait dan- la prclace aux "
écond du xi\ siècle est sans conteste.
,:ré soixante années de sa vie
dimiaines de la physioUigic.
lin du mécanisme organique
en leu. IKs le début de ses
udiant à 1 Tniversite. il écri
l-'onctii'US sensorielles de la
moelle epinière ... il insista ^^ur la Imalile dans les formes
'vKc- n\'it p.i> ..aiih>nnj .1 >.i
IL- cv/.v/c. p.vw L/ii\-lh- cv/
montre que. les nombreuse:
., 1-., ^
l'llVM..iu
„ i >„ii I..:
,, V,.l i;i.
j/.i l>l!ii"e
organiques I.j i\'riir- <>i\ij:.tiiil
lin /i.!'-. . c/;/ c //.■ c»,.>/^'- '»'"■••
ionforir,. .1 -.1 '■:ii
Dans une étude sur ce génie inépuisable mort dans s,,
quatre, ingtieme année en ^rlein travail productif, j'ai
découvertes dont il a enruh;
la scien.e. il le- devait en partie à la fidélité coustante dan-
t.mtesses ledierches expérimentales aux principes déve-
loppes .lan-s.i M..viiqHcU'Lo!o>ruiucJc Li ii.itnn-flvjnL.
paruvian--"n .1 r, //rcc vol X\
. en iî*77 Nous ne résisuaispas
X.^.lnul .\r.Uu 1..; .Ùl; ÙLl.ilu;;.U
\ -
<;'.
f
i: nos HT TKANSIOKMISME
a 1 envie
intioub au travail a.comiili par
■.ar
vie, une seule
Il lieliera
:-re mais absolue Se
U /, /'
>ll ll-fll i
lans
es iiouv
mcllt imposée- :
{.
st surl'.ut
t ani-ine vi\ ant, «
.examen de~ h nu lions des appare
rgani^me anim
siirti .ut les
,iuto-rcgulateur> Je
les neris Ju eieur.
leur-, rhvpuphvsc et| la glande pinéale i]
partie de la linalite
eelate avee merveil
licanl 'très scver
i u>e eviilcni-e
avei
rais. iU
eme 11 le passage lUc de Haeckel. apmtc
1 pas se iromer blesse par
llac
.elle bevente.
P
luiïiiu'eii nianl Si'U
lare hn même irrsspon
si la IcCi.ndlle
Or
SI bien en
pi
hranehcs de
la hiol
iT des naturalistes
"lijcnonuner
de la lalure
en ri'
;hi la seieiKe et
ited
1 ciubrx-olMgic
e leur génie
1.
|)ans ia neuvièim: edilmn J
,///. ///.■. (Si.n
insérer un
progr
de 1 cm
brv
ireccdenl-
I m pagne
sanl touioiu>
I U.ll.^ i..
li:,-l.;iuii.c s
llilt
passage
•,m\ anK
le^f..r
0
e-. éternelles
L'es ireatriees de
lie se delaebedune manière regu-
iles se main
Icsteiii le-- L-auses L|ui la
Celte
vcrilie même
elles couviition-. sunl arlilKielie-
al. ..omme par exemple
dciiresseiiri et les acte
Icra-
isle
iiie t. mie la vraie
e jeu de- inécaniMiies orgauuiue-
Karl v.m Hac
en pi-
kel ne peut ]
libre
irbitrc il >e
1 sable
:ne dioctrinc .pu détermine sa \aleur.
vsioldgle
lans toute-
le
autre-
e, sjeulcs les recherches exécutées
la tiiialité des
.irolonuenienl iinhiis Je
in
1 Idi
^i
It de t. .Ut temps réellement
leurs domaines l'em
lans
réateùr. l'rem ms encore pour exemple
le son classKiue
l:iit^^ii kt-
//,/-/..
a en
leureuse pensée
url iT ais 1res su
bslantiel résumé .ie Imus les
logie.
Or.
; t(iU).nirs dune
;ndanl
iiiatre
Irc- lumineux
brève indication
de l
ants.
la iiK me Cl nclusmn : seuls les
tituiu
I ressort avec un éclat ébloui
biolc
'Istes
a.;
.IfllC .11.
(ANllKLK KT l)i;CAOt::CE DL UAKWlMsiME
tuialisles et vita
llst
es ont acciiuti
.te
.n
des dé
et ont crée des doctrines qui a'aieil
la créatiiiii de l'embryologie m
I. enseignement de cette
la
liai
;i|e cause
Il largement contribue a
;lus
• \\ met ciic.ire
L.c la decadel
\ -
il'.
CHAPIIKI-: V
LA LUTTE DE LA SCIENCE
CONTRE LES DOCTRINES DE HAECKEL
^ I — La rsV( Hiii.m.ii m ii ai > ki l.
Au Jéhiit ilii prci.'cJeiit ch.
tic, allusion 1.-SI l.iiti.- a la
manière dmit Haeckcl contribua iuiis->ainiufnt a la deca-
dcrUL-e du darw inisiuc. pour en a\1oir déduit lus^ii'a l'absurde
les plus Idiutaines consét.[Ucncesi-
l.e dcvelûppeinentabusifdonML- a rhvpothe^edarw mieiiiu
devait torcémeiit L-xcrcer sur le |iiou\ eineiit intellectuel de
la tin du siècle passé une action. Jiuit le retentissement -.ur la
vie pfditique et sociale ne pouvait éire i|ue funeste I.ébran ,
Iciuent des tradui(jn-> séculaires, kir le-iiiucllc-^ repose la cul
turc du monde civilisé, a engenLlré l'anarchie de la pensée
générale. k|ui est devenue le trait dominant de la mentalité
nuiderne.
Haeckel lit à Berlin et a Wuribourg des études sérieuses, ,
ayant pour objet les sciences uiorphologiques. l'anatoinie
comparée et 1 embrvoli'gie. I.ej tra\auK de /uologie' qu'il
publia tout d'abord n'étaient pas s.in> valeur Mai--. a\ide
d'une piipularité malsaine et n ejn dédaignant pa> le> avan-
tages. Haeckel, une iui-, niuiimt professeur à l'iniversilé
d léna. se consacra e.vclusiveniesit à la prcipaji.mde des doc-
trines de Daru in, au moven de conférence-- publiques dimt
il multiplia ensuite la portée pai de^lu res et des brochures
de vulgarisation
\ -
i
< )r;iiL-ui et Liiivai 1 aiis-.i prolixe-
tl.ittc
Mblc- ;
prise.
h:li lii'^tliu
ts lie -ïcs aiuliteiirs el leLteiirs, auxquels
lie lei laiilaisies les plu>< extrava^^aiite-. cciiiinie îles
-'ientilli|ues irréfutables, el sous une l.>rnie accès
iiix esprits peu cultivés, il a montré, Jan-. celte entre
un
ncontc^t
iiinonibrable-- uiu r.i
de
iilli
pensée, lue
dite
it.ilil k-^ llleO
••acro-iaint^. .|ui iic
lent aucune ilwcu'^ i
public par ton-- les
t;raniie h.ibilcie. Je
tantôt il en lire tém
ipiées- Sectaire lian-
iuoilié inciiiiscient
un 1res haut degré 1
•'Uccè> plii~--urenicnl
iiuand il V :i parlait'
nécessitent aucune preuve et it adniel-
:her'
elle .1 alteindre
bni
piiursuivi
reconnaître ici
tuci, dan
an-, llac
1 1 < > n 1 b r
kel
est
toujours le même I
des lorinats dilïéfeii
passant par \ //i^/ni
J: 111(1 m i'.-, Jii inmulr.
M.
■J K
varie pas
, agi
;li lit
ITIOX F.r rHAXSIOR.MlSME
supcriK
sacliant
ble talent de vulear
isaleur i'arini
ibli
en tonte-
la
I et édites
[ilaires. onchercherail en \ain iiuelque
personnelle, digne d'être conservée
lar\\ miennes comme
des d.
Mlle-.
il
s'applique à le-
répandre dans le
r.mtot il les deLue a\ec une
manière a en cac
her 1
Il 1
■raireinent les conclusions
Iciute r.icceiniori du terme
iimme les vrais seclaircs
es cotes laibles,
les plus ris
boni
et a
il
1 ténacité du lanaliiiue.
iduit
le la Incidile
l'int
cllectuel. surtout
harmonie entre le but que le tanati.
t les ambitions qui liiispircnt
et lobjel des anibiliMiis sunt aisé
iviennent, comme un /..■itiiiii/ii per
dont, depuis plus de quarante
lutant puis
proi
igue q
u'au hiud
est
vre, relinpriine soUs des titres div eis el
Depuis la .^torplin/inri,- »,■;;, •/•.(/, ■. en
,/,■ /./ iir.i/hni, r. i j/////i'/i.';'i'/;/. et les
jUsqu a ses
-l'i ohLiii kiLl ilif 11,',
illii
niblicali
1>A
iX .\r^t.\
i\ litiioLiiihf, la Ihese développée ne
les églises chrétienne
s, et avant
tout l'église catholi.|ue, dont la puissante hiérarchie lait,
asion de l'anari-hie générale, 11 laiit
\(iilant t'
les nu stères de la nature.
remplacer la l>i
bk
•f/isto
reli
Uieux
-tes musées j
ihvlf.
Irait a lamai-
_nil
culte des ProtoZi
. rimuKirtcl proph
1
est seulement en |S')>, a
/:
/( nh'iij
(c l'.i < iwitb'r, les édifices
.•nétiques, et le christia
es. dont Haeckel devieii
etc.
apparition de
li\ re
|Ui, en dehors de la partie anthrop.
gique, en Contient trois autres ici lusacrees a la ps\cnolog!e.
di
a la cosiir
yieus et pi
Me, et a la
theol
Ogjl'
pre-
phvsicieiis
.truies J.e
iderl
;, que p
lit entii
hil
siiphes, théol
-tudlcr de pi
II
lec
ant ijue celui-ci
j-tait tenu
strictement sui le terrain
sciences lia
turelles descnp
lues, seu
entrepris
les représentants auf
de la bi
>gic avaient
de k-
ouibaltre, et crfla tout d'abord atiii de
-au
legarder Ihoniieurde leur science, l'our être intervenus un"
peu t.ird dans la lutte, le-
lurent
lus implaca
phv
blés. Le!;
;t les
.phe
Ml 'tes
jur (du\ oison.
lient plusicien de Saint-l'étersbourg. 1 aijteur de trc
quabl
p.iges a 1 analyse detadlée ii|i
es études critliiues'
'iisacre une soixantaine Ac
es erreur
Haeckel l.a deinoiistration est
r
'étend dev.
iik-r toutes les enii,mes du mon
ielllltiqUes de
écrasante pour I hoiunie qi
( dtolls seule 111 eut quelques CiUlcU
liî
-■kel
,ia> cru necess|.ure
qii un ma mil
■\ de
que p.
de M i.
le Consulter ne fut
apprendre en quoi consistv.
la loi de 1 énergie - aussi n'en
J-t il p:
indr
■ ut.
.itlirme conceriuint
pete. l OUI ce qlie llaeckcl dit, explique et
s de ph\s|qiie est taux, lie
lU prou\e une iniioraïK'e a
lUestii
rejiose que sUr des equivoqile-
pcine cro\able des problèmes
l'ei
A.';7.v/c-
de
uiceptior s ph
jde même pas le
nissances rudimentaire
Kl,
vec une pareille ignoran<:e, U se [
l>
>.l-,
//.•,
lit
■ ■I ».
plus
leineiitaires Nui
ne ccuiime
Mlldc
q.hiqi
-d'un I
a de decla
ilier.
\ -
N El TKANSIDHMISME
bas
de
la plusiiiuc-
de la substance n est pas
tn.p
est-h-diré ia secun le pn ipnsitioii de la theiiiuiJy-
laiiiKiiie,
d.iit etrt
.une l;v pe
le d<-
ai>aiiaii
leiniiHti
struit dans les auties hra iches d
xeniple dans | aslr. .nnnue
lanl pour de\eliipper ses ci
nénie de citer un exemple t
hv
de Haeckel en sciences [
l'assister a Saint
le Haeckel Interroi^é sur
t(,'liiiid à un diner doniiL
■.sposition.
laeckel il ■ tarissait pas ei
iraient la plus y
iriilunde ai
.u jusqua 1
iresen
f. k
haquc instant. Invite .
admiralinii i>uur
le
;enle i
es l'rançais
sans h
êsiter
irt ave lei|ue
duire un grand, niurceau
un gfiu
lot ir
itrmt
d de b
pas ecbappe
salissait d 11
ineii attentif m a montre
rive pas à m'expliquer 1 b
i.ir.Ur Ir.tf'p''''
savant .pu pre
a paru u le
( )n Voit ,|iie I iiKursK
domaiiu
des
étrangères, a eu des c
llet-
it. 1.
.-ration-
ses /:///V/;/i'.N II ont pas
th
logicns. leriidit proftsse
entre autres, se sont iiici
jugements ,pie
m. Us non-
derne
tb
eorie iinetuiue
leiidable et .pic
loi de 1
en-
(diui.
iaeckc
s est .Ulssi
,-st pas plus
•vastes, par
1. pie Ile il
itioiis mondiale
ncei
aractéristiquede la compétence
es I-
Il ih7S ) ai ei
lionneur
■iTet produit sur lui
ui res
niration jioiir tout ce .p
nier\ eilleiix
il avait
l'était à
igner ce qui a
1^
i|i|s excite son
1 ils
llaecl-.el a rc
réussissent i
pondu
inlro-
le lil
lilace il
lans
■irale avec
La stupéfaction
ajouta : " J'ai bien pe
;en craie n a
iteilU
sabk
levissa
n'en était neii
biletc
lise .p
.\msi 1.1
iner\eille iiiex]
nier t. .utes les n
ibl
de Ihi
dans les
ilïi
d.;
rents
x; Cte
lui s. iiU entièrement
ésastreiix pour s.i réputation de
pbilosoplii.pies
dîtenil plus de -
:1 ■tlléol..i;l
l'iusielirs
ir l'riedrich 1 oois.
nolllrés si se\ ères
Halle
abstenons
iduire
riE ;'K 1.^ sciïN -E
partie 'tliéologique de
resse d'ailleurs i
ue très 111
irage de H^eckt
lirectement
nous iPte-
11 nous est ega
lemeiit impossitile Me
ble
^rits dans
lesque
Isdc
:iler ici tous
le
hilosophes, ciiinnie les pr.>Iesseurs
liaumann.
luli
battu les doctrines
et
ricb -\dic!.
baecUeliennes
bien d'autres, ont
V
.■1er la
jlusioii dune série
(,on|t
tudeji
e d etudeti crrtiques
'aulsell,
à la plui
Professeur
lu lin et délicat peusL-ur
de phil
■V
bie à
S.
on ouvrage.
//.rc. k.-l
;ttet
duisil en .Mlemagne
fois llaeckel se sentit profondément
tentous-ii.'Us de râp-
es del.lil-
1 riedricb
cciuiueiit
.;./.■. p fo-
ui! ; cette
raimetnt loiu'.r.
atteint
ivre, ecri
t l'aulseii a pr.
/;/(/("»
gi de bonté en s.
r. .u
.-t surlou
t de lu
.■aiil à l'etut de
bil
istiuclion pbilosopbi
( >u un
tel livre .au été p
imprime,
nation qui p.
lietL
lu. .ulmli'e e
t pr
n Kant. un <"
l.erlin. r^
./» M
lu ce
et l'ai
1 instruction :;eiiera
fe
de notre p
il ail
-uple
ecnt.
au serieux clic
.bopenbauer.
st la un fai
i très di..ul.airciix
1.
sa\ aiits bi.
'IStes
.mine le \ ittn
.as attendu auss
science, c
illtre Ic-
t le
..ngteinps pour p
beresies scieiitiliiiii
•du
.ivaieiil
ilotester
au nom de la
reprochaient le manq
laïuiue al^solu
matu.Ub e
l de logique dans ses discusslkms
talsis
le. el surt'jut seSi
de Haeckel Ils lui
uves dans sL-s aftir-
-as
/.!.'.s/(/i .il m m
:nealogic tan-
./.•
riiirrvoii
iriLiiit's, même
lees
aux
.uvrages
"/
d'autres naliira
de celles qu il a\ ait cmpruir-"
^.
mérite d être signalée
partisans av
listes {;ircoiistaii..c qui
:-rcs du darv\ iii.~ine.
tels
Karl
•gt. 1
ar cxeinp
^e trouvaient a
aiil-
;arde desad\
de llaeckel lls|'re
i\ aient a\ ec raison
que ses ouvrages ne pouvaient .pie c
l'.t-uvre darwinienne.
.W
ipr. .mettre
1.3 vraie campagne
s.ivants c
.pitre
i'i iLdri,;ii
l'...a-LU
l-.ii.-l 11..
cl ..Is l'h.i.-
;r iveuieiit
.-lis a des
\ -
I.'- '
M
i;vi)l lïloN
l,S-'< i;iU- lut lir.Au.iUce p
•,;! ii.irl N'iii cateiit Jc
r. .ni.ni'- tciiilletijiis ■,ur la i
i;r.ii,tiiit p.i>. au (.on,urr~, .i'
MKiiids. tL-nu .iImi-- a Muiiu
liui-trnic- ùl■^^cnt inlru^liiil
c(jimiie ha^c- dç renseigne
iu^tilicr ~a Jciiiandc. Ilacc
ili.-laillc. ■■Il il allirniait .[lu-'
" 1. .urins^ait le plll^ p
piihliqiic Elle ne kUjH pa>-.
clic J'.il eirc pn-^c p..ur m
la jtrclcutiKii .11- rciiipki
et la rclif;iun pai' 1 hi-.toiri
OU', ni eiilin le-> Velix lur 1
rali-îte-^ i|iii avaient ,L;-"'^'e- i
j>neu>e 1. illustre \irèlios\
à faire la conlereiKc pru
iiDiKa le leiuleinain, con
aiuien elé\e. un élci,|ue
lut ... .nsidéiablc .laui I
Au p.iiiit de \ ue des pi
déclarer : " t.e .pu. dan
un d.iii i..u|..iu> le reiidr
le .ir. .11 d être luis en pi
acipai--ili..n-- -îeienlitii]Ues
le ilcvoir dcuruliir le pa
/.(//. .//(/ p: iiihiil . l'iilnhi
,11, Il , ,/. ^ ,/t'.//(. liiiil:, s
..ipil.i! iit/'.llrjiu'l II M.
1.1 M /, /;. i' . :iii/riiip"r.iii
nt
1 " Qéi.UI.1 Ju J..>1I u lil u iim
/,./ll' .('. /.I ,l\.Ul,ll .II- ll.lC.ki'l
cHcl, ...iiiiiic r..iuin^. 1l-s .i-u\
ficl.lc Je l',.il-..ll ,li. Tcll.1
'H...,.i.,i-..lt-
r TRANSIOKMISME
ir une audacicu-^c imprudeiKe de
multiplier les edlllun^ de se-,
e^eendalK■e de riKilulne '. il ne
s iiaturalistes et médecins aile-
11, de rcLlainer liauteiueiit .[ue se^
:> dans les pr. igrauiines -.culaires;
ment donné a la jeunesse l'oUr
;el la faisait préeéder d un e\pose
a thei.rie de l'origine de illoinme
uls■^ant initrumeiil d éducation
.•ulemcnt être tolérée, a|outait-il ;
ide de toute instruction. //
cer .lalis les ccoles la phllo-,opllie
de la création d après Haeckel
■ péril ll.leckellen a cellv de-, uatu-
usiiu alors une attitude trop dédai-
membre du (Congres, reiioiisaiit
se sur uu sujet teclinupie, pr.>-
' re les \ isées e\travaganles de son
discours dont le retentissement
onde entier
incipes, \irclio\\ Commence par
'la science, est réellenient vrai,
public i.e peuple a pleinement
>sebsion de toutes les véritables
et, sousce rapport, les savants ont
,s non seulement des J,ntiicc-< ./.'
,v .1 s.i j^nisp,-ntr in.itrri.llr, iii.ii\
'^L-iii/jlivt-s. 'liii JU,i;iiuiili-iit s.tii
I cil ,IVl- .iiiI.iiiI ./, l'iiillitciUi- ,/ii,-
■ Jdll. .■(■.■/■..•/- .^//'■ l\\llli.lth'ir
. .1 J.
eu cuin'ui, de incilk-iir- ,\iic 1 //"-
l.irc un J..1U Ju H..i5-Rcvm..iul lu
Hae.kcl -c r.ipiii...liui.t pluf'l .1»
1 a. 11-. l'naciiiiiU.iblc -enc de, Jivci,
A 11" 1 lE HE 1 A Si IKS^.H
orsque la thé.. ne de 1 origine .les espLces aura réellement
acquis le degré de certitude .|Ue llaeclel lui attpbue. al..r
nous aussi nous réclamons s.. n ii!trovlucti..ii
gnement.. -^lais nous ne dexoiis p.is oMMier .[Ue
dites p,ir nous avec nue cert. une limidi
talions, ces mêmes clK.ses sont répétées,
monde sa\aut,.i\ec mille lois plus das.urauce
///.•
/',M/.s/.//. .■ ./.'"> /•' ''■''■ '/'"" ■'•'" '•"'"'
1.1 doctrine de l'origine des espèces jic produira pas Jiez
n..us u.iit le mal .pie des doctrines seriblables ..iu tait dans
un pa\s voisin. l'..urtaiil. la théorie e^dutionniste, p. Uss.-e
a lextreme, a chez nous aussi uu eoté
reu\ ■. Vous c..mprendre/ lacilemeiit .[
peut en tirer //
Nonobstant ce danger, Nir^liou -^.•
/.( /./,./>.7<,' .!//.'// ./.■ ,.//.■ th.-oric. si\ ,11
„,,ium,nt VI. II.' .Mais iustemei.it parJe .[u'il h con,idére
comme un ensemble dliypothesesii.. il
de la science. A ce .pi oii 1 m
Avant .lappluiuer a d
I IlS-ti! ::: ''I'
X :
.il) nom
gnement
I epilhete de sc le ntilui lies, avant de
pressL.n de la science couteiup. .rame
laire une loule de recherches iuliijiiment plus L.ngUes
S.'IO //.- /l.i> ..'..(. //
... '< In eche. ceriain est réservé ;i toute tcntaine avant
pour but .le trausf. .rmer les quest
science en certuudes, d asseoir renseignement sur .les iô p..
thèses, .itrtfut ,l\\,!itr,' .'V.;'7/.m'
Jooiii.-, />.!/■'.( /•.■,'/.;■/.'/' .'V l'-rijrili
,-Ji,\ li-r.i .1 !■>
Malheiireilscliielll. malgré I avei
laiis . eiisei-
' choses
e et de grandes fiesi-
ell
r
leh.trs du
■.< p'-iii-i-;
rii' de Li ,'th't.-.p'!:i
le \eu\-esr>érer .lue
cxcessivemeiil .lan^e-
lel pr..tit le s. .culisine
li>jit [-li' .1 .T-iiiicttrc
tt\-t. clh-ctJit'-n-.'itti-
proiu ees, il s ..pposc.
li\.. luise dans lensci-
pareillcs pr. .position-,
les donner p.'Ur l ex
, ll.iUS .le\ olis encore
la
,1 ,/,■ /-.<»;/',.!..■'•
./.■
..p.
M,ii- r.
Il,,- ./.iiii L- p.us i:iu- silii.1!. -H pli-iiii-dr
tisseiiient aui
\'irdi..\\, maigre liinanimite a\eC la.pielie hu.logistcs,
\ -
U,(,
voir 1 ION ;t thansiokmismf
pllill.l^()|llK•^ cl pin slClells ^
de t. .aie 1 .1 il\iL' lie llaei-k(
lait i|ue grandir, au iiiumsd
iei partisans lanati.pie-, niit
" Ml.llll^tc^ liiTe^-pcnic-ur^
a qiicKi
Utrs a^llee^,
la
•au aux a>M)cics
de pi
attiraiii leur .iiieiituiu lur 1
.ici d'adiiralU'U de
rcitd'oairci
~^:ie
crisjer
sp,
IX ; Hacekel etail di
^rand prêtre du immeau ei
a circulai c
iile, nicuie au\ jcjuriiaux
a\ancc-s ; il->
ItMjll
M ciiiatiuiicc et
niMlllvlcN de lierlill, Neaillll
Icle
Ul
hila:
de 1 (
nu cr-
.mirait a leiia
di'.UlIté prciî(
>iCl en ilUel
prciiiier i
aire. S il
.\u
le nom eau riuicc
riiste l.speri'.ns .|iic ce iniiiee pluletniue
nient >"ele\eà la porte du
rh
•,iJ.L, R.u
' l"'
du liean. J II p:'-,jiil. .1 1 jij
^^.^ _-..//, /es fi'llilt-mrlll:., I
;'/•.)//./ pr,i/->l,iiir ./,• l' lloniii
I. eiaotioii produite j^ar
lisiHl:) fa.lli:>
n de liiiwi
lin Vole uii.iiilil
Il >,
\\ \ il .Kllrc\
it clilii ii.'lliel
a.;. 1,1
,1 J,
!./(- c-l le
c picuvea
111 du p.
accordent a ileinoiilrer 1 in.inite
1. s.iii inliuencc sur la lnule n a
ins^erlain-- pa\>
AU
emagiie,
lolK
le numhreusc-s -société
/■/.■l./.iik.iiJr M.
iinsli'ii
tlfiii iierliaoise de ce-.
-leles
viitce une circulai
uriicnce d iii-.tituer un culte oiti-
re pre-sMante,
Kll
e lll-si-tait également
.etie inteiiliiiii
teinple-
i^lle
illlllle le cllel llllur iill
te a intii uiiser.
parut bien .lucl.
|Ue p.
pigeaient la pr. ip
Il de niude-rer le /e
le
juillet li)oS. en pleine
pn.le
ir il.ieckel mai
lu
ICC eleve e
Il lll
de 1.1
ilait d ei
n promnicer le ni. in
i|uait 1.1 destination de -sim
ipticin rationnelle du monde
la doctrine e\iiluti.>n-
.lit
le UMIUI-
l'araJi
le
h-
, srr.i II II Iriii
llte du \'
/././.,.
.L' i II l,tn, ,■.■.!.■ l.lJ.'
■■^•
i/v
.1 rllell. et
, illJ.llu ,■.
I^lllp^ /,■
eltc inauguration s,.
delillelle lut
h.ul.,M
ItrnJii
Uni, i|ticlk{
lue
lAnglc
uc> .ilillces de
l.à lll II,
J.1 .uaiii
rê>ldelll. i :
i) jnsti.rnustc
Ic 1.1 m\\^ Jléi.j.
1 \ i.niK UK i,\ si.ie«;e
SI Vl\ e en
Ai:
.inagiic 4Ut
le Dr H
rass, euihr\ o
riiuellte. eu
/'loh.'ini. ai
t lldee d'
ex.imiuer de puis lues
igl-.le expe-
^L■ll^Jl.■::-
vclle religion
de\enir lévangllL- deluiuil de la noi
lieu ne lut pas lieijreu.x pc .tir ■>. .u apotrt
l.i
Dr liras
>tata que plusieurs (
ila
jui orueu
t le
li\re. et <|Ui, -selon I al limiatiou
de r.
reprodiK tioii-s tre-s lidele-^// d après les ouvrage-- de natura-
listes
destine
.-lit subi de
itahk
///,
a démontrer que, d.iiis certaïuf-- phases
del
eur ae\ c-
U
oppeuieiit,
-■U.X des ^ ll.lUi
oïdes. Aui-i 1
-•s emhrxons
es |>oi->solls
1
Voit 1 cmbr\oii J
e sont idcntuiues a
i-t des singes aiulir- .-
('
un iiiaca.|Ue a queue
présente coliime et.ml celui d un
gibbon In l ih.it. ■> I anthropoïde san^t queue D.iiislede
du l'embrvon emprunté au prolesseiur >eleiilsa. llae
supprime une partie du \ entre et nu
litlc les coiiti nirs
tele A 1 embrson d'une c
hauvt
c-souris lie \ an
ilevt
i.irtie.
lirai lies, don
;aiite a la siucue, et
rhini
)pllUs
//:,r\
l.e d ;ssi
litié d
Ckel
le la
llcneden, il
le une tourinui
,'t lait passer la ligure pour celle d'ui
un cuibrvoii
e m.iniere a rai
-■le
elui d un gibb..ii. etc
( ies re Vclili. .Ils du
)r biass tuent uauirellcment seusa-
a presse alleinaiule tout entière s occupa vlu scandale
lal-iluati..iis
ilialees, et une polelUKlUe violente s eu-
gag
ja. dont le retentissement <[
lire encore
Haeckel essaya d abord de se deleluire par vie grossières
injures a 1 adresse de son c
depi rej
illiislr
.iitrailicteuir. .^lais comme il a\ ait
loiidii sur le niciiie ton auv n.ituralistes
lus
■ Il Haerî, X'irchow . Kidlikcr.
Hellsell, llls. Selliper et bien d aulri^s. le D
vait
latte de se troiuer en aussi
r l)rass ne [.ou-
liistre vomr..i
;iilc le l'ublu, blasé par
I iidc
l> lu
Jh
Ute hiiifi
, Au.ii-f.
H-lt, 1.1,1-. 1
ri^HI'CH- Loi
l^'g-
réclamait ilantre
l:ii,.t II
ii.kL:^ lie
\ -
oi riius K ■ 1 K.\x
aiuiiiiicii
1- ILiickcl ri
■;Uii>ns iiiMiiHi
11U-. .Ul pic
.1 au
il nu
hLiuler k--- Liri.(iii--iaiui> ait
H
film, lin D.) iIcLcmhrt-
;i un L-xlrait . " l'i>
iiliaiiil lie lauc lies aveux uUli-
/iiuaulL-^ Dans la l'.i//.'.;.'//;/./^'
i.).iS. il |>ublia uuL- ilcilarati'iu
relie. |c Li.uinKnn.- par un
partie de mes luimbreuses li
Miii eli- \ ratuu-nt lal-itices
Liuie-- il eiubr\c.iis. .) a S sur i.
iiicui traites lelles,
liaient incninplele--
ehaine iiiinlerrunip
.u trip 1
j\ eloinieinent ;
a-
e rein|
ilir lie
Haeikel r.icntail ensuite .
aiiiere p
lUr exeilllel
r les lalsitii:lti"ns " i >u
sKlerer. après eet aveu au'a
blaiit. a|(>ulait-il.
et ic;
iiil-aïuu
bi..l(
m cil i<
'iste> re
.|U.
/lit Use lies mêmes proi
si la npiiste habituelle iK
e peut [lasreluter. elle ini|f(irte
luI est à retenir
Au
début lie l'aiinee l'il I
en Sortant avei
laut ipi au il
•but
les rcllj^i
is liiretiennes.
.atii
11
l)a.
iiiaiii
déil
iratidii pi
ib:
at-
kel iNpIlipie
itta.UleS et I :u i UsatlMU
des
ses (jU\ r. ^e
oniiaitrail ainsi indi.unt.
)ur a\ oir si leininc
lleiinc p
dlsiredller son cliseignelll
us la respiiii
If r\ lie son ili
sabilite de-
.-ssinateiir.
lalsili-
I llltll .
r mettre
a\cu de
lui
la \ iolellle L|lli
e repentir
ietile
d->si.-r-\ alii'iis .
iiisutlisanies
DrHr
.|..nt
iiiitam-
dls
'in
laeiiiK-s pai
dillli u
hi
uir établir uiu-
n est liiree. en
livpi'tlieses „
s il a\ait eu à
)nime eerase
nsf<lerai en \ i>\ aiit sur
Centaines,,
jmmés cl diunc-
■ mp
es dans
iiihaiii
i (Jette insinuation
liiiak
kel a des aiiusatuiiis ,|i
ilaiikel
ans 1 oieasi, iii
a\ ait surpris le
jUiU
lise protestante '. NousaviSjjs
i eampatiiie destinée à de'truire
1 n avduait .|Uc sa haine lonire
t a présent de leler le mas. pie.
ee par plusieurs j.iurn.uiN aile
-.on itrange résolution |iar les
lit il est lobiet. d'a\ oir loiiiinis
^•s selentlluiues
d app.irlLiiir a
.•uli
lit laiissi-
■ut. (..et
des laits dans le bl|i
il
ac
kel
irlTE l>i; l\ >i-IENc •:
maiiiiue
eapitale-
d'une
.■rtaine louliiue.
N
dont llaeckel lut l'obiet prov^naïc
ides Iniversites. elles
iiromis laSeieiiie e
h
-,(»)
s ail Usatioiis
es proles-
.rtaienlsurtiUitsur le l'ait d avoir
t ri'niNcrsité : il aurait doui été bien
vi part d abani
lier sa dhaire a
IT
jrslte
leiia. aliii de ne pas
oiUinuer a
■ luier le mauvais evemi
a la leune g'
■ueratiou des sav
ants'. U'est, eu elïet notoire.
ue même en
.Ml
emauneou avant llaeete
H.1
.-Il
lilniue était considérée comme
la iTeifiiert
i i\T.i, II.- SI len-
■ iiualile e\it;éc
d'un aspirant
à une chaire dans renseii;liemeiU supérieure.
n'eu est pas toU|ou
rs ainsi .iituellenjient. >on exeini>b
était trop mauvais pour ne pas devenir iiuitagieux
la psvchologie de 1 auteur el.iiit suitisammeiU établie
reste a dcmuer la relntatiou de l.eiixre!, au iiioius dans se
lignes
ipie p.
aiU' 'Us
Ulellts
FHliipales
isible les
11 niuuiplianl aut.ini
. ll.ItloUs
■ 111 aussi Ue c
.■mpruntee-
ilistis auti .rises dont h
N.
liorer nos obi jctious p.ir 'es lugc-
llolll est
t(pul hcuiime instruit i . est aux (
peu lamill. irises ai ei
sent surtout Ces p.igi
. leilie-
hil
, blohi
1'
.1 aux sa\ .ints
d'
d'
..ir-K tei'e pa|- tr. 'p l.iiit.iisi
.te de
loctrine-
de
ne permet p.ls t. <iï\'
dr:
der ib.l
la irituiue
.Vussi la plupart
le tou sérieux d une dlsuUssioii s. leiiliti.iUi
i'ï
n.itiiralistc
■ Ht
me llis, N'ircliow . Semper
luseiit recours a 1 ironie e
\'t.-t et
l a la sat ri
;talt
d .iilleiirs tout induiiie. dans 1 examen
.lastidieuse de Haeckel, atm de mainteuiji- en evei
du lecteur
ari;unientat!i>n si
' .ilteiitiou
l..\ i I A"
>\\ n Al MN' M HAÏ.' Kl 1
I 1
,A i.iii r.iiii
1 .Ni T m 1
dees de li.leikel sur rorii;ine île riloinille lurel)l
d abord brie\ eliieUt exp
l)K (.ï..>.
dans
Mw-pli-
"j," <•.;'■•
I -
,-,, i.voi uH"N I r
,„.„, ,1 le- ;i dcvcloj.pcc-. .n
iciiil'-- '1>'^' ■'"""' '""-■ ''"■"'^'
l.c iMXMiiivi •"-■ l'iPl""'"-' ■'!"-■"''■'
i.i'^.uihliic et iii'>ri4;uiu|llo ;
rcpr.MliKtiMii Jc-....ur-'|'i'-^ '
:l ri'mvL-IslK- >1 IclKl
ll.icikcl piciul - '1^- IV. u
1:1 .U-lavciir .|Uc -.1 doitriiK- i
cii^.i.i^c :i Lciuil'i'-'i-'iCL- >lcu\ '
ac---.pécl;lll-lc>. |i"Ur .1111 l'.i
,.,;,•. hi ncgligcaiciil inir.-iii
b.il.. liaient LC.11111H-- iiii ii-.i
naturelle. ..u la iirciiaieiit e
de ...iniia^-^h.n ' >n ' amail
./;../,■;'./( . aili-i i|n il '-'^l
rcl. .nue. -i. en e\|H,-,aiit -
17/ri/..-//v ./.' /.( ./■.■.(/"■" cl
ilUcKlUCi UIH--. ^lei iJee-. m
/,,^./,' ;', iiir.ilr. je lie le-^ a\ ;i
p.iitie l'Iii- e(.nsiJéi-able- .lu
l>.ir ce- public itiuii- ilaii-
spe^iall-te-, aii-eeteinelll al'
in.i ui.inieie .le c.jiii l>rciulr
( ctte attcntii.il - c^t mai
ii.iur 1.1 .|..eirine liaeckeli
celle-ci était precllee par
.lailleur-, a la .li.,cré.iitei- i
le-. .Ieducti..nsle-, plus r
-,. .lit pieselitées par Haeckt
turc- ..u Jes livpotheses.
Se-..iivraKc-s>.nt rempli-,
entre linlaillibilité au
autre- clio-e-, cb.nt le na
11< \S-.!iHMl-'MH
ec plii-^ a ampleur, eii même
populaire, dan- .leii\ li\re-
,, ,i\\Uii'ii et V.\iilliri'f'"x'''"'''-
emeiit-il.icre.itn.n.le-niiin.les
le -ecnJ e-t e\clll-l \ emelll
inme. L'un et r.iutre -..nt l.i
.lUtelirllt a .lilïérellte- epo.iue-
, expliililer lui-meiue ci.mmeul
eiic.iitra aupre- .le- -avant- I .i
uvra,ne- " Al..r-.|ue ta plupart
Kai- écrit 1.1 .\/,-./ /.//,./.'.".■ ».v/.'-
nt et -iinpleiiieiit, le- autre- 1.1
i;il .le rêverie- .le phili .-.opine
pille omiiie une erreur dl.nlie
tuée par le -ilelice i /...//;'.'^-
trrivé 'a d autre- tentative- .le
u- une l..rme p..pulaire, .laii-
phi- turd dan- 1 . 1 «////../>",;■.■'//.•.
uvelles énii-e- .l.m- la .V/..r/./;..^
i- pa- leiidile- acce-sibles a une
public cultive. I. intérêt éveille
un cercle plu- eteli.lu Lir^a le-
iiit-. a porter leur attention -ur
; riii-U.ire du develo). peinent. //
ilcsted d'une lasun peu tlalteii-e
liiliie ; le ton même -ur lequel
-.111 lanati.|ue apôtre eut -utli.
upre-. de- ^eii- compétent-,
s.iuées de la thé. .ne darw inieiiue
1, non comme de simples conjec-
nais comme des lois rigoureuse-
le sarcasmes, d'un ^out médiocre.
.ie, U néocatholicisme, et mille
iste n'a nullement à s'occuper.
P'I
tiira
l.,\ riTTK 1>E IV -CIENCB >71
Mais il ne d..ute pa- une minute de l'intaillibilite de Daruiu.
111 de '-a -cience propre Que Ihomiiie de-ceiide de h
inonére ou du léi^endaire Hathv bius, c"e-4t p..ur Un un article
Je toi .\ chantie in-taiit il invente de- tj-pece- imaginaire-.
dont il a besoin p.mr combler les innombrable- vides Je sa
j-éiiéalf)gie fabuleuse, et il est aussi aftntmatil en parlant de
ces êtres pr. .blématuiues .pie s il venait de les enduire au
cimetière, hien plu-, en mainte- pai;es de se- livres il inter
cale dan- le texte de- lii;ures, minutieu-lement dessinées. Je
ces animaux laiit.i-tl.iue-. cmuie si. .i\ aiit de .li-paraitrc.
Us lui avaient lef;ue leur photographic.j
/. .iiiliir ./...,./.■. ce sini;e -an- .(Ueue .pli -erait I ancêtre im
médiat .le rhoiiime. n .i pa- .le secret p..iir n..tre auteur,
le.|Uel nous .lecrit ses habitudes et -o 1 ueiire .le vie avec
autant .l'a-urance .pie -'il s'agissait d'fin ancien camarade
Je collège I.c respect .lu i;eiitllhomiiie ;poiir la mémoire de
-e- aïeux .|ui ont. accompagné (lodcfr..v de l!..iiilloii eu
Palestine n'appr. .che pa- .le celui .[Ue H.ieckel tem..ii;iie au
" vénérable amphii.xu- //. qiioi.|ue lui + nieine. du reste, ne
1 ait lamai- vu de -es propres veux et .hu il ne le cnnaisse
• .|ue par le- .iescriinion- de Kov\ aleusl^v .
(le dogmatisme présomptueux de l'ipitie p..ur le.|Uel la
nature n a pa- de -ecret. l'apparence de rigueur -cieiitili.iue
que 1 écrivain -ait donner à -..n -v-teine. le- iiiii..inbrables
illustrati..ii- d..nt il remplit -e- ouvrages. r.iboudaïUe et
barbare terininologie .piil emprunte iii dictionnaire grec,
tous ces artilices. usités de temps immejmonal pour leter de
la poudre aux veux, devaient necess.iireiiieiit en impo-er
aux lecteur- jwolane-
Tout autre lut leltet produit dan- le monde -avant par
ce- exagération- de -ectaire ; personitelleineiit. Ilaeckel
perdit la -itu.iti..n honorable .pie -es premier- travaux lui
avaient laite dans la science; en nienje temps, il porta au
Jarwini-me un coup Jont celui-ci ne -lest pas relevé
HaecU-1 ramené t..utes le- iorine- .iiiiinalc- a une -eule
i -
■c;^
(■VOIITION KT
forme iMimilivc. c..iiMst:nit ^
par l.i pcii-^ce le-. dilK-rcntc-s
.,ri;ini.iiK- a ceii-^vmciit ^u'imc-
aclcrmincr .|Ui.lles L-f^ccs d :
cpo.llies f^c-olo.uiqUL- .11- iiot
lois et sous VmlliK-iUc de
diant^é da-pcct. pour arriv
Ihomnie, créer, eu un ui..i.ln
les espèces auiuiale^ actuellei
liitiante-^pie qu'il a eutrepns.
Durant le- troi- premières
tienne, canibiienne et sihir
de la m..ilie du temp- eoul
..reanuiue sur la terre, tcuisl
suivant ilaecl^el. ont '. e^u
mIc- (.llraut le- première- t
rais-ent>iuaucommeneeme
Comptant, depui- la niouertl
lormesanee-lrales diltereiii
cn\ir. .n de ces espèce- vi\
huit juemiéres étaient des a
dernières, de> vertèbres.
1 ou- les animaux -ont p
le-/'/v/,s-.<.;//r-Selles.i////«.i
, i'rthh'ir. l'roto/oai compi
et le-, organisme- pol'.cell
- plaslides est la moiiere. qu
-ub-tance albumineu-e. di
l'ainibe. .pii possède la -tr
,|Uelle se compo-e d Un 1
laire. l.es organisme- pol\.
sections : les -vnanube- el
Le second groui'e. les ai
prend les invertébrés el V
citons la jr.tsliaj. leur a
IK.\NS10BMISME
n une cellule uni.pie Suivre
luoditicatioii- ipie le inonde
durant de- million- d'années.
niuiau.\ exi-taient au\ diverses
■e t;lf)he. en Vertu de .pielles
lUels laclelir- et
luraienl
■r de 1 être monocellulaire a
généalogie com|ilète de toutes
K-nt vivante-, telle e-t la tache
période- geologi,|Ue- l.iurell-
eline-. 4UI cr.iiiprenneUt pre^
L- depuis la nai-ance de la vie
- animaux el l.uite- le- plante-,
laii- 1 e.iu. I.c- organi-mes ten-
aces d'iiabital terrestre n'appa-
it de la période dite devonieniie
iu-.pra riioinme. \ ingl el une
-. llaeckele-tiine,|Ue la moitié
lit dans la mer. l'armi elles, les
iimaux invertébré- ; le- ,piator/e
r'iagés'en deux va-le- er. aipes ;
;m .1 int.'stnr I e premier groupe
end deux divisn'.ns : les pd.istides
iilaire-. i.a première tonne de-
consiste eii un peut globule de
,c i>rotopl.isme : la -ecoude est
iKture d'une cellule, c'e-t à-dire
rotoplasme el d'un no\au cellu
ellulaire- se -ubdu iseiit en deux
les planéades
imaux a intestin i.Meta/oa , com-
- vertèbres, l'armi les. premiers,
n|ti>|iie souche. >iui est constituée
1 \ irTiï 1)F. 1 i si;iE
unuiueiiieiil par un tube inte-linal avant un oritice, el le-
, //.'/•./""'.•">. qi'i --■ presenfeni a abord ious l'aspect de ver-
dépourvus de cavité et de sang: ils adonnèrent ensuite la
cavité vi,cer*le. le sang et la corde, et. s.ms celle dernière
lorme. -e rapprochent desa-cidies
Les vertèbre- ne comptaient primitiil-emenl que des acé-
ph.ales, comme l'amphioxu-.l'uisapparurenllesmonorhin.e.
ayant de- mâchoire- analogue- a eelle* de la lamproie, le-
ichthvod.i'. el enfin les amnioles. ce-lt à dire les animaux
dont le germe e-l enveloppe de raiimio-. t.e- dernier,
lurent d abord de- protamniote-, el. âpre- eux, de- promam-
malia, genre des m<.m.treinata. Les proitiammalia d,.niiereul
naissance aux animaux a be-ace markupiaux ; ceu.x-ci -e
■ transformèrent -nccessivemeut eu deini-Mnge- , prosimi.i- .
puis en -uiges simi.c Les aïeux imaiédial- de llu-mme
lureiil. en premier lieu, les singes .l|e rancien euntineui
.Mmi.e catarhin.t . poU'V Us dune queue. eu-Ulte le siUiie
acaude. que notre auteur appelle .!/;/*•.•/'.■'>/-■•
Telle e-l. dan- -csgrande- Imnes, la tjilialion généalogique
de l'homme .Vioiiloii- que. non conteiU de signaler le- trait,
caractéristiques généraux de tou- ces in-eleiidn- ancêtre- de"
■ rhunianite. llaeckel décru minutieu-dinenl leur, particula-
rité- anatoini-iue- et phvsud.>gique-. -an- oublier aucune,
lorme iran-iloire. lixe Tepoque géologique on ils ont vécu,
el. de plus, loiiil a -e- descriptions desdesMjisanatomique-
tresdélaiUe-
, Vovons niainlenanl quelles preuvU -ont invoquée- en
faveur de celte généalogie si complète. UMdeniinent. il
aurait fallu, avant tout, établir l exi-tence réelle de cc-
ditïerent- animaux aux époque, géol.|giques désignée, l ne
pareille demoustralion ne pourrait être faite que -1 Ion
découvrait leur- debri, dan, lescouclie- corre,pondaiiie- de
la croule terrc-trc. Kncore le- U.-i es mêmes de ces ani
maux ne -eraieiu-il, pa- une preuve que le, uns de-c^ndenl
des autre- l'our rendre probable 1<| !irn J, p^r,,t, entre
I -
5-, K\01.11U)N ET
le-, diverses cspcLcs. il lauJr;
de lornie^ niariiuanl le pa^sag
surtout, piiur avoir le droit
anti-trcs, il serait indispensab
véritable .uitliropoulr et de i]
eutre lui et Ihomuie
Disons tout de suite tiue no
à ces tonnes de transition n':
que la plupart des animaux, l
arrière-grands pères, ont dis]
aucun vestige de leur existen
reconnaît 1 absence de doc
pourraientconlinner 1 e.xact
" Pour une espèce ^ue nous
ou mille qui n'ont pas laist,é
Aussi est-il forcé d'avoui
créées par lui sur de simple
tendre à une bien .grande
néanmoins, iiu'ell;^ inçrUen
car. dit-il. la linguistique n"
de la réalité des idiomes él
eux dans les langues encore
dant elle admet 1 existence
gage souche primitive de tt
(.'est 'mec(jnnaitre élraii^j
sciences naturelles exactes
des preuves approximatives
logues. Du reste, llaeckel
abusive de la paleoiitolog
science ne fournit aucun po
Nous Verrons, à la lin de
découvertes paléontidogiiji
clairement contre la descen
n.ic.ka -c.iu <.iii|.iuiii>:x- :. Ki .hi
tu
1K.\SS10K.\|1SME
it en outre trouver des traces
.'d'une espiece à une autre ht
d en parler comme de nos
e de découvrir les restes d'un
lelques formes intermédiaires
I seulement rien de semblable
été découvert jusqu'ici, mais
ont Haeckel prétend faire nos
aru sans songer à nous léguer
■e terrestre Haeckel lui-même
iments paléontologiques qui
de de son arbre génealogi^iue :
trouvons, dit-il. il v en a cent
la moindre trace' /.
;r que les espèces animales,
, conicctures, ne peuvent pré-
uitorite scieiltitique 11 croit.
d'être prises en considération ;
^ pas non plus d'autres preuv es
ints que les traces laissées par
parlées aujourd hui, et cepeii-
II une forme commune de lan-
us les idiomes connus
ment la vérit.ible n.iture des
pie de vouloir se c<jntenter ici
qui peuvent suffire aux pliilo
a beau faire une appluation
e. il Sent lui-même que cette
lit d'appui solide a son système
■e chapitre. i|U au contraire les
es les (ilus récentes témoignent
lance simienne de l'homme
H*:
;. ■l.,ull;> 11"^ Lll.llh.h- >
l.ilh.h- Je r..u\r.Éj:f vie
1 \ iitri; iiE 1 \ s(.iENt;p '/'
Haeckel s'efforce donc de construire sa the^e sur les
données de l'enibrvologie. Il s'autorise d un prétendu prin-
cipe d'histoire naturelle, adopté par liii. siih.inl ir./uc'I Ir
Jczrlopp.-wriit Jrs ,i,^T/»c.s ./es- ,/,:v/-.v'.v ,-|/>.'-iV.v J,rr,i,t rrf»;-
.//,//•.• /.■•. f'riil.if'.inx tr.ul< Jrs JlJiiir[,)h-ilts ./.'(,• /'cn/".-. .•
mrmr .uir.ul snhis J.in. son Jrcrlopprm.ilt .i p.irlir Jr >J
U'i-mc la plus simplr juSiinà s.i toniu- .uhir/lr Cette /.-/
hio^ciirtuiiir. comme il l'appelle, constitue tout le fonde-
ment de son anthropogeiiie : l'-'//<'A'-«'"'.j, ou développement
de l'individu, ne serait que la r.fftili.'ii\ ahrri;.:- Jr l.i pliy!"-
oriiu-, c'est-a dire du développement de lespece. Hn consé-
quence, durant les neuf mois de la vie utérine nous passe-
rions rapidement par les vingt et umi formes principales
que nos ancêtres, a commencer par la monere. auraient
parcrmrues durant les millions d'années qui leur étaient
censément nécessaires pour se transformer enfin en orga-
nisme humain
■^ Le lecteur comprend maintenant ce c
dans la constructi.m de son échelle geinealogique l'reuant
son hvpothese biogeiietique pour l'eXpressu... incontesta-
blement vraie de la loi qui régit la f,j.rmation du monde
organivpie, il a choisi une vingtaine dd formes par ou passe
le germe liiunain d.iiis les premières phases de son dévelop-
pement, et il nous a crée une géneratij>n d ancêtres corres-
p.mdant à chacune d'elles. Réciproquement, quand les êtres
existants lui ont paru de n.iture à constituer les ch.iinoiisde
sa généalogie l.ctue. il leur a attribue des ressemblantes
a\ec telle ou telle lorme du fo-tus humain.
De même que le germe' passe dune torme plus simple à
une i,,rmeplusCoinple\e. de même au*si les prétendus ancê-
tres de rhoinme, à partir de la primitive et intorme inouère
im.iginaire. auraient touiouis été eii se pertectiounaiil.
qui a guidé Haeckel
lUsqu a ce qii 1
Is fussent arrivés à I an
thiue l.'o-uf humaiii.auintsafecondaiion. ne serait
Haeckel. viu'un globule à peine ebau
ihropoide problema-
suivant
elle de protoplasuu
i -
-,7''
I \.)i.uri<)N ir
ii;ir cdiiséqueiil. iiMlrc preiu
l.'n-uf l'écoïKiL- ci.ricsiioiulrai
union. r(viil"secMiiipn-,cil'uiu
nuu> cicc ilii iic'UVL-l :uKc
! .imibe. qii il appelle ^yn.^ml
lespoiid la pl.ii\ja.,N"t''e' t;en
iatére^saiU animal, .iiii l'Hi-
Liiii|iiiciiic ancêtre nniis est
parvenu à ee ->laae Ju dével(
aen\ leinllel-,gerniinaliN : 1
S(jurce ae'. principaux or^ai
feuillet neuru-corné. Jiiu
organes.
Nous avons déjà signalé
présente. dans le svsteiue Je
souche des >-li\ ers anl maux. (
tous Ceux-ci, au cours de 1
passer par la l'orme Je la fiast
slou Je llaeckel, consister ei
canal inlestnial a\ant une
nourriture et aussi pour le
cette théorie gastréeiine es
lilé Jes /(jologistes et Jes e
JesaccorJ avec les laits les
n'obéit Jonc .pi'à un capri
.pianJ il suppose qu'un ani
ment J'nn canal intestinal
miUii 'lis J années
Dans son Jéveloppement
se trauslornierait en \er
coiiseiiuent, a un certain
nous Je\-ons aussi être un v
J'aniiihioxus, animal qui, ^
r . 1. I UiO.iiic Jilc ii,i-l]»;i;inli' :
luiu n.uii..iii,.i.liic ao ll..c.licl .. S
TK.\SS1"01<M1S.ME
er iiicetre serait la monère
t a l'amibe .\près la se;.;men-
couclie Je cellules, et Haeckel
re, JesceiiJant iniméJiat Je
je .\ la cavité segmentée cor-
■alogie arri\e ainsi à la gastr.ia.
iste en un tube Jigcstil ( ^e
assigné lorsque le germe est
ppeinent ou se forment en lui
; feuillet intestino-granJulaire.
es Je la vie végétative, et le
proceJeiit toUs nos autres
l'importance consiJerable que
Haeckel. cette gastraa comme
nifoniiément à sa biogénélique,
eiir Jéveloppement, Jevraient
■.t-a ou. pwur cinplo\ er 1 expres-
une gastrula, c est à-Jire en un
,eule orilice. pour recevoir la
rpulser'. Not.iiis Jailleurs que
re poussée par la presi|ue tota-
iibrvologistes. comme étant en
us incontestables. Notre auteur
c Je sa fantaisie personnelle,
mal sembl.ible, com|iosé seule
, aurait existé il y a quelques
ultérieur, la gastrula Je Haeckel
.-t Je\ieiiJrait une asciJie l'ar
,taJe Je notre Jéveloppement.
.T 1-jisuite, iious passons a 1 état
I. mille on le \erra, n .i m crâne.
r Ic^ cjiiiiig'
).,iii |inui la l'icmuic loiî Jju-
dl.MlI t
i'
1. \ llitK HE 1-V S(.lBNi:p ' , /
in cvur, m extrémités (.et amphioxu-J. soi-Jisant Jesceu-
Jaiit Jnect Jes asciJies, serait en iiienie temps lorl^lne Je
t., us les animaux vertèbres. Les métamorphoses subse-
.pientes. quenlhonneur Je nos ancetrf Haeckel UoUstait
accomplir Jaus le sein maternel, ne sont que Jes leux
Jcnfant en cmparaisou Jes dillicultés que présente la
transf..nnaiion Je la luonére en ampbi.fxus
. .\u huil.eme st.iJe. iious sommes une lamproie Je mer:
•au neuvième, un vulgaire poisson; au llixieme. nous Jeve-
uons J emblée un animal vertèbre supérieur, pourvu J une
enveloppe eiiibrvoiinaire. un amniote <.oiniiie on vient Je
le voir, nous .levons uoiis trauslornrier tour a touv eii
numotreiiie, en mammilere J une t^spece JispaïUe. eii
.,„,,ii..l Ju relire Jes inaisupiaux. en jemi siiige. en véri-
table singe pourv u J une queue. eUsinke .icauJe. lUsqU a ce
que non- avons enhii l honneur Je Jefeuir homme
l.c le. leur me .li^'eusera J exposer |avec plus Je JétaiU
cette promotion hiérarchique Ju germp l'our notre but. lî
sulht Je retenir que nous Jevons. J ..|M-és Haeckel. p.isscr
p.ir toutc~ce>!ransiormations successives, car son lutlexible
K„ bio^enetique UoUs oblige a sUivrJ exactement le bon
cxemiJe qu, nous a ete J.mue. il- V ja quelques millions
J année-, par .lotre premier ancêtre, U mouere.
l) ailleurs, s il en faut croire 1 aute|ur. ce n est pas une
au.bition irivole qui a JeciJe la mrjnvre a ech.iuger sa
uioJeste. mais ui-ouciante existence aujfonJ Je la mer contre
la vie humaine,, si remplie Jagitatioul Hlle v a été amenée
par Jes rai-ons bien plus respectables |t tout a lait mJepen-
Jmtes.le ~a volonlc. l'arinl ces.auses, liuureilt en première
ligne la lutte poXieXWtence et U sélection : viennent
ensuite 1 aJaptatiou au milieu extén^Wir et la iraiisini-ioi,
hereJltaire .\loutons v les cat.lslrophjes géologiques, telles
que le- JepLu eineii ts Jes blocs Je gl.lje. le Jessechement Ju
s,J, les tremblenjeuts Je terre, les iiilonJations, etc.. et le
misanthrope le t'Ius euJur.i Jevra reconnaître qu'il etàil
I ^-
;7^
IVOIIIION FT
iifuile à la pauvre- iimiicrc i
imtci ft
t de ne passe traiistcrJHer eu gastr.ia. en asiuUe, en
honunel IbnsLes .nnJitidns.
anipliHiXUS. en lainpi' ne et en
nt. elle na\all pa
evKieninie
convaincu ipi il lii^e
parlaitt
la rel
itmn existant entre le- preleiulne- eatastioplies ^eol
(iuiues on nieteorologuiue
ilan-
jrgaiiisme
de
)ns l(jnt aeeepler
si notre turn
■.lit
iniuiinx et des plante- Ui iioiis
.• artule de l..i ; tant pi- pour
éclaircisscinellts etsi le lien.
us parle, reste eiil ;niatii|Ue a ne is yeux
l.K
les li
l'KlK Illl'S .\
eiiti -. nous a\ i.n-
iblt
.11 ter
liaeekelienne qui. au ilire ae
■ l.in- i liistoire de-
nie
)iu rage
sapplui
Il a lua-
d ailleurs, tout ce que
pi lur lin espri
t 1.
titupies des idées dont I lue
surtout ce a quoi - in^eiiic
ibond
uniiRiit -on argi
loiit cntiéreineiit delaut Sa
■Itor
■M>
Ce d \ slip
lie
P
un esprit non prévenu eiii
.tiire la c
in\ ictioii iple. q
blaii
idlgU
er I iii|ure
autant dire au monde s.i\ .mt
p.irdiiUMe pas
critique
rR.\NSK>KMlsME
tenir contre t. iiites i
.lloix.
H:l
en est si
it inutile de nous expliquer
et les clianf;eiiients p
diiits
l'.i iiuiiii 11 i> m iiAi-i Ki;i.
.lierche. .lut.inl
jlette
de
.1 doctrine
parlis.in-, d.dt laire epoqi
.-nioiii.niipies
l.ins le reste d
.inteiir
teille
,1 ile h. ri
' chi ii|
Ke\i(-tir d app.irelices pseiul
-tance sauté aux veux.
ii.iiit
lia
.kcl II de\el.q<pe d autant
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le- cltatl..n- textuelle- deMeUllent plu- que
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1.
écrivain le m
de lair
tCoUnu " le -t\ le
h' unnie «
l Haeekel.
U a laïuai-ete plus )ll-teque
licati.'U
but direct >|lie p.iur-ui
tltliiue- e
,1 a\ ..lie h.llltelliellt a.iu- la
:i par ses tr.ix aux scieii
prtiace de 1 .1 ';////•.'/>•'
lit.i.
.rite en p
lein Kiiltnrli.uiipt
Da
■rre intellectuelle .pli agi
te toute lIliiMuanite pensante.
dit-il.
Volt .lun coté, -ou
- I ecl.it.mte bannière d
le la
1 allr.incln— eineilt
-iM'lt e
■^ I
1 vente, la raison.
.IV ilisatn.n.
le le
Veinent et le
>r..ere-
de 1 autrs
u- le noir drapeau de la hier.ir
lue
-o raille
liutellectllelle et l'enelir. I lll. .. séisme el
t la i;ri
ut 1.1 -erv itude
la
suiierstltloU e
I 1.1 rea^ti..u
. \\\
.-tte nr.inae
-lerete.
Iltte hi-t.
v..iir 1.1 culture, a l.upielle.uou-
av . .n- le lv. .iilieiir
de
prendre p.irt per-. .ni
.lllelU. 11.. u- lie p..UV. .11-
le-lle-.r une
lee nielllellie
1 Antlif
r"A''
l ...nulle toute
• liras
ilogie par.iit ndu ule v iiiiilaii- âpre- .p
Ireux Kn!lHrkMii[>l - c-t ternune )
ar un v ..vage
a t .uio— .1
Ainsi.
api
. llaeckel.-. .11 Aiillir.'f'.i^.iii,
dev r.iit être une
dan- la lutte
.a liierai%
lue
iih
lipile
1,
.herche impartiale de la vente qui, ju-.pi a pre-e
.min-e le princip.
ete con-Kleree
conséquent relét;Ue.e
.Mit. .IV ait
il obldtde la science, e-t p.
.la
Si la V érite Ile pe
ut
t -
l.\Ol.rTli)N IT
nou^ ^Lfvir
arme uc c
)niha
lallKur a
u sa\ an' iiiii
iticii |i(,ir. anl ..btciiir 1 apj
/.l//.^
1.
L'i. kcl.
Iiabini
i)L-i.lii'n-^. 0
cil paici
.Is : lia.
Jaillc
ibl
i; ce sa\aiU il miuri."-
par uiic pii"i iUcltc \ 'iici,
p.rélaLL- iitcc plus haut, il ci
dv .hi I1<.k-Kcviii>.ik1.
"'i,
uiiUs a\ loiis viiiilu
nos auLi\ iiiiiiiocc
llulairc-
caiiibriLiiiic. leur pcisleri
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lerniers ne .e seraient jamais atteiulus a ce
iple leurs b.intaills épigolU
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11. .Ils lie c iniiailr..!
1 A
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est-
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W \NSl-OKMI.SME
il laut la
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ise lornuiier une prop.
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I /;■.,/.■
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mrt imine
Jiatemeiit a se-
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aer.aK'
dans 1,1
{iriKir.lhilllll^
imuiellt.
ir exempl
.it rep.iiv
iiraiit 1 anti.|Ue époque laureii-
re cmprendre anx amibes.
pell
Jant 1,1
lern
vieiiarait lin \ er p. .lyce
ntestill. ae muscle
et
1
Uulaire
le iieiis
(uliis, ils ne lauraieiit pas pu
auraient jamais aamis que leurs
. et
tel-
,-)res
acrani..tes,
ae\ llls
it ac
Lrann.tes
-■te
' i ; N..11S ne channerciiis jamais;
lliist. .ire ae noire aévelop
>if.
r liriiKi'.iriiiiiis
\ citent triomi
ilialei
lient
.latante rérut,itioii à^
iiites a 11.. ire
que celle arm
.1
enlenaemellt
ineiltatn.n ? Si les
.Mis ,i\ aient pu c.unprenare les
ils auraient elé bien plus
.ur ellN ses
.iiar
lire que, si llaltellses .pie lussent ]
js étaient ma lleureUselllellt Llllsses. 1, ,llllibe
re a llaeikei .] i il ser,iil encre amibe aaus la
le ver en ,iurait dit autant p..ur
plii...\us aur,iit aj.iuté que jamais
.k
; que
jtituae
:k
généali.^ie
laux n auraient
.E W sl.IESC ■
ete p
lr..n-
eineinent auli.risesa .
larer ;
lamiais ii..iis
1 liist..iri
11. .tle
.ppeinenl
ae supposer i|Ue
\ .\iitiiropo^,ni
;ture lavortte Ac
n,.urrai
t-il s,ivoir aui..ur.riiui.iiie pai
mais pauvres
riiLimeur ae
.■ut 1.1 i;astrala f
lllaeckel cUstitue la
l'amphioxus après jléjeaner. comment
. parents li. mnetes
a ,
.-.iml
1er ,111 m-mbre
le ;ses de-
dants
p|-..lc
ae rriilversUe
leiia :
Ni llls avon-
ae)a au que t-.ill k
aeux bases principale-
1,1 pi
svstellle
■etelKllu
en \e
animal n es
de bi.plelle
t que la répi
t 11
.■miii
toute 1 espèce, e
la.pit
u p.
elition a
the
supérieur-
bre^i
dite ai
l,.i 1
t du
du de\t
>i..UelK-tUlUe
le d-'un
pement
d'a^
.M'es
anninaiix. ;t un
,ae deleliraeveloppemeiit.
iivent tous se c
■ mi
lal intestin
al. muni a une ouverture
Dans u
MillllMiX
ouvrai;e cipital
//.^^/,'
,■/ ./.■
Koelliker examine
./,•
:<pp,-in:>'A J.--
\ détail la loi
biogénétique.
aussi picu
lonaant sur une mu
Itiliideaelails
lémb
t. .mie comparée, il prouve sans peine b
e rhvpotriése aes gastr
,l..gi
u elles so
ni 1 une et
l'autre en op(
Nous aurons
.loslllon e
ilus l..in 1
vidente avec li vérité sclelltltiquc
laiVs ; bornoiis-iious p.
lamniilères e
1 1
es oiseaux,
casi..ndesiglnaler plusieiir
le m.. ment .1 un seul
n'existe rien ac
de
ia gaslruia
Liasses d ar
LM'scr tou-
hae
elleline.
\u limportai
tait est plus que sullisant p
les châteaux .le cartes |e
hlic
iblable a -—
ces deux
.ur reii-
taeckel.
.■llikeradoiieparlaitemcnt le d
.lisant .pie la phyloge
traliou e n c
être admise par la scieiic
la réalité A ce
de la gaslrula
t 4e terminer sa.lenio.ns-
ckelielllle ne peUt^
e, attendu qij'elle ne
biecti.'ns SI lortes.
loudees
..lia p.
1 absc
lainmilère^ et chez
liaeckel réplique
(iela est en ctiiitr;
idictioii a\i
recherclies
receli
les de \an l'.eiieden
.•t de Renier ; ils ..nt
t -
I ruiné, le premier chez le L.i|
une forme céiiogénétique de
lliéorie desgastr;i-:is, peut lac
triila palingénétiqiie de l'ami
A ]iremièrc \ ne. la répuiise
lleackel iincjque le iiniii aut
sL-rt d c\prc->si<iiis -ïcientiluiiu
" palinnénéliiiuc „ (Jiie [leiit
(luurlaiit. il -le trcnn e que le'
ne relillent nullement Koelli
expression-! citées et au sens
voir sur quelle base Iragile il
positions les plus londameiit;
^ 4. I.i:^ I Al. -.11 K .
M- 1.1 IN 1
" l'ariaiit de sa loi biogéiu
empruntées à l'histoire du
llaeckel s'elïorce de créer le
qui auraient scr\ i de degrés i
jusqu'à l'homme, l.a plupart
eU-x aucune trace, par cette s
c\isté que dans l'imagination
Four les décrire, il utilise l
germes aux dilïérents^stades i
part il met a contrihiki.g>jj l'an
contemporains ou fossiles, i]
le plus de nos prétendus aieu
cette double tache, il lui fau
plus possible les é\ identes ./(
j^miii's iL's .//l'i'/M .uiiinJHx
analogies dans la structure',
térieur de ces germes et dest
.^lalgré l'extrême adresse ave
hVDI.I.iTIoN ET rK.\XSl-ORMlSME
in. le second chez .le poulet,
a gastrula. qui, en vertu de la
lement être ramenée à la gas-
IlioXUs //
a 1 air. en ellet d'un argument :
irisé Je \'an Benedeh ; il sc
s comme " cénogénétique „ et
on désirer de mieux ? Au lond.
(jbservations de \'an Henedeii
ker l'out se réduit aux deux
|U v attache llaeckel < >u v.i
s efforce d'eta» er l'une des pro-
ies de son s\steme.
I hi.NS m l.A .\.A 11 RI
Ai:( Kl 1..
tique et s'.iidanl de données^
développcuiellt du germe,
vingt et un t\ pes d'animaux
termédiaires depuis la inonère
de ces t\ pes n'ont laissé après
mple raison qu'ils n ont jamais
de lauteur
'une part les traits saillants des
e leur développement, d'autre
atomie comparée des animaux,
ui lui paraissent se rapprocher
Dans l'accomplissement de
sans cesse, d'abord elTacer le
t/rit'iUi'S i/iil t-.xislrnl c'iilrr /,■.■,
ensuite trouver Je grandes
lU du moins dans I aspect ex-
pes d'animaux correspondants,
; laquelle il sait découvrir des
1. \ irni-: l'R ia s.iknie '^'î
ressemblances la ou il ne s en rencontre aucune, malgré les '
libertés dont il use a 1 égard des données les plus incontes
tables de l'embrvologie, à chaque pas néanmoins Haeckel
se heurte a des laits qui. en dep.t de tou», sesellorts, reluseut
absolument de se plier a sa loi b.ogénelique ' -
Dr ces laus , o,uyr,n-nt. ^.vis .-.uepKon. tout.: A- f.">
in,p„rlaul.■>l'^rtLnl.u-iL■> morph,'n,i;u,ii:-s : .K constituent
donc. en réalité, la meilleure preuve d^ lalaussetede la loi
\lns Haeckel ne l'entend pas ainsi. Po|r lui. ces taits s ex-
pliquent par les ,.,.'.w'r/,. <//.'//.*! F. '/>■'/'"".;"■'" '/"•■'■' "■'""■'■
.■,s/ permis .r.mr.Jun, /-■■» .' Z'.'" ■I'"'-"'! ■'- »"'^"""
l\,ii„.vs- elle a de la sorte effacé les tricesde parente entre
lel différentes espèces. V.n un mot, . .s' h n.,l,„r dl.-mc.n.
,,„, ., .on.Unun.nt ,,!s„r >. in Hi;cn.tu,Hc: l ne lois
admise cette étrange mais commode explication, Haeckel v
recourt, dans le développement ultérieur Je son syteme,
ebaqiie L.is .pie les laits Osent s insurger ouvertement contre
'"; Naturellement, dit-il, étant d.utnee rinte. pretati.ui phv-
logeuetique des processusoutogenétt.m.es, ,1 importe, avant
,„ut, de distinguer avec netteté et pk'ClsU.n les processus
de développement primitils et palmgénetiques de veux qui
sont postérieurs elcen>.geneti,,ues.Nousappelonsrr,.,,'>.w<,
f..,l,n.n;irtu,„.s les phénomènes qui. dans l'histoire du
développement de liudividu, se transmettent, fur heredue
e•onser^atnce.degeneratlonen génération, et qui, par suite,
permettent de conclure directement a des processus cor-
respondant dans l'histoire du développement des ancêtres
Nous appelons p,:. ,.sus .cno.cHcti.ià^..^'^ lalstl.catious des
processusdu développement, les phénlomenesquudanslevo
lution du geruîe. ne peuvent pas ^tre considères comme
„„ legs de l'ancienne lorme originelle ,St.„>n,Uor„n ,
mais ont pour cause ladaptation desl rudiments des germes
ou des leunes lormes a certaines coUJitions du developpe-
lent des germes Ces phénomènes dénogenetiques so
nt des
\
-.^1
i.voiriliiN 1.1
ajaition-, clraiificrcv iiui ne
conclure Jirectcnunt a Je-
h série généalogique, mais ,
faussent rintellii;ence de ce-
"A proprement parler, ce
nese et kl céno^énése, oudé
aiteiiti..n delà part de-, nai
tant L'inniie la première d
1 histoire dn developi'emei
.,uil y a lieu de distinguer, d
la palingénèse et li cenogci
Apres avoir émimere pU
ment chez l'homme et les
aioute : " lous ces import
d'autres sont ,-c/,/.'/////'.'"/ i
antiques aien.v mammileres
phenomenesdedeveloppen
daiits dans l'iiistoi're de leu
ainsi pour les processus d
Jiuvt'iil • li'i' coiisidéresconi
la lormatioiide la vésicule
toide. dessecondines. de 1
celle des diverses «nvelo
lions correspondantes des
momentanée des lamelle
lamelles latérales, locclusilfj
cl des intestins, la lormat
1 ous ces phénomènes rcsi
culières de la vie du gerni
loppes de l'u-ul'i l.es i:
altèrent le cours primitif
ment, sont dues pour la
tante des phénomènes, pe
lation,durantdesmillion-
TKA.Ssl'OH.MlsMl'.
icrmeltent, en aucun cas, de
Mocessus correspondants dans
ui. au contraire, dérobent ou
derniers. . //
le distinction entre la palingé-
•eloppeinent avec lalsilicatioiis
a encore été honorée d'aucune
aralistes Je la considère pour-
ndition p.'ur bien comprendre
1, cl j estime en conséquence
„ll,lst,.ire dp développement
cse.. . i»
,icurs pr.-cessns de d^vcloppe-
vcnébres supérieurs. Ilaeckel
nits phénomènes et beaucoup
n héritage tran^nis par leurs
cl d.'kciil •Irr rapportes a des
ents palingenetiqucs co, respon-
race. -Mais il ne peut en être
développements suivants, qui
nedesprocessusceu.'gcnéuques:
itcllaire I />-//.■'-"/■'' ^l'-- 1^'"'"'"
ninios et du. horion, en général
,pes de l'oul et des r.unihca-^
•aisseaux sanj^uins, la séparation
, vertébrales primitives et des
nsuccessue des parois s enirales
,n du c(.rdou ombilical, etc..
lient phUi.t des conditions parli-
. dans l'u-ul :en dedans des en\e-
Isitications cénogénétlques, qui
:t palingénétique du .levcloppe-
lupart a une perturbation coiis-
(urbation occasionnée par 1 adap-
rannées,adén<nivellcs conditions
i,.\ iiTtE i>r i..\ sciKVCj: ■'-"^s
d existence embr'. onnaire Celte perturbation peut modiher
le lu-n ou le Irwp^ du phénomène. Noms appelons la pre
mière heterotopie ; la seconde, héterochronie ipp. y-.n.»
Il faut noter cette manière naïve d'expliquer le développe-
ment des enveloppes de l'u-ul par ce, fait que le germe
s'adapte a la v le " en dedans des envelof^pes « Plus curieuse
encore est celte cenogénèse qui. durantd|smillionsd'annees,
modihe les conditions de temps et de lieu, donne naissance
tantôt a lallantoide, tantôt à Tamnios' ou aux secondines
(sans doute elle en produit un petit morceau tous les mille
aiisi, sejVare les lamelles vertébrales, fejme les parois intes-
tinales, etc. Qui phisest, tousces phénoiiènessont présentés
comme pariaitement f naturels « ou « i vidents „. et. pour
mieux eblonir le lecteur, on crée, à l'iide du dictionnaire
grec, des den..minations barbares qui n|ont aucun sens Où
les concepts manquent, on les remplac^ par des mots, a dit
(iu-the Personne ne recourt aussi souvent que Haeckel .à
ce procédé.
C'est un zoologiste allemand, l-rit/. .MuUer. qui émit le
premier, en urmes généraux, la pensé^ que le développe-
ment historique d'une espèce devait s^ refléter dans l'his
toiredudeveloppementdechaqueindiv^idu de l'espèce; que,
par suite, l'évolution des descendants reproduisait en abrégé
celle de leurs ancêtres successifs .Millier émet cette idée
comme une simple conjecture qui, du-il, m' peut p.i> ctr-
,n.uut.nanl v,r,U..- J.in> !.■ d.-v.'loppymcut Je. n,.i,vul,i..
Jiiti,ul>. lia soin, d'ailleurs, de limiter son hvpothèse en
ajoutant : « Les documents historiques, conservés dans
révolutu.n individuelle, s'altèrent peu à peu a mesure que
le développement suit une voie de plus en plus directe, de
l'œuf à l'animal complet. C'est ainsi que ces documents sont
arrivés jusqu'à noUs notablement moidihés et, pour- ainsi
dire, falsifiés ' //
1 /'■)// IhltWLH j'
i»t i:y..n
l,c.
)l.l TION I-"
Au ton
iiKM il es
J, cette réserve n a
tactiiellemeiit nniiC)s--i
su 1 van
la pliv
t hu|ULllf
logénie
)in(ig>-iiM
(.est
onc
même prcsentce s.
totalement Je preuve
,us forme
Hac
'est ap|.
prie a
Muller et la réserve 4UI 1 ac
tait la loi fumlamentale delà
ei. de la seconde, nue exce
nit la meilleure contirnuli'
raliste de sens ra>si-.. de^ ip
uature lalsilie couMammcnj -e
ces nretendue-
se renc
.ulrent. en e
11 existe
iTel.
leiis, mais
lit
pa> une Iiu-. ou v
,1 »////. ./"•,;'.■'".■ eia l'roj
dans le de\e
lopi
lemen
10-
t du
presiiue a chaque pap^
de-, prj)Ce>susle-, plus importants
f^ermel.
et Inen
d'autres,
comme ae5 ci
iiitrela<-ous
tacons .
ihla
uise l
.erra que les tr.H-, q
uar
t des laUilica
du germe son
di-cnl lormellenien
tliton^. un exemple
1 ,tu( chez certains ai
t la faiipeUse
le Ap
lap
itendue similitude du
Haeckel conclut ip
ilil
■,t la lonne palin
a|outc
A
plnp.i
Au c
le
la marche primitive >le 1 ^
et a subi des transi, iniiati.
conditions du dévehqip^'
lion de ro-ui. laioiinatioi
OKMISMI-
K but que d'expliquer pour-
hle de véritier la conjecture
serait seulemeu
t la repétition
aveu que la loi biogenetique,
le simple hypothèse, manque
la lois la supposition
de Frit/
impague
: de la première, il a
formation du m.
iiuie organique.
on Irè-, importante,
m four
tu-
m est
L-s h lis
ette loi. i'our tout lia
force d'admettre que la
est delà la
ircuve qi
Kt les dites falsilicatiou-.
le svsteiue de
Ac
de
■1'<ju^
auteur, Joixeni être
iheliouieues
déres
lU-^l
Si 1 on compt
te toutes les-îtcontre-
rouvent indiquées daii-^ ■
des (ormes
s de dével
<i-n d autres termes,
loi bi.
Il livre,
lemeiit
voulre-
jlléliqi
la
ir décrit la segm
lellt.itloii lie
maix et expliq
ihénoUlelie
.elletuple
lie,
dan
iille que vaille.
M.liver>e-.eipei
ie segi
ce p
uciitalioii
Mai^il
/./,
Mil III. m'y Pi'
de pi
u-.leurs mi
rl.vil Li < Ih'Sti Ih
liions d .muées.
voluiion s'est peu a peu mo,
liliee
n-, par 1 adaptati.ui aux nouvelle-,
lent De même que la segmenta
de laga-trulaigastrulatioii,apris.
lA iiTTK i»t: lA s<ien:e
tout autre, f
i ,'ii>iJt-r.i
par suite de cela, un aspect
/i' li-iiips, smil J<rt-iiiirs si
part des animaux, la segmentation aetd m
prêtée, et que la gastrula n'a pas ete rc-|e-onnue «
s Jitï:r,-iUi->, M'Ci
[ue, chez, la plu-
exacteiuent inter-
De
qu un p
.ne iiuelconqtle ne
cadre
es traces préconçus.
it très lUs
temtut'Kail \.
accuse d'être lalsilie et passe
outre (l'tst aiu-,1 que le
de VI
loppeiuent olltogenique
de 1 hi
de-, mammiteres en
1 entin de tous les animaux qui ne veulent pas se
à la the
irilice
la ga'
strula, ou
bstinent a user
inmitif de 1 invaginatioifi inte-liual
■ mille
d'anus, au lieu d en taire
a bouche, ni peut être que talsi-
h
de vie
cau-.e iiKoiinue.
.lair pour cela. «
Haeckel lui même -.eut trè- bien quje ^a méthode d urgu-
, est très comup
■-a direction normale par
de, mai-, ce n'est pas l
uientation n a rien
la scien>-e
l'h
,1 UUl
lois.
irsq
un eXl
résultats pojr trop tautai-
stc
croit nécessaire
dei
ireveiur le lei teUr
pas un caractère scientitique
leurs, que daiis 1 anthropido.
.jue ses \
reu\ es II ont
s empresse
aiouier.
:;:
ibr
deexacllUldeesl lloii seulement l^ipoSs
:r llue
sup<
le lait c-
est folidée.
bryologie
t que les sciences sur les^i^le
telles que la paleoiltol
>^«vS,
jt 1 anatomic comparée, n ont \
uiideveloi>pemenl idenliqU'
ft)udément les unes des autres, auss
de re
prête
tiou
que p:
le de
cxac;iiu
d ail
une trop
■,ible. mais même
VologIC
rllesl'.D(.'/"-.'/'i'A'C'"'
la géologie, 1 em
it pas atteint, a beau-
^Ues ditk le'nl pro-
bleu par
de.
ks méthodes
.•lies l'elUellt
I.
■'1
uale de Haeckel, dans la cnsiru.
de son
lient precisemlent a ce qu 1. n a pa-
ipris la \ .ilcur relative ^
■lices aussi dllferentes.
a paleiuitologie, ipu eludie sj
onchisioiis puisées
leciialeinciu le
dans des
ailles et
-,ss
ÉVOI III'IN KT
les aiiiilKUix fossiles, occupée
place parlicutière l.es re-te>
eonserves des espèces éteinte
les dilïerciite- couches lie 1
coup sur lournir de précieu
de ce^ planlo et de ces a
m:ttcriau\ susceptibles d'ac-
quand iN -^oiit uii'^ en u-uvn
verse dans ranalomie co'mp
cas .ui. avec queUiues petits
le -queletle entier d'un aniii
Mais il ne iaut attribuer >
conclusions ultérieures dédu
concernant l'ancienneté des
de lepoque f^e.dogl.|Ue ou
animaux, de leur genre de vi
qui les entourait, etc. De
moin- vraisemblables suiv
lesquels on les appuie, suiv
scientilique du naturaliste
niation. Sous ce rapport,
peuvent être comparés aux
se >en riustorien pour étu
Malheureusement, les p:
porte- à compenser la pauv
par la richesse des conclu
fragments d'os, trouvés d;
Suisse, a côté de certains
sullisentpour leur faireadn
de salles de' festin a nos an
traces de dents sur les osst
que nos aïeux étaient an
ne reconstituent le menu
surent qu'on y mangeait s
Que penser du naturalis
th
TR.\'<SI-ORMlsME
ans lessciencesnaturello une
plus ou m. lins heureusement
,, qu on découvre en fouillant
croûte terrestre, peuvent à
es indications sur la structure
liiiiaiix disparus. Ce sont des
luérir une grande importance
par un homme profondément
rée 11 -ufht de se rappeler les
os recueillis, on a reconstitué
lal tossile Cuvier et autres .
[uuue valeur très relative aux
tes de semblables trouvailles et
"ossiles, la détermination précise
e sont montres tout d abord ces
e, des particularités de la nature
.elles conjectures sont plus ou
nt la richesse des matériaux sur
int aussi l'intelligence et l'esprit
ui utilise ces éléments d iiilor-
e's végétaux et animaux f.)ssiles
documents archéologiques dont
er une époque ijuelconque
léontologistes sont trop souvent
reté des pièces dont ils disposent
,ions qu ils en tirent Quelques
ns des cavernes d'Ecosse ou de
n,truments primitifs en pierre,
lettre que ces cavernes servaient
.êtres Ont ils cru remarquer des
ments, ils en infèrent volontiers
.ropophages. F'eu s'en faut qu ils
même de leurs banquets et n as-
irtout la moelle des os humains
e qui, pour appuyer des conclu-
Ji
1 .\ U'TTF. DR LA SClF.icF. ~,^i)
sions problématiques tirées de la paléontologie, s arroge le
droit d User des mêmes libertés avtc d'autres sciences,
comme l'anatomie comparée et remb|-yologic, dont lexac-
titude n admet pa- une pareille ela^tîcité d'interprétation?
u ( >n commet une erreur énorme, dit Haeckel danssa prélace
ip. wivi, si l'on veut considérer et étudier telle ou telle
science naturelle hi-torique comme une science exacte » ;
et il au'Ute dans le même passage que 1 cmbi\oloi;ie est
"au fond une science naturelle historique « N est-ce pa> s au-
toriser par avance à en prendre a son aise avec les laits de
■ 1 embryologie, t.mtes les fois que lejur précision viendra
démentir ses roiniiis anthropogeniqu^;sr
11 est faux en elTet de considérer 1 embryologie comme
une science historique 1. embryologistc prend un uerme
lécoiidé et, à 1 aide des méthodes rigoureuses d'obscrva'.ion,
il en suit pas à pas I évolution progressive, iiuii j^rand
nombre d'observations, il induit certaines règles du dévelop-
pement, qu il peut vcritier a son gré soit d.iiis les mêmes
conditions, soit dans des condiiionH modifiées Kicn de
semblable, évidemment, uest possible à 1 hist..ire, dont les
règles ou les lois cilfrelll toujours le caractère de \ lies
subjectives
Dans tous les viduniuieux ouvrages de ll.ieckel, i>n cher-
cherait en \ain une page ou l'auteur essaie de donner des
preuves quelconques qui permettraient d attribuer quelque
vraisemblance à sa prétendue loi bii>genétique. Partout il
la prend pour axiome, et tous scs etforls ne tendent qu a
faire plier les données de l'embryologie et de 1 anatoiiiie
comparée aux exigence de cette loil imaginaire Presque à
chaque chapitre de son .\nthn'[','g:-f(iL\ Hae^^kel se trouve
mis en demeure de fournir des explications a 1 appui de sa
proposition fondamentale ; mais, chaque lois qu l'i semble
sur le point de repondre, il se dérobe brusquement par une
échappatoire
Ici, il suppose quela théorie de l'eVolutjon est incontesta-
blement prouvce par v.iie d
biogéiiétuiuc comme un con
l.à, au contraire, Je 1 exiut
justes>e de la ihcone darw ii
snn exposé >ur de simples
nétiiiuc rappelle d une la^oi
rique bd de formation de> I
raison avec certains alphabe
titude de sa généalogie
il en est de même de la ti
dont le= preuves, s.mvcntp
attendues en vain par le lec
mettre en avant un argume
autre pourra paraître super
'< Tout récemment, écrit
de l'espèce, qui est la picr
mi>iues bur la théorie de la .
résolue Depuis plu> diin
été abordée à tous le= p'j
>atislai>ani. Pendant ce Lq
gistes et de bi.taniïtcs se su
et à décrue >;. Meinatuiucn
>e taire de 1 espèce une idée
d'espèces animales et vege
depuis qu'en 1S7Î es't des
représentant spirituel de 1
et Je la création surnature
fiutr J.> !>/'.■..■.•' 't ./.■ /.( i
mots sont siiuligiies dans 1
qui fait descendre d ancé
pèces, ne renc<jiTtre plus
Après cela il faut tirer
Jesespècesa vécu parce qii
Seulement, de quel droi
dernier représentant de la
IVOIlTI.iN H-^ TKANsKoRMISME
induction, et il présente sa loi
dlaire obligé du transformisme
tivJe de sa loi il conclut à la
ienne. Parfois même, il appuie
analogies : tantôt la loi biogé-
extraordinaire quelque chimé-
;tats ; tantôt c'est d'une compa-
Is que découle à ses \ eux la cer-
e.
éorieév'ilutionniste en gênerai,
■omises et toujours éludées, sont
teur Haeckel tinil pourtant par
nt admirable, après lequel tout
lu.
il, la grande question théorique
e angulaire de toutes les pôle-
escenJance, a été définitivement
emi siècle, cette question avait
nts de \ue, sans aucun résultat
5 de temps, desmilliers de /oolo-
nt occupés chaque jour à classer
eut les espèces, sans parvenir a
précise. Descentaines de milliers
aies ont été décrites .Mais entin.
:enJu Jans la tombe le dernier
l théorie de la tixité des espèces
le, Louis Agassi/., /c ./.',i,"«'' '''' ''■'
■cjticil stini.Uiii-cllc .■.>/ nnih'(cei
uriginali, et l'opinion contraire,
res communs les différentes es-
.e difticultcs ipp. Ti '>) "
échelle : l.a doctrine de la lixité
e le " spirituel » Agassiz est mort '.
Haeckel appelle-t-il Agassi/ le
lixité des espèces? Pourqui diinc
l.\ HTTE OF. L\ SI lEK
compte t-il Karl i:rust v..u Haer, qui vivait encore lorsque
parut VAiil/ir,.f<.'i,rrnn\ et Qiuitrefages. et Milne-Kdwards,
et Claude hernard, et cent autres illu-tres adversaires de la
théorie e\ olutionniste :"
1.1. > 1 A1.--UU -\ lli'N'-' I"- l--"^ NAllKl.
l'.Mx ïi.W < KM..
Nou~ n avons eu atïaire lusquici, en
tait de preuves de la
prétendue loi biogenelique et de la généalogie humaine
dont elle est le l..ndement, qu'a des airgumentsde torturie,
auxqt'urls, on peut le dire, Haeckel recourt Kuite ,1e mieux
cl sans s'illusionner beaucoup sur leurl valeur U nous reste
mainteiiint a parler d un autre L;enre Je démouslranon. qui
prend une iiuporiance capitale aux veux des daruinistes
lanaliques ; les preuves tirées de la rc.scmhl.iiu.' .lu'.'tjr.-nt
s Jl-s Jiih-i\-iiti
' Aux diverse- phases Je la \ ie embr|ounaire. le, t.etus de
plusieurs iiiammiieres présentent extineureiueiU des traits
communs ^ous quelque, rapports, le corps développe d'un
homme rappelle, par sa structure, celui de certain, singe,.
Hieii plus. a\ec une im.iginatiou un i^eu complaisante, on
peut découvrir une ressemblance lointaine entre les formes
embrvoiuiaires de, animaux ,upértei(irs et de certain, ani-
maux inlerieur, développées Suivant Heckel. les ressem-
lilances de ce genre prouvent incntestablement qu'il exi-te
un //cv/ Ji p.iroit.' entre tous ces a|iimaux; ^ur suite, le,
lu tus des animaux supérieurs doiveni, dans la vie intra-utc-
rine. parcourir toutes le, tonnes intermédiaire, de ces
espèces Ainsi, dans le ,ein maternel, le lutus humain doit
être tour a tour une mouere, un amibe, une gaslrula. un
ver, un amphioxus, un poisson, pour ,e translormer ensuite
en un singe sans queue et devenir eiilin un homme
Laissant décote pour le raoïnenlUa question de savoir
i -
HVûllIIilN JI
t.l:
■/"
jusqu àquelpiiintac telléM
nous ferons remarquer, qu;
nenient, qu'on n a nuUenie
semblance morphologique
des formes corresponJan
fécondé Ju lapin ou du chu
à celui de 1 homme que 1'
puisse les distinguer 1 un
d'autre part, quecesit-uls'
diti'érents l'un de l'autre, e
pèces très différentes, nou;
la ressemblance apparente
que LiJitc r,->s,'mhlaH,f a
niitlithles d'ohst'rcUioii >'
/,\ diffcroui-s pnijoihli'
le professeur (iegenliaur
embryologie, a vainement
ami Haeckel ces simples v
(Considérons que cet itu
renferme déjà les élémen
tcjut l'organisme •. .[Ue plu
la mère y sont deja conter
dire, que dans l'itut se tr
vitales en vertu desquelle;
loppe, nous pourrons rt
des parents ; qu en un m
toutesles conditions pour
au dedans et au dehors d
considérations, il sultit de
nous voyons dans l'uul
encore intiniment loin d
ou des ditïérences réelle
visible a l'œil nu ou avec
hn conséquence, nous
cier les ressemblances ou
TK.^NsKOR.MlSME
csscmblances existent en réalité,
nt au principe même du raison-
il le droit de conclure, d'une res-
apparente, a la parenié réelle
s. Supposons iiueu effet l'ii-ut
n soit en apparence si semblable
bservation la plus attentive ne
e l'autre Comme nous savons,
ériveiit d'organismes intiniment
aboutissent a'ia formation d'es-
ne sommes auti..rises u tirer de
qu'une seule conclusion, à savoir
pHi-Liiu-iil ivt.'ru'iiii: ,•/ ijiie /;.'s
i;/ insiilfi^-iiit''^ /"""■ •/^■' '"'î'''"'
i siinl Ji'l-i Jiiiin.-r-, .An;^ /'.(/(/.
une des prcmic-res autorités en
essavéde faire comprendre a son
crités
d'une dimension micioscopiqiie
is pour la future élaboration de
leurs particularités du père et de
ues a l'état latent, ou. pour mieux
uvent déjà toutes les conditions
plus tard, dans rorgaiiisnie déve-
.-ounaitre certaines particularités
,t. dans l'ieuf sont de|a données
.1 \ie future du nouvel organisme,
sein maternel l-ji regard de ces
placer le peu que généralement
pour conclure que n(jus sommes
pouvoir juger des ressemblances
des germes d'après ce qm en est
le secours du microscope. ■
ivons seulement le droit d appré-
les différences qu'offre A- rr^iill.il
l\ IITTE 1>E l.V SI lENCK
!')■«
tic II'. Il ,iiii l'ii il' un
jiu' !.! i ciitu'in: partu'
riiul Ju dcvcloppcmcnt d. faut; quant .i la-ul lui même,
nous en savons encore trop peu pour qu'il puisse être sérieu-
sement ciuestion de comparaisons entre le, divers animaux.
Prenons deux œufs fécmdésdune seule et même espèce.
.,u même provenant du même couple l'eut-ou ,e hgurer
deux objets plus semblables lun a l'autre et apparence r
l'ourtant, ils contiennent déjà tous les principes morpho-
logiques des ditïérences flagrantes pal- lesquelles se distin-
gueront, extérieurement et intérieurement, les uuiividus
sortis de cesii-uls
I.e fait est que /.i «;////<'»'//V-<;(.' part
latiii J p.irlois l.t iiuinc uiip^rLiiuc
d'un o-rps développe. Si. par exemple, a un cerlaiu det;ré de
la vie embryonnaire, les têtes de deux fu-tus ditterenT seu-
lement par une protubérance du Iront lusignihaate en appa-
rence, et qu'en même temps nous sachions que. quand ces
fœtus' auront atteint leur plein développement, une de ces
têtes aura l'aspect d'une tête humainL et 1 autre d une tele
de lapin, --celapr.uive on ne peutjiùsiw^ que la petite pro-
tubérance du fœtus avait une importance .apiiale .Mais, de
cette différence, insignifiante en .ip'p.uen.,. il est complè-
tement faux de conclure à l'indentit^j des têtes chez 1 homme
et chez, le lapin a certains stades du cjévoloppement
Vax un mot. si les œufs et les fœtUs de toUs les animaux
étaient tellement semblables les ims aux autres qu'il fut
impossible, nonobstant 1 observation la plus muuitieuse.
d'N découvrir aucune différence, si (neme ces ressemblances
persistaient durant plusieurs stadesd^ développement, il en
faudrait seulement conclure que noi, moyens d observation
nous renseignent très imparfaitemeU sur l'importance des
formes embryonnaires. /... diûcrci.ic iiiUnie d.s rriulUh
dclinitih prouve uicontc.lAhlcmc' ^/ni! exi.U- Je. dific-
rnucs iwii mou,. .onsiJer.,hL: J.vi]. les p'niu ipes premiers
des organismes
D'ailleurs, dans cette question. Haeckel se phuea un point
i.\ Ol I TJ'IN E
.ih^oluiiienl l.iu\.
Jec'iLU rir des analume-- eut
inauN. Il s'iinaginie
qu il /
llltclli(;;cni;e
du de\ el.iniiÉ
ppeiiieiit organii|uc
est L-hi
ir .|i
<ii iiarvena
a
complète indentité des duti
rion> .lU mystère le plu^ ini
t elïectiveiuent à démuiitrer
rents lœtiis. nous nous heurte-
rait
eu eltet,
av'iir nei
lait : deux lit'tu>, t.jul pareils
l'autre a l'huinme .■'
Mais la \érité est oue ces
lent. (Miaoue f
lUe Hai
c>t lac
ir nue
>t
(.il>)us d'abord un excni
Il \ioleiitant les laits
le de la légèreté extraordinaire
ivec lai|uelle. de la resseublance la plus lointaine, notre
auteur couciui au>sitoi a h, parenté des lornies animales
dilïc
renies. Apres av
oir expi; se
il dit
De
celte circonst
Muiplc cellule, nous pouvobis imniediate'nieul tirer la
clUslon illle
dan
s les teinp;
genre humain a été une loi nie nionoc
i I amine
De
même aussi,
priniitivenieii
diat
t.
Se c<jnip(jse
peut iinmé
parmi ses ancêtres, a lifiur'
eiuent tirei
ihr>
oiinaire postérieure i
avant I aspe
ilihjUN oui rempli I Hit
ire cl la uaslrula. entre Li
qu
iieut déterminer
exact iiude approxiHiativ
e. a
et de rolltol
Ogl
.\insi. de Ce
luk
ce que le helUS
lopi enieiit.
Compose
de
TK.\NS1()KMISME
herchant, coule que ci
lute, a
e les Icetus des dilïérenls ani-
///7c
considérablement
i;t
. ir la
irtant. il
enetrahie de la création
P-
de pk
plus extraordinaire que ce
aboutissant 1 un à 1 amphioxus.
ressemblances n existent luille-
:kc
• eltorce de les signa
1er. il
le Ion
.Ide
ji bii
■génétique.
ice iilie 1 leul humain est une
Pl
iii
îlre du
..ellulaire. semblable
us anciens
le ce l'ait que. le l'u-lus hum.iin
ii\ leuillets germinaiiis. on
la Conclusion
'.■li.iiiu- qu
gastrula
biloh
a lornie
noie posiiivement des ancêtres
cl de Vers, parents des asOidies actuelles. (Jiiels
ille entre I amibe incmocellu-
slrul
a et
:iJic
qu indirectement et a\ ec
l'aide de l'anatomi
e comparée
loiauie Consiste en une cel
.11
i un certain stade de son déve-
deux teuillels, Haeckel se croil
, TTE UE lA S*-IEÎ'
droit de conclure po>itii
it .-t
l'amibe et rh\potetique gastrula on
•1<)S
■diatcnii-nt que
t dté nos ancêtres. Ses
>nclusions sur le
autres lormes imagin
iiKures
d'annnaiix,
itroduitcs dansiii'ireg
re généalogie, pouit n'être q
n en sont pas mouv
lantaisistes
lU tiuli>
:ti-
i:n
slïet,
acia-t on, de^e que 1 houune.
a l'âge
d abord, un.
oPle
luatre vingts ans.
:>ur arriver
doit nécfcssairemenl avoir eu
deux, trois, quatre, cinq an
s. etc., sellsUlt il
deux, trois, quatre,
uelouslesanimaux qui ne vivent qu Un
s,. lent ^e, ancêtres? La " coijiclusion imme
cinq an-
de llaecke
meUie -iUc
diate
est pas mieu
X fondée qu
i cellt
.\ supposer
la ih'
de le\i.luthui (ut vraie en principe.
Il ne se
rail pas \
icrmis
, en tirer
absurde- De la lorme ii.onocel
• nseq
ueuces aussi
llulaire Je l'.euf, nous n avons
lUemeii
t le droit de conclure q
ue n
■s ancêtres ont du
absolunie
moins, de
ut être des
animau.x inonoOe
,n-iderer une pareille
ellle
llulaires. el, eiii
ore
nciusio
n comme une
.onlirmation eclaianle
de 1.1 doctrine e
oluUonnlsle e
Ue
même
O
n \ '
ihieii est Iragile la
lase sur laquelle
repose le
sVsteme de I lae^ K
nieiU r.iliounel qi
I oute sa
;elui-ci
ineahj'gie n
d'une r|;s-emblance mor^"
a d'autre londe-
ho-
igiqUc
-uperlu le
lie. il .onclui a la l^aren
té de- dilïérentes
lormes c
IKiUl eli-Uile le
lacileinent que
pas en réalité.
;l ,1 leur deruallou les unes
es autres \.\\ exanii
, laiis-urlesquelsi
m
,elli
-oi disant res
iiuie.
.nvaincra
( oiunicnçons
loUt
renne vege
>ar le lijtinhiiis. 1.. preten
iial el animal t'itle masse
blance n'existe même
iJue Souche de
niucilaglucUse, v]
u'i se lrou\ e au
fond de la
ler corps organique tornie
spoiilanee
les moneres qu
.■-Des parcelles Jétac liées di
i Hathvbuis
la lornic ancesirale priiui
le lecteur se le rappelle, sont données pour
tue de ritomme. Voici, d après
Haeckt
histoire
du Hathvbius
' (iuand, pour la pre-
1 lorme et
st. suivant
;enératlou
iiit pi
jduit
I _
■)9''
hVOlKTlON [T TRANSKOKMISME
iniere lois, les corps vivant
juMiu'alors inanirnce, tout
ment, aux dépens des coni [
substance très complexe,
du carbone, que U' us ap
primitif Au fond de la nv
encore de nos jours un pi.
simple que possible : c'est
nom de monère a chacun
cette masse amorphe Les |
par génération spontanée
cristaux salins naissent dan
(^ommc on le voit, ce
important dans notregené
tion très remarquable. 1'
cheval de Roland, qui posv
sibles, le Hathybius a un d
observations, faites depu
Clialtciigrr, onl inconte
de Haeckel n est autre t
formant dans l'eau de me
pauvre Hathyhius est par
inorganique, et il cuinmct
tion de titre quand il prêt
tout le règne organique.
justesse parfaite : Siilfas i
Non moins décevante e;
l'd-ufet lamibe. De ce ra
consacre une lei,on enliè
que tous les organismes
Après avoir décrit les pr
nismes monocellulaires,
place, qui allongent leurs
riture, etc , Haeckel ent
raison l'amibe doit être
slabl
s sont apparus sur notre planète,
l'abord .i,///se former chimiiiue-
isés carbonés i m irganiijues. celte
■ontcnant h la lois de I a^ole et
el(jns protaplasme ou mucilage
r. a d énormes profondeurs, vit
>me homogène et inlorme, aussi
le Hathybius Nous donnons le
; des particules- individuelles de
Us anciennes nionères sont nées
dans, la mer, de même que les
i les eaux-mères (p. 401)1. „
Balhvbius, qui joue un rôle si
logie. est effectivement une créa-
r malheur, .i 1 instar du fameux
édail aussi toutes les verras pos-
jfaut capital : il n'existe pas', les
s, par les naturalistes a bord du
ement prouve que le Bath\biu-
hose qu'un dépi)t de gvpse, se
soUs l'influence de l'alcool le
Conséquent un simple produit
ail tout bonnement une usurpa-
nd.iit être l'ancêtre premier de
t
^arl \ ogt la noniiue avec une
t la comparaison msiitucv entre
prochemcnt. auquel iioire auteur
c, il lire la preuve fondamentale
niiuaux descendent des amibes.
ncipales propriété* de ces orga-
qui sont capables de changer de
appendices afin de saisir la nour
lircnd de dénio-iitrer pour quelle
onsidéré comme notre .incetre.
l.A iniK DE l.-V SCIENCE îV7
.Chez nombre a animaux inférieurs, djtil. l'ovule reste a
IVtat primiliUe cellule nue lusqu'au moment de la fécon-
dation . on nv voit pas trace d'envelopi|e, et tl est souvent
trèsdifhcile de le distinguer d'un amibd « IX-s ovules sem-
blables, selon Haeckel, se trouvent chd^ les éponges' et les
méduses '^ Si donc, continuet-ii, nous regardons lamibe
comme l'organisme monocellulaire le plu, capable de i.ous
donnenmeidéeapproximativedesantiquesformesmonocel
lulaires. qui ont été les ancêtres communs de toUs les orga-
■ nismes polvcellulaires. >wni ,u- fjisors p.i> n'u- lnf,'tlu-,c .
lunlu: >.ous non. h.r„o„. a t,r,r ./.-., /mIs une .,ou!n.,..n
lontJl.utl,'nitnH.- I.'amibe nu a un carictere plus indiffèrent
et plus immédiat que toutes les .lUtres cellules 11 faut encore
ajouter que des recherche, récentes .jnt fait découvrir des
lormatioiis amibiformes dans le corpsidulte de tous les ani-
maux polvcellulaires. On en trouve, par exemple, dans le
■ sang de rhomine. a coté de, globules rouges; on les v a
n..mmes globule, blancs 11 en existe aussi chez beaucoup
d'autres vertébrés p. 1 i'^' »
l'n d'autres termes, de ce que les ovules ,uu le, parasite,'
des éponges et des méduses" se dist nguent dltticitement
des amibes *. Haeckel tire la " >ioncUision légitime „ que
lamibe est lancètre de Ihomme et d^ tous les organismes
animaux; Ri il voit la contirmation de sa - légitime con-
clusion ;. dan, ce lait que le ,ang de l'h,.mme et de, animaux
vertèbres contient des millions de globules blancs, aptes a
produire des mouvements amibimiblrmes Pourtant, il est
clair que, si de ce dernier fait on peut, d'une la.on générale.
tirer des conclusions se rapportant à} la question présente,
la première doit être que les ovules de ces animaux n ont
rien de commun avec les amibe,. Autrement, il laudr.ait
admettre que le sang de l homme, chez un individu maie.
■ renterme des millions d'œufs: le processus complique de
de rcp>'iiy;i;. in.u
i.mim; Jf> pji.iMti;> qui vi
L-iU >ur clic
_
KSfir-:
LITTK UK 1 V
SI lEN.-E
itliae l'uuf lécc
ne temps
lié, pnvc Je la vé^ic
quelq
pas),
L-ore 5.^'^^ nnWJ't ■
llaeckel appelle l'(eaf
(/.
41
e geruimalive
.).>
rcite
A ( e >taJe [(.[W n existe
l.iisiiite.
fiappi
Je
l'extraurJinaire analo^le qui exis
te entre les noms Je lu^'iic
i/i-et Je iii(>i!<-
itJeci Je a nous convaincre
met sous nos yeux
monécule itig
moiiere
Un
à la page 1 4(1. la r^présentalu.n
1,,), et, .1 la page suivante, un
, i.Ou a-l-il pris sa représentation Je
; Jire et se
Iclinitivement,
Je Jette
le? 11 a bieii soin Je ne pas nous
J'as>urerquee
est
lamiJéculc Jun lap
représente un cfUl leconde
irJinaire
in. Au lonJ, te ,
sei ellVili
H'>\:.}^i
Même sOUs cet a
spect, la inonec
a la nionc
re, i.e lecteur qui n a pas 5i.|l
Je Haeckelp..urra s en laire un
Jisque JecoUj
Je quelque p..inuie C
Jans une orange avec
le terre Jillormc
Apre
mille
avMir iii\ e
nlL
ïtle ressein
une V
lance frap
;i la uii'nere
il.ieckel s
,t un lait Ju plus haut intérêt qi
ventée
1,1 Ul"neci
ap^
lartieiit
même,
a un ..'/
uuiue t.iUt .1
au \
■ireuiier sl.i
Je Je >on
existence
111-
Je protoplasme pi
.te no\ ,ui. un ;
hinni
Dans
■,i\ anl ni structure,
le. le
^t état .
mouecule. le.co -ps
Je riiomme
,ni la loi-me la i'
lus
-uni
lUlsslOliS
nous represeï
.es plusbimp
i|ue nuUs Cl
naître son
laissU'iis et même que
l 1.
(.es nio
e Imurc .le la
la moue-
contente
ssin
ne resse
inbk
..u rien
m \ .\iilhi:.p.>
iJéc
ciiinp:
.luituui .ma
l .i;ue
.,111 te entre
ecrie ; "
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Cuilsll lutu .--
Je 1 .iuimal et celui
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lies .i.
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s i.igair.siues
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nleres sont extrême
intéressantes, c.ir elle-
iiKirq
riiueut s .rente
ie a la surlace Je
notre g
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Suivez
bien '
raisuiHiemenl
la plus simp
la uioiiere e
le que nous \
missions tous
nt le .i.bui .te la
ment
ut" ïeccinae a
1,1 I.
reiireseUter
st
oiiianisiue le plus simpl
1)1
I -
ii
rts
J*
sions connaître ,. : donc la
espèce Cette logique rapp
lancée aux ^Mllhl^te^ par
nouiUi: " leMiiie. ont de.
donc Nuu^etes aeMUies; //
Convaincu par mui arg
continue. " Nous ne devo
lant. l.iriue de St.imm;Ai
viauelk- au père et de 1
parole>. o.mnie uii !e voi
p!eNe> et 1er. plu= "hsCU
apparaît cncire aux aut
impénétrable e-t très lac
même de la lecondatior
luysieneux il ^un^i^t
dltïerehte^ et dans la lUM
Notre auteur abuse vr,
<iui prétend expliquer ur
Apres avoir, tant bien c
1 ttuf, il termine en disi
cellules qui se lurmciit
bleiit a des Villon, : c'es
été appelée ^illoniumcH
ment, que Imii considér
des plus extraordinaires,
souvent répétée des .c//
Le lecteur peu au coi
de ce passage que Haec
lion d'un phenoiiiène
opération parfaitement
intimes de la bipartitio
que celles du slllonnei
mot par un autre ne c
l'opération même
Mais revenons au to
rvoiuTioN :t thassi-ûbmismi-
P»
mone-re est la souche de notre
;lle involontairement la bontade
le célèbre mathématicien Ber-
,,reilles, vous avez des oreilles.
imentation fallacieuse, Haeckel
plui trouver étrange que len-
,., possède les particularités indi-
mère. .. Haeckel simplifie en
les phénomènes les plus cmii-
s du monde organique Ce qui
= naturalistes comme un mystère
le à c<imprendie pour lui L'acte
est " fort simple et n a rien de
„s la rencontre de deux cellules
,11 de ces cellules *.
iment de ce sophisme de langage,
lait i>ar un changement de mots
ue mal, décrit .le siUonnement de
,t : « les lignes de séparation des
T suite du partage de 1 œuf ressem-
pouquoi toute cette opératuui a
Kn realité, ce prétendu silloniu-
lit autrefois comme un phénomène
n'est autre chose que la hif.vtilion
rant de la question pourrait inférer
;<el est parvenu a donner lexplica
nigmatique en le ramenant a une
;ompréhensible l-n réalité, lescauses
des cellules sont aussi peu connues
eut de r.Euf. I.e remplacement d'un
ntribue en rien à rendre plus claire
d de la question. Les exemples pré-
I A 1 ITTF. 1>E I \ sCIF.NdF.
pu
cédentsont déjà suftisanimeiit nn.ntré y.mbica sont taiitai-
sistes les rapprochements institués pa ■ Haeckel entre les
premières formes de la vie embr\<)nnai-e et les lormes des
animaux inférieurs. /:// 'Mt. il ii .wi.-.lc ,\is Je rr^senihîjiu.',
uiciih- L'iiil.iiih'. ciiti\- ,,■> ti'i-mes
Nou- de\ru'iis maintenant poursiiivr; l'examen paralle-le
des formes eiubr\ ..luiaires et des tvpe. correspondants de
la généalogie diiiit on veut nous dolei Mais. Iiélas ; nous
rencontrons ici un obstacle insurmontable : comme presque
tous nos prétendus aïeux -en -ont ailes dan- l'éternité bien
avant 1 invejitioi, de la photographie ;t n'ont l'a- -•■ni;" à
nous laisser de- portraits de lauiille. nou- ue pouv..ns pas
\erilier pi-qu a quel point sont justes les comparaisons de
Haeckel Celui-^i. il es! vrai, pour pari r a cette petite ditli-
culté. nous doiineles tiguresde uosanc Hres cv/ pren-inl p-'iir
II,-, 'JrL >!•■.•, h'riiio eiiihri.'in:.!;' .■■<: .\pr'.s quoi, lui-mémeest
saisi de l'extraordinaire ressemblance i] ue nos ancêtre- ainsi
ligures préseiileiit avec les formes du lii-tus. et il voit dan-
cette similitude ia couliniiatioii la plus éclatante Je sa loi
blogénelKpie ; An fond, le procédé de Haeckel re\ leiit au
suivant: .Vous désirons, ie suppose, axurle portrait d'un
de nos aïeux qu; vivait, par exemple, au x siècle, et. pi/sn-
y;.-.7(;/ qu'il de\ ail iioUs ressembler, non-' nous fai->uis peindre
d.uis le costume du X siècle, truand 1 artiste a terminé son
(i-uvre. nousirouvous si ir.ippinte la ressemblance de notre
aïeul avec non- que noUs uous faisousjiliusion sur lautheii-
ticité du portrait ; nous ne doutons pliik qu'il soit réellement
celui d un de nos ancêtres et que les ressemblances de famille
•puissent se traiisineltre a travers dix siècles '. Ifien plus. a\aut
demande a 1 artiste de nous peindre ei^ costume de nu. uoUs
intérons de la ressemblance du porljrait avec n..us cette
conséquence que nous descendons résjllemeut d une lamille
rovale ; '
.Vu fond, les conclusions de Haecjkel sont encore plus
fantaisistes N'ous, du inouïs, nous pouyonsétre sursquenous
I _
: VOUTIOS
:,VMns eu un
la ii.i>tnil.i.
ancêtre
ni nam •iiu
iJre':
JU5.111 a r
aiKune trae.:. ,iu(.j.|iie-
, blc-nacMebtc>l->Ml" .1
inéinc> t-po.iut?
" Si
imp'
animaux n "Ul
jiciU a une 1
niou> ne pel
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\. .tit n
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itammeni lait i
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Ci par exemple
Wnei eiilin uik
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subsiste aueun \eïlige
lu'iu* Je» >illterenl^
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S 1
s J
Is Je^ceiuient loii
~t exa
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biugénétique e
Haeckel. Jans
. iwUuni
représen
met en rcga
ter lieUt de
.bien, tnus trois, c
ell
il donne en
)rtiwn. et repre
(p. 24.^
propi
et de la tortue
11 serait diltieile
plus frappante .[Ue ciel le q
de cbaque gr.-upe
ies su
en
jets. Hiiijonih
tre elles ; la tortu
embrvonnaire. nou . a
gra
ideur l'ne égal
HT tK.'kSSl"KMl-,MK
lue au \ siècle
ircjtamiiiotcs
-t^
de riiomme n .uit
Mai--,
laisse
espi
■-t pa
s embarrasse j
ni trouver
daiaiil dc-
iiiUî si peu
la- laifcst
lasse lïn
de traces, cest parce qu ils
dU
■,t pourqUo
•ser ni trace
marquer
s, m em
ue noUs avi
iireiutes
:..rps
Karl
.les sp.
lanlia des animaux mous
,lste
lait- qi
montrer
,1 on r,^ peut plu-
ance i|ie
ritent cesc
t)iuparais'
.;nlri
t les formes animaler
res e
l.a théorie
dont il ne
animaux
de Haei
trtébre
■kel
a un
ue les
trlain
rv
in ma
ire. oltrent entre
, ,'est une nece;
sltl
,mmun t\ qie
I absolue, en e
vertèbre et si la
lYel.
Sentant
très bien celte neces
niere e^
:A ^ p 2 1
ditifin de
2i tfol
lli.lon
Je
l'homme, ce
l fois plus grands
s ligures qui sont censée
Un du singe et
lut
du
que nature'. V
ihis Iota
tr<iis dessins, grossis
ore
entant les
dans la même
fut us du chien.
le la poule
^lïct d'imag
iner une ressem
blanc
lUl exis
te entre les diverses figures
C'est au point que toutes
■ et le chien, à certains sta
imensious
it absolument égales
appa
raissent exactement
.ies de la vie
t de la même
te pareille
Ik
jhezdes fœtus d un se
ul
jt
I..\ IITTE liF. I \ SI.IEN
lême animal, serait déjà assez étrangi^
i divers, elle est positi\ement mervei
lalaïUes
• ntirm.iti' uis i.
Mais
ettd lois le miracle s'explique dune iai;on tfi
de ; Haeckel
/,■ ,liih.-. ni •
ii.U Jitïcrriii:
est permis 1.1e
Cti.Mll ii'll.s
t tair
" 1.
■a r l'ai
a concor
danc
leux -eries
te. et il est dlflicile de se représenter
de plus convaincant que celle coinple
che/ des êtres kiitïérent- i.ette concorilai
s élendre a
un peu plus
des dciail- secondaires
lan-
■uls de I houiuic et du singe
le est quelque part un p
eu
lus 1
dans les deux autres, au même endroit
de la poule et de la tortue
tives de chaque cote et.
lie/ tous.
lié droit est un peu
plu-
arrondie, taidis que
lias elroile
Ou doit
eut lieUreUX
est un peu p
hasard extraordin.iirem
Haeckel au rencontre trois f.etus si c
autres et qu'il ait de la sorle trouvé
jppt
dé:uonstrations
l.a
:oni
reniarquablo encore qi
L'identité absolue
land on étudie
. hez
= vr,iii eire
1^ haccke-
; ligurc-
lus chose
te idenlite de tonnes
.e me nie
.aux sont
1 ou les
i uf du chien, il eu v-l ^ie même
lans iii
îll
au!
elle l est aUsSl
llaire.
I es IieUis du chien.
l chacun dix \ erlebres prnni-
re veri-^br
usidérer
iiame un
our
la science
.•s 1
nlormes les uns aux
un tait si
rdaui
e .ipi
avec soin' le
nciuanl a
arait plus
heures
aux lietusde l'autre ; el
se retrouve )usi
e ne se limite pas au|x leufs d un groupe et
.'éleiid .lussi.ala place. et .1 latorme
itférenles parties, elle
la longueur des petits
lettres qui servent a designer les
Ue dans le nombre et
;es lettres aux tigurds
traits qui relient c
ILiii kcliliHl:^ .1 donne trois .!u
Jenoiiiinatioii^ Ji[h-i\-iUci ' '.
. \'.n d'au; rcs termes
Wc'./C
Un pareil pr
d'être sévè
rement blâmé comme conlraire a
;;. ioui Ir.ns
idé méritait
l'honnêteté
MpZ.g.
i -
4"!
hvoi.i rii
scieiilitiquc ; ain>i en ju.u
Kn nuinière J'eNJU^c. Il
accabk Ratinever J'injii
Le ca> cite est Iwin Jt
permi^ Je lairc à la nat
Dansluute- les éditiuiis
trouvent deux firallJ^ ta
lorine-. ù'un eoié. dan>
l'aulre. Jan= ceux de la
^lUï. c.rit Hi?. le= un*
pure invention, l.a liuur
"d'un chien a 1 à,U'^ ^1== M
cholï tabl, XI. 42 H I -.
est emprunte a l.cker .
Hncore. dans ces ci)i
des changements cons
biogéneti<iue, I.e t\eti
vingt-cinq jwurs ; ciie/
,1 iihii.jd. iinll.-iiu-ilt I
d.uinc aussi quatre seu
en des points esseulie
nients. Haeckel s'est a
renccs gênantes pour s
allongé de - millimétré
courci de 2 millimètre
il a rétréci de "> millim
ment allonge sa queu.
Plusinstructils eucc
que le professeur Se
bourg, a mentionnes
Lettre ouverte .1 M-
bourg. 1S77 . Vingt \
des altéraliuns de des:
Aiitliropo^iieute.Sin-i
complcteinent imagi
a^
s ET TK.\NSK5RMISME
ea 1 éminent prolesseur Rulmeyer.
aeckel. dans les éditions suivantes,
es aussi indignes qu imméruées.
treleseul OÙ Haeckel se soit ainsi
,re des ,o,'re.tio„s eéiioi^ènrti^iues.
de scn J/i^toire .le /.. .re.,t,oH se
bleaux représentant Tindentite des
es lotus de Ihomme et du chien, de
poule et de la t.utue " De ces des-
s.,nt des copies, les autres sont de
e qui est censée représenter le IVt-tus
uatre semaines a été prise, clie/. His-
e ht-tus humain de quatre semaines
\„iiei plmloL. tabl XXX- ^ ■ "
ies mêmes. Haeckel sest-il permis
iderables par delérence pour sa lot
,' du chien, chez Hischolï. n'a que
Haeckel. il a quatre semaines. Kcker
.,^e dit t'aliii hniit.uii: Haeckel Un
aines lùi réalité, ces fo-tus diflerent
, ,: mais, a laide de certains arrange-
iplique à l'aire disparaître ces dille-
,n système. Ainsi, par exemple, il a
:, 1 2 la petite fistule du chien et rac-
1 celle de Ihomme Hn même temps,
êtres le front de l'homme et notable-
res.-nt les exemples de falsifications
.1er,, le célèbre zool.-giste de Wurz-
ians sa brochure sous la lorme d'une
V protesienr H.ie,kel .1 A^».i^Ham-
igessoni consacrées h l'énumération
ins que Haeckel a commises dans son
même parler des hgures lantastiqiies et
aires qu il a si largement prodiguées
lA LUTTE DE l\ Sl.lENc.E
4'"
dresse précisément au
écises, toute réiutaiiou
dans son livre, pi>ur nous représenter les coupes des fabu-
leux Urthiere. nous signalerons le fameux « ver supérieur „.
iiguré dans le septième dessin du quatrième tableau, et les
six dessins servant a démontrer ioifération du sillonne-
ment chez fhomme ,tabl. 11, fig. i:|i7 '• '1= ^<^"t ^""^ ^^*
pure invention- Et comment qualifia les retouches qu il
s est permis de faire subir aux hgures empruntées par lui à
d'autres auteurs r
In savant qui recourt a de tels procédés peut il encore
prétendre au titre de naturaliste sericUX ? Comme His le tau
justement remarquer, se louer ainsi des/.NY., est bien plus
impardonnable encore que de loUer sur les i„.A<. \o\\X
homme qui rellechil linit par s'ape'cevoir du soplusme,
tandis que la lalsihcation des faits n- peut être reconnue
que jiar un spécialiste. Kl Haeckel sac
public i>r(jfaiie '.
En présence d'accusations aussi pré
directe était impossible. Aussi, commis à propos de ses falsi-
lications plus récentes, relevées parle Dr Hra,s. Haeckel
essaie-til seulement de plaider Itjs circonstances atté-
nuantes C est ainsi que. dans la prél|ce de la tn..i=ieme édi-
tion de son .\ntlirop,>,i:e,ne. il assure que les dessins en ques-
tion sont purement schématiques ,
Avant tout, il faut dire que. d'une tliçon genei.de les des-
sins schématique, sont inadmissibles quand il s'agit de
démontrer XUentite des lormes. Si i;.|.n se contente de quel-
ques lignes indiquant les coutou.sl on peut lacilemenl
prouver que la Venus de .Milo est d'une ressemblar,.e frap-
pante avec quelque femme hottentojte ou que le Louvre
fut édifié sur les plans d'une casernd quelconque^ Haeckel
répète à satiété dans ses ouvrages que l'exjmen comparant
le plus minutieux ne peut révéler aucune différence entre
les l.itus de tels ou tclsauimaux. à il cherche a en admi-
nistrer la preuve par des schémas '. Cela n'est pas digne d'un
livre de science
r'-
4.,<i
la vérité cstiiue les Je
schématiques 1 ous, r,an
port^de luriiie des |.i-lu->
avec l'indicatiuii précise
donner des diagrammes >
suus tr'/i- dcnwmin.ition;
à ^as-urer par euK-mei
entre eux le> l.t- lu-îde 11
on parler de --chemaiisc
on >e permet d'omettre c
et Jt changer les dime
cuup'e- transversales ou
jamais existe, seraient-
schémas de lictions, alo
Haeckel admet ipie
par des lalsilicationsinii
ijuil se soit cru autoria
la nature.
" .l'ai grandi dans la l
nure professeur liis. >
à un naturaliste, la droi
matérielle occupent la
je suis d'avis que toute
brillantes, palissent, si
vent apprécier dans H
pide ; pour moi, jesli
lui ont enlevé le droit
sérieux' /cTwut récemn
qui est en même terni
sur ces procédés de H
encore > / '«.^.'/c H .7/
11 nous parait superl
hVOI,i:T10k HT Tft.^NShORMlSME
sins incriminés ne sont nullement
i exception, représentent les rap-
l.iii> /,^^/)/».^ p^'lil^ ,/■•/.!//.<, souvent
de l'agrandissement adopté ! Hst-ce
ue de servir un seul et même cliché
différentes, en invitant les lecteurs
les de la ressemblance qu'otïrent
umme, du singe et du chien? l'eut-
lorsque. dans un dessin emprunté,
ertainsdétails. d'en ajouterd'autres,
,isi(jns des diverses parties? i:t les
li.ngitudinales d'animaux qui n ..nt
lies aussi de simples schémas? Des
tiens qu'a soulevées 1
H - !>..- ■'' • r '■.''
a nature altère sa loi biogénétique
ombrables. On ne peut que regretter
; ;■ imiter les procédés qu'il prèle a
jnviction, écrivait à ce propos l'h.'-
entre toutes les qualités nécessaires
ure et le respect abs.du de la vérité
première place .Maintenant encore,
les autres qualités, même les plus
celles la lont délaut. D'aucuns peu-
eckel un chef de parti actif et intré-
ne que ses procédés de polémique
de cwmpter au nombre des savants
lent, le phvsiologiste Victor Hen=en.
s un savant morphologiste, a porte
eckel un jugement bien plus sévère
1 yo.) I-
u de poursuivre le relevé des<>b)ec-
\iitlu; po'gi-iii.-. Deux motseno>re sur
Uin^lMtmm^x»
'JilJW-ittiWW»**'^
I.V LUI TE t.E I..V Si:lENC|E 4"7
l'amphn.xus. dont la prétendue parenté avec les vertébrés
constitue la pierre angulaire du système haeckélien. D'après
notre auteur, en etïet, c'est entre l'amphioxus, du côté des
vertèbres, et l'a-cidie, du cote des invei^tebrés. qu'existerait
la seule transition possible entre les deux grandes divisions
zoologique-, " ie seul pont capable de les relier /, le débat
sur cette que-tion fut poursuivi de part et d'autre avec un
acharnement dont il n y avait pas eu enicore d'exemple dans
une science aussi paisible que la zoologi^ Particularité carac-
téristique a noter ; Haeckel n'avait jjimais lait lui-même
aucune observation sur le developpemejnt de l'amphioxus et
s'appuvait uniqtiement, dans sa polémjique, sur les remar-
quables travaux de Koualew skv. dont \\ reproduisait les des-
sins tout en Icsiuoditiant avec son sans-|;ene accoutumé Par
contre, leproles'seurSemper.son princi^jal antagoniste, avait,
fait a ce sU|et les recherches personiielles les plus minu-
tieuses. Dans de pareilles c.jnditious, 1^ victoire ne pouvait
être douteuse. Aujourd'hui, limpossibipté de rattacher 1 aiu
phioxus a l'ascidie demeure hors de |tout conteste. 1. am-
phioxus: que Haeckel voudrait à toutes forces avoir pour
ancétre.'atin de remonter ainsi a 1 illustre lamille des asci-
dies, reste donc lusqu a nouvel ordre un orphelin sans
postérité
Pour quic.mque, d'ailleurs, désire s4 faire une idée de la
solidité du .. seul pont capable de relier les deux grandes
divisions K.ologiques ./. il est instruc ifde comparer entre
elles les diverses colonnes du dixième
tableau de Haeckel.
Dans la seconde colonne sont Jénotubrés toUs les carac-
tères anatomiques de l'amphioxus; laj troisième et la qua-
trième renlerment ceux du poisson et Je l'homme Or. -ur
les vingt organes cités comme appartienanl a ces dernier-,
qit.it. 'r^c font totalement delaut à l'amphioxus. et. parmi
eux ; le crâne, le cerveau, le cœur, les rems, la colonne ver-
tébrale, les mâchoires, les extrémitei, la rate, elc. les six
.Utribiils restant ditïerenl entièrement clie/. l'amphioxus et
-
4oS
^e^ préleiiilu> ilc->cenJai
et I lioinmc mil le ban,
chez ce dernier, répilli
the/ les premier^ il ne 1 i
faviiri des veux " rudiini
tho>e-- au mieux, on ne
Mai>, en réalité, 1 amplii
i|U(ji notre auteur donn
atLiiniulalion de pignu
rorganc de la vue lai si
dans la dispositi.ni de
reste, ics animaux prcS(
N'ouloir niius laire ac
comme le dernier mot
vraiment pousser 1 aïK
Karl A'ogt a dit que
pendant un certain teni
de prendre, sur un ray^
Lwi./ur de Smart .\lill
i|u'il n'v a pas de nicill
qu'un manuel de logiq
5; t. — I."; T.\T AI
( IXDANCl-. Il]-; I. 11'
LVOLLriO« ET TRANSrOKMlSME
le
Id
" 1. idée que le g
simienne quelconque
émise par un liomnie ;
de passer a la postéritt
rial des bêtises huma
idée baroque ne pmi
vertes fossiles '. « l n
1 Frjj>. lii'ijl 1K'U> il
1 tludc d^;^ .iniiii.uis fos.s-.K
I, iLhci D.ii\\-.:.> l-tliru -.,
Is Ainsi, par exemple, le poisson
: rouge, l'amphioxus l'a incolore :
;lium du canal intestinal est cilié,
st pas; etc. Haeckcl attribue à son
ntaires a. ipioique; en mettant les
puisse parler ici que d /(// vr/i/ oil,
uxus n'a pas d'veux du tout, et ce a
e ce ii'.m n'est autre chose qu une
m ni.ir. sans aucun rapport avc^
)nnne, la ressemblance n'existe que
organe respiratoire ; pour tout le
iitent des différences essentielles
epter un système aussi incohérent
la science historico-naturelle. c est
ce du paradoxe un peu loin
^ue part qu'après avoir lu Haeckcl
ps il éprouvait le besoin irrésistible
n pcudreux de sa liiblu.tlieque, la
et d'en lire un chapitre l.e fait est
îur antidote contre 1.1 «/A'i'/"',4''''"'
le
111. Dl l'RiIBl.l'Ml. DE l.A Dl'S-
iM.MK. (_'tiN( l.rSlii.N oKM-.KAI.i:.
;nre humain descend d'une espèce
est certainement la plus folle qui lur
ur Ihistoire des hommes. Idlc mérite
dans une nouvelle édition du .Mémo-
nes Jamais aucune preuve de cette
ira être donnée à l'aide des décou-
s ècle s est écoule depuis que la paléon-
..V lu> p.il..lu>. ,1 C..11>.KH; --.1 K.llfiUt vie-..
,. 1.1 viuitum t^t c;mpruiilci; a K. h mui li.icr
adii> K./.". eu . l^^Sl.. - ÙJuiuH. |. 11".
lA LLrTE Dl; LA SClf
N( E
4"7
tologie a été créée par le génie de (^Uiier, et ces paroles de
l-'raas sont tous les jours justitiecs par les observations des
savants et par les découvertes los^iles
Dans son grand discours de iS7-< que nous avons eu
1 occasion de citer précédemment, le plus haut représentant,
de l'anthrcqx.Kigie en Allemagne, l'illustre X'iv^lu.u -,.u-
niettait a une critique impiiuyable laidcctrine qui assigne i
notre espèce une origine simienne. Il .iftirmait sur i-e point
1 entière cou tonnile de ses \ uesavcc cdlles du célèbre a lit hrn-
pologiste de Quatrelagcs, exposées dlm, ïh\.p,,r lnii)i.!:ii,\
en 1M77.
" le dois déclarer, ajoutait il. que tc<us les progrès l'ositils,
acc(..mplisdans, le domaine de raïuh.-cjpologie préhistorique
rendent de plus en plus improbable la|prétendue parente de
1 homme avec le singe... Iji ctiidiaiit l'homine lossile de
1 époque quaternaire, quidevrait le pliis nous rapprocher de
notre ancêtre, nous trouvons un homi
./ liens, l.e cràlle de tous les hommes fossiles démontre
incontestableuient qu'ils tonnaient une société 1res respec-
table. /..; (grandeur Je l.i tclc at tc.'ù
i onlcnipcr.iiits s'cstiiiu-iauiit lu ur. ni
bl.ihlc
que /^l\uu i'Ii/> i/c i:\is
J'en .Tenir une ,i.7h-
l'.t même si nousci.iniparonsr(;tisemble des hommes
lossiles que nous Connaissons jusqu'ici avec ce que nous
voyons vie nos jours, nous pviu\i>ns .iflinner liarJimeat que
le* indi\idus (leii développes sont beaucoup plus nomlireux
relativement i>arnii les hommesactiielslque parmi ceslossiles.
Je n ose supposer que. dans nos découvertes, nous avons
rencontre e.xcUisivement lesgénies de il époque qu.aeriuire.
t >rdiiiairement. de l'organisation d'unifossile on inlere celle
de la majorité de ses congénères vi\an^à la menu- epinjue .
tjuoi qu il en soit, je dois dire qu'on ji'a pas trouvé un seul
cràlle de singe qui se r.ipprochàt i-éellemeiit du cràiic
humain lùitre les hoinnics et les siiigcs. il existe enc(..re
une ligne de démarcation tranchée. Sun ieuleiiieni no;e~ ne
pi'nvotis pas e/aeigiier, m.iis nous ne pmrettns ' m, nie p.i\
•Il
tVOI.CTIO
i()ii!-i.Li,'r i l'niiiir un f.i,
ilii >iiii>>' "Il ,/r ,/ii> ii/iir .11
I.tr~ ilect)ii\ crtcs rL-Lt'ii
Corrc/e, et ilii MMUitierri
une coiiliiMiatioii nwiivi
douteux qui- k-T reitcs I
loiil-tcs, Ici :ibbei I et
lc> li.)llllk'^ d Une .mMttc
un in uiiMic de 1 epii.|Ue
ces re>ie>, laite par M 15
tuu- les i.aracleics de^ b
de >]•> , .|Ui datent de la
pr.a.i^ i|Me \k> anthi'cipo
pour alUruicr i|ue le erai
Irait- rappelant 1 c-[)ée
d une tête liuiuaine. Mai
portait a un, l\ pe de rac
Karl \ uiit étaient plutôt
uionîlre ou d'un idiot
Dans sa eoimnunieat
Houle écrit, il est \rai ■.
ainsi que celui de Xeand
Interleur, se rapproch;
slUfies anllirfipoides qi
p(jiirrait se [dacer cutr
races actuelles les plus
dire, 11 iini)li>|iiepas Jau:
tii[Ues directs ' « Mais, d
coniiiiiinn|Ues ensuite à
sonic cl I. l'iardou -, i
les restes d un lioiniuc
génétique, ni .liiwt. n
Plus caractéristique e
1 < .miriez icn.lùi .le l'A.'
1. Ihid . du ^1 ,léjciiibrc I
ET TRANSFORMISMH
/ -^.icntiù.iiic que l'IiDimiir J,'u<-ii.l
tir .iniiii.il. "
les de la (diapelle-aiix Saints, en
en Dordogue, \iennent d apporter
lie a ce témoignage 11 n est pas
jssiles trou\es par trois paleonto
\ h(jLiVSsonie et I. Mardoii, dans
eu (■orrè/e. appartenaient bien a
qii.itcniaire luovenne
'étude
luIc. irioiitre que le crâne présente
jites crâniennes de Neaudcrtlial et
même époque Noubliiuis pas a ce
)gistc:j ciunpetentb ét.iient d'accord
e de >Jeandertlial, malgré quelques
simienne, pro\ient certainement
,. tandis que de (^ualretagcs le rap-
= d hommes inférieurs. Virchou et
d avis qu'il s'agissait de la tête d un
on a r.Vcadémie des sciences, .M.
le crâne de la(diapelle-aux-Saints.
erthal et deSpy. représente un type
lit morpliologiqueiiient plus des
i aucun autre groupe humain: il
: le l'ithecantlirope de Java et les
ntericlires, ce qui. je me hâte de le
monesprit l'existence de liens gêné-
es renieignemenls complémentaires
1 Académie par .M .M l.et.\. hou\s-
resulte clairement que ce sont bien
qui lie pouvait avoir aucun lien
iii.tiiwt. avec les singes
iicore à ce point de vue est rhonune
.■liiw <!
.S.
.iriiiC^, i'i i| Jo^cinlu'.; l'i'H.
1, \ IL'TTE ;>E 1. V Si.lENCtC
4"
tossile. dec.uverl par llauser de Haie, le lu août u,o8, dans
une grotte du village du .Moustiers. en l^ordogne, a plus de
dix mètres de- prolondeur Plusieurs nj.tables authropolu-
gistes allemands, siegeaent alors au Conlires de Heidelberg,
entre autres les prolesseurs Klaalscli Hreslau), Hael-;
.Stuttgart, et Hans Virchovv, se rendirent sur la place,
recueillirent et examinèrent très minutieusement le crâne
et les autres reslesde ce toSsile. bien niieux conserves que
ceux de la l diapelle-aux-Suints les conclusions tirées de cet
examen établissent que ces restes proviL-nneiit d un homme
avant \ e. a dans la période quaternaire moyenne, peut être
même a la riinite de la période terltairt .
, I-di étudiant les ossements tossiles qu on soups oiuie appar-
teiiira de- homme-, les paleoutolomste- prêtent d abord une
attention t.uite particulière aux dimensions du crâne, a sa
forme et a sa capacité, a l'examen et [i la structure de ses
maxillaires, intérieur et supérieur, des.lKeoles et des dents,
etc. le- re-ultat- de cette étude ne peuvjent être- decisits par
eux-mêmes, p,.iir 1 attribution Je ces ossements à rh.tmme.
que dan- le- ca- ou la capacité du crâne adulte, de torme
humaine, indique un volume de cerveau d'environ i v-o a
, 400 centimètres cubes l.e volume ml.yen du cerveau des
plus eraiids- -mue- est d'environ Soo centimètres cubes.
1., .rs.iue le- ossements lo-siles recueillis pt
êsentent de nom-
breuses lacune- . t que les donnée- sur 1(1 torme et les dimeu-
siousducrànesonl iiisullisautes. unedédi-ion -url attribution
des reste- tossile- peut encore -e baser
sur les circonstances
et le milieu ou il- ont été découverts
Ainsi, ,|uand le- o-emeuts mi- a lour dan- une grotte se
trouv eut o.uches dans une excavation çreusce .1./ Ii-u , et que
les reste- du crâne reposent sur une pitfrre, ou un autre objet
surélevé, enfui mot, quand il v a des lu.iice- que le corps
j C'A- .-iisriu/i. ses restes appartienn-jutl a un hiunme Us ne
sauraient provenir ni d'un singe, ni d
entre le singe el 1 espèce humaine Idi e
an être intermédiaire
Tet. l'ensevelissement
41^ i.vc
des tisscMlfill- rC-\i
npparteiiaieiit, ainsi c
>i un i iiltt- des morts e
d"un sentiment relig
traits caractéristiques
La présence, dans la
d'ubiets sculptes, den
par conséquent un e>
1) après la commun
paléontologistes d'un
la (diapelie-aux-Sain
gulaire, qui rcsscmh!
l(<ngiieur sur <> m, Ss
un c(Juloir de la grott
tête a l'ouest, relevé
quelipies pierres, le
la main vers la ligure
jambes repliées. "■ A
grands fragments di
patte postérieure d'un
et pur Moustérien, li
nombre nujindre et d
d'un honiiiie de l'épc
tombe .(./ /iih, après
parents
Non moins de-cisi\ c
silcs trou\es par M
conserve, a pu être r^
ses dents l.e dessin d
laitement a celui d'ui
(.es restes doivent
2 \'i.il MuuJifUt I Mi, il
l-'i ^('UlniuiiK .tl:uu c^l du
TION HT TK ANSlORMISMi:
, chez l'etie préhistorique auquel ils
|Ue chez ses contemporains, 1 existence
t d'une v<donte rellechie, les rudiments
eux et l'espoir d'un au delà : tous les
qui distinguent l'homme des animaux,
grotte, de peintures murales, d'armes,
ute en outre un certain goiit esthétique,
prit in\ ciiteui .
cation de Sm. lioiivssonie et H.irdoii ',
; ccunpetence éprouvée, le squelette de
;s se trouvait dans une lossc rectan-
.lit à lin cercueil et a\ait i m. 4.. de
de largeur, l.a fusse était creusée dans
-, Le squelette était orienté a l: -O , la
• contre le bord du tusse et c.ilee par
'as droit replié de manière à ramener
, le bras gauche à peu près étendu, les
-dessus de la tête, il y a\aii plusieurs
s posés a i>lal et, l'extrémité d'une
grand Ho\ide l.'iiUtillageest du beau
:s ràcloirs abondants, des pointes en
autres outils variés. » 11 s'agissait donc
que mousterienne, eiisex eli dans une
un rep.is luiieraire de ses .unis oii
I sont les Conclusions sur les restes fi is-
lauser au .^loustier Le crâne, mieux
tabli en entier : il avait encore toutes
i ce crâne reconstitué ressemble par-
lii mime -
ivoir appartenu à un jeune adulte de
I)' KliLUili.iiai
l..\ H TTE liF. l-\ -S( lENC^ 4'''
seizeansenviiun, un chasseur .\lcheen, selon M Rheinhardt
Les dents sont d une partaite blancheur. -luoique la mâchoire
•inférieure rappelle celle que l'on attribjue à l'anthropoïde
D'après la structure du pal.iis et du maxillaire inférieur,
.\1. Kheinhardt suppose que 1 hi.mme en question u-ait delà
delà parcde. Le fossile humain, decouvtert en i-i'.; pre. de
Heidelberg avait une mâchoire inléneure ressem-blant
davanlagea celle d'un singe .\ussi croy|it-on dexoir retuser
hi parole a cet homme primitil dune epLue plus ancienne
L'homme tossiledu .MoUstier connaissait Lusa,i;e du feu 11
fut enterre par ses amis après un repas l,|néraire plantureux,
auquel turent serMs des animaux sacritMs. J'"" 1^- ^^'^''■^
étaient déposes soigneusement sur le c|.rpsdu défunt, atin
<' que 1 esprit de la mort lut fit un accueil faxor.ible „ NoUs
omettonsles autres exagérations habituelles aux paléontolo-
gistes a 1 imagination vive, comme laflirmation qiielechas-
seuralcheen était « un animiste pronoiicé
accorde sans hésiter à ce fossile l'âge |e 4.
le pLue dans la période pliocène,
.ipparteiiait, comme ti
moxen
Ce qui est incontestable, c'est que cet homme fossile avait
été enseveli de ta même manière quejceluide la (.hapelle-
aux-Saints. presque dans la même atlitude des bras .\ la
placede la maingau.he, en poussière, ie trouv.iit une magni-
t',queh,uhe amvgdaloide icoup de pc|ing:.; la tête reposait
sur un amas de pierres a teu Les contemporains avaient donc
la loi dans une \ le luture et un culte d.es morts, comme l'in-
diquent le repas luneraireet la disposition, sur le corps, des
ossements des nombreux animaux sacrifies, qut étaient des-
tinés a bleu disposer l'esprit de la motjt.
l.e U\mcuK-Pitlu-CJHthr,-f^iis riwtiL-
1) Hubois comme étant la forme transitoire entre le singe
et Lhomme, n\i p.mais été pris au sérieux parle monde
savant. Les louiUe, laites depuis par M V.>1/. et surtout les
,. M Kheinhardt
io .liis ■' et
i^rés probablement il
tous les Xeanderthiiliens, au quaternaire
de .lava, décrit par le
41 I
rt-cherclies iiui i>nl elc v\]
lie Mme SelL-nk;i, sur U->
iiiicrescoiulics \ «)kaniL|iu
rL-chiTilic-i publices par >
.|U il 11 appartfii.iit pas a 1'
ilii.\ L-ii. Il ne pouvait iloii
élaiit s.iii iniileiiiporain,
les l.iiiilles, J après la ,1,
la deeuiiverte Je ii^uiibri
s.iiis liirine cle eliarbou .le
I{lles ont é,ualenienl nus a
il eau ilouee. il' ml i.mtes
Kappeluiis, a telle i.^ea-
miné lesu^^^einents ilu lan
le Icmur appartenait sure
lis, — et pers'ame n'etai
de la pathologie eelUilair.
ijuant a la bcjilc eranieni
jiranJ singe Des le Jéhiil
doue plusqne suspeet ; a
doit être eDiisldcree eoin
l.a question de l'origin
tenant se résumer ainsi :
tous daeeord sur l'iiiiposs
eelte origine (eux d'ent
ont détendu la thèsed'unt
par l'alfirmation i|u'on n
que riiomine ne deseen
n'r/lenirnl A' i .is, i (1,1 >
poser Imite poiler .uieilti
sa nature même, ne pei
scientitiqucs l.e résultat
en pareille matière, à la i
(jui n'est basée sur rien.
Mais, SI les détouvcr
i\ on MON Kl TKANMOKMlsMi:
il luees a Java, sous la direLtion
.ssemeiits recueillis dans les pre-
soii lejuthetantliropeaeletrouvé,
Uranca, démontrent a\aiit tout
lue pli(jcène, mais au quaternaire
L- pas être l'aneetre île lliomine,
U|
Si riptioii de M liraiK 1, ont amené
Uses traces dindustrie humaine,
bols brulr et de debils de cuisine,
our une petite 1.1 une de lliollusqiles
les espèces sont encore \i\antes.
ion, que \ ircliow . ,|ui .ivait e\a-
ieu\ pitiiécantlirope. ,i déclaré que
lient a un homme .ilteinlde s\ phi
t plus compétent que le créateur
: pour se prononcer a ce suiet; —
c. elle provenait, selon lui, d'un
, tout le groupement de lava était
ourd'hui, la légende du D Dubois
me delinitix eiiiciit ecarlec
simienne de riioinme peut maiii-
Ics morphologistessoiit .i peu prés
bilité Je jamais pouvoirdemonlrer
e eux, qui, pendant toute leur vie,
lareille descendance, se consolent
: saurait non plus jamais prouver
.1 (las du singe M-ii-.. •,! tri rl.ut
iftir.u'l piiiir riilrvrr .1 la ,/iirstù'i:
ujiic l'n problème, insoluble par
i ser\ ir d'objet à des recherches
negatil des recherches équivaut,
éfulatioii directe d'une lu polhèse
es palcoiitologKiues n ont lourni
1 A l.l'TTl. :>K 1 A SI IKS,
aucune preuve en la\ cur de l'origine siiv
en lumière, comme nous venons de le v
nombreuses, qui parlent très clairement i:ontrc cette on-ine
Les vestiges d un culte, la manilestation d'un espoir dan
l'an delà chez un homme prehistoriq le d':i \ a quarante
nulle ails. tcuioit;iu,ul nettement que
l'homme du reste des animauv était déjà lussi tut'r iii.lu-s.d'le
élans les âges lointains qu'il l'est de notr.' temps les r.cher
chesles plus récentes des a nthropidogistc s
et desarchcoi, .i:ues
sur les outils priuiititsell pierre, appcle-j les l.olithes donî se
siiutoicupes Kutot. Klaatsch, N'eiwo
les ont découverts dans les dernières t
el mieux dan- le coinineiu eiuelil des g
pliocène leii Ixeiit' et au .oinuiencetneiU de lamioccne
Klaatsch' permetteiii de p.irleractuelbmeiii .le I existence
de l'homme dans la période tertiaire Tille est la cirIusIoU
tirée par txl.iatsch de son vo\age en
manie entrepris pour l'étude des laditlKs. IKouclut que ces
études laites elle,- l'.Vustralien perinejteiu de remplir les
lacunes laissées par les études préhisti
K
(1 =
ieime. elles . ml mis
oir. des indications
il. H .iiiie. eti , qui
loques .jiiateniaires
po.iues tertiaires, la
iques en r.
l iiri il^e l.e
IV eau de lliomme de la période tertiaiije en l'.urope parait se
rapprocher de celui du Tasinanien ou de l'.Xiistralieii
modernes. l.a c.mclusion générale de Klaatsch est qu on est
autorise de bilïer delinitivement " le singe anthropoïde de
la liste des ancêtres de rhomme, de n eme que le lametix
l'ithecanihriqius ,,
Non moins coiiduaute dans le luem^r sens est la nouielle
orientation des études embryologique , vers les conceptions
développées, au début du siècle derniei. parvouHaer .\insi.
la loi causale oiitogeiiétique ontOf;ciidi>. In-, /\'.ï/rs.(/.'<v/,; ,
lr,rmulee par .M Oscar llertuig i la sUite de remarquables
éludes bi.dogiques. est en oppostli(^n absolue avec
théories de l'évolution transformiste.
I Kl.i.il-.li l>' SUttunn .hi Mai^Ju'i i-j J(
K„rri.-lu.naci,il-l.iU ,kr dcul. lieu G^-lU- .halll jlm .\iil. lu.|.,.li.ri.e, l^"
41"
i.\o
i.rrioN in
Celle 1>'1 0
h\ cellule i^e
c- ut re-
cette 11
cette (Il
,1 b.isee "
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loi gani^me 411
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le roiitoi;enie.
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liyputlicti.n
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M IKrlwi^ p:
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M i)scar llerlwit;
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blojAellétiqne
de Haeckel. De
r Ihropologistes et
lUX biologistes
irii^ine
p„hplnljtii]
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du monde
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animaux, e
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des darwiniens,
la con-
lA rmiK IiE l..\ SCIF.S.K
ceplmn pidyi
'hvlatii|ue lut éner^iquement défendue par
excellent zoologiste ( )tto Hainann', ad\ersaire ac
ll.ieckel depuis plus de \ ingt aill
41-
-■hariic
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MUS en
'artisans
Si lliais \(.uloIl'
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lu monde
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jrganuiue \ 1 va
certainement prelcr.i
■>le a la niom
poivplu lat'.iiue est
.atique- // '■
L)outoiis que
>otlièse anal
;hnt
ait delà MiUteiul en iS'
;uc
( >ii ne saurait entrer u
Ils le dctiil des remarquables
étudesde M. Hertwig; contentons-uons de ciler une de ses
conclusions
.kls
r\. inisuie, et \i illtes les
autre'
th
eoricseVidlltlounistcs, tle-
pnncipaux représentants, ne lont qu indiquer des phases
histoire delà science ; ^lles n'ollrellt que des
passagères i
tr.igmen
théorie-
ts de la
a rechercher. \
iniatuiues.
es ne peUVeltlt i;ue taire (d'stack
ultérieur
H.iu\,^ Du Eiiln
S5'<?v
hi:t^htc ut d U.truinismn->, ïK.i:.
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DIEU ET L'HOMME
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SCIENCE RELIGION ET MORALE
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.... , llKurca.HK-llc, U- plu. :u,^o,>-,:ntac ..u^ qm ,.cca-
,,,,;, le, pc-„.cur> l.:n.nn- pr..ch.u>i Je 1 luiUKumc .u,
l„ée aci-OKlr. a. la .Matu.n .,... reievra .vUc ^lu.^.u.n .
..„s,.-l-,l u,> an.a,,.n.MU. c. un. u.M.uM'.uaMlU. ,»b~>.lue
entre .e, aeus plu, luute. nKnn[e>laUon, a.- U-pnl
liuniain^ i ,,
N.,n,.u-n^^'i. >i^'"->'^- 't-'"'-'-^ ^llupitie-. aw. -luelle
cnpable l..erele pluMeur, ehan,pu.,,,ae revclutu.n Iran.
,„,,nMe ,.,U ■•ep,.nau a la 4U->'..n| ne^atuement. >elun
euv la .reatu.n an nuMule ..rganuiKe ^elanl ,.peree ,an,
K.rvenu,n> a nn createnf. par le >enl |eu a nne .ele.tu.n
,,!'!un',è"par leha^ara, le culte ae D.eu ua pa, ae ,a>,on
a-etre la rel.^>on, qu, .ousKière l-enfe.gne,nenl ae, aevo,r>
.• la ha'-e e-i,en
uiuies. ne -erait a.uu- que
cl ae, .animation, en\er, le (a-eateur.C"
lielle ae leaueainui ae, lu
1 li.iiHu-ur
-,upi-r'-iili"n.
ilc ll.icckil, i^uil
h.iLckcliciuic 4111, ■
•mjiiai
1 I
( \,
j,hil.,^w|i|lU-
,al..ir Im ••!'
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1.
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I HUi lui
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lu iii..u-1l-, autiur iii-j'iic
11
lUiH.imu
civ
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M
lii.itiMi
rablc. .|Ui .1 l'i'i cl.ibln dan
ba-i-- di- la -uiiriuK- lu-tici
• l'.iil U-^ -.am-^ |u" !-■■'> ril'Iu>i
in...Ui-|K-~, ..a|MlauK-
lut,
.11 iJiitrL
:h..l
-a peiiicc
>lc lu-.
inhu-
.■iii'uali^cL-
l..n.
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li-panliiiri apri
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M'
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Lit atte-t<-
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e-da\e. v.iealenr
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leiant tuU|'>.iU'
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t ^ur.ibondainiiient
ntieiH, ile-^t \ rai,de-err.-iir-
dllliell
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deMlll lin
la
.•Il riiiile \ cr'
a e'iiiicilicr avei
le- d..ll
lis eeMiiit 1.1 ac-
lllc-lliill-
lau-.nn niu rage
une
tell
e .llltl-
ivail linlleinell
l res'U la iniisi' 'ii
tnbns
eut .111
liage
iie et la I
Il de- e'
,,-,111' igiiiiie.
iiilial— allée-,
lENCK. HFI.Ii.l.iS KT SIOB
«■K
\pllennes e
l a— \ rieime-
de
MUl tellip'
.■n-eit;ner a -e-
mai- I
4^
1 eut la-age>5e
tribu- lijnoraiitei et abruties par I e-
la\ .lue .|l
ni ne
de
■a— aie
ni pas leur elllen
Il cl .|ni étaient iiidi-peii-.ible- puiir leur ine'uKn
re-peel e
i r-b.
niiniandeincuts de Dieu l.
>reten
.lue- errelll- l.'lll plutôt llollllelir a l.l per-pie
aelle
e'e grand p'
Dans I.
:li.d.
de- toule-
ilkt artilieiel eiure
h" l'on et la -eienee,
lantaisie-,
lunesic, 1
li.ieekelielines ne
ml 4U un el'lSi
ide passager.
1 e-t'
\ r.n, P111-4U il a 1
ui>-amiiieii
l contribue ai
L-- in-tiiKt-
tlVl
a \ raie
rie-liaux iiienie e
lee n'e-l [la- rè-p
ht/ les lioiuiue- eill-
ili-abie
d un
de-, le début
a eonibattu -ali- rei
,\>teine,
hlle ne
m - e-l laile entre elle el
.lit
peut 4UC deidorer l.i culu-ion ,|
k-s produit-.de- Milgarisatiuns de- l.iiix -a\anl-,
abu-
Te-l
m
iii iioiii ; eoiilii-u>n proton
ileineiit aïK rée dan-
irit du p
ibli
bien des pliiloso
■■ P'
ille'
liane el même,
hela
■.n rais. .11 ae ee
tte ^uiilu-loii
eelll
k- de
-imp.i-e aux iiatiir.ili-te
la dlseUs-i..ii pendante -1
la scieHe'e
Les grand- pliilo-oplie
■inter\ eiiir; a\ee énergie
e-. rapports entre
a rel
que 1
.hretieiis artiriiiaieiit que le-- pro-
.■uveiit être ii-eiite- a\ec .lUL/ritê
le de-ja'
;s de la religion ne
ar de- lioiiimes a\aiit la un. l .e qu on p
.rtilude delà loi d..it être eelaire a l.i lumière de-
là raison, di-.ait saint .Viigu-un. l'iiii dds plu- prol..iids ps\ -
ehologiics de la elirellelite \).l
)ail- le lllelUe
saint l lioma
ivail appris elie.'
qiiiii, qui, mieux qiu
Aristote le langage
le- autre- se
;t le
_-tlK
de la d
l-,eUsslon I
UJl e. e-01l--e
..le pull'
cv.dution
,1.; du 11
Uelllc ans. 1 d\
ulIlUclK-e
.au 1--
.illipafiae- ■
Il a..-lll11J de- 1,
Je-.-,.-!. Julie J^ 1 lu.nmi
r...iii
illait.
e d'uk-es,
ilastiqueï.
Il pensée
dans la
ia..ui L
ekell-iu.
ellel- ae- ..f.--
i éiU ini-inl ui.u-
H,
4--
jnli'ivorsc
i>ii:r (• I HoMMK
lc-< ;ia\ci>,iirc-- at-
:liL-rclier .1 k-urdcin. .nlrcr
< \
loi. qui 11
a.inu-ttLiU p.i^acpi
rùlutcr le> armimeiU^ i|i
la l>>i l'cp^
iir ta Vente m
le
te de 1111 ml ICI- le eoiitriire
.ueUluelll-. cil
lllre
,a li'l !le- -1
eiil être relaie- par
(.e qui e-^t vrai 1"
s. lunellls («ppose-
la a
e>t ciK
lavanla.ui , qiiana il > -lU
l'our -ieieiidre a\ee aui.'ri
ulu\ <:eavee
taleiii
, il tautl avir
l'er-'Oline ne dl^e■l|Her.
d'un taWeau a\ ee i
1-, r,u la béante d un.
nai>-'ancc.
irviin
cil est
a ->vieiKe SI
iUl en leii:
CM laits acccss
ible- à IK
velll McUls c
.•tre utilise-.
prcLP. es val;i
labl
[ans les
iriiier rc>->c>r
de
mitre
iniiais-aiii
laits établie, niuis essaicru
.Ili.I
lesl
■Kl'U
de la'rellgliin
iliis rudiiiieiitaires cl
mettre en liar
rai le
élevées c
liez, les llDinnie-.
vaste 111
tellit.
l'uur 1
la just
rcuce
csse des cciiiclusiiiii
lariiu ces
derniers le
lllllllort.lllses
dans la sciei
Non
s V<
elUills d c.xpOsel
résultats des plus réce;i
Cite a .iiii
l.ull
1.1/, 41.
:-latioii.
ne p.
actiuidedesprop-isitiiinsclcla
aisdesebiiriu-r
js directes, m
1)11 cippiisail .1
la.llil
la fi.i.
l .iiiniiic
et
.mille il csl lllipus-
de la venté-, il seiisuil que
ni pas des preu\es et pell-
.iissiim siir
la \aleur de la reli-
ait
de 1,
la \aleiir e
I science
de la
t l.i p'irl
, pendaiitdelimi;"c
llelirs
.11 sur
1 .1\CU!
lie iK
11 siir 1 li.irni.'iiie
in s,.nrd muet de
t des 41
autrcineii
counaissaiici
la relitium
■ sensorielle I
ir
IsCUssioll-
l de la \aleur de-
ivaut naturaliste ci
le
.de ce genre et décider
ari;,iiiiieiiis de la rai-oii,
c spirituelle. A laide de pareils
is déclairerdabord rori^iuie psv
des ses preuiieres mailileslatl. m-
/ 1 lioilliue prehibloruluc. et de la
.liccptums religieuses les plu-
ie notre, époque, c
;lèbres par leur
e ressortir avec plus
de uetlct«
à tirer, nous c
hoisiroiis de
savants illustres qui
.ar leur c
pr
Il créateur
tin
leriiicr c
hapitr
n'ele
; SI. lit
le
ntcs dccou\ cr
les p
lie. mti. logiques eu
aïKK
.U1...IC
IKN. t. KHLlolON H" M
42-
L.-t en
n.
resu
Uats lurent examines
rtout par rapport au
.bleuit
de t
onuiiie
homme
Ici, ils nous luteresscroiit pajr
.allons qii ils noii
sent sur
itiments rcli>;icu\
sel
inlericur.
par
l.i structure c
.m me pri
t le vol
si mien ne l'.c
.es précieuses uidl-
premier e\eil des
itil du tvpe le plus
luuic de son .r.iiie. qui
Il connu a llieurc .ic
l.i
stes lossile-
. rt-a
l.atdiapelle-aux
Saints l.orre/fi
.Moustier
décoii^
Dor-
app.ir
tiennent a la peri
luaternaire
iuo\ eniic .
leV.ll'
,lu .\loUsiicr,
-ni même a 1
.riaiiis inili.H
.-poql
Dai
,lebris lo-siles précèdent notre epoque
H..iil..nsqri
tare aii.itoini.iuc
.iiii
reiiior.
U
s ueu\ ca-
es traiïs geiieraii
-eiiieuts 1.
.laiis
■app
ile- lis ont ete irmue-
:heill de loii- ceux q
tic
.11 a 1
ae Neailder. e
de Heldcibcru
l puis rc^e
minent, en 1 .)
1.1
los-Ue
nu- au 11
lUr en I
.II- soigne
,Ilt sitUee-
Useiiicnt dans
les lusses
dans
.les g
rottes rtjc
lie .1
len
.a tcte ae-
cadavre- et
des p
,ain"iicclees
stlges
.\utour de ce
>as funéraire, des
■rits <
.|és probablement aux
betc--avrilicse
de dizaine- de milliers
X de la slruj-
l par les cn\i.nstaiiccs
es lo— lies liuuia'.us se
ecueiliisdan- la vallée
les environs
ppri.p
tait siire-levée et cou
a\ aient ele ellsc
lecs. ces los-cs
, abri des bete-
clicc sur
tosscs. on a trouve
de
ossements
le la mort; p
d aniin.iux.
ûisicursos
;taieiit ai-poses
.•t identique,
.Icluiits; ce-
not.imuicnt a
la tète
deiails lildiquclll
l bitn 1 existence
accompagnant, a 1 epoqi
nient; rites
.KiUUicUte
.■videinment destines a
l.i valeur
lune manière re
: ni 1ère
:t autour
du corp'
le rites
UloUie de
rer la mon Le qui
lono
ililieiilatioii.
logl
t.lte
T'
l'i,.-,.
.•ntilc
touteh les
li-pi
distant
;- atteignant
des
,,l,;,.ul..
alitons cou-
de klli'iuetres
a- a.i
^If
ILilci^istc--. a JU'-K- titi e tu
i>t iicaiiiii'Miw aiilon^c-
lliniuiiii; |ircl)isloiu|nc p
inciit rclii,'it;ii\ et lespnir
lie l'c^pcct . di>\\\ CCS an
eiitoiiraienl autrd.ii^ Icu
certain^ trail^ lu lnicbai
cnL'i>rc iiialiitcii.iril kur-- i
Nuii riiuini --ij^nilujalili
beiiieiil travailles i|ii'(iii lii
iiiciits. ainsi que les \ eill
Mi.iislieri. (^cs décDilvcrt
telle époque, ceilani sa\ (■
I an .le pr.nlllire le lell.
luiiiiaiiies, \>V'i\ lent .1 lin
retlexiun n'était Juin pa-
éliili^nés 1. ex|ierience de
L lier les causes de^ phén
tluences. bonnes on mauv
lei ino\ eus de Icicouibatl
pen-^ecs étaient indinieiit:
lilenicnt de nioiiossllab
de■^lrs, nlanlle^te^ leiir^ \
^ur Ici aclmns et \c> bc
mol, elajil le jirodnit de
niollde extérieur et de 11
en eux sans conteste, l'oi
^e uianilcste chez l'Iiùnin
Conscience du moi c^l ind
rint'uilion vague d une d
i|ui décide des destinées 11
l.nlre le |>reniler é\c
* rboiiiine préliistoriquc i
plus illustres représentai
ET 1. HOMMH
if^eiatioiis inévitables des anlhro
s de leur-i belles trouvailles, on
Conclure des laits rehlté-. que
.-^-.edait les rudiments d'un seiiti-
J'une autre vie les léinoii;nai;es
.-êtres Ides l'iausais d'aiijoud'hui
s parents deliints, rappellent pai
l culte des morts, ipli distinnue
escelldailts
iont les outils et les armes soigiieu
iu\ e dans les grottes avec les osse
es de liisage du lell laii village du
s indiquent, chez les hommes de
r-laire. germe de la science luliire.
I une des plus utiles inventions
■ certaine iiituilioii de l'esprit; la
étrangère a nos ancêtres les plus
leur sens leur apprenait a reclier
umenes dont ils subissaient les iii-
iises-; i!|s étaient a même de Iroin er
re. ou >l en écarter les périls. Leurs
ires; lè^r langage, compose prob.i-
■s, sutlis.iit pour exprimer leurs
ilontes. et provoquer une ciitelltc
oins Communs. La conscience du
1 ciiseiiible de nos sensations du
olre sensibilité intérieure, exisl.iit
rque que le sentiment d'un au delà
le prctustoriqiie, l'existence d une
speiis.ible. comme l'est égalenieiit
vmité ou d une l'cjrce supérieure,
umaiiies.
il des sentiments religieux elle/
t les conceptions religieuses des
ts des sciences modernes, le p.ls-
s. n-N' i: I--1 1 loioN Kl S1.01! \i i; ps
s.ige semble trop brusque; m.iis, pli|s saisissant est le cou
traste entre l'intelligence des hommes ,|ue des di/.iiues ou
des centaines de milliers d'années sép.ireiil. plus ecl.itante
apparaîtra la démonstration de l'jderitité d oriuine de leur
loi. .\iissi choisirai je, parmi les sa\ ants. quelques uns des
plus illustres crealelirsdesscielices bl(dogi>jiies el phvsiqlles
du siècle dernier.
Il est essentiel de rappeler aiipara\aiit le soii\eiiir des
hommes de geiiie qui, aux \\i et .x\iji siècles, amenèrent la
renaissance de l'.islronomie et des inathem.itiques, etahlirenl
les lois lond.imeiitales qui regisseiU le monde plivsKpie,
et créèrent les méthodes e.xperimejntales d investigation,
devenues .iniourdhui classiques daiis les sciences exactes
l'entends p.ii lei ici de (loperiiic, de I \ cho-Hrahe, de Kepler,
de (ialilee, de Descartes, de Newtoiilet de Leibniz .Nlalgré
la diversité de leurs cultes et de leuk conceptions philoso-
phiques, tous Ces maitresde la science turent des crovaIl^s ci
de ler\ents chrétiens, ils n'hesiterint pas à taire montre
de leur proton, le piete et de leur in<;branlable attachement
au chrisii.iiiisiiie
Desc.irtes el 1 eibni/, tous les deux mallieinaticiens et phi-
losophes de geiiie, s'elTorsaient de lattachcr les non\ elles
conquêtes de noire connaissance à U philosophie tradition
nelle des (.recs et des scolastiques', et aux enseignements
de la religion. Nous possédons ainsi uie riche documentation
sur leur loi dans 1 existence de Dieu.
Descartes u admettait, .comme s.lurce unique de notre
saxfiir. que rintuitum ; le raisonnement n'est pour Un
qu'une série d'intuitions de l'esprit ! La science elle-même.
Descartes- la c. institue sur l'e\ideiice iiHellectuelle, sans
aucune inter\ enli.ui de la coiinaissaijice sensorielle (. est Un
recul rclatuemcnt a Kepler qui, liii. déclarait qu'il existe
d.llls les ,l..uilees vies scils uiie similitude a\ec le tvpc de
l.;,lllU. U ^L- !.i|ipl,.ill,llt JtllX ^111 plu^iOi
,.|..-li.iu
IS JViUil-
rii.uiiiMnic iiu1iiIiiI:i1>Il-iu
.■lit vraie q
.prii
, mil i rrli'
si I II .1111 llh
ili
|)l-
niU"
en tidiuai
i la
.irtitiuic daii-^ rmuiiti"ii ^ic 1 àiiu
Jb
esp
Il : th
eu est,
lies de ses luethode-- s
pure
.eihiii/ re>
,ait avec
Jiitii inalidii l'ar ni>s^eii
piiiirquoi, dans s
recc/urir souvent au\ p
dcIHiilitrer re\i--teliee
rahie Tlieodieee, il ii he'-.ite pas a
1.
dm
re l\es l<iiirnies par 1 experieiiee
Pt
Dieu
ctroltelllell
t de -
.thudc
d ailleurs U
a. pendant des aiiuées. l
'a\ai
lialiou
de leiili
L-atlK
laus
pnir
lUt
toutes
r 1,1
urraieiit ciidiL;Ucr la i laree mon
lielion \ ra
n sa pre^
1er inlailliblemciil
a renaissance v
es sch IK e
le trait
-•lltree
riestle\
la biol<
L-t LavDisicr
iileni en même lem
\ le ..rganupic
haute portée en
nupie
d.
tre le 111
nu erte-
par
•1.
lirellS a ee
lie de
les sciences ,
;tait '
itre dans toutes les sciences naturelle
et vcLietal ac
lUel niilfl
hT I. HONUU-;
ui se iriiuv e dan-, iioti e
li.inih'iii.r ,!/> Iirhfii c/iii
( ip. v,
Ml>
I
exwtence de
Dieu,
.'lise, don
.lit piiur
c Je suis
lui les lu
les lumineux
la
^ensec
: raison toute l'imporlance Je l,i
de nos intuitiousspintuelle
-, (. e^t
I)
icu. ain-^i i|
ue
.inl de \
I hùiiias
ibni/
lur tonner son
■.r,'proclie
d A.piiii, dont il utilis
irgunienlation i 'ii ■-.ni >i
ibni/
Ue a\
arde
ur a une re^iinci
i ec les ef^lises protestantes,
egll-es
.lir^ieniies
itallte de 1 ,lthei--ine .|U1,
m en
lairop
1 prophélii|Ue tle i ;
de
ait
.1 une révolution.
de la IKlture d,lte de l.l \ellie
U de
.:tte ren,ii--ance lut
le-. -.Clelicc
Nciil 1 air en sc^
■k
■- exactes
nlellts et
t ainsi un
leur-, rapports mystérieux a\ec la
lien . 'liiiiii/ii.' d une très
I le nioiidc or^a-
<j;i|lvani et de Volta \ aioutellt
portant, surtout pourla
nde iiiorganiiiiie e
, ie aillllKlle
un lien /i/m>/i/;/.- aussi iir
Cuvier, dont la vaste i itelligcuce est comparée lUsleiiieiit
ibni/- ■
'|i
menait de Iront toutes
dé- le début du Wlll >leC
le, k
I
reune animal
lit pa-. un champ .i--sc/ v,i-te
IKSi F. KFlIoION KT lOK.VI.K
•-tiuation--
k
rc-.te- los-lles
qill
vi'anii
repo-aieiit
lan-
les couch
dep
t^l
iillier>
fs protondes de notre
il k
lai--ait réapparaître a la
deter
es Conception
-du liloUi.
lumière
.e ori;ani.|ue
alm
lut créée
la p.iléoiitologie Ouelque teilip-- âpre-, ^on e
.ntiiiualeiir.
une ei;ale envergure
intelleclUeile
mule
Karl
11, dan
i\ aire
'.m iiiainm itère.
Toi-e
lai|Ut
de 1
■Ue il
n.'U te
de, pareil au la
une
Je 1
:elle d
érigea
iu\ erte
.■\ int kl 1
iurré annul.urt
.\ 1.1 même epcnple .m le
enibrvolc'Ule
.ileiil a pas
de
;e.,in
t. b'ioureiis s attaquait au si
.gUlUc
en
tral
de
lacnltes ,\ ll.lles et p-.\ C
liuiues, en
lUinettanl le
del'
in\ e
,ti«atioli^
.rinieilt.ue
t. était
un- coup de maître génial qi
d inlugiirer
.ivencuien
t de
l.l phy-lologie coini
d.e l'cirgaiic 1
mer\ eilleux
ne science inJ-penJante pa
liis inaccessi
ible à
los recher
dus
structure, et le plu-- iiuslerieux }\ir sa
dc-tinath'li toiulloiille
lie \->
bel
.•rtes laites p.ir l-loiireiis sur le-- louctiou
dlcT
'-., >lii
k-t, de
la im lelle
.■ni un \aste en
et mullip
UoULl
qui.p.
llllinitee
la
, mi
[■nt
les gr.iiKis lieinis-
et du lab\ riuthc
;ra\ aux lec.rnds
aissaitnt eiitrev oir la
de> plus h.iiits problèmes de la penfee humain
landi
illustr
u en Ir.llKe
d'
.• ( laïuk lleriiar^
.M,u;eiidie. l.eki;a
de Moiireiis, en
br, nulles moi pli'
Mitlliuaiellt a\ e
.Mil 11
-t etsurtollt
.1.11 lestravlitioiis
\ileinanne .lean .Millier, maure ^ie toule-
laer. trausloriii.iit la plivsi
on
. lelice exacte :
de la bi.
d>
lellX trerc'
ct.ill 1
Webc
ui->saniment ai
-.u outi e, I
C-. sens en e
t.iblissant
gie.
■ uime
.- l 11 \ 1 e r et
nerimentaie en une'
dai
.lie t.uhe
il
la loi de l'enerme spc^l
liqu
Se-, de 11
X ele\ es
Schwann, hrei
Ju siècle pa--se.
t la de
jt collal|>oraleurs. schleideii ei
erte biologuiue la plu-- lecoudc;
.1 eellUle \
enetale el anim.ile
p-
iJcrcc cMiiniic 1 cléiiicnl priiiiilil ilc linit uriianiiiiie \ iv:iiu
(.
■-t .1 la l.i\ cm de CL-ttt
:ica la iiallK)i'i;iic lelliihi
iir ■ et iransliitiiia la niudecmc
.lldW lli II ill^tl llWlt,
iirijj
msit ai]i-.i la niclliDili
iiMiiicne-- plivs
Pl'
Ogiqllc-
;ipe^ nKLanii|iics t.iiitc la
rtiiiil du Hmis Kc\ Il . .lui conuijiilorcnt 1
' ial\ ani it lK- N. jIhIi.
I c-i progrc-^ .Ici^t-iciii;
[iic^eiiti a la inL-iiuilrc
rappeler
11. uni I )epui^ < ia\ [.ii^-^ac
Luiiintc cil iTaiicc tc.llle II
illtclltdlls-IloUS
|ii-,.|iia
I.All
t Wnhk
ciiiaf^iic a\ ai
l-.Il Sllcilc, il -llllll lie 11.
Ic^ urand'^; cii Anulctcrrc
cicn- ic~ pliii illustres. t;it
lara.l.iN et W'ilhcliu Web
Ma\ er. .|iii ciahlii 1c^1..n d
iiiccaiin|iic
.iule
( Mau^uis le i lieiiim pour île
a ilcvciiir la lui di)iiiiiiant]e ili
luiinie, raiiiiclDlin ^elllciiii lit -.ir
\ crri
•re Ici 11. .Mis
Il est liai aise
analvst r les c
/trcl
luieiisesiles ■.a\"aii
IsJ
es ura
Iiluiues. tniuveiit raremc
sopliu
■ lui.
.•ptli.ns pllllo:
c lie leur^ ctUiles ne
s. .Jiliic au \l\' siée
IT I. IlOMMK
.inerte i|Ue
KlK
l:i
pli \'irclu
de
+.S.
iphi
ireiiiier k\ iiiii^raplie et
ne dans l'étude des lijic
dilia ensuite sur la base des prin
plivsidldvîie hiiiiia
Pi
iiie Mattcui:
|USU|I
-t cliiiiiiiiue
s s.iiit tr.ip
tous ji.iur iiii'il soit titile de les
le mentionner ici les plus i»raiids
.1 H. Dumas, la cluinie a
-Ile de savants hors de pair
laebie;, Hiiiisen. Petteiikoti
rcli
li
er lier/e
liu~
lus grani
Humphrc\ Oavx (^mnine pli\ si-
lectrieile, Amiiere.
.11 plusii|Uc générale
K.
bert
instance
etd
e 1 eiiiiu ilence
laleur ; le i^ranJ (.arnot, qui lorniul.i l,i
tlieri|n.>d\ naiiii.|Ue et montra ainsi a
i rir l.i loi d entropie, destinée
de plusi.iue. Kn astr
W:
Ile
A. Ar
i.>u\ a it parler
des morts, notons
de Pasteur, de Hertz et de l..rd
.nceptioiis ])liilosopliiL|ues
litc qiie n.iiis veniinsdeiiuinérer.
jhe
iiids naturalistes, abforbés par leurs recherches scieii-
I . occasion de développer leurs
le l'objet
s abstraites, à moins q
coiii|iortc
ne p.»u\
■. La décadeiici
ait, d'ailleurs,
la
s. llNi E. KKLh.lON ET .10K.\1K
éloigner les naturalistes ( >ii est doiu
4M)
réduit, pour ciinaitr
leurs lUees
ph
.ihiiiucs et rclitiiçu
poiidancc et
s(.u\ ciiirs
:lier
es rares iiu uleii
ts de k
( ..inimeiH'oiis par le plus lUustrt
eiiic sans pareil, liunb
av. .Isier, ce g
I 1 .Ige lie c
ses clïorts a déieiise
ini|uaiile .iiis. au nu. nient f.u il ^i.iis.icrait t..u
laiis une
de la
f.nnilli
Mcirc
l'Pgl
.a\ .
sier cil avait
un ccri\ .lin aiiglai
>iin.
. ontrovcrse. il ecri\ ait
.|iie \ . .us entreprene/
e/ de delciulre
.•tdc
luabl
iithenlicitc dcs>aintes Kcrituies, et
que \ . .us elllplt.i
:i dan
.-tendre preciscinciit les iiieines arme
^tois pour les att,u|ller l..l\ c.lslcretall p.it:-.'ii laïque d
a c.'.iisuitcr letir
bli
\ le p,lltMU|Ue
naturalistes, par
une de la I erreur
tre 1
iii\ asK .u
1 avait t.. ami plusieur-
garde les cr. .\ anccs ; .i
|lii lui .n .lit
kl rcveiatu.n
ni est reinar-
nu.inen! pour
III ou a eiii'.'l '\
.•s. et a ce titre il lu.m
la chapelle de son cli.iteau de Irechii
niait le chapel.nii, .iii.|Ucl il d..iiijait ainiuelleineii
ll.res ./
jrils llieologi.iiiL
Pr
lcstle\ ,
P
rr des
lombreux
'P
^avallts lu
luvrages
.laircnt il une luaniere précise sur -es sentiments rellulcu\
'riestlev
n liesit.i ixis à entrer en lut;e, sur .le
Vslcleil e
ph
mines I
t cliiiiilste
'Ills'll.Ult. s.iiu
Si lelltlll. UU
11
lUestlolls
pur.
thc
.gle
lireticiiiic.
le ces c.
• litre Ids -loctriues d. .nilii.inlc
. est au cours
charpé par une loule laiialiseL
4'
il il lu.iiuiua d être
ni detruisii s.i maison et
lai
'oratoire a\ev
tous
intruimciits
tra\ ail
luraiit sa \ le lanorieuse
il \ linil paisiblement ses |i.iirs au milieu des
scvpatrrer er
, olcl en quels termes
.■ll|oll^ ailts l 11%
dé
un .rt
Se
leriiieis iii..mciits lureiU remplis par les cpaii-
l-.a..u..id iioii..
Il-1i
■
. 1'"
cjR-lli
*".
laisai
une \
\ ..Us
Il.Ul^
■ teini
• -c- a
*.-
-
- noii-
rt-lig
(iclii
a\ fc^c
.ulv.
ct.li
nier
Il lie
D
de -
ton
Vil
pr.
lui
ni<i
lc\
. (a\
1 \ (
lir.
sit
vie
né
le
-1 I. HOMME
.lit-, >le cette pielc k\\
ni a\aii in
lire ks^ 1
vangi
.t n
ic nlileelune inorl p:l
li-,:li
t il
ill
letlW en
rcveiUeiiin-, ton-.
laiiNqn
ensemble p
mnanl aiii
-I .1.1
:k
el'niere-
■■, liune<
lar^le^' //
.■\traiie- de -^^
seilairenl en mei
ieu\ bien v.iiinu-
111 éealeineii
nie te npi-nr la
aei
it , a celle
leiiin
■.U
t aii-ii nii cri
( .nvier, '
\.int cl ;i|vail l"i en
,k- a -a lille en- ont la preL
iiiiiii m ■iw re\ erriiii
)aiis
. Il' iiiibreii
i\ ai>
-ptions philos.iplini i
nieii très élc
lit enracinée
lié Imi ell
ilon.leine
• ini. par ■
Klcrne la \érilabl
.•ti
1. ,ri
,le t.. nie recliercli
ti.n-. i|i
'Il
liaiil. p
eseni cj
t uu'il 11 existe p:
laire
cesiites cou
lalc-. aiiiuineiit
iiiinaitre ma en
au lie ni a
in pi nio
Jernes aiinnii
,iiiKlere ciiiiinu
I l^iur»,!!-
A',.;.,
,./ 7,-
illie liiUle ia \ le
nierciai
l Dieu
del
ble le vaii m en
ni a\ nir Jnnné
.lormir cuniine
jinineiiait. mai- iKiUi
un bniilieiir elernel.
ance il mcii
irait (lelurcnl
ige acaaémi>iue p
n< ibleiie ue-
llilitre hicilo.ni-le lui même Ka]
ir f'.uvier,
.■nlinients
Ici lerincs reip'
Dieu
:li IV
jtïrov-Saint-Hil.iir
. tUellV
.'aulre
i vie lutine
>e-
der-
Sriis-eii sure, nia
ursacadenii.|ue-
kier eu
et
l 1 .
.1 dan- 1
,111 d c\p'
ilu-
Spinliiah-le c
a lin
de. Hlle- lelll.>liinelll
liiiell-e-
lut
illVIClliill- le
■ ii\ aiiicii.
lllU
,-t ibht aaii- la
de latéléwlogle C'.mme piU-
iant
de- le
de la iiaiine ..r^anLiUc
lignes de -on ouvrage c
r.
mire ledarw ini-me
lame liauteineiil a
tiiialite él >11U
e mon
le. 1<
IVlCtliUl, 'P
leule- le- llecc>-
i- de mon de\ oir
uilraire louies ce-
.- lin- -upeneuri
e plu- ipiil ne
1.
)rage
ie .n
llliallle
d.iii-
mrrait tenir ; ce
ie or^aniiHie ne
I\ns, p. IV
i htiton./Ui'
.:E, KEl.lClON ET MOteM.E
-era y
a>. sacritie a une
ae ba-arà-. Onanî
detre-se générale,
que ledarw iiu-me m
dlen péril larelit;iou.
irelere ne
le- 1
re!ii;ieux
es ell
tout .\l.i:-
sera liecess:
pa- l'enteiulie. a— ure
e Ihomme. qui Se ma
— e/. puissant p"Ur le
une tran-!"riiiaUon
4Ue[)e
nileile
le- culnviclioii-
.lirelllell
1 accoiiipaiïiiee
le-l
premier
iualt;ré
relimeu-e-
lerrible- -ou
lira ne
ijUC I
aime niieu\ ne
ivrea-e/ loni;temp- !
iiir .i-sister
a 1.1 de-truclioii >le la
l'oiir le problème
ohilo-opliuiue-delllln-lrel-l-uren-q
religion et a -a nie.+iticatioii-'
jludié ICI, la conijai-ance dé-
duit riiive-tii;.Ui,'n exi
xperiiucnl.ile
:ar'
-i
inlerel e— en
liel .\\anl
dedi
relis nu 'Il
adre-se
lernier ouvrage.
/>,^^ ('/(
\1
lilUe- 1
)iireii-
étraiiuere-
lil-du «raiid phv-io
ancien
oi;l-tc
iseiiinêineiil- pre^
i, le premier, a intri
,de di
.•r\ eau.
i aux iiiaiie-
l.thvrilllll. ie m
niinislre
ail II '
des atïairc-
-ujel
avoir a ce
il.i rt
p< '11-e >p
il \ oulut bien lueiiv "^ er
ell m au Ion
,aiil a la rc
la >iiie-ti"n ^i
ut- \""U- me I
de me po-er rappelle cil m.
!l e- M-lt '
aite- Ihon-,
bien
)U\ enirs
leiK
.-1 iMCll \ l\
auts
le- plu- piecielix de
eMSlclKC.
M.
pere n'ét.iit p
-ellic
llielll
lil- telKlre
de- V
1ère-.
celait au— 1 un
itcui' intaiiuable et pcrp
lu
.■Ut
meiil ell eve
d l-ai élevant -es e
iilaiil-. en
le- car
lut.
.•n l'.uanl a\ev
.inieL- d
b-er\ art et 1
lil-
doul I ai la û
1 notait d.iii- de
dleclloii. les luanlle-
tatloiis -ucci
intelligence
-e- iroi- til-
de le\.
de lelir-
l-UIltl- et
a^é le lui peri
II. il mil
'Uraiil
.lierclie-. de leur- progr.
lurnalier-c
lde-deC«'Uverle-4U el
mime assi>es-ur
.lail aii-s
i noire mère, teinine
tra\,iu\.
,1e
A',,/.'(,
Hle qi
ol, U-
lui pcrnic
tlaiciude pi'
dcsba-e- d)ésormai- iitel->r.
ilable
,l'uiic 1res liante mielll-
I,.rinaient l'Hil ualurel-
aau'll. iS"'", p :i ■
t V
i;srr. KEi.U'i'»-
HT SUillALF.
iini'luiiui
ii-iil au vontraiic l <-■'
,c k- nialcn,iri--ui<--'l^'
a 1 .uiK- huniau'.e. i
11
KHiiinc,
d au t.--.|
:ha
iril iiuiuau-ricl
du Ul"ll
de;
NU>n V
principes
K-rc i-^i i"i'i'
iilabK-iucul
Duu.
hinlile d iii-i-UT ■^l
•c^tc iiicbra
luiu lui CMiiiino
11- \x niMudo uui'oi
aU.uUi-- a
le tciuùigna^c
da cri-a
leur de la i>hyi
du
,it avi^i:
^■civcau
.iir
11. .us l't
riri»
V
lU|1'
bUnu
ai'iia
1 de la p^\L-lol.igi
i)an-
,u\ ra.i;e,
lunuaine m
l,t[t:nJ :^l Iiii.-iliK
.urens
.VxpriuK-
ui
lareiu
une tao>n
\uanl>tralt--
de ri-u'innie
le> hinlte
et
Ue-
.uiiinaux
..elle- .[Ui
\ Ue-
letal actuel
icspoudent l't
de raualumit:
-lUe
,\ d.
euliereiue
1.1 i.h\>\>'l.
lit
a la y
.holo^u- viaiiue
ut s^Kutlluitit-
.1 .[lu- ) ai
re-iuue-'--
.lu-, liant .laii>
jhapil
le 11
iLir ftic 1
ei\-.eii;iie'
UK.ns phil.-.'plii>iw--^
le l.OUjAC
t Cl de
Claude Bel-
rd, uul be-M.ia Y
lUi mol
de
.uriv au
X teiuoigua^es
autrui.
, a u I
duicreut)u-'l"
a leur uii>
De- lelatu.n-.
it et lurent eii
ireteUUe-
lar liue .
•u t..Ute
.Hirroi'oii
ilaii
.iiuai-'iauee
de
lue 1
. l.,.ni;ei
lenuelleii
l d eu p.
.•tVtt ..Ulu'll.lUe et
pratuiuaut
ell-.eluWc I
.\u
du \uvane .4
Ue
d.lllt l ete
1^1"»,
Ula^UC,
luaiule
\i.\a};c,
eatlu.lu
,ur \ isiter
de
les laboraluirc
;ili H.>llau
sj Je p
■.i-,i..ii
in en e'i
.nvaiueie .l.i
.MU
daut
il u a inan.pK
la l.u e
tau.
d a-^-.wlera une me-,
.he/liii. iutijuemen
d.iu^ une el;ll^e
i hee a un ain.uu
deul de la patrie.
.\n^si a-l 1
1 efuelleinelit
itlert dc-
dv
■,tre-
rupture
de
du
la uueric e
.- n I > , > '
il in,.nrn
i .1 l'.c.rdeanx a m
•ur. a
la n.'Uve
lie de|la eapiiulaii-n
1'
Claude lieriiavd était,
,uiue ne pratuiuanl 1'
.n\.iiiuu et
dei-^te, tresfe-
C )ll ree.ill
du d.rrwjm
l\tu-
,.ee-uien\
delarcWiii'Ui
nai-'-'.iii e
u lui un a-U ei
dent
i~iiie i.!nan
.•n ni"'
1,,, exp.-.u 1-nr la ptemicre
nisine
llerli
ha.pie-..-.uri.
ut
du
.rveilleiix meea
.I-e~-eUr.ee lier!
lu i.^.
[«(
vciiMblc iiui ir.ui-nict .m
c.-ur et veille en nieiiie 1
^,,n travail cl eu ;nern
vas..-in"le-iirsan e-ervc;ui
le. artères au o>rpv le- i"
luienl ; " le v..uar,ii-.l'ie
.v j)ieiiar..nl |>.>in- ex'pl
,,l.,iaeae r;ia:ll'l.ltl..ll ..1
,\.l I ' <lll (-■II"'- '•' ""'^'
r.,ut en ree..aiKiw-aiit
lUUUK-aan-le-.ieaiusni
ceux-' 1 comme ae -impl
.ie ,,iv:ani>|He étant a n
au problème .|Ui m.u-
|.a-.-a^e•, ae -..n aeinier
„ lui aanietlanl .(ue le
à ae, maiiile-la'tion, (M
>iue-tl(in, aan- -"ii e,-
car ce ne>t pa- une i
pUvMC.-clumniue- >|u:
.ui\ant un aes-cin lixe
rahle suborainalniii et
vie 11 \ a, aali- lecorp,,
nance ^ue Ion ne -aur
e-l vcrilaWlemeiU le li
Le- jaienomène- vitau'
chiini'im'''^. ngoureu-e
leinp- il- s>= suboraouii
ncinenl et -uivanl un
clernellenient. avec or
nisenl en vue d'^a^ le-i
.einenl ae liinliviau ;
1/ Il v a comme un •
iiiiii.iit^ il -m ■■ ■■■;"' "'^'
KT 1. HOMMl
cerveau toutes les émotion- au
|,.,„|„ MU- -ou luté-gnté, en re-lanl
t, au uioinareaanger, le- centre-
ce qui lestorce a élar^^ir t.mte-
.■miere-parolesdeClaiiaeliernara
,1 -,a\oir comment le- aarwini-t^-
quer ae -1 admirable- mecani-me-
,|e la -élection. ,, i Voir, aan- mê-
le la p o") '
le rôle ae-proces-usphysie-o-dii-
,, Mvanl-, il était loin aecon-iJérer
., maclime- l.e- cnception- ae la ~
,e portée deci-ive poUr la -olulloU
Kcupe. le reproduis iei queUiuc-
ju\ ra'j,e '.
, phénomène, vitaux se rattachent
v-ico chimK|ue-. eequi e-l s rai, la
nue, n\--t pa- résolue pour cela;
encontre loituile de pheliomeue-
,n-truit cliaque être -ur un plan cl
,t prévu a avance et -u-cite 1 aami-
harmonieux concert ae- acte- ae la
nn arrangement, uuesorte d t.rdon-
ut lai-.er dans 1 ombre, parce quelle
aille plu- -aillant de- être- vu ant-
oiit bien leur- condition- phy-ieo-
ment deterininee-, mai- eu même
eut et sesucceaeniaan- un enchai-
, loi lixée a avance : il- -e répètent
ire, régulante, con-lance, et -liarmo-
liatcpli e-l 1 urgani-aiion et laccruis-
iiimal et végétal «
,e,-ein préétabli ae chaque être et ae
iH-i. |.1>.
/k pluncMeiif
.le l.i wi- .•■iiiiuiine :ii'
ictive ,1 un principe
■ourrioii- .uimettre ne
-mi:ni.k. Rr;i iciox kt m^>k\ik p.-
». Iiaque ort^ane, cii -orte que si. con-iaere i-okinent, chaque
pheiioineiie ae recoiioiiiie e-t tributaire- ae- I. ir^ e- i;e lierai e-
ae la nature, pri- ù.in- -e- rapport- avec le- autre-, il ré\éle
nu lien -l'c, lal. il -eiiible ainue par quelque ^UKie invisible
dan- la r.>nte qu il -un. et amené aaii-jla place qvi il occupe,
la pli:--nnple nieauation non- lai' .ipercev oir un caractert
vie premier or. lie. nn ,y;(/,/ />». ■/■//»/// ae 1 être \ ivaiil vlaii-
cette . .rvlojinaiice vu. de préétablie Ti lllelc M-, I ob-ei vatloii
Ile iiou- ,ip|M en,l que cel.i ; elle iiou- noiilre un pl.in ori;a-
niqile. mai- ihiil une 1 lUerventloU
vital. 1 a -eiile force \ itale que non- [
-erail quuiu -iite de lorce lei;i-la' i\ e, mal- nullemeiil
ixeculiNe l'ourre-uuier uiptre peii-éi . uoii- poumon- ajrc
met.iphonqlleinelll 1.1 lorce vitale dirine le- pheiiouun
quelle ne proauil p.i-; le- aiienl- [Un
phelloiuelle- qu'il- ne dirinellt p.l-. «
( .e- \ ile- biologique- -1 aillll I rablemf
l'iernara ion..(.i leiii entièrement ave
de- bloloiil-le-, llot.liumelll .ue^ le- uL-e- du ni .uni johaniie-
.\luller, iioiiiiiie .1 bon droit le (!u\i-r .lUeiiiand' pour
\ a-te- Coiinal— jluce- lI.iu- toute- le- -cunce- n.ll il relie-, qu d
.1 culu\ec- cl «isc+çllec- a\ec éclat I
leur de le ph\ -h iloLiie de- -en-, celte ]
la bu a Os; le (Coïncidence e Iran ne, de lllénie iiuc ( .uvier elait
ne dm- une mIK !r,iiiç.ii-e pendant \\
\liiller \ it le soiir a (.obleiit/. alor-
hMllvai-e llc\e d.iu- un collège ae
iervelil v.illiolique; Ce n'e-t qU après
qu'il reiioïK.a i-Ui\ie -a. \ ocatioii ecc
|iretre I ,i philo-ophie el la mel.iphv-
ique- pr
■ aui-eiil uc-
nt ple^ i-e- de ( lande
: celle- de l.i pliU'art
--t le \ eril.dile louda
uile 1,1 l'ill- ev.icle de
d ailleur- duraii.1 toute -a \ le. .\pre- i n couri eiiirainemeiit
i .
1.,
lu
1, a.. t.ii\ie-i jv.iir SKI Miilit-i
.[ilu ti.hUi il N.ul.Mi i\,ili:lil ~lir l.ipl.iei- et 11. m-
Itcizclui- il- ,.lit ,1, ..lUl'll .tu plll^ t;r.llidf^ . li.-e-. |M1
V lll»-C> Cl,ilt-*ill t'iUv'Iw 1 .É. . olliplli . •■ hxtl.tll Ji 1
h.li.iiuic- .MulL-i ., i^i an ll..i>-KeMU..iia, !>/• ,//
■ ccnpaiion allem.iude.
occupée p.ir r.irniee
.lé-uite-, il -e montra
le K 'lltiue- he-ilatn ui-
e-ia-tiiiue el a -e laire
que le preoc^ uperelit
llR'llic ,t\,iul,iv;.
il i-.(Vt<lMCl -ni
i-.l4>i;e .u-uiéiiiuia..- a^-
.,.1 11. iss„
KKl.Ii.l.lS J T M
lll>
lue
iinpluiiK-e ^\\.lc
Aw\ uiK- lihcrtt.- rcel
itradictieiii énti\
iPPO'-ltlIill
l-iLiic et le spiritualisme nianitesté par
.1 ireiile . au Iimu
;lie/ l)e-<carie~ I
M'
,t evp,
elle est uleutlviue a
Jutereiiciation de-, t
e ,111 chapitre m. en e\
iMllLiliMls pureiiKiit psxchuji
au\ aiiiiuau\, ex
plun
>;ettt
■ iitraditii>ii
.■lèbre lMo|..t;i-.te belue \aii
;ueiiieiil i[Ue \
•ut 1'
etaii " un Lath.'h>ii
ill
. Ill 11^1 re
I eateli;-
\\\ Uiiw . lut et;alenieut eUve
itholuu'.
de I M
e soit, ne peut enneu-
Sel
i\\ .11111 ai'
.■i:nt-. Il e?
K\l\ .\\^
it l'U rencontre
-,de l' .une. telle
:lu
mt
>rit
ine-. a 1 luiinnie
Mi'Utoiis i|iie
inMlc
-.elir
l're.k
ricq.
lient un >iiintua-
lliila'
KuJ
vl.iii>le .liapiire précédent. plu-.ieurs <}\trait>
entre ll.ieckel. .|Ui iiidK|Uenl clairei lent -es upiiiion- pii
>iir la
ligtuii Rappel.
leiiient qi
N'ndi
Us prussiell et a
ill parti prcii:
-le .i\ .iiice
di-ciple de johaïuie- Millier. .1111. Un. découvrit
luk
eiale et reneller.l la plu
S.hlei.lell. tut peut être, le premier
'1'
- cliristiani-nu
c- niturelle-.
.1 H'Ik
dans e d
pIlVsKIUc
1- (il-.
eiiiaïuil
es 11 a
.liei^lieraieiit a détruire
lll-.nic .1 i[lll elle-
SLhleulell lut lepri
,1.
it U
ur lillUlUe
N..11.
..1.IIU(L1
-t devel.'ppec
riiit..-i|!..'ll.in.
iK\ .Hin y II 1.^
lller. N..11-. -1\ .'11
.11 d:
-t re-te t.'Ute sa
,1. 1
de- .
i^le de- \ eijet.iux.
laler le Iv-au r.dc
le\ eii.pp
lllt
la invtli.
- .L'Uiue- du chn-ti.!-
.1 l>en->ee
lell 1
..■IjtlV
lu- lar^einciit i'ar
la loi...-
XX l ^
.1.. .A-
, l,l.ul.:
PI I. IhiiMMI'
|?ul~-Kf\ 11
1.1 D.i
-l..ir>
a.- l;i
,lu
i-L'lCUCC-' l
M'
-riiiu m
t:iU-- Il ratlrilMicaii\i-.-liKi>'"'^i»"ii'
lhci>tc^ cl. cil l'u 1
iiKiilati"ii. L-oiiuin'
cui^e-. de- l<licil.>ni.
Je r:inli.|nili.- Il- p
c- iiauircls, c
lis 1C i-
c.iiiquc. -
lhéi~lil<-- c
qiliiiuc
.llUiitaiilil
K- III mu ne
-k-p!
I ,1 iii\ ciitt-r unie
.|)cCl.lklll>-ll
l.iil, .1 te !'
i.iiiit
ic-clur^lie >Ul.i veille 1 :i
<irt,-c>. iiuiiii L\ei\ i. e III
leuri l.Kiilu- lU iIr-kih
;-i;é. ^eiil le molli
lie la \ er
m, ,11 a m l'ieMi uni. [lie
- 1\
iir
uml |i
liiiiaaiii a rc^
m eut
l'r'T'
aie- 1 ab-i ihie \ erile
.lien .le
liDlir lelMie
< )U c-t-
vente- r r
koniaiii. et jc-u^ monta
hcl-lH
la
de .iep
\eiite. en re
.•Il n un a\ ee
religieuses
lies ln.ilol^i^
ment sur m.
vciieie ni
.laiil
le- aiiiiee-
,1, laboiaioue a Leip/i
ipréeier st- idées
et. conna
1; ,|:i l(..i- KC
is^ant a
i.l K,
.ne
.■oiilerence
-. laite
:i\ ilisalloii et
iialii
uiLiUeiiic
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lu elni-liaiii-iu
.aiit
Mu-
tait llle-..lllllle .le
;he de-
savants
le eailsallte les pie.
.11 paît peu :
>iiiil-tlcla iiatun
di\ mile iii>u\ ei
le .p
;m. ..luire ; le p<'l\
,b-lacl.- ab-. .lu a la
laleeii. pie n'était -..ii-. eiiK ene/ies
-Uectuel. destine piiit.'l a aiguiser
e s lie, 1111
tlléi-iVle
1)1
par.v J.-I1I1". .1 la e
lui attribue
eiuse pre-
:e de liiut
ir, a liabitué pcu a pt
aU
prit
ineiit il.in-
,1- Ke\ iih.nd rap'p
Du
el .le l'ilate
e\pel
lie a i
, eiiu au
.- teiiiiugnatie a
^e
.-r.t.-
.lil U
KJlldlt ir
ntiiiiu
inii|>lclllent le
i\ '. „ 1. idée .le -e sacn-
jleliee c-l liée au
un me en
litre e(l
Jl^e-epti
pi.
,, jiliil..-..pll..lUe
.Kiiu- in..i-
,lug,
Karl
.lui
tuklc- et de notre
j ai eu mainte- 1. 'i-
1 i.iile-. U .v.i'\ He^
olU
.•- ouvrages.
ILib. .ration
1 ..eca-iou
ei en lior
eil iit -oii-
IF.NCE, KELL.ION ET Nu(lRAlE
n le- licré-ie--eieiititiiiue.
le- pi
us sangreiiiies
logle,
de
.•rniere: édition
date
1-9
l^->.
traité de phvsi.
il essayait d'expliquer les phénomènes 4e la \ le oiganniue par
leaetioii des lois pliysieo-chiniKijue
l.i seU
peu à peu. pelK
.lu'il lit exéeuter à l.eip/ig. par se- n.u ilMeii^ e
.•Il e-t revenu
mt
de- iniioiubrales re^lierehes
.hénolllèlie-
de la
nie nouvelle édition Ue -cui
t pourquoi il rem'UK.a a publier
tr.llté, trop ineeMUlste.
caehail pas son prolond mépris i
n.ilistes
:hii
.Molesehott el autre-, en tant .|a
truies seieiitiliiiue
par lui c(uiHiie une tli
le daruuii-iue ne lut e. ni-ider
eorie scrieuseï
nit lit deiiunitree : q
.kélisme. ilsullit de dire que
aawig
uourage •■
luvrage cl
.llegil
e et ami
Hi
■1 ï
ibr\ologi.|ne dont noUs a
itre péreédeiit. iiuelciuesapi
reciatio is. -i .lee-ablante- pour
A\aiit participe pêiidaiil plu-icurs innée- .i la \ le .|
de l.udw ig. j'ai
eu
.Il
lui 1111 proloii.
lUveiit
sentiment veligi-u\
-IMtOIlt .[
t .luand. a la l'iDinaskirche, n.
eert- de iiillsl.|ile rcligieus
.1 .ipprciulre .pielle \ l\ c
.dlllt
impression
,i\ait produite -tir son espi
était agenouille sii
l'ie IX donnait, polir l.i dcrni
i.iiiil-l
rc lois
brusiiuciiient cl se mit a crier
S. .11 c.Hiipag
iioii ile V. .\ âge
k
pr. .te-
le tien-
ne récit, eut iiuel.|Ue p'
nieiicant a eiii.>uviur
entourage.
bli
iliceptloll- mate
d(
U.llU
ibh
Mlle
Il lortemellt
raleiilellt
jca-L'ii
de
.n-lalcr
luil lu.inile-tail
IS a-slstl.Uls .lUX eou-
\ussine liis-ic nullement siirp
n-
sci.uir a
e ielldl
..nu'.
.•rrc, au niomeiit ..ii
la beiicdictioii inhi ./
litjusiasme irrcsisjtible, l.udwig -e leva
/'.,/>,
( ni r.ii.
eiir Kr. uiecker. dont
; calmer, -es cris c.ni-
N'oublions pas qUL
:-lait p
.te-tant.
les
.•ptioiis pliilosophi.lues et
rcllulells
.-iitants
les scielKeS plivsupic . >
\ lie qui m.>n- oc
pe ICI. un intérêt
e- de- illustres
.lireiit, au
lut-
un peu iiuun
.Ire
_-llc> ilo bi..loiii^tes
i-tronomcs ni'
ternes se r
jreatcnrs
a.
Si K
s crovance^
Icuères
i.ùncs Juetri
icli^ieiisi
iilications.
1,1 reli,L;i')n est a\anl t. un
àe-* phe-nimienes de la wc
lions déistes, pi
irctell
dait euib
iu passe
bien
1.
luii par
is-er tm
dur^
S. .LIS
tiuns siKcessi
la vanité des el
if. .rts tentés p.nir explu|
de liinivers par une eq
(.st devenue e\ idcllle. I
phvsujues et ehmiuiues.
i;.iiiniis eiininie de
tiens sineéres : je
d..nt la ps\-
;liol(
P
ns relifïieuses. un inté
.umenialiciii publuiU'
d'entre eU\.
de
(
(jimueiK'
jiis p;
réleCtrcj-dynanil.|Ue
lu
anls du \1\ sle».
aeq
uis. a 1 âge
le trei/e
vaste
,11 naissance: ni
sut lai ré un usag
e SI Icc
nnientatel
ait les résultat- dese
lois
eeiri
rtesa 1 aide des
iiii}
ili en cleei
arable a cei
KT I IIOMMI'
■ptMiis des pliNsuiciis et des
ttacheiit le p]
-I iu\ eiil a celle
.-lices aux \\l el wii siecl
ai 1111 eu\ "lit subi
ciUs rinlluelKe de
nues; en elïet. la ps\ cli.d. .gle de
de plusieurs ]
.'est *url>nit -
lar
llde
111 ôii se lait
.Mais
ir.inleuien
t de
• ncei
le- 1
re birniulede l.apKue. qi
illellMUlelies de l'uiliver-
l'inlluence
ries scienliliques
itiou mathématique
ir. ne lui pas
de- traiislorina
lu dernier siècle.
in\ stères
elciinqile
uer t. ni- le-
,a\ anls
.rcateurs
les -ciences
ui sont nommes
ilus li.uit. étaient
1 itnalisles convaincus
et de
m
arrêterai qii aux plus ilhistrt
nte. au point
-et tout pa
l'ai pu me p
seigikenieiits inedi
ne des coiicep
■ticulier. .\ delaul d'une
irer. sur plu-ieiirs
uraiu
.\mp'
ts et authentiques,
le créateur
1 des plus proionds penseurs parmi
.Mathématicien de geiiic
il
•ans laide d'aucun pr.de—eur.
latheliiatiques
dont, plus tard, il
.1 en chimie et en phvsique.
ur extrêmement ing;enieux et
t audacieux-
il
ices destuieesa veriticr la lUs
magnétiques, qi
avait
d al
alcu
Isdel
ipure ana
Ivse. Aussi a-t-il
trn d\ lamiqlle une iell\ rc g
raiuliose. c
nn-
ieviit immior
rtallser deux pli\siciells de
ILS, i:, KFlloloN FT M
génie
la pi
.Maxwell
.■xcellence.
1\ siqlle
latin du M V
1P MF
siècle Ksiiril intuitif
\m\
ichi auhsi bien la chimie .[i
lIloU
blial-
lies recherchi;s
iresque toujours la
■aiule portée i
>nt
.-ntrevovait
létale p-.urla phih
diie d
es science-
lue
la plilh'sol
la uiétaphvsiquf occupèrent, eu e
ISO-
[Tet.
dans sa \ le une p
lace aussi large
a ciite vies travaux
tiqll
11 taisait, au (.
:-i;e de l'ran.
-ment a son c
lurs de phvsi.iue
restera un
phie paralle
I.'. [^hih's.'ph
s.ible Sa classiticaliou svstématiqiie
du savoir humain témoigne en nieiu
lité vraiment prodiij
sauce d'esprit capab
'lui
F,
chel d'ouvré imperi'
le toutes les branche
temp'
de
universa
ses connais
sciences le- puis
tiles rapports et
,isir 1 essi
ilin d'en
,ances et d une puis
= toiulamelltale de-
dcterminer les \ enta
auses ijitimes de leu
r vlévi
• enieiit an
terieur .\iiisi est il arrr
pistesse reniarqi
.,1 \ enta
bU
.h.
de 11
loiiiiiie dan-
l'entends ineu
sinog'
Si .\nipere .i\ ait ve
m \aste j
roi;raiuiiie
de cla
sciences. 1
1 aurait accmpli, en p
itication de tout
l(iil,.soidue. une <
.larable seulement à celles
Ari-tote et
lin ictioii- reli
glellSes d Auiy
.a |euncs-e.
.\urés une courte peri
t le- tourments
lU il \ ecu
;t bien d'.aitre- maiire-
lii doute
de la pi
.r. .\ aiues
.i ses l'remieres
dm- la toi chrétienne, il
KalTermi \
.inpo-a a
viont quelque
- ligue- uioiitri. roii
Dieu.
l-h-
iii- remercie
de lu'avoir
e J-u ine iuuiière en
le tais
le
m- reiner 'i
lUs après tues
égarements, (e seii
p. ur vous et que tous ne
a .ipprc
m re\
■1er avec une
lent a la t^sv
It des phell
lU-.jU
a I acheveuieut
le 1..
père avaient ete très
hé
,d 1 1 1 m e
e 1'
lai
il re\ inl en
le re-le
tiercineiit
a-ioii uiu
itl
élévation
M\
:hete
.-t c
5a vie
belie
■ Mol,
.-laue
ut naître
le m av
ur rappelé
Us voiue/ que |e
moments \ ous-i
lient
4P 1.1. l:
Dicii ^U- mi^crKiir.lc, ilai.mi
\ . .111 m .i\ c/ permis d aiiiic
■ <iivraf<e, |e rcvieniirai ^ur
àj^c mur.
l'artii-iilièreiiiciit iiitcrt-
iiieiiscide l-'araila\ . «nmn
\).\\ \ . l-aia.la\ ctail prul
coïKcpiioii- >lc l'cipril lui
niilablc-iiuiit < flk-1 .le !■
niNsticisme : illes h 'avakin
lUS pliil.js(jpliii|iic-, .pie II
aus-i évita t il .le le- e\p(i
Sa lapilli lie Cl ■iKc\ iiir
une lettre ecrili- au lumi
-urliuiuaiu. à l.i lin .1 iiiu
'lan-> la première pcrici.lt-
reluire eoni|ite des causes
iiiaiurilc- de ma pensée, c
.1 Ut; me 11 1er de- |i)iir en iniir
une diminuticiu de luei
oliligé de retrccii le do m ail
iiioii acti\ ite heaiici aip de
a ma peii-.ee, .|iie je de^-irai
.^lais. iiuand je me mets ai:
en '. cyaiil c.imbieii Iciitei
comme un mur entre moi
je crains .pic ce travail
cxécillcr Ne Viiils nicprel
.lis pa-. .pie ii/"ii 1 .--pril -
'ittli l)l,-lll /..•> /'.'(/. tiolls f>-\
. ,'rp^ fiiiiir lin /r.ii .lil . mil
i.uhll>st'llt . u ( )ll volt X\ e
j Vuir 1.1 i Hjj;i.i[>iiic .i .\iji|'ii
KT 1- HO.M.'.li:
'par ct-s par(de- : v () Sci^neur,
.•/ me réunir d.iii- le ciel .i ce ipie
Mir la terre ' // .\ l.i lin du présent
e-. ciiiiceplidiis reliniciises de son
>antei~.iiil le> c. .nccpli. .ii~ reli
c son illustre m.iitre lliimplire\-
/iKkiuelil religieux: m.ns leurs
naiii et .le la rdiuiou .lilter.iieiit
ira.la\ étaient étrangère-, à tout
pa- iKUi plu-. Ici pr. il. iiidcs racl-
ons reiiconlroiiN chez .\nHKre-.
•cr dans des écrits ipeci.uiv.
l'espril est c. mille ~urtoUt par
leiit on. epui-e par un travail
s^rie de décou\irtL> ellectllee-
.le soij activité, il clicrcliait a --e
pli raVaieiit lorce au rtp..>. " 1. 1
crivaitl-il a une dame |e la sens
: mais, en même teiups. | cp.r..iive
lorco je --uii c mtiniiellemeiil
le lie nle~ 1 echcrclies et dt réduire
bcllesjdécouvertc- -. .Ht présente-.
..et .plie je délire encore réaliser.
travai'l, je perd- toute espérance
leiit m.Jii tra\ ail a\ ance. le sciY-
et les;tra\au\ >pie i ai eu vue, et
le soiu le dernier .pie le |nii--sc
e/ point sur ine~ jiari.les; je ne
'.// JiVi-IIH llllf':llt^.ll!t : . ■■ ii'llt
. h(i-pt'vsiiiii. >. I . h. m! I .ini< ,i /r .
iiinii. .1 ^lutiiiit '..} m ■ii:,'Ui-. qui
: quel e iuste-sc ce plu^icieii de
il.ii.- !.-■ .-u. .'iiJ v..liini.:
1 ■" -■
ll.:-lic
l',l...l.
SCIENCI;, RKIU.ION ET .VORAl.E
r ;
j;enie était parvenu a Jiljcrciu wr
fswhl./ln-- Jli (.'//s, <n >rf>.ir.i>ll ."c
i'.iiii,-
Niiu m. lins in-tnuiive-. sont ses c
S. m père, un pï^Vl:-e-l<lr^crùn de Ion
sa lamille h une -.ecte religieuse ai'p
et basée sur la t'r.iternite .le ses me
partuiilier.le.lésus-C.hrist l'arveiiuai
et .listiiictioiis scieiitiii.i.|iies. laraday
iiM^rt a si.n église; il allait souvent,
dans s.i coinuiune.
\ .II.;! en .picls Ili me-, .iaris la Ictt
rillustri- plusicieii l..riiiu!e ses on
" |)ans m i religuiu, il n existe pas de
une- petite secte de chrétiens, a pein
celle .les. ^alldemalllel|s. N..lre cS)
lesils (.hrist lilcll .[lie le- elloscS de
lamais entrer en L.'iitlu avec les q
.ipparlieiliieiit a notre e\i-tence lutu
fiiiiue l.iiit Ce .pii c.incerne le (lin-
ul.iire. |e coiisi.kre .pi il est Muitile
choses naturelles a celle- .le la religii
l.a iner\elllease .leCi'UVerle de R
epo.ple .laii- I lilsl.iire deS-cleUCeS [
1 exemple le pliis e Jalaut dune intui
médecin au service des c. dénies liolla
a .la\a il lail une saignée a un marii
saiig.jUl c.iiile.ies\eiiiesle irappcsi \
iiist.iiit il cr.iinl .r.iM'ir ..irccrt une a
il .ipiuMi.t ile'si.n ent..iirage que.
ci.uleur du saiiu veineux ne .lllk-r
artériel. .M.ns lui apparut I iiituiti.m
UKIie .iepeiul de l.i diniMlUtloU des
,(',■ f/ul'<,'/-liu .1.1.' 1
-\ . h..ui.tplnviue
■/jc Vi.l VII. 1
Itl
esprit ù:-s /"lUlUlHS
prit ./.-- ' - • - /■
in\ictions religieuses,
dres. appartenait avec
:lée les Sandemaniens
libres et -ur un culte
X plus hau'es t.inctions
resta tidele lUsqu'i sa
le diiuanvlie. '..recliei
|Ue ie i len- .le citer,
■iitiiin- religieuses .
science r ippariieiis [\
nulle et lu.cpri-ée.
ir rep' ise sur la lo'. eii
a nature ne l'uissein
hi.ses supérieures .pu
re. mai-, au ...nlr.rire.
t ne peut servir .pi'a sa
le relier le- études de-
n ' //
•bert M.n er. .[U! a lait
Insiques. e-t peut-être
tion subite iout jeune
ud.iises, des s, ,n arrivée
; la \. luleur r. aue du
ivemeiit .juaii l'rcuiier
•tere. A cetlt.- occasion.
s.ius les tropi lUcs. la
; pas de ..lie .lu sang
...11. laine .pie ^e pheuo-
perles de .al.irie- dans
.ic .M i -. ■ ' ; . -
141
Il> |).i\~ cliaiKl- ; tl. L')imi l- inui^ -.i
,ljti..ii
ijlcur .1111111,1
le. il ni
iii~
ti.iii.
r- ifc.pi.ll
'.uilic- [i.ir
1, le
It étrdciill
tiMVLiil; prc
.h.ilcur. il iiitit-xit
.llUi- li.-~ Il 11 cl
ir.u .iil iiicL,
k
"• Je lllc -ni- -c-lltl llispil'i
tiiiniiic ).iiii.us m .naiit. m apri-rt. f
,|llelilllc~ cl.iir- de peliset
1.1 r.Kle de >urah.i\il lurci
Ultl
( .cttc
.iKiaiiietc
?mnalcc plus haut ^
I ai
irait le I
I),-,
ilu-
la 1.
Laracteri>tkii
nuue '. u
K..hen Maver.
niathcinal
lutte
unie
■ et en luec; Il
jou\ ertc ei .1 eii .Icmo
/Iciiars
ar. .11-,
-tlMiliielct IllcUle
dm
la iib.iic. — in.utvie in
e.iiieit..vensstiipKic- .|ui.
Ieiir~ ait accompli un a.
c.iiiiine aiieint ue la Iwli
J'aliène-. 'Ul des médie
liuuimt
l.)U
te- U
de t;cnie ne pe
5 t.>rturc>de leur
la l'.l -cule en I oiimui
h-mI.
-eiilinient^ rell
niraiie et. iiiali;re na >ajite dcl|icat
a touie- -e- tribula
ik
De
le- i.jilé-..r.\ .i;:atiMn
,del
KF I Hli\|MF
lepiiis l.avijisier,
•,t la
luree pri
lut inlinediateiuent que I "Xy
da-
-idérableiiicnt réduite
duit
cyalenieiit
appitrls oin>tant~
dan
lli.tre
onie-rit|--
nique.
uwd.ltliill et ecll\ .pu
ri\-.iit il a -■n ami < irie-in^er,
ela ne m est .irrivé.
t traverse m.
eiiint
1 -ui\i|s d'atitres et ne m init plus
de rinkpiratnni e-t bien celle >|ue
.litre ni. ï 1(1 ci.mniec.n-titu.int le
; de toute découverle geni.lle
tte et de mart\ re
iiuiipletcr ses
ue, afin d'ache\ e
.JUI lut celle Je
iniiai->aiicc- eu
r sa gr
aiidii:
itrer t\ jur-lesse. luite au^si p.nir
de 1 riiuilé contre tnu- ceux .pu. a
aine, çlierchaieiita lui en der.dier
lligé par s..n eut. «uraj^c et par -es
le pouvant pas a. imeltre t|u un des
au-.-i ulorieux, renlcrmèreut.
es iiran.leurs.
dai
is une mai
m
i>tres
it être
u-t.
ians cette vie de
bfirne-,
convaincu- .p
1
uun t.iu. le sfuimirciit a
ilïrance
de -nii iii-piratii)n et ses
lutinren
t Son inébranlable
it de
lions- pour \ oir eiilln rt
lecouvertes
ute- p.ir les insaiiites nietapli\ -i.jues .le
phil
opi
lie n.iiiirellc de Schellmg
M.lt.Sc E, hl.lll.10>. KT MliKM.l,
et d'Okeii, qui clierchaicut a cxpliq
nouieiie-. de la nature par des analogie
" rarchitecturc e-i de
naturaliste- alleiuands
phlIoMiphle et -e ine
.[Ue cou^e
talent détourné-. entlereluclU .!C la
inctapuvsi.iue. même
religieuse ; c
liaient de toute
h
e-l Cette meliauce, plus
p.ir le>pro^;res gigantes.iuesv
.'urimposait une re-er\e
absoU
dan
nir-
.n.'eptloll- rellgleU
eu ai rt eue
ircu\es p
.lendaut mou eiuuiete a ce ■.
• ICI Ce ^Ue m
it le ne\ eu de lu'tus
lient proie— .e
iir .le Stra
iboiui
.M. K
■arler de l.i religion ; par contre,
iuc Icsteivdancc- ma
teriallntesde-.aun ;es 1
.huer
Tt .Moleschott lui inspir.'(ient le (
degout Rétabli d une grave mal
disait
lails ses 1
ettres eju'il était prépaie a la niort
lienoineue liie\ itablc Je la nature.
iiar lui Comme n
n editice admirabltjineiit
44-
it 1 unité des plie
;lee
■■e.iucoup de
la
Jesscielicesp
H.sulUes. .p.!
les iii.initcsiatu.n-
rilli Je noiubrcu-es
U|et
lapi
1 de
l.Iebu.-Iemi-
l.u-biu évitait
it iiaulemenl
. V,
il.
il IM'S-o
lUl est un
illelle
était Ceins
deree
dans la reliuiou protestante, i
1 était d,
I.
ledol- I
'e'I
lies f>er/clius (ne e
est, après l.a\ oisier
le pl
US uraui
J u
;rne et le pi
;mier analvsle de so
témoignage .jUe.
dati;
linalite, a I
neCeSSl
te J
so^
7V.(/7.- ./
admettre uiu
li.nicr le pa-sage
le la matière inorgaiiKju
" I ne puissance incompieheii
inanimée, a iutroduii ce principe
•ibl
masse uuirgaui.pie
■ela
unuie un e
llet .lu has.ird. mais
\.iriele. a\e^ une -.igesse e
dune des eltelsdelermines i
.lassai; ers.
\\n tirent leur origine
les.|Ue
des au
is 1 oriianisuie detrui
t de
.lit I
lui tient a
la aal
rJ..n
I
le Kle
risle.
1 177,;,, m..ri en i>^s,
';/
de la chiiuu
:1c
l >i-
('.liiini-. il reii
J a V.i
uiscienle pour
'.a ■> le ;
.itranu
rc a la nauire
principe de
accompli, non p
nierx ei
dan-
oint
llellse
\lreme, dans la \ lie cliirc Je pr.
et une série minlerr. dupue J etri
uns de-
auti-
uns sert a l.i
il chez
Éiiservatioii
lire orgairup
,,,,
llli but s.luc cl >e liibtlllLiU.
>lciiiciil -iipciiLur ; cl 1 h'
>|U il l.iil. P'iur .lUciiiJic
ir.iir.c J,in> i.i ^■Mm|)i,>iti.
tniuiau a reu.uvicT sa pu
CKiiiiiif une ini.iiicvle cet 1
" N.,i!..b5iaiil. une plnl
d.iiliu r uii hic . cl Je j)r<)l
leltel lin lKi-ai\l ei .|iic c
t,iiiic= |.)riiic~. vie picleic
inaintciiir. Je subsister cl.
I.iswphic n a p.^inl cdiupri:
liasarù Jaiis ia hatuic luaii
.|uemeiit impassible I m
sciiit pr^Kiuils par >les lorc
Idir hiiinaiii iciKiciil a ci
puur aneipdrc auisi un et
la sUlle vit .piui .|Ue ce si
luisarà . il sera t..u|..urb |
rcr uhc sagesse bien supi
■.pie Je vciuloir. par orgiu
.ié'JcilUcli'Mis claïKiieaul
connaissance Je choses q
jamais la portée vie notre
\'o;ia une noble proie;
llUs. Jans ses écrits scK
Je iioiis parier Je sa loi
leliioigna^e Je son ami le
AnJers AuiiUsl Ket/Jns.
proloH.ie De plus, il a la
,pi un de ses pairs en cl
inoinent a re\oir en \
< jUslave Kel/lUs. le llls
Je renoin. a bien voulu
en coininuiiicalioii ; je m
hi I. iioMMi;
Comme proJuctioii Jiin eiilcii-
mine, en compaianl les calculs
un certain bul. a\ec ceux qil il
11 Je 11 ii.itinc ori;aiiiijUe. a etc
îsance. Je penser et Je calculer
ire a J|ui il JiJt son e\isteuce.
,-.. pille a Courte vue a pensé se
nJeurjen pretenJant «lUe tout est
est le IhasarJ ijui a assure a cer
ncc a ;J autres, la capacité Je se
le se reproJuire .\|ais cette plii-
que ce t|U elle Jécore Ju lloin Je
mee, dsl >lUeli|Ue cliose Je pll\ si-
s les (fctïets proceJent Je causes,
s; ce~i lorcés .connue notre \ou^
trer ejiacli\ite et a se satislaire.
Il Je rppos assure qui ne peut être
t qui ilcpoiiJe. a noire Concept Je
llls liiiiiorable pour noi:> .i aJmi
rieure; à toutes nos conception^,
il Je pjhilos(jplies et par nnc série
;s. iiOljls elc\er à une p.i'eteilJiu
11 \ laiseir.blableiiK lit Jé[iassenl a
enteliJelllent //
.siou .i|e loi philosophique, I4er/e-
nliliqiles. n'.i pas eu 1 occasion
reli.uieuse; mais on sait, par le
eeleblV ail.ilollliste cl etiillofiraphe
qu'il âvaii une religion haute et
-se Jei lettres cl Jes écrits i llli llle-
mie. •ioJerbaum. s occupe en ce
le J'Uiie pulilicalion prochaine
AuiiUht. et lui même histologisle
m'en Joiir.er quelques Iraguieiits
;lais empressé Je les publier Jails 1,1
bi:lK\(.E, kKlloloN KT .\OK.\l.K
prélace à ma monographie />;c (/c/
ri\ilir .S', li:it{"rir.iih- ./c'/- Crillrjliicr
lin. Iiilius Spiiigcri, oii i ai e.\posé m
loi.
r "Non- Je\ons a Dieu. ecn\ait
prolcpiiJe ri. i oiinaissaiice et Jcs c.mlii
les grades qu il iioii- a accordées. .Nlo
Jois beauc .up : Je cranJs succts Jaus
ni iiuiuK lilJes. -Via \ le a coiuuiencc J^
moJestcs ; mai~ .nrive au terme il a
alorsi. Dicii en soit beni. je me sui-
Ju moiiJc, ..ar i a:, siillisammeiit pou
que cllo^c encore en |)lus pour Vellii
2 lii iS|L. ,1 l'occasion Je la
" UelUerc!oh~ Dicll ,ie l'iUt lli>lre .
i[U elle il.. Il- a elc conser\ee Ne 11
Jes^einsJc DicU ■^ouiuettous noushu
et laissons c luler nos larmes. J.iiis 1
saut Je kC que 1.1 s.lillte. qui e-t mail
nile. a ele pour noU~, HUc ne s est
lolU\ie croix qu elle .1 porlee JaUs
conliancc cii DicU. en Dieu qui voit
conn.nl ic iMcii .pie nous a\ons \ oulii
rite Je iio^ mur- -aiis-eii avoir toi
a été une leiiune cxtracu'dinaireineiit
milite propr^ .- et ensuite comme
Couvme epoUse, bile eu rei,'olt maint
encore qiiii puisse iioiis sembler, à n
borne, que i.ctu recom]iense est'v
-ouJainciiic-nt »
; " Nous de\ons en ce uiouJe elre
le Seigneur uous accorJe el nous Jn
.iS,i . „
( ■( Hier le Seigneur ma s.iuvé
.l'eUiis occupe a une ex|iérieuce J'un
lt7
.■<.sJriisi-il .(/,^ rctrn'.it.i-
■:ii\vsl^-im \ ii>io. hcr-
propre profession de
Her/clills en i"^î7, une
Ues Je louanges pour
en particulier le le:
n.i vie. et sans troubles
Us Je- conJilioiis iiiei;
V .lit cinquànte-six ans
senti le plus heureux
■ mes besoins, cl quei
en ,iiJe aux .iulrc~ „
111. .ri Je sa -.1 iir
.elir pour le- .Ulllee-
.us pLiigiious pas Jcs
ublement a sa viiloiite.
e souvenir recoiina.s
tenant Jaus s. .n éter-
laïuais piainte Je li
un esprit de joVeUse
nolve cuur el qui ~eui
re.iliser dans la siiice
imirs l.i lorce, ,. hlic
douée, daussa per-. .u-
luiie, Comme niere.
;naul l.i recompense,
lire jugement étroit et
iuue Inqi \ile el troi'
contents du son que
niler tiJeleuielit ,i lui
J un granJ malheur,
ueiire tout à iait iiou-
IhNl K. KF.l.li.l.'N ET \'
M. |)ulunul. lu.iiii- lia litru. lia rendu
cil rtjiiiui anl aux ^acrcniciit^ et uii.i prière-.
mon le I I
^: - 4.t4
lominaiic a la reHi;ii.n,
iiiivenihre iS;
1.
:K-U
lab(
■ rateiir
Liel
te
IIIK iLll. Juiiil>te fl lih\-lin(.;;i>te
par ik- iii .iiibreii--e-> dcc^
un lie-. 1'
nui:inau\ ton
iU\ erte^ e! m
-la le
M>n eulanee, i|Uai
.1.
:ir^ ae i;ii
Mire,, il m
lUieue nio
lu b.ir.i >iu Danube, la eunteuiplali
l'ira .ie- eiipxaneei religieuses ijl
!■ 1 Jl
inuue \ le de savan
t. 11
ilan> i.i Vie luture ne nian,|uait [>as i
Kiéallitt
n iui;eif'i>ar
)H eliiue tri
!l iarda intacte» pendant
é ait e.itliulique -. sa loi
lie eertaiiie exaltation
■> éloviueiit. prononce
en a\ril u)'"). l I iiiaimuratioii dooii
iar
■n.i;.
111" \ un ( «rubcr
t
ne
uitiniu
tion- rclliileil-e- de
les protoaJes
-tlellkoler
I.
excellent [ilu biologiste et tiu psx
nieci imniuiihiuc les
.^ophi-iues il
e relmieU
lud
louiilles amie
illuniiee dan-
:eleb
de h
e luillsell : " .le [
linsell.
a\ aut
.- Sa r
ehtihjii cousislait en une ci
sur
immortalité
.1 haulL
Je làl
sa U esse
dl
me. il répondait qu il arri\e tant
Je ch.i-e- extr.iordin,iire~ quelle .ll~sl était [lo-sible. 11
s'abstenait complètement de con- deratioiis philosophi-
ilUes ; lieg-cl avait éteint en lui. Colline en- bien d'.iutres
naturalistes, toute esfieCe
Je
;OUt
ec son e~prit lari;e et son ca-ur si
certitude
d un
connexite entre la nature e
n.ilile. sans cliercner a se rendre compte
iblc
k
e Ile citer.ii l'iiis qu'un seul iihvsi.ieil. 1 illustre He
lleil/. mort leiiue. après aïoir acioinpli la plus grand
u-u\ le >|Ui ail m.u \|Ue la nu du -iecle dernier dans le» science
de l'Ki
ii. l'cltellkoter, .p.ll.
:l enrichi ces sciences
entions, tut-eii outre
dénie Dé-
lita
naît une vie solitaire
.1 nature lui ins
nioiuinieu
ta M
tiiii
lettre de \oii (iruber
inébranlables coiivic-
IkJc
<in rexkuU
tails suu aiits sjurlcs conceptions phi-
uis Vous parler de 1 aiti-
requenlé l'endant Je
uitiai
;! nature
liite
pour la pliilosc^phie
mole, il \ i\ ait Jaiis la
;t la 1
lerson-
Je rinconnais
4=..
DlEl
ph>>ique>. en démontrant
déductiiin^ m.ithématiqiie
trd-niagnétiqne. et en dcc
i.nt permis détahlir la t
iiuestiiin iiui n<>us nccup
écrite, Mir ma demande, i
lient ph3>iidogi>tc 1-. \'\\
'f... 11 était davi> qu'il
riinpci>!-ible pour explic
rechercllc^ et de ^e hurn
bileuce ce qui nou^ ebt i
une perte de temp> dedi^|
pa? abiiuiir à une >Mlutiij
miiquait de certain? phil
qu'il a ete très mécdiiter
citer. daii>unde >>-> muvi
mon man, en le- interpr
pr.qircb théorie? Au ci
entre? le? chose? ?en?ib
citait le? parole? cclubrc?
'<cho?e?entre le ciel et 1
«■rêver. //Sur la tombe de
en ?a\ ait a prc?ent be.iu
de?a mort, il lai??a au.\ •
" resterai toujour? a\ec
Nuiis nou? ?oniines
?pirituclle? et religieuse
science était iraiisceiids
ticieli qui-rellechit reci
comme rinslrumeiit de
les coiuiction? malerial
de pen?ee. .\u??i. bea
n hé?itaient-il? pa? a y
h.i?ardi;.iuch\ . Heniiite
iiorains.
I
KT l' H O.MME
ixpéri mentalement la justesse des
de .\lax\\ell sur la thécu-ie élec-
luvrant le? ondes hert/iennes, ([ui
ïlégraphie sans til Voici, sur la
quelques extraits d une lettre,
ar .\lme Hertz, sa veuve, a l'émi-
iiger. ■
1 naturaliste a le devoir de lairc
uer ce qui est accessible à ?cs
itr, en attendant, à respecter en
laccessible 11 considérait comme
;nter desquestions qui ne peuvent
1 exacte et. ?ous ce rapport, lise
,s(q-ihe? .le me ?ouviens très bien
l quand Haeckel s est permis de
age<«dfc polémique, les travaux de
iiaiit dans un sen? ia\orable à se?
r? d'un entretien ?ur les relaliiai?
L-? et les choses transcendantes, il
de Shakespeare : <' 11 existe plus de
f terre que notre savoir ne peut eu
son jeune Irere, il,a du que celui-ci
■.>iip plus que nuu?. V.n prévision
len? et? paroles ; '< Dorena\ant, je
VoU? //
ibstenii de parler de? conviction?
s de? grand? maihematicien?. Leur
ntale par essence, tout malhéma-
i^
nnait logiquement re?prit créateur
,on travail Chez un inallieiuaticien.
?te? sil'iit un certificat de 1 absence
licoup de grand? mathématicien?
,ies?er leur? croyance? i.itoiis au
b.seph bel iraïul parmi lescontem-
SCIENCE, REIUUON ET Mi.)R.\LE • »-l
Les grands astronomes du siècle passé, Heischel', .\rago.
Le Verrier étaient des crcivants. Celui ci, le plu? illustre.
dont nous avons précédemment raconté la géniale intuition
(jui amena la découverte de la planète Neptune .ut bout ./c
SA l^ltimc, était un cathidiquc lervent. Comme s'il pressen-
tait sa tin prochaine, il travailla avec une énergie extrême
pour achever sa table monumentale dci mouvements plané-
taires La veille de sa mort, il corrigeait encore les
eprcuvesde la dernière teuille.".V/(«c.7;«/7/i.^^c'c/(w iiium,
Ihuninc *. furent ses dernières parulis après a\oir écrit la
dernière ligne.
Ses plus illustres collègue? de 1 AcaUéniie des sciences de
Paris, qui, depuis le commencement du xi\ siècle, était le
phare lumineux guidant le mouveiaieul scieutitique du
monde entier, étaient presque tousi spiritùaiistes ei
grande majorité, religieux. Rappelon^ seulement 1 H
ma». Llie de Meaumont, le baron Thénard, Milue-Hdw ards.
de Quatrelages Tout réee.imivc4*<. à pritipo? du centième .uini-
versaire de la naissance de liUustrti Regiiault. la Rrcuc
gcHciwU- des Scu'iucs iiyio. n ii' ai publie une très belle
lettre que .1 -IV DiT^ias. en ?a qualité Je secrétaire perpétuel,
adressa au nom de l'Académie des Scjences h S,iinte-l'.iaire-
Deville en if>7i. à (ienè\c ou lle^nault taiiss.iU sa \ ic
accablée des tragique? catastrophes de l'année lernble. Nou?
relevons de cette lettre les cousolali jns religieuses que de
la part de ses.coUegiic? il lui prodigui. " M Rcgiuiull a sulïi
de grande? épreuves; la l'rovidenci; ne lui eu a ep..rgn*
aucune; espérons que nos\.i-ux ser>|nl accoiupiiset C|u elle
le rendra bientôt a nos prières. La l'r.iiicc a b
gloire; l'Académie ne peut se passe
en
»U-
nesse aspire a recueillir
eg.
le et de
oMiseils
n grand sens ; ton? m
1, ?u J..1U. lltl-^iicl .1 l.i'.".- J-- .lUVlL-
uc> rem.ii.iu.iM^> V-^' lcl-;v..n..ii .t Lof:
ielltllcu>es.
11 Je sa
- de ?on geaie ; la ]cu-
.le Son expérience sans
u? louruo,!- nos espe-
.n-y.
cr- l'.clui 'inl llclll
4^- ■
llilcf "
\ Cl- .ciu- c-p.Hiiu-, iiiK- ^
M^cmcnl^pln^u.lli^tc^cl rc
, ... ,, ,, ,ic -e^ mcUl
(.■IIIIUMIC u.i uc
Hcir.ar.i caiMctcri^an l.i \a
., I.luirlo K'<bin ne voit
nui-mjlciiuiil. .\>l ^^lii" ■
jn-cpai-an..ii> anal. uni. 1UL■^
le c..ii?a.rcraiiiuci.nic5
,i-héMtapa=apr..chuu = r.a
U-c^ élevées ae Dieu et de
,,rdre. ^a^teur ^eu^^lt à
plUiai-aub problème, de 1
-poniaiiee. et eela aaii>
(,u il exécutait ,es vaste,
talions iju einbia«ant pa
ce-nvait. en 1^,7 ; " !.c
deta.he .ie larhie et .lUl
ré^, par le, loi, 4^" .^"'
regard ùe llioinnic let
variété. aiverMte.inuUipl
,oit illuinine par la ,eien
rhomiue ae Dieu. — êl
toute, pari, "
,l.e ai,e.mr, ae reCepl
leur tal,ait leloije de Lit
plu, Inllgileniellt ,e, la
,'étonnaU que le po,i
luuUe, aeterininee, et
,cra il pa, pa, u.uiour,
aeiuander ". .ju v a l il a
,oit dan, le leUip,. s"H
■ 1 |'u.)\lME
,a ,e~ uiain,le, plu, hautes ae.
,.. plu, bnllaniesaclAeaaemie
,enl.ouelïet.pre,,iuelou = exclu-
,i.icu\ On inoiiir.ùl eoinmeunc
,,'e, .[Ui laisaii proie„io]i. a a-
„te (.harlc, Robin, auiii Claude
cur ,e,lenliruiue en ee, terme, ;
,ac dim ^^eul .imI loiKtionnanl
,ce lequel il ae„ine les belle,
,111 il oroil voir avcL l'autre, . /.
igiics à riUiistr'"-,''''''^"'-'''"- ''■''•
plusieijirs reprises, , es e■^mHepUous
laixlifii-n Idumiste ae premier
e,.)uare détillitiVcinelil l'un ae,
ibiol. Lie, celui ae la génération
uiseiiL negalil (,'e,t au moment
., iceoua, lra\aux ,ur le, termen-.
la pen,ee l'orare de la nature il
mouvement ae la pomme qni ,e
■lombfc a la surface ae la terre e,l
ivernelu les mondes Le premier
:. Mir l'uniNer, n'v aecouvre que
ciledds phénomène, Queeeregard
ce. -Var la ,e-ie.Ke qui rapproche
la,impli.ne et l'unite brillent de
0,1 à |'.\cademie lransai,e,ou l'as-
ré. lui a..iina rocca,ion d'e.sposer
• e, ,ur Di'^n et sur la religion il
,vi,u.u enlermat Icprit aan, ae,
lu, dJlena.i ae les iranchir "Ne
Pui^lJ, ae,tuiéesdel'h..mme de ,e
1 delà de ce monde? l'eut il, arrêter
Jiansl'H^ace? ..'La notion de linti.il
SCIKNCE, REllôlûS ET MO^-ilt
le
dans le monde, j'en voi, partout lin
L idée de Dieu est une forme ae l'iJée
le mystère de l'intini pe,era ,yr la p
temples seront élevé, au culte de 1 i:
,'appellent Brahma, .Mlah. léhova ou
de ces temple, \ous verrez des homm
ternes, abîmés dans la pensée de 1 m
qui porte en s>.i un Oieu, un iJeal ;
obéit, idéal de l'art, laéal ae la ,ciem
idéal des vertu, de l évangile'. /» l'asteui
bienheureux, tenant dans sa main un >
Nous arrèioii, la l'invocation des
sciences modernes Le, conception, r
encore en vie ne peuvent' être un ob
contre, la tentation ,erait grande de
• tioii, priifondemeiit religieuses des
wiir siècle, comme llaller. huler. Lm
ae jii„ieu, et tant d autre. Mai, l'énui
et les citation, précédente, ,u!ti,ent \
lamai, existe la moindre incompalibilit
reliuion. ( ^e, deux plu, subliiue, mani
gence vivaient et \ivenl encore en \\i
plu,, elles re,taient inséparable, dan,
créateurs de la science, qui furent en
fonds penseur, 11 en fut de même v
représentants de la philosophie anciei
Selll-S. les grand, ,Cola,liqUe- et le,)
Wir ,iecle,. qui el.iieut pleinement a
de leur teiup, L,i ,aeiicc conduit
Hieii. disait Ihoiiia, dWquiii. j'arcc i
de l>ieu .
Le, lois de, moir. emi,ms pij^iri^
d'oiine la première impulsion à la r
V.i!ii;iy K.,a,.l : 1:- é.iil . pp =■•" et i^viNi
4-'
vitable exprc-ion.
c 1 inhui Tant que
;nsee humaine, des
fini, que 'le, dieux
lesus l:t sur kl dalle
:, ageiioUiUé,. pros-
ni.,. Heureux celui
beauté, et viui lui
'e, idéal de la patrie.
est mort en chrétien
rucitix
irana, créateurs, des
ligieu,e3 de- -avant-
Jet de-discu,siori l'ar
rappeler le, convie- .
illustres savants, du
lé. l'abbe Spalan/ani.
ératioii deia donnée
our proiu er qu \i n'a
é entre la scieiue et la
festation, de 1 inteUi-_^
rmouie parlaite : .bien
l'esprit diî, vérit.ible,
même teiup., de pro-
be/ les plu- illu,tres
me et de leur, succe,-'
hllo,ophe, de, xvi et
u cour.mt des sciences
à la couna;„-ince de
lie toute -creiuc vient
re,. ce, lois qui ont
naissance scieutuique
I'.,r.... Hui.^tl.
po
inwJcriie. smiU sorties de l
c.ju\eiii polonais les pre
hercdiiaires lurent étaWies
périen.es sur Ihvbndation,
Augu^tin en M.jravie Daii^
p.irtée de ces lois est indiqù
tral problcin ol bmlci^iV //
leminent biologiste h < • *
1. harmonie entre les >c\t
ments de la religion ne re
leur.mgine on ^ur la 5épar
La religi'-n; selon cértai
modernes .l'eueibach
n'aurait puur origine que
^le sav.iir humain, pur prod
il> disent a turt, de la ra
table urigine de la =cien^c
dans l'esprit humain: cc\
eveil de l'esp.-ir de lea
riquc. .|ile pour les plus
-rands ereateiirs de la sc
des prenller^ inventeurs,
dizaines de milliers d'ann
de' lattractiMii par Nc\
animale par l.avoi-ier
Robert Ma\er
l'iu-haiit. en expu>anl
tillque. nnu>en av(jn^an
ceseiement>^..ntlesinei
divinalion du prophète,
ou pour les prévisions
et 1 1
Toutes ces intuition>.
spirituel ont la même or
.\lai>. pour reconnaître
DIEt: ETl 1 HOMME ^
^prit de Copernic, moine d'un
litres lois Je la traiismission
;n i8(is, après huit années d ex-
par Georges Mendel. moine
le> chapitres iv et v, la grande
e -' Heredity is to day the ceii-
di^ait récemment avec raison
.inklm.
nces naturelles et'lesenseigne-
,se nullement sur la diversité de
-iti.jn deleursdomaines d'action.
hilosophe> et théologiens
\i
n
ileiermacher et bien d autres,,
e sentiment, en oppositi..n avec
imt de Vintelligence, ou, comme
son humaine Im réalité, la véri-
cmmedela religion se trouse
l est aussi vrai pour le premier
l-dela. chez l'homme prehisto-
liiUte>, conceptions religieuses des
nce. aussi bien pour l'intuition
l'art de produire leteu, il v a des
es. que pour ladecouvertedeslois
ion, des s..urces de la chaleur
l de l'équivalence des lorces par
le mécanisme de l'inlullion scien
,h se le> éléments caractéristiques :
,e> pour la révélation religieuse, la
inspiration du poète et de l'artiste,
de 1 homme d'I'.tat^ch. lU, %S ')■ '"
inspirations ou révélations d'ordre
gine divine que l'esprit lui-même.
,, véritable valeur d une intuition.
Si;lENi.E. RELIGION ET MORIM.E
4^ =
Je ce genre et pour savoir ,. elle rep«se sur la vente, le
savant doit recourir à l'expérimentation sensorielle, ou,
taute de pouvoir le faire, aux déductions logiques ou mathé-
matiques ,
Mais quelle preuve de son origine peut ollrir la révéla-
tion relig.euse'r C'est la une question capitale. "Le poutt
important est d'être assure que la reNilation e,t divine et
qne nous en comprenons le sens vrai'", autrement on s ex-
pose au lanal.sme et auxerreur, d une l'aUsse mterpretatu.n ..
déclarait Leibniz, dans ses célèbres dialogues avec Locke
Pour la démonstration de l'existen.e d'un Créateur, la
seule connaissance spirituelle peutsullre L'esprit créateur
manilesle dans l harmonie parfaite e[ure le^ lois obieiuie.
par
innaissance
nrituelle et les' loi- immuables qui
eel ; cette harmonie
ivertes de- -cieiices
Lrealeur, d'un esprit
régissent les plielloniénes du monde
démontre et toutes les grandes décoli
naturelles coiilirnient l'exi-lence d un
suprême, qui a .rée l'uni, ers et qu, velUe sur le m.untien
continuel de ses lois voir .h m. ^ il-
1 a xaieur des preuves de 1 evisleuce ..le DleU. puisées Uaus
notre connaissance spirituelle et doutée, par les grands
philosophes grecs, par- les scolastulue,. tels que .tint
riu.masd Aquia. et par leurs successe ars modernes, comme
Descartes et Leibniz, ne tait que's aproilre avec chaque
progrès des sciejices exactes
Saint 1 hom.is d'Aquin place la huai
.lualrieine rang parmi les preuves de 1 .
n;uural,M,c en découvrant les lois immuables qui iom.uent
ces phénomènes est lorcement amej.e a U mettre au pre-
mier ( esi a Leibniz, prolond thé.iloj^ien. philosophe et
sivanl de uenle que revient 1 honn^ur d'avoir iiiaïque a !..
rnutljté sa véritable place dans trois domaines de cunnai,-
,uice; humaines : " Lu bannissant d, la physique les caus..
le des phénomènes au
'existence de Dieu. Le
I, V..n It: V.)luiu4 V .ic- (h:
/..
Iinale?
jiitreou •in M.
la ,iii ni' i\ cil il
belles vcri
itc> lUiOn n a tf'
11
6cni
HIC
lC n est i|nc
mis en a\an
t une mtc
huci
, enipl'iNcr
en sert
'P
lien Je dire 1)1
on SMUticnt .pi "Il ne
leurs, u
insiste sur
linaltle
*,)Ue
es cause:
seulement pour
admirer
a sage
_i<(ur
P
ditatiuiu
,nnaitre les cln>ses
n.ius iwiirnisscnl
~agc des liiiaics
n
ration
non
juverte
Anleiir snprene.
s dans son ouvrige
Mais en est t il de Ilicine
;n ticlleral
ui no is in
la relliii.m elirciieiiiic
jiar Schleideii
:alis
la re
era l-
heion a la.iucl
se T'
vraiment a
;11<
llosojiliiqucs des |)
jdernes,'iiue n.ms ■
les cas. que
jusqu'à [irese
tenant aux
.ratnt
di.
nt ('es sava
~ COllll
lions près. Us ne e
adniHati..n pour
raliiiiale
-Clirisl.
tiliqnc
hésitaient a pri
iiuictions r
.lluiellses
injure gra\ c le sinij
la reiigi
lirctieiinc
Dloudct C-.
r I noMMi;
le de\ mer .pielqucs
.ces q
ne urace an.x l'us
lUl
t de
iliscience
tinalcs,
.in'on a
)ii\ crame.
id au lieu
• pour expliquer I
scUX ont été crées
la maliere,
pour voir,
.larce qu'on a des \ eux
ntee pu
reineiit plivsique
de 1.1
lina
les servent en pi
isioue IK'U
de
Uieii, mais ciiC'
ue
:t p
,ur les manier
N,
con
sidératioiis
un huit \iur
ulemcail pi m
r aumnciitcr
i'admi-
muis encure ji
air l.iirc
.s revclatiiins>
ileresse particu
la religion
licremenl ici.
? La crainte exprimée plus
haut
i-cUe.iet la science expe
nmeiitale
.lelrulre
- la partie dugmatique
.ioit 1
existence
liions
[lustres représentants des sciences
Us d eKposer. munirent.
laiis lous
le de Schlcideli ne s*^
elaltlU rellgleu
ssinnschrétienn
1 pas je procla
X. tout en appar
:s. .\
mer
. u .1 excep-
haulclllellt leur
et p
jur la mission
dlVUK
u :s sav.m
ts qui. par scrupule
fesser 1 oUVerlemellt leurs
niliines
auraifcnl considère comme une
q^onliuilspons aient être hoslile
,u oppc
à rellselgllenielit re
li-
yuvr.i^t
au Je
; E. KHLll.lOS hT MoK.M.K
les écoles
Les savante y
.mbaltent la religion sont, comme
d, Hae.kel et les l'aul
Hert. des savants
d.iiileux, eu même Itmp-- que
fanatiques
La rellgliiu e
t le savoir
alures, disait receinuicn
iaiis leurs carica
Mjplie L Stem ; la caricature
de la
la earicature de la pensée
libre est l'alhéisme
Les preuves
de la
ité de
reposent pas seiileme
ui -ur de- int
leuvent être
lar
■iismi
.iinlnuiee
7.'
;e- et vérifiées
-l a dire qu elle-
et
r..hs
rv.itii'ii
Dan-
décision sur la \aiei
d'une simple proposi
d'une théorie
lioii. s'obtient à
taiiiiu a
laquelle elles
-ont
hysique qi
jhai
litre 111.
des
.ogie expériineiil.ile
itabU
sUiboratoire
1^7
nrote— n miu-i
de
ne -iiiit ennemi- qi
it 1 eminelil plu
religion e-; le lanal
latioii-
relliiieu-e- ne
tuit ons -pintuelles:
aies
l'aide de la connais
.leuveiil être lnuniies
xactc-.la
ihese. ou
les sciences e
d'une Inpo
l'aide Je 1 cxperiilien-
l.eci e-t aussi vrai en
.- de
larl.mi aan-
( clioloiiie //.
nous avons invoque
expériences
les briUa'n
t-, rekiltats ..blenu- p.ir
le
ps\ c lui Ion
iiiuiues UeS gl
li.ndaleur-
Depuis
la relitiion
ludaïqui. e
lusieur- milliers
vl anne
dis
Us m
jur 1
leine valeur
s de
laborali'ire
durée et coninu
jhol..i;le pi
.résultai, a ci
.Is pi
jles el .ipotres
il du l.hrisU.ini-
rcsu'itats couser.e
nt.
i.>u
:11e
.xperieiu'e
leUt i\\'^ cniupir
lie
\1.
pen
.laut
lu.irante année
plus de deux ml
ans
loUs
lui se
ml re.ilises. mêmes
1"
sa inuri il
oublierall
sitiUilni au peuple |Uit
L
i inissiiin
iminan
de .\li
deinen
tsde l ieil
jlalt
mitée a queUple^
d Hébreux,
neineiil el
ii..ii. U,i.
.luxqi
jlles il enseigna
j- lois 1.1e
la justice .le
les pnncipe-
.is-(dirisl re
/'/,,
:. Uuultrt.iinn"-.
rhj.Ju- .Si/ ■•'"■■
^vui cl xïi^
deserl
que
dans
l- jirevus el pi
i-ii.us siio-lrcs q
ill-.sUiVU
• Depuis
idils par
u avant
,iour
lU cciui-c
Uibus
du g.ùiver-
■Ui .le Dieu
■I Cie;'Ciru-V
SClF.Si^K, REl.
lùlûN ET MOlRAlK
huions religieuses
M;,is n'est il pas de même
aveclesgr;indev.
et inattendue
Nous avons
découverte^ e
-t iuventton^
ientitiques:'.
chapitre m une
blabl
léinontrc p
ce sont )
haut dansi le paragraptte o
l lustemcni lesiintut
au niomen
t de leurs appari|lions q
tiens luvraiseni-
.ire-. un
ui,
délai >lc temps p!
scieniiJuiues inco
)U moin-, grand
utestables-. le plui souvent
J
viennen
t des vérités
tois.
une
V-
les e^-
ireuves
entrent aans le
tre
.rd
du leu
e connais^:
e?P<
lentatiou.
=lle
a^ce^^ luunaines comme le
pltis bieiilaisantes et lec
même avec les
t.ihL'
indes de la
intuitions r
.1 ^aiii
te Kcrit.iirenour
avertit, ec
science
;liiiieuse~
11 en est
de
la sagesse
de Dieu est une
lo
iHian
.1 .,aint l'aul a
dit
Kvapgi
•ivait delà l.eibni/.. que
les hùinnie-,. et
t.liri->t
lie dèv.int
.■5 Je Je-us
paraissent une toUe aux
(.recs, aussi tiienqu un
uils
nriihlein
devrait >attendre qu
iiidale aux
ellei devien
vente;
auxvi
uelles l'huiu
civui?ation
e religieux
dans
la
1 7V^'...k
inite un lou
iviue du pro
' (lue
traduciu.n
de Haru/^i
lamais
: \eiiie psy
;ic démon
;llologique
.^ >|U
très par des epre
■'m
rochanl. même" d
le loin, celle
civilise
les révélations de
t.. ut entière et
vangile
e d
Uistoir
dront les plus
r devr,i sa
Dis
bable et k
élim
A tail historique
mt
;uv
1.
es expérimentales
lU r.irigine
du monde
m preuve
j eu
Ituri.
lires du rign(
lumière
la sauvagt;ne,e
loi et
de la science.
De
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Hier;
de martvrs temolgnJn
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inspires, c
Augustin.
1a
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lliarJs d'hommes
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Ar. î s
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.t ducar.iciere su
.Is penseurs dtprolonasi
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de la philosoj
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d .\vHiin et
Leibniz, surioiit
tlieoli
drand jUsqh
ui eta
.11 ,1 une e
dernier, q
ruditton pres>iul;
■depuis s.uni 1 11
'Descartes. T.is'
me temps q
;al et
t, en me
u un
sans exemple (■
larnii
4'
lilti:
L^oInelllp||^aln^, un b.i.aiit
Jc\eloppfienl ciunie d.iv.i
moderne, depui- Pri-tlcv e
/elius, l'araday et l'a>iear
-relie.
l.a science niudenie dei.
pour inbtruire le= nias>es
matérielles de leur vie : le
éternelles, révélées par le
leur haute mission deduca
Im enseignant a riiuin.ini
leurs devoirs envers les p:
lu pitié pour les laibles et
les pUls belles >|Ualites d
lutte pour la vente au so
l'esprit de 1 homme procl;
crée une harmonie parlai
la civilisation chrétienne
atteinte portée à l'union
la culture moderne, i|ui a
quérir la domination sur
entre la religion et la sci
!in de la supreinalie du lU'
saurait exister aucun ant,
entre ces deux sublimes 1
^ 2. — 1,A i.ri KKh A
<^us ce titre. 1 ai pubi
C.iiili'i^. dont l'étais alor
l'aul Hert sur les questio
.Vu moment de sa publi
1 Jt ll'jV.ll» .Kvi-lltC 1.1 JlIC.
^>onc, ui J.lll^ 1^; >i;j1 '""' •^^
tu i>li:ni; viigiiu LU 1-i.ir.tC
1 i'ho.mmk
génial d'une rare fécondité, le-
nage Les créateurs de la science
Lavoisier jusqu a Ampère, Ker-
eii contirment la réalité natu-
TT
luvre tes vérités et les enseigne
rt pour améliorer les C(jnditions
religions enseignent les vérités
, prophètes, et remplissent ainsi
rices morales des peuple-,
le l'amour du prochain. au.\ riches
livres a ces derniers leurs droii-,
le pardon a ses enneiiiis comme
e lame humaine, en plai,-ant la
nmet des sublimes a-pir,itioUs de
.i|me immortel, .lésus ( .lirist a am-i
e entre la religion ei la science,
est née de Celte hartnoP.ie ioute
.branle les iV.ndeuienls même de
i)crmis a 1 homme blanc de con-
,trc gh>be. l.a rupture de l'union
;nce amènerait inlailliblemeiit la
,nde chrétien C'est pourquoi il ne
goiiisme. aucune incompatibilité
mis de la révélation dr. ine.
1 »n-.i i,i i.A .\nii<.Ai.i i.A'iiji E.
le. le :2 1 septembre l>i--i- dans le
le directeur', une lettre ouverte a
ib capitales qui nous occupent ici.
.■alioii, cette lettre ne lut pas sans
lîuli d'.
,.,]iih.il
1 jui.oi.il il. ,1a, .pic 41. ' uu^; r'""
ri; 1,1 iHihlKiii'J anlm;li^i^ili>i;, .il.u-
vi.ir.Nci:, i-:H-io%ON f.r
N OB.M.r.
c'est dans lescirconstanc
es
liée, comme document
tes de l'enseignement
l'instruction publique
'ta, l'aul liert avait tait
liliquc, sinl iiistructUiU
cette coa-
produire qllelvple einotiou '. mais
actuelle- queik- acquiert toute sa po
démontrant ks umestes ciiséqueu
s.llls Dieu.
A la Veille d'être uoinme ministied
et des euh es .ian> le ..ahtiielXiainb^
nneconur.iKc aaiis une reunioiT pu
,eli..ieuse doiuice daus-^-s écoles coi greganiste
lere'nce pt.u. an cire considérée Co.ume lexposc de -ou
luiur prouramiiK ministériel Ce programme efait une ver.-
table de.bration de uuerre a Dieu etn toutes les religu-ns
la morale rellg.eu-e vêtait severentent .ondamnee : elle
dewiil .ne dorénavant remplacée par une morak- laïque
basée uniquement -ur la science, do
le-seur de ph\-Kdogieà la Sorbon
n,,ur proclamer la déchéance de Db
lec.nna.ssals l'aul liert comme plu sloU.glsle de valeui
médiocre depuis iM,.,. kn.S-^. , exécutai, dans son labora-
toire de ph.-iologiealaSorbonne
nelles avec de- api>areils qui lui aK
pour ses travaux -ur l,i pression bar
„,.„. ,e"du- . xainiuer a tond la v alei r exacte de ce- appareils
et je coii-tatn al..r- leur complet-.
Icsdéleciiloslies de- méthode- d'expe
par Paullkr. bu outre, les result.its des expériences, expose,
àans sol, ou. raue. U />rc.w'..« h.r..utr,.,,u: etaunt diame-
tralemcut oppo-e- aux conclusion,' que lauteur e^^t avait
airees li-reinia.ent entièrement sakhèse étrange, soutenant
que roxv.ene..uu un poison mortel p.ur le- animaux hn
41.1
ni l'aul l>eri. alors pro-
ie, iiuoquau l'autorité
u et de la religion
les recherches persoU-
aiciit ser\ 1 auparavant
métrique A celte occa-
in-ullis.iiice. ainsi qUc
rimentalion emplovees
realite.
le-
iuiiiiaux soumis a
-,.,„-, me 1...K |..,i.l>..,:..r le^ . .s., r-'i
f V ,oKd..ii. u k.leiir. " Il 1.1:— •'
d-'.acr -1 «^llu ,iuUllK>o piele .1 1.1 -ilKi
„l.„>ee lc> ,- de r,.uv,-..gc uu.U.mou
-,..1 dc-ti;.-- 4101 I.'lIil^.i;! l'-'tti.:nU.in d.i \~
■Kperleiices succombaient
,K ai.î iii'^'iil l'.trii iiccc*-atre>
duiu»;- l'-' >"'» -iél'-.''- d-
:,j un . Içl.'slv; .,. l-i d.-.c-ioll
; , r.ipiv.ll .ivc- 1j -■i-.:"-'-' ^-< i'^'
tf
UltU
ai
en
4*12
à ra>phyxie par l'acide c;
le sang des animaux .aval
par >iiite de dépressions tr
■gène dans le sang n'avaie
par conséquent, innocent
Si je rappelle cps laits,
tisme antireligieux de l'ai
diction avec mes dénions!
rinstigaleur de la guerre
raliste. mais un simple pi
La conférence de Pau
occasion d'enlamer lacan
tant le titre de ce paragr
comme minisire de l'inst
le cabineUiambetta, je fi;
ijue jinMtais à prendre -1
me reservant les lonctioi
Je repr.jduis ici les pa
traite longuement des ra
la grande portée sociale
Mon cher confr
\',,us a\ei' lait diman
rence qui a cu un grand
un succès digne de v..ti
vous de v.iiis taire cnnn
rence ma inspirées r Oi
ne me propose pas ded
que vous V ave/ exprinu
a cuUesler lopporuinit
1 Voir. i'..ur Icb dui..il>. 1
.[uc. Mil li^> ln^l.ll.^u^ Ji; \ "
1 AciJcnilc de- -clclKi;?- eu (
mic ul puMiè en ll,lll^.^l^ d
lllMllJ. l^•'^i•
ET L HOMME
bonique, dont les quantités dans
t triplé et même quadruplé, ou
ip brusques. Les quantités d'oxy-
it presque pas varié; ce gaz etail,
de la mort des animaux.
:est alin de montrer que le tana-
1 Hcri n'est nullement en contra-
rations du paragraphe précèdent ;
1 Dieu n'était pas un savant natu- .
liiicicii sectaire.
Hert nie donnait une excellente
pagne projetée par une lettre pur-
iphe Le lendemain de son entrée
uction publique et des cultes dans
appelauc.ncoursde Iules Sininii,
i directii.n p.ditique du (..iiilois,
s de rédacteur en chct
sages essentiels de ma lettre, qui
jipnrlsenirerhommeet Dieu et de
le la murale religieuse
he. au (Cirque d'hi\er, une conlé-
retentissemeiit; vous avez obtenu
i talent de parole. Me permettrez-
litre les réflexions que cette cuile-
, n'est ce pas ? D'autant iilusqueje
culer la porlee ptditiqne des idées
es. .le lie veux même pas m attarder
de ce réquisitoire viulcnt quiserait.
|.i.in. .i|.>l> ^e.léuirc puipéliiul. 1 .i; lue •'
,ul-ru ifSl. el mon travail pi-ilaiU le moine
,> Ar.J,\. n.r />/,is;../"i'.f Je du l)ui,-Key-
SCIESCE, REllOlON ET MLR.xrE t^'"»
ait-on, votre profession de foi et comme votre programme
de futur ministre de l'instruction pubhque.
(-eque je désire ici, c'est vous répondre sanspassion, san,
enuxirtement, en me plaçant sur le terrain sc.enlihque. ht
tout d abord, atin de bien préciser la question qui nuus
diVise laissez-mo, citer de votre discc^ur, le passage qui m a
pnncpalement frappe, .\pres avi.ir expose les raisons un o-
liuees par vos adversaires pour défendre l'insln.ction r.li-
gieuse, vous avez poursuivi
Ah' il néiait pas bien diltiCile de lepoudre a ee~
arguments, et iln'v a pas eu grand n^érite à cela. D'ailleurs,
le^épunses s-m, arrivées de tous les cote, de 1 hor,..,
les philophes spiritualistes d'abi.rd se sont indignes, ,1s ont
du qu'Us n'avaient pas besoin de la:grace et qu ils :n aient,
eux la preuve suffisante de l'existence de Dieu et de 1 exis-
tence de l'âme. Ht puis tm b„n nomlire d entre eux, escortes
de la toule, trop nombreuse, helas'. des indiftereiUs en ma-
cère de metaphvsique. un, dit qu^ ce n'était pas la peine
decroireà Dieu, al'ame. pour avoir une morale; iKuiu dit
.luece n'était pas creerune morale que de due que teUcte
.era récompense et que tel acte sera! puni : que ce n était pas
distinguer le bien du mal que de dire qu'il aait de.eiulu de
faire ce qui déplaisait a Dieu et urduune de taire ce qu, lui
plaisait. . // 1 1, ; I .
. VA puis. Il S en est truu^c d'autre-, et ,e s.uw uldige de
dire que je sUis de ceUX la et de
ment, qui ont eiit que la religiun
. parler de morale, quelle repuse ,ur des tvises , ai.... sui
aes hvpotl.eses .n,usti,.ables, sur {les coucepttuUs euoi ues
■elanaturedel'humme.desunr|:iedansla..cie. c ans
et que. lorsqll il arrivUl quelle pai Lit
Ile en avJ-t emprunte le-
conscience univer-^lle .le
me livrer a \oVre |u^e-
n'avait iM- qualité puiir
le muiide physique, et
pi^lc dv; murale, c eM parce que
sublimes et éternels préceptes a la
luus les temps et de tous les peupl|e
le pourrais, certes. - ce serait
bien niun d;uU. — iii
rc-- 'I I II i ' 'inbiL-n il cil
liaillrs liiiu Ii'.'h^ iliiivci
\ Ile, ,1 \ c-i
it:iiit ili
ii-IIf iiiipurt.iiue Mais
:icte de tes dnix" .leel.
Coud.iiii liée ;i di-p.ir.iitr
raie ; la iiiiii:ile de r.i\ e
ili.it .1 . ■ .11 1" -iir h.i-e m
1 litl e II. m-, li l.lll.llt \
prendre
1 relmi..ii el.mt
11. ne
aiili t
!<-■ 1
ratiiiMS. à ^avilir : I ,
--. Il a pas le ihoit iren-.elmier la m..-
lir. la \ raie, la ^eiilc .ligne Je ee nom,
i.|Uc ren--eignement de-, science^
iMiment iine vous eu^sie/. \.itre andi-
ur en |icn nieJi.icre estime pmir lui débiter
Maii~ rire de lell
cnei»re a c.n^i.ierer la r •lit;ii.ii ci.ninie nn Lnig lis-.ii de nieii-
M)ii,L!e--. iinp..-t>,i 1 linnianilé par linéiques pre'lres inipi.>-
,ir. .les>eiireiiS.>rh. .Mlle. voii>igiii.re/
leiir^ . • .. .innieiit . vciiis
een.. I eli.iiil
liisL nt dans
I et e,i pnhiiant les inibeeil
^ri\ iii.>erieN
:i\ ragejs ni\ sti.|Ues, .[u en perseèiitani
it- ino\ eus i.n peut par\ enir a 1 arra
ler lin
I n V a ji,
de-
. Ian--e-. ^iir Ce
menu pDiii i-eitain-- de
.|nuii iiisliiiiH.iitiiiii ,i'i;iii, .|ileliine eh
eeiix la. loiitt -
\ ent le> mit i e
.ii> et \' i> anii-
la
cette iJee .[ne tons celis .|lli s clloree
\ ailieiil a I einaneipatl.
.\.naiil .1 . .pini..ns. a
Quant a ni..i. je
la.-
le 1,
.1 i et^arde sin
inanileNtalioii Je la peu ee luiiiiaiii
Je i atii
er~ 1 ide
I r 11 I. IDMMR
tr.iii'j
Je Voir un sa\ ,int. in\ e-li Je
titane-,, traiter avec aussi pen de gra
!■- ^ene et Je fantaisie, des suiet-^ de
a-se je nie contente Je lire
• triloslte
Ccnninent : \ (dis en elc
.i\ ili-ation '. \ •
.us \iin> miaginez
. .|ni l'e lisent cm nie Vous .pli aient
|u'eT.llareligion, l'oiirlnen d'autre-..
.le IF.,
la rcli
;ion n e>t
.se ccjinmc une
.le la police ou de la Suretc gcne-rale. .\ux \eu\de
e~ rcl lu in ils sont b. .nue-, pour\ u (|U elle- -.er
t- lie 1 ht; tqni aleiirs pretereiices |-jilin. pour
igion est une lèpre hideuse ; de la
L-iit de
ippnnier tra
11 du jienre huinain.
itant J'erreiirs
prends la religion J'une tout autre
plcnieiit comme la plus inagnih.iue
diiiue le suiircme élan
.mine I e.vpressUjii
Icrniere Je
igiie. mais irrésistible. .|U eprou\e notre être Je se
.(,(,
1 «•-
H.icckcl. aej
-pacc Ailiiu-tte/
le h;
I hoiiuiic . aani
hcii-ln.-
jus.|U a
ilavaiitage se- il-'
i)rchi-t<iii>liie- <-■
llnbiiis I
tu/ iiiu
11- recilICL-.
auj.
ahin
l.irt, iiK UK-
l. .ut i^l
rcga
la p
la ^al^
1\^1^H1'.
iiii; • m\>tenciise
IClKCS,
ctùcr aiitic cil
■,c nu une
ne nous I
f,,urnirniit une ietimtion prcci-e
.liui
ti(,n ac la mat, ère
notre sClelK'c
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etïorlb ineriA a
hle-.
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laire tou<
Jaii:
lc-> li.lK'llollS
■lier au aoigt Id-,
lieu
uroauit- uili-
prenare
naisons
lencéplial
lu est
ae molécule-
.-il-ee ou
une -ell-atlo
1, étonnante
harai
aans une c
onlraaictioii
ae tout créer, ac tout e
\,,u- pour accomplir
^ette nia-ie
ac
-ulistai
Ma
t'rane
lection aenon^e
is ne croyez S
llnle-^
iUe ae tout autre im
JUS tfiaive
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laix. au inoin>, .[Ui c
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eu même.
11, .n ae pénètre ce >i
HT 1. IIOMMI:
P'
.xemp
comme prou\ee
au règne ann
lui n a I
lal. aonnee par
existé I
.-tenaant
amais
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>-d la lumière sur aes epoLjucs
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.•lles aont nous
ous lere/.'VoUS
le soulever le \ oi
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^\n luouae r
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liimie
M.i
aeUX
Il leurs progrè-,
a
le pourront pas
ini.tiue aes atomes
Kntiu.
est
la lorce,
lap
-i..logi
— Mal-, -1. iiii I'"" •*" P'''''
arrive a p'
ibrale
,— éaer une uiCLani.pie
même elle parsieiH a
jiivemeiils m, ilec
,iui ont
aanl la création ae- plu- liaiit-
l"
urra.-1-elle
llallcr ac i
jiefice, et comnieu
himiqi
P'
.ni
1 aes ^•jmbl
lueuarcr une
11
less : ae V
;ation-
\ons laii tom
ber
laniteste. Vous ave/, la prelenucu.
S..it : Or. sur >iuoi comple/-
pliijuer
es merveilles
ce nerveuse.
Sur
le
.•er\ eau.
-ur
;h;is
aans notre
; pa^ 4
inglioiinaires,
ne, ai ur.inae 4Ue soit la p.
leur puissaui'c. coiui
auisiiie.
aoit avoir
lut. bien iulerieur aux
n-uièrcnt I àuie Ci.nmu
uualiste-
U logitiues lorMiu'ils emelleiit l.U
.pu-
une émana-
t 1,1
lin c-t impe
lietranle
.1. KElU.loN 1.T M<iH.\LE
Votre erreur, c'est ae c
coUlolKlre le
erses églises avec la religion
liant coaitier -
/nseignc-uici
1- ae-
elle-nieme Le- egb-e-
en
K 1
uis me sei^vir
ac
mot
a-p
elle-
iraluuis iileales •
bomiue, p
eiiv
s lUgeniell
1 a le- lorniul
( 'u.iiii au -en
tiiiienl religieux,
il
111 se tromper k\\.
1er aans a|-s aogme- immuables
el re-tera
forces vives
ae
11
loiiime, a moin- 14
Il une ev
lune ac
• lu'.îon -
impossi
ble, a'ailleiu-
Ler\ eau et -ou
-elon mol — île V
h\ -U me ncrveux-l J Us
tran-li->rmcr
.-lie evc
.lu-
tloll,
me lie baieront certainemenjl
• nlerence"
, e/ eu sur.
hui
amie aevieiKlrti croyante, ei u.i
le la
.leiice liumaine n \
.baiigera ricu. 1 ar cette sim
e la Tcligiou n est pas
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• maïue
l,^
mente la soinn
le ae nos coiiuai-sani.^-. e
pou\ '
e notre pensée, elle
ir ae uioaitier 111 no'
élargit r
■leiitimen
i >r, chez la plupart aes hommes, c e|t a
no- seli-atiolis que
Le malheur est
la rel
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igum s-
existe aes sa\
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ibu-
•nt
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science, chez c
ilelruit nécessaireinen
aiMour
tlicicUc pour persu
.■ux .pu
der aux baaaua- .pie la
lent
1 la loi religirii
,1 hui le-, rues 11 a ete accepte
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.iiqne. mais eiici
.re par la s.
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vivre tram|
1
var la l'eu
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vous \
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Lesaelix svalcllies
religion et le
les aocteurs .
tra.liUoUa
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\ erilable e>
nit ae la iiience
ri-i
lelU>
Use c
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pic rai-on
leiice aug-
.•11c elcua les hori-
uai- elle n'a le
II.- •îeu-..itii>ns.
-cnliments el à
-.i\ aut-
ac
ntc .p-
rur c.nlere
lit l^cusellt la liùSse.
(,
c prciui.
.urt
la
non seuleiueiil par
lete ecclesia-u.luc. .[Ui,
iiio.leriie incapable ae
.iiion KUe e-r.erait tuer
-, mon cher
ielice Ke\ c
laleiiient 1 c-
.ntrere.
.c ae la
Ah; si. en 1-
aevaiKiers. eusseiiU-uivi
.nU.rmam
■ is a
aux saines
ae la science, i]
eussent ete conjurées
jue lie lutté-, .[i
Des
iitles.
ac
pas les prù-
ae catastrophes
:ala-irophes.
4r.s ""''^
voulez vou-. il.. 110 en pruv
vaille/ lie puuvoir ^lera
saehe/ le bien. e-.t liule^ti
tu|Ue-. >lc iMii- le-- leiiip'
ridicule, malfii'é le^ cxce
ellgeiKliéï. et aolit elle a
jure, er)iuiiie -ur^ ivra la i
de Wagner, ciiinie ^nrvi
•,ii)nni-.les. mniine ^ur\
li>tes.
truand \'>u-- méditez ■
preuve de iiaivele, — | i
tel de-^^ciii, en eltet. ne
ehinieres. Mal-, l^rque v
d'imposer au p.iss une c
lapplieation de v..s id.
danger |inblic. l.a im.ra
laïque uu civile. — peu
une morale lonJée >ur 1
Dieu \iju^eii convenez
rendre Maiiites fois, voi
cette assemblée où, etai
pas a redouter la contra
non iiioiiib iranchemeiit
teurs que \ous necoima
<^u eussiez vous répo
jiiur, un savant, un vrai
termes : Pardon '. nionsi<
sciciitili.|iie. dites mol.
laites-vous donc repose
Vous eussiez été lort i
vcjtrc mterriiineur. Hli
lion i)ue je prends la li
grâce, répondez iiioi i
lu\ant, sans plus de ce
i.r 1 HOMME
..[ner a votre tour, vous qui vous
iner la religion ? La religion,
ictible. Malgré ce que les fana-
cMit lait pour la laire paraître
sanguinaires que le fanatisme a
tiorreur, elle survivra, je vous le
iiisique, malgré les extravagances
ra la peinture, maigre les inipres-
vra la poésie, malgré les rea-
aiiéantir la religion, vous laites
essayé Je vous le démontrer ■. un
;pose .[ue sur des illusions et des
JUS ne parlerez de rien moins que
eriaine morale, prenez garde : car
■es constituerait positivement un
e de vo, rêves serait une morale
ni porte le terme. — autrement dit,
uui autre chose que la notion de
hautement : c est une justice à vous
is l'avez déclaré à la Cliambre, dans
t le seul naturaliste, vous n'aviez
lictiou, et vous l'avez encore déclare
dimanche dernier, devant les andi-
issiez nullement Quel courage',
ndu, mon cher confrère, si. l'autre
savant, vous eut interpellé en ces
•urleconlerencier, sur quel principe
sur quelle donnée physiologiiiue
• cette morale que vous préconisez ■:
mbarrassé de donner satisfaction a
lien : c est précisément cette ques
)erté de vous adresser. Allons', de
lettement. sans détours, sans lauv-
eniouie que SI nous étions ensemble
SCIENCE. KELIGlOS ET MoRAI.E
4'")
■Us, cette sanction, si
dans un laboratoire de physiologie Je n'appréhende point
de vous voir rétorquer l'argument Vous savez, en etfet,
aussi bien que moi, que la science est et sera toujours inca-
pablede fournir les bases J une éthique. .Mais alors, si vous
le savez, pourquoi avez-vous été raconter toute-, \ os calem-
bredaines a ces auciteurs inconscients, dont un grand
nombre peut-être, à l'issue Je vo'tife conférence, ont ete
faire leurs dévolions dans la première église venue .'
11 ii'v a pas de morale sans sanction, vous le conlessez
vous même Or. ou la )>rendrez-
vous rejetez l'idée de Dieu'
\'i>ici un enlaniaquiun instituteur prêche le pauiotisme.
Supposez que le bambin fasse cette objection : — Quoi '. vous
Voulez que je sacrilie mon bien être; et ma v ic jH.ur \ oler au
secours du pays en danger, pour pr|iteger des hommes que
je ne connais pas. pour défendre Jels provinces cn\ allies ou
le n'ai aucun mieretl l'ourquoi ceU? — Quelle repoii-e lui
donnera le maître, s'il lui e>t détendu de parler de Dieu a -on
^ élève.'
l'eut on comprendre la verlu - - la vertu qu; iinpli.[ue le
sacrifice — sans la conscience du dttxoir? 1m peai-iai coin-
. prendre le sentiment du devoir sans des obligations contrac-
tées - par le fait seul de notre tvi-tcncc - envers le
sublime Créateur? Peut-on le comprendre sans lespoir d une
récompense à obtenir dans un moulde meilleure - - Non. et
il 11 esi aucun e-pril seiisé qui piiis-b reprou\ er cet cspcur et
Cette récompense
C'rovez vous, par exemple, que: les malheuieiix -..dJats
lurcsenferines.laiis PIew na, sans nourriture, saiw espérance
de vaincre, qui couchaient dans deH tious a moitié remplis
de glace et de neige, auraient jamais consenti a se t.iue tuer
sans' gloire, — pour eux per-oiinelleiiK-iit. s entend, - s ils
n'avaient pas été soutenus par cepte pensée qu après leur
mort ils seraient reçus dans le paraJis Je .Mahomet, ou ils
goûteraient d éternelles jouissance ..■"
deM|i
11] Kl- HT I HOMME
.Iv
SL- troiivau-nl
mon fiiiet
liait
er ce matcria-
ilouteque j abondera imLi 11 s le sens de leur ancien proleiseur,
et i|iie je profiterais de
lisine grossier, c|u'iine li
trop encouragé leur
lia
-lai
s science iiue pure
très svm
pat 11
Qui
la niusu|ue, a la poésie
m a ni rirent seulement
111 lires désapprobateurs
Mais iinaiid. arrivant
accord avec
-a\ oir luiiuaiii a
et restera eternelleiiie
11 redoubla de \ iolem
a création c
le la
muiue des lonctlolls intelle
esi, dans letiide de la
k
iences naturelles n aucune autre science lit.
roiit jamais
1.
lUt en parlant, |e
mes interrupteurs, en
11
coninic \(.iis
. hauts
un ait nieiiie pas
Pourtant
lien simple.
plus ; une allusion a la
a toutes
es gr
raniies c
les Jeunes etgelierei
Je descendis de la ^ 11.
r l'avenir ipi une gé
i'
le ministre
du
de la
du parti a\ aiice russe, je
till
es, espéraient sans
ter,iture pseudo scientilicjue n'a que
fut
courte.
aiit
^jue Je
ils m'
écoulèrent a\ ec une atleiiti
ail li-
ions aux se
rvices rendus à
t a la peinture
la pi
pli\ siolo^ie
tout d'abord, de leur part,
les iiiur-
!a lin
e mon disci
notre r
• po
urs, |e toiubai
ir déclarer <iiie
imites, au delà des,|iielles ii, ut reste
lie
t ol
nsciir, un \ en
tablt
-rage
;lat:i
irsquc je pronoïKai ces paroles
M'
la 1
iiiiite extrême
tuelles
que m
le [lassé-
es \ eux \ers la tnhuiu
il'oi»
échappaient les proltjstations, et je lisais sur le \ isage
:-me temps que la colère, I eton
meut el la consternation .Xiiisi cette jeunesse avait l'i
itel-
gelice laussee .a ce degré que non seulement elle poussait.
ris au seul nom i
1)
leu, maisiiu elle
.■ntcndrc
le la
develi
elopper cette pensée.
Bien
PI
-cieiicd a des liiuili.
que
a peinture, a l.i |ioesie.
s qui d ordinaire traiisp.. rien; les
lui paraissait une trahison!
plein lie sombres pressentiments
éralioii aussi troublée i^éparait a sa
ire,
patrie, rendant un enti etien que i eus a celte occasion avec
le comte .\lilioutine, un des Aj./i /-
ne lui cl cl) ai pas iiiesappreUcnsioiis
i—
SCIENCE. HELir.lON ET MOR.\l.E
n doit cette
iirection iiiateiialiste.
( /e-st à lui surtout qu'il
imiirimeeà l'instruction secondaire en Kussie' Il se ilonnait
ilors
délenseur juré
délia
leunesse ues écoles
polissait même la complaisance Hisqu à e.xcuser ses moins
excusa nies
ble
- M.
■arts
1
nsieur le ministre, lui dit^ je, ave/ vous remarque
quel etlet ont produit sur ces leunes gens cer
taiiis
e mon iliscoursr
flatte
iiir mol. je siur» pn
iplletc
e pas d être prophète, tuais le vous preJis que
si \ ous n enrave/ pa-
e plus tôt
ideinciil iKivri
11
iblt
la deuil
ili
de cette Jeunesse en traiislormant du tout .lU tout
instruction, vous aurez.
da
lec'impositlon sociale Ciunplete e
1.
ministre
• un
l d'
un air iiicro
Rus
Iule.
-. \'oUs exagérez, me re|>ondit-ll
n',ive.' pas confiance dans la pu
sl Iences naturelles.
- ( >h '
toire de
inhance. repns-|e, jt n en ai aucune
■ u Vingt ails
larce II lie vi
^sallce iiioialisaliiv e
Kl
it 1
es .trente dernieri->- années
prouve, lielas. que |e ne me tromjp.iis pas
Paul
st bi
lardé
et ppur lai;
le repoiulre. a
ma item
ande catégorique d'indiquier les bas
.cieUtilii|lle qu il se
lient public Ouelq
propi
lUtr.
de 1,
IIS 1
.1- nii 'raie
ellsclLlIie-
ues semailles ;i
lettr
Jsidait un banquet d'in
c et.ilt la, sein
ilail-il, une ex>-
1 I.i--^ h icf aulil.iiu-
,.1|V
Je CJilcts
flalclll JcNL-ltu
- di' vêr
lillllll-'lc
élJll di- lUi'lllC
IicIj
.L'ilu de niédL-imc lUulil.dri
lUe MUiuUlUie cl .^ ^e^ dl
Lll de l.l
L-XL-mj'
le de 1.1
ïueire rus
-j.ip.
Nuiuclle Keviie
iS»..
ud'dU
NltuLiicviKll. chef dl
,/,i.i'it Ciin/J/i/i>/i'/<V Revue Je Pan-. i«
/.i Ku
,/,.,(-,
li ju^'^'ynli
ej» i u--e el eu
1.1 h
près la publication de i
lituleurs et d uistiiutncc
itC 11'
SI on de lairt
l,|'l..
Uhle
[.epi
- a.; l'U'p.ïiiJiKi
..Ij». r.Ve.i'dellM
1 A.adé
di.hl 1 elai- uu de- |inilr
-c. lur.iu
1, Ku-le d..H le
élude .. La .'■
• ILtHiualuut a\
, ;■/.:/
et in.t hfi'Chure (i i'.ownittit
n'H^tiliih 'iiHi't ' 's |»h1»1 ce
ie tuilier
1
l' \
471
iiaitri- t-nliTi le^ principe^
ses aiiditt-urs a la maiiicre
11 s en absliiil sui^'iieiise
ail dessert, il lit bien allu
ijuli-^crete ; mai--, au heu
reiii luveler se^ altai[Ues j
|)hilii>Mphie " Il laul, av
les écfiles primaires. Le r<
cette murale découle nuit
seule iruliLatioii ipiil dai
iiisiituieurs ( 'était a\ i>i
prilleipe-.. et ipi il LMlllI
piiiir lei deei iu\ rir Je ri
tembre, eet .iveii cfunii
prolesseiir de la Surboiii
ailSM e-.->eiiticllemeiit dilt
scielltllMples et I eUseigUe
D'ailleurs, au uii>merit
uratint lut iiitr. Kluit eu l-'i
decciuvrir le- priiKipes d
eipe- -I .ut aii--i \ ieu\ ilUt
di\ C( .luiiiaildi. lUellNde .\1
l'WlUijile-- le-- '.Ut elc\ei à
la \ rrile au sMiuiuetde h
I liiiiuanile .M'u-, ciiiun
bK-me lui irai. 1 résoudre e
principe^ eteriieK de la ii
la coii-iierKe liumaiue. s
t;llie divine, sails l'iiu ne.it
ei iiitraetécs envers -,i)ii C.\
teuee, en un in> .t. -ans le
Paul liert eut laud.iee .
à lac|uelle il était étrange
pniK ipes nu .rau\ -ullisai
prédire .|U il --'eligaf^eait J
HT l.'llOMMB
de la morale nouvelle et d'initier
le II 111 poser à la jeunesse des écoles,
lent Dans un Jiseoiir-< prononcé
>ion à ma demande, qu'il tnuivait
d'y répondre, il se contenta de
(ro-sières contre la religion et l.i
lut tout, eii-eigner la morale dans
■ste importe peu les principe-.de
le lenseimiement niéine.* \'oila la
iiia d.>iiner dans son discours au.\
er clairement qu il ignorait ces
itait -^ur les instituteur-, primaires
le\ai, dans le (m.iu/i'is du 21 -.ep-
e il le méritait; " (Comment un
e peut-il confondre deux cho-.es
[.-rentes : la recherche de-. \érites
ment lie ce-. \ érites ? ,j
ou renseignement obligal.ure cl
aiice, il ne s'agissait nullement de
: la mijrale à enseigner ; ces prin-
la philosophie et la religion Les
lise en 1. .riiieut les loiulements ; les
une hauteur sublime, en plaç.int
perlection idéale a atteindre par
j auiourd'hui. le verilable pro-
ait tout autre : I enseignement des
orale sullit-il polir les imposer à
Us l.i reccjnuaissance de leur 011-
loii des 1 diligatii uis que lliomme a
éaleiir. par le seul fait de son cxis-
i sanction de la religion ."
e répondre, au nom de la'science
, que le simple enseignement des
. Des lors, il n était pasdillicile .le
ails une \ . .le pleine de périls pour
SCIKNCE. REI.ir.IuS ET MOR.ME
47''
le p.i\s I expérience a proiuptemejit décidé contre Sun attir
matioii ; les résultats de la guerre à! Dieu, dont il était l'ins-
tigateur et (pi'il n'a pas hésité à déchaîner jusque dans les
écides primaires. ,.nt été Jésastrejux De ces résultats, il
suftit de rappeler ici le plus funeste : lantipatriotisme et
l'antimilitarisnie ..ut pris racine parmi les instituteurs de ces
écoles, et cela, non a cause du carlclere l.nque de l'instruc-
tion donnée par l'Ltat. mais parae i|Ue l'aul Hert h-iir .1
im[<os.-:',-nsrtviii-m.-iil J 11 m- mor.il,- .iiilir<-li)ri,-ii^r ri hnsti!.-
a /iiru. La leçon de ch..ses, que l'exi>erience inexorable
lui a intligee, est d'autant plus ii^structive que l'aul Kert
était patriote et même chauvin La douleur d'assister a ces
résultats, d..iii il .lurait cruellement s,,utfert, lui lut epar
gnée. grâce a la miséricorde de Dieu.
l-ai s..uiine. l'expérience faite ijar l'aul lu-rt -ur la cou
science de iiiilli. .lis d'entants p..rtiit le même caractère de
légèreté et d ign.irance que ses expériences sur la pression
barometii.iue l-n parlant d une iiKuale scicutitiquc a eiisei-
uiicrdaiis lèse. ..les, il allirmau sappu\er sur la philos.. phic
d .\uguste( ...m te r ne allusion, qile |e lis a cesuiet dans ma
lettre. pr..n..qua la pr. .tcstati.m (.-nergique d un (^..mtiste
autorise, .|Ui lep.. lissait t..ute s,.lidariie entre la " morale
[.retendue scieiitili. pie de l'aul liert „ et celle qu'enseignait
le maître et ,|iie s,.ii disciple. Pierre I atitle. avait deve-
L.ppée dans de ii..u!breux v..luiiu-s le déclinai alors toute
discussi,,!, ace siiiel. déclarant quo |e ne trouvais pas plus
de base- poiuant servir à la morale laïque, dans les doctrines
e\tra\at;aiite- et invstiquesd .\ugi ste (Jointe, que dan- les
discour- de l'aul liert l.n elfet. sijce dernier reiissU a nu
p,,ser. air nom de la science, la guf;rre a Dieu, c csi que la
i.-là largement prépare le
pllie. surv elllle depuis.
philosophie p.i-iii\iste lui avait J.
terrain La décadence de cette pliiL
présente ainsi relativemeut'au pr.)bletne de la morale sans
religion, un intérêt considérable.
\1<>
DIEJ KT L HOMME
I. illIllleiKC dotllilKilltt
a exercée sur le-> teiidaii
moitié du \i\' siècle, e>t
tructits à étudier p^ur le
lieieii Joseph Hertrand.
minutieuse la psvelioluj;
de SCS articles, parus dai
ces mots; " Les pension ii
presque tous scint plu-^ li
ai connu qui leiaientnu
connaissani ii aurait pas
l'incohérence de la peu
liigiijue et lei Ci>ntradic
trcnt prc-îe|ue à chaque
iurvtihent. les récentes é
Cunit,' ne laissent aucui
mentale Le prolcsseur (
publier dans 17;.s. iil.jf>
très lumineuse des acVcs
visme, qui le démontre
dani la maison de santé d
il la quitte une premier
gUeri Depuis (ill a été o
lois dans les années iS^
pr(qios d un procès en;
adeptes connus, l.iltre.
Louillee appelés en teir
reconnaître qu'Au^' liste
pendant les dernières ai
Donnons quelques e
velle science, (bonite i
T1 T" —
ii.dsijfiiii-; i'asiTi\i>iri';
Ions (il'.NI KAl.K.S
r
que le SNstéme d Auguste (ajmte
ces philosophiques de la seconde
un des phénomènes les plus ins-
ps'. chologue L'illustre niathéma-
après avoir soumis a une analyse
e d'Auguste ('omte, terminait un
s la Ht'viir .A'.i /)i7M Sfi'ii.irs, par
aires de (.harenton sont nombreux,
Us qu'Auguste (.omte; mais j'en
iiis // lu alieiiiste professionnel le
lesite à contresigner ce iliagnostic ;
sée, Us innombrables erreurs de
ioiis perpétuelles, i|ui se reiicon
page des ouvrages de (omte, le
udes sur la p.sychcdogie d Aiioiisic
doute au sujet de son aliénation
jrasset, de Nbintpellier, \ lent de
u 11 Septembre 1911, une analyse
de la vie du londateiir du positi-
d Une manière éclatante. Interné
. célèbre aliénisle l'!squirol en iS2(i,
loisa\ec un hiUt-/ ,/,■ s.irti,-, non
igé de 1 eiilermer encore plusieurs
i-ifi.(=.. 'Jointe est mon en iSs7 .V
âgé après son deces, ses amis et
.Stuart .Nlill. I5;rirand cl Allre.l
oignage devant le tribunal ont du
Comte était atteint de folie même
nées de sa \ ie.
emples La ^iciologie. cette noii-
L-sirc la fonder sur les pr.tpriétes
tl
4-
SCIENCE, RFl.U.ION ET MOR.\LE (77
de la nature humaine; mais il méconnait entièrement les
traits les plus caractéristiques de celle ci, ceux notamment
lUii distinguent l'homme de l'anin^al Les facultés intellec-
tuelles, il lessurbordonne aux facultés alTectives, cequiéqui-
vaut à lonsiderer l'instinct de l'homme comme le lacleur
dominant de l'organisation politiqujeet sociale. .(iomte n'est
pas un intellectualiste-, la raison, oli plutôt le raisonneiiient
lui sert de guide pnncip.il dans 1 édification de son système
philosophique Or, il reconnait lui-même que la raison n'est
i|iie trop souvent l'esclave des sentiments et des sensations
D'après sa loi des trois états, la cri>\ance en Dieu, l'an-
cienne religion révélée, c'est a dirl le premier état est déjà
dépasse a noire époque; il remphue néanmoins Dieu par
un Lire suprême métaphysique, let il crée une religion
humaine, .pii aboutit au culte de Cloiide de \'aux, une
femme 1res médiocre, polir laquelle il connut un aniour
ni\ stiqiie
Auguste (;omte prétend que son s\ stèiue de philosophie
positiviste est l'expression des scic(ices exactes, arrivées au
plus h.iiit degré de leur développement actuel; mais, en
même temps, il veut les renfermerjdans la limite du réel et
de l'utile Llïectivement, il traiistorme la philosophie posi-
ti\e cil une luetaplnsique sans aucune base réelle et sans
utilité aucune. .\près avoir intercile d'abord cette philosc.-
phie entie l.i science et la politique, il change subitement
sa classilualion ; scui roman a\cc (llotilde de \ aux le décide
à placer sa religion humaine, devenue le culte de son idole,
entre l.i philosophie et la politiqvie, et il ne se doute pas
qu'il boule\ erse ainsi s i laineuse h ii des trois états et que s.i
classiliolioii nouvelle |iire aussi b^eii avec la plus évidente
realite qu,i\ ec le plus élémentaire bon sens
()n chercherait en \aiii, dans la philor,oidiie d'.Vuciisie
(iomte une base saisissable pourjla morale qui vloit être
imposée a l'homme. Il repousse :1a sanction religieuse et
n'admet p.is non plus les devoirs jCt les obligations eiueis
i
tS
Dicl!
Mltci-llVCS Mlllt CUll-^
cuiniin.- cicalciir de
Uli.
mis Je-' aclioiis liiuiiaiii
L-t la bairicre ciiu\
h
Mn|'(.>-,ililc ilclablir U^ I
Jaiir' iiii sViKiiK- on 1 m^'
se rciK'Kiili L- mille trace
rai-i(jii seule est un bien I
nients
lassuiiis
>ii
iiats, i|i
les raisiiiis
sse ^le ee^
.lit.
I liste
ne la JelllMlitle i|Ue tri
de sou s\ sterne lirovielll|elU |UsteuieUt de
les élciucnts les plus esst
l'uisulle 1 .1
de p.irler. se
Herl dais scjii disidius dont iious \cnniis
ludclauiai
(.ointe, il est iiidlspeus;
e.xaineii
déuiontrell
point >
t .1
morale
, elatlolls
lUeinellt
.\yaiil épouse une lille
produit de sa prostiliilu
ic\ ant SCS
aiiii
d un
e ega
ruauté fét
Jes racontes i)ar
le
(^oiuuienl e\|ilK|Uei
Comte sur tant de p
I. litre
lit
.•rt Sp(
;t de beancoiip, aussi
le leurs pensées i|Ue p
lediKtion du mot f^<isit
i tTs I lie toisqiif les tac
il lés
lUi 'teins prciuiiiile-
la \(di.lite libre u e.xisie pin
mille
et
il dl
isparail
iideineiils
il une inor.ile
met diiinme 1 llUellinence et ..u ne
dm
le lllter\en
tloii de
ible
rempart conUi
e les seductioi
spril. la
.■ntr.mie
Jes intérêts
e cour i|Ui ci.miiiande en maître.
i|iie la raison ne coiinaii |Ms.!/,la
l'.is^al, l'u-inre d .Viif'iislc l,..mte
del.uils principaux
u il
iiiorail
lllels de la P'
partisan
de l.l
lie d .\unUste
ie' collsa..! er .luelipies
1 m 1 e
lie dl
.realeili
du
lli,lies a
.iites sur
il liait aussi irresp-
ibk
le la iiior; le iju an p'>iiit de
\ ne iiitc
ibli
; hiel
' 1'
il \ u ait •Miverteinellt du
il s en \ aiiiaii sou\ eut
et ade ites Ses se
alite llsullildeli
nlimcnts liliaii\ eiaiein
,|ilel.ll
de
e eir ers sa pau\ re ineri
l' .uiiiiirs p
le devemeiiient cl touj< nirs prête a se sa^rilier pour lui. ep
jlesseur.(ira'sct dans sou
l'iiill
llelicc
exercée |
lai Auniisic
liib.îoplies coiiteiiipi
Stuart .Mill. laine, le dep.issaie
ut.
ti
en par
rordoiiiiaiice el I e.iuilihrc
r leur puissance in
tclleclnelk
].,
%/«.-v lut certaincineiil pi'ur
large 1
bien p'
SI lESCK, KKIICION 11 MoR.ME
larf. l'essaierai d'indiiiuer plusieurs
4:>>
autres raisons
jiili
elles de ce pbenoiueiie psv
l.a philosojibie s]
iiritualis
te du xlx' siècle, aiguillée. de-S
'«uiue,-.
Ile
début par Kaiit sur une voie
lauHse et sans
ensuite pa
et d'.iutres
toiles met.ipbysiqur
.■tait,
.11 outre, coniplélenien
merveilleux develo
.•lie
ppemenl des ^ciellces iialurelles
seu
tait impuissante a suivre la mar
Dans
alti.
nt. elle renonc-i
vrai, et rompit ouverleinenl
l'our instiller (.[ua
roi;ea le rôle d ar
bitre suprême. :\\
es sciences
exactes C'est ainsi q
a peu toute ac
tion sur lesintellec
cijaree
de Ht
U dé
ri. de Sclielli
.orientée par
dont
.lie
UleU.
. ertuiiieuse
, (.stciitatu->u
;loU re\elee
d même son droit a 1 existence, c
-lie
[.eléa décider de la valeur
U'- la philosophie pci-iitp
cuels iirotanes et se
eu
dccon-
dera. en • 'Utre aux \ eU.x aes s:
iluslelirs preuves
avants ; nous en a\oiis tourni
1
rite des ^l
laiis le prccedejil paragraphe I a superio
lllds
iastiiiues et des
hll
soi
hc
,lu x\ 11 siec
le
sur
lell
rssiK
jcsseurs ino
le ri
, ticiit lUsteméiit a ce l.m viue.
maîtres de la science
,• de leur tcinpi
ils trouvaieiii, d.iiis le
crovance en un
Dieu
.reatciir de 1 umvcr-
base
didc
pour leurs s\ sternes plulos.ipllKl
Hissant Irein pour im
derer les
lUL-s. cu inéiiie temps qu un
ntraineinents de leur rhe-
tt)ru|Ue e
< 1
.Hiur eiiipec
her leurs i nnceptii
jiubrcr dans le néant
Dans cette situation ciitu|Ue
aoiis du 111'
■ nde
le P'
ih
du
\l\ siècle
imluc la
apiurut aux
parole d un
ir; il leur e\ itait
avaient a
humlli|ati"i\ d un lei^tir a
band..mie. cl leii même temps i
Dl
eu.
ins|
11.111 1 CS|
loi
rdc
.louvoir se ref
ncilier a\ e^
n.ilurelle-
avoir a s iinpi
de l.ibeur vlc
lls lirell
aisée à praluiuer.
t donc b(m accueil a l,i{ rciig
, culte serl^^lx, s
;lii;ioii de I hiiiuamic
• allons nuirale
dial
ectiiiUe su
btilc
la sf)ci(dogie,
mais stérile
Celle non
créée par
■Vous. S.lll~ o
\elle bran
bll-
he de
Aui:
-le t "iule.
((
lil. en (iUire. un cliai ip illiniitc à leur heso
c rlicluii>|Ut. De leur coté, les naturalistesétaient satisfaits
de pouvoir, gr.'ue au sv tenie positiviste i se
I.
ihc
es, et Cela sans ilefoi;er et sans avoir
pelrer dans les bronssaill
de niathénialK len appar
aux uns et aux autres. J
1 inlailiible
e.xa
:titude du
enant
t eertilicat
s\ sterne.
A iiuui le Uiouvenient
Hcrberl M
rr, dans .1
Jesa\<)Uer rciu\re pliilo
son Ineonnaissalilc ne
ble
.■biil
positiviste a-l-ilabouli en realite'?
lijiut (^ihiihiik/s, ii)c>2, a tini par
ophiquedesa vie, par abui'.dunner
u.x et par reconnaître le néant de
la
HJli*l0UlC
il
s est in
\aleuret la haute niissii.u morale de la relii^ion révélée
son (t'iivre grandiose, i
\ aste intelligence e
t dt
ligne ; on y apailera \ol
:t)Up mortel au darw inis
la seleclii>n lllturellc .
(iitiers le mérite d'avoir porté ur
tien,
le
le
sur\ ivra la logiq
de .\1
'ar Contre. U incombeia tou|
visle une large part de
I .- ,llX'
.1 1.-
le K\ u\ic a hiiii <
JoiillV.
If pi. et
M'i''l"
■É. r.
acj,
ullr..\- cl J'.iut
. t 'ahujuil 1
KT l. nOMME
m
exercices
po;
bas
st)in lie s étu-
de la iiietapliysit[Ue l.a qualité
iroit a
l'aut
eur servait,
;arantissaiil
iné respectueusement ilevant la
De
ne restera que le souvenir de s.i
lalent de dialect
icieii Ilots
ill d
enioiitrant I /;/,;
./;,
•de
1res avoir mené une \ le Je
éU
le ce mot, sans lamais
vouloir reconnaître l.i \. leur de la religion, Littre inniirut
lo-uv e capitale de son ériidilion uni-
admirable liclionnaire, lui survivra, comme
iHivre de critique historique
:)urs a la philosophie posili
1 et r
la responsabilité gui re\ieiu
.p,
.pi
ituaIl^tL•
.ettc tin Je >ie.K- r*
h*n-< ttR-o.riphu|ucs, te ctiai Ijtanisiiie de
rh\ piHiti.nit; ahsurheiit le-. intclligoïKo
traïu'hcniciit j la religi<
)h revelce. cl
m.ilêri.*li->me. 11 y a plu-. Je ^^•lxan
«'giiK'-) liiu-'^enl.
lit le
1,1 nai.saice Je linéiques dogme-» nouveaux et le
mal, taiiJi'
qu
il niorl ei hieii moit
c >pii
iluali
.ii:n>;e. km
pi
l.loN i;t
dan
le développelUi
t anarchie intellectuelle, pri 'vluit direct
d.iiis rebr.iiileiiieni ,les tr.uliticMis sj;cul.i;res, ^u'
nt
'athéisme
,qi
:^lk
rel'i
la ci\ ilis.ition ni. .dénie Daiis le magistral ou\rage.
/ R-
dun maître de! l.i idiilosoidiie tran.,'ais
coiilempi. raille.
>ontr..ux.
Ile respoll
smt..iit
pliilosopliie
sur la science, resst.rl a\ec eviJenc
nu.ituins d une iiiiiiiitieuse m.iis tro
\\\ cours de ce cil.ipilre. le crois j
une les sciences ex.icies ni.>aernes
te 111"'
nit lestas
iiUereiiieiil etran ;ers a l.i unerre engagée
1)
lell ci
i in..r.ile
ehii
mieux le leriiiliier qu en reproduis.! ni quelque
des plu-, illusUes -..iv .iiits , lu siècle d
temps, un
.Ile plus haut I /•
le gcuie,
ir l.t t'Ili
.\l|ip
pli
..IVoli liiilii.llll. .|U1 témoigne
d UIK
Vl\ .lolldelU" d .
irit analyiKi
'eiisee \raimeiit inerveilleuse
lie
M
-,t m..rt .i.vant d'a\..ir pu achever •<
lnache
coinpl
SI ) p h i e
l.eibni/. Ni
et mali;re une
.abllite de la
M-etelld.r.t
iialgre '.oui
appu\ er
les allé
> ilululnellte critique
Voir suili-aui 111 e lit établi
;urs veriiaiv
K
ne saurais
ar.iles d'un
■niui . iiti! lut, en lueiue
>nl n..Us a\ ous
\. /.v'..'s. a lor-
Nelle classUicatloll dr toutes les braiulles du
te étendue ,1 eruaitlotl.
.-t dune
.■\at!
llieureiiseiiKnt, .\iiipere
mais, menu
•Ife
'ar tr.
elle
rester. 1 le
. lelltllUjUe,
vlges qi
iepuis 1
ne citerons de
deli'.r- de leur
lit ni..iuiiiien! vie philo
i-ii\ res
lie Desc.irte
s, .11 .. n rage que qi
;ran
di
pr.
:ute
intérêt qu'ils lont
de
le \aleur
le Ion a
pre
.-ihoJe
.•nient élu
lucide
ras te a\i
l.illes depuis .\liipere. Ije pelll .pi .iiumeil
eiilatu es
1er le
l),|i K..ix-
p.i-iu a.
iili-iir' tinaliiluç-
de I. rc-lii
I lil nu Ih
i ,m iului- L-Uiil le
Ill.llUlll.
.u.,-' le 22 lil'
.iiUi- le- .lllli'e- et
eiuhle l^HÎ
ire p
,.llt,i
l.llll.
48.
ilir FT I. IIOMMF
rt-f^ret ciiK- >oii (i'ii\'re
tr'Uivu p;is de continu;
lin.
Sur la cl:l^^iliLatil.n i'
il écrit, entre autre-. ; " '
eaii-.e Je tout ce qui exi'
etre^ placées les prelllk
Dieu avant Je connaitr
■•e inanileste J'aborJ à
conscience.'" N est ce p,
lui révèle l'intellifience
le mènent à Dieu ; J';
prévu, et que n ont pu
propre conservation : 1-
existe, et J'une cause i
ou l'intelligence est pa
pouvait conJuire lin
imparfaite Jes attribut'
exigeait Je lui et Je la
Jonc fallu que Dieu
huinain. en lui ou\ rant
qui le conJuisii à lui ,
inJépeiiJants 1 un Je 1
Je rapprocher Jaiis 1 or.
naturelle et la iheoJicét.
philosophiques propre
un traité Je philosopli
DieuV... l.a ré\ dation
toutes les religions qi
sciences historiques', /
.\ propos Je 1 expos
politique, .\iupere coi
les lois, les coustitutiol
I .\.-M, .\u,|"
/:
l'ait p.is été prise pour ninJèle et ne'
teiirs Jignes Je la uieiier a bonne
e la théologie et Je l.i pliilosophie ,
>n a Jit que. Dieu étant la première
te, les sciences religieuses Jevraieiit
res Mais l'homnie peut-il connaître
.• le mijuJe et sa propre pensée, i|ui
lui par la sensibilité, l'activité et la
is l'orJre aJniirable Je runi\ers qui
et la puissance iuliliies 1 Deux routes
borJ, cet ordre même, ou tout est
;irevoir les êtres qui lui Joi\ eut leur
I nécessité J'une cause a tout ce i|ui
itelligente à l'existence d'un monde
■tout manifeste Mais cette route ne
mme qii'.i une . Connaissance bien
Je son tiréateiir. Jes Jes oirs qu il
lin pour laquelle il Taxait créé II a
suppléât a la f.iiblcsse Je l'esprit
par la révélation, une seconde route
)e la, deux objets d étude t<iUt à fait
autre, et qu il me parait impossible
Ire naturel des sciences La théiJogie
l'ont e\iJemmeiit partie Jes sciences
nent dites. Q,ue s<.rail un cours ou
e, ou il ne ser.iit pas question de
au Contraire, comme 1 étude de
i l'ont méconnue, .ippartieiil aux
des r.ipports de l.i religion avec la
.lut : " i.e législateur peut changer
s des Jùats-. il ne dépend p.is de lui
.'., fl:
...ihi,- .te-.
.:,,:. Je p.irli.
S
s.:ifnc;e. keiioion kt mo^ai-H
r^
\ -ceurs est un l-i'l -'^
dément gravée d.ius tes . p,,^,.,,-, cru avilir ce
,,,.,u.ce qtu décide du sort des Ut4U^^^^^^^^^^__^^
Iiu'.l V a de plus respectable ^^^T^^^^^^^ ,, P,.,.
jiences
aans l'embranchement des sc ., ,H,blic'.-»
considère comme un simple moven.irordrel
/''../., 1' ""<
(■ '■
I ABU-
i\ 1 Kl iint riiiN i.Ka'kkai.i
LE CfiEPUSCUlE DE L» METAPHïSiQuà ET L» REN11SS4NCE
DE L» PHILOSOPHIE NATURELLE
l'KlMll Kl. l'Altni
TEMPS ET ESPACE
i IIAIMTKK l'Kl >lll K
LE SENS GEOMETRIQUE El LES BASES PHYSiOlCGlQUES
DE L* GEOMETRIE D EuICLlDE
-CI,- a^ U-i ....■ cl le- -cr,-jiuii
,li..iiil'-tij-.i'.:. ;.- j inniirv.ilii-iii.. li
U.u{- ilt|i.:iiJjiuL- dt- ^au.iuv -L'inj-
1,1 .lu lii.ihKu.L Jc 1 c^p.i.c j\,i..il
L. f,,in„ - ai-'L ..c
LiuliiiiL'ari
a, - ai^-imii'
- a. a :
1 .
. il \riiKK ^11
LE SENS ARITHMETIQUE NOMBRE ET TEMPS
l.ai...lu.iH
I. - -LU- t
T
(1 \
486
_ La ,ii^^i.s-ic.n ut la Jurée
- lei iiKMirc^ Je 1.1 Jurée '
- Kc l.ihvriiilli. o.liuiie 01
telllp^
- ,, — I.c [ \ ihlllc ■ r 11 - .iJeiicc
-..ilioil- ul Je- iii.iiivcnr
5 -, — U- -cil.,lll"ll- Je, -uh- .
TAliLE
le. lemp- . . . . uii
l Je> .iiilre- valeurs Je tenip-.. . i""*
Mlle t,e|i5uriel Je. pereepluai- Je
DI-.IXI
CORPS,
-.MH l'ARTIH
Ame et esprit
(II.
t, DIFFERENCUTlON PHYSlO
— IllUi.JlUlliiU . ■ .
I.e l.iuui uiu--ill-'lle Le-
i;, le- -..ur.e- Je lélier
le .1. ur eullinie ..ri;. me •-
-- Le l.ihyriiillie Je 1 ..reilU
-épareul le. l..jieli..n. ■
P'"
L.i t'..rmatu»u Je nuire r
,,,urj. Minée- leelailgul.
muges letiiiieiiiie- .
— La loniialiiin Je l.i .'
JéJciuhleliJeiu Je la pe
— La JelinlilaliDli Ju J"l».
lugie el la pliil..-..plue,
_ Les vérilahles labuiatoj
mentale . . -
— Du r.Mc Je 1 e-pril Ja
invenliuiis -iiciitiliiiui
,,. — Rapport- enlie le eu
S^lanJe puieale Le soi
1. — Les limite- Je lelitel
aensallons el Je- per
AXNKXK
LES ABEF
.1 Le spuitl-me devant la s-1
Jl L'ne seaiue Jliypn.. Usine .1
IMTKK III
.OGiaUE DES FONCTIONS PSYCHIQUES
.ans la mesure Je l.i Jurée Je
lits ■ ■
1 le .eus arilliméll>llle . . .
I.ilutiotis inliiluliiee- Jn labyrinthe 1
■ le p-ydiuiue ■ ' '"
nit'ln.nlle! '"*
et la vie mlelleauellV. Limite- .[Ui
pyeliiiiUés Jes manifeslatnni- Je 1 e--
présenlatinli J un -\ -leilie Je lioi-
ire- |I)eS-carte-i Le lejie--ement Je-
iseieiieej Ju nun cUc/. llinmiiie Le
-oniiaMté '^'
ne Jes rcelierelie. entre la plivsi.i-
Ciuisiaiirations termin.)lo>(Uiues i"*!
es Je psveliulugie liumaine expér
1>S
s Llllluitnui Je- Jétouvertes et Jes
p,, l'ailie el lespril, HypupllVse et
imeil el l'ineunsiieiit -"I
lenieiit liumam. le mécanisme Je-
;ptlolls / ■ '""'
AC CIIAPITRK m
RATIONS PSYCHIQUES
M.»-.cuii,
-'#
T.\K1.F.
TROlSlHMi: PARTIE
ÉVOLUTION ET TRANSFORMISME
IN LKiMili. Tl"\
COMMENT :L CONVIENT D'ECR.RE LES LIVRES DE VULGARISATION
SCIENTIFIQUE,
1 ii,\i'iTKi: iv|
^ GRANDEUR ET DECADENCE DU DARWINISME
L, ; -vJi..
■,.liill..nn
./: > i'...-
- ,. _ L.. '.-yiln.L.iJie J'Lrasiue D.invin ,
- , __ Le- .i.n.epti>.ii. Je Lamar^k.
; j __ la j.-veii..l..t'.e Je f.liarles Darar.i etulJ
I , ,,,, I1..I ■ Je Dirwin peiuUnt
^ s- »-.' I
nu...J.
; n - I a p-v.ii..l..i:.e Je lautenr Je TO-v;.,-,
5 - _ Le- an-e- iiK.iplK.loiii.ines de Ihéréa.té el la Jeea.l
Jar.Mi.i-n.. Il linalile Jan» 1 1 bii.l.
i iiai'Ukk V
LA LUTTE DE LA SCIENCE CONTRE LES DOCTRINES DE HAECKE.
- , _ I j p-vchclogit Je 11.1e. Uel
■ ; : - Il .la.-lll.aliiin Je'llae.kel ei -a Ivl ',.^^.... ,
; ', _ le- plo.eJe- HielhoJl>lue- Je Miecke . , .
; î _- L.- lal-ili.al...i.- Je la nature -ek.n IL.e.kel,
s;, _ ., Le- fal-.Ii.al:...i- Je la nature par'Ua.->kel.
; „. - L l-.al a.tnel Ju p„.bleme Je la Je-en,Lin.e Je 1 !i..m,i.e. L,.u-
, iuMuli t:éuelale
(,jl AlRll Ml. l'ARTlK
DIEU ET L HOMME
l. II.MMTKK fl
SCIENCE RELIGION ET MORALE
^un.e el 1.1 relui.
- 1 _ L.v,-,t.-t-il un antagonisme enlie 1
s , — La fiiieire i' Kieu et la morale lal^u
s ; _ l'a |.l„l..-..l.l..e po-uiv.-te. O.lW.lUsl
Mis geno
nér.ilc
l-\l'l U A I 1"
\ s IM s i
>1 \N(.U l.S
Plaïuhe I
— M..,l>K .II.
\.>nK-.
a,,)..
labM.ulh.
I M l'un" '11
„- pUii- yc'V
Je li.rcil i- J'
à . .1 an
i.lU-^l'>'ll
,luut ...1 -V-tillK-
[trdoiiit
k Ul-
ule- l..rme
.Ik, K lu
e, U^ hitx
de Ci.ltl .
l\viilic.il..Mi
limiK
au Ijbvri!
nthe memhra
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,. M V Ik-
a. I iicui
[Plltyl :'"f.'ie
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,,1 lll- S ^aii-il -■' ''
.a NcilKjl ; II" >n-ta ■'■
i.u^tuM ave.
c-l,l.uk-
a. lit 11- ii^i>
a^-'iiv uuibiaiK
UoiiK-m
uUi- :
K
ul.iri:!— aiU. alH.ulil au
ni-.
h - a.
, le Iv.i.
riumimt!. vunsi
dérable-
. le- iru
canaux -emi ciicu-
lie-, le- uns aux autres, i).:
;, de De-, uU-/ .:e -vsltm
ae 1 oreille de 1 li.inme
daii- //."'./*«
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A . 11 .anal lK.nzp
lai ; V
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..rli.li!».!. r.n.l .ui.vM in.iiiimMiv
"lA .-l 1,.^ ,„,.,, inl.ii..s:,anls .1.-
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,.,: i;„aia. Les deu» idéalismes. 1»1"
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tir.ali.Mi .1.1 oumiqiie. ti^.Mlil. 1910.
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Bt.ONtJl.l. (Il Les approximations de îa vérité. lV*tH). |
Bos \: ). lii.. icui 'il i'hiiMj>.i,t.K-, •Psychologie de la croyance. 2* éda. tSM)5.
* Pessimisme. Féminisme. Moralisme. I.''?.
htiL'CllKtl i.M ,. L'hyperespace, le temps, la matière et lénergie. T ^■^^i. 1905.
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HOI KiiK.^r i.I I. Les Maîtres de la pensée ooutemporalne n« odit. liMO.
— Socialistes et sociologues *.'" fUit. l'.'HT.
— Pragmatisme et modernisme l'J'i'.'
HOr ru< H'K. d'i 11 tint 11 ui * De la contingence des lots delà nature. t'>* •-lit. i\k>s.
BHUN^^.HVIC^i. inaiifr.' li- couffieiM^ i ti s^.rh,.iuie- * lutroduction à la vie de l'esprit.
;^« l'ait, l'.'c'i. . ' I
— * L'idéalisme contemporain. l'.*or. |
CiiltiNKT I . . L'évolution du piote^tantisme français an ^IX'' siècle. I'.*07.
GOMl'AYiiK H'i.). 'le liii-iiiui • L'adoiescencc. //('"Vf -/f pkyc.''oh-^i- ri <p- p-:->ia<iogi^. 2« éd.
COsTKjAd.k Dieuetl'àme. -s- élu i.;e ■■.io. .1 L;i.n |,roi,i .j'i.'f U W-.hm^. litO.S.
CHAMAlîSSKL {til.i. (ii.itri»;- .^ Icilic:. * Le prt;mier éveiliiitellectuelde l'entant 1909. :i* éd.
CKKSSON A.i. i.r.-f. :iu ivicu Si i.ni,i> La Morale de Kant. '-''"tiJi!. ^Cur.mué par l'iiistiluti.
-- Le Malaise de la pensée philosoptûque \xy>
* Les bases de la philusoplile naturaliâte. VAfî
bANVll.l.K .t;.i>i'.:i Psychologie de l'amour. ''" t-iiil, 1911.
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llELVnl.VK iJ. . luriili.^ lit- .■..nl.MuiHies ,-i llaiv. ,i.^ Muu (
conscience morale. A.iyujs^-- d'au art mural pusatf Ivkhj
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LUtO.MAKU Ai.). Les mensonges de la Vie intérieure. l'X'l'.
nrGA>, (ItM^teur es luliri;.-.. • Le Psittacisme et la pensée symbolique.
— La Timidité. '>' «'liit. au^meiUée, 1910
— Psychologie du rire, 'i' 1^iit. 191i».
— L absolu, 1901
DUiJl IT L. . l'inf, :i lap'at-.uité d. -liuii de B.»rd<.-au.v. Le droit social, le droit individuel et
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DllPHAT (li. !.. dnctour i ■^ lf:Ur.:s. Les Causes sociales do la FoUe. l9oO.
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Fl'-KK {W C\\. . Sensation et Mouvement Ktude de (Jsychn-ui'.T.aniqiie, av-^o ii„'. -^'^ éd.
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— La Tristesse contemporame. •'>- i^'in. V.'\\>. (C-iunniie \-\r ! Inalilul.l
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FUI ILl.FE (A.), de I hi^tiiut. La propriété sociale et la dépuocratie. i- edit l'.tcv.
FOlJiiNIÈKE (E. , Essai sur l'individualisme.*-" eiit. l90Si
(iAFi'.KLEK. Le Beau et sou histoire. i
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ÛUYAU. * La Genèse Ua l'idée de temps ^ odit. V.Kri
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édit. 1909.
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' Le Darwinisme, ce qu'il y a de vrai et da I
IIEKHKKT 61'KNr.Ert. » Classiflcstioo des ^ciences. 9«
LIndividu contre 1 État, >' t;dit. l'.iDîi
tlKMCKKNKATH iC -it.-c.) Problèmes d'EBàtaèUque ct de Morale. la97.
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{Ouvrage couronné par Vînalitut). i* éd. 1907.
PILLON (F.), lauréat de l'Iustitut. » La Philosophie de Ch. Secrétan. 1m9.-<.
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Élud»; psyi-boloi:iqiie et sor.ioiot:i(|,ie. I9u7.
OUEVKAT. prof, do l'Univ. • L'Imagination et ses variétés chez l'enfant. 1* édiiii..!i, lW-(.
— * L'Abstraction, son iiMe dans l ,;du.alu»u intelkv-lu'jirc. -i* fedit. revue. 1901.
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HEGNAUD iP.}. pt-ufiisseur- h llniversité du Lyun. Logique évolutioouiste. 1SJ7.
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IIF.NAIID. iivLii^'^^B., |,rv.f. au OdUire de France, Le Régime socialiste. (<■■ 'id. IWI.
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HEY (A.!, cbarsé d.: c^nir- a 11 nivciaiié de inj mi. * L'Energétique et le Mécanisme l'.'!i7.
UIBOr ( Th. I. du riiiBliliil, |.r.tv:;^-.iir liui.nr i;i ■ au C dlci^e de France, direcleiir de ;a H'-iae
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— » Les Maladivj^ de la personnalité K'»" cdii. 1911.
— » La Psychologie de iatlei.tiou ll*^ cdi;. 1910.
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Uir.iiKT )Cli.), pruf. u lUniv. de P.^^^. Essai de psychologie générale, ft" «dit 1910.
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B'urdeau. 2i'
liurdci
1.0» édil.
11. de riusIiUit. 11° édit. 1909.
ëdit. :91t.
L'dii. iHùH. (Pareryki et i'aralipomena^
' ■ * " '^ id.
id.
id.
id.
19»Kl
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— • Le libre Arbitre.
— Pensées et Fragments,
— * tcrivains et Style, irtduct. l»ir
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SOliviAr P, I }.r ti.;>--i^-i.r ;i i t i.ivcisiie de Niuic.j. * La Rêverie esthétique.
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— • L'Utilitarisme, 7*^ edil. LUI.
— Correspondance inédite avec Gust. d'Eichthal Jdâs-lbi-J' — il'Mik-lKll i.
— " La Liberté. aviiiit-i.ro[»i.-. mu-oduiitntn ti traduct, ptir Dapuïit-W'lii'.c. 3*
SULLY PllUDHiiMME. do i A td.:uiie franc:ii.-ic. * Psychologie du libre arbitre >uivi d»
itéfiniltons /onda-nentiiics d-s idcti les ptus ■jénéraUs fl Jji lUtts 'cS plui aàstrait-:S- U'd7,
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éd:i. 1919.
.•d:t, 19-1",.
"{.»■'«
6 FF.MX Al.CAN, ÉDITEUR, 108, 1K)U1 EVARB SAINT-GEHMAIN, PARIS (6«)
BIBLIO'
DE PHILOSOPHIE
VOLUMES IN
à 3fr. 75, 5 fc, 7 fr. 50,
Ouvrages parus
]iA>rtl (V.). rliartré de court; :i lu Surij.iiiin;
iithriitre. Si" édilion liîviu;. l'.Hl
HKUU (ll.J, dire.:tt-ur d-; i;. /k-ruc >>ynt.'tr.-,
f.iiti-jue et théorique. l'Ul. . ,
BEHÏHt:i.OT(H.), m.înihr.i *!-! lA-ad- m.;.- .1
sur le mouvement firatjnuitisif. l.t m-ti'
i:ni...:
BHUOEILLES (K.), jii?-: biiiJ|.l.riàiil un liih>Ji
gie- l'.Mlt
Cti.l.tKlKKiL.) * Esquiase d'uue science
[Htcuiiijwnsé jnir l i-,^tilul.. l'-Hn
i:h<)i:K {ti.]. La Philosophie de la praLique
iJAHH'iN ( A.,. ilurUui (;^ i .iii'-s Lexpiicatioi
DAVtl» I Ait:N.Énilr..v- j»; uN-.-.-i.i ;. iTiiiv,
bouddhiste et le bouddhiiioie dii bouddha
liKOMAHU ■<>.;. Essai bur la sincérité. !'-•
PI;B0I6(J.), durteiir isi ij|ulo=..pi,i.-. Le
problème tt la recherche Je us à-dutiu
DUl'ltÉ'D' K./ et NAiHAN t IJ^ M.;. Le h
Pr.j!ai:e de Cw. MALiitHst;. hihliullnicdirc il
DlJRKliKiM IK ).-iiriHt.'=rL-:ir u la .Smlji-iiiie
1 ii,ri \.H. in-?. l'JlO
EI-OiiKN (K.j. i.r-)le.>.."^eur a ri^uiveraile dici
temporaine. Tra.i. H. BijUiiti il li.-ll. I-l^
titut. l'JlD. .
FOlHJ.I.Êfc: (A.:, de riubtitul. * La déniocrat
wnu.
— La pensée et les uouvellea écoles aDti
UOl Kl» J -J . Philosophie de U HelKjioi
l'Jl'J .. - .
HAMELiN lO.j, chai ^'.: de Cuiira a la âuib
L. rtuDiN. chart-'é tie Cours ii 1 riiiveraité d
l.i tiorbuiiiin, l'.JIt)
Ill)Kbl>ING iil,;. piol. a l'iltiiv. de Cujmiih.
Iilcmes. Trad. paiJ. i»ECrtUssAN{.i;. Av.iiil p
.IKUDON (L.), professeur au cullr„'o d.: Vaiii,
Ml-NAUi) ( A.^, docteur es lettres. Aualyse et
W. James. lUlO
MtNDUl.ï^àE (1*.), diifteur es loUix-s, profi
cent. "-"' tjdii. l'JlI
MOKToN l'HlNflt:, ].rofo^:^eiir di: palbnln;:
<io o l'ifts cotlt^};e. ". La dissociation d uuf
luijtc patholofjie. Tradml par li il-w -i J
l'lLU».N ,F.), la<iié'it d.: Ilii.-Lihii. L'Aimée
ItiiiiliitlCH tK.,. * Philosophie de l'éducatidu
inir l Instilut). lyiu .-.
f*KiiriM)<J.), 'iù<.l.;iir '-i.jHi-^ *La prière
TASSY (K.). Le travail d'idéatiou Ihjpulhe^
menés /neutaux. 1 .M I
ea 1910 et 1911 :
•La poétique de Schiller. Iisxai d'vHthê tique
T fr. ÔO
hiihjrfi'i,:. La synthèse en histoire. Jissui
, ; r» ir.
iii'i^i'jiii:. Dn romanUsme utilitaire, l^tnde
HtoltHiiir 1 (/('■/ .V('/.--v( /((' «■/ rh- z J'oincaif.
. J ■; fr. r.o
.1 .ivii ilic H'.idcaiis. Le droit et la sociolo-
7 . ;t fr. ■;..
ptdagogique /.■■■i fiuis •:l Us lois de tti/uaitiun.
,'u,„,„ne ■ I vsth'lKjiit:. Traduit par H. Hithioi
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jtiécaniijue etle nominaUsme. l^lu. 'A fr. îï)
II.' iu>;.v<;liu de hniieiica. Le modernisme
vtil ■' fi-
Précédenimt^n
ADAM, rcf^teur de i Académie de Nan.y.
x:.\' ^I•■He) ■ . - ■
AHHKAi. * Psychologie du Peintre
AIBKV I)- 1'-,- La Contagion du Meurtre
liAIN I Al. \. La Logique iiiductive et déduct
JiAL.mVlN ,.M..;k . j,; ..!,■-■,■,;:■ „ 1 ("uu-i il
mental chez l'Entant et dans la Race. Ir
h\Kr'Ui;X iJ.,. * Essai d'une Psychologie
i,y,(( iiic'i. {('Uiin-'IU'- pti' I Ir J./.'/-M' l-UI'-l
Essai d'une Psychologie de lAuglctene
!iu!inisinc et ftada 'ti-S'n-. l'J'h
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Sciences et U RellgioD
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problème pédagogique. Kssai sur ta pusitvjn (tu
' In "i fl. T)))
ngage musical, tiutie uutiico-pinjdioloiiiijuc.
, ,i|,u,« ]Jii :i l'r. 'r.
L Aunée iiociologiuue. h.mk m .Iyu6-I'.>i»0..
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t. 'Les grauiis courants -de la pensée con-
u.T. Av.tiil i.rupMà ,lo f:\ H'iutioïij-, de i lii.,,-
' , , lu Ir.
! politique et sociale en France, s!" cliiioii.
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l'io(a.:t ,1; K, Bi)i;rm>i:l, de I Inslilul.
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,iiiic. • be Système de Descartes, i.iiliiic p^n-
Ca, 11. l'Icf.i.u .iu K. DuuklltiM. |./.ifej.-.;ui .1
7 11- ."ill
iie. La pensée humaine. >is furm^^s. sc^ /i.'c-
,|,.i^.iul:. li,u HL,l^^.cK:^lll^lillll, lUll, 7rr.rirt
.- La morale de 1 honneur. 1911 •• fi
critique des principes de la psychologie île
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seul- ml ilvMe do Uifc'nu. » Lame de ladoles
; (lu sy.sjênn; ii(_'rvt-*ux k l'Ecole de miideciiic
persoiintiUté. ti'twic i/wi/ritpfti'jue lit' />a'/' '"'-
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. sur i< ^ i't ai-ttùiiS niiirulcs tfanî f' .* /l'i'vi"
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l'Angleterre couteniporaine . /.fi iiis<'s l>c!
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I. La Philosophie dans ses Bapports avec les
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: • U rhilosopliie de H. Taiue. l',«Jii
le i.nir'iiH- lie: I arl nicr-il r lnniii.'l, l'.»'''..
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■o Cou.iorccl. • La Vie personnelle
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BKLOT ;(;.), pr..f. ivu lyceo Lmiis l.;-lir iii.i. Études dé Morale ptositive.
riiislitut.- lyil7
lli:ni.siiN ,11.;, il.j lln^iilil. » Matière et Mémoire. 0' c.iil. l.yii).
— Essai sur les données immjdiales lie 1.1 conscience. S'é.lu. l'-'l|l
— * L'Évolution créatrice.
memliro do i \-
M .I,J Ui'bil.i,
• Evolut
.1., I.;
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* L'Euseignemeut tnléi irai
• La Chilosophii de Newton, l'.i'^. lu t"";
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. • L'Idée du Ph
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llKllTIlKl.nt II
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BKHrUA.Ml. j.r .i. a 1 l'i.iv r^il
—, Les Etudes dans la démocratie
hINKi' A. * Les Révolations do l'écriture, ^l'-e
B1.0C1I (I..', .|..rUur .» lellies. a^'r,-;;.' .I,j piii...-
BiJKX-tiiUll-.l. J,-ll, liossï aiiu!). Le PUiralisine
BOlHAi: iKiiiiU' . r. "leur do l'Ac'.Hdei:il.j de 1Ii.j.m
— * La Psychologie inconnue. tulrrMiuclit.n et
seienr.o ;.,\ . ,.l.|,i,;=. l'.His
BoUllI.V:. . I.ar-.' de .'.a-s a la r^..rt.oniie. «Les Idées éflalilaires
— Essais sur le Hégime des Castes, t Irucaiu- Ji (Auiie.; »",-ui1m^
Itou d- I/. E„ait t>,t.',.\ilu: . C.f<
Hori;lil.Al L. i Le Problème de la mort i' el.i. I',"'i
'- Le Problème de la vie. l'.'Ul
nul llUii:.. p:.'f. a i l iiiv. lie ll.iu,,.. •LExpressiou des émollous
111)1 lltm .\ IK.L de l'iustilul. Etudes diiistoire de la philoso^h tî.
IIUM N.-t.lIVilj, -Jueleur e:. lellre-, lu Seulinieot du beau et
l'."ll *.,
lillAY !.. . Du Beau. l'.''>--'.j.
BKllCIlAitl) ,V.|, 40 l'IusUUu
imi"Na';ilVlC.(i ;K. , maître d
-- * Spinoza, -i* cdil. 1U06.
i:aîIU.VL; ,l-iid,pvîc^, pruf, a ia Surhci
l.llAbllT lllli.j. ppof. a 1 l'iliv. de l.\u
r.illDK jA.). a^-rp,:e de. pl.ilu, ,,pl,:,,. <
11. XY (R . ' L Alternative. (
inomeue >
élude e-\i,ênuientale
De l'Erreur.
ruiilereit.-es
;• edll. 1SU7..
la Surii'Uilu'.
La HolaUté du jugement.
1. . Philosophie religieuse en Angleterre..
1 • Nàluie et Moiulité. 1-
Ij Mobilîiiae moderne- 1'
., , ., /'o-,.-.i,:'...,.L. -" ei.;.
i:iil.l.l.N6 |ll,,'vur I . » Lp Philosophie de Herbert Spencer. ,'>" ed
(.ii.-.l,;.sl"l.M (l-. La Sociologio génétique. /' ■ > c •■'- i" "Ji'u'i
i:osTK. ,-\l.' Les Prmciiics d une sociologie objective.
.- L'Eipérience des peuples et les préïiaiùus quelle autorise. l'^OU
iXlliTl liA'l' ^1.. Les Principes des Matiièiuatiqu s I'".'" .
l'.llÉlMEUX-JAMIN. LÉcriiure et le Caractère. :.^ ■du. U'u.i..
UiliSSON, dur.ieur , , iellr,:.-, ,,.,m. au i':eee :.l-Lou.,. U Morales 'le ia raison théorique.
l'JlVl..
Études d'tiiloire et de Psychologie
îUgions. 1^',",' 7' il.
La philosophie pratique
1-.' u. '-"
liYON ;E. l'L,. Dieu et Science. 1-V-* -^
liAUlilAi' 1. . » Essai siur l'esprit musical. 1*1 .-,
llELAlu'.,'il\ lll . uiailie de e.>i.l a i.i S..rb.uiue. •
du Mysticisme- I.'- --r-iui? u:; .iii.p.>'„ i'liiou„us. IV
liK LA ilUAïJEitlfc R. , liuie .1 <i.; l'Iuaiitul. Psychologie des r
llEl.B()3|V...ui. uibie de l lu>li4ul. p^ut.•^>uiI^ :i'i|,u;d . Il rMri..,i
de Kanl- ISlIû. Ouvrafo cnuruuuo par 1 A. i.leu.i' u.m, ,.im |.. _
11ELVA1I.1.K;J.). a^r. de ^lhIi■.^ui.iii.^ 'La Vie sociale et l'edufiatlon. T'o.. lie
par i'Iii.-liluli. . ,
liELV01.\ E 1.). mailr,, d.: ■•..:ii. J 11 luv- de Mi.ntptillic;
pille positive chez Pierre Bayle 1
llB \lillil.l.:^l.il " ■ V
social
- • Le problème de la conscience. 1.10. , ., .1,
1,1 ,,\,,; ,1 , ,i,. leur e,, ,uur,r. « Lc Problème de rEducaUo4. i«<ii A' so.ii(.o.. ,-.i. /i
rn'li-nf i/,s i'..i î/'ii.c» /■i'i(uv<-..'l'<iii-S- 'J" oduî"" ri'vue, l'.'li
lll'MAo .i;.>. p:..les<iur adjuiut h 1a Sorlionne. Psychologie de
.""(.ul-.Snicm eî Aw;y<is.'e f'uji'>. lilo,"»
;iri'l\Ar ,<• -I.. . dneteur es lellres, L'Iustabihté mentale. i>'-i
iul'lt(11\ J', . .'l,.>,Mi.l.ilaKa.,ulle ,1,. 1, t,-- ;l ' 1. -..■.•. '
blême de 1 éducation. ■-" .lu <' :r. ,, ir I A..-, ur i.-!".;. .. .
urUA.M. i '■«■< Aperçus de Tukiiiouiie générale. 1^.'^. ,
- No'ivell'-:i iiiehJicheij sur 1 esthclique et la mor.ile. K",' .
Variétés philosophiques :: e,lu.;,,c , i auj.ueu.e-: l'jiu
a ia Su:i,ui.i,' . * Ce la division du travail ^ociai j edi.. i.'ii
> Religion, critique et philôso
; I .,'j
'iIuivêrMle du Bueare^l. L Indiïjdu dans le dètei r^inisme
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— Le Suicide, c'.ude sociuloiji-pii'. f^
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VOL JMES tN 8
DL'KKJiEfM iMÛic]. •L'Année sociologlqjie
!•• Année ' IbUti- 1897). — l)LhiintiM ;
G. SiMMEL : ConiUj«nl iaa fniints soi-
sooifjlo^'ie pul.liua du l*' juillet tS%
■2' Aiifiue (lS97-lSyS,. — UuHkiitLM ; De
ri Mauss : La n.iLurti cl ïn f.,ii,!U(tu d
j'^ AiiiiCÊ {llï'JS-IftU9,. - HAi/tL : Im
so'uaios et b rruaiii;.iitL'. -■ SiLiriMti
4' Anne« (Ig'JO- l':.;r;,. — B.jLùi.É : Hciii
lieux luis de l'.:wilijt;.jn j.. -liait:. - Cm
IJii.prioto rurporalivt;- - ^inalyses
r.' Aiiiiéti ' 19l>0-iyOI;. K. biMiAMi ; 1
iin xi\° siècle. — DchtiHEiM . riiir ta 'i
•■' Aiiiitie (liWI-lUii^,. — i)i;i(KiiLiM «L .\
i.ratiuu. Cniilrit.iiliuii a Ictudc ile» rej.
rcceuttjs ^ll^ ..i divi»iijii du Iravail. —
7< Aimée ',190:; l'j;(;i,.~liijBLiij ^;tMAUstf
b' Aiiiite r l'J'i;Mytj4;. - il. Hi.uuiiiN : i,a
J,urK-aiii=ali<Jii iiialni„...jia[i; ..usiralieiilui
0« Aliiiée (I'J0i-l'.)O5 . -• H. Mt.LLLi : C
Beuchat : Les vahutiuna baisuuuiéred
lu' amicetl'JOJ-lîJSitJ). — ]'. lirvLi,>N ; i\
ti.iii à ii.ie eliid«j sur ja reijri.-t.jiilaliun
droit et lU oaslo en Inde. ■ imili/^ei
TuML XI. - {l'Jijfi-lûO'j;
DWbLïîHAUVKHS, piuf. a 1 i;,iiv^:-ilt: de
KliBlNGHAL'S (H.,, pr.d. a rUm-erailéd
i...iiid [iar (i. HaUJall. 1'.
HOiiKU 1 V,^, |J;u^e:^t.■^lr A î.i Si.il.r.i.t],- La
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KNKinrKS. (K.;. » Les Prohlèmes de
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fM'lNAS vA. . de IliiatitiU. ♦ La MiUosi
fiauçaise. 1"<'*'S
KVtl.i.LN F,, de l'in^tHa La Bdisun im
:;ui)i)ie kanliuiiue. {('iJUJ-ouui: >,>r- t'iustiti
FKKHiiHU <(i. Les Lois psycliûi..giy,j
hKUHl Enritti . La Sociûlogie criaiiueile
hEHHl ii,i .-;- . La PsycLoloyie de i'assoi
KINOr ij , Le préjugé de& lacei. :s^ édit
— La Ptiilosûphie de la longétitë. l:i« .jdi
FONSL'iitM K \)T ,1. au 1\li;u Hiili.ji,. » Esi li
KOLCALLl, itiofesseur a i Lii.v. de M
- *Le Rêve. l^LtO
FOI H-Lht f,\li ,, ile i'IuûLitijt. » La Liberté
— Critique des systèmes de Oiorale co:
— • La Morale. 1 Art. la Relignm
— LAveuir de la Métapbyiiique fondée sui
- *L Evolutioiiaisnie desidée^ torcea. i
- • La r'sychologie aca idées torces. :i
- • Tempèrameut et caractère, i' >;dit.
~ Le Mouvement positiviiiie et la Ci
- Le Mouvement idéaliste et la réactioa
- * Pi>ycholo(jle du peuple frauçai^. i' i
- » La France au point de vue moral, f-'
- * Esquisse psyciiûiogique des peuples
■ » MeUsche et 1 immoralisme '-i' edii
- * Le moralisme de Kant et l'amcralismi
- • Les éléments socioloyiques de la moi î
--* Morale dtb idées-lorcts a- cm Ijli
- L'a socialisme et la sociologie rétonniste
tOiiiNiiiUiO E. » Les théories socialisée;
FIjl.I.inLKT. Essai sur l'ûbUgatlou moral*
li.ïKOi- Af M, jnui' a I LiHv. d^ .Nj(>l..-ô. La
- La Superstition socialiste. !i?J.)
(.l'iKAi;!) VAUEr. piuf. a ilJiii v^r=itc de 1
4jLE^ D' K. . pruk^iM.ijr uu CoHéK»; de *'r
pathoicgique, aw;i: [\z. \'M6-
(.iiio )i. L'Immaaence de la raison dans
(.({ «.-.-Kl" .1 . j.l .;. ;. i ( ij;v. '.i.; M. 1,1; .i 1
- Introduction physiologique à lÉtudc di
du SjfStt'iuc w ri- eux de l'hoiuntii. J* édilioi
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1 1 vûiuiiies parus,
(.a prohibition de l'incesle el aea oripinci. _
le» »e iiLiiiillennenl. — Analyict des liavaiu île
a HO juin ISDT 10 fr.
ia deliiiitioii des pliénoiiièoes religieux. — Hitbeht
sacntice. - Aiiiilijsits 10 Ir.
■<l, la ainolii, l'tlat. — Kicuahd : Les crises
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ri|iies Silr le .-ujjime des oaslcs. — Duiiliili:j.\i :
iMuNT ; jNotes eur les causes destincliou de la
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ALI9.S ; i>e ijUciques formes primitives de olassi-
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ai..ie ctd(iiil induiduel. — II. Htiir.; : Cuutiil.u-
oilci'.tiv4rle la mi.rt- — C. BuuiiLt : .Note sur 1.-
■■ I-J Ir. fiO
ir, fr.
Brii.xclleil. » La Synthèse mentale. r.»w. . . :. fr.
ILilie. précis, de psychologie. Trad. de l'all,!-
arole inlèrieure. ■." édil. lOOi... 5 fr.
la Scieuce et la logique, trad. J. Iiuin.i.s.
.■ ;) f,. 7.-,
phie sooîaie du XVIIl» siècla et la BèvoluUoD
• tt. m
et les antinomies. Es:
l'Jij:
symbolisme. I^j.t
rradu.:U,)ii I. Terrier. I90D
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— Henri Heine penseur. I •'.■
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I.iO.N li.,. it.Mt.';ir de lAr.id. rie Lille. »I
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PiiitKS [Ào.at\\ pr.d. s>.i;i' :i>i ly>,é.- de f -i. ;i. * L Art et le Héel
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, — L'Enfant de trois à sept ans 1 ■• M. t.'uT
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ISilll ii Wm. 2i v..(, (:i,,-»;iin (lO:: et l^'.'k .■;..é -■ ■
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l Esthétique musicale
Les notion:, dessciicj et d exis-
Le problème de l action
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li.rd''a:i\. *L'évo!nlii)n psychologique du jugemeut.
M-H-li.t'liier. Philosophie! de iellort : - eà.;. r.-^'S. 1
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SAIOK.Y (K. . • les sciences au XVIII' siècle
V\1NT-1'ALT. PM, :, »Le langage iiiténe.
V\N' Y l-<(-.\KTIN. L'Individu et la Béfo
si ;,111.1.KK, !••.), pr..f.-.seur a. :..,.,.- Chnsli^
nanisme. T.-ad.D' S. Jv.K....vnv.Hl.^i.i
SCHIN/ lA.;. prnfe.seur a rrn.v,M-.l.- • ■ 1
mcn -/M rfro.V» rM,»<:«7s ,/« / «'■"''" ' ■'"■
SClliil'ENIIAlKK Aphorismes sur la sage
1 . le Monde comme voloi.té et comme r
SÉAlI.I-i^êrG.«,prr,r...eur:, lap...l..>nm-
_ . la PWlosaphie de Ch Henouvier. I>u-
SlGHKLi; ^. 4."! la Fou''' criminelle. ■'■' '
SOI 1 \ï» "' ^ ■ 1-= Prohlème de la mémo
-.- Psychologie de 1 idiot et de lin.bécile. a
_ le Mécanisme des émotions. VM-:^ •
_ le doute. i:i<'.le Je p^ychoh,:;,e affcclK
SOIRIAI l'aul,. prota^enr al•lInu.da^
_ • la Beauté rationnelle. "'J* • • ' ■ ,m
- la suggestion dans l'art. 2' ■■<iit. 1J<JJ.
STAl'FER (1' ,. * ttuestions esthétiques
STEIN -U.). prof.-a l'Dniv. <ic Bctn.ï.
.EVABD SAIST-OrtlMAIN, PABIS (CH
M^S IN-8 , ^
,,„ Physi^ri.', do VoUu.rc I ;^ ^'■
r et les paraphasles. 19"1 ■_^ ^' ._,^
, ssai sur le génie dans l'art.. e.l,l. ..Ml_^^ _
,/„r:((o;iri-. ueo-crilicuuie. IJOo.
,l;t. l*")!
::;!ni'l-r.'te.te.-;;-'oduVi903:
. l'jM'.l ■"
anry iBstMUque du mouvement..
la
r.Hio.
STr.\HT Mll.l. *Mes Mémoires. Hiftm
_ .'système de Logique déductWe et in'
_» Essais sur la Religion 1 •■■''' '""
■- lettres inédites à Aug. Cor.ite et r
Sll I.Y Ja.M.-.- . le Pessimisme. Iw.i. H'
l.Essaisurlerire. r....1. L.on lorne
Sn.I.Y PHlDllOMMli, de l'Aral, fraiir
_ le Uen social piibliJ par c. Himon..
TAKIiK ir..,. .1,. no,iil..it. » la logique
'._ • Les Lois de l'imitation. n= '-'ti- > '"
_ l'opposition universelle t^"" ' '"•■ '
- «L'Opinion et la Foule. -V- ciH- i' •
T\Bl)lEi; (B. *lEunui. riuil.^ p.-!/'''"'
•nlOMAS-1-.-F. ..lo,.l.nr.'.sl,.Ur«>. »P.
-. » l'Éducation des sentiments. .(.,.ir..
TI6SEHANI1 !■.,. <l'..-l«"r i^■'lellK•-. IT"
Maine de Bilan . i'.M
ruiSEiJ.;.-... u'). fart et le geste. l'."i'i
VAGUBR'lT Kl.), ■l'-nn-lilul.* Essais
^- la Bfcli0on
W \YNHAt:M 11' 1.1 la physionomie
WKBKK (L.,. «Vers le positivisme ah
ind ictive
épc uses
BIHMOTl
Puhliés sous Ui tlireal
A^■SÉE SOCIOLOGIQUE. 11 volum>
BOL-GLÉ (C). <:har?e de cours «b S,
1903
IIL-BERT (H.) el MAL'SS (M.), dircc
d'histoire des reUglons.
, vol. ii;-^
LEVY-BRUHL (L.). protescur il la Sor
rleures. 1 vol. in-8. 1910
Ir. M
ri l'r.
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10 (r.
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d Aug. Comte. 1!>'JJ — ,
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W vraie reu'glon selon Pascal l'.«>i.
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1 ri,»rl,Mi-i":.- ♦!■ anthropologie de
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de philosophie critique • ■■ ^ ^^ ,^
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HKolE I)K PHll-dbOPHlECONTEMl'URAlNE
TRAVAUX DE 1/ ANNÉE SOCIOLOGIQUE
l,un c/f M. Kraile DUKKIIEIM
b parus, toir détail pages 7 et 8.
..bonne. Essais sur 1. règlmed.. Caste.. 1 vul. .n-8.
;;,adjoVnlsVl Ecole des Hautes Etudes. MéUng..
,î^!:it:L,s .onctions mentauV dans le. socU^sihlé^
COLLECTION HISTORIQUE DES GRANDS PHILOSOPHES
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COLLECTION HISTORIQUE DES GRANDS PHILOSOPHES
PHILOSOPHIE
AHlSroTB. La Poétique d Arlstota par
A. HAT/.I.E1.0, l'I M. DUH.L». l vol. i:;-'<,
190(1 ■■ '• '-.
— Physique, II, trad. et cumim-utuiro par
O. 11A.MELIN, eliaijré de cours a 11' Sui -
bouno. 1 vul. 111 •< ;! fr.
~ Arlstote et 1 Idéalisme platonicien, par
Ch. \Vehsi.ii. do.-.leur es I.Hus. r.'lt'.
1 V..1. ilr» 7 Ir. 'M
— La morale d'Aristote, par .M""= JuLts
l vVRK, lit'.: \ tl.lt.-., 1 vol. ili-lâ. l'fr. r»)
— Morale à Nicomaque Livre II. l'ia.l. de
1'. 1, lltlLiuvii 11. ,;l 11. VhiiM: ll,ll.,a. el
nuits de 1'. I. ilt.iiol,vii ih. r.'hl iir...!une
in b 1 ir ^0
ÉIMCL'RE. *la Morale d'Épicure. par -\i.
Gi YAU. 1 Vol. iu-S, r,'^ e.Iii 7 Ir. .■'!
MAIll'.-Ai:Hl.l E. Les pensées de Marc-
Aurèle. Tra.l. .\.-V I.» MLi.iiui. i ..eu .le
i f 1,1V. .lu Caeu. l'.V.'. i .1.1. lu-lO. :) Ir. 7,0
ri,.\'l'(iN. La Théorie platonicleuue des
Sciences, par Élu 11 u i,v i lii^ I"^'.*"». ■> fi .
— Œuvres, tratl>u-.li'j:, Vluiix; i:uL>iN revue
par J. HviiiHKLKMi-S-vi.M lliL.viat :
.S'ocrrt(e il J'i'UL-u ou /e IHatuttiiun- —
Kl.lyp'ifon .l/'','";/lt.' dt; Socr'iîr
liUun ~ l'hcd-jn. 1 v. iii-X. IV.' i. 7 1,. :«>
— la déliuition de l être et la nature des
Idé'es dans le Sophiste do PUitou. i- ,r
A. Ilu.s. dorl-.ur , j 1. lires, 1 vul. lll-^
l'.l.iy i ■■r.
■Si')CKArE. • Philosophie de Socrate. pir
A. K.,Lil l.ti.,iiri li,>Uliil.- vil 11.-", li'i Ir.
— Le Procès de Socrate. par G. Snati..
1 vul. m-S 3 fr. Wl
--La morale de Socrate. par M""-' Julks
Kavmi., lii-e Vi,LrlN. l v.,1. 111-1". :i fr. iiO
STKATON llK I.AMl'SAiJlK. "la Phj:,;qua
de Stratonde lamps.«i.ie. parG. Hi.i.ii.u.
|,ruf. a la Surl.uiHie 1 ■•■. . m-S.. . . i 'r.
llENAlll). La Philosophie ancienne, ses
sv^léliu's. 1 vul. 11.. > '.' ir.
lllEs A. , doeteiires lellres. Le cycle mys-
tique. La dùiiiitif. Ori'jmc tl /in idjf.M-
tenc-ts individuellet datit la pkilui'pkic
aiitéiocratique. I9m. 1 vol. in-;*.. 1 (r.
ANCIENNE
K.MiltE ;Jusei>h . La Pensée antiqua. Ile
Minse a Murc-Aarcl.. ..' eJit 5 i.-.
-- * La Ftusâfi chrétienne, /vej Eiui'^iUs à
i-lauliti'J'llliiJ.t\ 1 vul. ni-» 9 fr.
GOMPKR4. Les penseurs de U Grèce.
Traii. 1 tVMuM,. \Trud. cour, par iWca-
driiiii.' I
I. La pi,
gr. l!,-S
U. ».l(/.
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iiiru.
1 vol.
los(fphie aiit' Sùcruiique. l v..l.
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„ci, S'jcrafe el U» .Socratiqws,
l vul. •_-.. ia-S.2"eJit.... li fr..
lu. Z,'a/, ;ie«/ic arudihttie. .irist'-'ie ft «i.'*
suctevs (,rj : Tlu'Opkrastc eï .SLratoit de
Li.impii ■HK. lyio. 1 vuI, ^-r. ia-«. tu tr.
GLVOl' 11.1. douleur es lellres. L'Inimltà
divine ■,i'.''"n" Pfiiton l-j Jutf jin'/u'/i
l'I^ti,!. Ui-". IvJilO â fr.
I.AKiM UNE A'. Le Plaisir. J'ai^rit
l'ial'ju el .irisluU. 1 vol. lu-3 0 tr.
.MlLHAlll G. . jiruf .à la Sorbuiuie. '♦Les
philosophes géomètres de la Grèce.
L'uu j<n. pir iln.%tau.l ''■ Ir.
Étudeb sur ,1a pensée scieniitique chez
les Grées et chez les modernes, llii'i.
.-p'. :'■ fr.
Nouvelle» études sur 'l'histoire de la
scicutilique l.'l 1. 1 . " . ii. ". .' Ir.
Il Les larmes littéraires de la
ijiecque 1 vu;. ia.> llifi.
,\.,.. eharue de e.tura a i fliiver-
p.uii. rs. Le problème du devenir
et la njotiou de la maUére. '0:x uri'/mcn
a i fu .■i.!,rtr-ic. ' jur^iuit: par
niic frai.aisi:.' 1;,", !.«"'. 10 fr.
I,... el.ar_'.. ,!■_ ■■..-;= a 1 l'iiivvr.
r.iea. La théorie platouicieune des
>t des nombres il après Arlstote.
biaUtr;,i.;e cL crtli'iae. lu>.
Hccoiip. pur l'iii^aïut 12 fr. Tiii
La I héorie platonicienne de l'Amour.
■ ^ 3 Ir. 75
leav vul mues oal été courunue»
lut et par l'Ass..''i .liuu puai- l'eu-
eiil des EUidt-s L:r.;.',iaes.
1 ANNEkv iPauli. Pour la science hellène.
7 tr. 50
PHILOSOPHIES MEDIEVALE ET MODERNE
»1>ESCAKTE.S, j.ar 1.. 1-iaiu.. de i'lll^lllul
'i" edit. l vul. m » '' 1;.
- Essai sur lEsthétique de Descartes
par E. KliANTZ. |irul. a ILiuv. Je .Nau,:;.
1 vol. iuS d '■■■■
. Descartes, directeur spirituel, par V. de
S-.vAi,ii:. la-ll'i ..vei; l-lai, h, ^. runi'. par
ilmttUll ■ 1 fr. .'0
— le système de Descartes, pa: o. lliMt
il\ l'uulie par L. Hutiiu. Pr.ilaeo de
/.;. Ii,,kh,s,ii. l'.'U. 1 v,.l. ir...". 7,lr, 50
KiiArME Stultitias laus des Erasmi Rot
deolamatiO. l'ul. le e. al,u„l..iMr J. U.Kail.
av..,- UJ.de llu'il.,iii:. 1 v,,l. II..-.. .. 1.-. 7.7
(lAï^SENDl. La Philosophie de Gassendi,
pari'. -F. TuuM.vs. 1 v,!. in •- ■' Ir.
l.r.lIlMZ. ♦Œuvres pliilosophlques. puli.
par .'. .Iisia. i Vul. Il, " -'0 Ir.
. • La logique de Leibniz, i ... 1.. Iau u :,ai.
1 vu,, iii-s 1- t'
_ Opusc. et Iragni Inédits de Leibu-.z._ pa r
1,. I.uru-i.vi. 1 v.; ,1. s ^5 1:.
- • Leibniz et l'orgauisatiou leilgieuse de
la Terre, d'après des dvcw'itnts inMtts.
par J^as Bar'.zi. 1 vul. iii-8 (Cûiiroiu»»^
par n\i.id'-:jdc /'i-ançuîîe' 10 fr
-. La piulûsophle de Leibniz, par li. Hr*-
>Lii.| lr-,d- p.ir M. ilay. préface ,1.:-
M. lje,yBriilil. I v..i m-S (('..mr. )wr
i'.lr.ij/. ^'il,,!'.' ■> I". '•■'
— Diseurs de la métaphysique, intro-
ùiieli^u cl l,ole^ p.. Il l.,sr:t.-<:.L. 1 vol.
la.^■, , ,. -î >'■
- leibiiiz historien, lissu uir l'adivitéet
U i,f(,Vj./e !::slurujvr .'■• Leibniz, l'ar
• •■vu LÉ, dueleur e„ :at.-e,. 1 vu!- i.,->
13 Ir.
MALEIRA.NCIIE. «La PliUosophie de Ma-
lebratiche, pir ' iLii':-f..'.. i,'- .vi; de rii,=liiut.
,_s lOIr.
Le Septlcisme de Pascal, par Duo/..
;ur a l'iiiiver-ile d-. 11 :- .ii-.i'i.
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1911
isi'.tLlN. Bosceliu philosophe et tUéolo
,1'apréj 1.1 lé;, n.ie el ,i 'après I his-
sa plai:e liaus riii^tuire >:êuerule v i
l|:ir..o,ies pliil'iM.pliies luêdiévaleB, par
F. l'iiAVi.!. cl.ariiê de cours a laSorbuiiiie.
l vol. gr. in-8 •* fr.
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les verrions liruiilUv.H ■ l.----^^ ^-,1^^^,,
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Usme de Saiut-Tlnmas, \»i;i^ » ; . , ;
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c,iij,.ialis'M..ri:.;i-;i'l """I '^ ,,,.,„,_
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Carl'»l"li^s ■ ■.' ■ ■ 'i' i,,,',i.-l;i::i.
-- Ethica ordiiic u-,."iii':ii>"
od.um, J. V,.„ \l"l«' .1 -1 ' ■,',,, ..„
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FErEKbAnl. Sa Philosophie, l'u^-^- 1;^
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jAOdiI. Sa Philosophie. |iai I- l-»-' ' '
l vol. lO-S
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SAINT-GEHMAIN, l'AIHS JÔ*)
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ioire de laPhUosophle au XVUI «lecle.
.111' ,1 iii>fl.-iir «-r leltrrs. Ebsai
"'';:^;:stMre de l'idée^ progrésius^i^a
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'ril^TUd-iiooCëfir-a^o,. ,1.1
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,„„„, Histoire géoérale . et oo.op«ee
,,V,;k m/;,;:: mstoire^de la philosophie
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scolaslique. un., lvol.gr. 1""
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„.,.v„..,...o.u d.lA..i;,oi.id,.l..iN.
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,,„ ^K. 'ta Phiiosoplnogciiérale de John
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Vt/idililisme'èu'AuSleterre au KVlll^siè-^
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Ai.UEMANDE
KAN-r. Critiuue de la Bai.oa p«U,u..
''. Critiqle de la Raison pure Uad.i, l,..ii
.^,. MM, l'a.a„d.;i 11 •■"'■■"l'i -"'•-,./„•.
■'É;iaîrcis»en.enl5,W 'la 'critique 1^ la
'Raisoupure, ii.'d. li-»"t- ' " „,.,,.,,,
Doctrine de la Vertu, tiadodi....».Ji •.;•
. "uélaiiges de Loghiue. uadu.-Uoo 1 1*^..' ■
'."Essarsur lEsthétiiloe de l"^",^!';;.'-
SaMorale. parA.i^iif. . "^ - ^ ,j (,.:,,
'si phHosophie pra'Wie. i' |'' J- 1'^*^;^;');;
/"l-W^o ou 'critique VKa„Usme..PJ^
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^,S, . ..n'IlTl-- et le Problème do mu
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PhUos'ophle et V^^^'>''?V^<'\y^f:fTt
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.'philosopl ;oU Science do lanauire. rr.d..
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La PhUosophie de Schopenhauer. p;-
li,. Riu'ii li' ■•'I 1 ■ ' ' • ■• '
1 v.il. iii-l'' , .,.,.,1 ,,.,. _ la phll isophle ue ovuui-v^, ., ,...'-,,i
le rondement de la Morale. Hh-I. !- "r.T;, i;- -1 ' •-■■''"■ ,. ,l 'V/,
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Pensées et f^gmeuts. » h' ' i '_-;;_ .,,,„,,.,,Ua,<e,-, p n- ^ '"-'•'"■-• (r. M
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J/ura/.'. Tiad.mp;.. ■). li'"' '"■, „ r„i
lion. 1 "■!. 11'-'"
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_.Aphorismee sur 1» Sagesse dans la Vie.
J'Ècrivains et Style l'rad
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^^|-UMïoi-,il»deNan..i. iTOl.
lV.ii::ma\i;e;ic,:,:u;.re,u^i.u
'^'■■V'!,'' E saisir le Mysticisme spé
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^^^ ^pLÎsouTla direction de M^C. PUT
A rrcb-e du pliii"
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. Kant, p« M. iuiïsstN,i.rote....i ^ ; ^';]';:'^;]^ .z .
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. Malebrauohe. i'. i ''^,''" •" , ,,,,, „,.!( ■■•
. Pascal. !•..; A. ii^-'"^^ l,,^, „t V,.!...-.:- l -•
. saint Ausehne.iiu X^V.l i, a''r.i;:i do II nivei.ite. 1
Spinoia. paf 1'- L t-i"-!-"'"^' ■
/,.,i,tc,ti*i3» :"",'\'\
Aristote, parO.l'iAT.l v„L ii.--.
GazaU. pii' '■'= l"i'
. Maine de Biran ,.- .
. Platon, pai ^- P'J^;,, .;^:;,' ^^,:-;;cui- a l-i;iliver,.to li
M.)Utaigue. |,,ii '-.fT"" ■**",. , ,..j
Phiion. ,,ar •'"'■••.^ :;-,';;;■. ',,:;t;;rï:ud.ros. i -.1. ■;
. Saiat Thomas d M"""' l'f f, ,7„,„l„l ■ ■ .
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» Epicare. par K. J"J-<- ■ „ .„ .1, ,,u„lei-en=es
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«j-i Bach. p'. „■, ,^, ,^T.uisnv ,i'ei,«.>-
:^:rirsoin:';^r ca.icu. «.—
•Stieuna.pai W.i-UAM Hr.tsa.
,6 FÉLIX ALCAN, ÉDITFXB, 108, BOU .EVAKD SAINT-GERMAIN, PAR.S (C.')
BIBLIOTHÈQUE GÉNÉRALE
DES
SCIENCES
S,,rcl. de h Ihdnciwn . iHCK MAY. S.crtl. pé.i
Chaque volume iu-S de S'«> P^rC^ >•■"*"■'
12
15
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1 DniveiBité
LindiïlduaUsation de la peine l'w U.
riluiïor.-llt .!.-• l'aris, -'■ eài\. l"l--c a
L'IdéaUsme social. i.aiEuir. Foui.Nitiif.
» Ouvriers du temps pass* (.w el nvi'
file de ni.iuu. ;>' <^''"-
• les TransformaUoiiS du pouvoir, i.a
• Morale sociale, par MM. (i. Brin
iJATiLi-. Dalma.;, Ueluet, (h. (ill.l-.
DE llooEKTï. li. SORBI., le VusUr.r V
• Les Enquêtes. i.raliqMe el théorie
• Questions de Morale, par MM. Bi:
Di.iiL.s. FouiiNiiiit, Mahieri, m,.
. le Développement du catholicisme
Ti-,.MA!vN. i.rofes.e.ir a la l-ar;,lu
. le Socialisme sans doctrine. /." ','"<
,J t« .V,.<.iJ(f /cl.iif't- par Alburl
I. «Assistance sociale, /'iiunce» c( -Vci.jd
• lÈdncaUon morale dans 1
K0«1Z. CLAiniS. K.ICAFUKI. Bl.)l
» La Méthode historique appUquée
feriseiir a la riurbuuue. ,2'' édit.
•L'hygiène sociale par E. Uuclaux,
Le Contrat de travail. Le rôle dos s
a la Faculté libre Je druil tic Palii
• Essai dune philosophie de la soll 1
X. Léos, I.A FuMAine, K. Hoi;--
» l'Exode rural et le retour aux
• l'Éducation de la démocratie, p
MaLaPbbt. li. Laks.in. J. Hauam
• La lutte pour lexistence et l
• La Concsrrence sociale et les de
• L Individualisme anarchiste Mai
» La Démocratie devant la sclenc 3
2^ eJit. revue. iHe^umpiliiic liai
» les Applications sociales de la
l'ACLtT. HllBIS, àlKliFBltll. H«lll
La Paix et l Enseignement pacilisl
I,,. CtîNSTA.Nl. E. HnUllI.LtllS. \
l évoli tli
• Études sur la philosophie inorale
.\. LASIin^ (ïlltb. KOIIEHTY, ?
' Enseignement et Bémocratie. pa
Ch.-V. Lasolois, g. Lasso», A
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iiéral de l'École des Haules-Éludes Sociales,
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i puiul ptr 11. MuluN, dor.tcur eu droit,
pruf. au Couservaloire des Arls et Méliers. -i' i'\
sièeles), par H. llAUSt», profes.eur à l'Univer-
I}. Tahde. de iln..lilul. 2' édil.
Mahi;ki. Hf.hses. Brusskuvicg, F. Buisson
M. KOVII.EVSEY. MAl.Al-tHT, le II. P. MaI MUS,
A...NErt. Ifréf. d'E. B.iiUr.iu.x, de llnslitul. S" éd.
, ir V. DUi Maboussem. (Comonnc far l'Institut.)
iT, BeiiKès, F.- Buisson, A. Choiset, Daiilu,
1. l'AHOtil, G. SoBEL. 2« edil.
_. depuis l'eneyelique Herum noiiarum, par Mas
druil de 1 Université de F-ribourg. 9= édil..
.m uiiiriére et U ijueilion ui/raire en Autlralie
Mlun, agrégé de ITuiversilé. 2* édit.
'iauts, par Paul Stdauss, aéiialeur.
par MM. I.évïBbchi , Dablu, M. Bcbnès,
Ph. I.IDEL, MaI.APEBT, BeI.IJI.
i sciences sociales, par Charles Seigmodos, pro-
de lliislilut, dirccleur de llnslilut Pasteur.
ndicats frofcisionneli, par P. Bureau, professeur
arlti. par MM. Daklu, Kauh, F. Buissos. liiuc,
u». 2' edil.
Champs, par E. Vaspervelde. «• édil.
MM. E. LAV1^^E. A. CbUISET, Ch. SElOKUbOS, P.
mil. 2= j-dil.
on des sociétés, par J.-L. de Lankssa.i.
ûirs sociaux, iiar le .même.
Stiruer. jiar V. Basch, iirufestcur k la Sorboaue.
[liir ('.. BouoLÉ, chargé de cours à la Sorbonue
l„U'iut.)
^Udarlté, par MM. P. Buws, Cb. GloE, H. Mo.-h.id,
boel. Préface de M. Léon Bourgeois.
par MM. Fr. Passv, i:h. IIi.;uet, a'EsTOUBSEi.LES
WbiSH, H. La FoNrAl^E, G. LïOS.
au XIX' siècle, par MM. Belot. Uahiu, M. Bernes,
Llitfl, H. Lichienoehoer, L. BHUsscHïica.
• MM. APPELE, J. BOITEI.. A. CB013ET, A. DeVINAT
, MlLEEBAMD, Ch. ABIGKOBOS.
muLioTiityri: .,i:Nt:KAi.E i.Es sciEsa* socime
2^. •Religions et Sociétés. ,.ar MM. TH. Hei.ach. a. Vuec
,„,l., 1,. l.,,„n i;aiu.a .le \ uv. 11. IMit ■
21 «issals socialistes. A- rM,i:n. 1,'rt. i.dco.l. pa. E.
ti .le surpeuplement el les habitations à bon marché. ,
„;,...[ A.. P.in:'. el "■ P''-'. >^'V.
r. •L'individu, PAssociation el 1 Etat, par E. Fuckmebe
:i„. • Les Trusts et les Syndicats d. producteurs, l'ai J. <■„
3,..Ledroltdegrève.p.rMM.cl,^Gi.ElLBA«BFrE.^.^
I, u Cil l'ii; ■rtNMU'. A.-E. »a\ui;-. r.
,,. • Morales et Religions. ,.r U. --- I,;'- iU ,^:r '^
-^!':?":::::*::i':'E.^'<'^»'"rï:::^q'"'-'
,11, u. .AL-.u:«. A. l.Enoï-lltAU-
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3, .^Z^:Z ^a- '■adolescence. 2;....^--;^ '■
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35. • Médecine et pédagogie, p.; MM--" , .^ _.
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G*the. il.».. '.'H'« •'■■'■'"•'•'■"■'""■' ^"'*
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PllillitK-MAU<:Kl. I U . Essai^ P"'"'^"!
auesUons'actueUes de politique étraiii
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l.ar MM. le l*'™" "''• '^"''>"'-':'' \,
i.Eri..s.Vn;r.jB Uéh.m.i.. H ..t: i.ain.M
auestions'actÛeiles ièpom<i<iJ étranq
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■„m/l./..e .le l.i criir. ,raroe,:ine Ut
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Slifl IIku ' E,:;^'r'^u. -i-a-^ <i^' i^-l-^'''- pubùijiuVHommes et choses de la Révo
STrH^^ïu,'ae'Vl;;:|;u;ù■Les'«.u«;ées'àëpii«=ii.^ régime et^
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l...ue. l'.iiiO "■ ■ .■■"/•."- '""■,.'';;..''',„■ d'À'ix'M'ars'eillé. «La pohtique coloniale en France
GAlKAliKL P . l'i'>l<=*'«"[,''J ' " ' "^■
(1789-1830). 1 V..I. u. ^. '■'",• T ■■.■<"«• "é'd'iUou revu., el auumeiilêe
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^ ,n Él'iile ,rl,i»loire byzantin, par A. I.OM-
l',„(,:s^e<ir Ch. Diehu. 1 vol- l"-» ""■•
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^ , M I,. l'i ..f.'asè'iir \ Lii.lHAlH».
et de P»ri», par M. 1. l i.)les»eiir .^. ^ _^
laides et Finances de Montpellier, p.nr I.. Mab-
l"4507'626?',par"M;iùl'n,fc==.ur "^■''^^';^"
, tr I.ISGIISTIIJLE
Alsace en 1870„ .-.«nimaire el lexi'l"e, V"^[\-^
i uvergne,' ' phonétique historique du patois de
|,Ai;.>T. l'..-la.:«... M. 1.. l-.-l..-"r A. 1 h.v. as.
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rrance en Angleterre I5-. lo4.^- i -^-^ ^ ^^^^ _^ ,^ ^
p:;;:;;'dnART;;ÉLËM;- ambassadeur; d. rrance ^^
(i v.tliiu.t;:' '" ï* rai. Ml. _ IV. Avii
III. s.-i.l.":.l.i' I--'- ■' ' j.,^. ,^ ^, Je,,, K.>.iEi>,
Seple.ul.1.. l.;'ia-l'; - ;• -^i ^|,.,,„,|,,. T>,:^H,., .1 '*~V';'j,.„,, en Angleterre
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"""r'-.c..- 1- '■ "—; ',„^V,ADME mUClI»- aphassadeur de France à Vemse
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,1540 1542. par M. A,, sail.lr.: 1 ^i-. • , . . _,,,,,
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-TTlïZUrdTlner avec la Cour.de France 1159 1833 ...
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j;e:p:ndan;:desBe;:::,Tu.s.d.cons^^
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.i,.:,v,.-. .....1 i-'-" !■; '■■• ^r
i;..,.»,..vi-.c.-l-.'..:.. -AXr. - V.
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HISTOIRE DIPLOMATIQUE
"'°*" I,., .1,1,, présent ûiUlogue.
Voir H,IAiuthè,ue Uh^stuve co,lcm,.ora,n,: ,.. l^ -' -' 1
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Kiii.N viKM-K.» k' Les 1 icitiiuemeati de terre
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" La ConQuète du monde animal 1 ^ -'. m-'^
— La Conquêt" du muiidw végétal. 1 ^ •! m "* '<' "•
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h< >l Kiii:t •l~' >K Lettres intimes de J M AlhtMtini adttfsbées au comte J- Rocca
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Les concepts de caui|e et t activité 'intentionneUe
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l.vttii. La déclaration 4^^ droits de Ihommv et du
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A travers tes lUûiNSiUi.s l'ti"' /"--.i.'"»!;'!*.'. i>
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liKintk- \hVM-^ Loi itc U civih:.atiou et de la décadence'
liUitt'ssKM K £du( aliuu Aka uéçjii:» aux Etatd-Uaiîi i
Urill. il,. Il- Les Bunaparle en Saisbe 1 »i' ml" It'f ■
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CAUltt iN « . V ,1,.. t, ru - !.-iir,--. • La foudation del Uuiverbit^ île Dtuitii
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— PiiilosopUie lelltjjleU^Û! 1 . t .'; ^ -j, '^l■^■»'■ t ^"î IU tï. lAti
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~ L'éducation d après PUtou I \-.i _: :. ^. iJft'
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hWILl.K l ,1.1 ii-iii '-- l'Mti.^ Les pretentîûub de Charltjs III duc de Luiraiuo-' à la
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Le^origines de la ueuliallti An: la btjl.jnnu , Ud J I soo
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Méthodes et concepts l \ t iu s l'.*ii ; ,
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lOl'i:iiKH 1»K i:\itl-:il.- (>' Descartes, û t'niKtsse f.liM'jelh et lu Itct
dapiHs des latties me.htei. Nv.uveiiii eUit; l vol. m-â. Iv-O
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3J riuX xiCAN, ÉDITEUR, 108, BOtl.EVAHD SAINT-OERMAIN, PARIS (6«)
(JELKY ni.)- •■«* preuves du transforraisni i
LllLUET (M.), rondement Intellectuel de 1» i
GIHAUD-TEULON. Us origines de la pap luté
GOURD, piof. Univ. de Gun-ve. Le Phénomène
OUI VEAU 'M). Us Éldmenta du beau
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— La Sphère de beauté, l'Jul. 1 >"!■ i"-*-
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cation, i vjl. 10 S «ï.'u eraviirea. ISOii...
liUVAU. Vers d un philosophe. 1 vol. i,i 1
IIAI.UKUX ij.j. L'ÈïolutloniUsine en moral
llAl.ur (C. L'EitrêmaOrient. 1 vl ." 1'
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lloijnLAUr E 1. L'Art de juger le caiatl
J. ôi epi.-u\-JaraiU. Hr. ,iu >. ISJS
IlOPFDl.Nl. (H ), |.r,.f. » lljniï.'i »ae .!« C|i|,
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vi.N, |.r.<f. au C:\i.'^.: .le .Nanti.» ■-'" (•■lu
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1 vol. in-8. l'Jdl 6 (r. (Voir p. 3).
morale. 1 v.»l. iu-8 3 fr. 75
1 vol. lu-li. 1905 g If.
1 vol. ia-8 ■; fr. nO (Voir p. 6)-.
I. iD-18...... 4 fr. M
10 (r.
b'aun.:. Histoire de l'Instruction et de l'Édu-
li Ir.
7" .-.iil. l'.lll.. 3 fr. M (Voir p. 3, S et IS/.
'//. Sijriicer,. 1 vol. in-12 3 fr. 50
l'j.j;.. ... , 4 fr.
I viil. in-lli. l'.nj; 3 Ir. (Voir p. il,.
le des taoouues par leur écriture, (.rcfa.-r! <te
- -t Causeries pédagogiiiues li..il l'.ar 1..
J..|ni.: .I'Alv. 2' . .liu.in aOi;lo.!.il".e. 1 vol.
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J.\NKr (l'.eiie , l.f.if.:-""! •■" L"!'''!-''
i,.,i(.'s meiiliiui ,!•■» /..i/j/i'ri.yui's, /ts
,y,iipli,mei /.jJlrf.l./u.s. I.e IradKini
piaii.l.iii-S. av. .' .jiuvuiea
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Néïioatb et .dées tiiea I J.dul.s rjp
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_ Les obsessions et la psychastliénie. 1
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Il EtaU ],.-ui-itstherti>luts. at>i,ulir>>, if,
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JAN'.iSENS K ), Le néo criUcisme de Cli
— La pialosophle et l'apologêtiijue île Pa
.lOUKIi^ ...ii.iai Liostruclionilbrarniét
JOVAC Essai sur la liberté morale
KAltl'I'K ~ .1... l,-.i. . I l.i'.ie- Les oïlgil
'sur i/iia(..i;v .le/.i A'.iM.i.'. l'-'ul
KAI:KMAn:^. La cause finale et sou impu
Kl'^lM {A., Notes de la lualu dHelvétius
KI.NGSC'OKII lA el MAlll.AMl lE.) La
.r.irie préfa.e .t*l.i..r.l S.liire. I v..l .
K* ».s I "l EEI- 1- N ÉvolullOii dans 1 bisl
— Les subsUtuts do 1 àme dans la psycli
l.AIlllill.'E .11 I i.i..i a..'iei.'e .1 l..=l..ire a
.1 al.I. 3 =03 111.^1. ..jli'.:.' mè.ills hrt.ctl lu
— Lé Club Jacobin de Toulon (1790-1796)
1.Ai;aZE DU mil- II' m., .i' Le cuite di
LAI-ANlIt: (A. , mailre .le . .lufeieu es a la
par ,|.i.;jU..ii= el réponses 1 vol. 1I.-16. 2
L'^NE-îSAN i.l.; aii.'iei. minialre .le la
[ V..1, lM-1'.; ■-'• e.lU. l'JIll
4- • Léducatton de la femme ruoderue 1
— Le bilau de notre marine 1 ^..i in-l
LASMEIIUE A j, La parliGlpatiou collect'.
m-», l'jo:.
f.AS^Eillll: (E.) Us délinquant»
11.10
LAVM.EÏE iE:ii. .lei. De laveulr des
l.l.i;l,EltE jA , |.lol.J==eul iilliiiieu-lU
I...I13 ave.i lu |.liil.. a.. 1.1.1.1 ).'ei.ci»le r\
hl.i I VUE li • Les Vaiia'ions de Guill
Baux â'jlude suivie de .l...:u.oeiila .i;i..'lua
LtMAlKE (P.) Le cailéslanlame ohei le:
LÉON (A.), docteur i» lettres. Les éléments cartésiens de la doctrine splnoilate s»^. J»'
rapports de. la pensée et de son objet. Iv. .!..:.■. Il lu» ■<- t'-'^'..-
1 fr.
eiiliu-'i*", * Morale. A'«*iiij snr le^ principes,
iliiçes pttrliC'tliém de la lie, tia.i. [.ar 1., PoiiK-
■ vol. in.-l. l'IOl 1(1 fr. (Voir p. '.)),
\X'j:-. .. w. ....'... 3 'r. M
■ lit par K. -Abauzit. a^fé^'ô de pliilosoptii. .
/ ^r<i...ii.>pi 10 IV.
ii..n.\, )»i.l,i.'e-ile M. |'.iyot, recLe.ii- tle l'.Vea-
ii.-lii. r,«J.I.. --Mr. r»l .Voir p. 3).
aii.e. LÉtat «lentnl des hysLériiiues. /.es .%ti>/-
nU 'i,riU}iux ilts hijsténijiir'a. rlu 1rs sur titre) s
ttoU'ijt.j)ur ,te f hystérie. 2^ éililiiiu t'Jll. 1 v.,1.
18 fr. iVoir.p. 9 el iii.
iii.| I.: .1 ■:. 1.1 .1 ..iie.^ nervwii.-e.s a la Saipêli itue.
n-itul'il 'i J'"' les Ouubles Ue tu rtilimic. de
jo.is, fel idres obsédantes tt leur traileincnt,
iiL'...: U fr.
itfittufts', e» iitèet obsédantes et leur traitement.
,,,v 14 fr.
; .i..(.(ce? ./ par t Acudi'iiiir de riiédeiine.i
t'hidri . 'i '.(.,• .f,'.s et erprrtutrnlitles sur tes idées
il'i'ii /. f"tt-: la duiite. Us Itrs, irs uultations,
inss'S. ir I eriifiments d mrumptetiide, ta ncuras-
I. réel, ler.r piitfiohrnle et leur trattemenl. l** éili-
lin s ... 18 fr.
pi' tudt,,infttiti,t,is et -tunouses diffuses, nti/ir^,
•nttites, lidiesdu doute, idées ubsedanles, impid-
II', 32 giat mes '. 1 4 fr.
^enouvier 1 vol. in-16. 1901 3 fr. îiO
s :al 1 v.tt, iii-16 4 fr.
française .le I •(là., 1902. I vol. iii-lti.l'.lû3. Sfr.ftO
. H 3 fr. fiO iVoir p. K. .
es et la nature du Zohar, pre.'c.lé d'uue J:tude
H< 7 fr. 50 (Voir p. 9).
■tance. 1 ^il. hi-lS., 'i fr. riO
1 ...1. 111 S. 1907 3 fr. (Voir p. 9.
Voie parfaite ou le Christ ésotérique, précède
I v.l ;
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de la plillosophle. I v,.l. lu-lfi 2 fr. 50
logic moderne 1 mjI. ni>.. i fr. Voir p. Vi.
tv, ,.e .1.; Boi.leaux. Le couveutionuel Piaet.
. 1907 3 fr!
llr...-.li iji. in-8. 1907 ■> fr.
l'idéal ou l'artlstocratie ln-8. 19ii9... 7 fr. U)
^ ,rli»iiii|. * Précis raisonné de morale pratique
e.lil l'.i*.! 1 fr. V..ir p. '.l .
I.ini.e. L^ Programme maritime da 19ÛÛ-1906.
. 3 fr. M
.,1. 111- Itl, 1907. 3 fr. 50 tV. |i. 9. Irt, 17,25 el -.'7,.
, 19IW 3 fr. 50
e des femmes à la Révolution française, l vo^
5 fr.
passioiiuels et la criminallste Impallomenl, l',tii8. I vol.
...:..' , ï fr
peiiples catholiques Hr lii-8 0 fr. 25
e iiei I.'- * La morale rationnelle .li.ii> sr-â lela-
111?* l'.hj^ 4 II. 50. Voir p lOi.
unie de Cliaiiipeaux et la Question des Univer-
s l.y .^ I vol. ui-8. I Irav. de i'Uulv. deLilIa,. 3 fr.
Béaédlotlna. 1 vol. in-8 8 tr. 90
LEVV (I...Q.), docteur è« lettre». La famiUo dans l'anUquité Israélite. 1 ^ ^
{Couronna par l'Académie française \ -" -< - - '.>
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Saint-André ,1749 18131. 1901. 2 vol. in-8..- ..'. .,.,.i ;...--»
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1 anglais par J. Uo:(Oi-i;., i.r,-ta.-e dlitiaiu lioUl-r. ISO'.l _1 voI.'_-Kr. ift-S
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MAGNIN E.i. L'art et l'hypnose 1 v..l. gr. in-8 avec prav,
MAINDKÔ.N (t'riiest; • L'Académie des Sciences 1 vol.
trait», plans, 8 pi. hors texte el 'J aiitopiaphes ..^...,....
,MAR.IKTAN ,J .. La classillcatlon des sciences. d'Arlatotil à saint Thomas, l vol. i"'»
lix 1909. 3 tr.50
..'..<-....-. ^ fr
... fl fr.
1901
-MAUriN (\V.). La situation du oathoUclsm» A Oenéve (lBl5-1907)
MATAORIN. L'esthétique de Lotie. 1 vol. ui-l'.; I.m-». '.. ;..- '
MATTEUZl Les facteurs de l'évolution des peuples KJO-': 1 v,.l lu W.
MAUUÉ (K.l, docteur èi ieiires. Le raUonahsœe comme hjtpothése méthodologique
irrand in-8. l'jiV.i. ...
MEltClEIt (le Cardinal). Cours de philosophie
I. - Logique, 5» edit. l voL tti-.'i... .
II. — .VodOTij dontoloi/ie ou de métaplxr/fique génértile, i • el
m. — Psi/rltoloqie. i vol. m 8, S- edit
IV."— (•«iMriofc.jie gtnérali- 1 vol. in-8, 5« edit
V. - La plidosop'ie médieeale, par M. de Wui.f. 2* ed l. I vol. lu-S
VI. '--Cusmohriie'. par M. Nï.s. l vol. lu J. -3' é.llt..:.
— .Les origines de la psychologie contempôiaine ^' edil
MlLIl.Mll-.li.., proferse.i. a laSo.ioi.n;
in It'.. 19(»-i
.MOliESTiiV 11.1 • Introduction i l'Bistoire romaine
iil/luences ciril'iatnces a l e/'O/ue préromaine etd'^
russe par Michel DeuSes' Aiaut propos -ie M.Sal
texte et -.'7 liLMires .ffins le te vie. lOn' •*
MONNlEll Mar.-Rll. • Le drame chinois
MOHIN :Jkam, ari-ti.!oloKii
oriijinrs jn-ii'-i a '7..ii-f.-"..i.y.'(e, ^uiv,,- n'iiii.. il.-s- rij.t
191 IS, 1 vol.
• Le posiUvisnie el le progrès de lesprit. Ivol.
2 (i 50 ;Voir |.. 4 et 13 1
Leil'iiuloifie ptéfiistorKiut, les
...,i nrnts de Uoiae Ira'.Uiit du
Ueinu-tiîilVB.- ;i9Vl«"'-'>'"' '""''
15 fr.
19.1
1 lU-lo IvXlO
Archéologie de la Gaule et Àes pays circoovoisin» depuis lei
d.- la coiti-clmli .Mi.rui
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Lès idées et
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1899
rei * La Bourgeoisie française
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La théorie Idéologiq ne de Galuppi dans ses rapports
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La lavue germanique de Dolltus et
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avec-la philosophie de Kant. 1 vol
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Neirtzer. Br. in-8. 190rt
PAUl.MAN ,Er.) Le Nouveau mysticisme 1 vo). ui-t
PEI.I.EIWN 1 Eiii:eii.-i • La naissance dune ville 11
— • Jarousseau, le pasteur du désert n.uiv edii l i
— • Un Roi philosophe t'réderic leAirand. l v
— Droits de Ihoiaïae 1 vol. in li'. '- ./.
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lacotot et sa Méthode d émancipation intellectuelle
Dictionnaire abrégé de philosophie. 189'.. I vo inl
l'ilIl.llEllT ,1... 111-1 Le Rire t v,.: lu-^ iCour. pat I A.-ideraie
l'IlIl.lPl'EJJ . Lucrèce dans la théologie chrétienne
PIAT (C) l Intellect actif 1 v.'l in-8
— L'Idée ou critique du Kantisme ■;" édition
— Delà croyance eu Dieu 1 vol m-18. -i' edit. 1909.
IMCARU ,Ch.) Sémites et Aryens. 1 >ol, iulS. IS.H
PICTEI- iRaouO Étude crlUque du matérialisme et du spintoaUsme par la f^l^^^^»
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— L'Énigme sociale
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Le positivisme. 1 \,.l n. I"' l-.i'
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origines historiques I ...i .i. - ' "i'
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-- Causeries psychologiques - v ■; h, - M.
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La psychologie quantilativi; l . >- ^
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VKH-MAI.I; I. .1 Umlll I \ Heginlre
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Xll.M.I^ Correspondance iiD-ltlque de bon
W ^ i.M 11 . La morale seKuelle I -.■; n. ■
/,A1-I.I.I.\I Le.réclt de lu r.iejliuii dans 1.
tes tondltioils de^ctlon /^ iiji'its>- /.ai-
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Liviii:- 1 i.A-<ii,.i t-, i:.NSKli,.M .MK.M'
Liuits insM.ji K>, i..\>kii;m,mi:si
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Maintenon, 1 vol. in 3, ill. fVni :"> fr.
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